UN CONDENSÉ MENSUEL POUR INFORMER ET ÉCLAIRER LES PLANIFICATEURS VOL. 4 No. 5
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La saison des ouragans menace les États-Unis L’ÉQUIPE DU PLANIFICATEUR
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uin annonce l’arrivée officielle de la saison des ouragans qui, selon les météorologues canadiens et américains, s’annonce « très active » cette année, prévoyant 13 à 16 tempêtes tropicales baptisées dans l’Atlantique, dont une dizaine ont des chances d’atteindre une force 12. Selon des chercheurs de la National Oceanic and Atmospheric Administration, on pourra s’attendre à ce que deux à quatre ouragans frappent les côtes des Caraïbes ou des États-Unis d’ici la fin de novembre, avec des vents d’au moins 177 km/h. La seule bonne nouvelle, disent les scientifiques, c’est que 2006 sera moins dévastatrice que 2005, la pire saison de l’histoire avec 27 tempêtes baptisées et 15 ouragans, dont sept de catégorie 3 ou plus. Les scientifiques attribuent l’activité inhabituelle de la saison en partie aux températures chaudes de la surface de l’océan Atlantique et à la faiblesse relative du cisaillement du vent – un vent plus fort rend plus difficile la formation et le développement des tempêtes. Dave Phillips d’Environnement Canada se demande si à cause du réchauffement du globe les saisons des ouragans ne seront pas désormais toutes actives. Il n’existe pas de preuve scientifique expliquant l’augmentation du nombre d’ouragans mais Phillips n’exclut pas la possibilité que l’accumulation des gaz à effet de serre dans l’atmosphère puisse contribuer à la force inhabituelle de ces grosses tempêtes. Avec ces prévisions, les vacanciers hésitent déjà à préparer leur départ, hantés
Les ouragans se multiplient. par le souvenir des évacuations et des heures passées bloqués dans des abris d’urgence, des aéroports et des hôtels délabrés. L’industrie hôtelière s’inquiète de voir des centres de villégiature, des hôtels et des agents immobiliers offrir des forfaits réduits pour inciter les voyageurs à oublier leur peur des ouragans. Carnival Cruise Lines offre des rabais allant jusqu’à 20 %. Les croisières de cinq jours ou moins dans les Caraïbes commencent à 229 $US par personne et celles d’une semaine, à 449 $US.
Sondage sur les ouragans Avec la saison des ouragans qui approche, pensezvous tenir des réunions dans la région du sud-est des États-Unis entre août et novembre cette année ? 10 %
Je n’ai pas le choix que de tenir des réunions là-bas durant cette période.
52%
Je planifierai des réunions dans cette région à cette période mais négocierai les termes de mon contrat en cas d’annulation.
38%
Je n’organiserai pas de réunions dans cette région à ce moment de l’année. SOURCE:
WWW.MIMEGASITE.COM
ont été liés au kawa en Europe, où beaucoup de pays l’ont retiré du marché. En outre, le kawa nuit à la conduite automobile comme toute autre substance intoxicante et, conjugué à l’alcool, il augmente les effets indésirables. Il est interdit au Canada.
POUR VOTRE INFO Attention, c’est peut-être un ACV Si vous pensez qu’une personne est en train de subir un accident cérébrovasculaire, demandez-lui de faire trois choses : sourire, lever les bras et les garder dans cette position et dire une phrase simple de façon cohérente. Si elle a du mal à faire une de ces tâches, faites le 911 sans tarder. Ce petit test a été présenté lors de l’International Stroke Conference plus tôt cette année. Il vise à déceler la faiblesse des muscles du visage et des bras et les problèmes d’élocution qui accompagnent souvent l’ACV. Il y a d’autres symptômes : confusion mentale, trouble de la vue dans un œil ou les deux yeux, difficulté à marcher, faiblesse ou engourdissement des jambes, étourdissement, perte d’équilibre ou mal de tête soudain et aigu – même si cela ne dure que quelques minutes.
Menthes rayées et estomac barbouillé Estomac barbouillé ? Cherchez les petites menthes rayées à côté de la caisse au restaurant. Selon certains diététistes, la menthe poivrée fait plus que rafraîchir l’haleine. Elle est pleine de menthol, qui agit comme un anesthésique léger sur la paroi de l’estomac. Poivrée ou verte, elle peut aider la digestion et calmer un estomac barbouillé. On recommande aussi le gingembre, qui contient deux éléments qui aident à neutraliser les aigreurs.
Renforcez votre immunité Un morceau maigre de bœuf, comme la longe ou la ronde, c’est peut-être juste ce qu’il faut pour renforcer votre immunité en voyage. La viande rouge est riche en zinc qui stimule la production des globules blancs combattant l’infection. La vitamine C renforce aussi le système immunitaire : des essais montrent qu’elle peut réduire la gravité et la durée d’un rhume ou d’une grippe. Alors, faites-vous plaisir avec des jus de fruit frais et des agrumes. Vous aimez l’ail ? Tant mieux : il aide aussi à combattre l’infection parce qu’il contient une bonne dose d’allicine, un antimicrobien.
Radio-isotopes Ne vous alarmez pas si vous déclenchez les détecteurs de rayons à l’aéroport ou à d’autres points de contrôle. Le coupable est peut-être un acte médical impliquant des radio-isotopes subi dans les 30 jours précédents. Selon le Lancet, des millions de procédures de ce genre – scintigraphie thyroïdienne et osseuse, étude de perfusion myocardique, traitement à l’iode – sont effectuées chaque année. Plusieurs personnes dans cette situation ont été détenues par des agents de sécurité. Cela risque de se produire plus souvent avec l’usage d’appareils plus sensibles pour accroître la sécurité. Si vous avez subi un examen de ce genre et que vous projetez de prendre l’avion sous peu, demandez une carte précisant, outre la date et le lieu de l’examen, • la nature du radio-isotope utilisé • le temps pendant lequel il peut rester actif dans le corps • le nom d’une personne qui peut confirmer l’information au besoin.
Vieillir et dormir Des essais suggèrent que le besoin de sommeil ne diminue pas avec l’âge contrairement aux croyances populaires. Il semble que l’envie naturelle de repos diminue avec l’âge mais les experts ne sont pas de cet avis. C’est plutôt la structure du sommeil qui se modifie : peu à peu, le sommeil profond réparateur devient de plus en plus rare. Le sommeil a aussi plus de chances d’être perturbé par la maladie chronique, la douleur ou un autre inconfort. Un article dans le Globe and Mail rapportait que, pour cette raison, vos heures de sommeil nocturne diminuent – d’où le besoin de compenser pendant la journée. Un essai publié dans The Journal of the American Geriatric Society en 1992 vient soutenir cette explication – on y comparait un groupe de personnes de plus de 78 ans en bonne santé avec des adultes en santé âgés de 20 à 30 ans.
