Le Planificateur, Février 2005

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UN CONDENSÉ MENSUEL POUR INFORMER ET ÉCLAIRER LES PLANIFICATEURS

San Diego : Site de la conférence PEC-NA de MPI... voir page 19 DANS CETTE PARUTION Le Special Event Show à Miami

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L’importance du décor

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Le Airbus 380

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Nouvelles hôtelières

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Équipes autogérées

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Quartiers gourmands

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Formation spécialisée

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L’anti-stress : le train

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VOL. 3 Numéro 1

Le rêve californien devient réalité… DE LEO GERVAIS Paraît-il que lorsqu’on songe à la Californie, on pense à Los Angeles mais on rêve de San Diego. Après avoir passé une bonne partie de la semaine là-bas, pour participer au PEC-NA pour Meeting Professionals International, je peux dire sans hésitation qu’il s’agit de la plus belle ville que j’ai visitée aux États-Unis, même en tenant compte du charme de New York. Plusieurs raisons à ceci, et en voici

quelques-unes : la variété des activités, incluant une foule d’excursions et de destinations de type familial; une surprenante collection de restaurants bons et variés; la Vieille Ville et son histoire ainsi que d’excellents musées ; les activités reliées à l’océan; la proximité des montagnes et du désert; les gens sympathiques; et finalement, une température incroyable.

SUITE

À LA PAGE

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MOT

DU RÉDACTEUR

Plan d’avenir Si vous êtes planificateur, vous êtes payé pour penser, organiser et préparer l’avenir. Si vous êtes comme le reste d’entre nous, vous avez besoin de temps et d’énergie pour réaliser votre mission. Cependant, la surabondance des informations menace vos capacités à faire tout cela ; vous devez vous tenir au courant, mais que devez-vous lire et éviter de lire? Le temps est votre outil le plus précieux et irremplaçable. Comment vous en tirer avec le torrent d’informations qui vous inonde? Au Planificateur, notre but est de vous donner de l’information que vous pouvez utiliser, des idées qui vous font gagner du temps et un éclaircissement sur les meilleures nouveautés. Comme toujours, si vous avez des suggestions, idées ou commentaires qui pourraient améliorer notre publication, faites-en-nous part. Comme vous pouvez le constater, nous la gardons simple et recommandons vivement à nos annonceurs de vous fournir des publicités informatives qui peuvent vous aider lorsque vous recherchez quelque chose de spécifique ou de différent. Nous tentons de faire de même avec les articles en les gardant courts mais toujours informatifs. D’après les nombreux commentaires que nous recevons, c’est bien ce que vous attendez. En considérant que nous avons plus que doublé le nombre de planificateurs qui reçoivent notre publication chaque mois (plus de 11 000), nous sommes confiants d’être sur le bon chemin. Comme toujours, merci de nous lire.

Nouveaux collaborateurs : ce mois-ci, notre dernier collaborateur se nomme Walter Galvao, président de Décor avec Grandeur Inc. Il nous explique l’importance du décor lors d’un événement. Votre infatigable (d’autres diront fatigant) éditeur Leo Gervais a doublement travaillé pour ce numéro et vous conte son expérience à San Diego, site pour le PEC-NA 2005... Nous avons également lancé une nouvelle section appelée Les nouvelles hôtelières avec des points intéressants sur les hôtels autour du monde… Enfin, veuillez s’il vous plaît prêter attention à nos annonceurs qui nous aident à publier Le Planificateur chaque mois, et sans qui nous ne pourrions pas le faire. Autre chose : si vous désirez devenir un correspondant mensuel pour Le Planificateur en nous envoyant de 150 à 200 mots par mois pour la rubrique les Nouvelles de l’industrie, veuillez communiquer avec nous à l’adresse suivante : info@leplanificateur.ca

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Prochaine parution : mars 2005

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info@leplanificateur.ca Qu’aimeriez-vous lire? Veuillez m’envoyer vos suggestions par courriel à : lgervais@leplanificateur.ca

Notre mission et notre but Notre mission est d’informer et d’éclairer les planificateurs. Chaque numéro ne contiendra pas plus de 30 à 35 % de publicité (toute cette publicité sera à titre informatif) et le restant de la parution sera réservé à des articles qui aideront les planificateurs d’événements dans leurs activités quotidiennes. Notre but est d’annuellement remettre aux planificateurs les profits accumulés, sous forme de bourses d’études continues.

Publié par : 2105, rue de la Montagne, bureau 100 • Montréal (Québec) • H3G 1Z8 Téléphone : (514) 849-6841 poste 333 • Fax : (514) 284-2282 Vos commentaires sont appréciés : info@leplanificateur.ca Rédacteur : Leo Gervais Rédactrice adjointe : Nathalie Caron Traductrice : Dominique Lamarche Administration : Patrick Galvin, Julie Boisvert Ventes : Camille Lay Collaborateurs : Anne Biarritz, Mike Auctor, Thomas Chalmers, Sharon Danley, Peter De Jager, Cathleen Fillmore, Walter Galvao, Don Murray, Barry Siskind, Harriet Wezena Le Planificateur est mensuellement diffusé à 10 000 professionnels de l’industrie du tourisme et des affaires. 1 000 copies supplémentaires sont distribuées à des travailleurs de l’industrie. Poste-publication No. 40934013

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The Special Event Show 2005 : les dessous de la scène au grand jour... DE CAMILLE LAY

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uelle expérience! Avez-vous entendu parler du The Special

Event Show? Le salon professionnel qui donne aux spécialistes de l’industrie de l’événementiel la chance de commencer chaque année sur les chapeaux de roue : les nouvelles idées s’y bousculent, les contacts s’y multiplient et chacun ressort de cette aventure prêt à réaliser les meilleurs événements qui soient… En voici quelques détails qui, basés sur ma première expérience à ce salon, vous donneront déjà l’envie d’y participer l’année prochaine! Cette première semaine de janvier (le salon a eu lieu du 5 au 8 janvier 2005) a débuté par mon arrivée à Miami Beach, où se tenait l’événement. La ville, reconnue pour son côté festif et « à la mode », était l’idéal pour y découvrir les dernières tendances de l’industrie! En ayant pris connaissance du déroulement du salon, je pouvais planifier de participer à tout ce qui m’était proposé. En effet, The Special Event Show est l’occasion de s’immerger au cœur du marché de l’événement : des milliers de professionnels y participent, provenant de milieux tels que la planification d’événements, le service traiteur, la décoration, le divertissement, le design floral, la location et vente d’équipements, et bien d’autres. Donc, dans un premier temps, l’on y rencontre toutes sortes de fournisseurs, venus du monde entier. Il s’agissait là de l’occasion rêvée de se procurer les idées les plus originales et de nourrir son inspiration! L’autre activité captivante du salon fut de participer aux sessions données par des spécialistes de l’industrie. Au total, plus de 125 heures réparties sur les trois jours du salon et durant lesquelles les meilleurs professionnels dévoilaient leurs savoir-faire et secrets, dans différents domaines : le développement d’affaires, le design, les services de nourriture, la gestion d’événements,

