TCS Valais février 2014

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TCS Section Valais TCS Sektion Wallis 1

Bulletin Klubzeitung Paraît quatre fois par an

février - Februar 2014

Erscheint viermal pro Jahr

JAB-1950 SION 1 A faire suivre, ne pas indiquer la nouvelle adresse (selon A1 No 671 c)

Nécessité d'un fonds autoroutier

Fertig gebastelt das Wort der Präsidentin | 2

Fin du bricolage billet de la présidente | 3

Gesundheitsseite: Wer fährt, trinkt nicht | 7

Jeunes conducteurs: boire ou conduire | 6

Rechtsberatung, eine Dienstleistung des TCS | 10

L'avocat-conseil du TCS | 8

Strassenrechnung: wer bezahlt? | 11

Financement du compte routier | 9


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2 DAS WORT DER PRÄSIDENTIN

Fertig gebastelt

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IMPRESSUM --------------------------------Editeur Touring Club Suisse ­section Valais --------------------------------Rédaction Jean-Jacques Zuber, 1870 Monthey --------------------------------Secrétariat TCS section Valais, avenue de la Gare 20, 1950 Sion, tél. 027 329 28 10 --------------------------------Impression Centre d'impression des Ronquoz, 1950 Sion --------------------------------Abonnement par adhésion au TCS. Cotisation de membre: 88 fr. par an (tarif 2014) ---------------------------------

POINT DE CONTACT --------------------------------Sion TCS section Valais, rue des Cèdres 3, 1950 Sion tél. 027 329 28 15 fax 027 329 28 19 tcs.sectionvs@bluewin.ch Heures d'ouverture: lu 8h30 à 11h30 et 13h30 à 17h30; ma-ve 8h30 à 11h30. ---------------------------------

KONTAKTSTELLE --------------------------------Sitten TCS Sektion Wallis, rue des Cèdres 3, 1950 Sitten Tel. 027 329 28 15 Fax 027 329 28 19 tcs.sectionvs@bluewin.ch Öffnungszeiten: Mo 8.30 bis 11.30 und 13.30 bis 17.30 Uhr; Di-Fr 8.30 bis 11.30 Uhr. --------------------------------http://www.tcs.ch ---------------------------------

Das Volks-Nein zur teureren Autobahnvignette war ein einschneidendes Ereignis in der schweizerischen Verkehrspolitik. Die für das Dossier zuständige Bundesrätin reagierte nach dieser Niederlage ungewohnt enttäuscht. Sie erklärte, dass die Strassenbauprojekte, die mit der Annahme der Vorlage zusammenhingen, nun vom langfristigen Bauprogramm der National­strassen ausgenommen wären. Hoffentlich geht diese Trotz­ reaktion gleich wieder vergessen, hoffentlich werden diese Projekte in den neuen Strassen­ finanzierungsfond eingeschlossen. Wenn nicht, stellt sich die Frage, ob man das Volk über eine künstliche, unwichtige Vorlage abstimmen liess – oder masst rat etwa das sich der Bundes­ Recht an, das Volk zu ­bestrafen, wenn es seine Vorschläge nicht annimmt? Für den TCS war immer klar, was auf dem Spiel stand. Es war nie die Rede davon, die Einbeziehung bedeutender Strassenverkehrs­abschnitte in das Nationalstrassennetz abzulehnen. Es ging darum, die Salamitaktik bei den Projekten und ihre ständigen Änderungen bedingt durch politische Umstände oder neue Verkehrsminister abzulehnen. Zur Erinnerung: Die Planung der Nationalstrassen stammt in den Grundzügen aus den späten 50-er Jahren, und die Schweiz hat die letzten sechzig Jahre nicht im Tiefschlaf verbracht. Unser Land hat sich beträchtlich weiterentwickelt, und die Bevölkerung hat erheblich zugenommen. Die Anpassung des Nationalstrassennetzes ist daher nicht nur wünschenswert, sondern absolut notwendig.

Nehmen wir das Wallis: Bezweifelt jemand die wichtige Rolle der Grossen St. Bernhard­ strasse im Nord-Süd-Verkehr? Hat jemand vergessen, dass der Bundesrat, als die Rawilstrasse vom Nationalstrassennetz gestrichen wurde, versprach, diese durch eine (fast) kostenlose Lötschberg-Linie zu ersetzen? Man könnte so alle Projekte Revue passieren lassen, die das Verkehrsdepartement an die Preis­ erhöhung der Vignette geknüpft hatte. Und siehe da: Jedes dieser Projekte würde eine Intervention des Bundes rechtfertigen. Die Notwendigkeit eines Stras­senfonds ist unbestreitbar. Jetzt muss man ihm aber solide Fundamente verschaffen, um ihn vor den leider viel zu häufigen Kurswechseln in unserer Verkehrspolitik zu schützen. Uns ist allen bewusst, dass das nicht billig wird. Wenn die Kostenteilung zwischen den Transportmitteln gerecht ist, wird das Volk ihn zweifellos annehmen. Es geht um eine wettbewerbsfähige Wirtschaft. Fabienne Bernard

Ihre Mobilität liegt uns am Herzen Als Mitglied profitieren Sie vom besten Pannendienst der Schweiz, von exklusiven Vorteilen sowie von attraktiven Rabatten.


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3 Comité Vorstand Fabienne Bernard Présidente - Präsidentin Martigny

