Dynamique de l’ascension en territoire alpin village, satellites, sommets
ENTRE VACHERESSE ET BISE
tamara decroux
le toit numero 17
La-haut
alpage de bise 1502 M
lac de neuteu
alpage d’ubine 1470 M
<<< parcours du gr5 traversee des alpes >>> x
Col de bise 1915 M
La Vallée d’Abondance se situe en Haute-Savoie, au cœur du territoire alpin et se caractérise par un schéma spatial qui découle d’un système d’agriculture mono-orienté vers l’élevage pour la production de lait. La vallée met donc en relation des villages dans son sillage, puis autour de chaque village gravitent des alpages, propres à la tradition de la transhumance, qui fabriquent eux-même des seuils avant les sommets. Avec la perte de vitesse de l’élevage, les liens entre le village et ses alpages se sont distendus. D’un autre côté, un clivage entre le haut et le bas de la vallée s’est manifesté avec le développement du tourisme d’hiver en quête des sommets. Quel regard pouvons-nous donc porter sur ces villages qui ne jouissent pas d’une telle attractivité touristique ? Quelle nouvelle identité pouvonsnous développer pour ces villages en retrait qui sont toutefois porteur de beaucoup de potentiel ?
Col de pavis 1944 M x
alpage de darbon 1637 M
Vacheresse n’est pourtant pas en déclin et s’insère dans la vallée entre les domaines skiables et l’influence importante du pourtour lémanique. L’idée est de réaffirmer la dynamique de l’ascension (village-alpagessommets) par le développement économique autour de l’élevage et de la transformation du lait en fromages, la vallée étant connue pour son label AOP pour le fromage d’Abondance. Le projet s’appuie sur une correspondance du vecteur économique qui prend forme au village telle une convergence autour de la coopérative fruitière (le nom de la fabrique du fromage qui est le « fruit » des vaches, des chèvres) puis trouve sa résonnance dans les alpages avec des satellites de ce vecteur tournés vers de nouveaux habitats pour les éleveurs et un refuge.
Les sommets
Au village, la coopérative fruitière prend place sur la route active qui met en relation l’église, la mairie, l’école primaire et quelques hôtels. La coopérative permet de regrouper les éleveurs de Vacheresse pour la transformation de leurs laits, l’affinage des différents fromages et leur vente. Toutefois, une ouverture programmatique vers le village est nécessaire pour fédérer ce dernier et ses habitants. Ainsi, la fabrique viendra réunir le village autour d’une nouvelle place sur laquelle la coopérative dévoilera son fonctionnement, ses processus de fabrication et ses produits avec une cantine, une cuisine ouverte qui pourra accueillir des événements.
Les alpages
le toit numero 17, d’une saison a l’autre reinventer
habitats
le refuge
pour les
sur le
eleveurs,
refuge
les bergers
1 gardien + 15 personnes
La fabrique tente de réinventer l’archétype de l’architecture de la vallée qui se compose d’un socle minéral à laquelle s’additionne une ossature en bois. Le socle abritant les caves s’étire et s’ancre dans la pente en une succession de double murs bétons parallèles pour reprendre l’esprit du socle minéral mais fait référence aussi aux murs qui structurent les différents niveaux du village. Au dessus, une ossature, en béton préfabriqué, se déploie pour abriter la fabrique et la cantine. Entre verticales et horizontales, le paysage est cadré et se décline dans les différents espaces. Les façades rideaux se parent d’écailles de bois brûlé à l’extérieur tel le bois gris-noir malmené par le temps des anciennes granges.
3 logements 9 habitants
utilisation des etables presentes
la fabrique. cooperative fruitiere
a l’annee cantine salle pour
fabrique de
le village
Le village
fromages
la
place du
fabrique
village le marché
>>>
d
bon
d’a ee l al a v l <<<
e anc
village de vacheresse 820 m
la fabrique .
