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Les amis de Ticket ont dit sur et @Raoul509
Oui, mais ne t’inquiètes pas. Tous mes plans pour toi consistent à te mettre un sourire sur les lèvres! :-) Awwwwwww !
@LucHarry
Harry Luc Birthday Bash this thursday at Mango’s . We will have live@atisBelO @jeanjeanRoosvelt.@carelpedre @Handy_Tibert@ Mario_Viau_Fils Joyeux anniversaire Harry ! C’est ton 50e, dis?
Reine Medg Laguerre
Celibataire!!! Libre!!! Free of mind!!! what else????? Y’en a au moins une qui s’en réjouit…
Blake Lively et Ryan Reynolds: Just Married ! Blake Lively et Ryan Reynolds se sont dit “oui» dimanche 9 septembre à Mount Pleasant, en Caroline du Sud, entourés de leurs familles et amis proches... C’est la surprise du week-end ! Ryan Reynolds, 35 ans, et Blake Lively, 25 ans, sont désormais mari et femme depuis le dimanche 9 septembre, comme l’a confirmé un de leurs proches au site américain People. Officiellement ensemble depuis octobre 2011, le couple s’est rencontré sur le tournage de Green Lantern, de Martin Campbell. En un peu moins d’un an, tout est allé très vite pour l’actrice de Gossip Girl et Ryan Reynolds. Quelques mois après avoir acheté une maison ensemble à Bradford, dans l’État de New York, les deux acteurs ont donc choisi de s’unir devant leurs proches à la Boone Hall Plantation, en Caroline du Sud. Une grande tente blanche avait été dressée pour cette cérémonie intimiste. On est bien loin des chichis de Gossip Girl ! En revanche, People rapporte que les mariés ont fait venir un gâteau de Virginie pour l’événement. Pour la musique, Blake Lively a choisi l’une de ses amis, la célèbre Florence Welch, autrement connue sous le nom de Florence and The Machine. Rassurez-vous, après avoir interprété trois morceaux, la chanteuse a ensuite pu s’amuser et redevenir une invitée comme les autres, puisqu’un DJ a pris la relève jusqu’au bout de la nuit. Il s’agit du premier mariage de l’actrice, qui a tout de même un tableau de chasse à faire pâlir d’envie... La jolie blonde a en effet partagé sa vie avec son partenaire de la série Gossip Girl, Penn Badgley (alias Dan Humphrey), durant trois ans. Le couple a fini par se séparer en 2010, et c’est avec ni plus ni moins que Leonardo Dicaprio que l’actrice s’est consolée de mai à octobre 2011. Quant à Ryan Reynolds, son récent divorce d’avec Scarlett Johansson ne semble pas l’avoir dégouté du mariage, bien au contraire ! Il avait épousé l’actrice en septembre 2008, avant de divorcer en juillet 2011. Les deux ex-époux ont toujours tenu des propos plein d’affection l’un envers l’autre dans les médias, mais le coup de foudre de Ryan pour Blake Lively serait-il la cause de leur divorce ? Cette possibilité n’a jamais été évoquée, mais rappelons que Scarlett Johansson et Ryan Reynolds ont entamé une procédure de divorce en décembre 2010, soit dix mois après le début du tournage de Green Lantern. Peut-être dix mois pendant lesquels Ryan Reynolds s’est rendu compte que la véritable femme de sa vie s’appelait Blake Lively !
Richard Senecal
Beyoncé : «Avec Jay-Z, on adore changer les couches de Blue Ivy»
@carelpedre
Depuis la naissance de sa fille Blue Ivy, en janvier dernier, Beyoncé est sur un petit nuage ! Il faut dire que la maternité lui va à merveille ! Alors qu’elle multiplie les sorties avec sa fille dans les rues de New-York, son mari Jay-Z est également sous le charme de sa progéniture. Selon des informations publiées par le site Us Weekly, Beyoncé s’est laissée aller à quelques confidences sur son rôle de maman et sur son nouvel album, dans une interview accordée à l’émission Anderson Live. Depuis la naissance de sa fille Blue Ivy en janvier dernier, la chanteuse semble remplir son rôle de mère avec pratiquement toutes ses contraintes comme le changement de couches ! Elle aurait été très impressionnée par l’aisance de Jay-Z à changer les couches de sa fille. «En fait, Jay-Z est très bon pour changer les couches. Nous savons tous les deux le faire. J’aime changer les couches, j’aime ça. J’aime chaque moment, c’est tellement beau. J’aime tout ça !», a-t-elle confié. On veut bien le croire ! Sans se faire prier, la star a également confié qu’elle faisait souvent dormir sa fille en lui chantant des chansons douces. «En fait, je lui chante plein de chansons un peu folles, des chansons ringardes». Mais elle refuse, tout en plaisantant, d’en faire la démonstration devant le journaliste Anderson Cooper. «Croyez-moi, personne ne veut voir ça...», lui lance-t-elle. Enfin, Beyoncé a tenu à expliquer qu’elle était une maman comme les autres, surtout aux yeux de Blue Ivy. «Je suis une maman. Aujourd’hui, Blue m’a vue pour la première fois en répétitions, et ça l’a complètement déboussolée», a-t-elle confié. Une maman pour le moins exemplaire !
