Markus Muntwiler, responsable Mission & Développement La majorité de ces offres se trouvent dans les pays en développement et dépendent de notre soutien financier. Les enfants et les jeunes représentent plus de la moitié de la population mondiale. Un grand nombre d’entre eux n’ont cependant pas la possibilité de s’épanouir. Je suis fier que l’Armée du Salut, grâce à ses offres destinées aux enfants, joue un rôle primordial dans la lutte contre la pauvreté. Et bien davantage : forts de nos valeurs chrétiennes et motivés par les exemples bibliques, nous prêchons l’amour du prochain aux enfants et favorisons ainsi leur développement, de manière globale et à long terme. Seriez-vous disposé à nous soutenir dans cette voie ?
Ce produit est imprimé climatiquement neutre sur papier FSC-Sources mixtes.
www.armeedusalut.ch/mission Cette newsletter paraît 3 fois par an. Compte postal: 30-6709-1 (avec mention d’affectation du don) Edition Rédaction Photos Layout / Concept Impression
Fondation Armée du Salut Suisse, Mission & Développement Laupenstrasse 5, 3008 Berne, Suisse Téléphone 031 388 05 91, mission@swi.salvationarmy.org Markus Muntwiler, Doris Droz, Thomas Martin archives Mission & Développement Thomas Martin / Martin Stucki Grafik, Heimenschwand, msgrafik.ch Jordi AG, Belp
Offrir un avenir aux enfants
Impressum Informations et cadeaux sous : www.armeedusalut.ch/mission En offrant de nouvelles toilettes, un cours de couture, un morceau de terre ou un puits, vous ne faites pas seulement plaisir à vos proches et à vos amis, mais également aux personnes qui vivent dans les pays du Sud.
Des cadeaux qui font doublement plaisir Markus Muntwiler lors de l'inspection d'une cavité pour l'installation de nouvelles toilettes dans une école au Kenya.
• 732 jardins d’enfants et 934 écoles primaires • 31 programmes et 10 centres, encadrant quotidiennement 1589 enfants • 209 foyers pour enfants, accueillant 8500 pensionnaires Récemment, je suis tombé sur les statistiques de l’Armée du Salut internationale et j’ai été très étonné. On peut notamment y lire que l’Armée du Salut dirige :
Editorial
Etes-vous à la recherche d'un cadeau de Noël hors du commun?
Foi en action Newsletter de Mission & Développement N° 11 – nov. 2011
Offrir un avenir aux enfants Dans les pays du Sud, de nombreux enfants vivent dans la pauvreté, la détresse et la solitude, sans espoir ni perspectives d’avenir. L’Armée du Salut parvient à les aider grâce à la générosité de parrains et de marraines de Suisse. Larissa, une Brésilienne de 17 ans, Peterson, un garçon de 8 ans originaire de Haïti, Christine, une Kényane de 10 ans et Nirojan, un jeune de 16 ans originaire du Sri Lanka, vivent dans différentes régions du monde et ont malgré tout quelque chose en commun. Ces jeunes ont grandi dans la pauvreté et la misère et ont déjà dû faire face à de nombreuses difficultés au cours de leur courte vie. Ils partagent cependant une expérience commune : ils ont trouvé aide et réconfort dans les institutions de l’Armée du Salut. Larissa a vécu durant une année dans les rues de São Paulo avant de trouver, auprès des collaborateurs du Centre de jour « Trois cœurs » de l’Armée du Salut, des personnes qui se sont occupées d’elle, ne l’ont jamais abandonnée et l’ont aidée à rejoindre sa famille. Peterson, provenant d’un village de montagne en Haïti, a pu
Le soutien permanent des parrains et des marraines permet d’aider les enfants de manière durable. Les parrains et marraines sont régulièrement informés ; ils peuvent ainsi suivre les progrès réalisés et se rendre compte du résultat de leur soutien.
A l’image des ces quatre enfants, des milliers d’enfants de par le monde bénéficient d’un accueil, de soutien et de formation dans le cadre des institutions de l’Armée du Salut. De nombreux collaborateurs de l’Armée du Salut s’engagent corps et âme pour sortir les enfants de la pauvreté et de la détresse et les accompagnent dans leur cheminement vers le monde adulte et vers un avenir meilleur.
concerné qui bénéficient des bienfaits du parrainage. Cela permet d’éviter le favoritisme, la jalousie, les faux espoirs ou les attentes irréalisables tout en réduisant le coût des charges administratives.
apprendre à lire et à écrire dans une école de l’Armée du Salut. Christine et Nirojan sont des orphelins qui ont trouvé amour, protection et un nouveau chez-soi dans les foyers pour enfants de l’Armée du Salut.
Grâce à des parrainages, l’Armée du Salut Suisse soutient financièrement l’important travail accompli à long terme dans les institutions de l’Armée du Salut dans différents pays. Depuis de nombreuses années, à l’Armée du Salut comme dans la plupart des œuvres d’entraide, le soutien ne se fait plus au moyen de parrainages individuels mais plutôt au moyen de parrainages d’institutions. Le parrain ou la marraine ne soutient plus un enfant en particulier mais une école ou un foyer pour enfants. Ainsi, ce sont tous les enfants de l’établissement
Larissa, Peterson, Christine et Nirojan, comme bon nombre d’autres enfants, ont profité de ces parrainages provenant de Suisse. L’Armée du Salut les a épaulés et accompagnés. Leur avenir est désormais prometteur. Beaucoup d’autres enfants sont toutefois toujours encore prisonniers de la misère, de la détresse et du désespoir. L’Armée du Salut continue à lutter afin d’offrir aux enfants un avenir meilleur. Thomas Martin
Markus Muntwiler, responsable Mission & Développement La majorité de ces offres se trouvent dans les pays en développement et dépendent de notre soutien financier. Les enfants et les jeunes représentent plus de la moitié de la population mondiale. Un grand nombre d’entre eux n’ont cependant pas la possibilité de s’épanouir. Je suis fier que l’Armée du Salut, grâce à ses offres destinées aux enfants, joue un rôle primordial dans la lutte contre la pauvreté. Et bien davantage : forts de nos valeurs chrétiennes et motivés par les exemples bibliques, nous prêchons l’amour du prochain aux enfants et favorisons ainsi leur développement, de manière globale et à long terme. Seriez-vous disposé à nous soutenir dans cette voie ?
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• 732 jardins d’enfants et 934 écoles primaires • 31 programmes et 10 centres, encadrant quotidiennement 1589 enfants • 209 foyers pour enfants, accueillant 8500 pensionnaires Récemment, je suis tombé sur les statistiques de l’Armée du Salut internationale et j’ai été très étonné. On peut notamment y lire que l’Armée du Salut dirige :
Editorial
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Offrir un avenir aux enfants Dans les pays du Sud, de nombreux enfants vivent dans la pauvreté, la détresse et la solitude, sans espoir ni perspectives d’avenir. L’Armée du Salut parvient à les aider grâce à la générosité de parrains et de marraines de Suisse. Larissa, une Brésilienne de 17 ans, Peterson, un garçon de 8 ans originaire de Haïti, Christine, une Kényane de 10 ans et Nirojan, un jeune de 16 ans originaire du Sri Lanka, vivent dans différentes régions du monde et ont malgré tout quelque chose en commun. Ces jeunes ont grandi dans la pauvreté et la misère et ont déjà dû faire face à de nombreuses difficultés au cours de leur courte vie. Ils partagent cependant une expérience commune : ils ont trouvé aide et réconfort dans les institutions de l’Armée du Salut. Larissa a vécu durant une année dans les rues de São Paulo avant de trouver, auprès des collaborateurs du Centre de jour « Trois cœurs » de l’Armée du Salut, des personnes qui se sont occupées d’elle, ne l’ont jamais abandonnée et l’ont aidée à rejoindre sa famille. Peterson, provenant d’un village de montagne en Haïti, a pu
Le soutien permanent des parrains et des marraines permet d’aider les enfants de manière durable. Les parrains et marraines sont régulièrement informés ; ils peuvent ainsi suivre les progrès réalisés et se rendre compte du résultat de leur soutien.
A l’image des ces quatre enfants, des milliers d’enfants de par le monde bénéficient d’un accueil, de soutien et de formation dans le cadre des institutions de l’Armée du Salut. De nombreux collaborateurs de l’Armée du Salut s’engagent corps et âme pour sortir les enfants de la pauvreté et de la détresse et les accompagnent dans leur cheminement vers le monde adulte et vers un avenir meilleur.
concerné qui bénéficient des bienfaits du parrainage. Cela permet d’éviter le favoritisme, la jalousie, les faux espoirs ou les attentes irréalisables tout en réduisant le coût des charges administratives.
apprendre à lire et à écrire dans une école de l’Armée du Salut. Christine et Nirojan sont des orphelins qui ont trouvé amour, protection et un nouveau chez-soi dans les foyers pour enfants de l’Armée du Salut.
Grâce à des parrainages, l’Armée du Salut Suisse soutient financièrement l’important travail accompli à long terme dans les institutions de l’Armée du Salut dans différents pays. Depuis de nombreuses années, à l’Armée du Salut comme dans la plupart des œuvres d’entraide, le soutien ne se fait plus au moyen de parrainages individuels mais plutôt au moyen de parrainages d’institutions. Le parrain ou la marraine ne soutient plus un enfant en particulier mais une école ou un foyer pour enfants. Ainsi, ce sont tous les enfants de l’établissement
Larissa, Peterson, Christine et Nirojan, comme bon nombre d’autres enfants, ont profité de ces parrainages provenant de Suisse. L’Armée du Salut les a épaulés et accompagnés. Leur avenir est désormais prometteur. Beaucoup d’autres enfants sont toutefois toujours encore prisonniers de la misère, de la détresse et du désespoir. L’Armée du Salut continue à lutter afin d’offrir aux enfants un avenir meilleur. Thomas Martin
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Des cadeaux qui font doublement plaisir Markus Muntwiler, responsable Mission & Développement La majorité de ces offres se trouvent dans les pays en développement et dépendent de notre soutien financier. Les enfants et les jeunes représentent plus de la moitié de la population mondiale. Un grand nombre d’entre eux n’ont cependant pas la possibilité de s’épanouir. Je suis fier que l’Armée du Salut, grâce à ses offres destinées aux enfants, joue un rôle primordial dans la lutte contre la pauvreté. Et bien davantage : forts de nos valeurs chrétiennes et motivés par les exemples bibliques, nous prêchons l’amour du prochain aux enfants et favorisons ainsi leur développement, de manière globale et à long terme. Seriez-vous disposé à nous soutenir dans cette voie ?