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L’événement “White Hot” a été le clou des divers événements du Special Event Show 2005 à Miami. les ventes et le marketing, les mariages et enfin la location. Prise de notes, nouvelles résolutions et apprentissage de nouveaux concepts ressortaient principalement de ces conférences. Un des côtés les plus fascinants de cette semaine de l’événement a été certainement la participation (facultative) des visiteurs et exposants du salon aux « événements sociaux » : découvrir avec enchantement des manifestations de genres divers, proposées chaque jour par les meilleurs designers/organisateurs de notre génération. De la soirée de grande ouverture, au Gala final, en passant par les déjeuners à thème flamboyants, etc. L’ampleur de ces événements était encore plus frappante grâce au programme Hands on Hundred qui donne l’ooccasion à un nombre limité de volontaires d’assister les planificateurs désignés dans l’organisation méticuleuse des événements. Ainsi s’est déroulé ce surprenant salon, dans une ambiance décontractée et chaleureuse, qui donnait l’occasion à chacun d’entre nous de rencontrer les meilleurs de l’industrie et de revenir dans nos villes respectives avec des idées fraîches et créatives. Préparez-vous dès à présent pour la convention 2006 qui aura lieu à Dallas, Texas, du 10 au 13 janvier. Vous assisterez aux événements les plus « tendance » de l’année, vous stimulerez votre imagination et apprendrez à partager et enrichir votre expérience comme jamais.

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Tendances de l’industrie Bonjour... je souris continuellement...

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Le groupe des hôtels Wyndham a un nouvel employé : un agent de réservation automatisé qui n’est jamais en rogne. La voix automatisée peut se rapprocher d’une conversation avec un agent en chair et en os tandis que vous sauvez du temps et de l’argent. Les appellants pouvaient attendre jusqu’à deux minutes les journées très occupées avant d’avoir du service, ils devront maintenant attendre moins de 15 secondes, dit David Mussa, vice président des réservations chez Wyndham. Ce nouvel outil fait partie d’un groupe d’agents automatisés d’un centre d’appel créé par Alameda de Voxify basé en Californie. Le mois prochain, Aer Lingus adoptera cette technologie, tandis que Continental commencera à utiliser Voxify pour confirmer les réservations en septembre. Voxify dit que ces agents comprennent plus que des mots-clés. «Au lieu de dire New York, vous pouvez dire : Bon, mon frère a réservé un vol qui part de New York, » dit le PDG Adeeb Shanaa.

Sans fil furtif Vous êtes-vous déjà demandé qui sont tous ces gens qui envahissent l’entrée de votre hôtel. Alors que plus d’hôtels ajoutent la technologie d’accès Internet sans fil, des voyageurs avec fourre-tout pour portable qui ne sont pas des clients, ainsi que les locaux, en tirent avantage. À l’hôtel Commonwealth de Boston –près de Fenway Park et la Boston University – tellement de personnes recourraient à l’accès Internet que la direction a commencé à donner des mots de passe aux clients. « Les gens étaient sur la rue adjacente derrière l’hôtel et essayaient de capter notre signal » dit le porte-parole de l’hôtel, Didi Lutz. « Les étudiants sont plus brillants que nous le pensons. » L’accès sans fil gratuit au nouvel hôtel qui a ouvert en juillet dernier au 70 Park Avenue est accessible aux salles de bain des niveaux inférieurs et la direction garde un œil sur les utilisateurs. « À moins que l’on note une recrudescence de pique-assiette, nous ne dirons rien » dit David Chu, directeur des ventes et de la commercialisation. Plus de 6 000 hôtels à l’échelle mondiale offrent la technologie Wi-Fi comparativement à 2 500 en 2003, selon Pyramid Research à Cambridge au Massachusetts. Plusieurs chargent un taux de base pour le service, mais les autres l’utilisent pour attirer une clientèle d’affaires. Mark Johnson éditeur du cybercarnet de voyage HotelChatter.com, dit qu’il organise des réunions dans les halls d’entrée d’hôtels qui offrent la technologie Wi-Fi et a même affiché des messages du hall de l’hôtel Parker de Boston pendant la convention nationale démocratique l’été dernier. « Personne ne m’a jamais découragé de le faire, » dit-il. Quelques hôtels courtisent les non-clients. L’hôtel Monaco de San Francisco a répondu à l’affluence d’utilisateurs de la technologie sans fil en offrant le service aux chambres dans le hall d’entrée ainsi que le soutien aux usagers sans frais et l’utilisation de l’imprimante du centre d’affaires. « Nous vendons à des groupes de 10 personnes, dont certains travaillent dans les magasins de détail autour de nous dans Union Square et utilisent notre hall d’entrée comme une annexe de leur bureau, » dit le directeur général Jimmy Hord. Pour trouver les hôtels avec l’accès Internet sans fil, allez au www.wififreespot.com ou achetez un PCTEL, un chercheur de technologie Wi-Fi (29,95 $), un appareil qui s’attache à un porteclés et capte les signaux de réseaux – mais il ne vous dit pas si c’est gratuit.

Le hasard est le plus grand romancier du monde : pour être fécond, il n'y a qu'à l'étudier. Honoré de BALZAC, La Comédie humaine, avant-propos

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American Airlines vendra des goûters en classe touriste

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hez AMR Corporation, American Airlines n’offrira plus de repas gratuits en classe touriste sur ses vols intérieurs, mais proposera plutôt des repas à la carte, y compris sur de nombreux vols qui n’incluent actuellement que le service de breuvages. Le transporteur aérien de Fort Worth (Texas) prévoit que l’abandon du service de restauration gratuite sur 360 vols intérieurs lui permettra d’économiser 30 millions de dollars. L’entreprise a déclaré qu’elle maintiendra le service de restauration gratuite pour les voyageurs de première classe. Par ailleurs, American n’offrira plus de repas régimes spéciaux (comme les mets cachères ou sans sel) sur ses vols intérieurs transcontinentaux, afin de simplifier les opérations partout dans l’entreprise. Le nouveau service de restauration optionnel a été mis à l’essai sur certaines routes aériennes au mois de septembre 2004 et il sera offert sur tous les vols intérieurs de plus de trois heures. Dans la plupart des cas, on proposera les boîtes goûter du petit-déjeuner et de l’après-midi, au prix de 3 $ chacune. La boîte goûter petit-déjeuner sera composée de produits de marque déposée, comme les barres muffins Nutri-Grain de Kellogg’s, les Craisins d’Ocean Spray, les croustilles Mini Bagel Chips de New York Style et une tartinade au fromage à la crème. Le goûter d’après-midi comprendra des articles comme les craquelins Pepperidge Farm, les tranches de salami de bœuf gourmet Sparrer, une tartinade au fromage cheddar et des biscuits Oreo. Sur quelque 120 vols transcontinentaux et 40 vols sur la route d’Hawaii, American

