Mensuel de l’Armée du Salut - 126e année - N° 12 - 2016
Message de Noël
Y a-t-il de la place pour Jésus ? Général André Cox
Pour les enfants de nombreux pays de par le monde, Noël est une période de l’année riche d’anticipation et d’excitation.
N
ous soulignons, à juste titre, la grande joie des enfants à Noël, car le merveilleux récit de Noël est celui de la venue de l’enfant-Christ, comme nous le lisons dans l’Evangile de Luc au chapitre 2, versets 1 à 20.
Le récit de Noël est destiné aux personnes de tous âges et cultures, et raconte comment Dieu est venu dans notre monde de façon très ordinaire, dans la forme d’un petit bébé afin de pouvoir vivre parmi nous et partager notre quotidien. La venue de Christ à Noël, changea le cours de l’histoire humaine. Nous aimons cette image idyllique du premier Noël. Mais une étable n’est pas le lieu idéal pour la naissance d’un bébé. La réalité est qu’il n’y avait pas de place pour Jésus. Cette réalité est toujours la même aujourd’hui, en cause, les excès de la
Un conte de Noël page 3
Pour la plupart des enfants, Noël est une période de réjouissances, et en effet, Noël c'est le cadeau de Dieu à l'humanité par la venue de l'enfant-Christ sur Terre
commercialisation de Noël, au point où tout notre temps, notre énergie et notre attention sont pris par d’autres tracas. Nous sommes si occupés, que nous n’avons plus de place, ni de temps pour nous souvenir que Noël est la célébration de la naissance de l’enfant-Christ.
Dieu est venu dans notre monde pour les pauvres, les personnes ordinaires, pas uniquement pour les rois et les princes. L’annonce des anges concernant la naissance du Messie de Dieu fut faite à des bergers. Qu’il est merveilleux de songer que Dieu est venu dans la réalité de l’existence page 2
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message de Noël
humaine et qu’il l’ait fait, sans discrimination, pour les humbles, et les personnes ordinaires. On demanda à James Irwin, l’un des rares astronautes à avoir foulé le sol de la Lune, quelles avaient été ses expériences dans l’espace. Il parla de l’importance de l’exploration spatiale et comment cela aida l’humanité notamment dans la recherche médicale, les nouvelles technologies et en nous permettant d’avoir une meilleure compréhension de notre univers. Il décrivit ensuite son émerveillement de pouvoir observer notre petite planète bleue à une telle distance depuis l’espace et se rendit compte de sa beauté et combien elle fut unique. Il parla également de son émerveillement à avoir foulé le sol de la Lune en 1971, et d’avoir pu admirer un lever de Terre. Il continua par expliquer l’importance que cela représentait
conte de Noël
pour l’humanité, d’avoir été Les paroles de ce chant de la techniquement capable de faire major de l’Armée du Salut Joy marcher un homme sur la lune, Webb, « Viens en notre monde » mais combien plus important fut reflète ce désir et cet appel, car la venue de Dieu, par le biais de sans Dieu, notre monde serait un Jésus, dans notre monde et qu’il lieu désolant : ait foulé le sol de la Terre. La venue de Jésus sur Terre a rendu 1. Il semble bien que partout, beaucoup de choses possibles : l’obscurité règne. nous pouvons connaître l’espoir L’amour n’est plus rien du et l’amour, avoir une relation pertout. La paix se dédaigne.Quel sonnelle avec Dieu le Créateur, grand besoin de toi, de toi recevoir le pardon pour les mausurtout ! vaises choses que nous avons faites, et nous pouvons connaître Viens en notre monde, un sentiment de paix et d’apparSeigneur Jésus ! Viens ! tenance dans un monde troublé. Oh ! Viens ! Malheureusement, il y a toujours trop d’injustice, de haine, de violence et de corruption dans ce monde, nous menant souvent vers le désespoir. Si seulement le monde voyait et saisissait le plus grand des cadeaux que Dieu nous a donné, en la personne de Jésus.
