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L’AGENDA de Samedi 23 mars 2013
Echo des Ames à La Réserve
Ayiti Deploge et Vêvê Collections vous invitent à retourner à nos racines ce samedi soir avec Echo des âmes. Au cours de cette soirée spéciale, le public pourra apprécier les talents de BélO, Boulo Valcourt, Tamara Suffren, Rutshelle Guillaume, Marodie Pierre et Paula Payant.
Boukman Eksperyans à Garden Studio
Découvrez chaque semaine les coins branchés, les restos en vogue et les meilleures affiches de la ville avec en prime les recommandations de votre magazine préféré ! N’hésitez pas non plus à nous faire parvenir vos affiches à l’adresse email suivante : daphneyvalsaint@gmail.com Préparé par: Daphney Valsaint MALANDRE
Ne ratez pas le Rara Edition de Garden Studio ce samedi. Sur ce coup-ci, le bar vous offre le groupe Boukman Eksperyans. Admission : 750 gdes à l’avance et 1000 gdes à l’entrée
« Les aventures de Bòs Joe » à The Irish Village
Dimanche 24 mars 2013
Cirque Kreyòl au Parc Historique
« Les enfants de la mer » au Villate
Dans le cadre de la Journée internationale de la francophonie, Chantal Moreno, représentante de l’OIF en Haïti et Florence Jean-Louis Dupuy invitent le public à la première de l’adaptation de « Les enfants de la mer », une nouvelle d’Edwige Danticat. Le spectacle se tiendra au Villate le 23 mars à 6 h pm.
Jeunes et moins jeunes retrouvez les jongleurs, cracheurs de feu, acrobates, clowns et autres du Cirque Kreyòl pour un après-midi des plus rigolos. Cette activité qui se tiendra au Parc Historique de la canne à sucre a pour principal but la reconstruction de l’École du Sacré-Cœur.
Le film « Les aventures de Bòs Joe » de Kharmeliaud Moïse sera projeté à The Irish village ce dimanche 24 mars à 7h pm. Cette projection découle d’une initiative de l’association des cinéastes haïtiens. Admission : gratuite
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FANS
Banm ti nouvèl NOU2 «Pou Ayiti»... Depuis plus de dix ans, cette chanson du groupe Nou2 accompagne nos élans de patriotisme et nos moments de deuil. Sans qu’on y prête attention, elle est un peu entrée dans notre patrimoine. Les frères Ewald et Carl Edouard Jeune Joseph, auteurs de ce titre à succès continu qui leur avait valu le Ticket d’or du meilleur texte en 2002, sont en retrait de la scène musicale. Ticket les rappelle à votre bon souvenir ! Fondé en 2001 par Ewald et Carl Edouard Jeune Joseph, avec Velina Elysée Charlier comme manager, le groupe Nou2 produit d’abord «Espwa». Mais c’est «Pou Ayiti», dont la vidéo met en vedette Sandra Lobir, actrice très en vogue à l’époque, qui les propulse sur les devants de la scène. « Nou2 résulte avant tout de l’expression de la nostalgie de Ewald et Carl Edouard alors étudiants en République Dominicaine », raconte Vélina, actuelle directrice de marketing de la Digicel et toujours manager de Nou2. « Le groupe existera toujours », martèle Ewald, qui poursuit actuellement ses études en Belgique. « Nou2, c’est avant tout un projet d’amour et d’amitié que mon frère Carl Edouard (K-lito), Velina Elysée Charlier et moi chérissons beaucoup. Un projet à travers lequel nous partageons notre amour pour l’art, la musique », confie le jeune médecin. Le groupe a pris naissance au moment où ces trois amis entamaient chacun leurs études universitaires, Vélina à Montréal, Ewald et K-lito à St-Domingue. Ils ont donc dû faire face à l’opposition de leurs familles qui refusaient qu’ils fassent carrière dans la musique, entre autres. « L’ironie de l’histoire, c’est qu’au début, Carl Edouard, qui était moins
Une publication de Ticket Magazine S.A.