VACHERESSE
La fabrique plan rez-de-chaussee
<<< livraison du lait
-2.50M
X
l’eglise
N
+6.50M
laboratoire fromage de chèvres
bureau cooperative
tanks de stockage lait laboratoire fromage de vaches
point de vente direct
>>>
+5.00M
la fruitiere
+0.00M
<<< la PLAce >>>
+0.00M
<<< la c antine
+0.00M
et l a ma irie l’al page vers
ole l’ec
+2.50M
<<<
5M
<<<
0
livraiso n du la it >>>
+0.75M
la place du village, stratification et promontoire
<<< livraison du lait
-2.50M
N
zone retention d’eau rafraichir les caves
cave fromage chevre frais 95% humidité | 5°
-5.00M
cave abondances 95% humidité | 11°
-3.80M
<<< entrée service fruitière
cave nouvelles appelations 95% humidité | 11/12°
cave tommes 95% humidité | 12°
lignes creuses entre ombres et lumieres.
<<< entrée service cantine
cave reblochons 95% humidité | 13/14°
hygrometrie 95%, temperature 11°. capacite de la cave: 896 fromages d’abondances. 0
murs, espaces en creux. s’etirer dans la pente plan des caves
5M
un processus de fabrication ouvert sur la place du village. des matieres. des lumieres.
0
2M
mise en scene dâ&#x20AC;&#x2122;un processus de fabrication
laboratoires en promontoires? peau et ecailles de bois. brulees ou non entre interieur et exterieur
0
2M
entre horizontales, d es panoramas entre verticales qui sâ&#x20AC;&#x2122;ancrent dans le sol
| Le socle, abritant les caves ayant des propriétés hygrométriques et des températures précises, a été conçu telle une épaisseur qui s’ancre dans la pente du terrain. Les murs se déploient parallèlement pour s’insèrer dans le sol à l’image des nombreux murs de soutènement qui façonnent le village de Vacheresse. Un principe de double mur apporte épaisseur et inertie au sous-bassement: il est composé d’un porteur en béton armé aux armatures en inox pour s’adapter aux conditions des caves, d’un isolant en fibres de bois, d’une importante lame d’air évitant le mouillage de l’isolant puis d’un parement en béton préfabriqué et matricé. Le coffrage bois utilisé tant pour le béton armé coulé en place que le parement préfabriqué extérieur apporte du relief, un jeu de lignes parallèles fines qui allongent d’autant plus les murs. L’horizontalité du socle qui s’étire dans le paysage est soulignée par la texture de la matière. Afin de s’adapter à l’affinage du fromage, aux fermentations et au processus enzymatique, les parois des caves doivent respirer tout en évitant la condensation, être poreux afin de favoriser les échanges en absorbant l’excès d’humidité et restituer de le l’humidité lorsque l’air s’assèche: c’est alors qu’une paroi intérieure supplémentaire en béton cellulaire faite avec une adjonction de billes d’argile expansées couplée à une lame d’air façonnent à l’intérieur des caves un régulateur d’hygrométrie. Ces conditions donnent matière à se tourner vers un porteur en béton armé d’armatures en inox pour résister au dégagement de gazs dûs à la fermentation ainsi qu’à l’humidité constante qui peuvent endommager et favoriser l’oxydation indésirable des armatures en acier classique.