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• 732 jardins d’enfants et 934 écoles primaires • 31 programmes et 10 centres, encadrant quotidiennement 1589 enfants • 209 foyers pour enfants, accueillant 8500 pensionnaires Récemment, je suis tombé sur les statistiques de l’Armée du Salut internationale et j’ai été très étonné. On peut notamment y lire que l’Armée du Salut dirige :
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Offrir un avenir aux enfants Dans les pays du Sud, de nombreux enfants vivent dans la pauvreté, la détresse et la solitude, sans espoir ni perspectives d’avenir. L’Armée du Salut parvient à les aider grâce à la générosité de parrains et de marraines de Suisse. Larissa, une Brésilienne de 17 ans, Peterson, un garçon de 8 ans originaire de Haïti, Christine, une Kényane de 10 ans et Nirojan, un jeune de 16 ans originaire du Sri Lanka, vivent dans différentes régions du monde et ont malgré tout quelque chose en commun. Ces jeunes ont grandi dans la pauvreté et la misère et ont déjà dû faire face à de nombreuses difficultés au cours de leur courte vie. Ils partagent cependant une expérience commune : ils ont trouvé aide et réconfort dans les institutions de l’Armée du Salut. Larissa a vécu durant une année dans les rues de São Paulo avant de trouver, auprès des collaborateurs du Centre de jour « Trois cœurs » de l’Armée du Salut, des personnes qui se sont occupées d’elle, ne l’ont jamais abandonnée et l’ont aidée à rejoindre sa famille. Peterson, provenant d’un village de montagne en Haïti, a pu
apprendre à lire et à écrire dans une école de l’Armée du Salut. Christine et Nirojan sont des orphelins qui ont trouvé amour, protection et un nouveau chez-soi dans les foyers pour enfants de l’Armée du Salut.
concerné qui bénéficient des bienfaits du parrainage. Cela permet d’éviter le favoritisme, la jalousie, les faux espoirs ou les attentes irréalisables tout en réduisant le coût des charges administratives.
A l’image des ces quatre enfants, des milliers d’enfants de par le monde bénéficient d’un accueil, de soutien et de formation dans le cadre des institutions de l’Armée du Salut. De nombreux collaborateurs de l’Armée du Salut s’engagent corps et âme pour sortir les enfants de la pauvreté et de la détresse et les accompagnent dans leur cheminement vers le monde adulte et vers un avenir meilleur.
Le soutien permanent des parrains et des marraines permet d’aider les enfants de manière durable. Les parrains et marraines sont régulièrement informés ; ils peuvent ainsi suivre les progrès réalisés et se rendre compte du résultat de leur soutien.
Grâce à des parrainages, l’Armée du Salut Suisse soutient financièrement l’important travail accompli à long terme dans les institutions de l’Armée du Salut dans différents pays. Depuis de nombreuses années, à l’Armée du Salut comme dans la plupart des œuvres d’entraide, le soutien ne se fait plus au moyen de parrainages individuels mais plutôt au moyen de parrainages d’institutions. Le parrain ou la marraine ne soutient plus un enfant en particulier mais une école ou un foyer pour enfants. Ainsi, ce sont tous les enfants de l’établissement
Larissa, Peterson, Christine et Nirojan, comme bon nombre d’autres enfants, ont profité de ces parrainages provenant de Suisse. L’Armée du Salut les a épaulés et accompagnés. Leur avenir est désormais prometteur. Beaucoup d’autres enfants sont toutefois toujours encore prisonniers de la misère, de la détresse et du désespoir. L’Armée du Salut continue à lutter afin d’offrir aux enfants un avenir meilleur. Thomas Martin
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Des cadeaux qui font doublement plaisir Markus Muntwiler, responsable Mission & Développement La majorité de ces offres se trouvent dans les pays en développement et dépendent de notre soutien financier. Les enfants et les jeunes représentent plus de la moitié de la population mondiale. Un grand nombre d’entre eux n’ont cependant pas la possibilité de s’épanouir. Je suis fier que l’Armée du Salut, grâce à ses offres destinées aux enfants, joue un rôle primordial dans la lutte contre la pauvreté. Et bien davantage : forts de nos valeurs chrétiennes et motivés par les exemples bibliques, nous prêchons l’amour du prochain aux enfants et favorisons ainsi leur développement, de manière globale et à long terme. Seriez-vous disposé à nous soutenir dans cette voie ?
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• 732 jardins d’enfants et 934 écoles primaires • 31 programmes et 10 centres, encadrant quotidiennement 1589 enfants • 209 foyers pour enfants, accueillant 8500 pensionnaires Récemment, je suis tombé sur les statistiques de l’Armée du Salut internationale et j’ai été très étonné. On peut notamment y lire que l’Armée du Salut dirige :
Editorial
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Offrir un avenir aux enfants Dans les pays du Sud, de nombreux enfants vivent dans la pauvreté, la détresse et la solitude, sans espoir ni perspectives d’avenir. L’Armée du Salut parvient à les aider grâce à la générosité de parrains et de marraines de Suisse. Larissa, une Brésilienne de 17 ans, Peterson, un garçon de 8 ans originaire de Haïti, Christine, une Kényane de 10 ans et Nirojan, un jeune de 16 ans originaire du Sri Lanka, vivent dans différentes régions du monde et ont malgré tout quelque chose en commun. Ces jeunes ont grandi dans la pauvreté et la misère et ont déjà dû faire face à de nombreuses difficultés au cours de leur courte vie. Ils partagent cependant une expérience commune : ils ont trouvé aide et réconfort dans les institutions de l’Armée du Salut. Larissa a vécu durant une année dans les rues de São Paulo avant de trouver, auprès des collaborateurs du Centre de jour « Trois cœurs » de l’Armée du Salut, des personnes qui se sont occupées d’elle, ne l’ont jamais abandonnée et l’ont aidée à rejoindre sa famille. Peterson, provenant d’un village de montagne en Haïti, a pu
apprendre à lire et à écrire dans une école de l’Armée du Salut. Christine et Nirojan sont des orphelins qui ont trouvé amour, protection et un nouveau chez-soi dans les foyers pour enfants de l’Armée du Salut.
concerné qui bénéficient des bienfaits du parrainage. Cela permet d’éviter le favoritisme, la jalousie, les faux espoirs ou les attentes irréalisables tout en réduisant le coût des charges administratives.
A l’image des ces quatre enfants, des milliers d’enfants de par le monde bénéficient d’un accueil, de soutien et de formation dans le cadre des institutions de l’Armée du Salut. De nombreux collaborateurs de l’Armée du Salut s’engagent corps et âme pour sortir les enfants de la pauvreté et de la détresse et les accompagnent dans leur cheminement vers le monde adulte et vers un avenir meilleur.
Le soutien permanent des parrains et des marraines permet d’aider les enfants de manière durable. Les parrains et marraines sont régulièrement informés ; ils peuvent ainsi suivre les progrès réalisés et se rendre compte du résultat de leur soutien.
Grâce à des parrainages, l’Armée du Salut Suisse soutient financièrement l’important travail accompli à long terme dans les institutions de l’Armée du Salut dans différents pays. Depuis de nombreuses années, à l’Armée du Salut comme dans la plupart des œuvres d’entraide, le soutien ne se fait plus au moyen de parrainages individuels mais plutôt au moyen de parrainages d’institutions. Le parrain ou la marraine ne soutient plus un enfant en particulier mais une école ou un foyer pour enfants. Ainsi, ce sont tous les enfants de l’établissement
Larissa, Peterson, Christine et Nirojan, comme bon nombre d’autres enfants, ont profité de ces parrainages provenant de Suisse. L’Armée du Salut les a épaulés et accompagnés. Leur avenir est désormais prometteur. Beaucoup d’autres enfants sont toutefois toujours encore prisonniers de la misère, de la détresse et du désespoir. L’Armée du Salut continue à lutter afin d’offrir aux enfants un avenir meilleur. Thomas Martin
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• 732 jardins d’enfants et 934 écoles primaires • 31 programmes et 10 centres, encadrant quotidiennement 1589 enfants • 209 foyers pour enfants, accueillant 8500 pensionnaires Récemment, je suis tombé sur les statistiques de l’Armée du Salut internationale et j’ai été très étonné. On peut notamment y lire que l’Armée du Salut dirige :
Editorial
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Offrir un avenir aux enfants Dans les pays du Sud, de nombreux enfants vivent dans la pauvreté, la détresse et la solitude, sans espoir ni perspectives d’avenir. L’Armée du Salut parvient à les aider grâce à la générosité de parrains et de marraines de Suisse. Larissa, une Brésilienne de 17 ans, Peterson, un garçon de 8 ans originaire de Haïti, Christine, une Kényane de 10 ans et Nirojan, un jeune de 16 ans originaire du Sri Lanka, vivent dans différentes régions du monde et ont malgré tout quelque chose en commun. Ces jeunes ont grandi dans la pauvreté et la misère et ont déjà dû faire face à de nombreuses difficultés au cours de leur courte vie. Ils partagent cependant une expérience commune : ils ont trouvé aide et réconfort dans les institutions de l’Armée du Salut. Larissa a vécu durant une année dans les rues de São Paulo avant de trouver, auprès des collaborateurs du Centre de jour « Trois cœurs » de l’Armée du Salut, des personnes qui se sont occupées d’elle, ne l’ont jamais abandonnée et l’ont aidée à rejoindre sa famille. Peterson, provenant d’un village de montagne en Haïti, a pu
apprendre à lire et à écrire dans une école de l’Armée du Salut. Christine et Nirojan sont des orphelins qui ont trouvé amour, protection et un nouveau chez-soi dans les foyers pour enfants de l’Armée du Salut.
concerné qui bénéficient des bienfaits du parrainage. Cela permet d’éviter le favoritisme, la jalousie, les faux espoirs ou les attentes irréalisables tout en réduisant le coût des charges administratives.
A l’image des ces quatre enfants, des milliers d’enfants de par le monde bénéficient d’un accueil, de soutien et de formation dans le cadre des institutions de l’Armée du Salut. De nombreux collaborateurs de l’Armée du Salut s’engagent corps et âme pour sortir les enfants de la pauvreté et de la détresse et les accompagnent dans leur cheminement vers le monde adulte et vers un avenir meilleur.
Le soutien permanent des parrains et des marraines permet d’aider les enfants de manière durable. Les parrains et marraines sont régulièrement informés ; ils peuvent ainsi suivre les progrès réalisés et se rendre compte du résultat de leur soutien.
Grâce à des parrainages, l’Armée du Salut Suisse soutient financièrement l’important travail accompli à long terme dans les institutions de l’Armée du Salut dans différents pays. Depuis de nombreuses années, à l’Armée du Salut comme dans la plupart des œuvres d’entraide, le soutien ne se fait plus au moyen de parrainages individuels mais plutôt au moyen de parrainages d’institutions. Le parrain ou la marraine ne soutient plus un enfant en particulier mais une école ou un foyer pour enfants. Ainsi, ce sont tous les enfants de l’établissement
Larissa, Peterson, Christine et Nirojan, comme bon nombre d’autres enfants, ont profité de ces parrainages provenant de Suisse. L’Armée du Salut les a épaulés et accompagnés. Leur avenir est désormais prometteur. Beaucoup d’autres enfants sont toutefois toujours encore prisonniers de la misère, de la détresse et du désespoir. L’Armée du Salut continue à lutter afin d’offrir aux enfants un avenir meilleur. Thomas Martin
Naw Mya Yadana
Christine, Teresia et Priscilla
Myanmar
Kenya
Naw Mya Yadana est âgée de vingt-deux ans. « Je suis née au sein d’une famille pauvre dans le village de Aung Nan Cho, au centre du Myanmar. Mon père y travaillait dans l’agriculture pour subvenir à nos besoins. Il est décédé lorsque j’avais sept ans et nous a laissés, ma mère, moi et mes quatre frères et sœurs.
