TCS Valais novembre 2023

Bulletin #4 Novembre 2023 Paraît quatre fois par an

Chien national… et social!

JAB CH-1950 SION POSTE CH SA

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Fondation Barry Aux côtés des humains en difficulté

Sécurité routière Rester visible le long des routes en hiver

Éclairage public Régimes différents selon les communes

Prix de l’essence Les distributeurs doivent rendre des comptes

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ÉDITO

TCS Section Valais #4 - 2023

Point de vue « C’était mieux avant » Qui n’a pas le souvenir de cette petite phrase prononcée par grand-maman ou grand-papa à côté du potager à la cuisine ou du bagnard au salon?

Dialogue d’un aîné à sa descendante (quinquagénaire à ce jour), qui contait des histoires d’un autre temps. Où les voitures étaient réservées aux familles aisées. Où le téléphone n’était installé que chez le médecin. Où l’on décapitait la poule pour le repas du dimanche.

Difficile alors de croire, de s’imaginer que « c’était mieux avant».

Et voilà qu’il y a quelques jours, dans un cadre pourtant idyllique (spa, jacuzzi, bulles chaudes), cette même quinquagénaire échangeait son point de vue sur l’année en cours avec une amie qui, dans la discussion, a lâché «c’était mieux avant». Mais avant quoi?

Est-ce donc que chaque génération a l’impression que «c’était mieux avant»?

2023 a-t-elle alors forcément été plus noire que les années précédentes?

J’ose espérer que non et que, si cela devait néanmoins être le cas, ma mémoire n’en retiendrait que le positif. Car j’aimerais moi aussi à mon tour raconter dans quelques années des histoires qui paraîtront ancestrales. De celles où l’on devait aller sonner chez nos copains/ copines pour jouer dehors, de celles où internet n’existait pas et de celles où l’on faisait ses courses dans un camion.

Enfin… Peut-être bien qu’au final, comme le chante Calogero, «c’était mieux après».

Anicia Volluz-Carron Membre du comité TCS Section Valais

Éditeur Touring Club Suisse Section Valais Avenue de la Gare 20 1950 Sion

Comité Fabienne Bernard présidente Philipp Matthias Bregy vice-président Christian Nanchen vice-président Ruth Bornet-Studer

Notre alter ego à quatre pattes Fabienne Bernard Présidente du TCS Section Valais

J’

entends déjà les murmures à la vue de la couverture de ce bulletin… « Mais enfin, n’y a-t-il pas des sujets d’actualité plus importants à traiter ? » Oui certainement, et pas qu’un peu.

Notre monde a du mal à faire face aux brutalités humaines, dont les images d’horreur sont désormais accessibles presque en « live ». À cela s’ajoutent les colères, frustrations, anxiétés, que l’on sent pointer, grandir autour de nous, avec notamment la peur pour beaucoup de ne plus pouvoir s’en sortir financièrement. Alors oui, des sujets importants, il y en a. Et de notre côté, notamment au sujet du prix de l’essence, nous n’allons rien céder et continuer à nous battre contre l’iniquité des grands distributeurs dans notre canton.

Qui mieux que notre Saint-Bernard national pouvait nous donner ce coup de boost au moral?

Pourtant, à l’approche des fêtes de fin d’année, nous souhaitions voir le monde un peu plus beau, le ciel un peu plus bleu.

Et qui mieux que notre Saint-Bernard national pouvait nous donner ce coup de boost au moral ?

Les 7 derniers nés de la Fondation Barry à Martigny courent déjà dans tous les

Isabelle Darbellay Métrailler Guillaume Grand Jeanne-Emmanuelle Jollien-Héritier Cédric Rosaire Anicia Volluz-Carron Francesco Walter

Suivez-nous sur Facebook et Instagram

sens, batifolant et affolant les visiteurs complètement conquis par ces chiots maladroits, si curieux de tout ce qui les entoure. Sous l’œil extrêmement vigilant de leur maman, ils appréhendent ce monde dans lequel ils vont jouer différents rôles, dont, pour certains, celui de chien « social ».

Vous allez découvrir que l’ancien sauveteur des neiges a trouvé un autre rôle tout aussi essentiel, celui d’accompagnant thérapeutique.

De nombreux humains en difficulté physique et/ou psychique, peuvent compter désormais sur ce soutien précieux pour avancer dans la bonne direction. De nombreuses expériences démontrent qu’ils sont capables d’être les moteurs de véritables petits miracles.

Et n’est-ce pas finalement ce dont nous avons tous besoin de temps en temps, de ces petits miracles qui se traduisent par un sourire et un pas de confiance ?

Bien sûr que pour nous, TCS, dont la vocation est d’être à vos côtés en tout temps, la complicité avec ce bijou valaisan qu’est le Saint-Bernard, ne pouvait qu’être instantanée et complète.

