TCS Valais février 2023

Point de vue

La mobilité moderne nous offre du temps pour vivre

Se déplacer n’a jamais été aussi simple qu’aujourd’hui. La mobilité moderne nous permet d’atteindre presque tous les coins du monde, grâce aux moyens de transport les plus divers. Les deux tiers du trafic sont générés par nos tâches quotidiennes, le reste concerne les trajets de loisirs et de vacances. Les distances, qu’elles soient courtes ou longues, peuvent être parcourues en un temps toujours plus bref. Les pendulaires économisent chaque jour quelques minutes supplémentaires, grâce à l’amélioration des cadences et correspondances. Les destinations de vacances sont elles aussi accessibles de plus en plus rapidement. Cela nous permet non seulement de bénéficier d’une mobilité sans précédent au niveau de la performance, mais aussi de gagner beaucoup de temps. Ce temps est un bien précieux. Mais qu’en faisons-nous? Il vaut la peine de se pencher sur cette question. D’éteindre son écran et de réfléchir aux choses essentielles. À quoi allons-nous utiliser ce temps gagné? À chacun ses réponses… Pour les enfants, la famille, les engagements associatifs, le sport, la musique, la lecture? Ce gain de temps lié à la mobilité moderne signifie, en fin de compte, plus de temps pour vivre. Et le gérer chaque jour de manière consciente nous rapprochera de l’objectif d’une vie heureuse et épanouie.

Simon Charles Fluri

du comité du TCS Section Valais

Comité

Fabienne Bernard présidente

Philipp Matthias Bregy

vice-président

Christian Nanchen

vice-président

Ruth Bornet-Studer

Àl’heure où l’accès aux services d’urgences soulève de nombreuses interrogations dans la population, les difficultés rencontrées par d’autres acteurs indispensables à notre sécurité sont méconnues ou passées sous silence. Nous avons tellement l’habitude de la réactivité, en toutes circonstances, de nos différents corps de sapeurs-pompiers, que nous oublions de nous demander comment tout cela est organisé et quels sont les problèmes auxquels ils sont confrontés.

Nous devrions reconnaître davantage ces personnes méritantes, mais aussi faire en sorte qu’elles puissent œuvrer dans les meilleures conditions possible.

90% de nos pompiers sont des miliciens et on connait aujourd’hui toute la problématique générée par l’individualisme rampant qui gangrène nos sociétés. Je souhaite ici saluer l’engagement de ces hommes et de ces femmes qui donnent leur temps, leur énergie et prennent des risques pour notre sécurité. Sans nul doute, devrions-nous reconnaître davantage ces personnes méritantes, mais aussi faire en sorte qu’elles puissent œuvrer dans les meilleures conditions possible.

Dans ce contexte, on ne peut que saluer la décision des autorités fédérales d’accepter enfin de prendre en compte, lors

d’éventuels excès de vitesse, la nature appropriée de l’intervention. Il était temps. On se demande même comment il a pu en être autrement, tout comme on se demande pourquoi on n’arrive pas à obtenir un régime spécial pour ces chauffeurs d’exception. Le poids de certains dogmes au détriment du plus simple bon sens ne cessera jamais de m’étonner.

À cela s’ajoutent les difficultés liées à l’évolution urbanistique de nos cités. La volonté d’ajouter de la qualité de vie à nos infrastructures est tout à fait louable. Il faut cependant impérativement garder à l’esprit que les secours sont susceptibles d’avoir à intervenir en tout temps et partout. Au TCS Section Valais, nous en savons quelque chose, nous qui avons récemment vu le feu s’emparer du toit de notre immeuble à Sion.

J’invite ceux qui ne l’auraient pas encore fait à regarder le magnifique film sur l’incendie de Notre-Dame-de-Paris. On y découvre avec effarement les difficultés invraisemblables rencontrées par les véhicules de secours pour se rendre sur les lieux. Nous avons la chance de pouvoir compter sur des pompiers volontaires et professionnels motivés. Faisons en sorte, grâce à notre bon sens collectif, de ne pas rendre impossible une activité déjà suffisamment difficile. Et surtout, n’oublions pas de les remercier pour leur engagement oh combien précieux.

Isabelle Darbellay Métrailler

Simon Charles Fluri Guillaume Grand

Jeanne-Emmanuelle Jollien-Héritier

Cédric Rosaire

Anicia Volluz-Carron

Francesco Walter

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Membre

Fabienne Bernard

Présidente du TCS Section Valais

Pascal s’en va, Sandrine arrive

L’équipe de la section a connu quelques changements fin 2022. Pascal Bonvin a quitté ses fonctions pour prendre une retraite bien méritée. Il travaillait en tant qu’expert à la piste technique depuis sa création en 2008. «J’ai beaucoup apprécié ces années au TCS. Pour un passionné de mécanique, c’est une chance d’avoir pu suivre l’évolution technologique de la mobilité. Ce qui va me manquer, c’est le contact quotidien avec les automobilistes et les garagistes de la région.» Au même moment, Sandrine Jollien a débuté son travail en tant que collaboratrice administrative au Point de contact du Touring à Sion. Économiste de formation, cette Saviésanne âgée de 29 ans

dispose déjà d’une riche expérience professionnelle dans le domaine des ressources humaines et de l’événementiel. Au TCS Section Valais, elle va notamment gérer les réseaux sociaux et participer à l’organisation d’activités pour les membres. «La diversité du travail me plaît. Je me réjouis d’apporter mon énergie et mes nouvelles idées à la section.»