« Christine, Teresia et Priscilla sont des triplées. Leur mère célibataire n’était pas en mesure de s’occuper d’elles, ce qui les a conduites à vivre dans la rue dès leur plus jeune âge. Elles y ont été recueillies et amenées à l’Armée du Salut. C’est ainsi qu’elles ont atterri chez nous au Foyer pour enfants. Le début a été difficile : l’absence d’amour parental, de prise en charge et d’éducation ainsi que la vie dans la rue avaient marqué leur personnalité et leur comportement. Pour nous, il était important de leur témoigner beaucoup d’amour dès le départ.
Vu que ma mère ne pouvait guère subvenir aux besoins de toute la famille, elle m’a placée dans le Foyer pour filles de l’Armée du Salut à Rangoon. Elle savait que j’y serais bien encadrée et que j’y obtiendrais une bonne formation. » C’est ainsi que Naw Mya Yadana a grandi au Foyer pour filles de l’Armée du Salut. Grâce aux contributions de parrainage provenant de Suisse, elle a pu suivre l’école et, plus tard, l’université. « En été 2009, j’ai pu terminer mes études par un « Bachelor of Arts degree in the Myanmar language ». Je travaille désormais comme enseignante au centre de jour de l’Armée du Salut. Je suis maintenant en mesure de me prendre en charge et de soutenir également ma famille. » Depuis quelques temps, Naw Mya Yadana est salutiste (membre de l’Armée du Salut) et s’engage pour son prochain et pour Dieu. « Je suis reconnaissante à l’Armée du Salut et en particulier à mon parrain de Suisse qui nous ont permis, à moi ainsi qu’à bien d’autres jeunes, de progresser dans la vie et de devenir les personnes que nous sommes aujourd’hui. Que Dieu les bénisse ! » De nombreux enfants au Myanmar sont orphelins à cause de la tuberculose, du sida et de la malaria. Ces enfants et ces jeunes ne doivent cependant pas être laissés de côté ni sombrer dans la détresse. Au Myanmar, l’Armée du Salut les accompagne au sein de différentes institutions et leur offre une prise en charge éducative, une formation, un appui pour les devoirs scolaires et des perspectives d’avenir.
Entre-temps, elles se sont bien acclimatées et leur comportement s’est également modifié. Elles sont joyeuses, aimables et se réjouissent de pouvoir vivre ici. Elles rencontrent même du succès à l’école. Il est réjouissant de constater comment la vie de ces filles s’est transformée. Nous en sommes reconnaissants à Dieu. »
Destin Olingou
Ruth C. Vincent Responsable des parrainages Kenya
Congo-Brazzaville
Destin Olingou est un garçon aveugle âgé de 13 ans qui vient d’Owando au Nord du Congo. Ses parents étaient partis à l’étranger sans lui et l’ont abandonné à son propre sort. Il a longtemps habité chez un ami, mais après un certain temps, celui-ci ne pouvait plus l’héberger. C’est ainsi que Destin a atterri à l’Institut social Yengue et que depuis, il fréquente l’école pour aveugle INAC de l’Armée du Salut. Là, il peut désormais suivre les cours. L’école INAC se charge également du transport et lui offre chaque jour un petit déjeuner. De cette manière, Destin a repris des forces et a développé un véritable enthousiasme pour l’école. A l’examen de fin d’études, il a atteint la première place de sa promotion.
Le Foyer pour enfants de Mombasa a été fondé en 1985 par des pionniers de l’Armée du Salut, dans le but de permettre à des orphelins de mener une vie digne. Bouleversés de voir des enfants fouiller les poubelles à la recherche d’aliments à peine mangeables et scandalisés à la vue des nourrissons abandonnés par leurs parents devant la porte de l’hôpital, ils furent poussés à agir. Le Foyer pour enfants accueille essentiellement des orphelins et des enfants issus de situations très défavorisées : 60 enfants au total de l’âge de cinq à quinze ans. Tous les enfants ont besoin de sécurité et d’amour, presque tous ayant souffert de multiples traumatismes.
Les enfants aveugles et malvoyants sont souvent désavantagés. Ils se heurtent non seulement à de nombreux obstacles dans leur vie de tous les jours, mais ils sont de plus confrontés à moult difficultés lors de leurs parcours scolaires. Au Congo-Brazzaville, l’Armée du Salut dirige l’Ecole pour aveugles INAC (Institut National des Aveugles Congo), dont l’objectif est d’octroyer une formation scolaire de qualité aux personnes aveugles également. L’école accueille 45 élèves âgés de 9 à 32 ans.
Nous dirigeons les programmes de parrainage suivants :
Des parrains et des marraines parlent de leur motivation à soutenir des enfants des pays du Sud au travers d’un parrainage de l’Armée du Salut.
« Je m’engage pour un parrainage, non pas pour tranquilliser ma conscience mais pour…. » Je suis marraine auprès de l’Armée du Salut parce que j’estime primordial que ma contribution n’aide pas seulement au bien-être matériel mais qu’elle serve aussi à transmettre la bonne nouvelle. De plus, je sais que l’Armée du Salut est une organisation qui utilisera mon argent à bon escient. Je m’engage pour un parrainage, non pas pour tranquilliser ma conscience mais pour témoigner ma reconnaissance pour tout ce dont je dispose et pour redonner un peu de ma richesse. J’ai tout ce dont j’ai besoin. En considérant ma richesse, ces 50 francs par mois représentent une bagatelle pour moi. Je suis de l’avis que ce sont les valeurs qui importent et non les possibilités financières. Chacun peut donner le montant qui lui est supportable. Pour moi, le parrainage a aussi sa raison d'être pour des raisons tout à fait pratiques. Si j’effectue un versement mensuellement, je ne l’oublierai pas mais si, par exemple, je prévois de faire un don une fois par an, ce ne sera jamais le mois opportun, lors duquel j’aurai juste de l’argent « en trop ». Au début, j’ai trouvé dommage qu’il n’y ait plus de parrainage individuel. Je trouvais que ce serait quand même bien de pouvoir soutenir « mon enfant ». Aujourd’hui pourtant, je suis contente que ma contribution ne profite pas seulement à un enfant, mais qu’elle soit utilisée là où le besoin est le plus urgent. Yvonne Burkhard, Gwatt
« L’argent bénéficie à plusieurs enfants. » Lors d’une manifestation de Mission & Développement se déroulant à Berne, un médecin du Congo-Kinshasa nous a parlé de la situation sur place. Cet exposé m’a tellement bouleversé que j’ai ensuite voulu m’engager pour un parrainage. Je m’engage pour un parrainage auprès de l’Armée du Salut car je suis membre de cette organisation et je lui accorde toute ma confiance. Au travers de ce parrainage, je souhaite rendre une partie de ce que Dieu m’a donné. Nous pouvons nous permettre tellement de choses et beaucoup de ces choses constituent un luxe. Cette contribution ne fait donc pas mal à mon porte-monnaie. C’est de bon cœur que je renonce à une part de mon bien-être pour que d’autres personnes aillent mieux aussi. A mon avis, l’avantage d’un parrainage est qu’il permet de soutenir financièrement un projet ou une institution de manière durable. En parrainant une institution, la manne récoltée bénéficie à plusieurs enfants. Simon Pfister, Vienne
Brésil • Foyer de jour pour les enfants de la rue • Crèche • Centre d’intégration • Centre Communautaire Haïti • 18 écoles primaires Inde • Ecole • Soutien aux familles
Kenya • Foyer pour enfants
Myanmar (Birmanie) • Foyers pour enfants
Congo-Brazzaville • Ecole pour aveugles
Panama • Foyer pour filles
Congo-Kinshasa • Foyer pour enfants • Ecole primaire
Philippines • Foyer pour enfants
Zimbabwe • Aide à la formation • Enfants touchés par le virus du sida
Sri Lanka • Foyer pour enfants • Soutien aux familles
Vous trouverez des renseignements concernant chaque parrainage sur notre site internet : www.armeedusalut.ch/mission
Devenez, vous aussi, parrain ou marraine et encouragez ainsi des enfants à sortir de la spirale de la pauvreté! Avec une contribution de 10 francs par mois, vous pouvez déjà participer et offrir un avenir meilleur à des enfants et leur famille. Inscrivez-vous au moyen du formulaire d’inscription ci-dessous ou directement par Internet sur notre site www.armeedusalut.ch/mission.
« Pourquoi est-ce que je ne devrais pas être solidaire ? » Il y a plus de dix ans, un récit, relatant la situation politique et économique au Sri Lanka, avait paru dans une publication de l’Armée du Salut et m’avait profondément touchée. Depuis lors, je parraine des enfants de ce pays. Comme je suis salutiste, il est tout naturel pour moi de donner une partie de mon argent à l’Armée du Salut. Nous avons nous-mêmes deux enfants et n’avons pas de soucis financiers. Pour quelle raison ne devrais-je pas être solidaire et soutenir d’autres personnes dont la situation est moins rose ? Je n’ai rien fait pour être née dans l’un des pays les plus riches de la terre. Je trouve qu’il est correct et professionnel que les contributions de parrainage ne soient pas allouées à un enfant en particulier mais plutôt à une institution. Les collaborateurs sur le terrain savent où l’argent est le plus nécessaire et où il peut être investi de la manière la plus sensée. Cornelia Zürrer Ritter, Zurich
Inscription pour un parrainage Coupon-réponse
A envoyer à : Quartier Général de l‘Armée du Salut, Mission & Développement, Laupenstrasse 5, Case postale 6575, 3001 Berne
Prénom:
Nom:
Rue: NPA / Lieu: Téléphone:
E-mail:
Je souhaite m’engager pour le parrainage suivant : A l’essai Mini Standard Individuel
10 francs par mois (durée : une année) 20 francs par mois (pour les petits budgets) 40 francs par mois francs par mois (plus de 40 francs)
Date, signature : Je suis intéressé(e) par un parrainage. Veuillez me faire parvenir des informations concernant le parrainage suivant : Veuillez prendre contact avec moi.
Naw Mya Yadana
Christine, Teresia et Priscilla
Myanmar
Kenya
Naw Mya Yadana est âgée de vingt-deux ans. « Je suis née au sein d’une famille pauvre dans le village de Aung Nan Cho, au centre du Myanmar. Mon père y travaillait dans l’agriculture pour subvenir à nos besoins. Il est décédé lorsque j’avais sept ans et nous a laissés, ma mère, moi et mes quatre frères et sœurs.