DIRECTEUR DE LA PUBLICATION Frantz DUVAL avancé que moi, avait du temps à revendre. Puis ce fut à mon tour d’être disponible après avoir obtenu mon diplôme de médecine quand lui devait dédier plus de temps à ses études. Aujourd’hui Carl Edouard a bouclé ses études de médecine et est libre, alors que moi je viens de commencer un programme de maîtrise en Belgique où je réside actuellement », explique l’aîné des Joseph. Vélina est actuellement directrice de marketing de la Digicel ; Carl-Edouard vient de boucler ses études en médecine et pense entamer bientôt une spécialité aux États-Unis ; tandis qu’Ewald suit une formation de maîtrise en santé publique, des cours de peinture et envisage même une deuxième formation ou spécialité médicale. Toutefois, bien que très pris par leurs différentes activités professionnelles, ils refusent de laisser tomber le rêve qu’est Nou2. Infatigable et fidèle à son statut de manager, Vélina fait fi de la distance et s’arrange pour qu’ils aient des séances de travail en fonction de leurs disponibilités respectives. L’album qui nous a été promis dix ans plus tôt semble véritablement en chantier. « On espère que cette année sera enfin la bonne. On ne se presse pas. Mais on y travaille sérieusement ! », soutient
RÉDACTEUR EN CHEF Gaëlle C. ALEXIS la jeune femme, tenace. Daphney Valsaint daphneyvalsaint@gmail.com
SECRÉTAIRE DE RÉDACTION Daphney Valsaint MALANDRE RÉDACTION Dimitry Nader ORISMA Gilles FRESLET Myria CHARLES Winnie Hugot GABRIEL Teddy Keser MOMBRUN Junior Plésius LOUIS Raphaël FÉQUIÈRE Enock NÉRÉ Légupeterson ALEXANDRE CORRECTION Jean-Philippe Étienne CRÉATION ARTISTIQUE Responsable graphique Réginald GUSTAVE Stevenson ESTÈVE Photographes Frederick C. ALEXIS Homère CARDICHON Jules Bernard DELVA Moranvil MERCIDIEU Yonel LOUIS Publicité: 2941-4646 publicite@lenouvelliste.com Rédaction: 2945-4646 / 3806-3717
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Les locaux du Groupe de support contre le cancer sont relativement calmes ce jeudi matin gris. MarieLouise Baker, chemisier jaune vif, pantalon marron et sandales neutres, comme un rayon de soleil, égaye l’atmosphère de son regard franc et doux. Environ 1,75 m, cheveux blancs coupés carré, sportive, la dame de cœur du GSCC a le sourire tendre des femmes qui apprécient la vie. Pourtant elle n’a pas toujours vu rose. Sa foi inébranlable et son courage d’acier l’ont aidée à vaincre ce cancer du sein, qui a failli lui coûter la vie quelques dizaines d’années plus tôt. Aujourd’hui, dans le bureau tranquille où nous sommes installés, c’est une battante heureuse et reconnaissante à la vie qui nous fait face. « J’ai survécu à mon cancer ; j’ai gagné une grande bataille. C’est pourquoi je me devais d’aider les autres à faire attention, à comprendre et à dépister de très tôt une maladie comme celle-ci. » Le Groupe de support contre le cancer voit le jour en 1998. Après le rétablissement de Marie-Louise d’un cancer du sein, même dépisté tard, celle-ci trouve enfin la cause pour laquelle désormais elle va se battre. Le but de sa vie. Avec plusieurs amis, notamment feu docteur Bordes, à son retour, elle forme l’organisation à but non lucratif qui a pour objectif d’aider la population haïtienne à prendre conscience de ce fléau. « Ce n’est pas dans notre coutume d’aller chez le médecin juste pour faire un checkup général. Pire, plus de la moitié de la population n’a pas les moyens. Il fallait donc chercher une façon pour apprendre aux femmes surtout à trouver seules s’il y avait une anomalie dans leur corps. On a commencé par le cancer du sein », raconte, sereine, la survivante qui pourtant a traversé bien des périples. C’est en palpant elle-même ses seins que Marie-Louise découvre son cancer. On est alors en 1992, à l’époque de l’embargo. « C’était compliqué de voyager dans ses moments-là. Donc j’ai dû traverser la frontière dominicaine à pied pour trouver un avion et partir pour me faire soigner. J’ai été très chanceuse !» Aujourd’hui, apaisée et plus qu’heureuse, c’est avec détermination qu’elle lutte pour aider les femmes à prévenir ce tueur silencieux et sournois. Le GSCC est composé de rescapés du cancer décidés à sensibiliser la population sur les méfaits de cette maladie mieux connue de nos jours en Haïti, où toutes les maladies incompréhensibles sont imputées à des causes surnaturelles. « L’importance est à la prévention, car la chimiothérapie et la radiothérapie coûtent cher. En Haïti depuis que nous avons commencé avec le « lobbysme » contre le cancer, plusieurs médecins ont été suivre des séminaires ; il y a aussi la société haïtienne d’oncologie qui est sur pied, l’Hôpital général qui maintenant a une salle pour la chimio, Cange, l’hôpital de Mirebalais et bientôt Bernard Mevs, qui timidement s’aventurent dans ce sillage. Ceux qui le peuvent se rendent à Miami, Cuba, en République Dominicaine ou ailleurs, mais nous nous assurons que ceux qui viennent nous trouver reçoivent un traitement », explique Marie Louise Baker, qui investit cœur, âme, temps pour attirer l’attention sur les méfaits du cancer, offrir des conseils et d’autres formes d’assistance aux malades et à leurs familles. « Quand la personne est atteinte du cancer, Dieu lui donne une force d’accepter et de se battre contre sa situation. Mais le plus souvent, les proches sont très affectés psychologiquement et il leur faut un bon accompagnement. Ce que nous offrons aussi », ajoute-t-elle,