Entre le départ de l’un et l’arrivée de l’autre, Pascal Bonvin et Sandrine Jollien se sont croisés autour d’un café dans les locaux du Point de contact. L’occasion d’échanger leurs impressions sur leur travail au TCS et de se découvrir une passion commune pour la moto.

Question au TCS

Déclaration d’impôts

Puis-je déduire mon abonnement de TP et mon vélo?

Oui, les frais de déplacement pour vous rendre au travail sont déductibles de votre revenu pour les impôts, peu importe le moyen de transport utilisé. Ainsi, le cumul des déductions pour le vélo et les transports publics (TP) est autorisé. En Valais, il n’existe aucune limite pour ces frais. On peut donc considérer toutes les dépenses nécessaires pour ce type de déplacement, à condition bien sûr qu’elles soient justifiées: les kilomètres parcourus en voiture (seulement si l’offre de TP n’est pas disponible ni exigible), un abonnement dans un Park & Ride, l’indemnité forfaitaire de 700 francs par année pour un vélo, l’abonnement de train ou de bus. Au niveau de l’impôt fédéral, en revanche, le montant maximal déductible est de 3200 francs.

Le TCS vous renseigne sur vos droits, en matière de mobilité et dans tous les domaines de la vie: lex4you.ch

Séjour vélo

Majorque au printemps

Il reste des places pour une semaine de vacances cyclosportives à Majorque avec TCS Vélorando, du 16 au 23 avril 2023.

Le séjour prévoit cinq sorties de 80 à 100 kilomètres, qui privilégient le plaisir de rouler en groupe tout en visitant l’île, en compagnie de guides expérimentés.

Dès 1380.– pour une chambre double en demi-pension dans un hôtel 4 étoiles, vol aller-retour et location de vélo compris. Les accompagnants non cyclistes sont bienvenus.

Informations et inscriptions sur tcs-velorando.ch

De la FM au DAB+ Comment changer

de radio

Le TCS se félicite que le passage au DAB+ ait été repoussé à fin 2024. Les conducteurs reçoivent chaque année environ 2600 informations urgentes, liées au trafic, via la bande FM de leur autoradio. Or, pour l’heure, seule la moitié des véhicules dispose d’un récepteur DAB+. C’est pourquoi le TCS recommande aux automobilistes de s’équiper. Il existe de nombreuses solutions sur le marché et il vaut mieux s’adresser à votre garagiste pour l’installation.

Pour vous aider dans votre choix, consultez la page «Tests – Connected Car» sur tcs.ch

Statistiques

Boire ou conduire…

Davantage d’accidents de la route liés à l’alcool se sont produits en 2021 par rapport à 2020. Genève reste le canton où ont lieu le plus d’accidents graves (0,95 pour 10000 habitants), suivi de Zoug et du Jura. Mais c’est sur les routes valaisannes que l’alcool a causé le plus d’accidents mortels (5 en 2021).

Le TCS rappelle l’adage «boire ou conduire, il faut choisir». En cas de consommation d’alcool, prenez les transports publics ou faites-vous conduire par une personne qui aura choisi de s’abstenir.

La nouvelle collaboratrice du TCS Sandrine Jollien et le jeune retraité Pascal Bonvin.

Le gymkhana des pompiers

De plus, en cas d’excès de vitesse, on tiendra désormais compte de la vitesse appropriée pour l’intervention.

Le problème des volontaires

«Cette adaptation va faire baisser la pression lors des courses d’urgence. En revanche, elle n’apporte aucune solution aux déplacements individuels de nos volontaires, qui doivent rouler comme tout le monde alors qu’ils sont en route pour la même course urgente», relève Lucien Cottier. Plus de 90% des pompiers sont des miliciens, mobilisés à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit, depuis leur lieu de domicile ou de travail. Ces déplacements jusqu’à la caserne sont de plus en plus ralentis par la densité du trafic et les zones à vitesse réduite. Au point que les centres de secours incendie de Sion et de Sierre ont décidé d’aménager des places de télétravail pour leurs volontaires de piquet. Ils sont ainsi déjà sur place en cas d’alarme.

Obstacles prévus et imprévus

Entre augmentation de trafic et multiplication des zones 20/30, les courses urgentes des pompiers sont semées d’embûches. Bonne nouvelle: la loi va enfin s’adoucir pour les chauffeurs en service qui commettent un excès de vitesse.