« Christine, Teresia et Priscilla sont des triplées. Leur mère célibataire n’était pas en mesure de s’occuper d’elles, ce qui les a conduites à vivre dans la rue dès leur plus jeune âge. Elles y ont été recueillies et amenées à l’Armée du Salut. C’est ainsi qu’elles ont atterri chez nous au Foyer pour enfants. Le début a été difficile : l’absence d’amour parental, de prise en charge et d’éducation ainsi que la vie dans la rue avaient marqué leur personnalité et leur comportement. Pour nous, il était important de leur témoigner beaucoup d’amour dès le départ.
Vu que ma mère ne pouvait guère subvenir aux besoins de toute la famille, elle m’a placée dans le Foyer pour filles de l’Armée du Salut à Rangoon. Elle savait que j’y serais bien encadrée et que j’y obtiendrais une bonne formation. » C’est ainsi que Naw Mya Yadana a grandi au Foyer pour filles de l’Armée du Salut. Grâce aux contributions de parrainage provenant de Suisse, elle a pu suivre l’école et, plus tard, l’université. « En été 2009, j’ai pu terminer mes études par un « Bachelor of Arts degree in the Myanmar language ». Je travaille désormais comme enseignante au centre de jour de l’Armée du Salut. Je suis maintenant en mesure de me prendre en charge et de soutenir également ma famille. » Depuis quelques temps, Naw Mya Yadana est salutiste (membre de l’Armée du Salut) et s’engage pour son prochain et pour Dieu. « Je suis reconnaissante à l’Armée du Salut et en particulier à mon parrain de Suisse qui nous ont permis, à moi ainsi qu’à bien d’autres jeunes, de progresser dans la vie et de devenir les personnes que nous sommes aujourd’hui. Que Dieu les bénisse ! » De nombreux enfants au Myanmar sont orphelins à cause de la tuberculose, du sida et de la malaria. Ces enfants et ces jeunes ne doivent cependant pas être laissés de côté ni sombrer dans la détresse. Au Myanmar, l’Armée du Salut les accompagne au sein de différentes institutions et leur offre une prise en charge éducative, une formation, un appui pour les devoirs scolaires et des perspectives d’avenir.
Entre-temps, elles se sont bien acclimatées et leur comportement s’est également modifié. Elles sont joyeuses, aimables et se réjouissent de pouvoir vivre ici. Elles rencontrent même du succès à l’école. Il est réjouissant de constater comment la vie de ces filles s’est transformée. Nous en sommes reconnaissants à Dieu. »
Destin Olingou
Ruth C. Vincent Responsable des parrainages Kenya
Congo-Brazzaville
Destin Olingou est un garçon aveugle âgé de 13 ans qui vient d’Owando au Nord du Congo. Ses parents étaient partis à l’étranger sans lui et l’ont abandonné à son propre sort. Il a longtemps habité chez un ami, mais après un certain temps, celui-ci ne pouvait plus l’héberger. C’est ainsi que Destin a atterri à l’Institut social Yengue et que depuis, il fréquente l’école pour aveugle INAC de l’Armée du Salut. Là, il peut désormais suivre les cours. L’école INAC se charge également du transport et lui offre chaque jour un petit déjeuner. De cette manière, Destin a repris des forces et a développé un véritable enthousiasme pour l’école. A l’examen de fin d’études, il a atteint la première place de sa promotion.
Le Foyer pour enfants de Mombasa a été fondé en 1985 par des pionniers de l’Armée du Salut, dans le but de permettre à des orphelins de mener une vie digne. Bouleversés de voir des enfants fouiller les poubelles à la recherche d’aliments à peine mangeables et scandalisés à la vue des nourrissons abandonnés par leurs parents devant la porte de l’hôpital, ils furent poussés à agir. Le Foyer pour enfants accueille essentiellement des orphelins et des enfants issus de situations très défavorisées : 60 enfants au total de l’âge de cinq à quinze ans. Tous les enfants ont besoin de sécurité et d’amour, presque tous ayant souffert de multiples traumatismes.
Les enfants aveugles et malvoyants sont souvent désavantagés. Ils se heurtent non seulement à de nombreux obstacles dans leur vie de tous les jours, mais ils sont de plus confrontés à moult difficultés lors de leurs parcours scolaires. Au Congo-Brazzaville, l’Armée du Salut dirige l’Ecole pour aveugles INAC (Institut National des Aveugles Congo), dont l’objectif est d’octroyer une formation scolaire de qualité aux personnes aveugles également. L’école accueille 45 élèves âgés de 9 à 32 ans.
Nous dirigeons les programmes de parrainage suivants :
Des parrains et des marraines parlent de leur motivation à soutenir des enfants des pays du Sud au travers d’un parrainage de l’Armée du Salut.
« Je m’engage pour un parrainage, non pas pour tranquilliser ma conscience mais pour…. » Je suis marraine auprès de l’Armée du Salut parce que j’estime primordial que ma contribution n’aide pas seulement au bien-être matériel mais qu’elle serve aussi à transmettre la bonne nouvelle. De plus, je sais que l’Armée du Salut est une organisation qui utilisera mon argent à bon escient. Je m’engage pour un parrainage, non pas pour tranquilliser ma conscience mais pour témoigner ma reconnaissance pour tout ce dont je dispose et pour redonner un peu de ma richesse. J’ai tout ce dont j’ai besoin. En considérant ma richesse, ces 50 francs par mois représentent une bagatelle pour moi. Je suis de l’avis que ce sont les valeurs qui importent et non les possibilités financières. Chacun peut donner le montant qui lui est supportable. Pour moi, le parrainage a aussi sa raison d'être pour des raisons tout à fait pratiques. Si j’effectue un versement mensuellement, je ne l’oublierai pas mais si, par exemple, je prévois de faire un don une fois par an, ce ne sera jamais le mois opportun, lors duquel j’aurai juste de l’argent « en trop ». Au début, j’ai trouvé dommage qu’il n’y ait plus de parrainage individuel. Je trouvais que ce serait quand même bien de pouvoir soutenir « mon enfant ». Aujourd’hui pourtant, je suis contente que ma contribution ne profite pas seulement à un enfant, mais qu’elle soit utilisée là où le besoin est le plus urgent. Yvonne Burkhard, Gwatt
« L’argent bénéficie à plusieurs enfants. » Lors d’une manifestation de Mission & Développement se déroulant à Berne, un médecin du Congo-Kinshasa nous a parlé de la situation sur place. Cet exposé m’a tellement bouleversé que j’ai ensuite voulu m’engager pour un parrainage. Je m’engage pour un parrainage auprès de l’Armée du Salut car je suis membre de cette organisation et je lui accorde toute ma confiance. Au travers de ce parrainage, je souhaite rendre une partie de ce que Dieu m’a donné. Nous pouvons nous permettre tellement de choses et beaucoup de ces choses constituent un luxe. Cette contribution ne fait donc pas mal à mon porte-monnaie. C’est de bon cœur que je renonce à une part de mon bien-être pour que d’autres personnes aillent mieux aussi. A mon avis, l’avantage d’un parrainage est qu’il permet de soutenir financièrement un projet ou une institution de manière durable. En parrainant une institution, la manne récoltée bénéficie à plusieurs enfants. Simon Pfister, Vienne
Brésil • Foyer de jour pour les enfants de la rue • Crèche • Centre d’intégration • Centre Communautaire Haïti • 18 écoles primaires Inde • Ecole • Soutien aux familles
Kenya • Foyer pour enfants
Myanmar (Birmanie) • Foyers pour enfants
Congo-Brazzaville • Ecole pour aveugles
Panama • Foyer pour filles
Congo-Kinshasa • Foyer pour enfants • Ecole primaire
Philippines • Foyer pour enfants
Zimbabwe • Aide à la formation • Enfants touchés par le virus du sida
Sri Lanka • Foyer pour enfants • Soutien aux familles
Vous trouverez des renseignements concernant chaque parrainage sur notre site internet : www.armeedusalut.ch/mission
Devenez, vous aussi, parrain ou marraine et encouragez ainsi des enfants à sortir de la spirale de la pauvreté! Avec une contribution de 10 francs par mois, vous pouvez déjà participer et offrir un avenir meilleur à des enfants et leur famille. Inscrivez-vous au moyen du formulaire d’inscription ci-dessous ou directement par Internet sur notre site www.armeedusalut.ch/mission.
« Pourquoi est-ce que je ne devrais pas être solidaire ? » Il y a plus de dix ans, un récit, relatant la situation politique et économique au Sri Lanka, avait paru dans une publication de l’Armée du Salut et m’avait profondément touchée. Depuis lors, je parraine des enfants de ce pays. Comme je suis salutiste, il est tout naturel pour moi de donner une partie de mon argent à l’Armée du Salut. Nous avons nous-mêmes deux enfants et n’avons pas de soucis financiers. Pour quelle raison ne devrais-je pas être solidaire et soutenir d’autres personnes dont la situation est moins rose ? Je n’ai rien fait pour être née dans l’un des pays les plus riches de la terre. Je trouve qu’il est correct et professionnel que les contributions de parrainage ne soient pas allouées à un enfant en particulier mais plutôt à une institution. Les collaborateurs sur le terrain savent où l’argent est le plus nécessaire et où il peut être investi de la manière la plus sensée. Cornelia Zürrer Ritter, Zurich
Inscription pour un parrainage Coupon-réponse
A envoyer à : Quartier Général de l‘Armée du Salut, Mission & Développement, Laupenstrasse 5, Case postale 6575, 3001 Berne
Prénom:
Nom:
Rue: NPA / Lieu: Téléphone:
E-mail:
Je souhaite m’engager pour le parrainage suivant : A l’essai Mini Standard Individuel
10 francs par mois (durée : une année) 20 francs par mois (pour les petits budgets) 40 francs par mois francs par mois (plus de 40 francs)
Date, signature : Je suis intéressé(e) par un parrainage. Veuillez me faire parvenir des informations concernant le parrainage suivant : Veuillez prendre contact avec moi.
Naw Mya Yadana
Christine, Teresia et Priscilla
Myanmar
Kenya
Naw Mya Yadana est âgée de vingt-deux ans. « Je suis née au sein d’une famille pauvre dans le village de Aung Nan Cho, au centre du Myanmar. Mon père y travaillait dans l’agriculture pour subvenir à nos besoins. Il est décédé lorsque j’avais sept ans et nous a laissés, ma mère, moi et mes quatre frères et sœurs.
« Christine, Teresia et Priscilla sont des triplées. Leur mère célibataire n’était pas en mesure de s’occuper d’elles, ce qui les a conduites à vivre dans la rue dès leur plus jeune âge. Elles y ont été recueillies et amenées à l’Armée du Salut. C’est ainsi qu’elles ont atterri chez nous au Foyer pour enfants. Le début a été difficile : l’absence d’amour parental, de prise en charge et d’éducation ainsi que la vie dans la rue avaient marqué leur personnalité et leur comportement. Pour nous, il était important de leur témoigner beaucoup d’amour dès le départ.