Ne prenez pas de kawa Ce que c’est ? Un relaxant à base de plantes médicinales et un supplément tranquillisant. Un essai récent de l’université de Californie a démontré qu’il n’était pas plus efficace contre l’anxiété que le placebo. Plus important, des cas d’atteinte hépatique grave
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et une faible teneur en oxygène, comme dans les voyages en avion, les chercheurs britanniques ont placé des personnes dans deux environnements différents : une chambre hypobare et une chambre avec pression d’air et niveaux d’oxygène normaux. Des prélèvements sanguins ont été faits et analysés. « Pour l’essentiel, nous n’avons trouvé aucune différence entre les deux groupes – pression faible ou pression normale » – dit le docteur William Toff, qui enseigne en cardiologie à l’université de Leicester en Grande-Bretagne. Pendant un long voyage, il faudrait bouger les jambes régulièrement pour augmenter le flux sanguin. Pour cela, contractez périodiquement les muscles des jambes, étirez et faites jouer les chevilles et les genoux et marchez chaque fois que possible, conseille le docteur Toff. Les personnes qui souffrent de troubles cardiovasculaires auraient intérêt à envisager le port de bas de contention pour stimuler le flux sanguin et à voir leur médecin avant un long voyage où il faudra rester assis longtemps.
POUR VOTRE INFO Les chercheurs ont observé chez les plus âgés, pendant une nuit type, plus d’épisodes d’éveil, de respiration irrégulière et de mouvements périodiques que chez les plus jeunes. Les plus âgés faisaient aussi plus de siestes dans la journée, avec un plus grand nombre de personnes au sommeil perturbé pendant la nuit.
Position assise prolongée : attention ! Immobiliser ses jambes trop longtemps pendant un vol longue durée favoriserait plus les risques de provoquer une thrombose veineuse profonde que la pression en cabine réduite et la faible teneur en oxygène, jusque-là tenues responsables. Les chercheurs supposent que la thrombose veine profonde survient parce les passagers restent longtemps assis sans bouger les jambes. Le sang s’accumule dans les extrémités inférieures où il devient plus épais, circule moins bien et tend à coaguler plus facilement selon un article récent dans le Globe and Mail. Selon eux, la position assise prolongée est vraiment le facteur commun aux voyages en avion, en voiture et en train qui, lorsqu’ils sont du longue durée sont associés au risque accru de caillot. La thrombose veine profonde survient quand un caillot se forme dans une veine de la jambe. Il n’existe aucun moyen de le savoir mais il se peut que la cheville ou la jambe enfle et devienne douloureuse. Cela devient alarmant quand le caillot atteint le coeur et, de là, le poumon où il provoque une embolie pulmonaire qui peut être fatale si le caillot bloque la circulation du sang. Les symptômes peuvent inclure l’essoufflement et des douleurs thoraciques. Pour établir l’existence d’un lien entre une pression d’air faible
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LE GUIDE ANNUEL DES SITES D’ÉVÉNEMENTS MONTREAL EST MAINTENANT DISPONIBLE POUR SEULEMENT 12,95 $. POUR TOUTE INFO, (514) 849-6841 POSTE 331
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Ce mois-ci
Mot du rédacteur
Pour votre info,
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une rubrique en renfort
iPod : superbe et polyvalent Les multiples facettes du iPod gagnent l’intérêt de tous sans exception. En voici quelques-unes auxquelles les planificateurs n’échapperont pas.
Lors de conférences et de réunions, on fait appel à des planificateurs d’événements pour mille et une raisons, du vol à confirmer des participants au médecin à dénicher. C’est pourquoi Le Planificateur vous donne une foule de renseignements bons à savoir et que vous pouvez appliquer au besoin. Ce mois-ci, nous ajoutons une nouvelle rubrique, simplement intitulée Pour votre info, pour vous aider dans tous les volets de votre travail et de votre vie. Vous me direz ce que vous en pensez ! Paraît-il que l’on sait qu’on a réussi lorsque des personnes de toutes sortes veulent connaître notre opinion. À en juger par tous les renseignements qui nous sont demandés, Le Planificateur a vraiment réussi. L’un des aspects que je préfère en travaillant pour cette publication est notre étroite collaboration avec les organisateurs de réunions. Souvent, ces personnes qui mènent naturellement plusieurs tâches de front savent toujours quelque chose sur une multitude de sujets, tout comme les journalistes. Biensûr, là comme ailleurs, il y a des spécialistes mais la plupart de ceux à qui j’ai parlé ont de bonnes connaissances sur à peu près tout, des traiteurs au RCI. Certains diront peut-être qu’ainsi va le monde aujourd’hui – il faut être rompu à plusieurs domaines pour survivre dans ce métier. C’est peut être vrai, dans une certaine mesure, mais je crois que l’organisation de réunions attire des gens doués et méticuleux. Depuis des années, beaucoup de planificateurs disent que ce métier ne convient pas à tout le monde et qu’il exige habileté et savoir-faire, patience et détermination. Je pense qu’ils ont raison. – Leo Gervais
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Bien s’entendre Notre chroniqueuse Stacey Hanke présente aux planificateurs huit façons d’améliorer leur communication au travail et chez soi.
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Les mots, les pensées et les actes La valeur de nos pensées se mesure par notre capacité à utiliser les mots pour mieux les communiquer.
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Pique-nique en groupe réussi Notre équipe vous suggère quelques astuces pour que votre pique-nique en groupe soit une réussite.
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Rechercher des images dans le ciel La capacité de voir des images là où les animaux ne voient que chaos relève de l’intelligence humaine. Peter De Jager explique ce que cela signifie.
Publié par :
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2105, rue de la Montagne, bureau 100 • Montréal (Québec) • H3G 1Z8 Téléphone : (514) 849-6841 poste 333 • Fax : (514) 284-2282 www.leplanificateur.ca
Les étages exécutifs Ils existent depuis un bout de temps mais la plupart des planificateurs n’y ont pas recours. Note de l’éditeur : Cet article remplace la section Hôtel du mois de juin.
Vos commentaires sont appréciés : info@leplanificateur.ca Rédacteur : Leo Gervais, lgervais@leplanificateur.ca Rédactrice adjointe : Camille Lay, clay@leplanificateur.ca Traductrice : Louise Villemaire Administration : Patrick Galvin, Julie Boisvert, Tania Joanis, Patricia Lemus Collaborateurs : Anne Biarritz, Sandy Biback, Nathalie Caron, Stacey Hanke, Peter De Jager, Allison Martens, Mark McGregor, Matt Riopel , Barry Siskind
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Enquête du Planificateur Nous avons demandé aux planificateurs s’ils commençaient leurs réunions à temps ou pas. Les résultats ont été surprenants.
Le Planificateur est diffusé mensuellement à 14 500 professionnels de l’industrie du tourisme et des affaires.
