Urbanne Nantes #16

urbanne MODE & STYLE • NANTES

LA FOLIE VINTAGE BEAUTÉ :

LES ESSENTIELS DE L’ÉTÉ

DÉCOUVERTE ENTRE PINS ET OCÉAN : SAINT-BREVIN

ON ADORE

LE VOYAGE À NANTES

LES CHORISTES

LE SPECTACLE DÉBARQUE À NANTES

#16

Urbanne

SOMMAIRE

Ça y est. Le marathon électoral est terminé. La canicule s’est abattue sur la France (au moment où nous écrivons ces lignes, mais vu l’ambiance, ça peut changer). Bref, nous sommes arrivés au moment de l’année que l’on est censé préférer. Celui où l’on est belle en maillot, où l’on a préparé sa peau à la morsure du soleil et où l’on fait joyeusement une croix sur toute idée de diététique au moment de l’apéro. Justement, ce moment de l’apéro semble être tout à fait propice à la création. C’est étonnant, mais dans ce numéro, vous trouverez deux exemples d’entreprises qui ne seraient pas nées sans ce moment de détente : Toast’Ap, médaille d’or au concours Lépine, et Nantes la Jolie, le nouveau personnage qui nous raconte la ville de manière un peu décalée. Cette légèreté dont on rêve et dont on a franchement besoin, nous avons essayé de la distiller dans notre édito de mode et dans une sélection de maillots qui donnent envie, au choix, de lézarder ou de plonger. Plonger dans la piscine de cette jolie maison que nous avons visitée pour vous dans une oasis de verdure à l’ouest de Nantes, ou plonger dans l’eau de Saint-Brevin, une station balnéaire pleine de charme que nous vous proposons de (re)découvrir. Bref, entre la sélection hyper pointue des produits de beauté de l’été, des accessoires indispensables et tellement mignons, vous voilà parées pour la période estivale.

Bel été, On vous embrasse, L’équipe Urbanne.

Sommaire

6 8 40 49 64 72 74 80 88 104 113

En couverture Robe Vanessa Seward, sac Vanessa Bruno chez Soon (11 rue Franklin, Nantes) Lunettes chez Le Comptoir des Binocles (1 route de Clisson, Nantes)

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La folie vintage

Une mode légère et bohème

Beauté : les essentiels de l’été

Saint-Brevin, la vie entre pins et océan

Les Choristes, le spectacle, Christophe Barratier dit tout !

L’agenda du Kiosque Nantais

Le Voyage à Nantes, programme chargé !

Visite privée : partie de campagne en pleine ville Déco : bientôt chez moi !

Évasion : Bali la magnifique

Ça vient d’ouvrir ! / Ça vient de changer !

Urbanne Mode & Style - Magazine gratuit. N°16 - Dépôt légal en cours Un magazine des éditions MGI (SAS) 176 route de Vannes, 44700 Orvault Crédit photo : Pascal Kyriazis, D.R. Stylisme : Maïté Rivière Impression : Union Européenne Tirage : 20 000 exemplaires Régie publicitaire : Prana’Com - spotin@pranacom.fr Chef de publicité : Gaëtane Bonnet - gaetane@urbanne.fr Rédaction : Pierre-Baptiste Vanzini - Karen Jouault - Yves Pouchard Illustrations de Marina Le Ray Directeur de publication : Stéphane Potin - 06 16 28 33 67 Création : Achromac El Kouri - 06 75 20 66 91 La reproduction des textes et photos est interdite.

redaction@urbanne.fr retrouvez Urbanne sur Facebook www.urbanne.fr

Décryptage

TENDANCES

DÉCRYPTAGE

LE VINTAGE en question(s) « Le Formica, c’est formidable », disait mon grand-père. Mais surtout, c’est à la mode. Le vintage est aujourd’hui partout. Une patine unique, un design original, des couleurs joyeuses... Il a fait un retour fracassant, jusque dans nos garde-robes. Nous avons profité du salon Naoned Market (très bien), organisé mi-mai au Parc des Expositions de la Beaujoire, pour rencontrer créateurs de néo-vintage et revendeurs de pièces d’époque. Ils ont partagé avec nous leur vision de cette tendance qui emporte tout sur son passage.