Entre spécialistes de l’assistance, on se comprend. Dans cette édition, nous avions envie de donner un coup de pouce à notre ami à quatre pattes, afin de lui permettre de poursuivre sa route d’aidant formidable.

Impressum Rédaction : Geneviève Hagmann Andreas Zurbriggen (Haut-Valais) Graphisme: Shirlene Terrapon Traduction: Dajana Abgottspon Photo couverture: Nicolas Greco

Contact Rue des Cèdres 3, 1950 Sion LU 08h 30 - 11 h 30 : 13 h 30 - 17 h 30 MA-VE 08h 30 - 11 h 30 027 329 28 15 section@tcsvalais.ch www.tcsvalais.ch

FONDATION BARRY

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Aidez-les à aider!

L’aide des Saint-Bernard est proposée gratuitement dans le cadre d’interventions assistées par l’animal.

Son financement repose uniquement sur des dons.

Si le programme Barry social rencontre un tel succès, c’est parce qu’il génère des effets réellement bénéfiques pour l’être humain. Pour que des personnes isolées ou malades puissent continuer à en profiter, votre contribution est bienvenue.

Versement : Fondation Barry du Grand-St-Bernard 1920 Martigny CH95 0900 0000 1715 3692 2

Le Saint-Bernard, aux côtés des humains en difficulté

© Nicola Greco

L

a chienne Alba revient d’une promenade avec un jeune homme atteint de troubles psychiques. Sa confiance naturelle est contagieuse.

Avec son gabarit imposant, qui attire curiosité et admiration, l’animal est valorisant pour celui qui la tient en laisse. «En marchant à ses côtés, il prend de l’assurance et porte un regard plus tranquille sur le monde qui l’entoure», commente Claudia Müller, responsable du programme Barry social au sein de la Fondation Barry à Martigny.

Accompagnement thérapeutique Cette balade accompagnée n’est qu’un exemple parmi une multitude d’activités que la spécialiste et sa chienne proposent aux humains en difficulté physique ou psychique. Claudia Müller collabore régulièrement avec des ergothérapeutes, physiothérapeutes, pédagogues et autres professionnels du secteur social. Lorsque le patient bloque avec certains exercices ou ne trouve plus la motivation d’avancer, le SaintBernard prend le relais. Le caresser, ouvrir une bouteille pour lui donner à boire, lui lancer une balle… Les gestes qui paraissaient impossibles se déverrouillent dans l’interaction avec l’animal.

Souvent, de petits miracles se produisent. «Une femme qui n’arrivait plus à marcher en raison de sa maladie avait perdu espoir et s’était fermée à tout traitement. Lorsqu’elle a vu Alba, elle a posé ses béquilles pour venir vers elle!»

Auparavant chien de sauvetage, le Saint-Bernard est aujourd’hui très sollicité comme chien social. Sa présence apaisante et son empathie peuvent redonner confiance à des personnes isolées ou limitées dans leurs mouvements.

500 interventions par an Chaque visite demande une préparation spécifique, selon les objectifs fixés par le thérapeute. « J’ai imaginé une centaine de jeux entre l’homme et l’animal, pour travailler des capacités différentes», poursuit Claudia Müller. Que ce soit pour retrouver la mobilité, développer le sens des responsabilités, créer des liens dans un groupe ou apporter du réconfort, le Saint-Bernard joue un rôle de médiateur efficace.

Lorsqu’il débarque dans un home pour personnes âgées, les langues se délient. Quand il partage une pause avec des prisonniers, les tensions s’apaisent. Son secret? « Une présence tranquille, qui ne juge pas », résume la spécialiste.

Cela fait déjà une dizaine d’années que la Fondation Barry de Martigny propose des interactions sociales assistées par des chiens de la race Saint-Bernard. Avec ses 18 équipes humain-chien, elle effectue 500 interventions par année, auprès d’une centaine d’établissements

dans toute la Suisse : des hôpitaux, des EMS, des prisons, des camps pour jeunes et des établissements de soins palliatifs.

Une formation spéciale Les équipes de Barry social suivent une formation selon une philosophie et une méthode bien précises. Claudia Müller insiste sur le fait que « nous formons les personnes, pas les chiens.

Chaque maître doit apprendre à décoder son animal, voir ce qui lui plaît ou non. Il faut que le chien reste confiant, afin de pouvoir aider de façon libre et spontanée. » Le respect du chien passe avant tout. Son maître est chargé de veiller sur lui. Mais au premier signe de stress, il devra quitter le programme.

Sous le regard attentif de sa maîtresse, Alba redonne aux humains le goût de vivre et de bouger. Plus de deux siècles après les exploits de sauvetage de son ancêtre Barry, elle perpétue la tradition d’assistance du Saint-Bernard.

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EN ROUTE

TCS Section Valais #4 - 2023

Voir et être vu Avec la baisse de luminosité en hiver, piétons, cyclistes et trottinettistes sont plus exposés aux accidents. Des habitués de la mobilité nocturne partagent leurs astuces et expériences.