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Le Planificateur utilise du papier recyclé post consommation 30% Poste-publication No. 40934013
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IPod : superbe et polyvalent DE LEO GERVAIS
de l’iPod sont très utiles aux responsables de l’organisation de réunions : 1. Livres parlés. Planificateur Mike Auctor a des livres enregistrés (des fichiers mp3 en fait) qu’il passe sur son iPod pendant les longs voyages en avion. Il a aussi un adaptateur pour la voiture et une petite enceinte qu’il peut recharger et utiliser partout dans le monde. 2. Podguides. On peut télécharger un ensemble de plans avec des points numérotés et une série de pistes audio (mp3) et les utiliser pour une visite guidée du Pont de Londres par exemple. On télécharge le podguide en fichier comprimé. Voir www.podguides.net pour les tout derniers podguides du monde gratuits ou www.soundwalk.com, un bon site payant. Génial pour les concierges – prêtez un iPod et des podguides déjà téléchargés à vos clients. 3. Carnet d’adresses. L’iPod a beaucoup d’espace mémoire. Idéal pour noter contacts, adresses, numéros de téléphone et courriels et les consulter en écoutant la dernière chanson de Cher dénichée sur iTunes. 4. iRon. Incroyable mais vrai – La compagnie américaine Gear4 a créé un fer à repasser portable qui se branche sur l’iPod et utilise sa batterie comme source d’alimentation. Il paraît qu’il libère des jets de vapeur au rythme des chansons qui passent sur votre iPod. Voir www.gear4.com Alors, pensez à l’iPod et à ses innombrables possibilités. Ce petit lecteur de musique deviendra rapidement un outil incontournable. Voir : www.apple.com/ipod
On les voit partout, dans l’autobus, en voiture, en avion et à pied – coupés de tout ce qui les entoure. Ce sont les « iPodeurs » – amateurs d’iPod – et ils ont l’air très heureux. On les comprend ! Il y a belle lurette que le très populaire lecteur d’Apple ne se contente plus de jouer les fichiers de musique numériques de Michael Bublé. Aujourd’hui, sa polyvalence donne le tournis. Beaucoup des nouvelles options
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Pourquoi est-ce qu’on n’arrive pas à bien s’entendre ? DE STACEY HANKE
ra se concentrer sur la solution plutôt que sur son émotion. Résultat : vous minimisez sa réaction et augmentez les chances qu’il commence à écouter votre message. Supposons que votre coéquipier vous demande : « Mais comment peux-tu justifier le coût de ce projet comparé au rendement du capital investi ? ». Si vous répondez tout de suite, il peut avoir l’impression que vous défendez votre position de manière agressive. Essayez d’accepter ce qu’il dit en disant : « Je comprends ton souci quant au RCI. Avec notre budget limité, il faut bien cibler nos investissements. » Ainsi, quelques secondes auront suffi à lui communiquer que vous comprenez son inquiétude. Résultat : il est plus disposé à écouter. b. Répondre – Évitez de dire des banalités et de vous éloigner du sujet. N’utilisez pas les questions de l’autre pour parler à bâtons rompus d’un sujet juste parce que vous avez l’impression qu’il s’y intéresse. Tenez-vous en aux points clés et aux solutions qui concernent sa question. c. Concentrer sur les avantages – Vous voulez communiquer constamment à votre interlocuteur que votre information, recommandation ou solution est à son avantage. Quand vous êtes dans une situation difficile ou hostile, vous voulez apporter l’information spécifique appropriée et, ensuite, faire le lien avec un avantage qu’offre votre réponse. Revenons à l’exemple ci-dessus : « Mais comment peux-tu justifier le coût de ce projet comparé au rendement du capital investi ? » Vous pourriez répondre : « Je comprends ton souci quant au RCI. Avec notre budget limité, il faut bien cibler nos investissements. Donc, nous avons fait des recherches poussées et des sondages sur la satisfaction des clients et nous avons étudié de près notre RCI pour ce projet. Nous avons aussi créé un processus étape par étape pour lancer le projet auprès de nos clients en tenant compte de leurs besoins et de leurs attentes. Non seulement auras-tu un RCI dès la première année mais aussi un sentiment de satisfaction parce que tu auras un produit de grande qualité qui permet à nos clients d’économiser temps et argent. »
Huit stratégies pour une meilleure communication DE STACEY HANKE
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i on m’avait dit que la fameuse question que ma mère nous posait à mes sœurs et à moi reviendrait me hanter des années plus tard ! C’est notre lot quotidien : mauvaise communication, collègues irrités, interaction difficile. Parfois, nous évitons même certains de nos collègues à moins d’être vraiment obligés de leur parler. La clé, c’est de savoir communiquer avec nos interlocuteurs pour prévenir la perte de productivité – la vôtre et celle de l’organisation. Quand nous sommes contrariés, nous cherchons une des choses suivantes ou les trois : • Quelqu’un qui nous écoute et comprend pourquoi nous sommes contrariés • Une solution rapide et efficace • Le respect Mais quand la pression monte, nous nous sentons vulnérables et nous choisissons alors soit la fuite soit la confrontation. Essayez ces huit stratégies pour arriver à conclure un accord ou une entente. 1. Commencez avec le modèle A.R.C. – accepter, répondre et concentrer sur les avantages. Ce modèle permet de désamorcer la confrontation, comporte une réponse bien ciblée et permet de passer aux avantages à la fin de votre réponse pour souligner l’aspect positif de votre solution. a. Accepter – Quand un interlocuteur est hostile ou conteste vos décisions, actions, solutions, etc., il faut faire baisser son hostilité. Acceptez de reconnaître son inquiétude ou son émotion et il pour-
2. Attitude non verbale – Le modèle A.R.C. fonctionne seulement si votre langage non verbal correspond à votre message.
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Attitude et langage vont de pair Prêtez attention au son de votre voix et au langage de votre corps. Parlez-vous fort ? Votre visage exprime-t-il une émotion limitée ? Êtes-vous direct ? Allez-vous droit au but ? Ce style peut sembler agressif à une personne à la voix douce ou qui réagit à un message avec des indices non verbaux positifs. Pensez à quelqu’un que vous considérez comme un bon communicateur. Prêtez attention au langage de son corps, au ton de sa voix et à son choix de mots. Pensez à l’impact à long terme de vos mots, de votre voix et du langage de votre corps. Identifiez vos habitudes mauvaises pour pouvoir vous en débarrasser. Cela affectera les futures conversations. Si vous avez dit des paroles inappropriées, revenez vers la personne sans tarder, excusez-vous et expliquez que votre avez exprimé votre mauvaise attitude à travers votre communication.
7. Objectifs – Pensez à ce que vous voulez accomplir avant d’entamer la conversation. Concentrez sur votre objectif et le message. Si vous devez aborder un sujet difficile, pesez bien vos mots et surveillez le langage de votre corps sans en faire un combat personnel. 8. Langage – Pensez aux différences de langage et à la connaissance que votre collègue a du sujet à discuter. Parlez-vous dans un jargon qu’il ne connaît pas ou de manière trop compliquée? Nous avons tous appris à communiquer quand nous étions plus jeunes, nous pouvons désapprendre certains comportements pour améliorer nos relations avec les autres. Nous nous enlisons dans une routine de communication parce que c’est confortable et facile. Si nous communiquons tous de la même façon, nous en aurons vite assez les uns des autres et n’aurons jamais l’occasion de progresser dans notre vie personnelle et professionnelle.
3. Adaptez votre style à celui de votre interlocuteur – Si vous parlez à une personne analytique qui traite l’information à l’aide de données, de faits ou de chiffres, donnez en lui quand vous expliquez une idée ou un processus (à l’étape réponse du modèle A.R.C.). Si vous communiquez avec une personne dynamique – qui bouge vite, est directe et va droit au but – évitez les banalités et axez votre communication sur des points clairs et concis. 4. Établissez de bons rapports – Pour établir de bons rapports et gagner la confiance de l’autre, essayez de vous adapter à son style, verbal et non verbal. Par exemple, si votre collègue donne des réponses directes ou préfère maintenir une certaine distance entre vous, faites de même. S’il parle plus lentement que vous, adoptez son débit. Si vous parlez trop vite, il va rater le message et cessera de vous écouter. 5. Moyens de communication – Demandez à votre collègue comment il préfère communiquer : face à face, courriel et boîte vocale ou tous ces moyens ? Travaille-t-il mieux en groupe ou en analysant la situation seul avant de travailler en équipe ? Est-il plus efficace dans les brainstorming et la résolution de problèmes le matin, l’après-midi ou en soirée ? Tenir compte de sa réponse aidera votre conversation à prendre un bon départ. 6. Pertinence de la communication – Tenez compte du rôle et du niveau d’importance de votre collègue. De combien d’information a-t-il besoin ? Le sujet est-il pertinent pour son travail ou a-t-il seulement besoin de savoir l’essentiel ? Parfois, moins, c’est plus !
