TCS Valais Bulletin Novembre 2013

Page 1

TCS Section Valais TCS Sektion Wallis 4

Bulletin Klubzeitung Paraît quatre fois par an

novembre - November 2013

Erscheint viermal pro Jahr

JAB-1950 SION 1 A faire suivre, ne pas indiquer la nouvelle adresse (selon A1 No 671 c)

Sierre: Le centre-ville remodelé

Ein Strassenfonds, aber subito! das Wort der Präsidentin | 2

Un fonds routier, tout de suite! billet de la présidente | 3

Nein zur 100-Franken-Vignette | 10-11

Non à la vignette à 100 francs | 4-5

Sicher unterwegs im Wintersport | 13

Sierre, une ville en mouvement | 8-9


4-2013 ••• tcs valais-wallis

2 DAS WORT DER PRÄSIDENTIN

Ein Strassenfonds, aber subito!

---------------------------------

IMPRESSUM --------------------------------Editeur Touring Club Suisse ­section Valais --------------------------------Rédaction Jean-Jacques Zuber, 1870 Monthey --------------------------------Secrétariat TCS section Valais, avenue de la Gare 20, 1950 Sion, tél. 027 329 28 10 --------------------------------Impression Centre d'impression des Ronquoz, 1950 Sion --------------------------------Abonnement par adhésion au TCS. Cotisation de membre: 88 fr. par an (tarif 2013) ---------------------------------

POINT DE CONTACT --------------------------------Sion TCS section Valais, rue des Cèdres 3, 1950 Sion tél. 027 329 28 15 fax 027 329 28 19 tcs.sectionvs@bluewin.ch Heures d'ouverture: lu 8h30 à 11h30 et 13h30 à 17h30; ma-ve 8h30 à 11h30. ---------------------------------

KONTAKTSTELLE --------------------------------Sitten TCS Sektion Wallis, rue des Cèdres 3, 1950 Sitten Tel. 027 329 28 15 Fax 027 329 28 19 tcs.sectionvs@bluewin.ch Öffnungszeiten: Mo 8.30 bis 11.30 und 13.30 bis 17.30 Uhr; Di-Fr 8.30 bis 11.30 Uhr. --------------------------------http://www.tcs.ch ---------------------------------

In der Schweiz hat es 4.3 Millionen Autos und mehr als eine Million schwere Nutzfahrzeuge. Die Zahl der Strassenfahrzeuge in der Schweiz nimmt kontinuierlich zu. Diese Dynamik lässt sich jedoch in allen entwickelten Ländern beobachten. Das Phänomen ist nicht erstaunlich: Mobilität und Wirtschaftswachstum sind eng gekoppelt. Das wird überaus deutlich, wenn man einen Blick über die Landesgrenzen und sogar auf andere Kontinente wirft: Der Zusammenhang zwischen Verkehrs­ infrastruktur und Inlandprodukt fällt sofort ins Auge. Die ärmsten Länder sind diejenigen, wo die Fortbewegung wegen mangelnder Infra­ strukturen stark eingeschränkt ist. Um sich von dieser Realität zu überzeugen, muss man aber gar nicht so weit in die Ferne blikken. Die regionalen Ungleichheiten in der Schweiz selber zeigen, dass das Wohlbefinden von einem ­vereinfachten Handel abhängig ist. Dazu liessen sich viele Beispiele aufzählen. Nehmen wir Freiburg, ein Kanton, dessen Wirtschaftslage bis zur Verbesserung des Verkehrs­ anschlusses prekär blieb. Jetzt erfährt seine Wirtschaft eine vielversprechende Entwicklung und verzeichnet das stärkste Bevölkerungswachstum des Landes: Die Bevölkerung nimmt jährlich um durchschnittlich 2,2% zu. Mit dem Bau der Autobahn A12 ist das kleine Bulle, das lange eine träge Siedlung war, zum Leben erwacht. Und wie! Niemand ist auf die Idee gekommen, den eindeutigen Zusammenhang zwischen der neuen Infrastruktur und dem Wirtschafts­ aufschwung in Zweifel zu ziehen.

Ungehinderte Sicht auf die Zukunft Mobilität bedingt gleichermassen gute Strassen- und Schienen­ infrastrukturen. Der Bund hat sich kürzlich mit dem Thema Eisenbahn befasst, und ein Massnahmenpaket vorgeschlagen, das die Finanzierung der Schiene langfristig sicher­

stellt. Das ist eine erfreuliche Per­ spektive, doch meinen wir: Es war auch Zeit! Denn eine Regierung, die ihre Entwicklung nicht auf Dauer plant, kann nur scheitern. Diese Entwicklung – sollte sie akzeptiert werden, wie wir mit gutem Grund davon ausgehen – wird es unseren Bahngesellschaften erlauben, ihre Leistungen qualitativ zu verbessern, und vor allem eine grössere Zahl Personen zu transportieren. Das Angebot dürfte sich so der Nachfrage nähern, und ihr in den nächsten Jahrzenten wenn nicht gar vollständig entsprechen. Dass die geplanten Massnahmen eine massive Verlagerung von der Strasse auf die Schiene ermöglichen, ist jedoch nicht denk­ bar, mit Ausnahme des Güterbereichs. Tatsächlich gewährleistet die Strasse 70% des Personentransportes in der Schweiz. Das ist eine so grosse Masse, dass das Öffentliche das Private schlicht nicht ersetzen kann. Das wäre allenfalls in den Agglomerationen möglich. Daher sollte auch für den Strassenverkehr dringend ein Adhoc-Fonds geschaffen werden. Dank diesem liesse sich einerseits der Rückstand aufholen, andererseits würde gewährleistet, dass die Infrastruktur den Bedürfnissen entspricht. Die Verkehrsministerin gibt uns diesbezüglich aber keine Garantie. Sie sagt uns im Wesentlichen: Akzeptiert die Preiserhöhung der Autobahnvignette, alles weitere sehen wir dann. Doch nein. Wir sind nicht einverstanden. Denn dieses Auftreten ist mehr als stellvertretend für die Strategie des Bundes, die darin besteht, uns immer und immer wieder die bittere Steuer-Pille ­schlucken zu lassen. Nein, wir sind nicht einverstanden! Darüber müssen wir ernsthaft diskutieren – jetzt. Sonst nehmen wir in Kauf, dass die Schweizer Wirtschaft geschwächt wird. Fabienne Bernard


4-2013 ••• tcs valais-wallis

3 Comité Vorstand Fabienne Bernard Présidente - Präsidentin Martigny

BILLET DE LA PRÉSIDENTE

Un fonds routier, tout de suite!