«Les directives fédérales exigent que nous intervenions dans les dix minutes après l’alarme. En même temps, nous devons faire face à de de plus en plus de contraintes de circulation», résume Lucien Cottier, président de l’Association des corps de sapeurs-pompiers du Valais romand. Comment mener une course d’urgence dans un cadre urbain ralenti par les zones 20 et 30, de plus en plus souvent encombré par des bouchons et des chantiers? Il faut le savoir: même s’ils sont prioritaires lorsque leurs feux et sirènes sont enclenchés, les véhicules de secours restent soumis à la loi sur la circulation routière. Actuellement, les excès de

vitesse jugés imprudents sont punissables.

«C’est une zone grise dans notre activité, qui inquiète beaucoup de chauffeurs, car ils risquent de se voir retirer leur permis, avec des conséquences dramatiques pour leur vie professionnelle. Ils savent qu’ils doivent faire attention, sans savoir à quel point ils peuvent dépasser la limite. »

Depuis que certaines villes souhaitent généraliser le 30 km/h, les associations professionnelles des feux bleus (pompiers, police, ambulances) se battent pour obtenir un régime spécial dans la loi, afin que les secouristes ne soient pas punis comme des chauffards. Elles ont enfin obtenu gain de cause. À partir de 2024, la peine des conducteurs avec feux bleus sera obligatoirement atténuée.

-^ Avec leurs feux bleus enclenchés, les pompiers en excès de vitesse seront désormais mieux protégés par la loi. Mais ils continueront d’être traités comme n’importe quel automobiliste pour les déplacements privés entre leur domicile et la caserne, même en cas d’alarme.

Les obstacles au stationnement, du pot de fleurs à la borne sécurisée en passant par le bloc de béton, font partie des embûches quotidiennes à contourner. «La ville évolue, mais pas forcément dans le bon sens pour nous. Les pompiers n’interviennent pas à vélo, il faut réussir à passer partout avec un 26 tonnes. Nous y sommes attentifs et signalons régulièrement aux autorités les endroits qui posent problème», explique David Vaquin, commandant du CSI de Sion. Les obstacles sont répertoriés sur des cartes détaillées afin d’anticiper les parcours: zones de chantier, fermetures de route, bornes sécurisées nécessitant une clé d’accès, etc.

Restent les réactions imprévisibles des usagers en présence des feux bleus. David Vaquin observe de plus en plus de comportements préoccupants et invite tout le monde à garder son calme. «Sous l’effet de la panique, certains automobilistes accélèrent, d’autres nous coupent la priorité ou s’arrêtent net. Dans des rues plus étroites, il arrive que nous nous retrouvions coincés parce que les véhicules ne se rabattent pas du même côté. Des piétons munis de leurs écouteurs n’entendent même pas la sirène et traversent comme si de rien n’était!» Il est donc bon de rappeler les réflexes à adopter lorsqu’un véhicule de secours se manifeste (lire ci-contre).

© Thomaz Melly

1. Dégagez la chaussée dès que vous entendez un véhicule d’urgence arriver. N’attendez pas qu’il soit derrière vous pour le laisser passer.

Grégory Dos Santos à Monthey

Conduire le mythique camion rouge, c’était un rêve de gosse pour Grégory Dos Santos. Ce Montheysan œuvre comme pompier volontaire depuis 16 ans au CSI Chablais-VS. «On ne peut le faire que par passion, et dans mon cas, cette passion n’a jamais cessé de grandir!» Pendant dix semaines et cinq week-ends par année, il se tient à disposition des sollicitations du 118, à côté de son activité professionnelle à plein temps. Il est aujourd’hui responsable des machinistes (les pompiers qui conduisent les véhicules et gèrent les pompes) et remplaçant dans le cadre de la formation. «Le plus important, c’est de rester maître de son véhicule et de respecter le code de la route» explique-t-il.

Le souci numéro 1 pour ces conducteurs particuliers, c’est la gestion du stress: le départ dans l’urgence, la pression et les inconnues de la mission en cours, la prise en main d’un véhicule qu’on ne conduit pas tous les jours, etc. Une fois au volant, il faut faire avec le bruit de la sirène, le son de la radio, le vrombissement des appareils et l’agitation des coéquipiers qui se préparent à l’arrière. «C’est dans ces conditions très perturbantes que le chauffeur doit rester concentré sur sa route et faire attention aux autres usagers. Je préfère qu’il prenne 30 secondes de plus, plutôt qu’il mette sa vie ou celle des autres en danger.»

2. Gardez la prudence qui s’impose si vous devez empiéter sur un trottoir, un passage piétons, une piste cyclable ou une autre voie.

À Zermatt, les rues sont étroites et les routes souvent verglacées en hiver. Des conditions exigeantes pour les 76 pompiers du centre de secours, dont le nouveau commandant Patrick Steffen fait partie depuis dix ans. «Nous ressentons une grande estime de la part de la population pour notre travail. Lorsque nous intervenons de nuit, il arrive que l’on nous prépare une soupe dans un hôtel pour reprendre des forces», explique ce père de famille de 45 ans, qui est aussi le président de la Fédération des sapeurs-pompiers du Haut-Valais.