Philipp Matthias Bregy Vice-président - Vizepräsident Naters

Christian Nanchen Vice-président - Vizepräsident Sierre

Daniel Crittin Membre - Mitglied Evionnaz

Antoine Defabiani Membre - Mitglied Uvrier

Simon Charles Fluri Membre - Mitglied Veyras

Guillaume Grand Membre - Mitglied Sion

Jeanne-Emmanuelle Jollien-Héritier Membre - Mitglied Savièse

Graziella Walker-Salzmann Membre - Mitglied Ried-Mörel

Jodok Wyer Membre - Mitglied Visp

Nicole Zuber Membre - Mitglied Sion

BILLET DE LA PRÉSIDENTE

Fin du bricolage Le rejet populaire de l'augmentation du prix de la vignette a constitué un événement marquant dans la politique suisse des transports. La conseillère fédérale en charge du dossier a manifesté une déception assez inhabituelle en suite de cet échec. Elle a indiqué que les projets dont la réalisation était liée à l'acceptation du texte seraient exclus du programme à long terme des routes nationales. On espère que cette réaction de dépit est oubliée et que les objets liés à cette votation seront bien inclus dans le nouveau projet de fonds routier. Si ce n'était pas le cas, on se demanderait en effet si on a fait voter la population sur un objet factice, sans réel enjeu, à moins que le Conseil fédéral ne s'octroie le droit de punir le peuple lorsque celui-ci n'approuve pas ses propositions. Pour le TCS, les enjeux étaient clairs. Il n'a jamais été question de refuser l'inclusion dans le réseau des routes nationales de tronçons majeurs du transport routier, mais bien de refuser le saucissonnage des projets et leurs modifications permanentes au gré des conjonctures ou des changements de ministres des transport. Faut-il rappeler que le projet des routes nationales, dans sa configuration générale, remonte à la fin des années 50 et que la Suisse n'a pas séjourné dans un bain de formol durant les soixante dernières années. Sa physionomie a beaucoup évolué, et sa population a progressé de manière considérable. Une mise à jour du réseau des routes nationales n'est donc pas

seulement souhaitable, mais indispensable. Pour s'en tenir à la situation du Valais, qui peut douter de la fonction majeure de la route du Grand-Saint-Bernard dans les échanges nord-sud? Qui a oublié que lorsque le Rawyl a été gommé du réseau des RN, le Conseil fédéral s'était engagé à lui substituer une liaison ferroviaire gratuite, ou presque gratuite, au Lötschberg? On pourrait passer en revue ainsi tous les projets que le Département des transports avait choisi de lier à l'augmentation du prix de la vignette, et l'on se rendrait compte que chacun d'eux justifie une intervention de l'Etat fédéral. La nécessité d'un fonds routier étant reconnue, il s'agit de l'établir sur des bases solides de façon à éviter les changements de cap malheureusement trop nombreux de notre politique des transports. L'opération aura un coût, tout le monde en est conscient. Si la répartition des charges entre les modes de transport est harmonieuse, le peuple l'acceptera sans doute. Il en va du maintien d'une économie performante. Fabienne Bernard

Votre mobilité nous tient à coeur Les membre du TCS profitent du meilleur service de dépannage de Suisse, de nombreux avantages exclusifs ainsi que de rabais attractifs.


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4 TCS VOYAGES

Le nouveau catalogue de l'Atelier du voyage

Destinations choisies et prix relax

Des voyages culturels francophones L'Atelier du voyage s'est donné un profil explicite. Il fait du sur-mesure. Comme un couturier du dépaysement et de la découverte. Tout à l'opposé de ces charters qui conduisent des masses indistinctes de voyageurs vers d'anonymes complexes hôteliers, sur des plages surpeuplées. Trois caractéristiques principales à son activité: transporter des petits groupes de personnes; limiter son offre à un public francophone ou francophile; accompagner le voyageur dans une découverte culturelle et/ ou paysagère des lieux visités. Ces lignes directrices rendent compte de la variété des offres, parmi lesquelles on trouve simultanément des destinations voisines et lointaines. Tenez, Paris, une destination familière s'il en est. Qu'en est-il de ses métamorphoses successives, des lieux marqués par une histoire singulière, des personnages qui y ont laissé leur empreinte, de l'origine d'une architecture hétérogène, parfois déconcertante? Toutes questions auxquelles il est difficile de répondre, même en se promenant avec le nez plongé dans un guide touristique. Et s'il en est ainsi d'une ville voisine, on imagine la difficulté de découvrir en profondeur des destinations et cultures lointaines. Si ce projet de voyages suscite votre intérêt, dépêchez-vous de demander le catalogue de l'Atelier du voyage.

Destinations 2014 Inde: magie du Rajasthan Maroc: entre désert et océan Madère: le jardin de l'Atlantique Croisière: la Seine au fil de l'eau Croisière: de Moscou à Saint-Pétersbourg Ethiopie: les trésors de l'Abyssinie Nous vous envoyons volontiers la brochure détaillée. Demandez-la par mail à sectionvs.tcs@ bluewin.ch ou par téléphone au 027 329 28 10.

Destinations exotiques ou croisières fluviales: l'offre de l'Atelier du voyage TCS est assez large pour répondre à tous les goûts et à toutes les envies.


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Brèves Des voitures toujours plus économiques La consommation spécifique de carburant des voitures de tourisme neuves a baissé de 26,1% entre 2000 et 2012. Les voitures de tourisme consommaient en moyenne 6,39 l/100 km en 2012. Il existe un palmarès des voitures les plus économiques dans chacune des catégories. Il peut être téléchargé sur les adresses internet suivantes: www.environnement.tcs.ch www.etiquetteenergie.ch.

Démographie à toutes les sauces

tcs

La clé qui calcule pour vous Quel est le coût kilométrique de votre voiture? La réponse à cette question n'est pas seulement affaire de curiosité. Elle est utile aux travailleurs indépendants, aux entreprises, à tous ceux qui ont à tenir une comptabilité soumise à l'autorité fiscale. Elle permet aussi à ceux qui exercent un mandat impliquant des déplacements de connaître l'indemnité qui leur est due. Or, il n'est pas si facile de calculer le coût kilométrique d'un véhicule, tant les facteurs déterminants sont nombreux et fluctuants. En effet, outre son amortissement et sa consommation moyenne, il faut prendre en compte les services, le coût des pneus, les impôts, les assurances, la place de parc etc. Pas facile, donc. Sauf à disposer d'un petit instrument que le TCS a développé et qui détermine avec exactitude ce coût. Il s'agit d'une clé USB de 4 Go qui ne coûte que 19 francs pour les membres (29 francs pour les non-membres). A commander sur le site du TCS, www.tcs.ch.

Moteurs électriques en progrès La voiture électrique a enregistré une progression remarquable en France, en 2013, avec 3,1% de part de marché. Il semble que ce résultat doive beaucoup au système d'autopartage à Paris et Lyon (Autolib' et Bluely). Les nouveaux véhicules du groupe RenaultNissan ont joué un rôle décisif dans ce développement. Le moteur électrique suscitera-t-il un semblable enthousiasme dans les métropoles suisses? Cela paraît peu probable au vu des modèles de voitures que l'on voit circuler à Genève ou à Zurich. En revanche, le moteur hybride paraît promis à un succès mondial. En plus de ses avantages de sobriété et de performances, il présente un bilan CO2 plus favorable que la voiture électrique. Pas étonnant donc de voir tous les grands constructeurs proposer désormais des véhicules de ce type.