Marie-Louise Baker La bonne fée du GSCC maternelle. Mère de deux grands enfants, grand-mère de cinq petits-enfants, Marie-Louise est une amoureuse des plaisirs simples de la vie. Le sport est sa deuxième passion après le social. « J’aime le basket-ball, le football, le tennis… tout ce qui a rapport aux activités sportives », avoue l’ancienne championne en basket et tennis. « Si je suis devant la télé, c’est pour regarder une activité sportive quelconque. En plus d’aider à garder la forme, cela aide à entretenir le système immunitaire », dit celle qui conseille à chacun d’apprécier dans les moindres détails tous les moments qu’ils ont la chance de vivre. Mains jointes et buste droit, la sœur de Charles-Henry Baker, ex-candidat à la présidence, est une dame de classe. En 2009, le GSCC pose la première
pierre pour la construction du centre de traitement contre le cancer que tient à cœur Marie-Louise. Mais le 12 janvier 2010 change la donne et le ministère de la Santé publique, qui perd son local lors du tremblement de terre, s’installe sur le terrain. Ce n’est que cette année, en 2013, que les fonds sont débloqués, et d’ici 2015, espère-t-elle, le centre, qui pourra faire les diagnostics et les traitements en même temps, sera sur pied. Concentrés jusqu’à présent sur le dépistage et la sensibilisation des cancers du sein, du col et de la prostate, les membres du GSCC s’adonnent à une cause plus qu’importante. « Je dois préciser que la mauvaise nutrition des Haïtiens de nos jours joue un rôle très important dans la dégradation de leur santé. Les fritures,
qui sont de plus en plus marchandées, ne sont pas de bonne qualité pour le système immunitaire », assure avec véhémence cette femme qui se considère comme hyperactive. Versée dans le social depuis sa tendre jeunesse, Marie-Louise Baker a depuis longtemps su que sa vie allait tourner autour du bien d’autrui. Après des études en administration des affaires, elle revient au pays avec la fougue des jeunes qui se dédient pour une cause. Aujourd’hui, cette fervente croyante n’a qu’un conseil : « Après le cancer, il y a la vie et l’amour. Il ne faut jamais perdre espoir, encore moins la foi. » Gaëlle C. Alexis
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Menu traditionnel du vendredi saint haïtien
Poissons Morue Article 34
CARÊME ET CARNAVAL Le carnaval, étymologiquement, vient du latin «carne levare» qui signifie «s’abstenir de viande», synonyme de gras, lors des repas. Le carnaval a donc le sens de carême-entrant ou carême-prenant qui signifient le début du carême qui commence le mercredi des Cendres. Ce dernier est précédé par la «semaine des sept jours gras» ou jours charnels qui sont une période festive qui se termine par le mardi gras. Ainsi, l’idée des sept jours gras précédant les quarante jours maigres de carême, veut que l’on se défoule avant de rentrer en privation et abstinence. D’après le calendrier religieux, le carnaval débute après l’Épiphanie, le 6 janvier, date qui marque la fin des fêtes de Noël et s’arrête au mardi gras, veille du début de la période de carême. Le carême, qui s’appelait aussi la sainte quarantaine est un temps de purification du cœur, de conversion qui repose sur la prière, la pénitence et le partage pour préparer la fête de Pâques qui célèbre la résurrection du Christ. Ce terme provient du latin «quadragesima dies» qui signifie «quarantième». C’est une période de quarante jours précédant la Pâques en excluant les dimanches. Durant le carême, qui commence le mercredi des Cendres et s’achève le samedi Saint, on jeûne et on mange “maigre” , vu que l’on ôte de son menu les graisses animales et les mets exquis. La Semaine sainte est la dernière semaine du Carême. Elle commence avec le dimanche des Rameaux et commémore : - La Cène - La Passion du Christ - Le Samedi saint, qui s’appelle aussi samedi de Lazare ; et le dimanche de Pâques, où les chrétiens célèbrent la résurrection du Christ.
Historique du jeûne
Durant le concile de Laodicée (348?- 381 ?), on prescrivait la xérophagie, qui consistait à consommer exclusivement du pain et des fruits secs durant le carême. Au VIIe siècle, le jeûne évolua vers un repas quotidien et à l’abstention de toute nourriture les jours du vendredi et du samedi saints. Plus tard, les prescriptions de jeûne se relâchèrent et, dès le XIIIe siècle, le repas de midi était autorisé et complété d’une collation le soir. Depuis les années 60, le jeûne est limité à deux jours. Si on prend un repas à midi, on ne prend qu’une légère collation le soir. De plus le chrétien peut choisir de réduire sa consommation d’alcool, de tabac, etc.
Ce jeûne, qui a pour but d’assurer son salut en se donnant soif et faim de la parole Dieu, est aussi un geste de pénitence et de solidarité avec les pauvres. Il s’adresse au corps et n’a aucun sens s’il n’aide pas à ouvrir son cœur au partage et à l’aumône aux démunis.
Sont dispensés de jeûne :
Les jeunes de moins de 18 ans et les personnes âgées et malades.