Gen de avan se bak yo ye. Celui-là on peut dire qu’il a le sens de l’orientation ! Nèg la di krache a mouye 2 moun! Senatè a sanble ka al nan je zolenmpik nan disiplin sa a wi. Oupsss ! C’est dit. Cette polémique entre les parlementaires a tôt fait d’enflammer les réseaux sociaux. Et certains animateurs semblent s’en donner à cœurjoie…
L’agenda de Péguy Cette semaine, c’est la Zen attitude. Vous ne laissez personne troubler votre paix intérieure, vous ne vous laissez pas démonter, et surtout vous croquez la vie à pleines dents. Rien de mieux qu’un bon appétit et les délices d’une bonne cuisine pour le faire. Mardi, Le Happy Hour de Vert Galant. A partir de 6 h p.m. L’ambiance est meilleure sur la cour. Enfin, cela dépend de vos intentions. Il y a des coins plus intimes aussi. 81, avenue Lamartinière, Bois-Verna. Mercredi, mangez sain. Où ça ? Eh bien, au Lunch Box. Sandwich : burger, panini, salades, sushis… L’Esplanade, 2, rue Darguin, Pétionville. Jeudi, jazz and blues avec Claude Carré et le Trio Arroyo à partir de 7 h 30 p.m. au Café Place Saint-Pierre. Un petit espace calme, accueillant, prometteur de moments agréables. Rue Chavannes, Pétionville, en face de Choucoune Plaza. Vendredi, un tour au Break Time Restaurant. Idéal pour les retrouvailles entre potes. L’espace est ouvert et prêt à la détente. Commandez leur combo, plat bien pimenté. Les acras en entrée sont excellents. 38, rue Darguin, Pétionville. Samedi, deux alternatives : le buffet de Chez Wou. Vous mangerez chinois dans ce cas. Avec USD 28, vous avez autant de mets de la cuisine asiatique dans votre assiette. Soyez gourmands ! Shisha pour la cuisine libanaise ; très épicée, saine et remplissant. Essayez la pita, le pain libanais. Sans garnitures, il est bon mais il est encore meilleur avec de la viande hachée. Menu à la carte. Rue Lambert, en face de Marie Béliard. Dimanche, Le FLorville. Salad bar et musique live. Route de Kenscoff. Péguy F. C. Pierre peguyfcpierre@gmail.com
Une publication de Ticket Magazine S.A.
DIRECTEUR DE LA PUBLICATION Frantz DUVAL REDACTEUR EN CHEF SECRÉTAIRE DE RÉDACTION Marie-Brunette B. MAINSOUR Gaëlle C. ALEXIS RÉDACTION Joël FANFAN Dimitry Nader ORISMA Gilles FRESLET Daphney Valsaint MALANDRE Myria CHARLES Winnie Hugot GABRIEL Teddy Keser MOMBRUN Elisée Décembre Junior Plésius Louis Peguy Flore Pierre Raphaël Féquière Enock Néré Légupeterson Alexandre CORRECTION Jean-Philippe Étienne CRÉATION ARTISTIQUE Responsable graphique Réginald GUSTAVE Stevenson Estève Photographes Frédérick C. ALEXIS Homère CARDICHON Jules Bernard DELVA Moranvil MERCIDIEU Yonel Louis Publicité: 2941-4646 publicite@lenouvelliste.com Rédaction: 2945-4646 / 3806-3717
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Christelle Paul l’art par les cornes Nommée artisan de l’année 2011 par la plus grande foire artisanale du pays, Artisanat en Fête, Christelle Paul de l’atelier Calla parle de son œuvre, de son expérience et de ses rêves.