Philippe Matthias Bregy Vice-président - Vizepräsident Naters

Christian Nanchen Vice-président - Vizepräsident Sierre

Daniel Crittin Membre - Mitglied Evionnaz

Antoine Defabiani Membre - Mitglied Uvrier

Simon Charles Fluri Membre - Mitglied Veyras

Guillaume Grand Membre - Mitglied Sion

Jeanne-Emmanuelle Jollien-Héritier Membre - Mitglied Savièse

Graziella Walker-Salzmann Membre - Mitglied Ried-Mörel

La Suisse compte 4,3 millions de voitures, et plus d'un million de véhicules lourds. Le nombre d'automobiles enregistre une croissance soutenue en Suisse, mais une dynamique comparable s'observe dans tous les pays développés. Rien d'étonnant à ce phénomène: mobilité et croissance économique sont étroitement liées. Cela apparaît avec une forte évidence lorsqu'on jette un regard au-delà des frontières, voire au-delà de l'Europe. La corrélation entre infrastructure de transport et produit intérieur brut saute alors aux yeux. Les pays les plus pauvres sont ceux où les déplacements sont entravés par le défaut d'infrastructures. Mais il n'est pas nécessaire de projeter le regard aussi loin pour se convaincre de cette réalité. Les disparités régionales à l'intérieur même de la Suisse montrent que le bien-être est subordonné à la facilité des échanges. On pourrait citer de nombreux exemples à l'appui de cette affirmation. Bornonsnous à citer, en Suisse romande, l'exemple de Fribourg, un canton dont l'économie est demeurée précaire jusqu'à son désenclavement ferroviaire et routier. Désormais, la région connaît un développement spectaculaire et enregistre la plus forte progression démographique du pays, soit 2,2% en moyenne annuelle. La petite cité de Bulle, demeurée longtemps une bourgade indolente, s'est éveillée, et de quelle manière, avec l'arrivée de l'autoroute A12. Personne n'a songé à mettre en doute la concomitance de la nouvelle infrastructure et du rebond économique.

Jodok Wyer Membre - Mitglied Visp

Nicole Zuber Membre - Mitglied Sion

Une vue dégagée sur l'avenir La mobilité requiert de bonnes infrastructures, tant ferroviaires que routières. La Confédération s'est récemment saisie de la question ferroviaire en proposant un dispo-

sitif qui assure le financement du rail dans le long terme. Cette perspective nous réjouit, et nous disons: enfin! Car un gouvernement qui ne planifie pas son développement dans la durée est un gouvernement défaillant. Ce développement, s'il est accepté ainsi qu'on est fondé à le croire, permettra à nos compagnies de chemin de fer d'améliorer leurs performances en termes de qualité, et surtout de transporter un nombre accru de personnes. L'offre devrait ainsi se rapprocher de la demande, sinon la satisfaire tout à fait, dans les prochaines décennies. Il n'est cependant pas envisageable que les aménagements prévus permettent un transfert sensible de la route au rail, sinon dans le domaine des marchandises. En effet, la route assure 70% du transport de personnes en Suisse, soit une masse si considérable que l'on voit bien l'impossibilité d'une substitution sensible du public au privé. Il n'y a guère que dans les agglomérations qu'on y parviendra. Dès lors, il devient urgent de doter enfin le transport routier d'un fonds ad hoc qui permette, d'une part de rattraper le retard, d'autre part de garantir son aménagement au niveau des besoins. Or, la ministre des Transports ne nous donne aucune garantie à ce propos. Elle nous dit en substance: acceptez l'augmentation du prix de la vignette et, pour le reste, on avisera plus tard. Eh bien non, nous ne sommes pas d'accord. Car ce discours ne traduit que trop la stratégie fédérale qui consiste à nous faire avaler le bouillon fiscal à la cuillère, l'une après l'autre, lentement, mais sans relâche. Non, vraiment pas d'accord! On discute sérieusement, tout de suite. Ou bien, c'est l'économie du pays qu'on affaiblit. Fabienne Bernard


4-2013 ••• tcs valais-wallis

4 VOTATIONS FÉDÉRALES

La vignette à 100 francs, un miroir aux alouettes!

Dreamstime | Libux77

Le Conseil fédéral, et le Parlement avec lui, ont pris un mauvais pari. Le brave peuple n'allait tout de même pas faire un fromage à propos d'une augmentation dérisoire du prix de la vignette. Cent francs par an, cela ne ruinera personne dans un pays aussi riche que la Suisse. Et puis, voyez donc tout ce qu'on vous offre en contrepartie: suppression des goulets d'étranglement, contournement de localités, reprises de routes cantonales par l'Etat fédéral. Le paquet qu'on nous proposait était joliment enrubanné.

taxe sur les carburants de 20 ct par litre. Un prélèvement qui allait, promis juré craché, permettre l'achèvement du réseau autoroutier.

Mais voilà: le bobard était trop gros pour que quelqu'un accepte de l'avaler sans broncher. Du coup, la Confédération s'est montrée un peu plus prudente dans sa communication. Contrainte de reculer sur ses promesses, elle a substitué le chantage à l'argumentation. Si vous n'acceptez pas l'augmentation de la vignette, nous ne reprendrons pas les routes d'intérêt national et les contournements de localités seront compromis. Ce dernier avertissement à l'intention principalement des Suisses romands qui attendent le désengorgement de l'arc lémanique et le contournement de Morges.

A quand un engagement constitutionnel?

Un Etat récidiviste L'achèvement du réseau des routes nationales devait intervenir avant la fin du siècle passé. Désormais on évoque 2030… si tout va bien! Depuis la première coulée de goudron, il aura donc fallu attendre, dans le meilleur des cas, quelque 70 ans pour venir à bout du projet. Un record européen. Mais aussi un record en matière de coût! Sans remonter trop loin dans le temps, on se rappelle tout de même que la Confédération a introduit une vignette autoroutière à 30 francs en 1985 pour financer l'achèvement du réseau. Dix ans plus tard, l'autorité arguait de l'augmentation du coût de la vie pour faire passer le prix du sésame à 40 francs. Tout en paraissant oublier que deux ans plus tôt, le Gouvernement avait augmenté la sur-

Chacun voit ce qu'il en est aujourd'hui! Et nous ne sommes pas au bout de cet incroyable et douloureux feuilleton dont on ne voit pas arriver le dernier épisode. Madame Leuthard nous a d'ores et déjà promis une augmentation de 12 à 15 ct de la surtaxe par litre de carburant; augmentation qui sera soumise au Parlement dès l'année prochaine.