Vu que ma mère ne pouvait guère subvenir aux besoins de toute la famille, elle m’a placée dans le Foyer pour filles de l’Armée du Salut à Rangoon. Elle savait que j’y serais bien encadrée et que j’y obtiendrais une bonne formation. » C’est ainsi que Naw Mya Yadana a grandi au Foyer pour filles de l’Armée du Salut. Grâce aux contributions de parrainage provenant de Suisse, elle a pu suivre l’école et, plus tard, l’université. « En été 2009, j’ai pu terminer mes études par un « Bachelor of Arts degree in the Myanmar language ». Je travaille désormais comme enseignante au centre de jour de l’Armée du Salut. Je suis maintenant en mesure de me prendre en charge et de soutenir également ma famille. » Depuis quelques temps, Naw Mya Yadana est salutiste (membre de l’Armée du Salut) et s’engage pour son prochain et pour Dieu. « Je suis reconnaissante à l’Armée du Salut et en particulier à mon parrain de Suisse qui nous ont permis, à moi ainsi qu’à bien d’autres jeunes, de progresser dans la vie et de devenir les personnes que nous sommes aujourd’hui. Que Dieu les bénisse ! » De nombreux enfants au Myanmar sont orphelins à cause de la tuberculose, du sida et de la malaria. Ces enfants et ces jeunes ne doivent cependant pas être laissés de côté ni sombrer dans la détresse. Au Myanmar, l’Armée du Salut les accompagne au sein de différentes institutions et leur offre une prise en charge éducative, une formation, un appui pour les devoirs scolaires et des perspectives d’avenir.
Entre-temps, elles se sont bien acclimatées et leur comportement s’est également modifié. Elles sont joyeuses, aimables et se réjouissent de pouvoir vivre ici. Elles rencontrent même du succès à l’école. Il est réjouissant de constater comment la vie de ces filles s’est transformée. Nous en sommes reconnaissants à Dieu. »
Destin Olingou
Ruth C. Vincent Responsable des parrainages Kenya
Congo-Brazzaville
Destin Olingou est un garçon aveugle âgé de 13 ans qui vient d’Owando au Nord du Congo. Ses parents étaient partis à l’étranger sans lui et l’ont abandonné à son propre sort. Il a longtemps habité chez un ami, mais après un certain temps, celui-ci ne pouvait plus l’héberger. C’est ainsi que Destin a atterri à l’Institut social Yengue et que depuis, il fréquente l’école pour aveugle INAC de l’Armée du Salut. Là, il peut désormais suivre les cours. L’école INAC se charge également du transport et lui offre chaque jour un petit déjeuner. De cette manière, Destin a repris des forces et a développé un véritable enthousiasme pour l’école. A l’examen de fin d’études, il a atteint la première place de sa promotion.
Le Foyer pour enfants de Mombasa a été fondé en 1985 par des pionniers de l’Armée du Salut, dans le but de permettre à des orphelins de mener une vie digne. Bouleversés de voir des enfants fouiller les poubelles à la recherche d’aliments à peine mangeables et scandalisés à la vue des nourrissons abandonnés par leurs parents devant la porte de l’hôpital, ils furent poussés à agir. Le Foyer pour enfants accueille essentiellement des orphelins et des enfants issus de situations très défavorisées : 60 enfants au total de l’âge de cinq à quinze ans. Tous les enfants ont besoin de sécurité et d’amour, presque tous ayant souffert de multiples traumatismes.
Les enfants aveugles et malvoyants sont souvent désavantagés. Ils se heurtent non seulement à de nombreux obstacles dans leur vie de tous les jours, mais ils sont de plus confrontés à moult difficultés lors de leurs parcours scolaires. Au Congo-Brazzaville, l’Armée du Salut dirige l’Ecole pour aveugles INAC (Institut National des Aveugles Congo), dont l’objectif est d’octroyer une formation scolaire de qualité aux personnes aveugles également. L’école accueille 45 élèves âgés de 9 à 32 ans.
Nous dirigeons les programmes de parrainage suivants :
Des parrains et des marraines parlent de leur motivation à soutenir des enfants des pays du Sud au travers d’un parrainage de l’Armée du Salut.
« Je m’engage pour un parrainage, non pas pour tranquilliser ma conscience mais pour…. » Je suis marraine auprès de l’Armée du Salut parce que j’estime primordial que ma contribution n’aide pas seulement au bien-être matériel mais qu’elle serve aussi à transmettre la bonne nouvelle. De plus, je sais que l’Armée du Salut est une organisation qui utilisera mon argent à bon escient. Je m’engage pour un parrainage, non pas pour tranquilliser ma conscience mais pour témoigner ma reconnaissance pour tout ce dont je dispose et pour redonner un peu de ma richesse. J’ai tout ce dont j’ai besoin. En considérant ma richesse, ces 50 francs par mois représentent une bagatelle pour moi. Je suis de l’avis que ce sont les valeurs qui importent et non les possibilités financières. Chacun peut donner le montant qui lui est supportable. Pour moi, le parrainage a aussi sa raison d'être pour des raisons tout à fait pratiques. Si j’effectue un versement mensuellement, je ne l’oublierai pas mais si, par exemple, je prévois de faire un don une fois par an, ce ne sera jamais le mois opportun, lors duquel j’aurai juste de l’argent « en trop ». Au début, j’ai trouvé dommage qu’il n’y ait plus de parrainage individuel. Je trouvais que ce serait quand même bien de pouvoir soutenir « mon enfant ». Aujourd’hui pourtant, je suis contente que ma contribution ne profite pas seulement à un enfant, mais qu’elle soit utilisée là où le besoin est le plus urgent. Yvonne Burkhard, Gwatt
« L’argent bénéficie à plusieurs enfants. » Lors d’une manifestation de Mission & Développement se déroulant à Berne, un médecin du Congo-Kinshasa nous a parlé de la situation sur place. Cet exposé m’a tellement bouleversé que j’ai ensuite voulu m’engager pour un parrainage. Je m’engage pour un parrainage auprès de l’Armée du Salut car je suis membre de cette organisation et je lui accorde toute ma confiance. Au travers de ce parrainage, je souhaite rendre une partie de ce que Dieu m’a donné. Nous pouvons nous permettre tellement de choses et beaucoup de ces choses constituent un luxe. Cette contribution ne fait donc pas mal à mon porte-monnaie. C’est de bon cœur que je renonce à une part de mon bien-être pour que d’autres personnes aillent mieux aussi. A mon avis, l’avantage d’un parrainage est qu’il permet de soutenir financièrement un projet ou une institution de manière durable. En parrainant une institution, la manne récoltée bénéficie à plusieurs enfants. Simon Pfister, Vienne
Brésil • Foyer de jour pour les enfants de la rue • Crèche • Centre d’intégration • Centre Communautaire Haïti • 18 écoles primaires Inde • Ecole • Soutien aux familles
Kenya • Foyer pour enfants
Myanmar (Birmanie) • Foyers pour enfants
Congo-Brazzaville • Ecole pour aveugles
Panama • Foyer pour filles
Congo-Kinshasa • Foyer pour enfants • Ecole primaire
Philippines • Foyer pour enfants
Zimbabwe • Aide à la formation • Enfants touchés par le virus du sida
Sri Lanka • Foyer pour enfants • Soutien aux familles
Vous trouverez des renseignements concernant chaque parrainage sur notre site internet : www.armeedusalut.ch/mission
Devenez, vous aussi, parrain ou marraine et encouragez ainsi des enfants à sortir de la spirale de la pauvreté! Avec une contribution de 10 francs par mois, vous pouvez déjà participer et offrir un avenir meilleur à des enfants et leur famille. Inscrivez-vous au moyen du formulaire d’inscription ci-dessous ou directement par Internet sur notre site www.armeedusalut.ch/mission.
« Pourquoi est-ce que je ne devrais pas être solidaire ? » Il y a plus de dix ans, un récit, relatant la situation politique et économique au Sri Lanka, avait paru dans une publication de l’Armée du Salut et m’avait profondément touchée. Depuis lors, je parraine des enfants de ce pays. Comme je suis salutiste, il est tout naturel pour moi de donner une partie de mon argent à l’Armée du Salut. Nous avons nous-mêmes deux enfants et n’avons pas de soucis financiers. Pour quelle raison ne devrais-je pas être solidaire et soutenir d’autres personnes dont la situation est moins rose ? Je n’ai rien fait pour être née dans l’un des pays les plus riches de la terre. Je trouve qu’il est correct et professionnel que les contributions de parrainage ne soient pas allouées à un enfant en particulier mais plutôt à une institution. Les collaborateurs sur le terrain savent où l’argent est le plus nécessaire et où il peut être investi de la manière la plus sensée. Cornelia Zürrer Ritter, Zurich
Inscription pour un parrainage Coupon-réponse
A envoyer à : Quartier Général de l‘Armée du Salut, Mission & Développement, Laupenstrasse 5, Case postale 6575, 3001 Berne
Prénom:
Nom:
Rue: NPA / Lieu: Téléphone:
E-mail:
Je souhaite m’engager pour le parrainage suivant : A l’essai Mini Standard Individuel
10 francs par mois (durée : une année) 20 francs par mois (pour les petits budgets) 40 francs par mois francs par mois (plus de 40 francs)
Date, signature : Je suis intéressé(e) par un parrainage. Veuillez me faire parvenir des informations concernant le parrainage suivant : Veuillez prendre contact avec moi.
Naw Mya Yadana
Christine, Teresia et Priscilla
Myanmar
Kenya
Naw Mya Yadana est âgée de vingt-deux ans. « Je suis née au sein d’une famille pauvre dans le village de Aung Nan Cho, au centre du Myanmar. Mon père y travaillait dans l’agriculture pour subvenir à nos besoins. Il est décédé lorsque j’avais sept ans et nous a laissés, ma mère, moi et mes quatre frères et sœurs.
« Christine, Teresia et Priscilla sont des triplées. Leur mère célibataire n’était pas en mesure de s’occuper d’elles, ce qui les a conduites à vivre dans la rue dès leur plus jeune âge. Elles y ont été recueillies et amenées à l’Armée du Salut. C’est ainsi qu’elles ont atterri chez nous au Foyer pour enfants. Le début a été difficile : l’absence d’amour parental, de prise en charge et d’éducation ainsi que la vie dans la rue avaient marqué leur personnalité et leur comportement. Pour nous, il était important de leur témoigner beaucoup d’amour dès le départ.
Vu que ma mère ne pouvait guère subvenir aux besoins de toute la famille, elle m’a placée dans le Foyer pour filles de l’Armée du Salut à Rangoon. Elle savait que j’y serais bien encadrée et que j’y obtiendrais une bonne formation. » C’est ainsi que Naw Mya Yadana a grandi au Foyer pour filles de l’Armée du Salut. Grâce aux contributions de parrainage provenant de Suisse, elle a pu suivre l’école et, plus tard, l’université. « En été 2009, j’ai pu terminer mes études par un « Bachelor of Arts degree in the Myanmar language ». Je travaille désormais comme enseignante au centre de jour de l’Armée du Salut. Je suis maintenant en mesure de me prendre en charge et de soutenir également ma famille. » Depuis quelques temps, Naw Mya Yadana est salutiste (membre de l’Armée du Salut) et s’engage pour son prochain et pour Dieu. « Je suis reconnaissante à l’Armée du Salut et en particulier à mon parrain de Suisse qui nous ont permis, à moi ainsi qu’à bien d’autres jeunes, de progresser dans la vie et de devenir les personnes que nous sommes aujourd’hui. Que Dieu les bénisse ! » De nombreux enfants au Myanmar sont orphelins à cause de la tuberculose, du sida et de la malaria. Ces enfants et ces jeunes ne doivent cependant pas être laissés de côté ni sombrer dans la détresse. Au Myanmar, l’Armée du Salut les accompagne au sein de différentes institutions et leur offre une prise en charge éducative, une formation, un appui pour les devoirs scolaires et des perspectives d’avenir.