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Les mots, les pensées et les actes mieux comprendre la vie, il faut donc élargir et préciser son vocabulaire. Pourtant, quelle que soit la richesse de son vocabulaire, il n’est jamais possible de pleinement le contrôler. Les mots sont vivants, versatiles, inconstants, le contraire de la précision mécanique. C’est pourquoi les philosophes-mathématiciens, tels qu’Alfred North Whitehead, affirment que les vérités objectives ne peuvent s’exprimer avec des paroles. Même les mots inexprimés que nous gardons à l’esprit sont teintés de connotations affectives qui déforment nos pensées. Les journalistes qui aiment à demander aux célébrités de dresser la liste des mots les plus beaux obtiennent toujours en premier « mère » , « maison », « enfant » et « amour », non parce que leur sonorité est particulièrement plaisante mais parce qu’ils évoquent un monde qui nous est cher. De tels mots, pour ceux qui sont sensibles, nuisent à la rigueur de la réflexion et sont à l’origine des opinions basées sur les sentiments. Le procès d’une mère qui a commis un crime au nom de l’amour de ses enfants et pour défendre sa maison est réglé dans l’esprit du jury avant même qu’il ne soit entamé. Si l’on ne peut faire confiance aux mots dans l’intimité de son esprit, que dire de leur fiabilité lorsqu’ils deviennent des paroles ou sont couchés sur papier ? Montaigne, philosophe français, a souligné que chaque mot se compose de deux parties, qui appartiennent tant au parleur qu’à l’auditeur. La dualité du langage oblige aussi à surveiller attentivement le choix des mots, le sien et celui de son interlocuteur. « Si vous souhaitez converser avec moi, définissez vos termes », disait Voltaire. Dans son livre The Story of Philosophy, Will Durant remarque : « Combien de discussions auraient pu être réduites à un paragraphe si les intervenants avaient osé définir leurs termes ! L’ABC de la logique, son essence même, veut que tous les termes importants d’un débat sérieux soient l’objet d’une définition et d’un examen rigoureux, tâche qui n’est pas facile et met l’esprit à rude épreuve. » La définition des mots influe non seulement sur nos pensées mais sur la manière dont nous pensons. Dans Explorations in Awareness, J. Samuel Bois explique qu’en traduisant du français à l’anglais, il s’aperçut qu’il n’existait dans cette langue aucun équivalent du mot fleuve, cours d’eau qui se jette dans la mer. Les anglophones disposent d’un seul mot pour décrire le puissant
Il est impossible de les dissocier Note: Ceci est le premier d’une série de deux articles.
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e langage, a-t-on dit, est la plus puissante des drogues. Les
mots que nous entendons ou formulons peuvent déformer nos pensées. Protégeons notre esprit en surveillant les mots et en ne prenant pas la rhétorique d’un autre pour ses propres idées... À une certaine époque, deux écoles de psychologie ont entamé l’un de ces grands débats théoriques, aussi passionnants qu’insolubles : les pensées prennent-elles naissance avec les mots ou existent-elles dans l’esprit à l’état pur ? L’un des camps affirmait qu’il était impossible de raisonner sans langage. L’autre rétorquait que les animaux, bien que privés de la parole, étaient capables de raisonnement rudimentaire. Cette polémique faisait toujours rage lorsque quelqu’un en souligna l’absurdité. En effet, peu importe que les êtres humains pensent ou non avec des mots, car sans les mots les pensées ne peuvent être exprimées. Selon les auteurs d’un manuel de rédaction intitulé Writing and Thinking, « la valeur de la pensée se mesure par l’aptitude à utiliser des mots pour communiquer. Le scientifique qui a découvert un remède pour le cancer mais ne peut souligner l’expliquer aux médecins ne pourra guère réconforter les cancéreux, ni être utile au corps médical. L’étudiant qui sait la réponse à une question mais ne peut la formuler obtiendra une note aussi médiocre que celui qui admet franchement ne rien savoir. » Si le langage peut ne pas être le fondement de toutes les formes de pensée, il n’en est pas moins essentiel au raisonnement pratiqué par tous, à savoir s’interroger soi-même et trouver des réponses claires dans son esprit. Pour communiquer aux autres les conclusions auxquelles nous arrivons, nous devons présener les mots dans un ordre logique et compréhensible. Très souvent le fait de donner aux idées la forme d’une phrase pour se faire comprendre aiguise nos pensées et suggère de nouvelles démarches à explorer. Le langage n’est donc pas un simple véhicule mais un générateur d’idées. Dans la mesure où le langage soutient la pensée, celle-ci est limitée par le nombre de mots connus et les sentiments qu’ils évoquent en nous. Pour exploiter à fond les capacités de l’esprit et
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Le choix des mots est important SUITE DE LA PAGE
signifiait libérer les esclaves des États qui voulaient se séparer de la Confédération, interprétation que partageaient, bien entendu, les esclaves eux-mêmes. Pour les confédérés, il s’agissait de la liberté de se séparer de l’union fédérale et de maintenir l’esclavage. En matière de langue, le monde de la politique est semblable à celui d’Humpty Dumpty décrit par Lewis Carroll dans À travers le miroir, lequel déclare à Alice, l’héroïne, que lorsqu’il utilise un mot, ce mot a le sens qu’il veut lui donner. « La question qui se pose », remarque Alice, « est de savoir si tu peux fabriquer des mots qui peuvent dire tant de choses différentes. » La réponse d’Humpty Dumpty relève du plus pur esprit realpolitik : « La seule question est de savoir qui est le maître, c’est tout. » Dans son roman intitulé 1984, George Orwell brosse le tableau d’une étrange société contrôlée par le « ministère de la Vérité » ( qui a pour rôle de mentir) dont les paroles signifient ce que le dictateur, Big Brother, veut qu’elles signifient. La langue officielle, le novlangue, renverse la logique se moquant avec un impudent mépris de l’intelligence du public. D’où le slogan universel, « la guerre, c’est la paix ». Orwell a écrit ce récit édifiant en 1948, intervertissant les deux
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Saint-Laurent et une modeste rivière. Lors d’un autre travail de traduction, il remarqua, en revanche, que le français ne différenciait pas les verbes « giggle », « titter » et « chuckle », tous traduits par ricaner. « La morale de l’histoire », écrit-il, « est que je ne vois ni n’observe les mêmes choses si je change d’outils linguistiques à penser. Changer de langue me change moi, l’observateur, ainsi que mon monde. » L’inclusion ou l’exclusion de mots à un vocabulaire national est très significative. L’écrivain soviétique expatrié Azary Messerer explique, par exemple, que « la langue russe ne possède aucun mot qui traduise la notion d’« intimité ». Le dictionnaire anglaisrusse le plus complet dernièrement publié, sous la direction de I. Galperin, professeur, traduit « intimité » par « solitude » ou « secret » ; on n’y trouve aucune mention de la protection de la vie privée. » Cette omission remarquée par Messerer souligne des différences idéologiques, le contraste entre le collectivisme prôné par le communisme et l’individualisme des démocraties occidentales. Le fait que Messerer favorise ce dernier met l’accent sur une règle
