Mensuel de l’Armée du Salut - 127e année - N° 3 - 2017
Société
L'horloge de la fin du monde Sébastien Goetschmann
Fin janvier, la Doomsday Clock (horloge de la fin du monde) a été avancée de 30 secondes, pour afficher désormais 23 heures, 57 minutes et 30 secondes. Sommes-nous à l’aube de l’apocalypse ?
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réée en 1947, au début de la guerre froide, l’horloge représentait la possibilité d’une guerre nucléaire mondiale, en soulignant la menace liée à la prolifération des armes nucléaires. Mais, depuis 2007, l’horloge prend également en considération les perturbations dues aux changements climatiques, les problèmes liés aux hydrocarbures ou encore les « nouveaux développements dans les sciences du vivant qui pourraient infliger des dommages irrévocables », c’est-à-dire les risques liés aux nouvelles technologies (nanotechnologie, biotechnologie, etc.). Depuis sa création, l’heure a été avancée mais aussi reculée manuellement, en fonction des intentions et des grandes décisions mondiales. Un peu plus proches de la fin En janvier 2017, l’horloge est avancée en raison « de la montée du nationalisme strident » dans le monde, des commentaires du président des Etats-Unis Donald Trump sur les
Image de la Licorne, un essai nucléaire aérien lancé en Polynésie par la France en 1970
armes nucléaires et de l’incrédulité du consensus scientifique sur le changement climatique. C’est sur ce dernier point que nous allons revenir. Certes, il existe un débat au sujet de l’impact réel de l’homme sur les changements climatiques, le climat de la Terre variant naturellement,
Bartimée, l'aveugle page 3
sans l’intervention de l’Homme, suivant des cycles et des évènements ponctuels. Ces changements nous sont imperceptibles et ne sont connus que par les analyses des traces laissées par des ambiances climatiques différentes dans les glaces, les sols etc. Mais la majorité des scientifiques s’accorde sur page 2
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société
évangile
le fait que l’Homme tient une part prépondérante sur l’émission de gaz à effet de serre (GES), et ainsi sur le réchauffement climatique constaté ces dernières décennies. Le travail du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) exposé dans
Le collectif « Vélos en Ville » réalise une installation en glace représentant notre planisphère, à Marseille. La fonte de l’installation symbolise la disparition des glaciers
son quatrième rapport, datant de 2007, est plutôt sans équivoque. « Le réchauffement du climat ne fait aucun doute et est désormais attesté par l’augmentation observée des températures moyennes de l’air et de l’océan, la fonte généralisée de la neige et de la glace et l’augmentation du niveau moyen de la mer. » Ainsi, la température moyenne à la surface du globe a augmenté de + 1°C de 1901 à 2012. Les émissions mondiales de GES imputables aux activités humaines ont augmenté depuis l’époque préindustrielle ; la hausse a été de 70 % entre 1970 et 2004. Le rapport souligne encore que les activités humaines ont très probablement contribué à l’élévation du niveau de la mer au cours de la deuxième moitié ; probablement du XXe siècle concouru au changement de la configuration des vents, qui a modifié la trajectoire des tempêtes extratropicales et
le régime des températures ; probablement entraîné une élévation de la température des nuits extrêmement chaudes et froides et des journées extrêmement froides ; sans doute accru les risques de vagues de chaleur, la progression de la sécheresse depuis les années 1970 et la fréquence des épisodes de fortes précipitations. Si l’horloge de l’apocalypse indiquait 23h43 en 1991, force est de constater que nous approchons indéniablement de la fin. Mais nous ne sommes pas impuissants face à cette situation, il est même arrivé que l’heure soit reculée. Et, comme il en est question dans le point de vue, nous ne sommes pas obligés d’être seuls avec nos peurs. Source : IPCC (Interngovernmental Panel on Climate Change) : bit.ly/2kEZqpH
Point de vue
Jacques Tschanz
Peur de la fin du Monde ? « L’horloge de la fin du monde » a le mérite de nous faire prendre conscience de notre responsabilité et de notre impact sur l’environnement et sur la Terre que nous laissons à nos descendants. Une fin du Monde est certes annoncée et programmée par le Créateur dans la Bible. Ce n’est pas une raison pour tomber dans une résignation
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fataliste. Toute « fin du Monde » peut engendrer de la crainte. Et la peur est un facteur universel, à la fois déstabilisant et à la fois fédérateur que les « pouvoirs » utilisent volontiers pour imposer leurs points de vue, leurs objectifs. Nous trouvons cette « perle » dans la Bible qui
dit : « l’amour parfait bannit la crainte* ». Cet amour parfait trouve sa source dans la vie même de Jésus-Christ. Et rien que pour cela, il vaut la peine de faire ce pas de foi qui est de lui confier ses peurs (maladie, mort, lendemain, fin du Monde, etc.), si nombreuses soient-elles. Et de lui demander son amour parfait au travers d’une simple prière du cœur qui pourrait ressembler à ceci : « Seigneur Jésus, j’ai peur de … et je n’y arrive pas tout seul ! J’ai
besoin de toi et je veux croire que tu m’aimes. Que ton amour parfait vienne remplir mes craintes, s’il-te-plaît ! Amen. » Une telle prière faite avec foi peut apporter une paix inimaginable, en dépit des circonstances qui, elles, ne changent pas toujours !