2. L’homme est seul à en mourir. De faim l’enfant pleure. La haine vient tout flétrir. Le mensonge écœure. Quel grand besoin de toi ! Viens secourir ! 3. Plongé dans tant de néant, chacun désespère. La foi n’est qu’un trou béant. Pourquoi la prière ? Quel grand besoin de toi, dès maintenant ! Heureusement, cela n’a pas besoin d’être le cas, notre monde pourrait être différent, mais pour que cela se fasse, il faudra que nos cœurs changent, que nous soyons changés et transformés, afin que la vie que Dieu nous souhaite devienne une réalité au travers de son Fils, Jésus. Voilà pourquoi les anges se réjouissaient et qu’ils chantaient : « Gloire à Dieu dans les lieux très hauts … » (La Bible, Evangile de Luc, chapitre 2, verset 14).
Nous ne sommes pas obligés de faire le voyage de la vie seul, car Jésus est venu à nous, il nous appartient de l'accepter dans notre vie
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Les mages d'aujourd'hui Annelise Bergmann
C
e n’est pas un vrai conte. C’est une histoire qui s’est réellement passée dans une ville de taille moyenne en Suisse romande, il y a quelques années. En fait, elle pourrait être arrivée n’importe où ; elle se rejoue peut-être tout près de chez vous en ce moment, mais personne ne le sait. C’est une histoire de Noël, quand on sait reconnaître les mages, les anges et les bergers, mais il faut avouer qu’ils sont plutôt bien cachés. Les anges n’ont pas d’ailes, ils ne sont pas vêtus de blanc (c’est trop salissant), et ils ne sont pas employés à plein temps dans l’histoire non plus. Les rois mages … sur ce coup-là, n’avaient pas des profils d’astrophysiciens. Pas de salaires d’astrophysiciens non plus. Et l’enfant … et bien l’enfant à protéger n’était pas un enfant, mais une dame étrangère d’un certain âge. Si vous arrivez à faire abstraction de ces quelques petits détails … je vous emmène ! J’assurais l’accueil de nuit d’une structure d’urgence pour personnes à la rue ou en grande précarité. Je connaissais bien la plupart des usagers, une population bariolée, affamée, parfois assoiffée (et pas que de tisane verveine-citronmiel), haute en couleurs et souvent bruyante. Assez tôt dans la soirée se présente un quatuor très improbable. Ou plutôt un trio de jeunes larrons en mode rupture, mais sobres ce soir-là, qui entouraient une petite dame. La dame ne parlait pas un traître mot de
français, savait à peine où elle était, et avait l’air complètement larguée. Ce fut tout une histoire de réussir à comprendre comment, suite à des circonstances dramatiques, cette petite dame dans la septantaine, endeuillée, sans argent, sans logement, sans aucune connaissance, avait atterri chez nous. Ce qui est sûr, c’est que les trois lascars avaient eu une intuition très juste. A ma connaissance, ils n’ont pas attendu de lire dans les étoiles. Mages ou mousquetaires, ils ont écouté leur cœur. Et leur cœur leur a soufflé une évidence : la dame était en très grand danger. Sa précarité, les évènements tragiques qu’elle venait de vivre, l’impossibilité de communiquer, pas besoin d’être psychiatre pour voir qu’elle était au bord du désespoir le plus noir. Et je dois dire que dans ce milieu-là, le désarroi, le désespoir, on connaît. Ils ne s’appelaient pas Gaspard, Melchior ou Balthasar, quoique, allez savoir. Il y en avait un qui avait une voiture. Il y en avait un qui parlait la langue de la dame. Il y en avait un qui n’avait ni l’un ni l’autre, mais qui parlait juste beaucoup ; énormément ; tout le temps. Il vous enveloppait de sa gentillesse. Et ces trois-là avaient trouvé, gardé, promené, nourri la petite dame toute la journée et ne l’avaient pas lâchée d’une semelle. Ils l’avaient amenée dans la structure le soir venu. La partie n’était pas encore gagnée, mais la
dame était là, devant moi, en vie. Pour faire court et discret, disons que j’ai juste eu à faire jouer certains ressorts et certaines influences. Le lendemain matin, après avoir embarqué toute la smala dans ma voiture privée (on en n’était pas à une transgression près) et galopé pour ne pas faire attendre un train, nous avons remis la petite dame à la contrôleuse CFF qui devait s’assurer qu’elle prenne bien son avion pour son pays une fois arrivée à l’aéroport. Un ange à l’insu de son plein gré, la pauvre ! Je dois reconnaître que nous nous sommes montrés, disons, persuasifs ! Là-bas, un parent devait attendre la petite dame toute émue. Et fin de l’histoire, pour cette fois.