Changer de langue me change moi, l’observateur, ainsi que mon monde. derniers chiffres de cette année pour le situer plus tard dans le siècle. Dans un article paru justement en 1984 dans Et cetera, publication sur la sémantique générale, et écrit par Terence P. Moran, professeur en communication, ce dernier remarque combien l’usage actuel de la langue politique américaine se rapproche de celle imaginée par Orwell : « À quand notre « 1984 », où nous appellerons le missile nucléaire MX « le gardien de la paix » ? », a -t-il demandé. M. Moran indique également que, lorsque le président Ronald Reagan ordonna le retrait des marines au Liban après de lourdes pertes, il qualifia cette opération de « redéploiement ». Ces exemples de novlangue sont à l’origine de révisions historiques et des formules suivantes : « Le redéploiement de Napoléon quittant Moscou » ou « le dernier redéploiement de Custer ». ••• Repris et traduit avec la permission de la Banque Royale du Canada. Visitez son site Internet : www.rbcbanqueroyale.com
fondamentale de la sémantique, à savoir, comme l’écrit M. Haywakawa, qu’« il est important de distinguer l’information donnée du sentiment du parleur face à cette information. » Vous pourrez ainsi mieux contrôler vos pensées et empêcher les autres de manipuler votre esprit. Même lorsque nous réfléchissons seuls, nous devons prendre garde aux termes politiques, les mots à piège par excellence. Prenons le mot « démocratie », par exemple, qui a inspiré à Bernard Smith, écrivain américain, les commentaires suivants : « Les paroles pour lesquelles les hommes se battent et meurent sont les outils des politiciens, des instruments souillés par un usage à outrance et avilis par la manière dont ils sont manipulés. Tel a été le sort du mot « démocratie » qui finalement veut dire ce que chacun veut lui faire dire ». Rien de plus vrai. Le terme démocratie a été accolé aux noms des États les plus dictatoriaux du monde : la République démocratique de Corée et la République démocratique d’Afghanistan. Des générations de tyrans absolus ont prétendu défendre la démocratie alors même que leurs pelotons d’exécution éliminaient leurs adversaires. Par ailleurs, les termes « politiques » ont souvent un sens tout autre selon le camp dans lequel on se range. Pour les abolitionnistes du Nord, lors de la guerre civile américaine, le mot « liberté »
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Il y a toujours du bon dans la folie humaine. Auguste Villiers de l’isle-Adam 9
Comment jouer au Sudoku ? D’origine japonaise, ce jeu de logique consiste en un carré de 9 cases par 9, divisé en grilles de 3 cases par 3. Chaque case doit contenir un chiffre de 1 à 9 de façon à n’utiliser chaque chiffre qu’une fois par ligne, colonne et grille.
Niveau:Facile
Niveau:Moyen
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TENDANCES Un pèse-bagage en voyage ? Vous avez pesé vos valises sur votre pèse-personne avant de partir en vacances. Maintenant, vous êtes à l’hôtel à des milliers de kilomètres de chez vous et vous voulez peser vos bagages pour vous assurer qu’ils respectent les limites de poids de plus en plus basses fixées par les compagnies aériennes. Mais où les peser ? N’importe où, grâce au pèse-bagage intégré Beverly Hills Solutions de Ricardo. Soulevez le bagage par la poignée et un afficheur vous indique le poids du bagage et de son contenu, jusqu’à 45,50 kilos. Pour en savoir plus : www.ricardobeverlyhills.com.
Pour intense et fruité, faites le 7 Vous aimez le bon vin ? Adieu, mauvaises surprises ! Avec son nouveau Robert Parker Mobile, le critique vinicole vous conseille partout et en tout temps par téléphone cellulaire. N’importe quel téléphone Sprint Nextel donnera accès aux notes et évaluations des dégustations de Parker parues dans The Wine Advocate. Coût : 4,99 $US par mois, plus frais d’Internet. Les abonnés peuvent voir les suggestions Wine of the Day et les occasions d’achat spéciales tirées du bulletin de Parker ou chercher par mot-clé ou catégorie à l’aide du clavier numérique et des touches fléchées.
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Pas de quoi en faire un fromage www.artisanalcheese.com Vaut-il mieux un vin blanc ou champagne pour accompagner ce fromage bleu à point? Détendez-vous, Artisanal Premium Cheese est là. L’équipe se spécialise dans l’affinage, l’art d’amener un fromage à maturité optimale et au summum du goût. Le site Web est très bien et vous pouvez commander les fromages les plus fins et les meilleurs accessoires les .
Événements à venir Le 24 juin – Québec, St-Jean Baptiste DU 9 AU 11 JUILLET Meeting Professionals International, World Education Congress, Centre des congrès de Dallas, Dallas, Tex. Contact : (972) 702-3000, www.mpiweb.org
Critiques d’hôtels en toute franchise
DU 16 AU 19 JUILLET National Business Travel Association, Congrès international et exposition, McCormick Place, Chicago, Ill. Contact : (703) 684-0836, www.nbta.org.
www.hotelchatter.com Le site est un recueil de critiques d’hôtels du monde entier. Grand nombre de critiques non censurées avec un parfum de tabloïde, des sections sur les paradis hôteliers et même des potins sur les célébrités. Nous le recommandons fortement.
DU 25 AU 27 JUILLET Trade Show Exhibitors Association, TS2 Tradeshow, McCormick Place, Chicago, Ill. Contact : (800) 687-7469, www.tsea.org/ts2
Information sur les assurances www.infoassurance.ca Le site infoassurance.ca est une réalisation conjointe du Bureau d’assurance du Canada (BAC) et du Groupement des assureurs automobiles (GAA). C’est une mine de renseignements sur les types d’assurances : entreprise, maison, biens et automobile. Particulièrement intéressante, la FAQ (Foire aux questions) répond à des questions courantes comme « Combien de temps ai-je pour faire une réclamation ? »
Le 7 août – Ontario, Civic Holiday DU 4 AU 8 AOÛT International Association of Assembly Managers, Conférence annuelle et salon professionnel, Centre des congrès Henry B. Gonzalez, San Antonio, Tex. Contact : (972) 906-7441, www.iaam.org.
••• Vous avez un site Web que vous voulez partager avec d’autres planificateurs ? Envoyez-nous un courriel : info@leplanificateur.ca.
L'image la plus exacte de l'esprit français est la langue française elle-même.
Pour d’autres bons sites Web : www.leplanificateur.ca. •••
André Chénier
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d’intérêt
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Pique-niquer en groupe, ça se prépare L’ÉQUIPE DU PLANIFICATEUR Pique-niquer, c’est plus que juste manger dehors ! Avec un peu de préparation, vous mangerez bien, les moustiques se tiendront à l’écart et vous ne ferez pas deux kilomètres à pied pour atteindre l’endroit parfait avant de vous apercevoir que vous avez laissé le décapsuleur dans le 4x4 ! La recette est simple et efficace. Faites comme les traiteurs : utilisez une liste aide-mémoire. Voici quelques règles à respecter pour que vos sorties en plein air soient un vrai succès : • Dressez la liste de tous les aliments, boissons, ustensiles et contenants qu’il vous faut. • Donnez à tout le monde une carte pour se rendre sur les lieux et une liste de personnes-ressources et de numéros de téléphone, etc., à titre de référence. • Visitez le lieu du pique-nique à l’avance et décidez de l’endroit exact où vous vous installerez. Beaucoup d’aires de piquenique ont des tables, sinon apportez-en une. • L’endroit doit avoir des parties ombragées. Apportez de l’écran solaire et des parasols. Achetez une petite trousse de premiers soins pour les piqûres d’insectes. La citronnelle et les spirales à moustiques sont efficaces, elles-aussi, pour éloigner les maringouins. • Utilisez de la vaisselle agréable. Manger dehors ne veut pas nécessairement dire assiettes en papier et couverts en plastique sans personnalité. Essayez de dénicher des assiettes et des couverts réutilisables, légers et solides – votre table sera plus jolie et l’environnement vous dira merci.