Chou palmiste* Une note pour Haïti et la protection de l’environnement : Le chou palmiste ou cœur de palmier provient d’un arbre majestueux, « le palmiste », dont la cime fournit ce légume qui intègre traditionnellement le menu du repas du vendredi saint. Pour l’extraire, il faut abattre l’arbre. Un de moins dans un pays déboisé… L’avenir de notre pays et la survivance de notre progéniture dépendent de la gestion de l’écologie… L’esprit du carême c’est le sacrifice et omettre ce délicieux mets de nos tables en est un…
Faut-il toujours manger du poisson le vendredi saint ?
La tradition voulait que l’on remplace la viande par du poisson qui était alors moins coûteux et cette dépense épargnée aurait servi à l’aumône. De nos jours, les fruits de mer étant plus onéreux et consommer du poisson ne signifie plus «faire maigre». L’esprit de solidarité requiert des aliments protéinés mais plus simples.
SAVIEZ-VOUS QUE ?
Les femmes enceintes et allaitantes.
Le mercredi des Cendres, jour de pénitence pour exprimer avec humilité et sincérité le désir personnel de conversion à Dieu, se manifeste en recevant dans les églises l’imposition des Cendres qui symbolisent la faiblesse, la vanité de l’homme, sa condition de pécheur et la supplication par la prière pour que Dieu lui vienne en aide.
D’où viennent les cendres ?
Les cendres viennent des rameaux bénis pendant le Dimanche des rameaux de l’année précédente. La tradition remonte au XIIe siècle : le prêtre dépose un peu de cendre sur le front de chaque fidèle, en signe de la fragilité de l’homme, mais aussi de l’espérance en la miséricorde de Dieu.
Riz blanc et purée de haricots blancs
Le mercredi des Cendres Le vendredi saint
Pourquoi quarante jours ?
Cette durée, qui symbolise le temps de préparation à de nouveaux débuts, fait référence aux quarante années d’errance du peuple d’Israël dans le désert entre sa sortie d’Égypte jusqu’à son entrée à la terre promise, et aussi aux quarante jours de la tentation du Christ dans désert entre son baptême et le début de sa vie publique.
Betterave ou salade russe, salade de laitue
Le Dimanche des Rameaux a pour nom liturgique le « dimanche des Rameaux et de la Passion », parce que d’une part, c’est l’entrée triomphale de Jésus à Jérusalem acclamé par une foule agitant des palmes ; d’autre part, il commémore la Passion du Christ et sa mort sur la croix. Le dimanche de Pâques qui est la résurrection du Christ vient après le dimanche des Rameaux. Le dimanche de la Quasimodo est le premier dimanche après celui de Pâques. Il est appelé ainsi parce que “Quasi modo...”, expression de la liturgie catholique datant du XVIe siècle, sont les deux premiers mots de l’introït qui est la procession d’entrée de la messe du dimanche après Pâques.
À PARAITRE BIENTOT Le personnel de santé, les chauffeurs et conducteurs d’engins en service, etc... ne peuvent jeûner car ils exercent un métier lié à la sécurité. S’ils tombent en hypoglycémie, ils mettent en risque la vie des autres.
Remarque : l’enseignement de Jésus prône que le service aux autres passe avant les prescriptions rituelles.
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HandzUp Group fait bouger la Caravane Belo, BIC et Jean Jean Roosevelt sont la partie visible d’un iceberg. Ils sont les attractions d’une grande campagne de sensibilisation autour de la francophonie nommée Caravane de la Francophonie, qui est à sa deuxième édition. Ils ont mis leurs talents au service d’une proposition qu’ils ont jugée noble, afin de montrer aux jeunes d’Haïti que le mixage des capacités peut aboutir à de grandes choses. Au cœur de cette grande planification, une jeune institution se tient : HandzUp Group.