Dans la station sans voitures de Zermatt, où tous les véhicules de service sont électriques, les pompiers locaux font exception. «Comme nous éclairons souvent depuis le véhicule et que la pompe à eau consomme beaucoup d’énergie, nous sommes actuellement tributaires d’un moteur diesel.» Mais des essais concluants ont été menés avec des véhicules hybrides. En raison de l’étroitesse des ruelles et du grand nombre de visiteurs, la vitesse de circulation a toujours été limitée. C’est toutefois avec un sentiment mitigé que Patrick Steffen observe l’introduction des zones 20 et 30 dans les localités valaisannes. «De précieuses minutes s’écoulent jusqu’à ce que les pompiers arrivent au local avec leur voiture privée…»

Son souhait? Que les employeurs de ces volontaires fassent preuve de davantage de compréhension. «Si un pompier intervient plusieurs fois dans la nuit et qu’il doit ensuite se concentrer pour commencer son travail dans l’entreprise à 8 heures, cela peut entraîner des conflits.» Une solution à envisager serait d’octroyer une indemnité pour perte de gain de 80%, du moins pour les employés qui suivent une formation. «Dans d’autres cantons, ce modèle a déjà fait ses preuves.»

1. Enclenchez vos feux de détresse et rangez-vous sur le côté afin de ménager un couloir entre les deux voies de circulation pour le passage des véhicules de secours.

2. Serrez au plus près le bord de la chaussée sans empiéter sur la bande d’arrêt d’urgence.

Conduite sur neige et glace dans les ruelles étroites de Zermatt: le quotidien hivernal des pompiers au pied du Cervin.

Patrick Steffen à Zermatt

«Les employeurs pourraient être plus compréhensifs»

«La gestion du stress, notre souci numéro 1»

L’Islande en hiver

Côte sud islandaise et aurores boréales

18–25 mars 2023

Les merveilles de la Jordanie

Trésors culturels et paysages magiques du Proche-Orient

29 mars–5 avril 2023

Croisière au Spitzberg –dernier arrêt avant le pôle Nord

Svalbard – un goût de bout du monde

29 mai–9 juin 2023

Croisière en Islande avec Ponant

Mosaïque islandaise

9–18 août 2023

Croisière Queen Mary 2

De Southampton à New York avec extension

10–22 août 2023

Croisière Queen Mary 2: New York à Québec

Voyage au fil des couleurs de l’automne

26 septembre–8 octobre 2023

Equateur & Croisière Galapagos

Voyage entre deux hémisphères

8–27 mai 2023

Intéressé-e?

Val Poschiavo

Voyage gourmand et nature vierge aux Grisons

5–9 juin 2023

Les Açores

Le paradis caché

30 juin–12 juillet 2023

voyages@tcs.ch www.tcsvoyaqges.ch

Avantage membres CHF 300.–

Avantage membres CHF 400.–

Avantage membres CHF 500.–

Avantage membres CHF 300.–

Avantage membres CHF 100.–

Avantage membres CHF 300.–

Avantage membres CHF 300.–

Avantage membres CHF 400.–

Avantage membres CHF 400.–

Par ici les sorties!

Le TCS Camping Club Valais dévoile son programme 2023, marqué par quatre sorties conviviales.

Clou de cette année: l’organisation de la rencontre romande des campeurs au Bouveret.

Invitation

Assemblée générale du TCS Camping Club Valais

Le 25 mars 2023, chez Bischoff à Sion, 18h

Ordre du jour

1. Présences

Les sorties proposées permettent de découvrir de beaux coins dans la nature, en Suisse ou à l’étranger. Comme ici, en 2022, au camping TCS Gordevio dans le canton du Tessin.

En 2022, le club TCS des campeurs s’est encore agrandi dans notre canton. Une centaine de nouveaux membres y ont adhéré afin d’assurer leurs équipements et déplacements, et profiter de nombreux avantages. Dès ce printemps, ils sont invités à participer aux différentes activités proposées en Valais: des sorties de 1 à 4 jours à des prix avantageux, incluant le séjour dans un camping et d’autres prestations, comme le repas au restaurant ou des excursions.

Faire découvrir le Chablais

Le rendez-vous annuel des campeurs romands aura lieu au Bouveret pendant le week-end de Pentecôte. La section valaisanne ne l’avait plus organisé depuis sept ans. Elle attend une centaine d’attelages en provenance de Vaud, Fribourg, Genève, Jura et Neuchâtel. «Nous nous réjouissons de leur faire découvrir le Chablais et de vivre de bons moments ensemble!», s’exclame Claude Gumy, responsable de l’organisation. Les participants auront le choix entre la visite du Swiss Vapeur Parc, un tour à vélo sur les chemins méconnus de la plaine du Rhône, la découverte de la réserve naturelle des Grangettes et un concours de pétanque. Un rallye pédestre sur le thème du Valais réunira tous les campeurs le dimanche. La soirée de gala sera animée par le chanteur Blaise Geiger et se déroulera en présence du président de la Commune de PortValais et de la présidente du TCS Section Valais.