Samuel Bumann Sion

Une bonne lumière, des parcours sûrs

Julie et Sarah avec leur mère Ludivine Rapillard Conthey

L’équipement fait partie de l’aventure

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«Nous circulons seules à vélo ou à pied depuis l’âge de six ans, pour nous rendre à l’école et à nos activités. Comme nous devons traverser la zone commerciale et la route cantonale à fort trafic, nous avons balisé les trajets avec nos parents et restons très vigilantes. Notre maman a fait en sorte que soyons bien visibles dans la circulation. Elle a complété l’éclairage de nos vélos et nous a équipées en conséquence. Nous portons une large veste jaune réfléchissante et un bonnet avec lampe LED, à enfiler sous ou sur le casque. Il faut y penser avant chaque déplacement, c’est parfois long et encombrant, mais cela ne se discute pas: cet équipement fait partie de l’aventure ! »

Daniel Theler Viège

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« Je cours quatre fois par semaine dès 19 h, après le travail, souvent de nuit. Ma stratégie ? Éviter le danger plutôt que me charger de réflecteurs comme un sapin de Noël! Je choisis des parcours éloignés du trafic et j’ai misé sur un accessoire efficace: une lampe frontale avec clignotant arrière et puissance réglable.

Si je croise un automobiliste qui m’éblouit avec ses grands phares, je n’hésite pas à monter l’intensité de ma lampe pour lui signifier ma présence. De plus, je cours sans musique, ce qui me permet d’entendre le moteur d’un véhicule qui approche. Une à deux fois par semaine, je m’entraîne en équipe. Le fait d’être en groupe avec plusieurs observateurs augmente notre sécurité.»

Le vélo en pleine nuit, par tous les temps «Deux à trois fois par semaine, mes journées de travail débutent à 2h30 du matin. Je me prépare ensuite dans les locaux de la rédaction de la radio haut-valaisanne RRO pour l’équipe du matin, qui commence ses émissions à 5h30. C’est toujours à vélo que je parcours les quelque trois kilomètres qui séparent mon domicile de Viège du bâtiment de la rédaction à Pomona. Même en hiver. Et même quand il neige. Pour me rendre visible la nuit, j’utilise un éclairage de vélo puissant et j’ai des réflecteurs dans les rayons. Je vois encore un potentiel d’amélioration dans mon équipement au niveau des accessoires réfléchissants, par exemple une bande velcro facile à attacher autour de chaque bras.»

Noémi Thurre Ovronnaz

Chien clignotant et lampe puissante

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« Je sors mon labrador Hooky tôt le matin et tard le soir, lorsqu’il fait nuit. En hiver à cette altitude, il faut souvent compter avec le brouillard et la neige. Les conditions de visibilité sont plutôt mauvaises, encore davantage depuis que l’éclairage public a été coupé dans ma rue à partir de 23h. Pour la sécurité de Hooky, j’ai opté pour un harnais orné de points réfléchissants et un collier clignotant avec des LED rouges. Et pour la mienne, j’ai investi dans une lampe frontale puissante, qui me permet de percevoir clairement mon environnement et d’être facilement repérable. »

TCS Section Valais #4 - 2023

Trois accessoires pour briller avec style

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Christophe Nydegger Responsable Sécurité routière TCS

1 Lacets réfléchissants

Interview

Comme ils se trouvent sur une partie mobile du corps, ils attirent davantage l’attention. On peut les nouer de différentes manières pour affiner son style.

«Il faudra redoubler de prudence cet hiver»

2 Autocollants pour textiles à découper

Avec des ciseaux et un stylo, on peut apporter une touche amusante ou élégante à ses vêtements.

La couleur de l’habillement du piéton et les réflexes de l’automobiliste jouent un rôle primordial dans la prévention des accidents.

3 Paracorde à tresser

Cette ficelle épaisse en nylon permet de créer de chouettes accessoires réfléchissants: bracelet, collier pour chien, porte-clés, cordelette pour sweats, etc.

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1 Le site internet madevisible.swiss répertorie les produits, les boutiques et les bonnes idées pour améliorer sa visibilité de façon subtile et originale.

-> Quelles situations dangereuses pourraient encore être facilement évitées avec un peu plus de visibilité ?

Les situations où le conducteur découvre la présence d’un piéton trop tard, en raison d’un manque de visibilité. La couleur de l’habillement joue un grand rôle : avec une veste et un pantalon noirs, on a peu de chances de s’en sortir indemne. Les éléments réfléchissants permettent à l’automobiliste de percevoir un piéton sans éclairage actif suffisamment tôt, puis de réagir et s’arrêter avant la collision.

-> Dans cette campagne Made Visible, on insiste pour responsabiliser les piétons et cyclistes. Qu’en est-il des automobilistes?

Que leur recommandez-vous?