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ans la cour de l’atelier Calla ce samedi matin, six hommes sont concentrés sur leur travail. Ma présence ne les dérange ni ne les arrête. Ils ne quittent pas des yeux la corne de bœuf qui prend vie sous leurs doigts habiles. Christelle Paul, propriétaire et fondatrice de l’atelier, m’accueille avec un grand sourire. Son chapeau de paille marron cache ses longs cheveux noirs attachés en chignon rebelle. Skinny jean blanc et chemisier sans manches imprimé léopard, l’artisan 2011 d’Artisanat en fête est belle en plus d’être talentueuse. « On va s’asseoir dans le bureau de mon mari », dit-elle en s’excusant. « Nous n’avons pas encore notre propre espace, donc je squatte », explique l’entrepreneure en riant. L’atelier Calla est né en octobre 2011, à la veille d’Artisanat en Fête. « Avant je sous-traitais. Je n’avais pas encore tous les équipements nécessaires. J’ai créé l’atelier parce que je n’étais pas satisfaite des produits que je trouvais en Haïti. J’ai toujours eu une passion pour la mode et pour tout ce qui est beau. Nous avons commencé par des bijoux, mais aujourd’hui
se disperse dans le flot de paroles. En effet Christelle est « moitié Française, moitié Haïtienne. Mais Haïtienne avant tout », revendique-t-elle. L’atelier Calla ne fait pas partie de ceux qui ont des prix inaccessibles, explique la propriétaire. « Ma plus petite pièce se vend à cent vingt-cinq gourdes. Et comme je travaille sur commande on peut trouver des pièces bien spécifiques à mille cinq cents dollars américains ou plus. Dans les foires, par exemple, je n’augmente pas les prix de mes produits. Et ils se vendent assez bien. » En plus de son travail à
nous produisons tout ce qui est décoration et art de la table. » Celle qui est nommée Artisan de l’année 2011 avec quatre autres est humble et sans fauxsemblant. « Je refuse de dire aux gens que je vends de l’art. Je suis un artisan qui offre un produit différent, beau et de qualité. Tout simplement. » Composé de six artisans dont trois apprentis, l’atelier Calla travaille essentiellement avec la corne de bœuf. Les artisans se forment au fur et à mesure que leur passion devient un vrai métier. « Jusqu’à présent je ne travaille qu’avec des hommes. Mais je veux faire des projets pour les femmes à long terme », explique Christelle. « L’artisanat en Haïti mérite de devenir un métier sûr. Je voudrais que des jeunes embrassent cette voie sérieusement. » Les jambes croisées, la posture droite, les mains jointes, Christelle Chignard Paul s’exprime d’une voix claire et sûre. De temps en temps, sous un rire joyeux pointe un léger accent français. Mais très vite, celui-ci
plein temps, Christelle Paul s’occupe de l’atelier toute seule. Chaque matin elle s’y rend aux environs de 8 heures pour passer les instructions, faire un petit inventaire et s’assurer que tout va bien. Après 4 heures p.m., elle revient sur la route de l’aéroport, là où se situe l’atelier et revoit les pièces qui ont été faites. « Je n’ai pas le temps de souffler, mais je gère bien. Jusqu’à présent, chaque produit indistinctement a ma touche personnelle. Je revérifie les travaux plusieurs fois, du commencement jusqu’à la fin. » 37 ans, mariée et mère de trois enfants, Christelle trouve le temps de jongler avec toutes ses activités sans se plaindre. « Je ne changerai mon planning pour rien au monde. J’adore ce que je fais et je sais que le travail dur est gratifiant à la longue. » Naturellement chic et coquette, amoureuse de la mode, elle a pourtant les mains d’une rude travailleuse. Les ongles courts et non manucurés, l’artiste manie les outils avec autant de dextérité
que les crayons qu’elle utilise pour ses croquis. Cette année, à Artisanat en Fête, elle compte présenter sa collection de bijoux parus cet été et toute sa gamme de décor. « J’aime Artisanat en Fête, et avoir été nommée Artisan de l’année en 2011 m’avait profondément émue et surprise », continue Christelle. Sa toute première exposition est à Femmes en production, quelques années plutôt. Depuis lors, l’atelier participe le plus possible aux foires aussi bien qu’en Haïti qu’à l’étranger. « J’ai une clientèle assez fixe. Je ne me plains pas. J’espère qu’Artisanat en Fête 2012 aura beaucoup d’acheteurs et que la foire sera encore plus belle », conclut Christelle Paul, sourire aux lèvres et yeux brillants. Gaëlle C. Alexis
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Artisanat en Fête
Forcéna Damas Peintre arc-en-ciel
La cinquième édition d’Artisanat en Fête se tiendra les 20 et 21 octobre 2012. Ticket Magazine remet sur le devant de la scène les artisans qui auront à marquer l’événement. Parmi eux, l’inconditionnel Forcéna Damas dit Dams, emboîte le pas pour la quatrième fois. Portrait d’un peintre engagé qui ne jure que par ses pinceaux. Pour ce jeune talent, la peinture n’est pas seulement une passion. C’est surtout l’unique moyen qui lui permet de gagner sa vie depuis bientôt dix ans. À travers les activités artisanales auxquelles il participe de temps à autre, ce petit homme au fort caractère oriente sa vision, sculpte son talent et bâtit sa réputation. Il y a maintenant un an, Dams a aménagé à Tabarre avec sa famille sur un petit lopin de terre qu’il s’est procuré avec ses propres fonds. Dans sa cour, à l’ombre d’un manguier géant, il a installé son atelier avec l’aide de son jeune frère et de quelques amis. Au quotidien, Dams peint religieusement ses toiles. Sa journée tourne autour de ce rituel qui donne un sens à sa vie. A pied d’œuvre, l’homme n’a pour boussole que l’esthétique. Il peint le portrait de la résilience haïtienne et les subtilités de la vie courante. Quand il trouve le temps, l’artiste met ses talents au service de la décoration. « J’adore autant décorer que peindre. De temps à autres, je participe à la décoration de grands événements culturels. La toute