L
a Caravane Francophone est plus qu’un ensemble de concerts produits par quatre artistes (les trois ambassadeurs et un invité) pour le compte de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF) dans les différentes villes de provinces. C’est une grande machine avec une combinaison complexe, des ressources multiples que HandzUp Group, une jeune institution du showbiz, est en train de gérer. HandzUp à quatre ans d’expérience à son actif. On dénombre les quatre éditions du Festival Mizik de Saint-Marc, le lancement de l’album « Haïti debout » de Belo, le lancement de Tchotcho Mobile pour la Digicel dans les provinces, le Festival Vilaj La à la Croix-des-Bouquets, et d’autres activités de masse. Dirigée par Harry Luc et Belony Jean Murat (BelO), l’institution se spécialise dans la planification et l’exécution
d’événements, le booking, le purchasing, le placement dans les médias, avec un réseau national dans les provinces. Pour le projet de la Caravane Francophone, conçu par Belony, HandzUp Group s’occupe de l’exécution. Un travail titanesque, des responsabilités énormes qui nécessitent un niveau de maturité que le staff est en train de renouveler. Pour conduire des artistes de la trempe de Belo, Jean Jean Roosevelt et BIC sur plusieurs podiums, Harry Luc raconte que ce n’est pas du tout facile : « Ils sont des artistes qu’on essaie très souvent de monter l’un contre de l’autre. Ils ont des managers différents que je dois convaincre de me laisser la responsabilité de leur poulain durant près d’un mois pour une tournée nationale. » Du 4 au 22 mars, HandzUp Group a donc la gestion d’un énorme projet. Le groupe a mené à bien
Ralph Condé quitte Nu-Look, Zenglen en bénéficie Les choses semblent aller de mal en pis pour Nu-Look. Pendant que le groupe n’a toujours pas officiellement de chanteur en remplacement de Pipo (Ederse Stanis), Ralph Condé, le guitariste, a choisi de tourner le dos à la bande à Arly Larivière. Le guitariste a pris cette décision dans la soirée du jeudi 21 mars 2013. « Jeudi soir, tous les musiciens ont reçu une lettre les informant de ma démission officielle de NuLook », a déclaré Ralph Condé à Ticket Magazine le vendredi 22 mars. L’ancien musicien de Tabou Combo dit quitter Nu-Look afin de donner une nouvelle direction à sa carrière musicale et de mieux s’occuper de ses activités personnelles.
Ralph Condé à Zenglen ?
Est-ce pour Zenglen que Ralph Condé a abandonné Nu-Look ? Est-ce le retour de Gabriel Laporte au sein du groupe qui serait à la base de ce départ ? Ou encore, est-ce parce que le musicien est incertain de l’avenir de Nu-Look dans le showbiz haïtien ? Quoi qu’il en soit, à peine parti de la bande au maestro Arly Larivière, l’ex-guitariste et chanteur de Papash nous confirme qu’il joue pour l’instant avec Zenglen en tant qu’invité. A la question de savoir s’il fait désormais partie du groupe 5 Etwal, Ralph Condé répond que pour le moment il fait uniquement des gigs avec la bande à Réginald Cangé sans toutefois nier qu’il pourrait bien continuer définitivement avec le groupe. Le musicien va-t-il remplacer Joachim Barthélemy dit Bato au sein de Zenglen, ou bien le groupe va-t-il jouer avec deux guitares ? En attendant, sachez que Ralph Condé accompagnera Zenglen lors du prochain tour du groupe en France, du 29 mars au 3 avril 2013, notamment à Espace Venise (Sarcelles) et à Le Club Section Zouk. Gilles Freslet (gillesfreslet@yahoo.fr)
sa toute première collaboration avec une institution étrangère sur un projet ambitieux ; il doit réitérer l’exploit. La Caravane de la Francophonie qu’ils ont présentée à l’OIF va au-delà des simples concerts que pourraient s’imaginer certains, c’est l’utilisation des influences de chacun des artistes invités pour sensibiliser des jeunes de niveau scolaire sur ce qu’est la Francophonie et les avantages qu’Haïti peuvent en tirer. Harry Luc reste le moteur de la Caravane, sa bonne marche dépend de ses compétences. Avec l’OIF, il identifie les places d’où auront lieux les concerts, et surtout agence des heures de rencontres avec des élèves de chaque commune pour les séances de sensibilisation. « Ce n’est pas une mince affaire de coordonner un projet de la sorte, avance Harry Luc, PDG de HandzUp Group. Il faut iden-
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tifier les écoles, programmer les rencontres et les spectacles, trouver des hôtels adéquats, placer le personnel, gérer la nourriture, camper et diriger une équipe technique, s’assurer d’une sonorisation permanente, sécuriser le matériel, répondre aux caprices des artistes, imposer la discipline, détendre l’atmosphère… Vraiment, cela demande beaucoup. » L’équipe se lève tous les matins vers six heures, Harry fait le porte à porte jusqu’à ce que tout le monde soit dans le bus après le petit déjeuner. A midi au plus tard, les artistes ont quarante-cinq minutes avec les élèves. Entre-temps, l’ingénieur Pierrot Pierre Valembrum étale les matériels de sonorisation, Roby place les lumières, Patrick et Jeff font du touche-à-tout, sous la coordination du PDG. Deux heures de repos à l’hôtel, une douche éclair et seulement le temps de goûter quelque chose, tout le monde se retrouve dès cinq heures sur le site du concert, où deux cents personnes minimum sont attendues. Les artistes passent deux heures sur le podium avant d’entrer se reposer. Le lendemain ils ont ce même parcours à faire, c’est leur quotidien. Le staff de HandzUp Group est jusqu’ici satisfait. Le feeling passe bien entre les musiciens, l’équipe est compacte, partout où la Caravane passe c’est la folie. L’institution prépare déjà la cinquième édition du Festival de St-Marc qui aura lieu en avril. Plésius Junior LOUIS (JPL 109) junior.jpl007@yahoo.fr