*La Bible, 1 Jean, chapitre 4, verset 18 Pour contact : jacques_tschanz@armeedusalut.ch
Bartimée, l’aveugle Pierre-André Combremont
Dans la Bible Jésus et ses disciples arrivent à Jéricho, puis ils sortent de la ville avec une grande foule. Un aveugle, appelé Bartimée, fils de Timée, est assis au bord du chemin, c’est un mendiant. Quand il apprend que Jésus de Nazareth arrive, il se met à crier : « Jésus, fils de David, aie pitié de moi ! » Beaucoup de gens lui font des reproches
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ésus est en compagnie de ses disciples sur le chemin de Jérusalem. Comme à l’accoutumée, la population est au courant de ses déplacements, si bien qu’une foule est accourue et le suit. Ces gens sont multiples. Les uns, avides de son enseignement, espèrent en apprendre encore sur ce royaume qu’il annonce et ils commencent à reconnaître en lui le Messie tant attendu annoncé par les prophètes. D’autres, curieux, espèrent le voir accomplir un de ces miracles étonnants qui font sa renommée. D’autres encore, les sceptiques qui ont entendu parler de l’opposition des chefs religieux à son endroit, espèrent assister à l’un de leurs échanges verbaux afin de se faire une opinion sur ce Nazaréen plus ou moins controversé. Ces hommes et ces femmes vont avoir là une occasion de voir Jésus à l’œuvre. En effet, un mendiant aveugle qui demande l’aumône au bord de ce chemin se met à crier : « Fils
et lui disent : « Tais-toi ! » Mais l’aveugle crie encore plus fort : « Fils de David, aie pitié de moi ! » Jésus s’arrête et dit : « Appelez-le. » Les gens appellent l’aveugle en lui disant : « Courage ! Lève-toi, il t’appelle ! » L’aveugle jette son manteau, il se lève d’un bond et il va vers Jésus. Jésus lui demande : « Qu’est-ce que
de David, aie pitié de moi ! » Ces appels dérangent beaucoup de gens qui, excédés, tentent de le faire taire. Passe encore s’il se contentait de tendre la main ! Pourtant, s’il appelle, ce n’est pas n’importe qui, c’est Jésus ! Il a entendu parler de cet homme qui guérit. Mais des gens, bien intentionnés, veulent lui faire barrage parce qu’il provoque un trouble. Bartimée redouble d’énergie, il veut que Jésus l’entende, et il a raison. Le Maître ordonne de le laisser approcher. Ainsi un dialogue s’instaure et se termine par ces mots : « Va ! Ta foi t’a sauvé ! » Des milliers d’hommes et de femmes, nos contemporains, sont comme Bartimée, privés de la vue. Non pas physiquement mais spirituellement. Ils cherchent la lumière mais ils sont empêchés de la trouver parce que des contraintes sociales les empêchent d’y accéder. Pourtant, le Sauveur est tout près. Il suffirait que
tu veux, qu’est-ce que je peux faire pour toi ? » L’aveugle lui dit : « Maître, fais que je voie comme avant ! » Jésus lui dit : « Va, ta foi t’a sauvé ! » Aussitôt, l’aveugle voit comme avant et il se met à suivre Jésus sur le chemin. La Bible, Evangile de Marc chapitre 10, versets 46 à 52
Ne sommes-nous pas parfois aussi aveugles spirituellement ?
les gens qui suivent le Christ, à l’instar de ceux sur le chemin de notre récit, les appellent et leur disent : « Courage ! Lève-toi, il t’appelle ! » pour que s’ouvrent leurs yeux et qu’ils puissent suivre Jésus sur le chemin.