la fabrique: interpretation d’un archetype du socle a l’ossature
schémas de principes structurels de la fruitière
Deux univers se rencontrent autour de la fabrique
nervures superieures: direction donnee et contrastes portee maximale: 8M
Entre les deux murs qui s’étirent à proximité de la fruitière, une rétention d’eau vient rafraîchir les alvéoles des caves à travers la cavité d’un des double mur interne. Une graduation de la température se fait du plus froid au plus chaud en fonction des indications de conservations des différents produits de la fabrique. | Au niveau de la place du village, l’idée est de reprendre le principe de l’ossature de l’architecture traditionnelle de la vallée. Si le socle convoque l’épaisseur, le volume au dessus vient s’élancer en une ponctuation qui module les espaces et qui utilise avec parcimonie la matière. C’est l’espace du franchissement au dessus des laboratoires de fabrication. Une première dalle nervurée déploie une succession de poutres préfabriquées en béton armé blanc et ce perpendiculairement aux murs du socle. La dalle se projette pour soutenir le porte-à-faux qui fabrique une ombre sur le socle et met en relief le volume de la coopérative fruitière. Une dalle de compression s’additionne, coffrée de bois. Une chape de béton ciré anthracite repose sur un isolant en liège expansé qui renforce l’acoustique des laboratoires. Une rupture de sol s’opère au niveau ces derniers avec une forme de pente en BFUP vient évacuer l’eau dans la zone technique du socle. De plus, un faux-plafond s’insère sous les poutres de la dalle de compression pour isoler l’espace des caves des laboratoires mais aussi pour dessiner un principe de ventilation qui s’allonge au centre des caves. L’air forme une boucle entre ventilation et extraction de l’air chargé en gaz. Deux espaces de services, en béton armé d’acier cette fois et banché en coffrage bois, dessinent les espaces tout en ayant une fonction porteuse et d’éléments de contreventement. Leurs lignes apportent une texture et donne la direction à suivre. La seconde dalle nervurée en toiture poursuit la succession de poutres mais ce perpendiculairement à la première. De cette manière, les poutres donnent la direction menant de la place à l’espace d’accueil. Le visiteur est invité à cheminer par le contraste que forme les poutres préfabriquées blanches et la dalle de compression en béton coulé gris au coffrage bois. Entre les poutres vient s’insérer un système de ventilation provenant des espaces servants et ce sous un faux plafond en bois. La toiture plate, en partie végétalisée, fabrique une cinquième façade et contribue à l’inertie du bâtiment en retenant la neige en hiver ce qui est un bon isolant.
verticales porteuses, espaces servants et contreventement
nervures prefabriquees paralleles aux doubles murs portee maximale: 5m
Les façades rideaux sont repoussées pour accentuer d’autant plus la verticalité des ouvertures dialoguant avec les reliefs environnants qui tendent vers le ciel. | La cantine suit le même procédé que la coopérative fruitière. Elle poursuit la ponctuation de l’espace par des poteaux en béton préfabriqués. Toutefois, cette partie tend à souligner l’horizontalité. Deux plans horizontaux glissent l’un par rapport à l’autre tout en protégeant la cantine de la surchauffe en été. Ils caractérisent autant la place que la cantine et l’accent a été mis sur une recherche de continuité entre intérieur et extérieur. L’espace servant de la cuisine se comprime et fait office de porteur et de contreventement en béton banché avec un coffrage bois. La toiture inversée, avec un renforcement du pare vapeur en sous face pour limiter une trop forte condensation, permet d’introduire cette continuité entre intérieur extérieur. L’illusion d’une continuité de dalle pleine est donnée par un retournement de la matière grâce à un parement. Une forme de pente est donnée pour permettre l’écoulement de l’eau d’un côté mais la remontée des bords à même niveau permet également de stabiliser la neige en hiver pour accroître l’inertie du bâtiment.