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Samedi 23 mars 2013
Quatrième test match pour les Grenadiers
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ominicains et Haïtiens croiseront le fer ce dimanche 24 mars en match amical qui servira à la fois de préparation pour les Grenadiers qui joueront la phase finale de la Gold Cup qui se tiendra aux USA du 7 au 28 juillet, et d’inauguration d’un nouveau stade de football pour les Quisqueyanos, privés de compétition régionale et internationale. Au lieu d’une double confrontation entre les deux pays pour la bataille de l’île, comme la fédération haïtienne de football l’avait annoncé initialement, Dominicains et Haïtiens disputeront finalement un seul match, le 24 mars en terre voisine. Pour cette rencontre, le technicien d’origine cubaine a convoqué trois membres de la sélection nationale U-20, éliminée dans l’ultime phase des qualifications de la coupe du monde U-20 de la FIFA, Turquie 2013. Il s’agit de Jean Ismaël Voltaire (Victory SC), Wilberne Augusmat (Violette AC) et Luckner Horat Junior (Aigle Noir AC). On notera également le retour en sélection du gardien de
Baltimore SC, James Elan. Celui du Cavaly AS, Jospy Julien a été appelé pour la première fois en équipe nationale. Le grand absent de cette sélection s’appelle Guerry Romondt, le gardien du Tempête FC. Auteur d’un math désastreux face à la Bolivie (0-2), il doit encore travailler pour retrouver une place en équipe nationale à l’aproche de la Gold Cup. Ainsi, après avoir subi deux défaites face à la Bolivie (2-1) le 6 février et au Chili (3-0), le 19 janvier avant d’être laminés (3-0) par la modeste équipe du Sultanat d’Oman, les Grenadiers privés jusque-là de victoire en 2013, ont une belle occasion de se refaire une santé pour continuer la préparation de la phase finale de la 12e édition de la Gold Cup. Contre Haïti, les Dominicains n’ont jamais gagné de match, et ce en 13 confrontations. Ils ont pu sauver deux matches nuls. (1-1), le 12 mai 1991 à San Juan et le même score, le 28 avril 1996 à Port-au-Prince. La première rencontre entre les deux pays remonte au 2 avril 1976 à Santo Domingo. Les Grenadiers
avaient alors battu les Quisqueyanos par (3-0). Le score le plus élevé entre les deux protagonistes (6-0) pour Haïti a été enregistré le 26 avril 1996. En revanche, la dernière rencontre entre Haïtiens et Dominicains date du 7 décembre 2012 à Antigua, victoire (2-1) pour les Grenadiers. Bilan : 11 victoires pour Haïti, 2 nuls, aucune défaite, 35 buts pour et 6 buts contre.
Les dix confrontations entre Haïti- et la République dominicaine:
12 mai 1991 à San Juan : Rép. dominicaine - Haïti : 1-1 10 mars 1994 à Santo-Domingo : Rép. dominicaine - Haïti : 0-1 26 avril 1996 à Port-au-Prince : Haïti - Rép. dominicaine : 6-0 28 avril 1996 à Port-au-Prince : Rép. dominicaine - Haïti : 1-1 15 mars 1998 à Port-au-Prince : Haïti - Rép. dominicaine : 5-0 19 mars 1999 à Port-au-Prince : Haïti - Rép. dominicaine : 4-0 15 septembre 2006 à Saint-Marc : Haïti - Rép.dominicaine : 3-1 17 septembre 2006 à Port-auPrince : Haïti - Rép. dominicaine :
Pour mieux fêter les 90 ans du Racing Le Racing Club Haïtien tentera dimanche d’obtenir une 3e victoire de rang dans le championnat national de D1 pour mieux célébrer ses 90 années d’existence à l’occasion de la 4e journée. Mais les yeux seront aussi braqués sur le Land des Gabions des Cayes où l’adulé, Luis Armelio Garcia conduira le Victory sur le terrain face au médiatique Wilcuins Plaisir. Le Racing Club Haïtien soufflera samedi ses 90 bougies 24 heures avant d’affronter le Baltimore, son poursuivant immédiat au classement, dimanche, pour le choc de la 4 journée du championnat national de première division. (Avec deux victoires et un nul en trois matches), le Racing Club Haïtien occupe la première place du classement de la compétition depuis la 3e journée et compte deux points d’avance sur un futur adversaire ambitieux et jusqu’ici invaincu dans la compétition. En 2009, le Baltimore avait enterré les espoirs du Racing Club Haïtien de rester en première division et depuis, le face-àface entre ces deux formations devient une vraie confrontation de deux systèmes de jeu, de deux équipes soutenues par des passionnés de foot. Pour le Baltimore, c’est un 3-2-4-1 qui se présente sous la forme de trois défenseurs regroupés, deux latéraux qui couvrent les ailes et qui font que la défense peut se composer de 5 joueurs tout comme la ligne de récupération ou la ligne de soutien du buteur, deux milieux récupérateurs, deux milieux offensifs qui
soutiennent un unique buteur. Pour le Racing, c’est souvent un 4-4-2 qui se transforme rarement en 4-3-3 que Dorvilus manie avec une certaine dextérité et qui permet au Racing Club Haïtien de faire son chemin jusqu’ici.