On le voit, il n'est plus possible de tabler sur les promesses des autorités fédérales. Le réseau routier est toujours plus encombré, les travaux progressent cahin-caha, tandis que les fonds soi-disant destinés aux autoroutes sont de plus en plus détournés de leur objet. Ils servent à financer, non seulement le trafic public ou l'aménagement de pistes cyclables, mais des objets encore plus inattendus, comme les protections paravalanches, la suppression des passages à niveau, etc. Comme le montre le graphique en page 5, les prélèvements sur le trafic routier s'élèvent à 9,5 milliards par an (valeur 2012). Et un tiers environ de cette somme est affecté à la route. Encore cette allocation n'est-elle pas régulière. Le Conseil fédéral propose chaque année au Parlement de voter un montant qu'il juge opportun en fonction de sa trésorerie et des priorités qu'il se donne. On nous dit que le peuple a accepté cette manière de faire. Eh bien oui, c'est vrai. Le peuple a manifesté de la patience, beaucoup de patience jusqu'ici. Mais voilà, à force d'en abuser, la Confédération se heurte à un refus. Nous demandons que le montant à investir annuellement pour les routes nationales soit inscrit dans la Constitution. Sans plus de tergiversation. Deutscher Artikel auf Seite 10


4-2013 ••• tcs valais-wallis

5 VOTATIONS FÉDÉRALES

Cinq bonnes raisons de dire non à l'augmentation du prix de la vignette Abus des prélèvements sur la route

Mise en danger de l'économie

•Les taxes et impôts instaurés au titre des routes nationales ont progressé de manière constante à partir de 1960, et le gouvernement entend infliger une nouvelle pénalité au trafic routier par une augmentation du prix de la vignette, ainsi qu'une augmentation de 12 à 15 ct par litre de la surtaxe sur les carburant. Mais quelque 70% des fonds sont détournés de leur affectation initiale et l'adaptation du réseau est en panne sèche.

•L'accroissement des charges qui pèsent sur la route va mettre à mal une économie suisse déjà fortement handicapée par la crise européenne et la lourdeur du franc. Les PME mais aussi l'industrie pâtiront durement de ces dispositions. Et ce serait une catastrophe pour le tourisme valaisan déjà en grande difficulté, le tourisme d'hiver sollicitant majoritairement la route.

L'affaire du Grand-Saint-Bernard

Petits mensonges et courte vue •La Confédération fait valoir que de nouveaux tronçons, non planifiés dans les années 50, ont été ajoutés au projet initial, notamment l'autoroute du Jura. C'est vrai, sauf à rappeler que l'autoroute du Rawyl A6, destinée à relier le Valais au Plateau suisse, a été écartée du réseau; et ceci compense bien cela. Au demeurant, qui a jamais pu croire qu'un projet conçu au milieu du 20e siècle couvrirait les besoins du 21e siècle?

•La ministre des transports tente de séduire des régions périphériques délaissées en leur proposant un marché: acceptez d'acquitter les nouvelles taxes et la Confédération vous récompensera de diverses manières. Ainsi, et par exemple, elle reprendra à son compte l'exploitation de la route du Grandsaint-Bernard. C'est incroyable: la Confédération ne s'était donc pas avisée jusqu'ici que cette route est un élément majeur des échanges internationaux et qu'elle aurait ainsi dû être intégrée d'emblée au réseau des routes nationales.

Comparaison internationale biaisée •Autre argument fallacieux avancé: la Suisse serait le pays où l'on roule à moindre coût sur les autoroutes. On nous cite la France et l'Italie. Et on oublie l'Allemagne, la Hollande, la Belgique et d'autres pays du continent où il n'existe ni péage, ni vignette autoroutière; des pays dont l'économie est sans doute plus proche de la nôtre que celle des pays du sud européen.

Prestations de transports Chiffres clés 2012 Trafic routier motorisé privé Transports routiers publics

91,8 mia. de personnes-kilomètres 4,1 mia. de personnes-kilomètres

Chemins de fer

19,3 mia. de personnes-kilomètres

Aviation

44,4 mio. de personnes transportées

Source: OFS

Les étonnants dessous des revenus de la route Plus de 70% des revenus liés au trafic routier sont affectés à d'autres tâches.

18% pour les transports

3% pour l'environnement, les paysages et divers

publics et le rail

3% pour les routes principales, d'agglomérations et de montagne

43% pour la Confédération (caisse générale)

24% pour les routes nationales

9% pour les cantons


4-2013 ••• tcs valais-wallis

6 CLUB NEWS

Point de contact, Sion

Journée d'inauguration Les locaux du point de contact et du secrétariat de la section ont bénéficié d'un lifting bienvenu. Réaménagement, agrandissement, renouvellement du mobilier: tout a été pensé pour accueillir agréablement et confortablement les membres du TCS. La journée d'inauguration, qui s'est déroulée le 20 septembre, a été riche en évènements. Le président du TCS, M. Peter Goetschi, a procédé au tirage au sort d'un vélo high tech; l'heureuse ­gagnante est Mme Simone Follonier. De nombreux lots de consolation ont fait le bonheur des visiteurs, qui ont été invités à déguster une raclette servie devant les locaux de la rue des Cèdres et à se faire croquer le portrait dans la bonne humeur par un caricaturiste.

Gagnants du concours Alice Zuber

1er prix: Mme Simone Follonier Billets de cirque: Mme Brigitte Turian Cours Conduire aujourd'hui: Mme Eliane Vallotton Nuitée à l'Hôtel Bellavista, TI: M. Sébastien Nydegger

Alice Zuber

Alice Zuber

TCS


4-2013 ••• tcs valais-wallis

7

Questions de sécurité Les routes suisses sont de plus en plus sûres, malgré la progression constante du parc automobile et du nombre de kilomètres parcourus. Les accidents sont ici en net recul, tandis qu'ils progressent dans d'autres domaines; ainsi les sports, où le nombre de cas est quatre fois plus élevé; ou les accidents domestiques, six fois. Au premier semestre 2013, la sécurité routière s'est encore améliorée sensiblement par rapport à 2012. Le nombre des accidents mortels a reculé de 34% et ­celui des blessés sérieux de 19%. Le TCS est convaincu que l'on peut encore améliorer la situation de manière importante en se penchant sur les domaines critiques du trafic. Nous en citons quelques-uns ici afin d'attirer l'attention des usagers les plus exposés.