Il se pourrait bien que nous soyons un ange pour une personne en détresse à un moment précis
Mais j’y pense. Vous croiserez certainement mes rois mages près de chez vous un de ces jours. Ils sont encore bien vivants. Et les anges de nos campagnes, ils vont aussi en ville parfois. Alors saluezles bien de ma part !
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chants
chants Les anges dans nos campagnes Il est né le Roi du monde Il est né, le Roi du monde, le Christ, le libérateur ! Que la terre au ciel réponde d’une voix, d’un même cœur.
Il est né le divin enfant Il est né le divin enfant, jouez hautbois, résonnez musettes, Il est né le divin enfant, chantons tous son avènement. Depuis près de quatre mille ans, nous le promettaient les prophètes, Depuis plus de quatre mille ans, nous attendions cet heureux temps. Ah! Qu’Il est beau, qu’Il est charmant, Ah! Que ces grâces sont parfaites. Ah! Qu’Il est beau qu’Il est charmant, qu’Il est doux le divin enfant. Un étable est son logement, un peu de paille est sa couchette Une étable est son logement, pour un Dieu, quel abaissement. Il veut nos cœurs, Il les attend, Il vient en faire la conquête. Il veut nos cœurs, Il les attend, qu’ils soient à lui dès ce moment.
Dans l’étable misérable, contemplez ce nouveau-né : A la terre, ô mystère, Dieu lui-même s’est donné. A tes pieds, Roi sans couronne, Jésus, nous courbons nos fronts, ta crèche est pour nous un trône, c’est là que nous t’adorons. En notre âme viens renaître, ô Christ, elle a soif de toi ; elle veut t’avoir pour Maître, humble enfant, glorieux Roi !
Sur la paille fraîche … Sur la paille fraîche dort l’enfant si beau, une pauvre crèche lui sert de berceau. De l’azur céleste, l’étoile a souri, à l’Enfant qui reste si tard endormi. Voilà que l’ânesse réveille l’Enfant! Mais lui la caresse, tout en souriant. Cher Jésus, je t’aime! Prends mon petit cœur, et veille toi-même sur moi, doux Seigneur! Près, plus près encore, de mon petit lit. Du soir à l’aurore car j’ai peur la nuit! Bénis, frère tendre, les autres petits… Viens bientôt nous prendre dans ton paradis.
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Les anges dans nos campagnes, Ont entonné des chœurs joyeux ; Et l’écho de nos montagnes Redit ce chant mélodieux Gloria in excelsis Deo (bis) Bergers grande est la nouvelle, Le Christ est né, le Dieu sauveur ! Venez, le ciel vous appelle À rendre hommage au Rédempteur. Gloria in excelsis Deo (bis) Vers l’enfant qui vient de naître Accourons tous avec bonheur ! Le ciel nous l’a fait connaître ; Oui, gloire au Christ au Dieu sauveur ! Gloria in excelsis Deo (bis)
Mon beau sapin Mon beau sapin, roi des forêts, que j’aime ta verdure ! Quand par l’hiver, bois et guérets sont dépouillés de leurs attraits. Mon beau sapin, roi des forêts, tu gardes ta parure. Toi que Noël planta chez nous au saint anniversaire. Joli sapin, comme ils sont doux, et tes bonbons et tes joujoux. Toi que Noël planta chez nous tout brillant de lumière. Mon beau sapin, tes verts sommets et leur fidèle ombrage. De la foi qui ne ment jamais, de la constance et de la paix. Mon beau sapin, tes verts sommets m’offrent la douce image.