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Selon un porte-parole d’American Airlines, les sondages d’opinion effectués auprès des passagers indiquent qu’ils préfèrent acheter une boîte goûter de 3 $ plutôt que recevoir gratuitement le sac Bistro, qui consiste le plus souvent en un sandwich froid et des croustilles. Au début, American demandera aux passagers de payer la nourriture en espèces, mais elle envisage la possibilité d’accepter aussi le paiement par carte de crédit ou carte de débit. proposera un choix de mets plus variés, y compris un sandwich roulé à la dinde à 5 $, le midi, et un croissant à la dinde et au fromage, le matin. Sur ces vols, la vente de nourriture remplacera désormais la nourriture offerte à titre gracieux. On continuera d’offrir des bretzels ou des barres granola avec le service de boissons gratuites. À la suite des attaques terroristes de 2001, la plupart des transporteurs aériens ont dû faire face à d’intenses pressions pour réduire leurs coûts; la restriction des services de restauration sur les vols de classe touriste représentait une solution facile. Certains services de restauration ont été rétablis, mais les sociétés aériennes continuent de se battre pour restreindre les dépenses supplémentaires, parce que le prix élevé du carburant, la surabondance de places disponibles et une guerre des prix féroce maintiennent la majorité des transporteurs en situation déficitaire. American proposera sa sélection officielle d’aliments offerts à la vente à compter du mois de février. Cette sélection, croit-on, reprendra les articles les plus abordables proposés lors des essais de septembre dernier.

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L’importance du décor pour un événement Le thème ou la couleur du décor doivent convenir aux invités DE WALTER GALVAO

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e milieu de la planification des réunions et événements nourrit souvent des idées fausses sur l’importance du décor pour le succès d’un événement. Le décor figure parfois comme le dernier élément du budget et, dans la plupart des cas, on ne s’attarde à cet élément que lorsqu’il reste des fonds après la planification des honoraires pour imprévus. Certains participants et délégués des événements sont des habitués qui fréquentent aussi bien les galas, conférences et assemblées annuelles que les réceptions de Noël, salons professionnels et fêtes de départ à la retraite. Ces personnes apprécient le changement. L’époque des réunions sans décor ni accessoires est révolue; aujourd’hui, les participants recherchent une ambiance inspirante, motivante, qui laisse entrevoir un événement différent de tous les autres. Pour créer un décor qui répondra à ces attentes, il est essentiel que le planificateur de l’événement s’informe du thème ou de la couleur du décor qui conviendra le mieux aux délégués ou invités. Les premiers renseignements à vérifier sont le sexe des participants, leur état civil, leur profession et leur niveau de revenu. Chacun de ces facteurs doit être pris en considération dans la planification du décor. Un élément important, que plusieurs planificateurs négligent, consiste à demander à l’entreprise de décor de se rendre sur place pour inspecter tous les aspects du site retenu, y compris les aires de chargement, de s’informer des heures d’accès, de prendre part à des réunions de mise au point et de se faire une idée générale du déroulement de l’événement. Cette approche fournit aussi l’occasion au planificateur de faire connaître la façon dont il envisage le décor. Il faut ensuite prévoir un budget réaliste permettant au décorateur de concevoir un décor qui plaira aux invités tout en respectant l’enveloppe établie. Une fois la proposition de décor complétée, donnez l’occasion au décorateur d’en faire la présentation et passez en revue les éléments qui comptent le plus pour vous. N’hésitez pas à demander qu’on augmente ou réduise la quantité de certaines composantes ni à négocier des prix plus avantageux : la proposition initiale n’est jamais coulée dans le béton. Après avoir accepté la proposition, demandez au décorateur de préparer des échantillons qui seront présentés au client pour son approbation finale. Lorsque vous aurez reçu confirmation du client, assurezvous auprès de l’entreprise de décor que la personne avec laquelle vous traiterez sera la même pour toute la durée du projet, aussi bien dans les étapes préliminaires que pour la mise en place et le démontage du décor. Le planificateur évitera ainsi de devoir répéter la logistique de l’événement à

Décor au Gala Trillium à Toronto, Ontario.

plusieurs personnes. Enfin, après la signature du contrat, il est important de respecter les modalités de paiement (qui devraient être clairement énoncées dans le contrat), de façon à éviter de vous trouver en situation de défaut et de constater que le décor planifié ne sera pas au rendez-vous. Walter Galvao est président de Décor With Grandeur Inc., une entreprise de décor à service complet située à Toronto (Ontario). Il sera conférencier invité au Canadian Special Events & Meetings Expo qui se tiendra en mars 2005. Vous pouvez visiter le site Web de la société, à : www.decorwithgrandeurinc.com.

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C’est un oiseau, c’est un avion... c’est un très gros avion! Le Airbus 380 est prévu d’entrer en service en 2006

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epuis 35 ans, le Boeing 747 a été le champion poids lourd des avions de ligne à réaction. Mais le nouvel Airbus 380 promet une mise hors de combat et l'obtention du titre de nouveau champion. Avec une capacité de 850 passagers (200 de plus que le 747), une envergure d’aile plus grande que 70 espaces de stationnement, et un fuselage plus long que huit autobus, la société Airbus a lancé le nouvel avion de ligne le 18 janvier à son quartier général de Toulouse en France. Le nouvel avion est de 15 mètres plus large, de quatre mètres plus haut et de deux mètres plus long que le Boeing 747. Il y aura un escalier qui s’élevera du pont principal jusqu’à un niveau supérieur où seront assis les passagers de la première classe et de la classe affaires. Les sièges de la classe économique occuperont le pont principal qui se divisera en quatre ailes et comptera 49 % plus d’espace que le 747, selon Airbus. Les entrailles de l’appareil disposeront d’un troisième pont qui accueillera les salles de bain, les couchettes, les douches ou les aires réservées aux membres de l’équipage. Airbus suggère que cet espace soit aussi fonctionnel afin d’être utilisé comme bar-salon pour une réception et un espace pourrait être aménagé avec une table de billard.

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Les compagnies aériennes espèrent que la capacité additionnelle de sièges leur permettra de réduire leurs coûts de 15 %. Les officiels de l’aéroport de Heathrow d’Angleterre prédisent que d’ici 2016, l’introduction de l’Airbus 380 signifiera 10 millions de plus de passagers qui transiteront dans leurs installations à chaque année sans augmenter le nombre de vols. L’aéroport investira 842 millions de dollars pour construire de nouvelles installations qui permettront de recevoir des appareils de cette envergure. Les autres aéroports qui se préparent pour cet avion comprennent John F. Kennedy à New York ainsi que Los Angeles, Tokyo, Séoul, Hong Kong, Bangkok et Francfort. À ce jour, quatorze clients se sont engagés à acheter 149 A380s (à un prix unitaire de 280 millions de dollars américains), mais Airbus dit qu’elle doit vendre 248 appareils pour atteindre le seuil de la rentabilité. Il est prévu d’entrer en service en 2006. En 2008, FedEx sera le premier opérateur à prendre livraison d’un A380-800F, la version avion-cargo de cet appareil. Pour plus d’information, visitez le www.airbus.com