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• Pourquoi ne pas faire des portions-bouchée plus faciles à manipuler ? Personne n’aime se retrouver avec une tranche de jambon sur les genoux. • La salubrité des aliments passe avant tout. Un aliment qui a besoin d’être réfrigéré ne doit pas rester à température ambiante plus de deux heures. Regroupez les aliments froids et enveloppezles dans du papier journal pour les isoler. Utilisez des pins de glace réfrigérants ou faites-les vous-même à l’aide de sacs en plastique étanches ou de bouteilles d’eau. En fondant, la glace garde les aliments au froid et donne de l’eau fraîche à boire. • Rien de mieux qu’une glacière pour garder les aliments froids mais, si vous n’en avez pas pour longtemps, un sac à dos isolé fera l’affaire et votre dos vous sera reconnaissant. • Apportez quelques rouleaux d’essuie-tout pour nettoyer et des lingettes humides ou des serviettes pour les doigts collants. Et pensez aux sacs poubelle pour les déchets. Rappelez-vous la Règle d’or : Prenez des photos et ne laissez que des traces de pas.
Quand le vin est tiré, il faut le boire, même s'il est bon. Marcel Pagnol
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Rechercher des images dans le ciel Mais, et c’est le piège… la réponse pourrait aussi être « 1 » ou « b » ou « 10 »... Pour obtenir 1, il faudrait ajouter une fonction modulo 10 au processus. Pour obtenir « b », je pourrais utiliser la numération hexadécimale et pour obtenir 10, il faudrait utiliser la base 11. Des personnes différentes peuvent assigner des logiques extrêmement différentes à la même situation. Laquelle est la bonne ? Laquelle des logiques découvertes est la plus utile, la plus appropriée, la plus perspicace ? Dans le film Un homme d’exception, cette capacité à déceler des motifs invisibles aux autres est brillamment utilisée pour montrer à la fois le génie et la folie de John Nash. Dans une scène, il peut voir des objets nommés au hasard dans les étoiles ; dans l’autre, il voit des messages secrets dans les articles de journaux et de magazines. La question se pose : à quel moment le fait de déceler une logique devient-il une preuve de folie ou de génie... Bien sûr, si à force d’y être exposés nous commençons à voir un motif, alors nous pouvons l’utiliser pour prédire l’avenir. Ainsi, Temps rouge le matin, pluie en chemin… berger, rentre vite tes brebis ! Ou, si vous viviez sur le Nil et que vous aviez remarqué quand les inondations arrivaient chaque année, vous sauriez quand planter et quand moissonner. Nous pouvons tirer au moins une autre leçon de nos exemples. Quand nous voyons une logique et que nous tentons de la projeter dans l’avenir pour avoir une idée de ce qui pourrait arriver
DE PETER DE JAGER
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otre capacité à reconnaître et à utiliser les motifs est un signe d’intelligence. En outre, la capacité à déceler un motif là où les animaux ne verraient que le chaos nous permet de prévoir et de modifier l’avenir.
Commençons par un petit test... quel est le chiffre suivant dans les séries suivantes : a) 3, 3, 5, 4, 4, 3, 5, 5, 4, 3, ? b) 1, 1, 2, 4, 7, ? Ces tests sont souvent utilisés dans les évaluations de QI pour mesurer notre l’intelligence. À ce titre, ils posent quelques problèmes et tout d’abord celui de la cécité culturelle. La première série est un très bon exemple de test biaisé culturellement. Si vous pensez dans une langue autre que l’anglais, vos chances de résoudre le problème sont beaucoup moins bonnes. Le chiffre suivant est le 6. Je laisse au lecteur le plaisir de découvrir pourquoi. Bien sûr, ces types de tests posent d’autres problèmes. Certains iront jusqu’à dire que la première série triche un peu puisque qu’elle n’a pas à voir avec des chiffres en soi mais avec d’autres objets « convertis » en nombres. L’autre série est plus typique de ce genre de test. La réponse peut être 11. Pourquoi ? Pensez différences et calcul simple.
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À LA PAGE
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Probabilité pour que x se produise demain, l’an prochain ou de notre vivant, nous nous trompons si nous considérons seulement une possibilité. Tout comme l’élément suivant de la série de nombres pourrait être 11, 1, b ou 10, toute vision de l’avenir devrait comporter un éventail de possibilités. Nous pourrions les classer selon la probabilité ou le degré de faisabilité au moyen d’une manipulation visible, subtile ou secrète. C’est dans la manipulation que les choses deviennent intéressantes. Que faut-il changer pour que X se produise ? J’ai prédit que nous ne verrions jamais de voitures volantes comme celles que les magazines de science fiction imaginent. Ma thèse est que même si nous maîtrisons la technologie, jamais les gens ne laisseront des centaines de voitures survoler leur maison. © Peter de Jager. Peter est conférencier, futuriste, rédacteur et consultant. Son site Web : www.technobility.com
Mieux vaut être sage que de paraître sage. Origen
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Nouvelles hôtelières du Village Global FOUR SEASONS DOUBLE SES PROFITS
La situation ne s’améliore pas quand les directeurs d’hôtel exigent des heures plus longues. Deux fois plus d’hôteliers s’attendent maintenant à ce que leur personnel fasse non pas moins mais plus d’heures – un sommet depuis le début de l’enquête. L’enquête auprès de presque 1 200 commerces, surtout des hôtels, remonte à avril. L’Association des hôtels du Canada estime que l’industrie de l’hébergement a généré des revenus de 12,6 milliards de dollars en 2004, avec environ 270 000 emplois directs et indirects. Les salaires et traitements totaux du secteur sont évalués à 6 milliards de dollars.
Les
actions de Four Seasons Hotels Inc. ont augmenté jusqu’à 10 pour cent en mai après que la société aie rapporté au premier trimestre un bénéfice qui a doublé, dépassant les prévisions qui avaient fait consensus chez les analystes et augmenté ses prévisions de ventes. Le mois dernier, Marc Falcone, l’analyste à la Deutsche Bank qui recommande de garder les actions de la société, écrivait dans le Globe and Mail que les gains de ces actions ressemblent à « un résultat sans conteste par rapport aux prévisions de Wall Street après plusieurs trimestres difficiles ». Four Seasons attribue les succès du trimestre à la reprise de la demande dans le secteur des voyages. Le RevPAR (revenu par chambre disponible), une mesure financière importante dans l’industrie hôtelière qui combine tarif et taux d’occupation, a augmenté de 11,7 pour cent. Les frais de gestion d’hôtel ont grimpé de 23,1 pour cent au premier trimestre alors que les tarifs de base ont augmenté de 12,3 pour cent. Les tarifs spéciaux ont monté en flèche, de 50,3 pour cent. William Truelove, analyste en valeurs mobilières chez USB, qui conseille d’acheter ces actions écrivait dans le rapport du mois dernier que la compagnie avait beaucoup amélioré ses informations divulguées et restructuré ses états financiers de manière plus cohérence et logique. Selon Four Seasons qui a rapporté des pertes de 28,2 millions l’an dernier, si la tendance dans les voyages observée au cours du dernier trimestre se maintient, la société s’attend à ce que le RevPAR qui était entre 8 % et 10 % se situe en 2006 entre 9 % et 11 %.