« Une pièce unique que la voisine n’aura pas » « Pour moi, la femme des années 50 est toujours apprêtée, bien habillée, hyper féminine. C’est une femme sublimée. C’est ce qu’on cherche à retrouver en se tournant vers les tenues de cette époque. Moi, j’ai créé un concept de chemises et de cols que l’on peut combiner. C’est quelque chose qui existait il y a cinquante ans, mais ça, je l’ai su après, c’est ma grand-mère qui me l’a dit. L’idée, c’est de personnaliser son chemisier, c’est pour ça que je produis des séries limitées 100% made in France. C’est dans l’esprit vintage : une pièce unique que la voisine n’aura pas, à une époque où tout le monde s’habille chez Zara ou H&M. On a de plus en plus envie d’être unique et de trouver « la » pièce qui va nous différencier. » Marine Le Quentrec Créatrice de Gang de Filles (Paris)

La définition de « vintage » par Wikipedia Depuis les années 1980, « vintage » est emprunté par le français avec le sens de « rétro », et désigne dans la mode un vêtement ou un accessoire ancien, datant de l’époque où il a été créé. Aujourd’hui, par extension, il tend à qualifier tout objet original et qui ne soit pas une imitation (disque vinyle, automobile, appareil, meuble, etc.). Cependant, l’usage tend également de plus en plus à qualifier de « vintage », ou « néo-rétro », des objets modernes conçus pour évoquer ou ressembler à des objets d’époque. Ce phénomène étend ainsi la signification du mot « vintage », à mesure que s’affirme la vague du vintage, ou vague du néo-rétro.

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« Un sac en croco, c’est 200 euros » « Ce sont les Asiatiques qui ont vraiment mis le vintage au goût du jour. On les a vu arriver au marché aux puces de Clignancourt, récupérer les grosses lunettes des années 50 ou 60 et les porter sans les verres. C’est à ce moment-là que les sacs anciens ou même les ombrelles ont trouvé un nouveau marché. Aujourd’hui, un sac Longchamp qui a quarante ans se vend 120 à 150 euros. Un sac en croco, c’est 200 euros. C’est normal, il n’y en a pas deux identiques. Les acheteurs veulent se démarquer des autres avec ces pièces uniques. Nous nous fournissons dans les salles de vente ou auprès de personnes âgées qui se séparent de leur vieille garde-robe contre un peu d’argent ».

Olivier Vendeur vintage depuis 5 ans (Seine-Saint-Denis)

« La mode passe, le style est éternel » « C’est une époque qui parle à nos inconscients. On marche sur l’émotion : il y a un côté régressif, une référence à une période faste. Les années 50 américaines sont une période riche, par opposition à des années noires et grises. C’est le début des Trente Glorieuses. Dans les années 50 ou 60, il y avait une certaine élégance, des couleurs et des coupes qu’on aime retrouver aujourd’hui dans les vêtements. On est hors du temps, ce n’est pas juste une mode. « Fashion fade, style is eternal » (« la mode passe, le style est éternel »). C’est pour cela que ça nous arrive de travailler sur des patrons d’époque, tout en utilisant des tissus qui nous parlent. C’est très intéressant. » Vincent Drouaud et Patricia Roussel Créateurs des vêtements Kokkino (La Roche-sur-Yon)

« Un produit qui traverse le temps et qui permet de se différencier » « Les années 50 ont un côté complètement fun. C’est un retour à la vie, et il y a un côté esthétique qui moi me plaît. C’est pour ça que je me suis mise à chiner et à acheter des choses qui ne se trouvent pas dans le commerce. Ce sont également des produits qui durent dans le temps, parce qu’ils sont bien faits, dans des matériaux de qualité. En fait, le vintage, c’est à la fois récupérer la robe de ma grand-mère et porter un objet qui a une histoire et qui est unique. C’est un produit qui traverse le temps et qui permet de se différencier. Aujourd’hui, on n’est plus dans « je consomme, je jette ».

On veut des produits de qualité. » Lucie Herrmann Couturière et styliste, créatrice de Oh Ma Biche (Nantes) urbanne

Mode

ÉTÉ

Robe et chemisier chez Les Demoiselles (15 rue Maréchal Foch, Pornic)

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Mannequin : Morganne Make up artist : Audrey Robion (www.aya-ateliers-beaute.com) Shooting réalisé au parc du Grand Blottereau à Nantes.

MODE

UN ÉTÉ Léger et bohème

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ÉTÉ

Robe, bracelet chez Helen’s (11 rue Martin Luther King, La Chapelle-sur-Erdre)

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ÉTÉ

Robe, sautoir, compensées, bracelet et panier chez 5th Avenue (12 rue Aristide Briand et CC Leclerc Océane, Rezé)

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ÉTÉ

Tunique, pantalon et mules chez HIGH (3 rue Fanny Pecot, Nantes)

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Prenez rendez-vous

au 06 76 98 62 96

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Comment changer de lunettes sur Nantes et sa région avec une opticienne à domicile ?