Programme 2023

18 – 21 mai Sortie valaisanne au Camping Le Coin Tranquille Les Abrets (France)

26 – 29 mai Rencontre romande au Camping Rive Bleue Le Bouveret

25 – 27 août Sortie d’été au Camping La Moubra Crans Montana

25 novembre Sortie d’hiver aux Bains de Saillon

10 décembre Rencontre de l’Avent

Toutes les sorties ont lieu sur inscription. Infos détaillées sur campeurs-vs.com

N’oubliez pas le contrôle du gaz

Avant la saison, n’oubliez pas de vérifier votre matériel. Selon la loi, les installations de gaz liquéfié dans les camping-cars, les caravanes et les auvents doivent être contrôlées au minimum tous les trois ans. Ces contrôles ne peuvent être effectués que par des personnes qualifiées. En Valais, les experts du TCS se tiennent à votre disposition pour réaliser ce check-up. Pour prendre rendez-vous, écrivez un e-mail à ct.tcs@tcsvalais.ch

2. Désignation des scrutateurs

3. Acceptation de l’ordre du jour

4. Procès-verbal de l’AG 2022

5. Rapport de la présidente

6. Présentation des comptes 2022

7. Rapport des vérificateurs 2022

8. Élections du comité et du réviseur des comptes

9. Présentation du programme 2023

10. Rencontre romande 2023

11. Divers

Inscriptions

Jusqu’au 1er mars comite.tcs.cclubvs@outlook.com ou 078 600 21 84

Pourquoi devenir membre du TCS Camping Club?

Pour assurer votre matériel et vos déplacements:

• assistance en cas de panne ou accident en Suisse et en Europe

• assurance matériel de camping (couverture jusqu’à CHF 5000.–)

• assurance RC camping (couverture jusqu’à CHF 2,5 millions)

Pour profiter de nombreux avantages:

• rabais dans les campings du TCS (jusqu’à 20%) et auprès de ses partenaires en Europe

• cartes de campings internationales gratuites (CCI et CKE)

• activités et manifestations en Valais à prix réduit

Prix du sociétariat camping: CHF 60.–/ an. Réservé aux membres du TCS. Adhésion sur tcs.ch

© tcs camping club vs

Les joies et périls de l’e-trottinette

Écologique et multimodale par excellence, la trottinette électrique fait de plus en plus d’adeptes. Mais les conditions d’utilisation de ce moyen de transport ne sont pas toujours respectées. Âge, vitesse, éclairage, place dans la circulation… Rappel des règles et conseils d’experts.

des modèles beaucoup plus rapides sont en vente libre. L’an passé, la Police cantonale a intercepté deux trottinettes, l’une à Saxon et l’autre à Brigue, dont la vitesse pouvait atteindre 120 km/h. À part ces cas extrêmes, la trottinette électrique ne pose pas de problème majeur dans les cités valaisannes, contrairement aux grandes villes comme Paris ou Zurich, particulièrement encombrées par le phénomène des e-trott’ en libre-service (free-floating). «Nous observons peu de comportements dangereux et les plaintes citoyennes sont très rares. Nos interventions se limitent essentiellement à des messages de sensibilisation», rassure Thomas Zimmermann, commandant-adjoint de la Police Régionale des Villes du Centre.

Attention aux phares

Il y a quelques années, le mouvement d’une silhouette filant à 20 km/h sur sa planche à guidon était si rare qu’il attirait tous les regards. Aujourd’hui, les trottinettes électriques se fondent dans le paysage urbain. De plus en plus de personnes l’adoptent dans leurs trajets quotidiens, notamment pour se rendre au travail. Il faut dire qu’elle présente de nombreux avantages. Idéale pour parcourir le dernier kilomètre, facile à transporter, peu encombrante, son rapport poids/ puissance la place en tête des engins de mobilité les plus écologiques. Son utilisation obéit à des règles strictes, qui ne sont pas toujours bien connues des usagers. À commencer par l’âge

autorisé pour la conduire. Si l’image de la trottinette est associée à l’enfance, sa version électrique n’est pas du tout destinée aux enfants! En effet, il faut avoir 16 ans pour s’en saisir sans permis. Autre source de confusion, sa place dans le trafic. Alors que la trott’ classique circule sur les trottoirs, son homologue électrique ne peut rouler que sur les voies cyclables ou la route.

Vitesse du moteur limitée

La vitesse est également un sujet sensible: les e-trottinettes autorisées en Suisse sont limitées à 20 km/h, avec une puissance maximale de 500 W. Mais

-^ En l’absence de voies cyclables, les trottinettes électriques doivent circuler sur la route.