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Nouvelles hôtelières du Village Global Préparez-vous à négocier Attention planificateurs d’événements : préparez-vous pour des négociations plus serrées en 2005. Selon les prédictions du U.S. Lodging Forecast de PricewaterhouseCoopers (PWC), les planificateurs se dirigent vers un marché de vendeurs plus spécialement durant des périodes de plus grand achalandage. Ce tournant s’applique non seulement aux tarifs des chambres, mais aussi à la nourriture et aux boissons, aux frais de location d’espace de réunions et autres frais reliés aux réunions, disait Bjorn Hanson de PWC lorsqu’il a été cité dans un récent article de l’Association Meeting. Le taux moyen quotidien a monté de 3,7 pour cent à la fin de 2004 soit 86,03 $, une hausse marquée relativement à 83,08 $ à la fin de 2003. Pour les deux prochaines annnées, le taux moyen d’occupation est prévu d’augmenter à 61,5 en 2005 et 62,1 en 2006 comparativement à 59,2 en 2003 et 60,6 en 2004. PWC attribue cette augmentation à une combinaison de croissance économique et de développement modéré du bassin de chambres d’hôtels. Les établissements de luxe sont les plus grands bénéficiaires de cette reprise économique : le taux moyen d’occupation de fin d’année était prévu monter de 2,8 pour cent pour 2004, les établissements plus économiques devant finir l’année avec le niveau le plus bas du tarif quotidien moyen et une augmentation de l’occupation.

C’est écrit dans les étoiles 8

Vous recherchez absolument le meilleur traitement pendant votre voyage? Il est peut-être temps de visiter un hôtel six étoiles. Comprenant tout, même les maîtres d’hôtels, les piscines privées – et les prix qui représentent un dépôt appréciable sur une voiture neuve – ils visent les classes bien nanties. Horst Schulze, l’ancien président de la société Ritz-Carlton, dit qu’il planifie lancer une chaîne six étoiles l’an prochain dans des sites dont un château autrichien ainsi qu'au Mexique, en Irlande, en Italie du sud et à Atlanta. Schulze veut que sa chaîne soit mentionnée dans le même souffle que les places si-vous-devez-le-demander-vous-ne-pouvez-vous l’offrir tel le Burj Al Arab à Dubai, dont la chambre la plus petite fait plus de 1 800 pieds carrés. Les voyages de luxe semblent rebondir après plusieurs

mauvaises années, avec les hôtels de catégorie supérieure qui profitent d’une hausse de 9 % de leurs profits d’exploitation pour le premier semestre de 2004, selon PKF Consulting. Selon un analyste de Merrill Lynch, il y a plus de 7,7 millions de millionnaires dans le monde. Les États-Unis en comptent 2,3 millions avec une croissance supposée de 7 % de leur fortune sur une base annuelle d’ici 2008. Aux États-Unis, le cinq étoiles a longtemps été un synonyme du plus haut niveau de luxe qu’un hôtel pouvait se permettre, toutefois, Mobil Travel Guides, l’arbitre principal des étoiles hôtelières aux États-Unis, donne rarement cette classification à un hôtel individuel. Selon les estimations de Mobil, un hôtel est un cinq étoiles s’il rencontre une liste exhaustive de critères incluant les salles de bain qui ont une pièce séparée pour la toilette avec un téléphone. Les chaînes Quatre Saisons et Ritz-Carlton sont souvent reconnues comme des chaînes cinq étoiles.

Graisser la patte pour délier les langues Vous êtes-vous déjà demandé si le concierge qui vous a recommandé à un certain restaurant a reçu un cachet pour vous y envoyer? Selon un rapport récent dans le New York Times, les clients de plusieurs hôtels se sont plaints des informations peu fiables des employés d’hôtel parce que ces derniers ont été payés pour donner ces informations. Les experts désignent comme principale coupable la relation grandissante entre les hôtels et les restaurants locaux, qui récompensent les références de concierge par des repas gratuits, des commissions ou de l’argent, dit le Time. Cette pratique courante européenne devient prépondérante au Canada et aux États-Unis. Le gain le plus courant est un repas gratuit offert au concierge et à son superviseur. Toutefois, quelquefois il y a un cachet pour chacun des clients référés ou même un pourcentage de l’addition du client. Un représentant du National Concierge Association défend les repas gratuits comme une façon, pour le concierge, d’évaluer un restaurant mais il a ajouté que les versements en argent dépassent les bornes. D’un autre côté, certains disent que le client est le coupable puisqu'il ne donne pas un pourboire adéquat au concierge pour ses bons conseils. Cela amène le concierge à rechercher sa rémunération ailleurs. Les planificateurs doivent être avertis de cette pratique et faire des recommandations basées sur des recherches concluantes.

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Nouvelles hôtelières du Village Global Réserver des problèmes Au cours des dernières années, la plupart des hôtels – plus spécifiquement les propriétés d’affaires – permettaient aux clients d’annuler leur réservation jusqu’à 18 h le jour de leur arrivée. Mais maintenant le courant change. Alors que les gens d’affaires reprennent leur route, beaucoup d’hôtels demandent à leurs clients d’annuler au moins 24 heures avant l’arrivée prévue, tandis que d’autres repoussent le délai d’annulation à 72 heures dans un but de faire plus d’argent avec un taux d’occupation qui augmente. Alors, ne prenez pas de risque et informez-vous de la politiques d’annulation avant d'effectuer votre réservation.

Leurs dépenses feront gonfler les marges de profit des hôtels jusqu’à atteindre 20,8 milliards de dollars en 2005, selon les prévisions. Ceci est une hausse comparativement aux 12,8 milliards de dollars de 2003 quand le déclin de l’économie et la guerre au Moyen-Orient ont défavorisé les voyages. De plus, les propriétaires influents d’hôtels, comme la société commerciale publique Host Marriott Corp., font pression sur leurs dirigeants pour être plus agressifs en faisant monter les prix. La plupart des planificateurs d’événements corporatifs – 55 % parmi plus de 900 personnes qui ont participés au sondage – disent que les tarifs d’hôtel sont parmi les facteurs les plus importants lors de la sélection d’une destination, selon un sondage annuel de Yesawich, Pepperdine, Brown & Russell.

Alors que les profits des hôtels augmentent, Fairmont met le pied en Europe les bonnes affaires se font rares La marge de profits augmentera de 25 % en 2005, selon un récent sondage. PricewaterhouseCoopers a dit dans ce sondage que la hausse des tarifs de chambre est la principale composante de la hausse des profits. Les hôtels ont tirés d’un coup sec sur les rabais Internet et les autres offres d’affaires alors que les clients ont réapparu avec des profits d’entreprise appréciables.

Les Hôtels Fairmont ont annoncé le 19 janvier qu’ils assureront la gestion de l’hôtel Savoy de Londres. Construit en 1889 comme annexe adjacente au Savoy Theatre de Richard D’Oyly Carte, le Savoy compte 263 chambres et offre 19 000 pieds carrés d’espace de réunion distinctif, des points de vue fabuleux sur la Tamise et un emplacement incomparable près de Covent Garden, des théâtres du West End, de Trafalgar Square et du quartier des affaires de la City.