Mode

ÉTÉ

Jupe, tee-shirt, tennis et montre chez I.Code (10 rue Rubens, Nantes)

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Robe Vanessa Seward, mules Robert Clergerie et sac Vanessa Bruno chez Soon (11 rue Franklin, Nantes) Lunettes chez Le Comptoir des Binocles (1 route de Clisson, Nantes)

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ÉTÉ

Robe chez Vanina (17 rue Crébillon, Nantes) Boots Sartore chez Clarisse (22 rue Crébillon, Nantes)

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SEBGEO SARL - DESSFM SARL : Entreprises indépendantes membres du réseau DESSANGE

NANTES 28, rue du Calvaire - 02 40 48 18 61 9, rue de la Paix - 02 40 47 74 35

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dessange.com

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ÉTÉ

Sac Issi Bâ, 100 % fait main à Paris. Issi Bâ utilise des matières premières issues des destockeurs de maisons de luxe, chinées en petites quantités. La marque s’inscrit aussi dans une démarche locale et solidaire en collaborant avec un atelier d’insertion de femmes, en Seine-Saint-Denis.

Chez La Maison de Prune (8 place de la Bourse, Nantes)

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Chemisier chez HIGH (3 rue Fanny Pecot, Nantes) Bralette et short en jean Lunettes chez Le Comptoir des Binocles (1 route de Clisson, Nantes)

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ACCESSOIRES

Sandales Repetto chez Clarisse (22 rue Crébillon, Nantes) Sac cuir Inaden (marque africaine éthique et responsable) chez La Maison de Prune (8 place de la Bourse, Nantes)

Pour en savoir plus sur l’aventure Inaden : inadendesign.com 24

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ACCESSOIRES

« IL Y A QUOI DANS TON SAC DE BEACH, MA BICHE ? »

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Sac à main rond en osier Vanessa Bruno et mules compensées Stuart Weitzman chez Soon (11 rue Franklin, Nantes) Chapeau multicolore et sac cabas brodé chez Pampilles à la Folie (4 rue Franklin, Nantes) Chapeau bleu marine chez Les Caprices de Jeannette (1 rue des Halles, Nantes) Création artisanale scoubidou et bambou tressé chez Mira (1 bis rue Voltaire, Nantes) Serviette de plage ronde et bracelets manchettes de la créatrice nantaise Claire Colin chez Coquerico (1 rue Grétry, Nantes) Crème « magique » Pretty Peaushun et baumes à lèvres vegan Hurraw! chez Les Trésors Partagés (10 rue des Trois Croissants, Nantes) Peigne bois Natus aux huiles essentielles chez La Maison de Prune (8 place de la Bourse, Nantes) Robe Diane Von Furstenberg et homard en crochet chez Batt&Blou (20 rue Jean Jaurès et passage Pommeraye, Nantes) Ventilateur « cône de glace », gourde « pastèque » avec paille, bracelets de cheville ou bras et pochette plastifiée chez Le Petit Souk (14 rue de la Fosse, Nantes) Lunettes solaires oranges « Route des Salins » Jacques Durand Lunettes solaires bleues « Navy » Thierry Lasry chez À Vue d’OEil (1 rue de La Fosse, Nantes) Instax (mini appareil photo instantané)

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ACCESSOIRES

UN WEEK-END SANS LES ENFANTS !

Pendant que Tom et Lola sont en vacances chez mamie Églantine, on en profite pour s’échapper en amoureux !

Sac « Bulldog » (fabrication artisanale) chez Gilles & Julie (14 rue du Moulin, Nantes) • Ensemble de lingerie fine chez Femmes Secrètes (1 rue Franklin, Nantes) • Tee-shirt « Nantes Plage » chez Pampilles à la Folie (4 rue Franklin, Nantes) • Chino blanc Happy chez La Maison de Prune (8 place de la Bourse, Nantes) • Combishort chez I.Code (10 rue Rubens, Nantes) • Peep toes paillettes et produits de beauté vegan (brosses à dents en bois, lingettes démaquillantes en tissu, parfum solide, lipstick rouge et savon magique) chez Les Trésors Partagés (10 rue des Trois Croissants, Nantes) • Tennis chez Tommy Hilfiger (6 rue Rubens, Nantes) 28

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Mode

ÉTÉ

MODE

LE MAILLOT À fleur(s) de peau

Merci au Château des Tourelles Pornichet Baie de La Baule d’avoir accepté de nous accueillir pour notre shooting.