dernière remonte à Christmas with the Stars 2011», nous dit-il. Peintre-sculpteur-calligraphe-dessinateur-céramiste, à 34 ans, Forcéna Damas est un polyvalent de l’art. Entre 2002 et 2006, il a étudié les arts plastiques à l’école nationale des Arts (Enarts) et a complété son apprentissage avec des séminaires de formation. Toutefois son amour inaltérable pour la toile l’amène à se spécialiser dans la peinture. Aujourd’hui, le champ de vision de Dams est élargi. L’artisan va jusqu’au bout de sa pensée. Il étale ses toiles arc-en-ciel sur fond abstrait. Chacune scelle la beauté et témoigne le souci des détails. « Je me fie à mes inspirations, mes émotions, mais aussi à la conjoncture politique pour pouvoir traduire avec justesse dans l’abstrait le vrai sens de la réalité », confie Dams, qui, pour l’heure, fait des études en gestion et conservation des biens culturels à l’Université Quisqueya. En 2006, sa curiosité pour les foires artisanales l’amène à découvrir « Artisanat en fête ». Pendant deux ans, Damas s’est
abonné à cette activité en tant qu’observateur. Le méticuleux devait s’assurer que l’initiative était parfaitement à son goût ; celle qui pouvait lui faire enfin bouger. Convaincu, il n’a pas mis du temps à se faufiler parmi les exposants. « Artisanat en fête est un modèle pour les autres foires. Je me suis embarqué dans ce train en raison des préparatifs minutieux dont font montrent ses initiateurs qui innovent à chaque nouvelle édition », poursuit Forcéna. Originaire des Cayes, Dams est aussi un passionné de la photographie. Après le passage du séisme du 12 janvier 2010, il a suivi pendant six mois des cours de formation dans ce domaine à travers le
Sean Paul attendu en Haïti ! Après des années d’annonces, Sean Paul semble réellement être sur le point de fouler le sol national. Le week-end dernier, Zagalo a annoncé sur sa page facebook et sur son profil BBM la présence éventuelle de la star Sean Paul en Haïti. Ce lundi 10 septembre 2012, le promoteur nous a fourni plus de précision à ce sujet. L’artiste sera en Haïti à la fin de l’année pour deux prestations, a dit Zagalo : l’une au Ritz Kinam II avec T-Vice et l’autre Stade Sylvio Cator. Zigizag Production et Kensy Productions travaillent assidûment à amener l’artiste jamaïcain en Haïti. Rien n’est encore confirmé et les contrats ne sont pas encore signés quant à la venue de Sean Paul au pays, mais les discussions ont été déjà engagées et se poursuivent toujours entre l’agent de l’artiste et les responsables de ces compagnies. Même les dates ne sont pas encore arrêtées, mais l’on évoque celles des 14 et 15 ou celle du 21 décembre 2012 pour la tenue des deux spectacles de l’international Sean Paul au pays. Gilles Freslet (gillesfreslet@yahoo.fr)
Tonton Bicha
victime Ce n’est pas la première fois que Bicha est victime de “BS Production”. Le samedi 8 septembre 2012, dans la ville de Hinche, on avait encore programmé l’artiste à son insu. Granmoun Nan n’est pas resté les bras croisés. Dans un avis publié par BBM le même jour, le staff management de Tonton Bicha a vite réagi en faisant savoir qu’ils n’étaient guère informés qu’on avait annoncé le comédien sur la place de Hinche à cette date-là. Le groupe de Bicha, sans dévoiler l’identité des faux promoteurs, promettent que ces derniers seront poursuivis en justice. Gilles Freslet (gillesfreslet@yahoo.fr)
projet « Eyes on Haiti » organisé par la fondation belge Viv Timoun. Cette année, pour la cinquième édition d’Artisanat en Fête, Forcéna Damas concocte depuis six mois une centaine de tableaux (format 6» x 30») pour une solide participation. « Je me réjouis déjà de participer à cette édition. Mes débuts à Artisanat en Fête n’étaient pas faciles. Mais à présent les choses vont de mieux en mieux. A cet effet, je compte sur la participation massive du public pour m’encourager davantage et supporter l’événement », conclut Dams, qui se veut un modèle pour la jeunesse. Dimitry Nader Orisma
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Vote Ticket Santé
En finir avec les courbatures Les courbatures sont des douleurs musculaires qui apparaissent généralement 24 à 48 heures après un exercice physique plus ou moins intense, en tout cas inhabituel. Elles disparaissent en quelques jours. Elles sont sans gravité.
Les courbatures peuvent aussi être dues à une infection virale : la grippe, une hépatite… Les courbatures surviennent souvent lors d’un syndrome grippal, de maladies rhumatismales surtout à leur début, ou encore quelquefois, lors d’affections hormonales (thyroïdienne...). A ne pas confondre avec les crampes. Une crampe est une contraction soudaine, intense, involontaire et passagère d’un muscle. La fatigue musculaire, la déshydratation, les carences en sels minéraux sont en général les grands responsables. Elles peuvent survenir pendant l’effort ou au repos ; elles cessent spontanément ou à l’aide de massages ou d’étirements.