Alice Zuber

On impute à la progression démographique les problèmes que la Suisse rencontre aujourd'hui en matière d'infrastructures d'habitat et de transport. Il est indéniable que la croissance de la population constitue l'un des facteurs du problème. Mais il n'est pas aussi déterminant qu'on le dit. En ce qui concerne l'habitat, le fractionnement des familles et donc l'augmentation du nombre de foyers doit être pris en compte; mais encore, et surtout, la progression de la surface par personne des appartements. En ce qui concerne les transports, l'immigration joue un rôle moins important que la croissance de la mobilité; une mobilité que la Confédération n'a cessé d'encourager jusqu'à une période très récente… avant de tenter de la décourager par une mesure fiscale! Quant à l'évolution de la démographie, elle est pour le moins capricieuse. En 2001, des experts ont passé plusieurs mois à travailler sur des scénarios probables de développement. Celui qui fut retenu comme le plus vraisemblable indiquait que la population suisse allait stagner puis régresser à 7 millions d'habitants en 2060! On sait aujourd'hui ce qu'il en est.


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6 LA PAGE SANTÉ

Boire ou conduire: Tour

de vis aux jeunes conducteurs Le point de vue du producteur

Le point de vue du médecin

Maurice Zufferey, vigneron-encaveur à Muraz-sur-Sierre (Cave Maurice Zufferey)

Dr Maurice Fellay Centre d’expertises médicales, Hôpital du Valais

•Selon de récentes statistiques du BPA, la police relève un problème d'alcool dans 20% des accidents de la route qui se produisent en Valais. Quelle réaction?

•Les nouvelles directives de Via Sicura interdisent l'alcool aux jeunes conducteurs. Ceux-ci représentent-ils une population particulièrement vulnérable?

Tout accident, bénin ou majeur, est infiniment regrettable. Que l'alcool constitue un facteur de risque est indéniable. Cela étant, la donnée brute que vous mentionnez n'est pas suffisamment explicite. L'étude en question évoque une composante alcoolique dans la survenue des accidents, pas nécessairement une cause. Il suffit de 0,1 gr d'alcool par litre de sang pour que soit évoquée une composante alcoolique. Cela dit, je suis d'accord avec vous sur le fait qu'il est préférable de ne pas boire d'alcool lorsqu'on est appelé à prendre le volant.

Oui, sans aucun doute. Cela ne tient pas seulement au fait de leur inexpérience. Il se trouve que les jeunes gens prennent volontiers des risques dans tous les domaines, et notamment au volant. L'adolescence et la post-adolescence constituent aussi une période où les habitudes du futur adulte se forgent, que ces habitudes soient bonnes ou mauvaises.

•Ce qui me préoccupe surtout, c'est le nombre des jeunes gens qui ont des accidents graves et qui sont bel et bien en état d'ivresse. Je partage totalement cette inquiétude. Je ne pense pas toutefois que le vin que nous produisons joue un rôle important dans les soirées de jeunes. C'est une boisson trop chère pour ces soûleries en groupe. Les jeunes font la fiesta avec de la vodka, du rhum, des alcopops. •Les Valaisans évoquent volontiers la culture locale pour rendre compte d'une consommation d'alcool relativement élevée en moyenne nationale. Qu'en pensez-vous? Oui, bien sûr, le vin fait partie de notre culture. Il est même institutionnalisé d'une certaine manière puisqu'il est présent à l'église, dans les réceptions officielles, dans les fêtes traditionnelles. On l'offre en signe de bienvenue aux visiteurs et amis. J'ajouterais qu'étant donné qu'il fait partie de nos traditions culturelles, nous avons plus de chance d'en maîtriser la consommation que des régions qui connaissent la prohibition ou la semi-­ prohibition. Les exemples ne manquent pas. •Vous recommandez tout de même la modération, si je vous comprends bien? Bien sûr. La dégustation et le plaisir sont incompatibles avec une consommation désordonnée. Selon Maurice Zufferey, on peut allier plaisir et sécurité lors d’une dégustation dans une cave en choisissant un conducteur de voiture qui ne boira pas.

•Une tolérance de 0,5‰ est cependant admise pour les conducteurs adultes. Est-ce à dire que cela ne présente plus de risque? Comme vous le dites, il s'agit d'une tolérance qui est propre aux pays viticoles. Il serait faux de considérer cette tolérance comme une sorte de passeport. En réalité, avec 0,5 gr d'alcool par litre dans le sang, la perception de la réalité est fortement diminuée, les réflexes émoussés, le temps de réaction prolongé. Le risque d'accident se trouve donc considérablement accru; il ne s'agit pas là d'une simple appréciation, mais d'un fait scientifiquement établi. •Au fond, cela revient à dire: boire ou conduire. Si vous considérez la sécurité routière, c'est une évidence. Mais on a affaire ici à une question sociétale complexe qui doit être appréhendée par les politiques. La médecine, elle, ne peut qu'émettre des recommandations. •Revenons aux jeunes gens. L'alcool représente-t-il pour eux des risques spécifiques outre celui lié à la conduite? Il y en a plusieurs au niveau sanitaire. Ce qui me paraît le plus important est cependant la banalisation d'un produit psychotrope qui entraîne parfois une accoutumance précoce, avec tout ce que cela implique en termes d'inconvénients sociaux et professionnels. •Comment interprétez-vous le phénomène du "binge drinking"? C'est une question à laquelle il est impossible de répondre brièvement. En s'en tenant au fait brut, on peut dire ceci: l'alcool a pour effet de désinhiber l'individu, de le libérer momentanément des limites sociales ou morales habituelles. La "biture express", ou "binge drinking", permet donc aux jeunes d'accéder en quelques instants à cet état de soi-disant totale liberté. •Un certain nombre de jeunes affirment que les interdictions et les mises en garde des adultes ont un effet contre-productif. Qu'en pensez-vous? C'est faux. Il est prouvé que prévention et sanction exercent un effet dissuasif. Cela étant, il vaut mieux expliquer que sermonner, démontrer et convaincre. Il y a souvent de la maladresse chez les parents dans l'approche éducative. Il y a l'exemple, bien entendu. Et parfois il faut chercher de l’aide chez des professionnels comme les pédiatres, les pédopsychiatres et les spécialistes en addiction. Interviews menées par Simon Fluri Le Docteur Simon Fluri, pédiatre spécialisé en néonatologie, est médecin-chef au service de pédiatrie du Centre hospitalier du Haut-Valais. En tant que membre du comité de la section Valais du TCS, il est responsable de la page santé du journal du club.