Entre-temps, elles se sont bien acclimatées et leur comportement s’est également modifié. Elles sont joyeuses, aimables et se réjouissent de pouvoir vivre ici. Elles rencontrent même du succès à l’école. Il est réjouissant de constater comment la vie de ces filles s’est transformée. Nous en sommes reconnaissants à Dieu. »
Destin Olingou
Ruth C. Vincent Responsable des parrainages Kenya
Congo-Brazzaville
Destin Olingou est un garçon aveugle âgé de 13 ans qui vient d’Owando au Nord du Congo. Ses parents étaient partis à l’étranger sans lui et l’ont abandonné à son propre sort. Il a longtemps habité chez un ami, mais après un certain temps, celui-ci ne pouvait plus l’héberger. C’est ainsi que Destin a atterri à l’Institut social Yengue et que depuis, il fréquente l’école pour aveugle INAC de l’Armée du Salut. Là, il peut désormais suivre les cours. L’école INAC se charge également du transport et lui offre chaque jour un petit déjeuner. De cette manière, Destin a repris des forces et a développé un véritable enthousiasme pour l’école. A l’examen de fin d’études, il a atteint la première place de sa promotion.
Le Foyer pour enfants de Mombasa a été fondé en 1985 par des pionniers de l’Armée du Salut, dans le but de permettre à des orphelins de mener une vie digne. Bouleversés de voir des enfants fouiller les poubelles à la recherche d’aliments à peine mangeables et scandalisés à la vue des nourrissons abandonnés par leurs parents devant la porte de l’hôpital, ils furent poussés à agir. Le Foyer pour enfants accueille essentiellement des orphelins et des enfants issus de situations très défavorisées : 60 enfants au total de l’âge de cinq à quinze ans. Tous les enfants ont besoin de sécurité et d’amour, presque tous ayant souffert de multiples traumatismes.
Les enfants aveugles et malvoyants sont souvent désavantagés. Ils se heurtent non seulement à de nombreux obstacles dans leur vie de tous les jours, mais ils sont de plus confrontés à moult difficultés lors de leurs parcours scolaires. Au Congo-Brazzaville, l’Armée du Salut dirige l’Ecole pour aveugles INAC (Institut National des Aveugles Congo), dont l’objectif est d’octroyer une formation scolaire de qualité aux personnes aveugles également. L’école accueille 45 élèves âgés de 9 à 32 ans.
Nous dirigeons les programmes de parrainage suivants :
Des parrains et des marraines parlent de leur motivation à soutenir des enfants des pays du Sud au travers d’un parrainage de l’Armée du Salut.
« Je m’engage pour un parrainage, non pas pour tranquilliser ma conscience mais pour…. » Je suis marraine auprès de l’Armée du Salut parce que j’estime primordial que ma contribution n’aide pas seulement au bien-être matériel mais qu’elle serve aussi à transmettre la bonne nouvelle. De plus, je sais que l’Armée du Salut est une organisation qui utilisera mon argent à bon escient. Je m’engage pour un parrainage, non pas pour tranquilliser ma conscience mais pour témoigner ma reconnaissance pour tout ce dont je dispose et pour redonner un peu de ma richesse. J’ai tout ce dont j’ai besoin. En considérant ma richesse, ces 50 francs par mois représentent une bagatelle pour moi. Je suis de l’avis que ce sont les valeurs qui importent et non les possibilités financières. Chacun peut donner le montant qui lui est supportable. Pour moi, le parrainage a aussi sa raison d'être pour des raisons tout à fait pratiques. Si j’effectue un versement mensuellement, je ne l’oublierai pas mais si, par exemple, je prévois de faire un don une fois par an, ce ne sera jamais le mois opportun, lors duquel j’aurai juste de l’argent « en trop ». Au début, j’ai trouvé dommage qu’il n’y ait plus de parrainage individuel. Je trouvais que ce serait quand même bien de pouvoir soutenir « mon enfant ». Aujourd’hui pourtant, je suis contente que ma contribution ne profite pas seulement à un enfant, mais qu’elle soit utilisée là où le besoin est le plus urgent. Yvonne Burkhard, Gwatt
« L’argent bénéficie à plusieurs enfants. » Lors d’une manifestation de Mission & Développement se déroulant à Berne, un médecin du Congo-Kinshasa nous a parlé de la situation sur place. Cet exposé m’a tellement bouleversé que j’ai ensuite voulu m’engager pour un parrainage. Je m’engage pour un parrainage auprès de l’Armée du Salut car je suis membre de cette organisation et je lui accorde toute ma confiance. Au travers de ce parrainage, je souhaite rendre une partie de ce que Dieu m’a donné. Nous pouvons nous permettre tellement de choses et beaucoup de ces choses constituent un luxe. Cette contribution ne fait donc pas mal à mon porte-monnaie. C’est de bon cœur que je renonce à une part de mon bien-être pour que d’autres personnes aillent mieux aussi. A mon avis, l’avantage d’un parrainage est qu’il permet de soutenir financièrement un projet ou une institution de manière durable. En parrainant une institution, la manne récoltée bénéficie à plusieurs enfants. Simon Pfister, Vienne
Brésil • Foyer de jour pour les enfants de la rue • Crèche • Centre d’intégration • Centre Communautaire Haïti • 18 écoles primaires Inde • Ecole • Soutien aux familles
Kenya • Foyer pour enfants
Myanmar (Birmanie) • Foyers pour enfants
Congo-Brazzaville • Ecole pour aveugles
Panama • Foyer pour filles
Congo-Kinshasa • Foyer pour enfants • Ecole primaire
Philippines • Foyer pour enfants
Zimbabwe • Aide à la formation • Enfants touchés par le virus du sida
Sri Lanka • Foyer pour enfants • Soutien aux familles
Vous trouverez des renseignements concernant chaque parrainage sur notre site internet : www.armeedusalut.ch/mission
Devenez, vous aussi, parrain ou marraine et encouragez ainsi des enfants à sortir de la spirale de la pauvreté! Avec une contribution de 10 francs par mois, vous pouvez déjà participer et offrir un avenir meilleur à des enfants et leur famille. Inscrivez-vous au moyen du formulaire d’inscription ci-dessous ou directement par Internet sur notre site www.armeedusalut.ch/mission.
« Pourquoi est-ce que je ne devrais pas être solidaire ? » Il y a plus de dix ans, un récit, relatant la situation politique et économique au Sri Lanka, avait paru dans une publication de l’Armée du Salut et m’avait profondément touchée. Depuis lors, je parraine des enfants de ce pays. Comme je suis salutiste, il est tout naturel pour moi de donner une partie de mon argent à l’Armée du Salut. Nous avons nous-mêmes deux enfants et n’avons pas de soucis financiers. Pour quelle raison ne devrais-je pas être solidaire et soutenir d’autres personnes dont la situation est moins rose ? Je n’ai rien fait pour être née dans l’un des pays les plus riches de la terre. Je trouve qu’il est correct et professionnel que les contributions de parrainage ne soient pas allouées à un enfant en particulier mais plutôt à une institution. Les collaborateurs sur le terrain savent où l’argent est le plus nécessaire et où il peut être investi de la manière la plus sensée. Cornelia Zürrer Ritter, Zurich
Inscription pour un parrainage Coupon-réponse
A envoyer à : Quartier Général de l‘Armée du Salut, Mission & Développement, Laupenstrasse 5, Case postale 6575, 3001 Berne
Prénom:
Nom:
Rue: NPA / Lieu: Téléphone:
E-mail:
Je souhaite m’engager pour le parrainage suivant : A l’essai Mini Standard Individuel
10 francs par mois (durée : une année) 20 francs par mois (pour les petits budgets) 40 francs par mois francs par mois (plus de 40 francs)
Date, signature : Je suis intéressé(e) par un parrainage. Veuillez me faire parvenir des informations concernant le parrainage suivant : Veuillez prendre contact avec moi.
Naw Mya Yadana
Christine, Teresia et Priscilla
Myanmar
Kenya
Naw Mya Yadana est âgée de vingt-deux ans. « Je suis née au sein d’une famille pauvre dans le village de Aung Nan Cho, au centre du Myanmar. Mon père y travaillait dans l’agriculture pour subvenir à nos besoins. Il est décédé lorsque j’avais sept ans et nous a laissés, ma mère, moi et mes quatre frères et sœurs.
« Christine, Teresia et Priscilla sont des triplées. Leur mère célibataire n’était pas en mesure de s’occuper d’elles, ce qui les a conduites à vivre dans la rue dès leur plus jeune âge. Elles y ont été recueillies et amenées à l’Armée du Salut. C’est ainsi qu’elles ont atterri chez nous au Foyer pour enfants. Le début a été difficile : l’absence d’amour parental, de prise en charge et d’éducation ainsi que la vie dans la rue avaient marqué leur personnalité et leur comportement. Pour nous, il était important de leur témoigner beaucoup d’amour dès le départ.
Vu que ma mère ne pouvait guère subvenir aux besoins de toute la famille, elle m’a placée dans le Foyer pour filles de l’Armée du Salut à Rangoon. Elle savait que j’y serais bien encadrée et que j’y obtiendrais une bonne formation. » C’est ainsi que Naw Mya Yadana a grandi au Foyer pour filles de l’Armée du Salut. Grâce aux contributions de parrainage provenant de Suisse, elle a pu suivre l’école et, plus tard, l’université. « En été 2009, j’ai pu terminer mes études par un « Bachelor of Arts degree in the Myanmar language ». Je travaille désormais comme enseignante au centre de jour de l’Armée du Salut. Je suis maintenant en mesure de me prendre en charge et de soutenir également ma famille. » Depuis quelques temps, Naw Mya Yadana est salutiste (membre de l’Armée du Salut) et s’engage pour son prochain et pour Dieu. « Je suis reconnaissante à l’Armée du Salut et en particulier à mon parrain de Suisse qui nous ont permis, à moi ainsi qu’à bien d’autres jeunes, de progresser dans la vie et de devenir les personnes que nous sommes aujourd’hui. Que Dieu les bénisse ! » De nombreux enfants au Myanmar sont orphelins à cause de la tuberculose, du sida et de la malaria. Ces enfants et ces jeunes ne doivent cependant pas être laissés de côté ni sombrer dans la détresse. Au Myanmar, l’Armée du Salut les accompagne au sein de différentes institutions et leur offre une prise en charge éducative, une formation, un appui pour les devoirs scolaires et des perspectives d’avenir.