Bien sûr, l’entraînement musculaire régulier diminuera l’apparition des courbatures. On dit qu’il est possible d’éviter les courbatures par un échauffement et des étirements des muscles qui doivent
trop forcer sur ces muscles douloureux ; attendre quelques jours avant de faire travailler intensément un muscle douloureux semble être une bonne attitude car un muscle courbaturé a besoin d’un peu de repos.
Des médicaments et autres solutions
Les antalgiques et les anti-inflammatoires sont efficaces sur les courbatures douloureuses mais attention ! Certains de ces médicaments sont susceptibles d’être dans la liste des médicaments dopants. L’application de chaleur, par un jet d’eau tiède-chaud, par exemple, apporte souvent un soulagement. Chez une personne qui ne pratique pas d’activité physique ou qui n’a pas véritablement changé ses habitudes sportives, ces courbatures peuvent être liées à des problèmes de santé spécifiques (trouble de la glande thyroïde, neuropathie périphérique, polymyosite...). Des examens complémentaires peuvent être nécessaires. Si les courbatures sont accompagnées de fièvre, de maux de tête… il faut aller voir son médecin pour faire un diagnostic et éventuellement prescrire un traitement. Les maladies virales courantes sont le plus souvent responsables de ces douleurs et guérissent en quelques jours, le médecin conseillera au patient de se reposer tant que les courbatures et la fièvre persistent.
Les autres causes
L’entraînement : une alternative aux courbatures
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Quelques conseils travailler avant et après l’exercice. Ces pratiques sont certes indispensables pour éviter de se blesser pendant l’activité sportive, mais il semble qu’elles n’empêchent pas l’apparition des courbatures chez une personne non entraînée. Ne pas ignorer la douleur
Les courbatures n’empêchent pas de continuer à pratiquer l’activité physique qui les a provoquées, elles semblent même être atténuées grâce à l’augmentation de la circulation sanguine dans le muscle douloureux. Néanmoins, la douleur est un signal d’alarme, il ne faut pas
Si après des efforts sportifs, vous souffrez systématiquement de courbatures, tâchez de prendre l’avis d’un entraîneur, voire d’un médecin du sport qui peut vous donnez des conseils et des solutions. Si de façon assez soudaine, vous souffrez fréquemment d’épisodes de courbatures sans avoir augmenté votre activité physique, n’hésitez pas à consulter.
Les dix endroits préférés de Tifane
Stéphanie Séjour, de son nom d’artiste Tifane, nous dévoile ses dix endroits de rêve. Ça vous tente de les découvrir ?
Port-Salut (sud d’Haïti)
« Il fait bon vivre là-bas. J’aime beaucoup les gens qui habitent la ville… et on mange bien (rire).
Les Cayes (sud d’Haïti)
« Mon amour pour les Cayes est tout à fait particulier, car ma mère vient du coin et j’ai passé beaucoup de temps dans cette ville. Je suis très connue dans cette ville en tant qu’artiste. »
Le Cap-Haïtien (nord d’Haïti)
« Quand je suis au Cap-Haïtien, j’ai la sensation d’être dans une ‘’très grande ville’’. Son histoire impressionne, ses sites touristiques émerveillent… bref, on a tous de bonnes raisons de fouler le sol de cette ville que des grands hommes ont connu. »
Vauclin (Martinique)
« Cette ville de la Martinique est calme, propre et n’est pas surpeuplée. Bâtie en face de la mer, elle donne un aspect paradisiaque et on se sent vraiment dans les Caraïbes. »
Bruxelles (Europe)
« Elle n’est pas aussi médiatisée que Paris, mais elle est authentique et riche
en culture. Elle est côtoyée par des gens de différentes nationalités, et on s’y sent vraiment dans une ville ! »
Chicago (États-Unis, Amérique du Nord)
« Aaaah ! J’adore Chicago ! Il n’y pas de clichés. Les gens sont tolérants. Tu te maries avec un partenaire qui peut ne pas être du même rang ou du même niveau social que toi. Et cette tolérance te dit : « Viens comme tu es ! » C’est une ville foisonnante et vivante artistiquement, il y a de la musique partout. Des leçons de salsa se donnent sur les trottoirs et aussi des concerts. On y trouve toutes sortes de cuisines. C’est une ville qui fait vraiment rêver. »
Pointe-à-Pitre (Guadeloupe)
« Très beau ! On se sent plus Guadeloupéen et plus enraciné dans la culture noire. »
Nis (Serbie)
« C’est une ville très ancienne, pourtant sa population est très jeune. J’ai performé à Nis et je ne cache pas que c’était une belle expérience. J’y ai découvert d’anciennes forteresses et des lieux touristiques où l’on organise des concerts et des activités culturelles. »
Honolulu (Hawaii)
« C’est drôle qu’Honolulu soit si proche des États-Unis et que les habitants de cette petite ville ne subissent pas l’influence des Nord-Américains. Les habitants viennent de la Polynésie, de l’Asie, des Antilles, de Samoura et ils sont très courtois. Tu t’y sens étranger. Il y a même un autre fuseau horaire différent des USA. »
Apopka (Floride, USA)
« C’est dans cette petite ville de la Floride que je vis depuis quelque temps.