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7 GESUNDHEITSSEITE

Wer fährt, trinkt nicht Ab dem 1. Januar 2014 ist das zweite Paket des nationalen Verkehrssicherheitsprogramms «Via sicura» für alle Automobilisten gültig. Neben dem obligatorischen Fahren mit Licht am Tag, beinhaltet es ein Alkoholverbot für Berufschauffeure, Neulenkende während drei Jahren (Inhaber Führerausweis auf Probe), Fahrschüler, Fahrlehrer sowie Begleitpersonen von Lernfahrten. Damit wird auf die Tatsache reagiert, dass Neulenker im Alter von 18 bis 24 Jahren besonders an Wochenenden und nachts wesentlich häufiger Unfälle unter Alkohol­ einfluss verursachen als ältere Verkehrsteilnehmer. Bereits in sechs Monaten folgt zudem als weiterer Schritt das Abklärungsobligatorium der Fahreignung durch einen Verkehrsmediziner bei Fahren mit 1,6 Promille oder mehr. Der Alkohol machte im vergangenen Jahr mehrfach Schlagzeilen. Im Kanton Wallis war gemäss Bundesamt für Strassen (Astra) im Jahr 2012 bei 21% aller Verkehrs­ unfälle mit Verletzungsfolgen Alkohol mit einer Blutkonzentration von 0,5 oder mehr Promille im Spiel. Die Alkoholunfälle wie auch die Zahl der Todesopfer sind gemäss der Walliser Kantonspolizei jedoch seit Jahren rückläufig. Trotzdem haftet den Kantonen der Romandie schweizweit noch immer das Etikett an, dass hier mehr Alkohol getrunken werde. Das Bundesamt für Statistik führt alle zwei Jahre eine Umfrage zum Trinkverhalten der Bevölkerung durch. In der Deutschschweiz geben 6,3% an, täglich zu trinken, in der Romandie sind es 11,5 Prozent, die Tessiner belegen mit 18,1 Prozent den Spitzenplatz. Eine Studie der Schweizerischen Fachstelle für Alkohol- und andere Drogenprobleme Sucht Schweiz kommt zum Schluss, dass viele Westschweizer die gesetzliche Promille-Grenze falsch einschätzen. Viele glaubten, die Grenze sei erst nach drei bis vier Gläsern Wein oder Bier erreicht. Tatsächlich führt ein Deziliter Rotwein oder drei Deziliter Bier zu durchschnittlich 0,20,3 Promille Blutalkohol. Seit Einführung der 0,5-Promille-Grenze gibt es schweizweit jährlich im Strassenverkehr im Durchschnitt 155 weniger Schwerverletzte aufgrund von Alkoholmissbrauch. Auch die Zahl der Getöteten ist um jährlich durchschnittlich 44 Personen zurückgegangen. Die strengeren Vorschriften haben den Strassenverkehr also klar sicherer gemacht. Gemäss Bundesamt für Gesundheit spielt der Alkoholmissbrauch aber nicht nur bei Verkehrsunfällen eine wichtige Rolle: 17% aller Verletzungen und Unfälle von Männern und 12% von Frauen sind alkoholbedingt. Das Risiko für Unfälle und Verletzungen nimmt mit steigendem Alkoholkonsum zu. Frauen, die vier oder mehr Gläser trinken, tragen ein 9-mal höheres Risiko für Unfälle und Verletzungen als nüchterne Frauen. Männer, die fünf Gläser Alkoholisches oder mehr trinken, erhöhen ihr Unfallrisiko gegenüber Nüchternen gar um das 27-fache. 60% der Männer, welche einen alkoholbedingten Unfall erleiden, trinken regelmässig oder punk­ tuell fünf Gläser oder mehr.

Ausserdem stellt der übermässige Alkoholkonsum ein wesentliches Gesundheitsrisiko dar. Alkohol ist beispielsweise an der Entstehung zahlreicher Krebsleiden mitbeteiligt. Jährlich sterben in der Schweiz etwa 1'600 Personen im Alter zwischen 15 und 74 Jahren an den Folgen des Alkoholkonsums.

Dr. Simon Fluri

Die Jugendlichen stellen eine besonders anfällige Gruppe für übermässigen Alkoholkonsum dar. Aus diesem Grund ist im Sinn des Jugendschutzes der Verkauf von Bier und Wein an unter 16-jährige und der Verkauf von Spirituosen an unter 18-jährige ist in der Schweiz verboten. Die 2013 publizierten Resultate der Alkoholtestkäufe zeigen, dass im Kanton Wallis diese gesetzlichen Vorgaben im gleichen Rahmen wie in der restlichen Schweiz eingehalten werden; immer noch ein Drittel der minderjährigen Jugendlichen können im Detailhandel alkoholische Getränke ohne Ausweiskontrolle einkaufen. Gemäss einer Untersuchung des Walliser Gesund­ heitsobservatoriums konnte im Kanton Wallis zwischen 2006 und 2010 ein leichter Rückgang bei den ersten Trunkenheitserfahrungen verzeichnet werden. Die Anteile der beteiligten Schüler sind im Vergleich mit ­ ­denen, die in der Schweiz beobachtet wurden, ­jedoch immer noch erhöht. Im Jahr 2010 wurden in der Schweiz etwa 330 Jugendliche und junge Erwachsene (10- bis 23-jährige) mit der Haupt- oder Nebendiagnose "Alkoholabhängigkeit" hospitalisiert. Alkoholische Getränke haben für die Menschheit eine lange Tradition. Sie sind Teil unserer Kultur und unverzichtbarer Bestandteil der modernen Gastronomie. Das erste Bier wurde vor 8000 Jahren im Vorderen Orient gebraut, erste Nachweise von Weinanbau gehen auf die alten Aegypter zurück. Über die Jahrtausende befand sich der Alkohol stets im Spannungsfeld zwischen Genuss und Betrunkenheit. Bereits Karl der Grosse mahnte seine Völker zum Masshalten. Slogans wie etwa «Déguster la modération», entsprechen der aktuellen Tradition der hochstehenden Walliser Weinbaukultur gemäss dem Motto: «Qualität vor Quantität». Nicht mehr Massenproduktion stehen im Vordergrund sondern erlesene Spezialitätenweine erfreuen unsere Gaumen. Wer aber noch nach Hause fahren muss, für den gilt besonders Mass halten, und im Interesse eines sicheren Strassenverkehrs soll der Grundsatz «wer fährt, trinkt nicht» auch 2014 seine Gültigkeit behalten. Simon Fluri Dr. med. Simon Fluri ist Kinderarzt und Neonatologe und arbeitet als Chefarzt Pädiatrie am Spitalzentrum Oberwallis. Er ist als Vorstandsmitglied der TCS-Sektion Wallis für die neue Gesundheits­seite der Klubzeitung zuständig.