Quand les aînés prennent des risques On dit que l'âge apporte la sagesse. Ce n'est pas toujours le cas dans la circulation urbaine, chez les piétons. On observe en effet souvent des personnes d'âge mûr traversant la chaussée sans porter une ­attention suffisante au trafic. L'analyse des piétons grièvement ou mortellement blessés révèle que plus de la moitié d'entre eux ont plus de 65 ans, écrit le bpa. Le nombre des piétons accidentés par millier d'habitants est plus élevé en Suisse que dans certains autres pays européens, alors que nous nous situons en tête du peloton quant au taux global d'accidentalité. La médiocrité de nos performances dans le domaine piétonnier a plusieurs causes, dont deux au moins sont notoires: la mauvaise qualité des passages pour piétons que le TCS a mise en évidence récemment; une communication qui a été orientée si fortement sur la priorité à ­accorder aux piétons que certains ont fini par considérer qu'ils n'avaient plus à se préoccuper des autres usagers de la route. Et ce ne sont pas les affiches énigmatiques apparues récemment qui vont provoquer une prise de conscience.

tures de la bécane traditionnelle et un moteur électrique dérivé de celui des véhicules légers. Il s'ensuit que le vélo électrique est beaucoup plus lourd que la bicyclette traditionnelle, et moins stable en raison d'une répartition des masses peu idéale. On est donc à peine surpris d'apprendre que les utilisateurs de vélos électriques ont plus d'accidents, et surtout des accidents plus graves, que les cyclistes traditionnels. Le vélo électrique a sans doute sa place dans le trafic. Mais ses utilisateurs doivent faire preuve d'une vigilance accrue et d'une prise en compte des limites d'utilisation de l'engin.

Le casque en progression Le port du casque n'a pas atteint une proportion souhaitable. Il progresse cependant: 46% des cyclistes le coiffent désormais sur une base volontaire. On dira lapidairement, comme les instits: «Bien, mais peut faire mieux.» En effet, si chez les femmes on peut faire valoir que le casque met la chevelure en bataille, il n'en va pas de même chez les hommes et, plus largement, chez les enfants et les adolescents. Quant aux usagers des vélos électriques rapides, ils ont l'obligation de porter un casque. La plupart l'ont admis (88%). Mais les résistances ne sont pas entièrement vaincues, et c'est grand dommage compte tenu de ce qui est exposé plus haut sur les dangers encourus avec ce type de véhicule.

Vélo électrique utile, mais… L'importance prise par les deux roues dans le trafic urbain et dans les loisirs est très réjouissante à plus d'un titre. La bicyclette permet de réduire le bruit et la pollution dans les localités; d'autre part, le pédalage constitue un exercice physique hautement salutaire. Il faut cependant être attentif au fait que le cycliste est un usager très vulnérable de la chaussée, surtout en l'absence de pistes cyclables continues et au gabarit convenable. L'apparition du vélo électrique a élargi l'attrait de ce mode de transport. Les vélos à assistance électrique jusqu'à 25 km/h permettent d'aborder sans difficulté des côtes réservées aux sportifs chevronnés, tandis que les vélos capables d'atteindre 45 km/h autorisent des déplacements rapides sur des distances moyennes. S'il offre d'indéniables avantages, le vélo électrique a aussi quelques inconvénients qui rendent comptent d'un taux élevé d'accidentalité. Il faut remarquer tout d'abord que le vélo électrique est un hybride qui ­assemble de manière plus ou moins aboutie les struc-

TCS | Stöckli


4-2013 ••• tcs valais-wallis

4-2013 ••• tcs valais-wallis

8 AMÉNAGEMENT URBAIN

Jusqu'au milieu du siècle passé, Sierre était constitué, pour l'essentiel, de petits villages ou hameaux d'origine anniviarde accrochés au départ du coteau: Villa, Muraz, Borzuat, Tservettaz, Glarey. Un tissu urbain étriqué s'était développé autour d'une large traversée qu'on appelait avec une certaine fierté la Grande Avenue. Le demi-siècle qui a suivi a totalement modifié cette géographie. La ville a pris de l'épaisseur; elle a comblé les espaces entre les implantations anniviardes; elle prend ses aises bien au-delà de son ancien périmètre. Sierre compte désormais un peu plus de 16'000 habitants. Mais son urbanisme demeure marqué par le contexte inhabituel qui a présidé à la formation de la cité.

Apaiser le centre-ville Un projet ambitieux a vu le jour il y a une quinzaine d'années, qui tend à une profonde réorganisation du centre-ville. Celle-ci a commencé par quelques belles réalisations, notamment dans le secteur de l'Hôtel de Ville. Elle est toutefois contrariée par les flux automobiles; d'une part ceux qui relient l'est à l'ouest, d'autre part le trafic pendulaire important de la Noble Contrée en direction de l'ouest. Ajoutons à cela que la région est l'une des plus motorisées du pays: la ville elle-même compte 10'000 véhicules personnels! Une route de délestage a heureusement été aménagée par le sud. Une partie du trafic de transit emprunte cette route, obligatoire pour les camions. Une déviation par le nord est également prévue. Elle partira de Rossfeld, à l'entrée ouest de la ville. Elle rejoindra Corin, puis dans une deuxième phase la Noble Contrée. Cela devrait être réalisé aux alentours de 2020, espère-t-on.

Mesures immédiates Des mesures transitoires ont été développées pour réaliser au mieux un objectif: apaiser le trafic dans la principale avenue, qui va de la place Beaulieu à l'Hôtel de Ville, là où sont situés la majorité des commerces. L'avenue Général-Guisan passera au régime 30 km/h, tandis que la rue du Bourg devient un espace de rencontre, de même que le premier tronçon de l'avenue du Château. Le trafic principal, et bidirectionnel désormais, sera reporté sur une voie nord, soit l'avenue du Rothorn et l'avenue des Alpes. Cette intervention, de même qu'un nouveau parcours ouest-est courant le long des voies CFF et devant la gare, accroîtra encore la tranquillité souhaitée sur l'axe principal.