C’est calme et paisible. Je me sens moins Tifane et plus moi-même avec toute ma simplicité et mon envie de vivre. J’arrive à trouver des ingrédients pour cuisiner et faire des plats haïtiens. C’est important pour moi de trouver ma cuisine partout où je suis. » Propos recueillis par Rosny Ladouceur rosnyladouceur@gmail.com
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Mardi 11 septembre 2012
Digicel Cup des Nations Caribéennes /Groupe I
Haïti qualifiée pour le second tour mais la route sera longue En dominant respectivement SaintMartin 7-0 vendredi et Bermudes 3-1 dimanche, la sélection nationale haïtienne de football s'est qualifiée pour le second tour des éliminatoires de la Digicel Cup des Nations Caribéennes. Il ne lui reste désormais qu'à vaincre la sélection Porto Ricaine pour s'offrir la première place du Groupe I et aller chercher son billet pour Antigua et Barbuda à Saint Georges en Grenade dans le groupe VI du 20 au 24 octobre
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n triplé de Péguero Jean-Philippe vendredi, plus une réalisation de Kevin Lafrance, une autre de Monuma Constant Jr et un doublée de Monuma Constant Jr et le compte est bon. Haïti s’impose 7-0 aux dépens de Saint-Martin et fait une intéressante entrée dans le Groupe I après la victoire difficile 2-1 de Porto-Rico aux dépens des Bermudes. Le 4-2-3-1 (Johnny Placide – Réginald Goreux, Jean-Jacques Pierre, Kevin Lafrance, Olrich Saurel – Alain Vubert, Monuma Constant Jr – Jean Eudes Maurice, Jeff Louis, Peterson Joseph – Peguero Jean-Philippe) adopté par le sélectionneur Blake Cantero plait, et Peguero Jean-Philippe rappelle à tous qu’il est un attaquant racé en dépit du fait que sa grave blessure l’ait sérieusement handicapée. Modification du coach dans la formation de dimanche pour affronter Bermudes. Si Johnny Placide garde encore les buts, Aveska remplace Jean Jacques en défense centrale, Jean Marc Alexandre remplace Alain Vubert à la récupération, mais le 4-2-3-1 persiste (Johnny Placide – Réginald Goreux, Judelain Aveska, Kevin Lafrance, Olrich Saurel – Peterson Joseph, Monuma Constant Jr – Jean Eudes Maurice, Jeff Louis, Jean Marc Alexandre – Peguero Jean-Philippe). A l’arrivée, un penalty de Olrich Saurel plus une réalisation de, Jean Eudes Maurice plus le 4e but de la compétition de Peguero JeanPhilippe permet à Haïti de mener 3-0 à la mi-temps et de s’imposer, enfin, 3-1, face aux Bermudes pour s’offrir un des deux billets qualificatif du groupe. Le premier objectif est atteint. On peut espérer.
Monuma Constant marque ici contre Saint-Martin et Haïti s’impose 7-0 (Photo : Yonel Louis)
contre Saint-Martin lui offre non seulement un billet qualificatif pour le second tour mais aussi, provisoirement, la première place du groupe I. Donc il faut battre Porto Rico pour remporter le groupe. Les Porto ricains sont leaders provisoirement si et seulement si, Haïti parvient mardi à prendre le meilleur sur la plus petite ile des Grandes Antilles Caribéennes. Sinon ils seront les vainqueur du Groupe I ce qui pourrait compliquer la suite des éliminatoires. Qu’arriverait-il si Haïti perdait ou concèderait le nul ? Si les coéquipiers de Peguero Jean-Philippe parviennent à s’imposer, mardi, non seulement ils rappelleront aux Porto Ricains ce que Haïti représente dans la Caraïbe en matière de football, ils iront ensuite à Grenade disputer l’un des deux billets qualificatifs du groupe VI en compagnie de Grenade, du vainqueur du groupe
Que reste-t-il à faire ?