Entre-temps, elles se sont bien acclimatées et leur comportement s’est également modifié. Elles sont joyeuses, aimables et se réjouissent de pouvoir vivre ici. Elles rencontrent même du succès à l’école. Il est réjouissant de constater comment la vie de ces filles s’est transformée. Nous en sommes reconnaissants à Dieu. »
Destin Olingou
Ruth C. Vincent Responsable des parrainages Kenya
Congo-Brazzaville
Destin Olingou est un garçon aveugle âgé de 13 ans qui vient d’Owando au Nord du Congo. Ses parents étaient partis à l’étranger sans lui et l’ont abandonné à son propre sort. Il a longtemps habité chez un ami, mais après un certain temps, celui-ci ne pouvait plus l’héberger. C’est ainsi que Destin a atterri à l’Institut social Yengue et que depuis, il fréquente l’école pour aveugle INAC de l’Armée du Salut. Là, il peut désormais suivre les cours. L’école INAC se charge également du transport et lui offre chaque jour un petit déjeuner. De cette manière, Destin a repris des forces et a développé un véritable enthousiasme pour l’école. A l’examen de fin d’études, il a atteint la première place de sa promotion.
Le Foyer pour enfants de Mombasa a été fondé en 1985 par des pionniers de l’Armée du Salut, dans le but de permettre à des orphelins de mener une vie digne. Bouleversés de voir des enfants fouiller les poubelles à la recherche d’aliments à peine mangeables et scandalisés à la vue des nourrissons abandonnés par leurs parents devant la porte de l’hôpital, ils furent poussés à agir. Le Foyer pour enfants accueille essentiellement des orphelins et des enfants issus de situations très défavorisées : 60 enfants au total de l’âge de cinq à quinze ans. Tous les enfants ont besoin de sécurité et d’amour, presque tous ayant souffert de multiples traumatismes.
Les enfants aveugles et malvoyants sont souvent désavantagés. Ils se heurtent non seulement à de nombreux obstacles dans leur vie de tous les jours, mais ils sont de plus confrontés à moult difficultés lors de leurs parcours scolaires. Au Congo-Brazzaville, l’Armée du Salut dirige l’Ecole pour aveugles INAC (Institut National des Aveugles Congo), dont l’objectif est d’octroyer une formation scolaire de qualité aux personnes aveugles également. L’école accueille 45 élèves âgés de 9 à 32 ans.
Nous dirigeons les programmes de parrainage suivants :
Des parrains et des marraines parlent de leur motivation à soutenir des enfants des pays du Sud au travers d’un parrainage de l’Armée du Salut.
« Je m’engage pour un parrainage, non pas pour tranquilliser ma conscience mais pour…. » Je suis marraine auprès de l’Armée du Salut parce que j’estime primordial que ma contribution n’aide pas seulement au bien-être matériel mais qu’elle serve aussi à transmettre la bonne nouvelle. De plus, je sais que l’Armée du Salut est une organisation qui utilisera mon argent à bon escient. Je m’engage pour un parrainage, non pas pour tranquilliser ma conscience mais pour témoigner ma reconnaissance pour tout ce dont je dispose et pour redonner un peu de ma richesse. J’ai tout ce dont j’ai besoin. En considérant ma richesse, ces 50 francs par mois représentent une bagatelle pour moi. Je suis de l’avis que ce sont les valeurs qui importent et non les possibilités financières. Chacun peut donner le montant qui lui est supportable. Pour moi, le parrainage a aussi sa raison d'être pour des raisons tout à fait pratiques. Si j’effectue un versement mensuellement, je ne l’oublierai pas mais si, par exemple, je prévois de faire un don une fois par an, ce ne sera jamais le mois opportun, lors duquel j’aurai juste de l’argent « en trop ». Au début, j’ai trouvé dommage qu’il n’y ait plus de parrainage individuel. Je trouvais que ce serait quand même bien de pouvoir soutenir « mon enfant ». Aujourd’hui pourtant, je suis contente que ma contribution ne profite pas seulement à un enfant, mais qu’elle soit utilisée là où le besoin est le plus urgent. Yvonne Burkhard, Gwatt
« L’argent bénéficie à plusieurs enfants. » Lors d’une manifestation de Mission & Développement se déroulant à Berne, un médecin du Congo-Kinshasa nous a parlé de la situation sur place. Cet exposé m’a tellement bouleversé que j’ai ensuite voulu m’engager pour un parrainage. Je m’engage pour un parrainage auprès de l’Armée du Salut car je suis membre de cette organisation et je lui accorde toute ma confiance. Au travers de ce parrainage, je souhaite rendre une partie de ce que Dieu m’a donné. Nous pouvons nous permettre tellement de choses et beaucoup de ces choses constituent un luxe. Cette contribution ne fait donc pas mal à mon porte-monnaie. C’est de bon cœur que je renonce à une part de mon bien-être pour que d’autres personnes aillent mieux aussi. A mon avis, l’avantage d’un parrainage est qu’il permet de soutenir financièrement un projet ou une institution de manière durable. En parrainant une institution, la manne récoltée bénéficie à plusieurs enfants. Simon Pfister, Vienne
Brésil • Foyer de jour pour les enfants de la rue • Crèche • Centre d’intégration • Centre Communautaire Haïti • 18 écoles primaires Inde • Ecole • Soutien aux familles
Kenya • Foyer pour enfants
Myanmar (Birmanie) • Foyers pour enfants
Congo-Brazzaville • Ecole pour aveugles
Panama • Foyer pour filles
Congo-Kinshasa • Foyer pour enfants • Ecole primaire
Philippines • Foyer pour enfants
Zimbabwe • Aide à la formation • Enfants touchés par le virus du sida
Sri Lanka • Foyer pour enfants • Soutien aux familles
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Devenez, vous aussi, parrain ou marraine et encouragez ainsi des enfants à sortir de la spirale de la pauvreté! Avec une contribution de 10 francs par mois, vous pouvez déjà participer et offrir un avenir meilleur à des enfants et leur famille. Inscrivez-vous au moyen du formulaire d’inscription ci-dessous ou directement par Internet sur notre site www.armeedusalut.ch/mission.
« Pourquoi est-ce que je ne devrais pas être solidaire ? » Il y a plus de dix ans, un récit, relatant la situation politique et économique au Sri Lanka, avait paru dans une publication de l’Armée du Salut et m’avait profondément touchée. Depuis lors, je parraine des enfants de ce pays. Comme je suis salutiste, il est tout naturel pour moi de donner une partie de mon argent à l’Armée du Salut. Nous avons nous-mêmes deux enfants et n’avons pas de soucis financiers. Pour quelle raison ne devrais-je pas être solidaire et soutenir d’autres personnes dont la situation est moins rose ? Je n’ai rien fait pour être née dans l’un des pays les plus riches de la terre. Je trouve qu’il est correct et professionnel que les contributions de parrainage ne soient pas allouées à un enfant en particulier mais plutôt à une institution. Les collaborateurs sur le terrain savent où l’argent est le plus nécessaire et où il peut être investi de la manière la plus sensée. Cornelia Zürrer Ritter, Zurich
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A envoyer à : Quartier Général de l‘Armée du Salut, Mission & Développement, Laupenstrasse 5, Case postale 6575, 3001 Berne
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Je souhaite m’engager pour le parrainage suivant : A l’essai Mini Standard Individuel
10 francs par mois (durée : une année) 20 francs par mois (pour les petits budgets) 40 francs par mois francs par mois (plus de 40 francs)
Date, signature : Je suis intéressé(e) par un parrainage. Veuillez me faire parvenir des informations concernant le parrainage suivant : Veuillez prendre contact avec moi.
Naw Mya Yadana
Christine, Teresia et Priscilla
Myanmar
Kenya
Naw Mya Yadana est âgée de vingt-deux ans. « Je suis née au sein d’une famille pauvre dans le village de Aung Nan Cho, au centre du Myanmar. Mon père y travaillait dans l’agriculture pour subvenir à nos besoins. Il est décédé lorsque j’avais sept ans et nous a laissés, ma mère, moi et mes quatre frères et sœurs.
« Christine, Teresia et Priscilla sont des triplées. Leur mère célibataire n’était pas en mesure de s’occuper d’elles, ce qui les a conduites à vivre dans la rue dès leur plus jeune âge. Elles y ont été recueillies et amenées à l’Armée du Salut. C’est ainsi qu’elles ont atterri chez nous au Foyer pour enfants. Le début a été difficile : l’absence d’amour parental, de prise en charge et d’éducation ainsi que la vie dans la rue avaient marqué leur personnalité et leur comportement. Pour nous, il était important de leur témoigner beaucoup d’amour dès le départ.
Vu que ma mère ne pouvait guère subvenir aux besoins de toute la famille, elle m’a placée dans le Foyer pour filles de l’Armée du Salut à Rangoon. Elle savait que j’y serais bien encadrée et que j’y obtiendrais une bonne formation. » C’est ainsi que Naw Mya Yadana a grandi au Foyer pour filles de l’Armée du Salut. Grâce aux contributions de parrainage provenant de Suisse, elle a pu suivre l’école et, plus tard, l’université. « En été 2009, j’ai pu terminer mes études par un « Bachelor of Arts degree in the Myanmar language ». Je travaille désormais comme enseignante au centre de jour de l’Armée du Salut. Je suis maintenant en mesure de me prendre en charge et de soutenir également ma famille. » Depuis quelques temps, Naw Mya Yadana est salutiste (membre de l’Armée du Salut) et s’engage pour son prochain et pour Dieu. « Je suis reconnaissante à l’Armée du Salut et en particulier à mon parrain de Suisse qui nous ont permis, à moi ainsi qu’à bien d’autres jeunes, de progresser dans la vie et de devenir les personnes que nous sommes aujourd’hui. Que Dieu les bénisse ! » De nombreux enfants au Myanmar sont orphelins à cause de la tuberculose, du sida et de la malaria. Ces enfants et ces jeunes ne doivent cependant pas être laissés de côté ni sombrer dans la détresse. Au Myanmar, l’Armée du Salut les accompagne au sein de différentes institutions et leur offre une prise en charge éducative, une formation, un appui pour les devoirs scolaires et des perspectives d’avenir.
Entre-temps, elles se sont bien acclimatées et leur comportement s’est également modifié. Elles sont joyeuses, aimables et se réjouissent de pouvoir vivre ici. Elles rencontrent même du succès à l’école. Il est réjouissant de constater comment la vie de ces filles s’est transformée. Nous en sommes reconnaissants à Dieu. »
Destin Olingou
Ruth C. Vincent Responsable des parrainages Kenya
Congo-Brazzaville
Destin Olingou est un garçon aveugle âgé de 13 ans qui vient d’Owando au Nord du Congo. Ses parents étaient partis à l’étranger sans lui et l’ont abandonné à son propre sort. Il a longtemps habité chez un ami, mais après un certain temps, celui-ci ne pouvait plus l’héberger. C’est ainsi que Destin a atterri à l’Institut social Yengue et que depuis, il fréquente l’école pour aveugle INAC de l’Armée du Salut. Là, il peut désormais suivre les cours. L’école INAC se charge également du transport et lui offre chaque jour un petit déjeuner. De cette manière, Destin a repris des forces et a développé un véritable enthousiasme pour l’école. A l’examen de fin d’études, il a atteint la première place de sa promotion.