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témoignage
témoignage
La mission continue … Il y a maintenant deux ans et six mois depuis que notre famille, mon épouse Rachel, notre fils Belbiche (17 ans), notre fille Syntiche (10 ans) et moi-même, avons quitté la terre de nos ancêtres la République Démocratique du Congo, pour embrasser une carrière internationale en Belgique. Il a fallu parcourir huit mille kilomètres en avion (un vol de dix heures) sans escale pour servir celui qui nous a adressé un appel saint, irrésistible et irrévocable. Et nous avons dit oui. Capitaines André et Rachel Masende, officiers du Poste de Bruxelles 2
Les capitaines Masende, heureux d’être à Bruxelles
Cette affectation nous l’avons considérée comme l’appel reçu par Abraham. Appelé par Dieu vers un pays inconnu, séparé de ses parents, frères et connaissances, Abraham n’hésita pas et s’embarqua dans une aventure sans précèdent ; une aventure de foi. A cela s’ajoute le fait que nous sommes appelés, en tant qu’officiers de l’Armée du Salut, à aller vers d’autres cultures, à aller à la rencontre de l’autre, là où
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le Seigneur nous envoie partout dans le monde, en vue d’accomplir sa volonté.
pour nous dans le pays où nous sommes affectés ? Quelle sera la vie en Belgique ?
Après avoir reçu nos ordres de marche pour la Belgique, il s’est passé huit mois d’attente avant d’obtenir les visas pour la famille. En attendant, plusieurs questions fusaient dans nos têtes, pour savoir pourquoi le Seigneur nous déplace à plus de huit mille kilomètres. Quelle mission avait-il
Quitter son pays En quittant le Congo, nous sommes venus avec la pensée de contribuer à l’évangélisation et à l’expansion de l’œuvre de Dieu partout en Belgique. Nous savions que nos vaillants et braves missionnaires, les adjudants Henri Léon et Paula Becquet, qui nous
ont apporté ce précieux don de Dieu au monde qu’est l’Armée du Salut, étaient d’origine belge. Et donc, pour nous cette affectation était une lourde responsabilité devant Dieu, pour nos leaders d’avoir écouté la voix du SaintEsprit pour notre choix, mais aussi une responsabilité pour notre famille ; celle de ne pas décevoir Dieu. Arrivés en Belgique, à l’aéroport international de Zaventem, nous avons été chaleureusement accueillis par une délégation en liesse, souriante et mixte, composée des officiers et des soldats de Bruxelles 2 et d’autres Postes. Ladite délégation était conduite par la major Noélie Lecocq (Ndlr : à l’époque officière régionale) et le major Marc Dawans, pour ne citer que ces deux responsables. On lisait sur la figure des uns et des autres, un saint sourire, ce sourire qui n’avait l’air de rien, mais nous rassurait, nous encourageait et nous disait que nous étions bel et bien aimés. Un temps d’adaptation Le lendemain, le major Marc Dawans nous accompagna à la commune pour les formalités administratives, tout en étant en chemin, il n’avait cessé de nous expliquer les endroits faciles à retenir pour arriver à l’office des étrangers et quelques astuces de la vie en Belgique. Très rapidement les camarades du Poste se sont approchés de notre famille
pour nous partager les réalités du milieu, en vue d’une intégration facilitée à la vie en Europe en général et en Belgique en particulier. Le major Franck Estiévenart nous a informé sur l’école que devraient fréquenter nos enfants. Si aujourd’hui, les enfants ainsi que nous-mêmes sommes intégrés et adaptés au rythme de vie et du travail en Belgique, le début a été très compliqué. En effet, tôt le matin, il a fallu accompagner les enfants à l’école par un froid jamais vécu en Afrique. Les arrêts de bus parfois oubliés, et on se retrouvait avec notre fille loin de l’endroit où il fallait descendre pour l’école. Une inadaptation totale de deux à six mois ; un rythme de travail complétement différent, tout se faisait à la hâte et parfois avec beaucoup de stress. Mais le Seigneur était là pour nous accompagner dans chaque étape, jusqu’à l’intégration complète. Poser les bases au niveau local Durant les six premiers mois, notre vision était plus concentrée sur le travail interne ou local. Il nous fallait connaître le Poste : son fonctionnement avant que nous arrivions, ses besoins, ses points forts ainsi que ses points faibles. C’est alors que nous avons focalisé notre attention à travailler d’abord toute la première année à la croissance spirituelle des camarades du Poste.