HÔTELS À COURT DE PERSONNEL
LES LIEUX DE VILLÉGIATURE LES PLUS CHERS EN 2006 Aujourd’hui, plus de gens sont prêts à payer plus que les tarifs ordinaires pour s’offrir un séjour dans un de ces centres exclusifs qui faisaient figure de nouveauté il y a quelques années. Quand, dans les années 1980, le milliardaire Richard Branson a transformé Necker Island, une île privée dans les îles Vierges britanniques, en lieu de villégiature exclusif à 5 500 $US la nuit, cela frisait le ridicule. Aujourd’hui, Necker Island, qui accueille jusqu’à 26 personnes, est tellement demandée que les tarifs commencent à 30 000 $US la nuit. Le succès est tel que Branson fait des émules. Ainsi, The Rania Experience, un lieu de villégiature exclusif dans une île des Maldives, a ouvert en 2005 et met à la disposition de groupes d’au plus neuf personnes un chef privé, des soins thalasso illimités et un yacht de 26 mètres (86 pieds), le tout à 13 000 $US la nuit – plus cher par personne que Necker. Selon les professionnels de l’industrie, le 11 septembre a changé les habitudes de voyage. Pendant une bonne année après les attentats, la plupart des voyages ont été annulés mais les séjours dans une île privée ont augmenté de façon spectaculaire. Plus avisés et mieux informés, les clients riches sont moins craintifs que ceux qui voyagent moins. Ces centres exclusifs sont souvent des régions apolitiques, donc moins exposés aux attaques terroristes et plus faciles à protéger.
Presque un
hôtelier canadien sur trois manque de main-d’oeuvre non qualifiée, presque deux fois plus que l’an dernier selon Statistiques Canada. Environ un hôtelier sur quatre manque de main d’oeuvre qualifiée révèle l’enquête Statscan sur la conjoncture économique. Selon Statscan, les problèmes de recrutement peuvent résulter des bas salaires traditionnellement payés dans ce secteur. Les salaires dans l’hébergement et la restauration sont les plus bas du Canada, avec des revenus hebdomadaires de 334,60 $ en février 2006.
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Les étages exécutifs Un petit luxe qui fait toute la différence DE LEO GERVAIS
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ous en avez peut-être entendu parler. Pourtant, les étages de luxe ou étagesclubs sont un des secrets les mieux gardés de l’industrie hôtelière même s’ils datent du milieu des années 1980. Généralement disponibles dans les grandes chaînes hôtelières, ces étages de luxe offrent des chambres d’une classe légèrement supérieure à celle qu’un planificateur réserverait d’habitude pour un client. Ils offrent aussi de nombreux agréments et services qui rehaussent un séjour à l’hôtel, comme le petit-déjeuner continental, des salles de réunions et d’autres choses comprises dans un service clé en main. L’hôtel Fairmont Le Reine Elizabeth à Montréal en est un bon exemple. L’étage de luxe situé au troisième est unique en son genre. Complètement séparé de l’étage des congrès, c’est un grand ensemble luxueux pour gens d’affaires avec service de conciergerie privé et 44 chambres de luxe. Chacune des sept salles de réunion polyvalentes sur 372 m2 est en mesure d’accueillir de 10 à 80 personnes et toutes sont équipées de la toute dernière technologie. Joanne Papineau, Directrice régionale des Relations publiques pour la région du Québec au Fairmont Le Reine Elizabeth, dit que le responsable d’organisation de réunions avisé a plusieurs bonnes raisons de
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Une salle de l’étage affaires du Fairmont Le Reine Elizabeth à Montréal. choisir ces étages. « L’étage a une réception et un concierge privés et il est idéal pour qui cherche confidentialité et discrétion. Des compagnies l’ont utilisé pour les relations de travail et pour lancer des produits dans le secteur pharmaceutique. Ce secteur l’a si souvent utilisé qu’il nous arrive de l’appeler « l’étage Pfizer » (la compagnie montréalaise célèbre dans le monde entier qui a créé le Viagra). Évidemment,
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lorsque l’étage est réservé, cela vous met à l’abri des concurrents qui pourraient voir votre produit. » Robbie Bishop, Directeur régional des ventes et du marketing pour Le Royal Meridien King Edward à Toronto, explique de façon semblable la popularité de ce concept chez les clients de l’hôtel. « Ils adorent l’intimité d’un hôtel dans l’hôtel avec le Royal Club Lounge, du buffet bien garni du petit-déjeuner aux cocktails et canapés gratuits en soirée, dit-il. Ils adorent aussi la salle de conférence capable d’accueillir jusqu’à huit personnes, que les clients du Royal Club peuvent utiliser sans frais pendant trois heures et qui est idéale pour des entrevues ou des réunions en petits groupes. » Stewart Rubin, Directeur des ventes et du marketing de l’Hôtel InterContinental de Montréal, dit que les clients aiment les salles de conférence et les salons privés et les autres agréments de l’hôtel avec les 37 chambres des étages-clubs (24, 25 et 26). « Pour un petit groupe, c’est comme un petit hôtel au cœur d’un grand hôtel. Une grande valeur ajoutée pour un petit investissement », dit-il. Le Hilton Toronto a lui aussi un excellent étage de luxe (voir Hôtel du mois, Le Planificateur, avril 2006). Sur le Web : www.fairmont.com www.starwoodhotels.com/lemeridien http://montreal.intercontinental.com www.hilton.com
Un s ondage d u P lanificateur Notre dernier sondage a donné des résultats inattendus. Au moins la moitié des répondants acceptent parfois de retarder le début d’une réunion. Ci-dessous, certaines des situations où ils acceptent de le faire : • L’animateur ou le conférencier est en retard. • Attendre d’habitude un ou deux participants cruciaux. • Un délai de grâce de cinq minutes (même pour le patron).
Commencez-vous vos réunions à l’heure quoiqu’il arrive ?
• Les réunions prévues à l’heure juste semblent commencer en retard plus souvent. Nous essayons donc de commencer à 8 h 20 par exemple au lieu de 8 h. • Quand le retardataire est le patron (ou un dirigeant). Sinon, les gens rattrapent leur retard à la pause café ou après la réunion.
Questionnaires envoyés par e-mail Réponses Taux de réponses Oui Non Total
65 66 131
7811 131 1.68%
• Problèmes d’audiovisuel quand des présentateurs arrivent juste avant la réunion. Et voici quelques raisons données pour commencer à l’heure :
49.62% 50.38% 100.00%
• Commencer en retard est un manque de politesse et de respect envers les participants. • La majorité des participants est arrivée, donc on commence à l’heure. Suggestion : Les retardataires paieraient 1 $ par minute de retard et l’argent serait versé annuellement à une œuvre de bienfaisance.