Les automobilistes sont ceux qui doivent voir et réagir rapidement si une situation de danger se présente. Faire contrôler leur vue régulièrement, entraîner leurs réflexes ou encore s’assurer que leur véhicule dispose d’un bon éclairage sont

autant de conseils pertinents destinés aux conducteurs.

-> Depuis l’hiver dernier, certaines communes ont choisi de restreindre leur éclairage dès 23 h. Quelles sont les conséquences pour la sécurité des usagers ?

La visibilité est un élément déterminant de la sécurité routière et l’éclairage public y contribue fortement. Sans la lumière des lampadaires, les usagers les plus vulnérables, comme les piétons ou les cyclistes, risquent d’être vus trop tardivement par les automobilistes. C’est pourquoi nous recommandons à tous les usagers de redoubler de prudence afin d’éviter les accidents. Il est très important que les cyclistes et les motards s’assurent du bon fonctionnement de leur éclairage avant de prendre la route et, tout comme les piétons, qu’ils augmentent leur visibilité par des habits clairs et des éléments réfléchissants.

Le commentaire Haro sur l’éclairage public !

Thomas Birbaum Chargé d’affaires publiques TCS Section Valais

Depuis l’hiver dernier, les mesures de réduction de l’éclairage public ont été vivement recommandées aux communes pour faire face à une éventuelle pénurie énergétique.

Outre l’extinction des monuments et les restrictions de décorations lumineuses, qui ont attristé bon nombre de citoyens, des rues entières ont été plongées dans le noir.

Dans ce débat, on a tendance à sous-estimer les dangers que cela représente pour les usagers de la mobilité. En effet, le risque d’accident est trois fois plus élevé la nuit que pendant la journée.

Or, cette source lumineuse ne représente que 1,5% de la consommation électrique totale en Suisse. Consommation qui ne cesse de diminuer avec les nouvelles ampoules LED. Considérant les économies d’énergie négligeables obtenues grâce à ces restrictions d’éclairage public, on ne peut que se montrer sceptique. Faut-il, pour quelques kilowatts-heures épargnés, mettre en danger des piétons, des cyclistes et des automobilistes ?

Le TCS s’engage constamment pour la sécurité routière et mène depuis

plusieurs années une campagne de prévention pour recommander à la population de se rendre visible sur les axes de mobilité. Cette visibilité passe aussi par l’éclairage public, qui permet de repérer obstacles, animaux ou usagers non visibles sur les voies routières. À vouloir économiser quelques électrons, la sécurité routière pourrait se péjorer. Ne dit-on pas que l’enfer est pavé de bonnes intentions ?

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POLITIQUE

TCS Section Valais #4 - 2023

Restrictions d’éclairage

À chaque commune sa philosophie

Priorité à la visibilité D’autres localités ont décidé de ne pas entrer en matière pour des raisons de sécurité. « La visibilité sur l’espace public, notamment en cas de chaussée enneigée/verglacée, est jugée primordiale pour le confort de la population », peut-on lire sur le site internet de Val de Bagnes. La quasi-totalité des communes hautvalaisannes a fait le même choix, « soit parce que ce n’était techniquement pas faisable, soit parce que les craintes concernant la sécurité et les accidents étaient trop grandes », commente Niklaus Brunner, responsable de l’antenne Energieberatung Oberwallis.

Vers un éclairage intelligent

Selon la loi et les normes en vigueur, l’éclairage doit être maintenu aux abords des passages piétons et le long des routes cantonales.

© R. Fiorina

Depuis l’hiver dernier, certaines communes valaisannes éteignent une partie de leurs lampadaires en pleine nuit, pour des raisons énergétiques ou environnementales.

Les pratiques diffèrent d’une localité à l’autre.

Certaines rues communales sont plongées dans l’obscurité entre 23h et 5h, principalement dans le Valais central. Cette mesure a été prise l’hiver passé pour participer à l’effort collectif d’économie d’énergie, selon les recommandations des autorités cantonales. Dans la majorité des cas, elle a été maintenue. La mise en place de cette extinction partielle a occasionné des frais importants (entre 5 000 et 90000 francs selon la taille du territoire) et des interventions techniques complexes sur le réseau électrique. En effet, tous les lampadaires ne sont pas logés à la même enseigne.

Passages piétons préservés Selon la loi et les normes en vigueur, ceux qui bordent les routes cantonales en localité

doivent obligatoirement rester allumés, ainsi que ceux qui éclairent les passages piétons.

Tous les autres peuvent être allumés ou éteints, selon la décision communale.

Dans le Valais central, 17 communes ont pris cette option. Chacune d’elles a décidé quel secteur serait éclairé ou pas, selon des critères de sécurité ou de fréquentation touristique, par exemple.

Quelques communes ont également choisi d’éteindre leurs rues pour préserver le sommeil de leurs citoyens, la tranquillité de la faune et leur ciel étoilé. À Riddes par exemple, cette idée était déjà dans l’air depuis quelques années pour réduire la pollution lumineuse. La commune a profité du contexte favorable pour franchir le pas.