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8 AVANTAGE MEMBRES

L'avocat-conseil, ce service méconnu du TCS La section valaisanne offre à ses membres un service qui mériterait une plus grande notoriété compte tenu de son utilité. Il s'agit de la consultation gratuite d'un avocat-conseil lors d'un problème lié à la circulation automobile. Il existe pas mal d'événements dans la vie d'un usager de la route qui laissent celui-ci perplexe, indécis, éperdu ou fâché. C'est notamment le cas lorsque se pose un problème de responsabilité, de conflit, de divergence de vue avec la police.

précise des faits. Ce cycliste roulait-il vraiment à droite de la chaussée quand un véhicule l'a bousculé? A-t-il fait un écart imprévisible, ou le chauffeur a-t-il manqué de prudence, mal évalué la distance à respecter en cas de dépassement?

Or ni le bon sens ni la bonne volonté ne constituent des éléments suffisants pour déterminer ce qu'il y a lieu de faire ou d'entreprendre dans la plupart de ces situations. Mieux vaut donc évoquer le problème avec un avocat, familier des questions routières, proche du TCS, et dont le conseil est ­désintéressé.

Dire le droit

Afin que chaque membre ait un accès aisé à ce service, la section a désigné une vingtaine d'avocats-conseils répartis dans tout le canton. La liste de ces juristes est disponible au secrétariat de Sion, sur simple requête téléphonique. Dans tous les cas, il se trouvera une étude proche de chez vous et, souvent, un praticien que vous connaissez. Cette première consultation dure vingt minutes; elle permet à l'homme de loi de juger de la situation et de donner au consultant le meilleur conseil quant à telle ou telle démarche à entreprendre.

Certaines infractions routières dénoncées par la police peuvent également donner lieu à des contestations, lesquelles dégénèrent parfois en interminables procédures.

L'avocat-conseil porte un nom explicite. Son rôle n'est pas de décider à la place du consultant, mais d'analyser tel cas concret sous l'angle juridique et d'indiquer ce qui lui paraît être la meilleure solution pour résoudre un problème ou sortir du conflit. Rien de plus. Son client demeure évidemment libre de suivre le conseil qui est donné, ou de s'en écarter.

Le responsable des avocats-conseils du TCS Valais est Guillaume Grand, membre du comité de la section.

L'expérience montre que dans la majorité des cas l'homme de loi conseille la modération, que ce soit l'abandon d'une prétention exagérée, l'arrangement amiable, la médiation d'un professionnel. S'il y a lieu cependant d'engager une procédure, le requérant demeure évidemment libre de choisir l'avocat qu'il souhaite, indépendamment de celui auprès de qui il a pris conseil.

Quelques cas exemplaires Le marché des véhicules d'occasion se trouve assez fréquemment à la source de conflits. L'acheteur a le sentiment que le vendeur ne lui a pas dit toute la vérité sur l'état de l'objet. Et cela s'avère quelquefois, surtout lorsque l'on n'acquiert pas le véhicule dans un garage lié à une marque. Comme le révélaient de nombreux médias récemment, il est devenu aisé, par exemple, de modifier à volonté un compteur kilométrique au moyen d'un support informatique, sans laisser la moindre trace. Les relations entre les garagistes et leurs clients sont beaucoup plus confiantes aujourd'hui qu'il y a vingt ou trente ans. Non sans raison: le métier de garagiste s'est fortement concentré et professionnalisé, en particulier sous la pression des importateurs. Du coup, les occasions de conflit ont reflué. Mais elles n'ont pas disparu, on le sait. Les problèmes de responsabilité sont fréquents entre usagers. Il arrive ainsi, lors d'un incident, que chacun des protagonistes est persuadé d'être dans son bon droit. Parfois, il n'y a pas d'évidence quant aux circonstances de l'événement; d'autres fois, l'absence de témoins interdit une reconstitution

Dmitry Kalinovsky | Dreamstime.com

En cas de problèmes liés à la circulation routière, suite à un accident par exemple, les membres du TCS peuvent bénéficier d'une consultation juridique gratuite auprès d'un avocat-conseil.


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9 COMPTE ROUTIER

Les infrastructures routières sont payées cash par l'utilisateur Le financement des routes suscite de nombreuses controverses. Celles-ci sont alimentées par des chiffres fantaisistes que l'on se jette à la tête sans beaucoup de souci de vérité, la passion l'emportant le plus souvent sur la raison. On pourrait faire l'économie de ces disputes de la plus simple des manières en prenant connaissance des chiffres qui sont régulièrement publiés par l'Office fédéral de la statistique. La dernière étude de cette instance porte sur l'année 2011. On constate que la dépense brute des pouvoirs publics pour la construction et l'entretien du réseau suisse, toutes infrastructures confondues, s'est élevée à 8,3 milliards. Les recettes totales du trafic routier privé affichent un montant de 8,4 milliards de francs. Le tableau ci-dessous permet une vue détaillée des différentes contributions à ce montant. On observera que 59% des recettes proviennent des impôts sur les huiles minérales. Cette ressource importe au plus haut point à la Confédération qui en prélève la moitié pour son budget général. Or, la courbe marque un léger fléchissement depuis quelques années. L'inflexion est due, pour partie à la crise économique, mais aussi à la baisse de consommation des véhicules. Une diminution qui va s'accentuer assez fortement au cours des prochaines années avec le développement de moteurs très sobres. L'Etat n'étant pas en situation d'affronter une baisse sensible de ses recettes, on imagine aisément qu'il s'efforcera de compenser ce déficit fiscal par une nouvelle recette.