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La formation en stand, un excellent moyen pour attirer les visiteurs DE BARRY SISKIND
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es gens visitent les salons proefessionnels pour toutes sortes de raisons. Apprendre se classe parmi les premières. C’est pour eux le moyen idéal de découvrir de nouveaux produits et services, de nouvelles applications ou de nouvelles technologies et méthodes capables d’accroître leur productivité. Cela vaut aussi pour les expositions grand public où le visiteur peut découvrir de nouveaux concepts qui amélioreront sa qualité de vie. En y pensant bien, c’est aussi une occasion unique pour les exposants astucieux. Que votre stand soit grand ou petit, vous pouvez toujours profiter de l’occasion pour sensibiliser les gens au moyen d’une formation sur place. La présentation elle-même doit être excellente. Évitez à tout prix le style boniment. Les visiteurs apprécient le plus les formations qui leur donnent une information pertinente et utile. Une étude du CEIR rapporte que 63 pour cent des visiteurs qui ont assisté à des formations en stand ont affirmé que cela avait fortement influencé leur décision d’acheter. Une conférence n’est pas une démonstration. La démonstration vise à aiguiser l’appétit du visiteur pour un produit ou un service. La formation vise à lui donner de l’information qui l’aidera à améliorer sa productivité. Le conférencier doit avoir bien préparé et bien répété sa présentation. Une présentation bâclée et manquant de professionnalisme ternira l’image de votre organisation. Organiser une formation en stand exige des soins particuliers. Dans un petit stand, quelques chaises suffiront. Votre présentateur aura besoin d’un tableau de papier ou d’un rétroprojecteur. Dans un stand plus grand, où vous avez plus de place, vous pouvez envisager du matériel audiovisuel plus élaboré et plus de chaises. Toutefois, ne prévoyez pas trop de chaises : mieux vaut des sièges tous pris et des visiteurs debout, cela crée un effet de salle bondée, de conférence populaire. Vous pouvez considérer la possibilité d’offrir une récompense à ceux qui assistent à toute la conférence : T-shirt ou casquette, échantillon de votre produit, participation à un tirage. Lors d’un salon, un exposant a offert un jour un beau billet de 100 $US flambant neuf. Inutile de dire que toutes les places étaient prises. Les séminaires en stand fonctionnent. Toutefois, il est affligeant de voir un présentateur parler dans un stand presque vide. La clé du succès, selon Barbara Siskind (oui, c’est une parente), auteure de Seminars to Build Your Business, c’est votre mise en marché. « La mise en marché de votre conférence est probablement l’étape la
plus importante de vos activités de formation... Sans un bon plan de mise en marché, il ne se passera rien. » Vous pouvez annoncer votre formation en stand dans les journaux et les magazines, dans le guide de l’exposition, sur votre site Web, sur des affiches sur les lieux d’exposition (si le directeur de l’expo le permet) ou dans des invitations envoyées à des visiteurs spécifiques avant l’exposition, y compris un dépliant dans la trousse des délégués ou encore sur une affiche dans le stand indiquant les heures et les thèmes des présentations. Les formations en stand sont un puissant moyen d’attirer l’attention sur ce que vous exposez. Une fois la conférence terminée, le personnel du stand doit être prêt à aborder les visiteurs pour leur offrir toute aide supplémentaire dont ils pourraient avoir besoin. ••• Barry Siskind est le Président de International Training and Management Company. Site Web : www.siskindtraining.com
« J’ai lu Le Planificateur du début à la fin... » « Je prends toujours le temps de lire Le Planificateur...» Les planificateurs nous voient. N’ont-ils pas besoin de vous voir ? Appelez-nous au (514) 849-6841 ext. 331 JUIN 2006
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TENDANCES Pourquoi l’avion est un bon choix C’est à votre tour de monter à bord et vous pensez probablement aux risques encourus en prenant l’avion. Détournements, attaques terroristes, écrasements, tout y passe. Puis, vous embarquez à bord quand même parce que, selon les statistiques, l’avion est plus fiable que jamais et 21 fois plus sûr que le trajet en voiture pour venir à l’aéroport. Airclaims, l’expert conseil installé à Heathrow et spécialisé dans la gestion des réclamations écrit dans son bulletin de fin d’année que, malgré une année décevante avec 19 accidents mortels dans le monde, 2005 avait été la quatrième année la plus sûre depuis 1946. Et 2004 avait été l’année avec le moins d’accidents de l’histoire avec 347 morts, soit 60 % de moins que la moyenne des années 1990 quand il y avait beaucoup moins de passagers. Ainsi, entre 1995 et 2004, les sociétés aériennes du R.-U. qui ont transporté 926 millions de passagers ont compté quatre accidents et 20 pertes de vie au total. De même, les sociétés aériennes des É.-U. ont transporté 1,9 milliard de passagers entre
2002 et 2004 et n’ont enregistré que 34 morts. Les sociétés aériennes européennes et asiatiques font de l’excellent travail en matière de normes de sécurité. Si l’on en juge d’après la série d’accidents en août et septembre 2005, la sécurité aérienne inquiète beaucoup de gens. Les médias – et certains hommes politiques en Europe – ont fait état de cette inquiétude, selon Airclaims. « On parle d’interdire l’espace aérien européen aux « sociétés aériennes dangereuses » et de dresser des listes noires », dit Paul Hayes, Directeur de la sécurité aérienne à Airclaims (voir oag.com). « Pourtant, il n’existe pas de critères pour différencier la société aérienne dangereuse de celle qui est simplement malchanceuse », ajoute-t-il. On assume généralement que la distribution des accidents au fil du temps est aléatoire et peut ne pas être un indicateur précis de sécurité aérienne. Le point crucial de l’argument est l’entretien des avions, bien que les chances d’un accident dû à des problèmes mécaniques soit statistiquement faibles à cause de l’amélioration constante de la technologie conjuguée aux pratiques d’entretien strictes dans les hangars. Selon l’article, il est plus probable qu’une erreur humaine soit à l’origine de l’accident et les
sociétés aériennes prennent toutes les précautions possibles en vol et au sol. En 2005, British Airways a dépensé 1,5 million de dollars US pour entretenir ses 292 appareils, avec un âge moyen de neuf ans. Les fabricants d’avions étudient des technologies pour favoriser la prise de conscience du risque situationnel chez l’équipage. Cela va de l’affichage du profil de descente et des terrains environnants à la surveillance de la circulation au sol pendant que l’avion roule vers la porte d’embarquement. Ils travaillent aussi sur des systèmes de diagnostique qui annoncent les problèmes en développement et déclenchent rapidement une alerte en cas de défaillance possible. Si la sécurité aérienne vous inquiète, vous pourriez considérer qu’en 1996 les sociétés aériennes commerciales ont eu un taux d’accidents fatals de 0,026 par 100 000 heures. Donc, statistiquement, il faudrait qu’un passager voyage 24 heures par 365 jours pendant 400 ans avant d’être impliqué dans un accident.
Moins d’attente aux contrôles de sécurité à l’aéroport Il faut compter 20 minutes ou plus pour passer au contrôle de sécurité à l’aéroport. Saviez-vous qu’on peut le faire en moins de cinq minutes aux points de contrôle un peu en retrait dans de nombreux terminaux ? Voici quelques tuyaux pour vous aider à réduire de 70 % votre temps d’attente : dans la plupart des aéroports, l’attente est souvent beaucoup moins longue aux extrémités des terminaux ou encore aux points de contrôle situés à un autre étage – certains aéroports ont des points de contrôle moins achalandés au niveau inférieur, près de la livraison des bagages.
Les rivières sont des chemins qui marchent, et qui portent où l'on veut aller. Blaise Pascal 22
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