En plus de la préoccupation sécuritaire, une grande partie des communes n’a pas jugé la mesure nécessaire, en raison de son impact relativement faible, vu les efforts importants déployés pour rénover l’éclairage public. À Monthey par exemple, les deux tiers des rues communales bénéficient déjà d’un éclairage LED intelligent très peu énergivore. Le remplacement des vieilles ampoules entrepris depuis 2016 permet des économies jusqu’à 80 % d’électricité, avec la possibilité de régler l’intensité de la lumière au fil des heures ou selon un détecteur de présence. Cette avancée technologique paraît plus efficiente que des ruptures de courant compliquées à organiser, quand elles ne dérèglent pas les systèmes automatiques déjà mis en place.

Chaque commune décide donc selon ses priorités et ses spécificités. Pour la Fédération des communes valaisannes (FCV), qui avait recommandé à ses membres de prendre ces mesures d’économie l’an passé, la démarche reste pertinente. « Il y a toujours une pesée des risques à effectuer. Entre sécurité routière, sentiment d’insécurité et économies d’énergie, il faut placer le curseur au bon endroit. Mais on sent une volonté claire de se positionner sur ce thème », commente son président Stéphane Coppey. La FCV a également demandé au Canton de se pencher sur une modification de la loi sur les routes, afin de permettre l’extinction des feux le long de certains tronçons cantonaux déserts la nuit, dans les zones industrielles par exemple. Le Service de la mobilité a constitué un groupe de travail, qui se penche actuellement sur la question. Affaire à suivre…

TCS Section Valais #4 - 2023

POLITIQUE

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Prix de l’essence

© gh

Les autobobilistes valaisans ne sont pas des vaches à lait!

Selon le comparateur national des prix des carburants du TCS (benzin.tcs.ch), les prix de l’essence n’ont cessé de grimper depuis quelques mois. Pourtant la hausse n’est pas la même entre les cantons. Le Valais romand affiche ainsi des prix supérieurs à ceux de l’arc lémanique ou de la région Bienne-Neuchâtel. Et le carburant y est depuis des années plus cher que dans le HautValais, 10 centimes de plus par litre en moyenne et parfois même jusqu’à 20 centimes.

Cette différence est excessive et injustifiée. Les prix de la région francophone devraient être

Les prix à la pompe ne cessent d’augmenter, avec des disparités injustifiées entre les deux parties du canton.

Le TCS Section Valais a fait part de son ras-le-bol par voie de presse et interpellé les principaux distributeurs.

alignés sur ceux du Haut-Valais. C’est pourquoi le TCS Section Valais a tapé du poing sur la table par voie de presse au début septembre et interpellé les plus importants distributeurs par courrier (Eni, Tamoil, Migrol, et Coop), afin qu’ils jouent un rôle citoyen dans cette période d’augmentation des prix et qu’ils prennent les mesures correctives qui s’imposent.

Nos recommandations

Adopter un style de conduite économe, qui peut réduire votre consommation de carburant de 10 à 20% (nos conseils sur tcs.ch).

Au moment où nous imprimions ce bulletin et plus d’un mois après l’envoi de ce courrier, un seul distributeur avait pris la peine de répondre (Migrol).

Faire jouer la concurrence entre les stationsservice en alimentant le comparateur benzin.tcs.ch.

Le TCS Section Valais va continuer à se battre pour des prix à la pompe les plus équitables et les moins élevés possible sur l’ensemble du territoire valaisan!

Se servir du minimum d’essence dans les stations les plus chères et faire le plein lors d’un trajet dans une région plus avantageuse.

-> Suivi de notre action sur tcsvalais.ch

Échos du Grand Conseil Plusieurs discussions sur la mobilité ont occupé les députés cet automne.

Un postulat consacrant le respect du principe de la hiérarchie du réseau routier, avec les routes à orientation trafic limitées à 50 km/h et des routes de quartier à 30 km/h, a été accepté à l’unanimité.

La possibilité pour les particuliers de déduire fiscalement l’installation d’une borne de recharge pour véhicule électrique a été refusée par 63 contre 59 voix.

Une motion demandant de revoir la répartition de la redevance poids lourds (RPLP) entre les différents services de l’État a été refusée pour ne pas péjorer les moyens financiers dévolus au budget routier.

Un crédit d’engagement de 4,5 millions de francs a été accordé pour la construction de la piste cyclable Bitsch-Mörel.

À la suite d’une interpellation sur les transports publics, le Conseil d’État a annoncé une cadence à la demiheure pour l’axe ferroviaire Monthey-St-Gingolph à l’horizon 2029.

08 AVANTAGES MEMBRES

TCS Section Valais #4 - 2023

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TCS Section Valais #4 - 2023

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INFOS CLUB

Activités

Retour sur 3 événements de la section La section valaisanne du TCS organise régulièrement des activités gratuites ou à des prix avantageux. Cet automne, en plus du Cirque Knie, elle a invité ses membres à visiter Annecy, à tester des véhicules électriques et à manger la brisolée.