En matière de sécurité, la visibilité est le gros point faible de ces engins (lire interview ci-contre). De plus, beaucoup d’entre eux ne sont pas équipés correctement. En novembre dernier, le TCS Section Valais a effectué des comptages à Sion et à Sierre pour évaluer l’éclairage des deux roues. Seules 35% des trottinettes électriques disposaient d’un éclairage conforme à la loi (phare blanc à l’avant et phare rouge à l’arrière, non clignotants) et 49% d’entre elles circulaient sans aucun éclairage, alors que les conditions de trafic l’exigeaient. «Nous ne nous attendions pas à de tels chiffres. La situation est très préoccupante. Le TCS rappelle que l’éclairage est capital pour la sécurité des adeptes de mobilité douce, qui sont de plus en plus nombreux à circuler dans nos villes, mais aussi dans des zones périphériques moins bien éclairées», déclare la responsable sécurité routière du TCS Section Valais Isabelle Darbellay Métrailler.

Christophe Nydegger Responsable Sécurité routière TCS

Interview

Vitesse max. de construction: 20 km/h

Puissance max. du moteur: max. 500 W

Éclairage: - fixe, non clignotant - un feu blanc à l’avant - un feu rouge à l’arrière

Catadioptre dirigé vers l’arrière:

obligatoire

Freins:

- 1 frein avant

- 1 frein arrière

Sonnette:

obligatoire

Âge:

- dès 14 ans avec permis M

- dès 16 ans sans permis

C’est le nombre d’accidents enregistrés par la police, impliquant une trottinette électrique en 2022 sur l’ensemble du canton du Valais, soit dix de plus que l’année précédente.

Cela reste encore marginal par rapport aux accidents impliquant un e-bike (39 en 2021) ou un vélo (89 en 2021).

«Rendez-vous visible et portez un casque»

Entre modèles interdits de circulation, faible visibilité et risques d’accident, la pratique de l’e-trottinette requiert plus de prudence qu’elle n’en a l’air.

-> Quels sont les principaux problèmes de sécurité routière observés ?

Les conducteurs de trottinettes électriques ne savent souvent pas où ils sont censés circuler, à savoir sur les pistes cyclables. En l’absence de voie cyclable, ils doivent rouler sur la route. Contrairement aux trottinettes conventionnelles, aux rollers et aux skateboards, ces engins sont interdits de trottoir! Une e-trottinette qui circule à 20 km/h représente un réel danger pour les piétons en cas de collision. De plus, la position très basse des phares (le feu arrière n’est qu’à 10 cm du sol) la rend peu visible dans le trafic. Le TCS recommande à ses utilisateurs d’améliorer leur visibilité en apposant des éléments réfléchissants sur la partie haute du corps, comme le casque, le sac à dos ou la veste.

L’expérience d’une «trotteuse» avertie

Laetitia Dallinge pendule tous les jours entre Riddes et Sierre. Au début, cette informaticienne âgée de 34 ans enchaînait train et bus jusqu’à son lieu de travail au Technopôle. «Je devais attendre pour la correspondance et si je ratais le bus, je n’arrivais pas chez moi avant 19h. Il me fallait un moyen plus simple et plus rapide pour compléter le train. J’ai pensé à la trottinette électrique.»

Laetitia avait besoin d’un modèle léger avec suffisamment de puissance pour assurer en montée. «Sur internet, il faut vraiment se méfier. Beaucoup d’engins ne sont pas homologués en Suisse. J’ai finalement trouvé mon bonheur sur un site d’occasions, une e-trott’ neuve à moitié prix.»

Depuis qu’elle l’a adoptée, elle gagne 20 bonnes minutes, en s’épargnant le stress des horaires de bus. Dans le train, elle plie son engin et le glisse sous son siège. «Je me sens libre, plus qu’à vélo ou en voiture.»

-> À quoi faut-il être attentif lors du choix de son e-trottinette ?

Le plus important, c’est de s’assurer que l’engin choisi corresponde aux prescriptions en vigueur pour la Suisse. Attention aux achats sur internet, particulièrement sur des sites étrangers. L’e-trottinette risque de ne pas correspondre aux prescriptions appliquées sur le territoire suisse et son utilisateur sera amendable.

-> Quels sont les risques d’accident ?

Le nombre de blessés graves a nettement augmenté dans les accidents impliquant des e-trottinettes en Suisse, de 55 en 2020 à 89 en 2021, selon l’Office fédéral des routes. Particulièrement dans les classes d’âge entre 35 et 54 ans. Il ne faut donc pas négliger les risques encourus avec ce type d’engin. C’est pourquoi nous recommandons fortement le port du casque.

L’art délicat du freinage

Été comme hiver, son parcours est bien rodé, avec parfois quelques coups de frayeur. La maîtrise des freins est aussi essentielle que délicate. «Un freinage trop sec peut vous propulser en avant, il faut donc toujours anticiper sa conduite. De plus, contrairement au vélo, on ne peut pas lâcher le guidon pour indiquer un changement de direction.»

Le verglas et la neige sont ses pires ennemis. Lorsque le bitume est trop glissant, elle ressort sa trottinette classique sans assistance, plus facile à contrôler. Si Laetitia est fan de son moyen de transport, elle ne souhaite pas qu’il se développe en libre-service, comme dans certaines grandes villes. «On voit que cela génère plein de problèmes. L’e-trottinette doit rester un objet personnel et ne surtout pas tomber entre les mains des enfants. Ce n’est pas un jouet, mais un vrai véhicule, comparable à un vélomoteur.»