Dépenses par catégorie Près d'un tiers des 8,4 milliards de francs de recettes est utilisé pour l'achèvement et l'entretien du réseau des routes nationales. Les routes cantonales absorbent quant à elles 34% du montant, les routes communales,

36%. Ces dépenses couvrent à la fois la création de nouvelles routes, la correction et l'entretien de routes anciennes, mais aussi l'administration qui requiert à elle seule 2,6 milliards de francs. L'achèvement du réseau des routes nationales vers 2020 ne devrait pas modifier sensiblement les dépenses, tant il est vrai que d'importants travaux d'entretien revêtent un caractère d'urgence dans l'ensemble du pays. Et puis, il restera à intégrer dans le réseau l'ensemble des éléments prévus dans le projet de vignette à 100 francs.

Compte ferroviaire Si les automobilistes couvrent les frais qu'ils occasionnent, il n'en va pas de même des utilisateurs des transports publics. En ne considérant que le rail, on observe que l'utilisateur ne paie que 41% des coûts qu'il occasionne. C'est un état de fait largement ignoré dans la population. Certaines chapelles, qui vitupèrent la voiture à longueur d'année, devraient peut-être revenir à plus de modération, voire s'estimer heureux que les automobilistes leur paient une partie du ticket de transport! Certains utilisateurs de la route souhaiteraient d'ailleurs que cette situation évolue et que chacun assume ses frais de transport. C'est ce que demande une initiative en cours. Nous ne soutenons pas la démarche. Il est impensable de doubler les tarifs des chemins de fer. Cela reviendrait à mettre ce moyen de transport hors de portée de la majeure partie de la population. Or, le train remplit une fonction économique et sociale d'une valeur considérable. Nous avons besoin de la route, et nous avons besoin du rail. Cessons donc les disputes stériles.

Source OFS

Recettes du compte routier en millions de francs 9'000

Part de la TVA Part de la RPL + RPLP destinée aux routes

8'000 7'000 6'000

Vignette autoroutière Impôts cantonaux sur les véhicules à moteur Produits des droits d'entrée sur les véhicules Impôts imputables sur les huiles minérales

5'000 4'000 3'000 2'000 1'000 0

1995

1997

1999

2001

2003

2005

2007

2009

2011


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10 MITGLIEDERVORTEIL

Rechtsberatung Die kaum bekannte Dienstleistung des TCS

Guillaume Grand, Vorstandsmitglied, ist bei der TCS Sektion Wallis verantwortlich für die Vertrauensanwälte.

Einige Beispiele

Die TCS Sektion Wallis bietet ihren Mitgliedern eine Dienstleistung an, die aufgrund ihres hohen Nutzens eigentlich mehr Bekanntheit verdient hätte: Es handelt sich um die kostenlose Rechtsberatung bei juristischen Problemen im Zusammenhang mit dem Autofahren. Im Leben eines Verkehrsteilnehmers treten oft Ereignisse auf, die ihn perplex, unentschlossen, bestürzt oder wütend zurück­­lassen. Das ist vor allem der Fall bei Problemen wie Haftung, Konflikt oder Meinungsverschiedenheit mit der Polizei.

Im Gebrauchtwagenmarkt treten relativ häufig Konflikte auf. Der Käufer hat das Gefühl, der Verkäufer habe ihm nicht die ganze Wahrheit über den Fahrzeugzustand gesagt. Das bewahrheitet sich manchmal - vor allem, wenn das Fahrzeug nicht in einer markengebundenen Garage gekauft wurde. In zahlreichen Medien war letztens zu lesen, dass es heute zum Beispiel kein Problem ist, einen Kilometerzähler mithilfe einer Software zu fälschen, ohne die geringste Spur zu hinterlassen.

Gesunder Menschenverstand oder guter Wille reichen nicht aus, um zu ermitteln, was in der Mehrheit dieser Situationen zu tun oder unternehmen ist. Es ist besser, das Problem mit einem kundennahen Rechtsanwalt des TCS zu besprechen, der mit Fragen rund ums Auto und den Strassenverkehr vertraut ist, und dessen Auskunft unvoreingenommen ist.

Die Beziehungen zwischen den Autogaragen und ihrer Kundschaft sind heute viel vertrauensvoller als noch vor zwanzig oder dreissig Jahren. Nicht ohne Grund: Der Automechaniker-Beruf hat sich stark konzentriert und professionalisiert, insbesondere unter dem Druck der Importeure. Seitdem sind die Konflikte schlagartig zurückgegangen - doch ganz verschwunden sind sie leider nicht.

Damit jedes Mitglied problemlosen Zugang zu dieser Dienstleistung hat, hat die Sektion zwanzig Vertrauensanwälter im ganzen Kanton bestimmt. Die Liste dieser unabhängigen Rechtsexperten ist auf einfache telefonische Anfrage im Sekretariat in Sitten erhältlich. Ganz bestimmt wird es eine Kanzlei in Ihrer Nähe haben, und in den meisten Fällen hat es einen Anwalt darunter, den Sie schon kennen.

Wer genau bei einem Unfall jetzt haftet, gibt ebenfalls häufig Anlass zu Streit, vor allem, wenn beide Verkehrsteilnehmer überzeugt sind, im Recht zu sein. Manchmal gibt es keine Beweise, was die Unfallsumstände anbelangt, manchmal lassen sich die Tatsachen aufgrund fehlender Zeugen nicht genau rekonstruieren. Fuhr der Velofahrer wirklich auf der rechten Seite, als das Fahrzeug ihn um­ stiess? Machte er vielleicht einen unvorhersehbaren Schwenker? War der Autofahrer zu unvorsichtig, schätzte er beim Überholen die Distanz schlecht ein und hielt den Abstand nicht ein?

Die erste Konsultation, während der der Experte die Situation beurteilt, dauert zwanzig Minuten. Der Anwalt wird die ratsuchende Person optimal beraten und ihr sagen können, welches Vorgehen das geeignete ist.

Bestimmte, von der Polizei angezeigte Verkehrs­ delikte können ebenfalls Anlass zu Anfechtungen geben, die manchmal in endlosen Gerichtsverfahren ausarten.