retention d’eau
doubles murs qui s’etirent parallelement a la pente, isolation et rafraichissement naturel du batiment
couverture zinc substrat toiture végétalisée 70mm floradrain avec filtre SF et falinet feuille de désolidarisation TGV21 isolant XPS 160mm filtre anti-racines dalle de compression béton 200mm éclairage LED poutres béton blanc préfabriqué hauteur statique 300mm poteau préfabriqué béton blanc
lames de mélèze brûlé côté extérieur peau de bois
PEAU DE BOIS lames de mélèze débitées dans la largeur du tronc ce qui produit différentes largeurs de lames et un rythme aléatoire. entre bardage et filtre brûlées côté extérieur, leur couleur naturelle apparaît à l’intérieur
OSSATURE dalles nervurée faites de poutres préfabriquées béton blanc et dalle de compression coulée en place coffrage bois
chape béton BFUP laboratoires 50mm tablette béton fibreux préfabriqué parement béton préfabriqué blanc 30mm isolation panneaux fibres de bois 200mm film pare-vapeur parement béton préfabriqué matricé 50mm
EPAISSEUR ET INERTIE double-mur porteur intérieur en béton armé autoplaçant 160mm armatures en inox parement béton préfabriqué matricé fines lames parement béton préfabriqué matricé coffrage bois 100mm lame d’air 50mm isolation panneaux fibres de bois 200mm mur porteur béton armé autoplaçant 160mm armatures inox paroi béton cellulaire avec argile expansée régulateur d’hygrométrie avec lame d’air
la fruitiere detail constructif 1/30 epaisseur ancree / Ossature elancee et peau de verre, peau de bois
gravillons blancs étanchéité bitumineuse béton matricé préfabriqué isolant XPS 200mm barrière vapeur performante sous-face béton blanc préfabriqué lisse
OSSATURE dalles nervurée faites de poutres préfabriquées béton blanc et dalle de compression coulée en place coffrage bois
chape béton ciré anthracite tablette béton fibreux préfabriqué isolant liège expansé dalle de compression béton armé 180mm poutres béton blanc préfabriquées 200mm isolant liège expansé 100mm plaques de ciment Aquapanel système ventilation / extraction faux-plafond bois sapin / éclairage LED paroi béton cellulaire avec argile expansée régulateur d’hygrométrie avec lame d’air isolant fibre de bois 200mm béton armé autoplaçant armatures inox 160mm armatures métalliques et planches mélèze non traitées pour affinage des fromages
parement béton matricé coffrage bois 100mm
double mur creux lame d’air et système de rafraîchissement aqueux
EPAISSEUR ET INERTIE double-mur porteur intérieur en béton armé autoplaçant 160mm armatures en inox parement béton préfabriqué matricé fines lames
chape béton ciré lavable pour hygiène de la cave isolant polystyrène expansé 220mm
la cantine detail constructif 1/30 epaisseur ancree / horizontales en tension
LE TOIT NUMERO 17
ALPAGE DE BISE
convergence autour de l’habitat s’inserer dans les enveloppes existantes plan rez-de-chaussee
N
>>>
vers l sent e Col d e ier d u GR Bise 5
>>>
<<<
étable capacité 82 vaches
étable capacité 52 vaches
>>> étable capacité 12 vaches
>>> étable capacité 68 chèvres
+2.00M
les habitats
>>> + 0.00 M
>>>
>>>
étable capacité 73 chèvres
le refuge entrée d’été +0.00M
>>> étable capacité 58 chèvres
e
ag
r ou
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l vil
t re
nouvelles interiorites et mise en relief
es de Cornett s le rs e v du GR5 sentier
> Bise >>
Pour l’alpage, l’idée était donc d’apporter des habitats pour les éleveurs afin de réaffirmer la transhumance et donc l’ascension en l’associant à un nouveau refuge. La montagne contient l’alpage en son creux et devient lui-même écrin. Bise est un alpage qui est encore actif autour de Vacheresse avec la présence de 5 troupeaux: 2 chèvres, 2 vaches et 1 génisses. Il y a donc plusieurs étables que l’on pourrait réaffecter pour dissocier les deux types d’élevages avec d’un côté les chèvres dans les étables plus adaptées et de l’autre les vaches qui rentrent ici que pour la traite. A l’entrée de l’alpage et à la fin du parcours des éleveurs pourrait se situer le stockage du lait avant sa descente au village. L’alpage de Bise a la particularité de se faire rencontrer deux dynamiques économiques: le tourisme et l’agropastoralisme. Composé essentiellement d’étables, deux édifices se distinguent: à l’entrée de l’alpage il y a un restaurant ouvert uniquement en été et le refuge du club alpin français qui est au coeur de l’alpage. Le refuge actuel est un lieu de convergence car il se situe à la rencontre des parcours des randonnées et du parcours des éleveurs. Malheureusement le refuge est fermé depuis