Exigences légales pour circuler en e-trottinette

Cours TCS

Une mobilité quotidienne plus sereine

Que ce soit pour aborder un rond-point en voiture ou s’élancer dans la circulation à vélo, un conseil avisé est toujours bienvenu. Les cours organisés par le TCS vous offrent la possibilité de vous entraîner en toute sécurité avec un moniteur.

CHF 80.–pour les membres

Cours auto «Conduire aujourd’hui»

Le trafic augmente, les codes de la route évoluent… Vous sentez-vous toujours en confiance au volant de votre voiture? C’est précisément pour les conducteurs qui ont quelques doutes, bien des années après avoir passé leur permis, que le TCS a créé le cours «Conduire aujourd’hui».

Une demi-journée pour se tenir au courant des nouveautés et partager ses difficultés avec un moniteur. Vous bénéficiez de conseils personnalisés afin de sécuriser votre conduite dans les conditions actuelles de circulation.

Prix : membre TCS CHF 80.–(130.– non-membre)

Dates et inscriptions : sur tcsvs.ch

pour les membres

AVANTAGE MEMBRE TCS

SION SOUS LES ÉTOILES

10 % SUR LE BILLET

OFFRE VALABLE DU 1 ER AU 31 MARS 2023.

20% SUR LE BILLET + TRANSPORT

TRANSPORT ALLER-RETOUR AVEC LES BUS TCS AU DÉPART DE MONTHEY, ST-MAURICE, MARTIGNY, SAXON, RIDDES, CONTHEY, SIERRE, SALQUENEN, LA SOUSTE, TOURTEMAGNE, TURTIG, VIÈGE ET BRIGUE.

OFFRE VALABLE JUSQU’AU 9 JUILLET 2023. INFORMATIONS ET RÉSERVATIONS SUR TCSVS.CH

Cours «vélo famille» et «vélo électrique»

Le cours «vélo famille» aide les parents à initier leur enfant au vélo en toute sécurité. Règles de conduite, exercices d’agilité et parcours accompagné en ville.

Le cours «vélo électrique» aide les personnes qui souhaitent circuler avec davantage de confiance. Informations sur le fonctionnement de votre e-bike, exercices de maîtrise et parcours en ville.

Dates : plusieurs samedis en avril et en mai. Horaires : de 9h à 12h.

Prix : gratuit pour les membres du TCS. Pour les non-membres: CHF 50.– par famille (cours vélo famille) ou par personne (vélo électrique).

Inscriptions : dès le 1er mars

12 – 16 JUILLET 2023

BIGFLO ET OLI FLORENT PAGNY

-M- SOPRANO GIMS & DADJU

MATT POKORA MIKA

LOUIS BERTIGNAC STARS 80

UMBERTO TOZZI TAYC HATIK

JOSS STONE YANN LAMBIEL

SIONSOUSLESETOILES.CH

Course aux oeufs

Animation surprise

Dimanche 9 avril 2023 de 9h30 à 12h

Saint-Maurice Sion

Sierre

Brigue

Jardins de la Maison de la famille de Vérolliez

Lac de Montorge

Camping du Bois de Finges

Jardins du Château de Stockalper

Gratuit sur présentation de la carte de membre TCS

Non-membres: CHF 5.-/enfant, mais au plus CHF 15.- par famille

© O.Maire

© Florence Zufferey

Comment dire «Bonjour» en langue des signes?

1. Pouce levé, les doigts de la main rassemblés s’appuient sur les lèvres.

Elle fait du bruit pour la cause sourde

2. La main descend et remonte vers l’avant, en même temps que l’articulation du mot « bonjour ».

«Les sourds-muets, ça n’existe plus!» Ce cri du cœur de Rolande Praplan balaie les a priori. Un ballet de mains accompagne l’articulation des mots sur ses lèvres. Derrière ses lunettes rondes colorées, ses yeux pétillants et déterminés ponctuent le phrasé. En présence d’une interprète, la quinquagénaire énergique rappelle que la langue des signes est une langue à part entière, et que ceux qui la parlent sont tout sauf muets.

Cette langue visuelle a pourtant été interdite à l’école pendant un siècle, jusque dans les années 1980. Aujourd’hui encore, certains parents la considèrent comme un langage pour handicapés et la négligent au profit d’un forcing sur l’expression orale, au nom de l’intégration. «C’est une fausse idée. Plus l’enfant sourd parlera sa langue naturelle rapidement, mieux il comprendra le monde qui l’entoure et apprendra facilement à lire et écrire», explique Rolande Praplan, qui souhaite sensibiliser le monde médical à cette question, afin que les familles soient mieux informées.

Ateliers pour les familles

Rolande Praplan est née sourde au sein d’une famille sourde d’Ayent, où la langue des signes se pratiquait au quotidien.