Ensemble, nous avons fait l’étude du milieu environnant (Bruxelles), avant de fixer les règles du travail au niveau de la Belgique. Nous étions persuadés et convaincus que c’est en ayant des personnes spirituelles, compétentes et engagées pour la cause de l’évangile, que nous pourrions aller à la recherche des âmes et à la rencontre de l’autre. Annoncer la Bonne Nouvelle Nous avons donc décidé avec le Poste, d’ouvrir le feu de l’Evangile sur deux fronts. Un premier du côté flamand (Alost) et un second du coté wallon (La Louvière). Seulement, même si le chien a quatre pattes, il ne suit qu’un seul chemin. Ainsi, nous avons provisoirement interrompu les activités du côté d’Alost et focalisé toute notre attention à La Louvière. Le Poste de Bruxelles 2 est déjà grand, mais notre vision est qu’il devienne l’épicentre de l’impulsion de l’action évangélique et sociale en Belgique. Nous pensons que la main de Dieu est en train d’agir. Le projet de l’Avant-Poste de La Louvière évolue très bien et le 23 décembre 2016, nous avons tenté une première approche sociale (avec la distribution de colis de Noël en collaboration avec la Pastorale Protestante évangélique de La Louvière). L’œuvre de Dieu, accomplie par les hommes de Dieu, avec les méthodes de Dieu, ne manque jamais de ressources.
Impressions de la vie du Poste
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à bien y penser ...
infos
Le Musée derrière les barreaux Sans tambour ni trompette Pour ou contre Casimir ?
Le dessinateur Alain Auderset nous invite à la réflexion. Chaque mois vous trouverez une nouvelle BD à cet endroit.
Les temps changent, et ils changent de plus en plus vite. A quelque part… inquiétant pour notre fragilité humaine. J’ai été interpellée par une émission télévisée qui nous plongeait au cœur d’une nouvelle problématique. Ou plutôt d’une nouvelle opportunité ? A vous de voir. Il s’agissait de l’utilisation de robots au sein des maisons de retraite. On y voyait « Casimir », un petit robot, en pleine action en tant qu’animateur de gymnastique. Une dizaine de pensionnaires, assis dans des chaises roulantes, ou bien calés dans des fauteuils, levaient le bras droit en l’air, inclinaient la tête d’un côté et de l’autre, tournaient attentivement leurs poignets… bref, obéissaient au doigt et à l’œil à un Casimir imperturbable qui, face aux papis et aux mamies, montrait mécaniquement l’exemple et donnait le rythme. A la vue de ce spectacle j’hésitais franchement entre rire et larmes. C’est une pensionnaire, une délicieuse vieille dame qui a eu raison de mon humeur chagrine. En montrant Casimir du doigt elle a déclaré en rigolant : « Lui, au moins, il ne me fait pas de remarque quand je fais faux ! » N’empêche que face à ces « Casimirs » qui vont envahir de plus en plus notre vie de tous les jours, il va falloir sérieusement réfléchir au rôle et à la place de l’Homme dans l’Histoire qu’il est en train d’écrire.
Marianne Hefhaf
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Du 1er mars 2017 au 16 mars 2018, le Musée de l’Armée du Salut présentera l’exposition « L’Armée du Salut en prison ».