Sur le banc du Racing Club Haïtien depuis deux ans, Pierre André Dorvilus, qui va coacher le premier match de son club nonagénaire, est celui qui a institué le système du Baltimore. C’est donc en terrain connu qu’il
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27 février 2008 à San Cristobal : Rép.dominicaine - Haïti : 1-2 28 février 2008 à San Cristobal : Haïti - Rép. dominicaine : 2-0 7 décembre 2012 à Saint-John’s : Haïti - Rép. dominicaine : 2-120 mars 2013 à Santo-Domingo : Rép dom - Haïti : ? L’équipe haïtienne : Gardiens : James Elan (Baltimore SC), Jospy Julien (Cavaly AS) et Frandy Montrévil (valencia FC) Défenseurs : Jean Charles Canès (Don Bosco), Vaniel Sirin et Jean Ismaël Voltaire (Victory SC), Jean Garry Rubbin et Wilde Donald Guerrier (América FC), Olrish Saurel (Don Bosco), Jean Robert Jean (Valencia FC) Milieux de terrain : Wilberne Augusmat (Violette AC), Hérold Junior Charles (Tempête FC), Luckner Horat Junior (Aigle Noir AC), Wiselet Saint-Louis (Don Bosco) Attaquants : Junior Alexandre (Baltimore SC), Fritznel Louis (RCH) et Peguero Jean Philippe (Don Bosco). Légupeterson Alexandre
RAPHAEL FÉQUIÈRE
LA GOUTTE D’OH! 90 ans en bleu et jaune 1923 -2013 (23 mars) : quatrevingt- dix bougies pour le Racing Club Haïtien . Si le club bleu et jaune n’est plus ce qu’il était, il n’en reste pas moins vrai qu’il a marqué le football haïtien des quarante dernières années, avec notamment un titre de Concacaf des clubs champions et un nombre important de titres en Coupe Pradel, compétition-phare,et pourvoyeuse en joueurs de talent pour l’équipe nationale. Deux saisons dans l’enfer de la 2e division et plusieurs passages à vide : le Racing plie et ne rompt pas retrouvant ses élans de gagneur pour s’imposer dans le peloton de tête du championnat national de première division. La génération actuelle des dirigeants veut remettre le club sur une nouvelle voie de succès en prenant toutes les dispositions adéquates. Elle bat le rassemblement des meilleures ressources humaines de la vieille famille du vieux lion et sonne le ralliement des membres du fan-club jaune et bleu. 90 ans : il s’agit de consolider les acquis, corriger les erreurs et ajuster les tirs. Et le Racing veut se montrer à la hauteur de cette tâche. Ad multos anos !
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Samedi 23 mars 2013
Pour mieux fêter les 90 ans du Racing conduira le Racing Club Haïtien dimanche. Le public qui effectuera l e déplacement au stade Sylvio Cator, dimanche, assistera au début du l’ère du Racing Club Haïtien nonagénaire avec une victoire au stade Sylvio Cator pour mieux goûter le gâteau d’anniversaire.
Autres lieux autres moeurs. Aux Cayes
Les moeurs ont changé et à l’America et au Victory. Ces deux clubs ont attiré les deux entraîneurs les plus appréciés dans le milieu : Luis Armelio Garcia, côté Victory et Wilcuins Plaisir, côté America. Cependant les clubs respectifs de ces deux entraîneurs n’ont pas démarré en fanfare. Il leur a fallu attendre la 3e journée pour obtenir leur première victoire. C’est justement une semaine après leur première victoire dans la compétition que le Victory d’Armélio Garcia et l’America de Wilcuins Plaisir prennent rendez-vous aux Cayes pour le premier face-à-face des deux entraîneurs ayant le plus fait parler d’eux pendant l’intersaison. Connu pour ses succès avec le Tempête de Saint-Marc et surtout sa compétence théorique dans le milieu du football, Wilcuins Plaisir aura pour lui l’avantage du terrain dans la mesure où ce sont les Cayens qui reçoivent. Seulement, voilà : Luis Armelio Garcia, depuis son passage à la tête de la sélection nationale
haïtienne de football en 2007, est devenu un véritable icône dans l’esprit des fans de football qui le croient capable de révolutionner une équipe. S’il n’a fait qu’une sortie orageuse dans les médias après l’arbitrage qu’il a jugé médiocre à Saint-Marc lors de la première journée, Luis Armelio travaille dans le silence et la patience. Autant dire que la confrontation entre le Victory et l’America des Cayes est très prometteuse et ceci, au Land des Gabions.
Et les autres?