«C’était plutôt un dialecte familial. J’ai véritablement appris la langue des signes française (LSF) plus tard, après ma scolarité dans des institutions au Bouveret et à

Rolande Praplan œuvre pour la reconnaissance de la langue des signes, dont beaucoup de sourds sont encore privés en Valais. Vice-présidente de la Fédération suisse des sourds, elle s’engage pour faciliter la communication entre sourds et entendants dans les écoles et les familles.

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Sourde de naissance, Rolande Praplan a appris à lire sur les lèvres et communique en langue des signes.

Fribourg.» Son rêve était de devenir infirmière, mais à l’époque, cette voie lui était fermée en raison de sa surdité. Elle sera employée de bureau avant de se tourner vers l’enseignement auprès d’adultes et enfants sourds. Afin de prévenir l’isolement et la frustration de ces personnes souvent oubliées dans notre société, elle anime les ateliers de l’association ABC Signes à Sion pour les familles concernées, en tandem avec son amie entendante Anne-Claire Pinedo.

Reconnaissance en bonne voie

Les sourds-muets, ça n’existe plus!

Rolande Praplan intervient dans les classes primaires afin de soutenir les écoliers sourds dans leur communication quotidienne. Elle occupe aussi le poste de vice-présidente de la Fédération suisse des sourds, qui milite pour la reconnaissance officielle de sa langue. La cause a avancé d’un pas de géant cette année, grâce à l’adoption par les chambres fédérales d’une nouvelle loi sur les langues des signes en Suisse. Elle a également été entendue par l’Assemblée constituante valaisanne, qui l’a intégrée

dans son projet de nouvelle Constitution cantonale.

Défis d’un handicap invisible

La mobilité quotidienne d’une personne sourde diffère peu de celle d’une personne entendante. «Nous disposons de très hautes capacités visuelles et pouvons conduire n’importe quel véhicule, pourvu qu’il soit doté de bons rétroviseurs.»

Rolande se souvient de la fois où elle est tombée en panne sur l’A9. Elle a pu alerter les secours en décrochant le téléphone d’une borne S.O.S. Un policier est venu à la rescousse. «Je crois qu’il m’a prise pour une étrangère un peu perdue» sourit-elle. Les démarches administratives restent compliquées, surtout quand elles doivent passer par le téléphone. «Toutes les hotlines nous sont inaccessibles. Au guichet, ce serait plus facile si les employés étaient initiés à quelques signes.»

Rolande Praplan se réjouit des efforts récents des autorités. «La Ville de Sion a organisé un événement officiel au cours duquel les discours ont été signés. On va dans le bon sens!»

Agenda 2023

9 avril

Course aux œufs -> Saint-Maurice, Sion, Sierre, Brigue

4 juin

SlowUp Valais

fête de la mobilité douce entre Sierre et Sion

2 septembre

Sortie

TCS Section Valais

16 mai

Assemblée générale TCS Section Valais

12 – 16 juillet

Sion sous les étoiles avec les bus du TCS

23 septembre

TCS eMobility Days essais de véhicules électriques -> Sierre

Concours TCS #1 – 2023

1er octobre

Brisolée -> dans plusieurs restaurants de Naters au Bouveret

18 – 23 juillet

Paléo Festival avec les bus TCS -> Nyon

Cet été, le TCS organise les transports à destination des festivals Sion sous les étoiles et Paléo

21 octobre

Cirque Knie -> Sion

Ouvrez l’œil!

9 décembre

Course de Noël -> Sion

Prestations sur demande :

cours et contrôles vélos

cours de conduite

contrôle gaz pour caravanes

À gagner

cours de perfectionnement

1er prix : un cours de perfectionnement à la conduite «Basic» (valeur CHF 340.–)

2e prix : un bon chez «Voyages L’Oiseau bleu» à Sierre (valeur CHF 250.-)

3e prix : un pack classic 4 vols chez RealFly (valeur CHF 160.–)

4e prix : quatre entrées (2 adultes, 2 enfants) au Happyland (valeur CHF 92.–)

Concours « Je repasse mon permis » #4– 2022

Les bonnes réponses étaient: 1. A / 2. B / 3. A

Tentez votre chance en répondant aux questions suivantes :

1. À partir de quel âge peut-on conduire une trottinette électrique sans permis?

2. Cette année, quel jour d’avril sera consacré à la Course aux œufs du TCS?

3. Quel est le numéro d’urgence des pompiers?

Nom et prénom : No de sociétaire : Rue / No : NPA / Ville : E-mail ou tél. :

Renvoyez le coupon-réponse à TCS Section Valais, Avenue de la Gare 20, 1950 Sion ou répondez par e-mail à concours@tcsvalais.ch Dernier délai: 20 mars 2023

Modalités : Un tirage au sort aura lieu uniquement parmi les bonnes réponses. Les gagnants seront avertis personnellement. Les collaborateurs du TCS ainsi que leur famille ne sont pas autorisés à participer. Les prix ne peuvent pas être remplacés ou échangés en espèces.

© TCS Vaud

© O.Maire