Les 9 buts inscrits par Porto Rico
Peterson Joseph (Photo: Yonel Louis)
II qui peut-être (Curaçao, Guyana, Sainte-Lucie ou Saint-Vincent et Grenadines), du meilleur 2e des groupes 4 et 5 qui logiquement devrait être soit la Barbade ou la République Dominicaine, soit la Guyane Française ou Trinidad and Tobago. Mais si Haïti perd ou concède le nul face à Porto Rico, elle se trouvera dans l’obligation de disputer le second tour des éliminatoires dans le Groupe VII en Guadeloupe entre le 23 et le 27 octobre prochain. Un Groupe VII qui sera assez relevé avec la Guadeloupe, le vainqueur du Groupe III (Martinique ou Suriname), le 2e du Groupe I et le vainqueur du groupe IV (Aruba, Barbade ou République Dominicaine). Deux billets qualificatifs pour la phase finale de la Digicel Cup des Nations Caribéennes en décembre seront en jeu dans ce groupe. Quand l’arbitre sifflera la fin de la partie qui mettra en face Haïti et Porto
Rico, mardi soir, au stade Stade Sylvio Cator, le public saura à quoi s’attendre. A noter que la phase finale de la Digicel Cup des Nations opposera 8 nations reparties en deux groupes du 3 au 15 décembre prochain à Antigua et Barbuda. Enock Néré/nereenock@gmail.com
US Open 2012/Junior Simple filles
Anett prive Victoria de finale
Victoria Duval ne disputera pas la finale de l’US Open cette année en catégorie junior fille simple. Elle a été battu 6-2 et 7-6, samedi en ½ finale par la Estonienne Anett Kontaveit tête de série numéro 12 à Flushing Meadow. Dès le premier set, la Estonienne a pris la mesure de la jeune Victoria 6-2 pour mener un set à rien. Au second set, Victoria a eu un sursaut d’orgueil pour parvenir jusqu’au tie-break mais là encore Anett a pris le meilleur pour s’imposer 7/6 (tie-break 6-4) et se hisser en finale de la compétition. La estonienne, Anett Kontaveit rencontrera l’américaine Samantha Crawford en finale de la compétition ce dimanche Enock Nere/nereenock@gmail.com
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Mardi 11 septembre 2012
US Open - Finale -
Serena Williams: “Je suis juste Serena”
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'Américaine Serena Williams, que certains comme sa victime dimanche en finale de l'US Open Victoria Azarenka ou comme la retraitée Kim Clijsters considèrent comme la meilleure joueuse de l'histoire, assure: "Je suis juste Serena, une fille un peu folle, simple et bonne vivante". Q: Certains disent que vous êtes la plus grande joueuse de tous les temps. Qu'en pensez-vous ? R: "Je trouve ça bizarre. Je ne me considère pas comme la plus grande. Je suis juste un joueuse de tennis qui fait ce qu'elle peut. Je suis juste Serena. Je suis une fille un peu folle en dehors des courts, simple et bonne vivante. Vous (les journalistes) n'avez pas l'occasion de me voir sous ce jour.
Je suis juste Serena et je ne serai jamais quelque chose d'autre que ça". Q: Est-ce que cette défaite au premier tour à Roland-Garros vous a aidé à réaliser un été aussi fructueux ? R: "J'étais malheureuse après cette défaite à Paris (contre la Française Virginie Razzano), je ne m'étais jamais sentie aussi misérable après une défaite car je jouais tellement bien juste avant. Pour être honnête, j'ai senti un peu de confiance s'échapper après ce math et j'ai ensuite eu des premiers matches difficiles à Wimbledon. Mais je suis parvenue à me reprendre. Je ne sais pas si oui ou non cette défaite m'a aidée ou m'a motivée mais j'aime à croire que oui car après ça j'en voulais plus. On dit parfois que c'est une bonne chose de perdre". Q: Quelle rôle Patrick Mouratoglou a-t-il joué dans votre réussite cet été ? R: "Patrick a eu un impact positif sur ma vie, j'aime son calme, moi qui suis un peu folle. Quand je regarde (vers son box pendant les matches) il a toujours l'air confiant, j'apprécie cela. On a une bonne alchimie. Avec son académie à Paris -où d'ailleurs je ne vis pas, je ne peux pas, ces impôts (rires)-, ça a été bien d'avoir la chance de changer de décor et de briser la routine à l'âge de 30 ans. Cela m'a donné encore plus envie de jouer". Propos recueillis en conférence de presse
boxe internationale
A 101 ans, le “grand-père Un exilé cubain entraîne sprint” qui ne voulait pas les Américains ! vieillir se suicide
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la suite de la contre-performance de l'équipe des Etats-Unis de boxe aux Jeux Olympiques de Londres (aucune médaille chez les hommes), l'entraîneur cubain Pedro Roque a intégré le centre d'entraînement national de Colorado Springs. Entraîneur de l'équipe de Cuba juniors dans les années 1990, Pedro Roque était venu en France aider l'équipe tricolore de Dominique Nato à devenir l'une des meilleures mondiales. Devenu entraîneur de l'équipe olympique cubaine, Roque a été démis de ses fonctions à l'issue du Mondial 2009 pour avoir critiqué certains dirigeants de la fédération cubaine. « Placardisé » (il avait la responsabilité de l'équipe de boxe de La Havanesud), il s'est enfui de Cuba en juillet dernier à Cancun (Mexique). Pris en charge par la communauté cubaine de Miami, il a été nommé entraîneur des Etats-Unis au 1er septembre. Au printemps dernier, Joe Zanders, entraîneur principal de l'équipe des Etats-Unis, avait démissionné. Basheer Abdullah lui avait succédé un mois seulement avant les Jeux.