Rat annehmen oder nicht Der Name «Rechtsberatung» sagt es eigentlich schon: Der Rechtsexperte des TCS entscheidet nicht an Stelle des Ratsuchenden, sondern analysiert den konkreten Fall und nennt die in seinen Augen bestmögliche Lösung, um das Problem zu lösen oder aus der Konfliktsituation herauszukommen. Nicht mehr. Dem Klienten bleibt es natürlich freigestellt, ob er den Rat befolgen will oder nicht.

Trombax | Dreamstime.com

Der Vertrauensanwalt antwortet auf jede Frage, zum Beispiel bei dem Entdecken eines Mangels nach einem Autokauf.

Die Erfahrung zeigt, dass der Anwalt in der Mehrheit der Fälle zur Mässigung rät, zum Beispiel zum Verzicht auf einen übertriebenen Anspruch, zu einer gütlichen Einigung oder zur professionellen Mediation. Wird gegebenenfalls ein Verfahren eingeleitet, kann der Kläger selber entscheiden, welchen Anwalt er wählen will, und das muss nicht derjenige sein, bei dem er sich beraten liess.


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11 STRASSENRECHNUNG

Die Strasseninfrastrukturen werden vom Nutzer bar bezahlt Die Strassenfinanzierung löst viele Kontroversen aus. Diese werden von Fantasiezahlen genährt, die sich die Gegner an den Kopf werfen, ohne sich gross um die Wahrheit zu kümmern. Die Leidenschaft obsiegt oft über die Vernunft. Dabei könnte man sich diese Streitereien auf simple Art und Weise ersparen: Warum nicht einfach die Zahlen lesen, die das Bundesamt für Statistik regelmässig veröffentlicht?

Gemeindestrassen 36%. Diese Ausgaben beziehen sich einerseits auf den Bau neuer Strassen, die Verbesserung und den Unterhalt der bestehenden Strassen, andererseits auch auf die Verwaltung, die alleine 2,6 Milliarden Franken benötigt. Die Fertigstellung des Nationalstrassennetzes bis 2020 sollte zu keiner erheblichen Ausgabenveränderung führen, schliesslich sind wichtige Unterhaltsarbeiten im ganzen Land von absoluter Dringlichkeit. Und dann bleiben noch all die in der 100-FrankenVignette vorgesehenen Projekte, die ins Netz integriert werden müssen.

Die letzte Studie des BFS bezieht sich auf das Jahr 2011. Die Bruttoausgaben der öffentlichen Hand für Ausbau und Unterhalt des Schweizer Strassennetzes - alle Infrastrukturen zusammengenommen - beliefen sich auf 8,3 Milliarden Franken. Die Gesamt­einnahmen aus dem privaten Strassenverkehr betrugen 8,4 Milliarden Franken.

Eisenbahnrechnung

Die untenstehende Tabelle liefert einen detaillierten Überblick, durch welche Beiträge dieser Betrag zustande kam. Tatsächlich macht der Mineralölsteuerertrag 59% der Einnahmen aus. Er ist ausserordentlich wichtig für die Eidgenossenschaft, die die Hälfte davon für ihren allgemeinen Finanzhaushalt abzweigt.

Die Autofahrer decken die von ihnen verursachten Kosten. Das gilt jedoch nicht für die Benutzer des öffentlichen Verkehrs. Berücksichtigt man die Schiene allein, wird deutlich, dass der ­Nutzer nur 41% der von ihm verursachten Kosten zahlt. Das ist eine Tatsache, die in der Bevölkerung weitgehend ignoriert wird.

Die Kurve ist aber seit einigen Jahren leicht rückläufig. Einer der Faktoren für diesen Verlauf ist die Wirtschaftskrise. Ein anderer Faktor: Autos verbrauchen heute viel weniger Treibstoff. Dieser Rückgang wird sich in den kommenden Jahren durch die Ent­ wicklung von sehr kraftstoffeffizienten Motoren noch verstärken. Der Staat kann sich einen erheblichen Einkommensrückgang nicht leisten. Daher ist es leicht vorstellbar, dass er die steuerlichen Verluste durch eine neue Einnahme kompensieren wird.

Ausgaben nach Kategorie Fast ein Drittel der 8,4 Milliarden Franken wird für die Fertigstellung und den Unterhalt des Nationalstrassennetzes ver­ wendet. Die Kantonsstrassen beanspruchen 34% des Betrags, die

Manche Kreise, die das ganze Jahr lang über das Auto schimpfen, sollten sich vielleicht ein wenig mässigen, und sich glücklich schätzen, dass die Autofahrer ihnen einen Teil ihres Zugbillets bezahlen. Gewisse Strassenbenutzer wünschten sich übrigens, dass sich dieser Umstand verändert, und dass jeder seine eigenen Transportkosten berappt - Was eine derzeit laufende Initiative verlangt. Diese Forderung unterstützen wir nicht. Die Zugfahrpreise zu verdoppeln, ist undenkbar. Damit würde man dieses Transportmittel für einen grossen Teil der Bevölkerung unzugänglich machen. Der Zug erfüllt aber eine wirtschaftliche und soziale Funktion von grossem Wert. Wir brauchen die Strasse. Und wir brauchen die Schiene. Lassen wir diese kontraproduktiven Streitereien. Quelle BFS

Einnahmen der Strassenrechnung in Millionen Franken 9'000 Anteil Mehrwertsteuer

8'000 7'000

SVA + LSVA für Strassenzwecke

6'000 Autobahnvignette

5'000 4'000

Kantonale Motorfahrzeugsteuer

3'000 2'000

Zollertrag aus Motorfahrzeugimporten

1'000 0

Anrechenbarer Mineralölsteuerertrag 1995

1997

1999

2001

2003

2005

2007

2009

2011


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13 rendez-vous

Pour les familles, une tradition du dimanche de Pâques. dimanche 20 avril, de 9 h 30 à 13 heures Les lieux de rendez-vous: Saint-Maurice Rôtisserie Bois-Noir Sion lac de Montorge Sierre camping du Bois de Finges Brigue jardins du château de Stockalper

Inscription sur place. Gratuit sur présentation de la carte de membre tcs. Payant pour les non membres, à raison de 5 fr. par enfant, mais au plus de 15 fr. par famille.

rendez-vous

Eine Ostersonntag-Tradition für die Familien. Sonntag 20. April, 9.30 bis 13 Uhr Begegnungsorte: St. Maurice Rôtisserie Bois-Noir Sitten lac de Montorge Siders Camping du Bois de Finges, Pfynwald Brig Stockalpergarten

Anmeldung an Ort. Kostenlos gegen Vorlage der TCS-Mitgliedskarte. Preis für Nichtmitglieder: 5 Fr. pro Kind, aber maximal 15 Fr. pro Familie.