Développement au sud Comme indiqué plus haut, la ville déborde hors de son périmètre traditionnel, notamment au sud

Sierre Une ville en mouve de la voie CFF, où de nombreuses promotions ont été réalisées ou sont en cours. Cette extension sera prochainement structurée par l'aménagement visà-vis de la gare ferroviaire d'une gare routière, d'un parking souterrain de 200 places et de la nouvelle école de commerce et de culture générale. Il s'agitlà d'un dispositif essentiel, puisqu'il éloignera du centre une partie non négligeable du trafic. En effet, la gare routière dessert de nombreuses destinations de plaine et du coteau, tandis que les étudiants de l’école de commerce et de culture générale proviennent de tout le district.

Une passerelle de liaison Le programme de l'extension des services en aval des voies CFF prévoit la création d'une passerelle qui, dans un premier temps, reliera gare routière et gare CFF, puis la gare SMC dans un deuxième temps. Les usagers pourront ainsi atteindre rapidement le centre-ville et se déplacer aisément d'une gare à l'autre. L'ensemble de ce dispositif au sud des voies CFF jouera un rôle décisif dans le développement de la cité. Au terme des travaux, la ville méritera plus que jamais son appellation coutumière de «Sierre l'Agréable».

Place Beaulieu

Projet 2012

Zone piétonne - av. de la (mise à l'enquête avec am esplanade Gare - avril 20

Maille 4: mise à l'enquêt

Zone 30 Maille 4 - secte

Zone 30 Maille 4 - secte


ement

a Gare ménagement 012)

te avril 2012

eur 1

eur 2

4-2013 ••• tcs valais-wallis

9

Jean-Jacques Zuber

Le nouveau centre-ville: zones piétonnes, zones de rencontre et zones 30 km/h

Situation actuelle Zone de rencontre en service Zone 30 en service


4-2013 ••• tcs valais-wallis

10 EIDGENÖSSISCHE VOLKSABSTIMMUNG

Die 100-Franken-Vignette: Eine Mogelpackung!

Dreamstime | Streetka2004

Bundesrat und Parlament haben eine schlechte Wette gemacht. Das gute Volk würde doch wohl kein Theater machen aus einer lächerlichen Preiserhöhung der Vignette. Läppische hundert Franken im Jahr ruinieren ja niemanden in einem so reichen Land wie der Schweiz. Und sehen Sie doch, was wir Ihnen im Gegenzug alles bieten: Beseitigung von Engpässen, Ortsumfahrungen, Ausbesserung der Kantonsstrassen durch den Bund. Das Paket, das man uns anbot, war wahrlich schön geschnürt. Aber voila: Niemand würde ein so grosses Lügenmärchen ­ schlucken, ohne mit der Wimper zu zucken. Und plötzlich wurde der Bund viel vorsichtiger in seiner Kommunikation. Weil er gezwungen war, die Versprechen abzuschwächen, ersetzte er die Argumente mit Drohungen: Wenn ihr die Preiserhöhung der Vignette nicht annehmt, werden wir die Strassen von nationaler Bedeutung nicht ausbauen, und die Orts­ umfahrungen würden gefährdet. Diese letzte Warnung richtete sich hauptsächlich an die Westschweiz, in der die Bevölkerung auf die Verkehrsentlastung der Genfersee­region und die Umfahrung Morges wartet.

Rückfälliger Staat Die Fertigstellung des Nationalstrassennetzes wäre eigentlich für Ende des vergangenen Jahrhunderts vorgesehen gewesen. Jetzt wird das Jahr 2030 genannt – wenn alles gut geht! Seit dem ersten Asphaltguss haben wir also bestenfalls 70 Jahre auf die Ver­wirklichung dieses Ziels gewartet. Ein europaweiter Rekord. Aber auch ein Kosten-Rekord! Wir erinnern uns, es ist noch nicht so lange her, dass der Bund 1985 eine Autobahnvignette für 30 Franken einführte, um die Fertigstellung des Netzes zu finanzieren. Zehn Jahre später benutzte er den Anstieg der Lebenshaltungskosten als Argument, um die AutobahnEintrittskarte von 30 auf 40 Franken zu erhöhen. Und dabei tat die Regierung so, als hätte sie die Erhöhung des Treibstoffzuschlags um 20 Rappen pro Liter, zwei

Jahre zuvor, vergessen. Eine Abgabe, wurde beteuert und versprochen und geschworen, dank der das ­Autobahnnetz fertiggestellt würde. Aber jeder kann sehen, wie es tatsächlich darum steht. Und wir sind immer noch nicht am Ende dieser unglaublichen und schmerzenden Serie, deren letzte Folge unabsehbar ist. Frau Leuthard hat uns schon eine Erhöhung des Treibstoffzuschlags um 12 bis 15 Rappen pro Liter versprochen, über die das Parlament nächstes Jahr abstimmen wird.

Und wann gibt es eine Verankerung in der Verfassung? Auf die Versprechen der Bundesbehörden kann man wirklich nicht mehr setzen. Das Strassennetz ist immer verstopfter, die Arbeiten gehen nur mühsam ­ voran, während die eigentlich für die Autostrassen bestimmten Gelder zweckentfremdet genutzt werden. Sie dienen dazu, nicht nur den öffentlichen Verkehr oder den Ausbau von Velowegen zu finanzieren, sondern auch unerwartetere Projekte wie zum Beispiel Massnahmen zum Schutz vor Lawinen, die Abschaffung von Bahn­ übergängen, und so weiter. Wie die nebenstehende Graphik zeigt, erhebt der Bund jedes Jahr 9,5 Milliarden Franken von den Strassenbenützern (Wert 2012). Nur etwa ein Drittel kommt dem Strassenverkehr zugute. Zudem ist das nicht einmal ein gleichbleibender Beitrag: Der Bundesrat schlägt dem Parlament jedes Jahr einen Betrag zur Abstimmung vor, den er abhängig von seinen Ressourcen und Prioritäten für sinnvoll hält. Das Volk habe diese Praxis akzeptiert, wird gesagt. Ja, das stimmt tatsächlich. Das Volk hat bis jetzt Geduld bewiesen, sehr viel Geduld. Aber der Bund hat diese zu sehr ausgenutzt, und stösst jetzt berechtigter­ weise auf Ablehnung. Wir verlangen, dass ein Strassen­ infrastrukturfonds in der Verfassung verankert wird. Keine Ausflüchte mehr!