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Le coach cubain Pedro Roque
A Londres, les boxeurs américains se sont révélés brillants, mais avec un style professionnel, pas adapté à la scoring-machine. Pour se préparer, les Américains avaient notamment fait appel à Freddy Roach, considéré comme le meilleur entraîneur mondial, mais en boxe professionnelle. D'où peut-être l'échec à Londres et l'arrivée de Pedro Roque.
cent un ans, un ancien athlète, surnommé le “grand-père sprint”, qui avait couru dans des compétitions jusqu’à 95 ans et refusait de voir ses forces le quitter, s’est suicidé dans l’église de son quartier de Milan, d’une balle dans la tête, a rapporté lundi la presse italienne. Selon le quotidien Corriere della Sera, qui rapporte cette fin tragique, le geste du centenaire qui avait eu en son temps une certaine célébrité, est dû à la dépression dont il souffrait depuis la fin de sa longue carrière sportive. L’alerte a été donnée dimanche par un prêtre de Santa Maria Nascente, le père Carlo Casati. Sur le sol de l’église, Vincenzo Colo avait déposé sa carte d’identité, un papier où était inscrit le numéro de portable de son fils et des lettres adressées à sa famille pour s’excuser de son geste. “Dès qu’il avait arrêté le sport, il avait commencé à souffrir, il n’arrivait pas à accepter les changements que le temps provoquait sur son corps”,
a raconté à la presse italienne le fils de celui qui avait été surnommé sur internet “il nonno sprint” (“le grandpère sprint”). Vincenzo Colo avait commencé sa carrière sportive en 1929, quand il était jeune étudiant. Plusieurs records du monde et nationaux avaient glorifié son parcours. Son amour de l’athlétisme s’était même renforcé après son départ à la retraite: à l’âge de 89 ans, il avait couru le 100 mètres en seize secondes et à 92 ans, il avait décroché le record du monde du saut en longueur dans une compétition pour séniors. “L’athlétisme était toute sa vie. Il n’arrêtait pas de s’entraîner et de voyager partout dans le monde” pour participer à des compétitions, a encore expliqué le fils. Vincenzo Colo avait dû arrêter sa carrière sportive à l’âge de 95 ans. Depuis lors, sa vie n’avait plus été la même. Pour cet ancien athlète, une vie sans la possibilité de courir ne valait plus la peine d’être vécue
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11 septembre 2012 No 700
JEUX - 33 MOTS CACHÉS
Les mots peuvent figurer dans tous les sens : horizontalement, verticalement, en diagonale, de haut en bas et vice versa, de droite à gauche et inversement. Les six lettres restantes désignent la trajectoire courbe d’un corps céleste en mouvement autour d’un autre.
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LIQUIDE MALADE MARCHE NACRÉE NÉVRITE OCCLURE ODORAT PUISQUE RABAIS RABOUTER RACCORD RACLER RADICALE
ZIG ZAG
Se rendre de la case supérieure gauche à la case inférieure droite en suivant toujours l’ordre des lettres de A à F ou de A à G, selon le cas, (ex: A-B-C-D-E-F-A-B-C-D-E-F, etc.) et en passant qu’une fois sur chaque case. Dans certains cas, plusieurs solutions sont possibles.
RADIÉE RAJOUT RÉSIDENT REVOYURE ROSER SABLEUX SAIGNANT SONDE SULTANE TACHETURE TANCER
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Verticalement 1 - D’une ville de l’Ouest. 2 - Charmé. Rongeur. 3 - Reposant sur. Nichon. 4 - Vadrouillé. Répéta à la demande du public. 5 - Renouvelé. 6 - Bizarres. 7 - Génisse. Légumineuse. 8 - Organisation révolutionnaire basque. Birdies. 9 - Anciennes unités de mesure de dose. Aval. 10 - Exténuante.
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Lefond ucoeur stplusoinquel boutd monde.
Pour lire la citation de la semaine, penchez votre journal.
SOLUTION JEUX - 32 PYRAMIDE
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Horizontalement 1 - Auteur de “Tout tourne autour de moi”. 2 - Allongé. Déduire. 3 - Mammifère du pacifique. Habitant. 4 - Prénom féminin. Condition. 5 - Adresse. Fagabondé. 6 - Négation. Soudant. 7 - Pronom possessif. 8 - Courroux. Brandebourg. 9 - Capture. Posséda. 10 - Volcan italien. Clone.
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Indice : Vêtement qui se boutonne Demeure féodale Grand édifice public Observation attentive Aliments apprêtés Reproduire une impression Liquide rouge Petite entaille
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Une lettre vous est donnée pour chaque mot, afin de vous aider à trouver le mot obscur placé dans la colonne des cases grises.
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Pour toutes suggestions écrivez-nous à couleurproduction@yahoo.fr
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