1-2014 ••• tcs valais-wallis

14 CONCOURS OUVREZ L’ŒIL ! Si vous nous envoyez les bonnes réponses, vous ­participerez à un tirage au sort. Cinq prix seront attribués: 1. Smartbox® Escapade gourmande, valeur Fr. 319.00 2. Smartbox® Hostellerie de charme, valeur Fr. 219.00 3. Bon cadeau pour un cours training TCS auto, valeur Fr. 200.00 4. Smartbox® Aventure, valeur Fr. 79.90 5. Smartbox® Aventure, valeur Fr. 79.90 Envoyez le bulletin ci-dessous dûment rempli à TCS section Valais, avenue de la Gare 20, 1950 Sion, ou répondez par e-mail à sectionvs.tcs@bluewin.ch. Dernier délai: 10 mars 2014. Smartbox® La nouvelle façon d’offrir - Die smarte Art zu schenken

AUGEN AUF ! Wenn Sie die richtigen Antworten an den drei gestellten Fragen einsenden, können Sie einen den fünf folgenden Preise gewinnen: 1. Smartbox® Kulinarische Aufenthalte im Wert von Fr. 319.00 2. Smartbox® Hotels mit Charme im Wert von Fr. 219.00 3. Geschenksgutschein für einen TCS-Autotrainingskurs im Wert von Fr. 200.00 4. Smartbox® Abenteuer im Wert von Fr. 79.90 5. Smartbox® Abenteuer im Wert von Fr. 79.90 Senden Sie den untenstehenden Antwortschein, ordnungs­gemäss ausgefüllt, an TCS Sektion Wallis, Avenue de la Gare 20, 1950 Sion, oder antworten Sie per E-Mail: ­sectionvs.tcs@bluewin.ch. Letzte Frist: 10. März 2014.

Question Nous vous présentons ci-dessous trois photos de chapelles en Valais. Indiquez les numéros correspondants sur le coupon-réponse et participez au tirage au sort qui désignera cinq gagnants.

Frage Untenstehend präsentieren wir drei Fotos von Kapellen im Wallis. Geben Sie die entsprechenden Nummern auf dem Antwort-Talon an, und nehmen Sie an der Auslosung teil. Vielleicht gehören Sie zu den fünf glücklichen Gewinnern.

1

2

3

Envoyer à / senden an TCS section Valais, avenue de la Gare 20, 1950 Sion

Concours ouvrez l’œil - TCS 1-2014 - Wettbewerb Augen auf Chapelles - Réponse

Kapellen - Antwort

Lötschental n°....................... Lötschental

Nr......................

Sierre n°....................... Siders

Nr......................

Monthey n°....................... Monthey

Nr......................

Nom et prénom / Name und Vorname...................................................................................................................................................... Adresse, NPA/ville / Adresse, PLZ/Ort......................................................................................................................................................... N° de membre TCS / TCS-Mitgliedsnummer........................................................................................................................................... Date et signature / Datum und Unterschrift..............................................................................................................................................


1-2014 ••• tcs valais-wallis

15 TEST & TRAINING

Conduire aujourd'hui Eco-Drive

Bien conduire mieux réagir

Le cours pour rafraichir vos connaissances et vous sentir à l'aise dans la circulation

Le cours pour maîtriser les situations périlleuses

Ce cours a été élaboré par des professionnels de la circulation routière et des techniques de conduite. Il s'adresse à des participants désireux de rafraîchir leurs connaissances ou à des automobilistes qui se sentent mal à l'aise dans des situations spécifiques comme par exemple dans les embouteillages ou les ronds-points. -----------------------------

Dates des cours 2014 15 avril 13 mai 10 juin, 24 juin 9 septembre, 23 septembre 13 octobre, 28 octobre -----------------------------

Prix Membres TCS CHF 130.– Non-membres CHF 190.– ----------------------------Ce cours est recommandé par le Conseil suisse de la sécurité routière qui accorde une subvention de CHF 50.– aux participants âgés 65 ans et plus. La subvention sera directement déduite de la finance d'inscription. -----------------------------

Le cours qui protège l'environnement et votre porte monnaie!

Objectifs du cours Avec la conduite Eco-Drive vous pouvez réduire votre consommation de carburant de 10 à 15%, tout en roulant aussi vite. -----------------------------

Objectifs du cours Apprendre à connaître la nouvelle technologie des couples moteurs. S'exercer à la technique de conduite écologique et économique. Augmenter la sécurité routière par un comportement de partenariat. -----------------------------

Dates des cours 2014 8 avril 20 mai 16 septembre 14 octobre -----------------------------

Prix Membres TCS CHF 180.– Non-membres CHF 220.– ----------------------------L'Etat du Valais participe à concurrence de la moitié de la finance d'inscription. Cette participation est directement déduite. -----------------------------

Apprendre à conduire sur une chaussée mouillée. Effectuer un freinage d'urgence. Eviter un obstacle imprévu. Maîtriser un brusque changement de direction. -----------------------------

Dates des cours 2014 22 mars, 29 mars 5 avril, 12 avril 17 mai, 24 mai 7 juin, 14 juin 30 août 13 septembre, 20 septembre, 27 septembre 11 octobre, 18 octobre 8 novembre, 15 novembre, 22 novembre -----------------------------

Prix Membres TCS: CHF 200.– Non-membres CHF 250.– ----------------------------Ce cours est recommandé par le VSR et soutenu par le FSR qui accorde une subvention de CHF 100.– à tous les participants. La subvention sera directement déduite de la finance d'inscription. -----------------------------

Inscription Par courriel sectionvs.tcs@bluewin.ch Sur notre site internet http://www.tcs.ch/fr/le-club/pres-de-chez-moi/valais/cours.php Par téléphone 027 329 28 10


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16 AVANTAGES MEMBRES

Section Valais Sektion Wallis

présente

Too old To die Young Tour 2014

SavièSe - Le BaLadin (vaLaiS) dimanche 9 marS 2014 - 13h, 16h et 19h30 réservaTions sur www.Tcs-secTion-valais.ch 3 concerTs réservés exclusiveMenT aux MeMbres Tcs Billet: Fr. 30.– maximum 4 billets par membres

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