de nombreuses années. Sa position étant à la croisée des parcours, le refuge ne doit-il pas se recréer sur lui-même? Faut-il réunir éleveurs et randonneurs sous le même toit malgré le fait qu’ils ne vivent pas selon les mêmes temporalité? Il était difficile de rassembler les deux: trouver des points d’accroches pourraient être suffisant pour établir une rencontre. En conservant cette idée de socle et d’un volume de nature différente qui est un archétype de l’architecture de la région: le nouveau refuge va venir s’insérer dans l’enveloppe existante alors que les trois unités d’habitations vont venir se nicher dans le toit de l’étable pour reprendre le schéma habiter/travailler des fermes traditionnelles. Les deux bâtiments étant liés à l’origine, l’étable sera en partie détruite pour permettre une porosité entre l’espace devant et l’arrière. Ainsi la jonction entre les habitats des éleveurs et le refuge pourra se faire à ce niveau là. Les mouvement des toitures viennent générer un nouveau relief qui s’élance du refuge pour se poursuivre sur les habitats des éleveurs afin de conserver le massif artificiel que dessine les toitures des édifices. Le refuge tente de créer une ascension et développer le rapport du sol au ciel qui se décline avec les mouvements de notre corps pour une montée progressive vers les sommets. Au RDC, nous avons l’entrée d’été et dans l’enveloppe existante vient se nicher les espaces communs qui pourront être partagés avec les éleveurs avec un espace servant de stockage pour se délester du poids des sacs à dos. L’ascension débute et s’enroule sur l’enveloppe existante. L’entrée d’hiver se fait à +2m en un palier intermédiaire qui fait la transition entre l’enveloppe existante et la nouvelle intériorité qui renferme les dortoirs. L’hiver et l’été se regardent de part et d’autre de cette faille. Les sommets semblent inaccessibles et l’oeil se confronte aux matérialités à proximité. Puis les niveaux des dortoirs se composent de deux bandes: les lieux de nuits s’ouvrent sur un large espace commun pour se retrouver, lire, échanger. Le refuge est un point d’étape où l’espace de la rencontre est plus vaste que celui du couchage car traditionnellement, une seule pièce regroupait toutes les fonctions. La chambre du gardien se situe à l’entrée du nouveau volume. Le jeu de toiture fait naître des hauteurs qui modulent les nombres de places contenues dans les dortoirs. 15 personnes peuvent donc séjourner ici en chambre de 2 à 5 personnes. Petit à petit, on monte dans les étages, les contacts avec le sol et l’alpage se fait rare et une lumière provenant du ciel nous guide pour poursuivre l’ascension. L’ascension se termine par une puissante attraction du ciel avec des lumières zénithales qui glissent contre les parois en bois et on arrive au point culminant. La nouvelle intériorité des dortoirs en ossature bois repose sur une structure en béton, depuis le RDC nous ressentons ce volume qui s’exprime en retrait de l’enveloppe existante. L’enveloppe extérieure se pare d’acier corten qui vient rappeler la patine des toitures métalliques des étables existantes. Les habitats pour les éleveurs évoquent de la même manière l’ascension et ce jeu des matérialités entre intérieur et extérieur. Une coursive abritée par les volumes en débord dessert les trois unités identiques. Une pièce de vie qui cadre les lointains est surplombée par une mezzanine où les espaces de nuit prennent place en lien avec le ciel. L’escalier offre une vision traversante de part en part du volume pour mettre en relation le marais de Bise et les hauteurs qui contiennent l’alpage.
LE TOIT NUMERO 17 : REFUGE ET HABITATS POUR LES ELEVEURS RENOVER LE REFUGE
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espace commun
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les habitats
nouvelles interiorites plan niveau RDC 1/200
le refuge entrée d’été
le refuge entrée d’hiver
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les dortoirs de 2 à 5 places 15 lits au total
3 logements en duplex
nouvelles interiorites plan niveau R+1 1/200
les dortoirs de 2 à 5 places 15 lits au total 3 logements en duplex
espace commun
nouvelles interiorites plan niveau R+2 1/200
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le gardien
>>>
>>>
espace commun
verticalite, debut de l’ascension.
rencontre de l’ete et de l’hiver autour d’une faille 1/100
des verticalites, sâ&#x20AC;&#x2122;elancer vers les hauteurs 1/100
du sol au ciel 1/100
le point culminant.
cadres de reliefs et aspiration vers le ciel