4-2013 ••• tcs valais-wallis

11 EIDGENÖSSISCHE VOLKSABSTIMMUNG

Fünf gute Gründe für ein Nein zur Preiserhöhung der Vignette Missbrauch der Strassenabgaben

Der Fall des Grossen Sankt Bernhard

•Die Steuern, Abgaben und Gebühren für das Nationalstrassennetz wurden seit 1960 immer wieder erhöht. Mit der Preiserhöhung der Vignette sowie der Erhöhung des Treibstoffzuschlages um 12 bis 15 Rappen pro Liter will die Regierung den Strassenbenützern eine weitere Last aufbürden. Aber 70% der beim Strassenverkehr erhobenen Abgaben werden zweckentfremdet, und der Geld-Tank für die Netzanpassung ist leer.

•Die Verkehrsministerin versucht, wenig berücksichtigte Randregionen zu verführen, indem sie ihnen folgenden Handel vorschlägt: Bezahlt die Abgaben, danach wird euch der Bund auf verschiedene Weise belohnen. So zum Beispiel würde er den Strassenbetrieb und -unterhalt des Grossen Sankt Bernhard übernehmen. Unglaublich: Der Bund hat bis jetzt offenbar nicht bemerkt, dass diese Strasse eine wichtige Verbindung für den internationalen Handel ist, und dass sie von Anfang an ins Nationalstrassennetz hätte aufgenommen werden sollen.

Gefährdung der Wirtschaft •Der Anstieg der auf der Strasse lastenden Kosten setzt der Schweizer Wirtschaft zu, die durch die europäische Krise und die Frankenstärke schon geschwächt ist. KMU und Industrie werden unter diesen Bestimmungen stark leiden. Katastrophal wäre es auch für den schon gebeutelten Walliser Tourismus, da der Wintertourismus vor allem die Strasse in Anspruch nimmt.

Kleine Lügen und Kurzsichtigkeit •Der Bund macht geltend, dass neue, in den fünfziger Jahren nicht geplante Strecken in den ursprünglichen Netzbeschluss aufgenommen wurden, namentlich die Autobahn im Jura. Das stimmt. Die Planung der Rawil Autobahn A6, die das Wallis mit dem Simmental verbinden sollte, wurde hingegen aufgegeben. Das wiegt alles wieder auf. Und ausserdem: Wie könnte ein Projekt aus dem 20. Jahrhundert die Bedürfnisse des 21. Jahrhunderts jemals decken?

Falscher internationaler Vergleich •Der Bund bringt ein weiteres Scheinargument vor: Die Schweiz wäre das Land, wo man fürs Autobahnfahren am wenigsten bezahle. Die Autobahngebühren im Ausland, wie Frankreich und Italien, wären deutlich höher. Auf Länder wie Deutschland, Holland, Belgien und andere europäische Länder, in denen es weder Gebührenzahlstellen noch Vignetten gibt, wird gar nicht hingewiesen. Es sind zudem Länder, deren Wirtschaft der unseren zweifellos ähnlicher ist als die der südeuropäischen Staaten.

Verkehrsleistungen Kennzahlen 2012 Privater motorisierter Strassenverkehr Öffentlicher Strassenverkehr

91,8 Mrd. Personenkilometer 4,1 Mrd. Personenkilometer

Eisenbahnverkehr

19,3 Mrd. Personenkilometer

Luftfahrt

44,4 Mio. beförderte Personen

Quelle: BFS

Die überraschende Unterteile der Strasseeinkommen Mehr als 70% der Einnahmen aus dem Strassenverkehr sind für andere Aufgaben zugewiesen.

18% öffentlicher

3% Umwelt, Landschaft, Verschiedenes

Strassenverkehr und Eisenbahn

3% Haupt-,Ortsund Bergstrassen

43% Bundeskasse 24% Nationalstrassen

9% Kantone


4-2013 ••• tcs valais-wallis

12 VIE DU CLUB

Assemblée générale Savièse, 18 mai 2013

Generalversammlung Savièse, 18. Mai 2013

Nicole Zuber

Stresa Sortie familiale, 7 septembre 2013 Familienausflug, 7. September 2013

Brisolée

Daniel Crittin

6 octobre 2013

Kastanienplausch 6. Oktober 2013

Alice Zuber


4-2013 ••• tcs valais-wallis

13 GESUNDHEITSSEITE

Sicher Unterwegs im Wintersport Selbstüberschätzung, ungenügende Kondition, mangelhafte Ausrüstung und Alkoholkonsum erhöhen die Unfallgefahr im Wintersport. Interview Dr. med. Thomas Beck, Chefarzt Chirurgie, Spitalzentrum Oberwallis

Riskante Fahrweise, mittleres Tempo, Altschnee, vereiste Pisten, Fahren ohne Helm und schlechte Sicht sind die häufigsten Risikofaktoren im WIntersport. Aktuell fährt immer noch jeder dritte Wintersportler ­ ohne Skihelm. Eine Studie des Berner Inselspitals zeigt weiter, dass ein Drittel der Verunfallten unter Alkohol­ einfluss stehen. Zudem sollte man nicht unvorbereitet auf Skis oder Snowboard stehen: eine wichtige Voraussetzung ist eine gute körperliche Kondition, welche das ganze Jahr trainiert wird, sowie eine gewartete Ausrüstung. Der internationale Skiverband, die Beratungsstelle für Unfallverhütung sowie die Suva publizieren alljährlich die aktuellen Empfehlungen für den sicheren Skiplausch.

•Dr. Beck, welche Wintersportarten führen am häufigsten zu Verletzungen? Skifahren, Snowboarden, Schlitteln. •Welches sind die typischen Verletzungen? Das Verletzungsmuster ist von Geschwindigkeit und Sportart abhängig. Tendenziell verletzen sich Snowboarder die obere Extremität und den Rücken, während Skifahrer häufig auch Verletzungen der unteren Extremität aufweisen. Dazu kommen leichte Schädel-HirnTraumata im Sinne einer Hirnerschütterung.