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Flash news

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La tournée TCS eMobility Days s’arrête pour la deuxième fois en Valais.

Cette journée consacrée à la mobilité électrique est organisée par le Club central, en collaboration avec la section. Après Sion il y a deux ans, c’était au tour de Sierre de recevoir l’événement, le 23 septembre dernier.

Une dizaine de marques automobiles étaient présentes sur la place de la plaine Bellevue, ainsi que des concessionnaires motos et des trottinettes du Touring shop. Les visiteurs ont pu tester gratuitement les derniers modèles et se renseigner auprès du stand TCS sur les modes de recharge et l’autonomie des batteries. Parmi eux, des conducteurs à la recherche d’une deuxième voiture citadine ou d’un véhicule familial plus écologique, des fans de nouvelles technologies et des curieux en quête d’informations sur la mobilité électrique.

Une nouvelle édition très réussie pour notre brisolée automnale dans 7 restaurants.

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Souvenir d’Annecy… Le temps était idéal pour une croisière sur le lac !

Une journée de dépaysement pour s’évader et partager un repas en bonne compagnie…

C’est le principe de la sortie annuelle du TCS Section Valais, qui embarque les voyageurs en car depuis les principales villes valaisannes.

L’excursion à Annecy organisée le 2 septembre dernier a fait le plein: 300 personnes y ont participé. Elles avaient le choix entre une croisière sur le lac, une visite guidée de la ville et une balade libre. Tout le monde s’est ensuite retrouvé autour d’un repas dans la brasserie historique du Casino d’Aix-Les-Bains, à une demi-heure de là. La prochaine sortie aura lieu le premier samedi de septembre 2024.

Il faisait à nouveau beau et chaud ce premier dimanche d’octobre, jour dédié à

À Sierre, les visiteurs ont pu tester des véhicules électriques et profiter des conseils du TCS.

la brisolée du TCS Section Valais.

Membres et non-membres du TCS ont rejoint les sept restaurants partenaires entre Naters et Le Bouveret. Les convives ont pu savourer le traditionnel plat de châtaignes et ses accompagnements à un prix très avantageux, dans une ambiance chaleureuse.

La formule, qui permet de s’attabler entre 11 h 30 et 15 h 30 sans réservation préalable, est toujours très appréciée. Rendez-vous le premier dimanche d’octobre 2024 pour la prochaine édition !

Course de Noël

Vitesse en localité

Tunnel du Grand-St-Bernard

On se retrouve à la Planta!

Le Conseil national valide le maintien du 50 km/h

Trafic limité pendant la nuit

Le TCS Section Valais se réjouit de vous retrouver le 9 décembre prochain à Sion, à l’occasion de la 54e édition de la Course de Noël. Visez notre stand jaune sur la place de la Planta à deux pas de l’arrivée, et participez à nos jeux d’adresse et de chance, qui vous feront gagner des gadgets.

L’événement a lieu dès 10h, avec le départ du Trail des Châteaux. Les parcours traditionnels dans les rues de Sion démarrent dès 11h30, entre 0,5 et 7 km, pour toutes les catégories et tous les âges. Parmi les points forts du programme, la course des pères et mères Noël à 14h55 et le départ des élites dès 17h.

Le TCS salue la décision prise par le Conseil national d’accepter la motion du conseiller national lucernois Peter Schilliger. Cette dernière demande de maintenir en principe la vitesse à 50 km/h sur les routes à orientation trafic, ce qui permet de garantir la hiérarchie et la fonctionnalité du réseau routier. Les récents sondages sur ce thème attestent d’un large soutien populaire pour cette solution de vitesse différenciée en localité. Même dans les villes, la majorité des habitants s’oppose à l’introduction généralisée du 30 km/h dans les zones urbaines.

Le tunnel du Grand-Saint-Bernard vient d’entreprendre d’importants travaux de rénovation (remplacement de la dalle de ventilation). Ce chantier entraîne quelques perturbations de nuit, entre 22h et 6 h, jusqu’au 22 mars 2024: seuls les véhicules d’une hauteur inférieure à 3 mètres sont autorisés à passer.

En journée, durant les week-ends et les vacances de Noël, tous les véhicules peuvent circuler.

Infos sur letunnel.com

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PERMIS DE CONDUIRE

TCS Section Valais #4 - 2023

L’offre de cours 2-phases en Valais Les nouveaux conducteurs doivent suivre une journée de perfectionnement dans les douze mois suivant l’obtention du permis probatoire. En Valais, ils ont le choix entre quatre prestataires différents, qui assurent le cours officiel 2-phases selon l’exigence légale.