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Équipes autogérées = gestionnaires affaiblis? DE PETER DE JAGER

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es équipes de travail autogérées ont besoin de plus qu’une reconnaissance en paroles d’un concept qualité populaire. Pour qu’elles aient quelque chance de succès durable, on doit leur donner l’occasion de connaître des échecs.

Le concept d’équipe de travail autogérée repose sur la compréhension du terme « habilitation ». L’habilitation est plus qu’une simple délégation de tâches. Ce concept signifie qu’un employé a autorité pour agir sans devoir obtenir l’aval de son gestionnaire (et sans devoir s’excuser auprès de lui). Des gestionnaires bien intentionnés s’abstiennent parfois d’emprunter cette voie en raison de son côté « obscur », qu’on préférerait éviter. Par définition, en effet, l’habilitation des employés n’entraîne-t-elle pas une perte de pouvoir pour les gestionnaires? Perdre du pouvoir? Cette seule pensée donne le frisson à quiconque a lutté pour rejoindre le club sélect de la gestion. Ce n’est pas ce qui était prévu! Nous sommes devenus gestionnaires pour prendre des décisions. Or, l’habilitation et les équipes autogérées, lorsqu’elles fonctionnent, retirent au gestionnaire le privilège de décider. C’est du moins ce qu’on pourrait penser à première vue. Les 10 gestionnaires gèrent des personnes. Ils fixent des objectifs conformes aux objectifs généraux de l’entreprise et ils embauchent des gens pour atteindre ces objectifs. Ces deux activités offrent à elles seules suffisamment d’occasions de prendre des décisions pour satisfaire n’importe quel gestionnaire compétent. Mais quels sont donc les secrets du succès des équipes de travail autogérées? Il y en a six. Les trois premiers sont directement liés à nos talents à titre de gestionnaire. (Vous voyez, nous avons encore des responsabilités, même si nous prenons moins de décisions!)

Communiquez les objectifs La question est la suivante : Quel objectif établirons-nous pour notre équipe? Il ne s’agit pas d’arrêter la façon d’atteindre cet objectif. L’équipe décidera quels moyens elle doit mettre en œuvre pour y arriver. Comment cet objectif s’intègre-t-il dans la stratégie de l’entreprise? Pourquoi est-il important? Quelle est sa place dans les objectifs globaux? Il est important que l’équipe connaisse la réponse à toutes ces questions pour pouvoir contribuer à la réalisation de l’objectif. Les questions fondamentales que chacun partage sont : « Qu’ai-je à gagner en poursuivant ce but? Pourquoi est-ce important pour moi? ».

Surveillez les progrès L’équipe se dirige-t-elle vers l’objectif? Si ce n’est pas le cas, estelle en mesure d’apporter elle-même les correctifs nécessaires? La situation exige-t-elle plutôt l’intervention du gestionnaire?

Chaque intervention de la gestion ralentit l’apprentissage et la progression de l’équipe de travail autogérée.

Fournissez un accompagnement Le rendement s’évalue en termes de résultats obtenus. Quand l’objectif est atteint, il faut le reconnaître. Quand il ne l’est pas, la stratégie appropriée est l’accompagnement, non les sanctions. La notion de gestionnaire accompagnateur est certes relativement nouvelle pour beaucoup de gens; pourtant, une stratégie du genre « les sanctions prendront fin quand le moral sera meilleur » n’a jamais été très productive. Les trois autres secrets sont axés sur l’aspect « perte de pouvoir ». Ils vont à contre-courant de tout le concept classique de la gestion. Avant de les rejeter du revers de la main… prenez au moins le temps de vous demander comment vous pourriez réagir à leur égard si votre propre gestionnaire les adoptait.

Évitez d’intervenir Après avoir formé une équipe de personnes qualifiées et compétentes et établi des objectifs clairs, retirez-vous et donnez-leur liberté d’action. Cette formule est une profession de foi envers notre équipe et, en conséquence, envers nous-même. Avons-nous recruté les meilleurs candidats possibles? Dans l’affirmative, ces personnes sont les mieux placées pour réaliser nos objectifs. Si ce n’est pas le cas, pourquoi les avoir embauchées?

N’offrez pas les réponses Une équipe de travail autogérée devrait être en mesure de trouver ses propres réponses et ses propres solutions. Il arrive qu’elle connaisse la réponse à une question mais désire néanmoins vérifier qu’elle adopte « la bonne approche ». Dans la mesure où l’objectif est d’enseigner à l’équipe de prendre de bonnes décisions, leur fournir les réponses équivaut à contrecarrer cet objectif à long terme.

Laissez l’équipe commettre des erreurs Cette stratégie est la plus difficile à respecter. Une équipe autogérée commet des erreurs. Pour progresser, l’équipe doit pouvoir tirer des leçons de ses propres erreurs. En intervenant pour empêcher que des erreurs soient commises, nous échouons dans nos efforts pour mettre sur pied une équipe autonome. Quel genre d’erreurs pouvons-nous nous permettre? Quel niveau de connaissances désirons-nous inculquer à l’équipe? En dernière analyse, le véritable secret des équipes autogérées passe par une prise de conscience du fait que les personnes sont réellement capables de s’autogérer, à la condition d’avoir des objectifs adéquats et une formation appropriée.

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Un guide pour les gourmands à Montréal

AGENDA —Événements à venir—

DE ANNE BIARRITZ

20 au 23 mars 2005

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Association of Collegiate Conference and Events Directors International Conférence annuelle Hôtel Renaissance de Nashville. www.acced-i.colostate.edu

otre dernière trouvaille : Quartiers Gourmands, le nouveau guide de commerces alimentaires spécialisés qui répertorie pour vous 284 adresses gourmandes! Destiné aux passionnés de bon goût, ce formidable recueil vous fera découvrir de récents établissements, d’autres grandissants, des épiceries fines aux marchés ethniques, en passant par les marchés de quartier, boulangeries, pâtisseries, chocolateries, boucheries, poissonneries, fromageries et bien d’autres encore… De quoi émoustiller Un bon livre pour tous. vos papilles et apporter à vos événements un savoir-faire culinaire que vous améliorerez à travers cet itinéraire gastronomique. En partenariat avec l’association Slow Food (par opposition à Fast Food), le guide 2005 défend ainsi l’écogastronomie et la biodiversité et se donne pour mission d’éveiller votre goût et de vous faire découvrir des producteurs d’ici et d’ailleurs. N’attendez pas et procurez-vous cette « bible » de l’art de la cuisine, distribué dans plus de 125 points de vente sur Montréal et la Rive-Sud. Pour plus d’informations, contactez Quartiers Gourmands, tél : (514) 276-0386 ou gourmands@annuaire-outremont.com.

FÉVRIER 2005

21 et 22 mars 2005 Meeting Professionals International Mid-America Conférence et salon commercial Mid-America, Louisville, Kentucky. www.mpimidamerica.com, 1 (800) 626-1814.