Viens, âme fidèle Viens âme fidèle! Joyeuse nouvelle ! Auprès de la crèche, prosterne-toi Voici l’enfant qu’ont salué les anges ... Viens chanter ses louanges, Viens chanter ses louanges, Viens chanter ses louanges, Il est ton Roi A lui notre hommage ! Dans notre esclavage Il vient pour nous rendre la liberté Chante et bénis, réveille-toi, mon âme Que tout en moi proclame Que tout en moi proclame Que tout en moi proclame Sa charité Devant la faiblesse où Jésus s’abaisse J’adore et je chante son grand amour Oui, ton amour, Sauveur tendre et fidèle Pour nous se renouvelle Pour nous se renouvelle Pour nous se renouvelle De jour en jour Sauveur débonnaire, à toi la prière, l’ardente prière de notre cœur. Règne sur nous, oui règne d’âge en âge ; à toi notre humble hommage, à toi notre humble hommage, à toi notre humble hommage, Jésus, Seigneur !
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naissance du Sauveur
repas de Noël
La véritable histoire de Noël
Se régaler en toute simplicité Sara Stöcklin
A
u sixième mois, l’ange Gabriel fut envoyé par Dieu dans une ville de Galilée, appelée Nazareth, auprès d’une vierge fiancée à un homme de la maison de David, nommé Joseph. Le nom de la vierge était Marie. L’ange entra chez elle, et dit : « Je te salue, toi à qui une grâce a été faite ; le Seigneur est avec toi. » Troublée par cette parole, Marie se demandait ce que pouvait signifier une telle salutation. L’ange lui dit : « Ne crains point, Marie ; car tu as trouvé grâce devant Dieu. Et voici, tu deviendras enceinte, et tu enfanteras un fils, et tu lui donneras le nom de Jésus. Il sera grand et sera appelé Fils du Très-Haut, et le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David, son père. Il règnera sur la maison de Jacob éternellement, et son règne n’aura point de fin. » Marie dit à l’ange : « Comment cela se ferat-il, puisque je ne connais point d’homme ? » L’ange lui répondit : « Le Saint-Esprit viendra sur toi,
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et la puissance du Très-Haut te couvrira de son ombre. C’est pourquoi le saint enfant qui naîtra de toi sera appelé Fils de Dieu. Voici, Elisabeth, ta parente, a conçu, elle aussi, un fils en sa vieillesse, et celle qui était appelée stérile est dans son sixième mois. Car rien n’est impossible à Dieu. » Marie dit : « Je suis la servante du Seigneur ; qu’il me soit fait selon ta parole ! » Et l’ange la quitta. La Bible, Evangile de Luc, chapitre 1, versets 26-38
En ce temps-là parut un édit de César Auguste, ordonnant un recensement de toute la terre. Ce premier recensement eut lieu pendant que Quirinius était gouverneur de Syrie. Tous allaient se faire inscrire, chacun dans sa ville. Joseph aussi monta de la Galilée, de la ville de Nazareth, pour se rendre en Judée, dans la ville de David, appelée Bethléhem, parce qu’il était de la maison et de la famille de David, afin de se faire inscrire avec Marie, sa fiancée, qui était enceinte. Pendant qu’ils étaient là, le temps où Marie devait accoucher arriva, et elle enfanta son fils premier-né. Elle l’emmaillota, et le coucha dans une crèche, parce qu’il n’y avait pas de place pour eux dans l’hôtellerie.