Le Foyer pour enfants de Mombasa a été fondé en 1985 par des pionniers de l’Armée du Salut, dans le but de permettre à des orphelins de mener une vie digne. Bouleversés de voir des enfants fouiller les poubelles à la recherche d’aliments à peine mangeables et scandalisés à la vue des nourrissons abandonnés par leurs parents devant la porte de l’hôpital, ils furent poussés à agir. Le Foyer pour enfants accueille essentiellement des orphelins et des enfants issus de situations très défavorisées : 60 enfants au total de l’âge de cinq à quinze ans. Tous les enfants ont besoin de sécurité et d’amour, presque tous ayant souffert de multiples traumatismes.
Les enfants aveugles et malvoyants sont souvent désavantagés. Ils se heurtent non seulement à de nombreux obstacles dans leur vie de tous les jours, mais ils sont de plus confrontés à moult difficultés lors de leurs parcours scolaires. Au Congo-Brazzaville, l’Armée du Salut dirige l’Ecole pour aveugles INAC (Institut National des Aveugles Congo), dont l’objectif est d’octroyer une formation scolaire de qualité aux personnes aveugles également. L’école accueille 45 élèves âgés de 9 à 32 ans.
Nous dirigeons les programmes de parrainage suivants :
Des parrains et des marraines parlent de leur motivation à soutenir des enfants des pays du Sud au travers d’un parrainage de l’Armée du Salut.
« Je m’engage pour un parrainage, non pas pour tranquilliser ma conscience mais pour…. » Je suis marraine auprès de l’Armée du Salut parce que j’estime primordial que ma contribution n’aide pas seulement au bien-être matériel mais qu’elle serve aussi à transmettre la bonne nouvelle. De plus, je sais que l’Armée du Salut est une organisation qui utilisera mon argent à bon escient. Je m’engage pour un parrainage, non pas pour tranquilliser ma conscience mais pour témoigner ma reconnaissance pour tout ce dont je dispose et pour redonner un peu de ma richesse. J’ai tout ce dont j’ai besoin. En considérant ma richesse, ces 50 francs par mois représentent une bagatelle pour moi. Je suis de l’avis que ce sont les valeurs qui importent et non les possibilités financières. Chacun peut donner le montant qui lui est supportable. Pour moi, le parrainage a aussi sa raison d'être pour des raisons tout à fait pratiques. Si j’effectue un versement mensuellement, je ne l’oublierai pas mais si, par exemple, je prévois de faire un don une fois par an, ce ne sera jamais le mois opportun, lors duquel j’aurai juste de l’argent « en trop ». Au début, j’ai trouvé dommage qu’il n’y ait plus de parrainage individuel. Je trouvais que ce serait quand même bien de pouvoir soutenir « mon enfant ». Aujourd’hui pourtant, je suis contente que ma contribution ne profite pas seulement à un enfant, mais qu’elle soit utilisée là où le besoin est le plus urgent. Yvonne Burkhard, Gwatt
« L’argent bénéficie à plusieurs enfants. » Lors d’une manifestation de Mission & Développement se déroulant à Berne, un médecin du Congo-Kinshasa nous a parlé de la situation sur place. Cet exposé m’a tellement bouleversé que j’ai ensuite voulu m’engager pour un parrainage. Je m’engage pour un parrainage auprès de l’Armée du Salut car je suis membre de cette organisation et je lui accorde toute ma confiance. Au travers de ce parrainage, je souhaite rendre une partie de ce que Dieu m’a donné. Nous pouvons nous permettre tellement de choses et beaucoup de ces choses constituent un luxe. Cette contribution ne fait donc pas mal à mon porte-monnaie. C’est de bon cœur que je renonce à une part de mon bien-être pour que d’autres personnes aillent mieux aussi. A mon avis, l’avantage d’un parrainage est qu’il permet de soutenir financièrement un projet ou une institution de manière durable. En parrainant une institution, la manne récoltée bénéficie à plusieurs enfants. Simon Pfister, Vienne
Brésil • Foyer de jour pour les enfants de la rue • Crèche • Centre d’intégration • Centre Communautaire Haïti • 18 écoles primaires Inde • Ecole • Soutien aux familles
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« Pourquoi est-ce que je ne devrais pas être solidaire ? » Il y a plus de dix ans, un récit, relatant la situation politique et économique au Sri Lanka, avait paru dans une publication de l’Armée du Salut et m’avait profondément touchée. Depuis lors, je parraine des enfants de ce pays. Comme je suis salutiste, il est tout naturel pour moi de donner une partie de mon argent à l’Armée du Salut. Nous avons nous-mêmes deux enfants et n’avons pas de soucis financiers. Pour quelle raison ne devrais-je pas être solidaire et soutenir d’autres personnes dont la situation est moins rose ? Je n’ai rien fait pour être née dans l’un des pays les plus riches de la terre. Je trouve qu’il est correct et professionnel que les contributions de parrainage ne soient pas allouées à un enfant en particulier mais plutôt à une institution. Les collaborateurs sur le terrain savent où l’argent est le plus nécessaire et où il peut être investi de la manière la plus sensée. Cornelia Zürrer Ritter, Zurich
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Markus Muntwiler, responsable Mission & Développement La majorité de ces offres se trouvent dans les pays en développement et dépendent de notre soutien financier. Les enfants et les jeunes représentent plus de la moitié de la population mondiale. Un grand nombre d’entre eux n’ont cependant pas la possibilité de s’épanouir. Je suis fier que l’Armée du Salut, grâce à ses offres destinées aux enfants, joue un rôle primordial dans la lutte contre la pauvreté. Et bien davantage : forts de nos valeurs chrétiennes et motivés par les exemples bibliques, nous prêchons l’amour du prochain aux enfants et favorisons ainsi leur développement, de manière globale et à long terme. Seriez-vous disposé à nous soutenir dans cette voie ?
Ce produit est imprimé climatiquement neutre sur papier FSC-Sources mixtes.
www.armeedusalut.ch/mission Cette newsletter paraît 3 fois par an. Compte postal: 30-6709-1 (avec mention d’affectation du don) Edition Rédaction Photos Layout / Concept Impression
Fondation Armée du Salut Suisse, Mission & Développement Laupenstrasse 5, 3008 Berne, Suisse Téléphone 031 388 05 91, mission@swi.salvationarmy.org Markus Muntwiler, Doris Droz, Thomas Martin archives Mission & Développement Thomas Martin / Martin Stucki Grafik, Heimenschwand, msgrafik.ch Jordi AG, Belp
Offrir un avenir aux enfants
Impressum Informations et cadeaux sous : www.armeedusalut.ch/mission En offrant de nouvelles toilettes, un cours de couture, un morceau de terre ou un puits, vous ne faites pas seulement plaisir à vos proches et à vos amis, mais également aux personnes qui vivent dans les pays du Sud.
Des cadeaux qui font doublement plaisir Markus Muntwiler lors de l'inspection d'une cavité pour l'installation de nouvelles toilettes dans une école au Kenya.
• 732 jardins d’enfants et 934 écoles primaires • 31 programmes et 10 centres, encadrant quotidiennement 1589 enfants • 209 foyers pour enfants, accueillant 8500 pensionnaires Récemment, je suis tombé sur les statistiques de l’Armée du Salut internationale et j’ai été très étonné. On peut notamment y lire que l’Armée du Salut dirige :
Editorial
Etes-vous à la recherche d'un cadeau de Noël hors du commun?
Foi en action Newsletter de Mission & Développement N° 11 – nov. 2011
Offrir un avenir aux enfants Dans les pays du Sud, de nombreux enfants vivent dans la pauvreté, la détresse et la solitude, sans espoir ni perspectives d’avenir. L’Armée du Salut parvient à les aider grâce à la générosité de parrains et de marraines de Suisse. Larissa, une Brésilienne de 17 ans, Peterson, un garçon de 8 ans originaire de Haïti, Christine, une Kényane de 10 ans et Nirojan, un jeune de 16 ans originaire du Sri Lanka, vivent dans différentes régions du monde et ont malgré tout quelque chose en commun. Ces jeunes ont grandi dans la pauvreté et la misère et ont déjà dû faire face à de nombreuses difficultés au cours de leur courte vie. Ils partagent cependant une expérience commune : ils ont trouvé aide et réconfort dans les institutions de l’Armée du Salut. Larissa a vécu durant une année dans les rues de São Paulo avant de trouver, auprès des collaborateurs du Centre de jour « Trois cœurs » de l’Armée du Salut, des personnes qui se sont occupées d’elle, ne l’ont jamais abandonnée et l’ont aidée à rejoindre sa famille. Peterson, provenant d’un village de montagne en Haïti, a pu
Le soutien permanent des parrains et des marraines permet d’aider les enfants de manière durable. Les parrains et marraines sont régulièrement informés ; ils peuvent ainsi suivre les progrès réalisés et se rendre compte du résultat de leur soutien.
A l’image des ces quatre enfants, des milliers d’enfants de par le monde bénéficient d’un accueil, de soutien et de formation dans le cadre des institutions de l’Armée du Salut. De nombreux collaborateurs de l’Armée du Salut s’engagent corps et âme pour sortir les enfants de la pauvreté et de la détresse et les accompagnent dans leur cheminement vers le monde adulte et vers un avenir meilleur.
concerné qui bénéficient des bienfaits du parrainage. Cela permet d’éviter le favoritisme, la jalousie, les faux espoirs ou les attentes irréalisables tout en réduisant le coût des charges administratives.
apprendre à lire et à écrire dans une école de l’Armée du Salut. Christine et Nirojan sont des orphelins qui ont trouvé amour, protection et un nouveau chez-soi dans les foyers pour enfants de l’Armée du Salut.
Grâce à des parrainages, l’Armée du Salut Suisse soutient financièrement l’important travail accompli à long terme dans les institutions de l’Armée du Salut dans différents pays. Depuis de nombreuses années, à l’Armée du Salut comme dans la plupart des œuvres d’entraide, le soutien ne se fait plus au moyen de parrainages individuels mais plutôt au moyen de parrainages d’institutions. Le parrain ou la marraine ne soutient plus un enfant en particulier mais une école ou un foyer pour enfants. Ainsi, ce sont tous les enfants de l’établissement
Larissa, Peterson, Christine et Nirojan, comme bon nombre d’autres enfants, ont profité de ces parrainages provenant de Suisse. L’Armée du Salut les a épaulés et accompagnés. Leur avenir est désormais prometteur. Beaucoup d’autres enfants sont toutefois toujours encore prisonniers de la misère, de la détresse et du désespoir. L’Armée du Salut continue à lutter afin d’offrir aux enfants un avenir meilleur. Thomas Martin