31 mars au 3 avril 2005 International Association of Conference Centers, Roanoke, Virginie. www.iacconline.com, (314) 993-8575.

6 et 7 avril 2005 Hospitality Sales and Marketing Association International, Affordable Meetings Mid-America Navy Pier, Chicago. Contact : George Little Management, (914) 421-3200; www.affordablemeetings.com. 11

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Écrivez-nous à : info@leplanificateur.ca


La vue de La Jolla, juste au nord du centre de San Diego. Surfers et plongeurs abondent sur cette côte manifique.

San Diego : soleil, surf et plaisir 12

ARTICLE ET PHOTOS PAR LEO GERVAIS

V

ous penserez qu’il est presque impossible qu’un endroit peuplé de 1,2 million d’habitants (septième plus grande ville des ÉtatsUnis) puisse paraître spacieux mais San Diego l’est pourtant. Peut-être grâce aux 70 milles de plages étincelantes! En fait, le comté de San Diego, qui inclut San Diego et 17 autres villes incorporées comme Carlsbad, La Mesa et Del Mar représente à peu près 2,8 millions de résidents, apparemment tous heureux d’y vivre. Et comment! La température moyenne est de 70 degrés Fahrenheit (21o Celsius) et la plupart des journées sont ensoleillées, avec moins de 10 pouces (25mm) de précipitations par année.

Lieu de naissance de la Californie et à l’origine habitée par les Indiens, la région a été gouvernée par l’Espagne, le Mexique et les États-Unis (depuis 1846). Avec environ 53 000 chambres d’hôtel et un impressionnant centre de conventions de 525 000 pieds carrés (récemment classé numéro un en Amérique par l’enquête annuelle des cadres associatifs), et la recrudescence des activités de bateaux de croisières, San Diego est une destination unique avec beaucoup à offrir aux groupes qui veulent y tenir une réunion ou une convention. Le meilleur de tout : l’aéroport est proche de la ville, avec très peu de trafic. Sur le page suivante, j’ai listé pour vous les attractions et les sites à ne pas manquer dans cette ville fabuleuse de la Californie.

357 chambres et suites 18 salles de réunion pouvant accueillir jusqu’à 350 personnes Relié au Palais du Congrès

Demander nos tarifs spéciaux saisonniers

360, rue St-Antoine Ouest Montréal, Québec H2Y 3X4 514-987-9900 www.montreal.intercontinental.com

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Tant de choses à voir à San Diego La Jolla : située sur l’un des plus beaux littoraux du monde, cette ville côtière est un vrai paradis pour les fans de soleil, les surfeurs et …les acheteurs! Imaginez Rodeo Drive près de l’océan. Les bons restaurants abondent (n’oubliez pas votre carte de crédit) et le meilleur de tout, pas de parcomètre. CONSEIL : planifiez de rester toute une journée, il y a beaucoup à voir et rendez-y-vous tôt pour une place de stationnement.

Un surfer sur les vagues du Pacifique. Coronado Island : techniquement une péninsule, on y trouve la plage municipale de Coronado mondialement réputée, au sable blanc et aux eaux calmes idéales pour nager. L’Hôtel Del Coronado s’y trouve aussi, prisé depuis plus d’un siècle par les plus riches, les stars de cinéma et les présidents américains pour y séjourner. « Le Del » a aussi été un site choisi par plusieurs productions hollywoodiennes telles que Some like it hot avec Marilyn Monroe. Vous pouvez vous y rendre via le pont de la baie de San Diego-Coronado. CONSEIL : optez pour un tour de la ville de trois heures (environ 30 $US) et arrêtez-vous au « Del » en chemin. Si vous aimez l’endroit, vous pourrez toujours y retourner plus longuement et visiter l’hôtel et la plage situés juste derrière. Voir les baleines : que diriez-vous d’une sortie en pleine mer comme le Capitaine Ahab pour regarder les baleines? Je suis allé au Hornblower et, après à une visite touristique des installations militaires et des plages de la baie de San Diego, nous nous sommes rendus en haute mer (d’accord, nous n’étions qu’à quelques milles de la côte mais vous voyez ce que je veux dire). Après 60 minutes, nous avons aperçu notre première baleine et notre émerveillement grandissait au fur et à mesure que les baleines grises soufflaient leur jet à plus de 15 pieds en l’air! Il n’y a rien de comparable au fait d’être en mer et de voir le plus gros mammifère au monde s’oxygéner à la surface de l’eau. CONSEIL : malgré les apparences du temps ensoleillé ou chaud, apportez une veste avec vous : la température baisse considérablement en mer sur un bateau. Pour plus d’informations, visitez le site www.hornblower.com

L’Hôtel Del Coronado a ouvert en 1888 et reste populaire. 13

Le zoo de San Diego : un des zoos les plus populaires du monde, ce site de 100 acres possède 4000 animaux incluant lions, tigres, éléphants et pandas (prêtés par la Chine). Empruntez le tram aérien Skyfari pour une vue du ciel ou promenez-vous sur les nombreux chemins pour profiter de l’impressionnante faune et flore. À ne pas manquer : la maison des reptiles, pleine de serpents et de lézards en tout genre. CONSEIL : allez-y tôt le matin pour éviter les foules et optez pour le tour de 35 minutes en bus à 2 étages. Vous pourrez ainsi voir plus de 70 % des animaux. Ensuite, dirigez-vous vers les pandas pour, après, revenir à la maison des reptiles. Le quartier des lampes à gaz : avec plus de 100 restaurants, 35 bars et clubs de nuit, galeries, boutiques et cinémas, ce quartier historique s’étend sur 16 blocs et demi et renferme des plaisirs pour tous les goûts. Je recommande vivement deux endroits : Café Sevilla (spécialités espagnoles et musique flamenca) et le Sidebar (club branché et lounge). CONSEIL : demandez au directeur du Sidebar, Mike Georgopoulos, le « Canuck », un mystérieux mélange de jus de fruits et liqueurs, nommé par votre très cher et inventé par l’as du bar Derek. Super cocktail! Autres recommandations : la Vieille Ville, Legoland (super pour les enfants!) et Seaworld San Diego. Pour plus d’informations, contactez l’Office des congrès et du tourisme de San Diego au (619) 2361212 ou visitez leur site www.sandiego.org

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Palmiers et art déco sont fréquents à San Diego.