Die TCS Sektion Wallis wird sich in Zukunft vermehrt für die Sicherheit im Wintersport einsetzen. A ­ktuell unterstützt sie eine Studie in Zusammenarbeit mit dem Spital Wallis, welche die Unfallmechanismen von Kindern und Jugendlichen auf der Skipiste untersucht. «Mit der zunehmenden Popularität des Skisportes ist es von grosser Bedeutung, die Mechanismen von Winter­ sportverletzungen bei Kindern besser zu untersuchen», erklärt der Studienleiter Dr. Nicolas Lutz, Chefarzt Kinderchirurgie an den Spitälern Sitten und Visp. «Nur so wird es möglich sein, die Kinder und Jugendlichen mit gezielten Kampagnen vor Unfällen und deren Langzeitfolgen zu schützen.» In einem zweiten Schritt ist geplant, die neuen Erkenntnisse in Form von Stand­ aktionen in Zusammenarbeit mit den lokalen Sport­ geschäften direkt auf die Skipisten zu bringen.

•Wie werden diese versorgt? Nicht jeder Bruch muss durch eine Operation versorgt werden. Manchmal genügt ein Gips. Häufig muss ein Bruch aber mit Schrauben, Platten, Nägel stabilisiert werden. •Was bedeutet das für die Patienten? Das Ziel einer Operation ist es, dass der Knochen in einer korrekten Stellung heilt und dass der Patient möglichst schnell wieder bewegen kann. In den meisten Fällen muss aber während mindestens sechs Woche, bei schweren Verletzungen bis zu drei Monaten eine Teilbelastung eingehalten werden. Dies kann eine lange Arbeits- und Sportunfähigkeit bedeuten. •Was gibt es für Präventionsmassnahmen?

Simon Fluri Dr. Beck geht mit seinen ­Kindern mit gutem Bei­ spiel voran: Skihelm ist Pflicht.

Es ist ähnlich wie im Strassenverkehr: es gibt verschiedene Schutzmassnahmen wie Helm, Rückenprotektoren, Handgelenksprotektoren. Zusätzliche gilt es die eigene Geschwindigkeit dem Können anzupassen. Alkohol erhöht die Risikobereitschaft und reduziert die Reaktionszeit und das Gleichgewicht. •Wie könnte der TCS in diesem Bereich aktiv werden? Der TCS sollte entsprechende Präventionskampa­ gnen lancieren, z.B. dass auf der Piste der Alkohol und über­höhte Geschwindigkeit genau so wenig zu suchen ­haben wie im Strassenverkehr.

Internetseiten zum Thema Sicherheit im Skisport www.fis-ski.com www.bfu.ch www.suva.ch www.slf.ch/lawinenbulletin

Simon Fluri

Dr. med. Simon Fluri ist Kinderarzt und Neonatologe und arbeitet als Chefarzt Pädiatrie am Spitalzentrum Oberwallis. Er ist als Vorstandsmitglied der TCS-Sektion Wallis für die neue Gesundheits­seite der Klubzeitung zuständig.


MEXIQUE Yucatan espreso

12 jours (9 nuits sur place) 15 au 23 janvier 2014 5 au 13 mars 2014 23 avril au 1er mai 2014

En une petite semaine intensément remplie, c'est une découverte assez complète du monde maya mexicain: la magnifique cité de Tulum, les sites incontournables de Chichen Itza et Uxmal, les villes de Merida et Campeche avec leur charme colonial bien sûr... mais sans pour autant passer à côté de beautés naturelles comme le centre écologique de Chicanna ou la lagune de Bacalar. Si vous avez un peu de temps, vous pouvez prolonger ce circuit par quelques jours de détente sur la Riviera Maya, sans aucun doute la perle des côtes mexicaines. Hôtels et prix sur simple demande. Départs garantis en petits groupes francophones (minimum 2 personnes, maximum 14 personnes).

Programme de voyage Jour 1 GENÈVE – CANCUN En début de matinée, envol de Genève pour Paris ou Francfort et correspondance pour Cancun. Accueil à votre arrivée et transfert à l'hôtel. Jour 2 CANCUN – MERIDA Départ pour le célèbre site archéologique de Chichen Itza et visite de cet important centre cérémoniel. Après-midi, arrêt à Izamal, l'un des petits joyaux coloniaux du Yucatan, puis continuation pour Merida, la petite «capitale» du Yucatan qui a conservé beaucoup de son charme d'antan. Jour 3 MERIDA – CAMPECHE Le matin, visite du fabuleux site maya d'Uxmal, cité de la renaissance maya. Après un déjeuner typique dans la communauté indienne de Sabacché, coup d'œil sur les cenotes (puits naturels) de Kalcuch et Tanima avant de prendre la route pour Campeche, une très agréable ville coloniale en bord de mer. Jour 4 CAMPECHE – CHICANNA La matinée est réservée à la visite du centre historique de Campeche. Ensuite, découverte de la biosphère de Calakmul, la plus importante d'Amérique après l'Amazonie, au cœur de laquelle sont éparpillés de nombreux vestiges mayas. Etape dans un lodge situé en pleine nature.

Jour 5 CHICANNA – BACALAR Visite des ruines mayas de Calakmul, un site encore très peu fréquenté par les touristes. Après-midi, continuation vers la lagune de Bacalar, véritable perle posée dans un paysage de calcaire torturé et de jungle broussailleuse, et particulièrement riche en oiseaux migrateurs. Jour 6 BACALAR – RIVIERA MAYA En longeant la côte, route vers Tulum, la seule cité maya construite au bord de la mer. Après-midi, poursuite du voyage vers le nord pour joindre Playa del Carmen et la Riviera maya. Jour 7 RIVIERA MAYA Une pleine journée à votre entière disposition pour la détente et la baignade. Jour 8 CANCUN – ENVOL POUR L'EUROPE Dernière matinée libre avant votre transfert à l'aéroport. En fin d'après-midi, envol pour l'Europe. Nuit à bord de l'avion. Jour 9 ARRIVÉE À GENÈVE Arrivée à Paris ou Francfort en milieu de journée et continuation pour Genève.

Prix par personne en CHF Membres TCS Non membres Supplément chambre individuelle

3'350.– 3'650.– 630.–

Nos prestations Vols intercontinentaux avec Air France ou Condor en classe économique • Taxes aériennes et suppléments «carburant» connus à ce jour • Logement en hôtels de catégorie touriste supérieure (3* et 4* aux normes locales) • 13 repas principaux en plus du petit déjeuner • Circuit en voiture, minibus ou petit car climatisé • Les transferts, visites et excursions mentionnés au programme • Entrées aux sites et monuments • Services de guides locaux francophones pendant tout le circuit • Taxes locales et le service.