TCS 2-phases sur neige et glace Lieu Bourg-Saint-Pierre Prix spécial membre TCS Section Valais CHF 280.– en semaine, 300.– le week-end (repas et boisson inclus) non-membre 370.– (390.– week-end) Période Du 27 décembre 2023 au 25 février 2024 Langue Français (allemand sur demande)

Les cours se déroulent sur des pistes sécurisées avec des instructeurs formés. © Instructeur TCS

Les jeunes conductrices et conducteurs peuvent suivre leur cours 2-phases dans n’importe quel canton suisse, pourvu que la formation proposée soit officiellement reconnue et dispensée par des instructeurs formés. Ils peuvent ainsi faire leur choix selon des critères comme la proximité, le prix, les prestations annexes ou d’autres particularités. Par exemple, le TCS propose une

Centre L2 Lieu Prix

Saint-Maurice CHF 380.– (café inclus) Véhicule de location sur demande (CHF 40.–) Période Toute l’année Langue Français (germanophones bienvenus) Inscription stmaurice.l-2.ch ou 024 485 39 07

version « neige et glace » du cours 2-phases, qui permet d’acquérir les bons réflexes de conduite également en conditions hivernales. Dans certaines offres, le véhicule est fourni ou peut être loué à la journée. D’autres organisent le repas en commun, ce qui ajoute une note conviviale à cette journée spéciale, dernière étape avant l’octroi du permis définitif.

2 Phases Alternative Valais Lieu

Savigny, transport gratuit en minibus depuis Sierre, Sion, Martigny et Bex Prix CHF 370.– en semaine, 390.– le week-end (repas et location de véhicule inclus) Période Toute l’année Langue Français (germanophones bienvenus) Inscription 2phasesvalais.ch ou 079 214 35 35

Inscription 058 827 15 00 ou info.training-events@tcs.ch Important Consulter les dates sur tcs.ch.

Pour bénéficier du prix préférentiel, s’inscrire par e-mail ou par téléphone en précisant que vous êtes membre du TCS Section Valais.

WAB4u Ulrichen Lieu Prix

Aérodrome d’Ulrichen CHF 390.– en semaine, 420.– le week-end Véhicule de location sur demande (CHF 100.–) Période De mai à octobre Langue Allemand Inscription drivingcenter.ch ou 058 364 52 52

RENCONTRE

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Adaptations sur mesure Il n’existe qu’une dizaine de garages en Suisse capables d’assurer et de suivre de telles transformations. Celui de Charrat, qui porte le nom de Handitech, réalise des adaptations aussi bien pour la conduite que pour le transport et l’accès au véhicule. Cette entreprise avait déjà développé des compétences dans ce domaine dans les années 1980, alors que Xavier Tornay y était apprenti. Son patron de l’époque, sollicité par un ami en situation de handicap, s’était alors lancé dans ce service sur mesure.

Les clés de l’autonomie pour tous

Exemples d’adaptations et témoignages en vidéo sur handitech.ch

© gh

E

n ce samedi, jour de congé, Xavier Tornay est dans son garage à Charrat. Il réalise une mise au point pour un jeune Vaudois, Jonas Borgeaud, qui a acheté sa Renault sur mesure il y a peu. «Les premiers mois, il y a toujours quelques réglages à effectuer. Aujourd’hui, nous lui installons un nouveau bouton plus facile d’accès pour activer le démarrage», commente le garagiste. Dans son atelier, il transforme les équipements standards et fabrique des pièces spéciales pour ses clients à mobilité réduite. Il lui arrive d’assurer la métamorphose de A à Z. « Le défi le plus fou que j’ai relevé, c’est la transformation d’une voiture pour une personne tétraplégique. Il a fallu trouver plein de solutions techniques pour qu’elle puisse conduire à une main et embarquer sa chaise roulante.»

Un parcours du combattant Depuis quelques années, le garagiste collabore avec une maison italienne spécialisée, qui fabrique un dispositif permettant d’accéder au volant directement avec son fauteuil. Cette solution a convaincu Jonas Borgeaud, un passionné de voitures atteint de myopathie. Lui qui rêvait secrètement de pouvoir conduire un jour se retrouve aujourd’hui en possession de son propre véhicule, totalement adapté à ses capacités, au centimètre près.

Depuis plus de trente ans, Xavier Tornay adapte des véhicules pour des personnes à mobilité réduite. Ce qui le motive ?

Le défi technique et la satisfaction de redonner un peu d’autonomie à ceux qui l’ont perdue.

-^ Le garagistemécanicien Xavier Tornay suit attentivement les besoins de son jeune client Jonas Borgeaud, qui vient d’acquérir un véhicule accessible en fauteuil roulant.

Le jeune homme de 22 ans ne cache pas sa fierté. Il sait tout ce qu’il a dû accomplir pour en arriver là. «Les gens pensent que c’est facile, mais cela demande énormément d’énergie. À chaque étape, on pouvait me dire non…», explique-t-il.