Formation spécialisée en vue des expositions DE BARRY SISKIND

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ne des phrases suivantes vous semble familière? • Mes employés participent à des expositions depuis des années : ils savent ce qu’ils doivent faire. • Nous n’attachons pas une grande importance aux salons professionnels. • Nous ne vendons aucun produit; nous ne pouvons donc pas mesurer le succès de notre participation. • La seule raison de notre présence est que notre compétiteur s’y trouve aussi. Vous pourriez en rajouter quelques-unes? Pourtant, cet état d’esprit ne vous empêche pas de maintenir le programme de participation de votre entreprise aux expositions. N’aimeriez-vous pas savoir que votre investissement a été rentable? Ne vous plairait-il pas de penser que vos employés se sont investis sérieusement dans l’événement et qu’ils étaient outillés des compétences nécessaires pour obtenir des résultats concrets? C’est justement le but de la formation spécialisée en vue des expositions. Voici sept éléments que vous devriez examiner en choisissant un tel programme : 14

1. Le contenu et l’étendue du programme. On peut consacrer quelques heures ou plusieurs années à apprendre tout ce qui concerne les expositions. Vous devez évaluer le niveau de détails qui vous sera utile et vous demander si l’envergure du programme offert sera avantageuse pour vous et pour vos employés de stand. 2. La crédibilité. Au dernier recensement, des centaines de formateurs affichaient la rubrique « formation d’exposants » sur leur liste de cours. On trouve des formateurs généralistes et des spécialistes. Vous devez décider si vous voulez recevoir une formation théorique ou apprendre les détails pratiques du marketing des expositions. 3. La pertinence. La matière correspond-elle aux tendances actuelles que vous observez dans les salons auxquels vous participez? 4. L’applicabilité. Quand vous concluez une entente pour une formation en entreprise, vous pouvez à bon droit vous attendre à recevoir une formation adaptée à vos besoins précis. Si vous optez pour un atelier ouvert à tous qui présente des données de nature plus générale, assurez-vous que le contenu proposé répond aux besoins de votre entreprise. 5. La documentation. Il y a des limites à la quantité d’informations qui peuvent être transmises au cours d’un atelier. Assurez-vous que le formateur accompagne sa présentation d’une documentation suffisante pour vous permettre de revoir chacun des sujets traités à une date ultérieure. 6. La disponibilité du formateur après la fin de l’atelier. Des questions surgissent toujours après la fin de l’atelier. Choisissez un formateur qui sera disponible pour répondre à vos questions. 7. Le coût. Cet élément devrait être le moins important dans votre prise de décision. Si votre programme d’exposition vous tient à cœur et que vous voulez constater une amélioration, le montant investi dans la formation ne représentera normalement qu’une petite fraction de votre investissement global. Le coût de la formation peut varier entre la gratuité (certains gestionnaires de sites d’exposition offrent une formation gratuite aux exposants), un débours de quelques centaines de dollars pour participer à un atelier ouvert à tous et un investissement de quelques milliers de dollars pour une formation dispensée en entreprise.

L’essentiel Des études ont démontré qu’un programme de formation structuré en vue des expositions peut donner des résultats extraordinaires. Si vous attachez de l’importance à votre investissement dans les expositions et désirez obtenir des résultats en bout de ligne, alors doter votre équipe des compétences requises est une sage décision. Barry Siskind, Président International Training and Management Company www.siskindtraining.com

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TETLEY AVOCATS Immigration au Canada & aux États-Unis pour • Investisseurs •Entretrepreneurs • Travailleurs qualifiés • Permis de travail • Permis d’études • Aides familiales Tél : (514) 875-0805 Fax : (514) 875-4999 tetley@cyberglobe.net

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5 à 300 personnes Au coeur de l'action, près du transport public, stationnement abondant 180 chambres, tarifs spéciaux pour conférences

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L’offre « Read & Return » pour grands voyageurs V

oici une offre « moitié prix » qui plaira aux voyageurs : vous pouvez acheter le dernier roman de Tom Clancy à la librairie de votre aéroport local, le lire pendant le vol, puis le revendre pour la moitié du prix d’achat à votre arrivée. Selon le Wall Street Journal, de nombreux vacanciers découvriront cette offre dans les 206 kiosques et 19 librairies de Paradies Shops Inc., une des librairies aéroportuaires les plus importantes du pays. À une époque où plus d’un déplore le prix de détail élevé des livres – particulièrement dans les aéroports, où les réductions sur le prix suggéré sont rares – le programme « Read & Return » (Lisez et rapportez) n’a pas manqué d’attirer l’attention du milieu de l’édition. Le programme fonctionne de la façon suivante : un client se présente à un point de vente Paradies, par exemple au kiosque CNBC de l’aéroport international de Milwaukee, et achète le livre My Life de l’ancien président Bill Clinton au prix de détail suggéré, soit 35 $. À la caisse, le reçu est broché à la jaquette du livre ou y est collé avec du ruban adhésif. On remet aussi au client un signet sur lequel figure la liste de tous les aéroports où Paradies fait affaire au pays. En conservant son reçu de caisse, le voyageur pourra rapporter My Life dans les six mois suivant l’achat et recevoir 17,50 $ (peu importe l’état du livre). À moins que le livre soit 16 trop endommagé, le détaillant l’offrira à nouveau en vente

comme livre usagé, à 17,50 $. La société Paradies, qui a son siège à Atlanta, a des activités commerciales dans 63 aéroports, sous la dénomination Paradies et sous des dénominations telles Arch News & Gifts, à St-Louis, et d’autres dénominations concédées en licence, comme CNBC. On peut trouver plus de renseignements sur la chaîne de magasins en consultant le site Web : www.theparadiesshops.com.

Mais que lire? On propose tous les mois des dizaines de nouvelles parutions, mais nous ne pouvons consacrer qu’une certaine partie de notre temps à la lecture. L’inventaire de The Complete Review (en anglais seulement) peut se révéler fort utile… Il s’agit d’un site Web qui se décrit comme un salon et site de revue littéraire (« A Literary Saloon and Site of Review »). En place depuis six ans, le site offre à ce jour un tour d’horizon de plus de 1 300 livres, nouveaux et anciens. On y retrouve plusieurs rubriques, notamment les nouveautés (What’s New), les favoris (The Best), les autres (livres étrangers, peu connus ou inusités) et l’index des ouvrages répertoriés. Les amateurs de lecture apprécieront The Complete Review, à l’adresse : www.complete-review.com

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L’anti-stress : le train PAR NATHALIE CARON

A

vez-vous déjà considéré les avantages d’un voyage en train comparativement à celui de l’avion? Les aéroports des grandes villes sont souvent situés en périphérie de celles-ci. Cela entraîne plus souvent qu’autrement une course contre la montre pour les gens d’affaires qui doivent se rendre à Québec, Toronto ou Montréal. Donc, debout à l’aurore afin d’arriver à l’aéroport près de deux heures avant le départ prévu et rendu à destination prendre un taxi à l’heure de pointe pour se rendre dans la majorité des cas au centre-ville et tout cela sans parler du retour. Le train vous propose un voyage en tout confort de centre-ville à centre-ville; vous devez vous présenter environ 20 à 30 minutes avant le départ pour monter à bord et une fois à destination, le trajet entre la gare et le lieu de votre rendez-vous peut se faire à pied ou vous pouvez recourir à un taxi pour une course qui ne devrait pas prendre plus de quelques minutes. En novembre dernier je devais assister à un événement dans la ville de Québec en soirée. J’ai donc consulté l’horaire des trains, il y avait un train qui quittait Montréal à destination de Québec à 16 h. J’ai réservé un billet VIA 1, la première classe offerte par VIA. Le billet de première classe vous donne accès au salon Panorama où vous pouvez prendre un rafraîchissement et consulter les dernières nouvelles écrites ou télévisées avant votre appel prioritaire d’embarquement. Une vingtaine de minutes avant mon départ j’ai quitté mon bureau situé de l’autre côté de la rue, je me suis rendue à la porte