Prévoir en plus Pourboires aux guides et chauffeurs locaux • Boissons et dépenses personnelles • Frais de service membres CHF 40.– non membres CHF 60.– • Assurance frais d'annulation et rapatriement (livret ETI Monde recommandé).

Organisation technique: l’Atelier du Voyage Administration: TCS Section Valais Les conditions générales de l’Atelier du Voyage s’appliquent.

Intéressés? Contactez-nous pour obtenir de plus amples informations!

TCS Section Valais 027 329 28 10 ou sectionvs.tcs@bluewin.ch


4-2013 ••• tcs valais-wallis

15 TEST & TRAINING

CONCOURS OUVREZ L'ŒIL

Bien conduire mieux réagir Le cours pour maîtriser les situations périlleuses

Objectifs du cours Apprendre à conduire sur une chaussée mouillée. Effectuer un freinage d'urgence. Eviter un obstacle imprévu. Maîtriser un brusque changement de direction. --------------------------------------------Dates: 16, 23 et 30 novembre 2013 --------------------------------------------Prix: Membres TCS: CHF 160.– Non-membres CHF 210.– --------------------------------------------Ce cours est recommandé par le VSR et soutenu par le FSR qui accorde une subvention de CHF 100.– aux participants âgés de moins de 30 ans. La subvention sera directement déduite de la finance d'inscription. ---------------------------------------------

TCS

Gagnante du concours 3-2013 Mme Corinne Bagnoud, Corin Autres gagnants: M. Léopold Berthoud, Evolène; M. Christophe Caloz, Fully; M. Gérald Gremaud, Torgon; Mme Petra Locher, Glis.

Solution du concours n° 3-2013 - Clochers - Kirchtürme 1. Grône - 2. Champéry - 3. Biel.

Inscription Par courriel sectionvs.tcs@bluewin.ch Sur notre site internet http://www.tcs.ch/fr/leclub/pres-de-chez-moi/valais/cours.php Par téléphone 027 329 28 10

Neige & glace Alice Zuber

Cours d'entraînement sur neige et glace Apprendre à rouler de manière sécurisée sur la neige et la glace Une conduite sûre dans des conditions de routes hivernales, cela s'entraîne. Comment parvenir au freinage optimal sur des chaussées enneigées avec des voitures équipées ou non d'un ABS ? Nos instructeurs expérimentés répondront à ces questions et à bien d'autres lors de notre cours de conduite spécial sur neige et glace. ---------------------------------------------

Renseignements et inscription: tél. 058 827 15 00 ou www.tcs.ch info.training-events@tcs.ch Cours en décembre, janvier et février à Bourg-St-Pierre VS. Un rabais de Fr. 30.– est accordé aux membres du TCS Valais.

Peter Goetschi, Zentralpräsident, und Fabienne Bernard, Präsidentin der TCS Sektion Wallis.

Kontaktstelle Sitten: Eröffnungstag Die Räumlichkeiten der Kontaktstelle und des Sekretariats der TCS Sektion Wallis haben von einer markanten Verjüngungskur profitiert. Umgestaltung, Vergrösserung, Erneuerung des Mobiliars: Es wurde an alles gedacht, um die TCS-Mitglieder in einer angenehmen und komfortablen Umgebung zu empfangen. Der Eröffnungstag, der am 20. September stattfand, war ereignisreich. Der TCS-Präsident, Herr Peter Goetschi, zog die Lose. Der Hauptgewinn war ein High Tech Velo, das Frau Simone Follonier gewann. Viele Trostpreise sorgten ebenfalls für grosse Freude. Vor der Kontaktstelle an der Rue des Cèdres konnten die Besucherinnen und Besucher ein Raclette geniessen und sich in humorvoller Atmosphäre von einem Karikaturisten porträtieren lassen.

Wettbewerbsgewinner/innen 1. Preis, High Tech Velo: Frau Simone Follonier; Zirkustickets: Frau Brigitte Turian; Kurs "Autofahren heute": Frau Eliane Vallotton; Übernachtung im Hotel Bellavista, Tessin: Herr Sébastien Nydegger.


4-2013 ••• tcs valais-wallis

16 AVANTAGES MEMBRES

Course de Noël Une inscription offerte par membre du TCS

La 45e course de Noël Titzé aura lieu le samedi 14 décembre à Sion. Sponsor principal, le TCS est un fidèle soutien de la manifestation; il offre à tout membre l’inscription gratuite d’un enfant. Cette offre concerne les jeunes âgés de 5 à 18 ans (catégories Titi, écoliers, cadets et juniors). Pour en bénéficier, inscrivez votre enfant auprès du secrétariat de la section, à Sion. Bonne course à tous! • Résultats par SMS dix minutes après l’arrivée • Proclamation des résultats à 13 h 55 , place de la Planta. www.coursedenoel.ch

Catégories gratuites (un enfant par membre TCS) N° Catégorie

Année

Distance Tours Départ

1. Titi garçons

2006-7-8...

1000 m

1

11h00

2. Titi filles

2006-7-8...

1000 m

1

11h05

3. Ecoliers C

2004-2005

1000 m

1

11h15

4. Ecolières C

2004-2005

1000 m

1

11h20

5. Ecoliers B

2002-2003

1000 m

1

11h32

6. Ecolières B

2002-2003

1000 m

1

11h37

7. Ecoliers A

2000-2001

2000 m

2

11h47

8. Ecolières A

2000-2001

2000 m

2

11h49

9. Cadets B

1998-1999

3000 m

3

12h08

10. Cadettes B

1998-1999

3000 m

3

12h10

11. Cadettes A

1996-1997

3000 m

3

12h10

12. Dames Juniors 1994-1995

3000 m

3

12h10

13. Cadets A

1996-1997

4000 m

4

12h29

14. Juniors

1994-1995

4000 m

4

12h29

Photos Daniel Wertmüller

Inscription Par courriel sectionvs.tcs@bluewin.ch Par téléphone 027 329 28 10 Délai: vendredi 6 décembre 2013


Turn static files into dynamic content formats.

Create a flipbook
Issuu converts static files into: digital portfolios, online yearbooks, online catalogs, digital photo albums and more. Sign up and create your flipbook.