Le 1er mars 2017, a débuté la nouvelle exposition temporaire « L’Armée du Salut en prison ». Celle-ci durera jusqu’au 16 mars 2018. « L’exposition comprend quatre volets » nous explique le responsable du Musée, le major Jacques Tschanz. Le travail actuel du Service des prisons de l’Armée du Salut, la persécution lors des débuts de l’Armée du Salut en Suisse, la fin des bagnes en Guyane française, à laquelle un officier suisse de l’Armée du Salut a grandement contribué, et enfin l’association « Art en prison », qui présente des tableaux conçus en période de détention. De nombreux événements rythment l’exposition tout au long de sa durée. Le Musée de l’Armée du Salut se trouve à Berne, à la Laupenstrasse 5 (entrée côté cour). Heures d'ouverture : du mardi au vendredi, de 9h00 à 17h00 (les samedis sur demande).
Oui, je m’abonne pour une année au mensuel « Espoir » pour la somme de CHF 48.– (CHF 67.– étranger)
17 mars 2017 Nuit des musées avec Marlise Pfander, présidente de l’association « Art en prison » et d’autres intervenants
Nom : Prénom : Adresse :
2 avril 2017 Journée d’information avec Hedy Brenner au Poste de Berne, suivie d’un culte, d’un repas de midi puis d’une visite de l’exposition
Localité :
2 juin 2017 Vidéo « Die Gefängnisdirektorin ». Suite à la projection, Marlise Pfander fera une lecture de lettres de détenus (20h00) En septembre 2017 Deuxième journée d’information visant à sensibiliser au travail actuel de l’Armée du Salut dans les prisons
Date : Signature : A envoyer à : Armée du Salut, Service des abonnements, Case postale, 3001 Berne redaction@armeedusalut.ch
En octobre 2017 Soirée de cinéma avec la projection du film « Thorberg » (des portraits en marge de la société), avec la présence du réalisateur Dieter Fahrer 7 décembre 2017 Marlise Pfander lira des histoires de Noël sur le thème de « Noël en prison » (18h30) La Rédaction musee.armeedusalut.ch
Mensuel de l’Armée du Salut | Laupenstrasse 5 | Case postale | CH-3001 Berne | Tél. 031 388 05 91 - Fax : 031 382 05 91 | Courriel : redaction@armeedusalut.ch | Internet : armeedusalut.ch | CP: 30-3117-4| Abonnement 1 an : CHF 48.-, CHF 67.(étranger), CHF 72.- (par avion) | Fondateur : William Booth | Général : André Cox | Chef de territoire : Commissaire Massimo Paone | Rédaction Berne: Florina German (responsable), Sébastien Goetschmann | Equipe de rédaction : Pierre-André Combremont, Yverdon-les-Bains / Marianne Hefhaf, Lausanne / Annelise Bergmann, Suchy / Major Jacques Tschanz, La Tourde-Peilz | Concept graphique : Didier Chassagnot | Mise en page : Sébastien Goetschmann | Imprimerie : Rub Media, Wabern | Tirage : CH : 3000 ex. BE : 2000 ex. | Crédit photo : P 1 & 2 : El_Enigma_flickr.com, Pierre J._flickr.com, verni22im_flickr. com ; P 3 : Lotte Heller_flickr.com ; P 4 & 5 : Armée du Salut Belgique ; P 7 : MAD ; P 8 : JMVerco_flickr.com | L’Armée du Salut, mouvement international, appartient à l’Eglise chrétienne universelle. Son message se fonde sur la Bible. Son ministère est inspiré par l’amour de Dieu. Sa mission est d’annoncer l’Evangile de Jésus-Christ et de soulager, en son nom, sans distinction aucune, les détresses humaines.
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détente
« Le seul ennui avec la fin du monde, c’est que l’on ne peut la raconter à ses petits-enfants. » Arnaud Cotrel
Règle du jeu En partant des chiffres déjà inscrits, remplissez la grille de manière à ce que : • chaque ligne • chaque colonne • chaque carré de 3x3 contiennent une seule fois les chiffres de 1 à 9. Pas besoin d’être fort en maths !
Solution du Sudoku
Annoncer les rectifications d’adresses
Sudoku