correspondant au quai d’embarquement et quelques minutes plus tard j’étais bien installée dans mon siège dans une voiture Priva. Cette dernière est configurée avec un salon à l’avant qui vous donne la possibilité d’y déguster un apéritif avec vos amis ou collègues ou feuilleter vos documents; il n’y a aucun service de nourriture. Dans la seconde partie de la voiture, vous y retrouvez deux rangées de sièges, une rangée double et une rangée simple, chacun disposant d’une prise de courant afin d’y brancher un ordinateur portatif. Dès le départ de la gare, les agents de bord débutent le service, vous ne verrez pas le temps filer et surprise, vous serez rendu à destination. Tout d’abord l’apéritif est servi, suivi du repas, une salade en premier service et ensuite un plat chaud (selon les heures pendant lesquelles vous voyagez), le tout accompagné de vin blanc ou rouge. Les repas sont préparés par la brigade de cuisine de VIA sous la direction d’un vrai chef. Les menus sont disponibles le mercredi précédent votre départ; au moment de votre réservation, vous pouvez consulter le menu et faire votre sélection parmi les 25 mets offerts, ce qui vous assurera d’obtenir votre choix de repas. Plusieurs alternatives sont offertes telles les repas cachères, les repas sans sel, les repas faibles en gras, etc. Tous les repas et les breuvages sont servis dans de véritables assiettes et verres, n’est-ce pas plus agréable que le plastique? Après votre dessert, les agents de bord vous proposent un digestif avec mignardises.

SUITE

À LA PAGE

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Via offre plusieurs avantages aux gens d’affaires dans la voiture Priva (à gauche); le corridor Québec-Windsor (à droite) est très populaire de même que celui qui traverse les rocheuses. (PHOTOS COURTOISIE DE VIA)

VIA propose des alternatives aux planificateurs SUITE DE LA PAGE PAGE

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Au moment d’arriver à destination, vous récupérez votre manteau, placé au vestiaire à l’arrière de la voiture, vos effets personnels et si vous transportez une valise, elle peut être laissée à l’entrée de la voiture dans le rangement à bagages. Quelques minutes plus tard à la descente du train, vous traversez la gare et vous voilà prêt à héler un taxi ou à prendre une marche de santé jusqu’à votre lieu de rendez-vous. 18

Le lendemain matin, même scénario, cette fois j’ai monté à bord du train à Ste-Foy au lieu de la gare au centre-ville de Québec, les agents de bord nous accueillaient avec le sourire et voilà que recommence la valse des cafés et le service d’un bon déjeuner chaud avec jus de fruits. Ghyslain Chiasson, directeur des services, m’a gentiment accordé quelques minutes afin de me parler des différents services offerts par VIA. À 9 h 05 j’arrivais à mon bureau, qu’elle a été la grande surprise de mon patron, car habituellement je fais acte de présence seulement vers 10 h!

Plusieurs possibilités existent avec les trains VIA propose aussi des alternatives aux planificateurs d’événements désireux de faire voyager un groupe soit en classe économique, soit en classe VIA 1. Selon la taille du groupe, une voiture peut être mise à leur disposition sur les trains Renaissance; il est possible d’y faire une présentation, d’y tenir une réunion et même de divertir vos délégués. Les ordinateurs personnels peuvent se brancher dans toutes les voitures. Toutefois, si votre groupe est plus restreint et que vous voyagez avec VIA 1 vous pouvez utiliser le salon à l’avant de la voiture Priva. « Notre service de réunion et de voiture privée sort de l’ordinaire. Il offre des tarifs spéciaux pour délégués à un congrès ainsi que des voitures privées bénéficiant du service offert par VIA Rail Canada en première classe ou en classe économique, avec en option le service Confort Plus, pour toutes les destinations de notre réseau. Il propose même des services entièrement sur mesure, précisément adaptés aux besoins particuliers de votre groupe, » selon l’équipe des ventes de VIA. Redécouvrez le train : quelle agréable façon de voyager en toute quiétude d’esprit; plusieurs autres services sont aussi offerts par VIA en première classe. Je viens de partager mon expérience avec le Service VIA 1 offert dans le corridor Québec – Windsor. La classe Bleu d’Argentmc (Toronto-Jasper-Vancouver) et la classe Alizésmc (Montréal-Moncton / Halifax ou Gaspé) vous feront aussi vivre des moments inoubliables. Pour plus de renseignements, appelez VIA Rail Canada au 1 888 842-0588 ou visitez le www.viarail.ca •••

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MÉMOIRES DE LA PEC-NA 2005 Dans le sens des aiguilles d'une montre : Le USS Midway, site de "Hot Night at Steel Beach"; participants utilisant les consoles gratuites d'Internet haute-vitesse au Village Global du Centre de convention de San Diego; impressionnants joueurs de Taiko japonais à la réception d'ouverture; planificateurs parmi les exposants au salon du Centre de convention.

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PHOTOS PAR

LEO GERVAIS

Un mot sur la conférence MPI PEC-NA à San Diego San Diego était le parfait décor, la toile de fond qui nous attendait, pour une convention parfaite. MPI a encore une fois relevé le défi et dépassé les attentes, au-delà du Wow. MPI a imposé la norme et San Diego a fièrement brillé pour l’occasion. Du surf au rayon de soleil, de la session d’ouverture au gala de fermeture, de toutes les sessions de formation au succès débordant du salon, il s’agissait d’un équilibre parfait entre le social et la pédagogie, entre l’apprentissage et l’expérience. Cependant, MPI devient victime de son propre succès, ce qui rendait les files d’attente interminables au gala d’ouverture. Ceci devra être considéré à l’avenir. Selon Marcus Buckingham « Vous devez savoir qui vous servez ». MPI ont dans le passé et continuent aujourd’hui de servir l’ensemble de

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l’industrie associative avec ce qu’il y a de mieux. Les membres de MPI ont leurs forces qui les placent leaders dans l’industrie. Faisant partie de l’industrie de l’audiovisuel, j’ai réussi en m’inspirant d’un visuel remarquable et d’un audio parfait. San Diego n’aurait pas pu offrir meilleure toile de fond pour le visuel, écoutez juste ce que les gens disent, leur admiration suffit à comprendre. Du quartier des lampes à gaz au district de Midway, de La Jolla au Coronado où Orange Avenue vous guidera sur le chemin de briques jaunes, et où contrairement à Dorothy, vous ne voulez vraiment pas rentrer à la maison. MPI NEC-NA 2005 a permis de rencontrer de nouvelles personnes, de renforcer des liens et nous a donné les outils qui peuvent faire la différence. Merci MPI pour un travail remarquable. Don Murray dmurray@avtec.ca


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