Quatre autres affiches intéressantes sont au programme de cette 4e journée du championnat national de D1. Samedi, l’Aigle Noir affrontera le Valencia au Stade Sylvio Cator en match d’ouverture de cette 4e journée. Battu deux fois de suite après un début victorieux contre l’ASPG, l’ l’Aigle Noir court après un second succès pour abandonner sa 10e place actuelle. Cependant le Valencia qui a déjà connu un revers et qui souhaite conserver son titre de champion national ne se déplacera au stade que dans l’objectif d’une victoire pour retrouver le peloton de tête. Dimanche, le Cavaly accueillera le Don Bosco de Pétion-ville au Parc SaintJean de Gressier dans le but de lui contester sa 6e place au classement et surtout
d’abandonner sa première place de relégable. L’AS Mirebalais (3e au classement) accueillera le Football Inter Club Association (FICA) (9e) au Parc Saint-Louis. Enfin le Tempête de Saint-Marc(4e), après son revers de la 3e journée tentera de renouer avec la victoire en accueillant la lanterne rouge (Association Sportive de PetitGoave) (ASPG) au parc Levelt. Calendrier complet de la 4e journée Samedi 23 mars Stade Sylvio Cator Aigle Noir - Valencia de Léogâne Dimanche 24 mars Parc Saint-Louis de Mirebalais
AS Mirebalais - FICA Parc Saint-Jean de Gressier Cavaly - Don Bosco Parc Levelt de Saint-Marc Tempête de Saint-Marc - AS PetitGoâve Land des Gabions America des Cayes - Victory de Jacmel Stade Sylvio Cator Racing Club Haïtien - Baltimore de Saint-Marc Enock Néré
Sports motorisés / Rally Toro
Une 3e édition différente
L
a compétition s’annonce très serrée cette année pour la 3e édition du “Rally Toro” où les pilotes et motards qui prendront part à l’évènement organisé par Mototech auront à parcourir un total de 245 km sur le trajet Port-au-Prince-Jacmel-Portau-Prince. Meir Vaknin et Jeffrey Boéreau les deux initiateurs du projet n’ont pas le sommeil tranquille ces jours-ci à force de réfléchir et de travailler sur la réalisation de la 3e édition du “Rally Toro” avec le grand objectif de faire de l’évènement sportif un succès sans prècédent. Les dates du 18 et 19 mai sont retenues pour le déroulement de cette activité où sont attendus des véhicules tout terrain du genre Buggy, deux roues et ATV ( trois et quatre roues). Le départ se fera le 18 mai à Pétion-Ville d’où les coureurs emprunteront la route passant par Belot, Shafa, Bonga pour déboucher sur la nationale #2 zone Gressier, carrefour Fauché. Puis un détour sur la route menant aux 101 pas dlo et pour finir à Jacmel comme lieu d’arrivée. Après un moment de détente et de relaxation, rendez-vous sera pris dans l’après-midi pour un grand show de “ weelie for fun “ en un lieu à déterminer par l’organisation dans la métropole du Sud-Est. Une nuit passée à Jacmel, retour à Port-au-Prince en passant par CapRouge, Cayes-Jacmel, Marigot, Seguin, Kenscoff et enfin Pétion-Ville où il sera procédé à la remise de trophées
Meir Vaknin, 3e à partir de la gauche, champion au Rally Frontera
et primes alléchants aux vainqueurs dans les différentes catégories. Le comité organisateur de la 3e édition du “ Rally Toro “ remercie ses sponsors et partenaires qui n’ont pas fait la sourde oreille à son appel à contribution pour la réalisation de cet évènement majeur. Ces remerciements vont à : Haïti Racing Team, IPG, Mototech, BRANA, ARCTIC CAT, Semaje Team Sport, Dom Water, Express HT, Honda, Double Harvest, Refri-grill,Toyota, Fondation Seguin, CK Hardware et Sol.
Comme vous l’avez constaté, la saison est bel et bien lancée dans le domaine des sports motorisés et par le biais de Meir Vaknin qui avait fait le déplacement pour prendre part au traditionnel “Rally Frontera” déroulé les 22, 23 et 24 février dernier, Haïti a obtenu la première place dans la catégorie Buggy (Expert). En fait, Meir Vaknin entend maintenir la flamme pour s’accaparer d’autres titres comme cela avait été le cas au “Dominican Racing Series” en 2013. Amoureux fou de rallyes et ran-
données, Meir Vaknin en compagnie de 35 autres pilotes et motards avaient pris part au “ Ride for Life” déroulé le dimanche 17 mars écoulé sur un circuit de 250 km. Cette activité rentre justement dans le cadre du projet “Explore Haïti” qui voit de temps à autre pilotes et motards avec leur famille parcourir des kilomètres de route, question de faire plus ample connaissance avec la beauté du paysage. Emmanuel Bellevue/manubellevue@yahoo.fr
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22 Mars 2013 No 824
Vente-signature de Quintessence au Karibe le 21/03/2013
Que sa signature était précieuse !!!
La jeune Annie Alerte confirme à la diva que la relève est assurée Émouvante embrassade entre Emeline et le maître de chant James Germain
Emeline et sa manager Yole Dérose émues devant le gâteau-surprise offert par le public
Pour un autographe d’Émeline, faire la queue, c’est peu...