Xavier Tornay confirme. Lui qui accompagne les personnes à mobilité réduite dans leur conquête d’autonomie sait bien le parcours du combattant que cela représente. Après un bilan spécialisé, il faut demander un financement à l’AI et remplir de nombreuses conditions, sous l’œil d’un organe de contrôle. Toutes les adaptations prévues doivent être homologuées et le Service auto délivrera un permis spécial valable pour le véhicule en question.

Pour ces personnes, acquérir un tel véhicule, c’est une délivrance!

La partie technique exige ensuite beaucoup d’attention. « La force de la main n’est souvent pas suffisante pour tourner le volant. Il faut sur-assister chaque mouvement de direction», explique le

spécialiste. Jonas manie sa Renault à l’aide d’un joystick et d’un écran tactile. Le système électronique est conséquent et le câblage impressionnant. Il a dû se rendre deux fois dans l’usine italienne pour prendre les mesures, puis s’assurer du bon paramétrage.

Libre de ses mouvements Au-delà de la prouesse technique, c’est le gain d’autonomie qui fait la différence.

Auparavant, il devait mandater une entreprise de transport spécialisée deux fois par jour pour se rendre sur son lieu de travail.

Aujourd’hui, il est libre de ses mouvements et de son organisation horaire. « Je peux même véhiculer mes parents ! », sourit-il. C’est pour ce genre de victoire que Xavier Tornay s’investit dans son travail. « Pour ces personnes, acquérir un tel véhicule, c’est une délivrance! » La démarche demande de se mettre à leur place, d’écouter leurs besoins, de rester en contact. « Ces clients deviennent rapidement des amis.» Pour le garagiste, chaque nouveau projet est une aventure extraordinaire en soi.

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TCS Section Valais #4 - 2023

Avantage membres CHF 400.– Avantage membres CHF 400.–

Croisière Croisière de de Zanzibar Zanzibar aux Seychelles aux Seychelles

Avantage membres CHF 400.– Avantage membres CHF 400.–

Avantage membres CHF 400.– Avantage membres CHF 400.–

Japon Japon

Les Les Açores Açores

Les trésors de l’océan Indien Les trésors de l’océan Indien avec PONANT avec PONANT 5–20 février 2024 5–20 février 2024

Emotions et floraison au Pays Emotions et floraison au Pays du Soleil Levant du Soleil Levant 27 mars–12 avril 2024 27 mars–12 avril 2024

Le paradis caché Le paradis caché

Voyages accompagnés par petits groupes, Voyages accompagnés par petits groupes, avec guides francophones.

Réservations avec guides francophones.

Réservations auprès de votre Point de contact TCS à Sion, auprès votre3.

Point de contact TCS à Sion, rue desde Cèdres rue des Cèdres 3.

027 329 28 10 027 3298h30-11h30 28 10 Lundi: et 13h30-17h30 Lundi: et 13h30-17h30 Mardi à8h30-11h30 vendredi: 8h30-11h30 Mardi à vendredi: 8h30-11h30

Concours

TCS #4 – 2023

Je repasse mon permis

28 juin–10 juillet 2024 28 juin–10 juillet 2024 section@tcsvalais.ch section@tcsvalais.ch www.tcsvoyages.ch www.tcsvoyages.ch

À gagner : 20 vignettes 2024

Tentez votre chance en choisissant, pour chaque question, la bonne réponse:

2. Lors d’un croisement difficile en montagne, qui doit s’arrêter et faire marche arrière si nécessaire ?

A. Le véhicule qui monte.

B. Le véhicule qui descend.

3. À la sortie du giratoire, qui peut sortir en premier ?

A. Le véhicule blanc, car il ne change pas de voie.

C’est toujours celui qui change de voie qui perd la priorité.

B. Le véhicule rouge, car il a choisi la voie rapide.

Réponse 1

Nom

Rue / No

Réponse 2

Prénom

NPA / Ville

Réponse 3

No de sociétaire

E-mail ou tél.

© TCS Sécurité routière

1. Dans une zone 30, le piéton est-il prioritaire?

A. Non, même s’il peut traverser là où il veut.

B. Oui, il a la priorité sur les autres usagers.

Renvoyez le coupon-réponse à : TCS Section Valais, av. de la Gare 20, 1950 Sion ou par e-mail à concours@tcsvalais.ch. Dernier délai : 17 décembre 2023.

Concours «Ouvrez l’œil» #3 – 2023 Les bonnes réponses étaient: Sierre / Annecy / 28 octobre Gagnants: Carole Tounsi, Sion / Peter Ritz, Viège Sabrina Dubuis, Savièse / Élisabeth Vouilloz-Lovey, Evionnaz

Modalités : Un tirage au sort aura lieu uniquement parmi les bonnes réponses.

Les gagnants seront avertis personnellement.

Les collaborateurs du TCS ainsi que leur famille ne sont pas autorisés à participer. Les prix ne peuvent pas être remplacés ou échangés en espèces.