Il y avait, dans cette même contrée, des bergers qui passaient dans les champs les veilles de la nuit pour garder leurs troupeaux. Et voici, un ange du Seigneur leur apparut, et la gloire du Seigneur resplendit autour d’eux. Ils furent saisis d’une grande frayeur. Mais l’ange leur dit : « Ne craignez point ; car je vous annonce une bonne nouvelle, qui sera pour tout le peuple le sujet d’une grande joie : c’est qu’aujourd’hui, dans la ville de David, il vous est né un Sauveur, qui est le Christ, le Seigneur. Et voici à quel signe vous le reconnaîtrez : vous trouverez un enfant emmailloté et couché dans une crèche. » Et soudain il se joignit à l’ange une multitude de l’armée céleste, louant Dieu et disant : « Gloire à Dieu dans les lieux très hauts, et paix sur la terre parmi les hommes qu’il agrée ! » Lorsque les anges les eurent quittés pour retourner au ciel, les bergers se dirent les uns aux autres : « Allons jusqu’à Bethléhem, et voyons ce qui est arrivé, ce que le Seigneur nous a fait connaître. » Ils y allèrent en hâte, et ils trouvèrent Marie et Joseph, et le petit enfant couché dans la crèche. Après l’avoir vu, ils racontèrent ce qui leur avait été dit au sujet de ce petit enfant. Tous ceux qui les entendirent furent dans l’étonnement de ce que leur disaient les bergers. Marie gardait toutes ces choses, et les repassait dans son cœur. Et les bergers s’en retournèrent, glorifiant et louant Dieu pour tout ce qu’ils avaient entendu et vu, et qui était conforme à ce qui leur avait été annoncé.
La préparation du repas de Noël ne devrait pas être contraignante et la cuisine ne devrait pas se transformer en champ de bataille. Concoctez, sans grande préparation, un menu avec seulement dix ingrédients, qui mettra jeunes et moins jeunes d’humeur festive !
Entrée : velouté de patates douces Pour 4 personnes • 400 g de patates douces • 2 oignons • 1 l de bouillon • 400 ml de lait de coco
Plat principal : coussins au filet Pour 4 personnes • 500 g de pâte feuilletée abaissée • 16 médaillons de filet de porc, d’environ 2 cm d’épaisseur Découpez la pâte feuilletée en carrés d’environ 6,5 cm et disposez-les sur une plaque chemisée de papier sulfurisé. Assaisonnez les médaillons de filet des deux côtés avec du sel, du poivre et du paprika et répartissez-les sur les carrés de pâte. Faites cuire environ 12 min au milieu du four préchauffé à 230°.
Epluchez les patates et coupezles en gros dés. Hachez les oignons. Faites cuire les légumes dans le bouillon et le lait de coco pendant 15 minutes. Réduisez le tout en purée et assaisonnez avec du sel, du poivre et du curry. Si vous le souhaitez, servez avec des graines de courge hachées. Vous pouvez très bien préparer ce velouté la veille.
Dessert : flan au yaourt
Si vous le souhaitez, servez avec votre salade préférée. Vous pouvez préparer ces coussins feuilletés au filet une heure à l’avance.
Pour 4 à 6 portions • 500 g de QimiQ • 200 g de yaourt nature • 1 dl de sirop de fleurs de sureau QimiQ est une demi-crème avec de la gélatine, que vous trouverez en briques de 250 ml chez Coop ou chez Migros.
(Recette tirée du site Betty Bossi)
A température ambiante, brassez vigoureusement la masse à l’aide d’un fouet et incorporez le yaourt et le sirop. Versez dans les moules et laissez reposer au minimum quatre heures au frais. Placez rapidement les moules dans de l’eau chaude, démoulez les flans et servez.
La Bible, Evangile de Luc, chapitre 2, versets 1-19
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pensée
Dites si c’était vrai Dites Dites, si c’était vrai S’il était né vraiment à Bethléem, dans une étable Dites, si c’était vrai Si les rois Mages étaient vraiment venus de loin, de fort loin Pour lui porter l’or, la myrrhe, l’encens Dites, si c’était vrai Si c’était vrai tout ce qu’ils ont écrit Luc, Matthieu Et les deux autres
Dites, si c’était vrai Si c’était vrai ce qu’ils racontent les petits enfants Le soir avant d’aller dormir Vous savez bien, quand ils disent Notre Père, quand ils disent Notre Mère Si c’était vrai tout cela Je dirais oui Oh, sûrement je dirais oui Parce que c’est tellement beau tout cela Quand on croit que c’est vrai. Jacques Brel
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Dites, si c’était vrai Si c’était vrai le coup des Noces de Cana Et le coup de Lazare