Maillot deux pièces chez Patricia M’ (3 rue Louis Gaudin, Sainte-Luce-sur-Loire)

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Maillot une pièce chez Jardin de Femme (317 avenue du MarÊchal de Lattre de Tassigny, La Baule)

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ÉTÉ

Maillot deux pièces chez Jardin de Femme (317 avenue du Maréchal de Lattre de Tassigny, La Baule)

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Maillot, sac et bijoux chez Trinity concept store (1 rue GĂŠnĂŠral de Gaulle, Sarzeau)

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Mode

ACCESSOIRES

COOL ATTITUDE

Sac en cuir naturel et tee-shirt « message personnel » chez Brown (7 rue de Guérande, Nantes) • Short chez Tommy Hilfiger (6 rue Rubens, Nantes) • Casque cuir camel Egide (spécialement traité anti pluie et UV) Sneakers Paul Smith chez Jefferson & Co (10 rue Boileau, Nantes)

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ACCESSOIRES

SO BRITISH

Veste à carreaux en lin, chemise en lin rose chez Onze (11rue de Budapest, Nantes) • Sacoche Jack Russell, portefeuille en cuir Reptile House et ceinture chez Jefferson & Co (10 rue Boileau, Nantes) • Lunettes J.F Rey chez À Vue d’Œil (1 rue de la Fosse, Nantes)

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DES CANAPÉS À PRIX SPÉCIAUX DISPONIBLES SANS DÉLAIS *

FABRIQUÉ à BRIORD

*Selon les disponibilités en magasin.

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MULTY C. BRISSON / CANAPÉ-LIT 1495€

2 rue des deux Ponts, Nantes – 02 40 20 45 58 – nantes@cinna.fr Route de Thouaré – Ste Luce sur Loire – 02 40 97 51 98 – ste-luce@cinna.fr

LES SALONS DESSANGE DE NANTES, DES ÉCRINS DÉDIÉS À LA BEAUTÉ ET AU BIEN-ÊTRE SYNONYMES DE FÉMINITÉ ET DE GLAMOUR, LES SALONS DESSANGE SONT MONDIALEMENT CONNUS POUR L’EXCELLENCE DE LEUR SAVOIR-FAIRE EN COIFFURE ET COLORATION. L’EXPÉRIENCE DESSANGE, C’EST AUSSI DES RITUELS DE BEAUTÉ GLOBALE À DÉCOUVRIR DÈS À PRÉSENT DANS LES SALONS DE NANTES. PLONGEZ DANS CET UNIVERS D’EXCELLENCE ET DÉCOUVREZ LES PRODUITS ET SERVICES DESSANGE QUI VOUS SUBLIMERONT !

POUR RAYONNER TOUT L’ÉTÉ !

Pendant l’été, les cheveux et plus spécifiquement les cheveux colorés et balayés, ont besoin d’une attention particulière. Les soins capillaires Symbio Sun de Phytodess, au délicieux parfum coco-citron, sont des produits dédiés à la beauté des cheveux exposés (soleil, piscine, mer). Des produits glamours, protecteurs et sublimateurs pour rayonner en beauté tout l’été.

POUR UNE BONNE MINE ASSURÉE !

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La ligne de maquillage solaire STAR’SOLEIL saura vous séduire avec ses produits craquants aux couleurs ensoleillées pour une bonne mine et une sensualité assurée tout au long de l’année. Ces produits viendront sublimer naturellement votre beauté avec un teint doré et hâlé, aux notes ensoleillées. À découvrir sans modération pour un résultat bonne mine !

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Longueur, volume, frange, couleur, boucles, etc…toutes les transformations sont possibles avec les Extensions en Cheveux Naturels DESSANGE. Adoptées par les mannequins et les actrices, les extensions sont devenues l’un des must de DESSANGE. La technique et les gestes de pose à froid par ultra-sons, permettent de rendre invisibles les points d’attache.

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Beauté

TEST

BEAUTÉ

UNE CREME SOLAIRE POUR L’ETE Oui, mais laquelle ?

Avec l’été, la crème solaire redevient in-dis-pen-sa-ble !

On vous aide à bien la choisir.

Le soleil revient, c’est le moment de protéger notre peau.

Malgré de nombreuses campagnes de sensibilisation, une récente enquête menée par les Laboratoires de Biarritz a montré qu’il existe toujours un fossé entre le message et sa mise en application. Si 65 % des personnes interrogées se sentent bien informées, 2 Français sur 3 ne mettent toujours pas systématiquement de la crème lorsqu’ils s’exposent au soleil. Alors, on ne lésine pas sur les moyens et on vous (re) donne quelques infos.

Un bon produit solaire doit être choisi en fonction de sa peau.

Si elle est claire ou chez les enfants, l’indice doit être élevé.

Il convient également de prendre en compte son utilisation. « Vous faut-il une crème pour la plage, la ville, la montagne ?

Allez-vous juste vous balader ou faire deux heures de bateau ?

Selon l’utilisation, on ne choisit pas non plus le même indice », explique Anne, pharmacienne nantaise. Pour une protection solaire réellement efficace, il est conseillé d’opter pour un indice minimal de 30. Rassurez-vous, un indice de protection élevé n’empêche pas le bronzage. Au contraire !

Même si vous êtes protégé avec un indice élevé, la synthèse de mélanine (pigment brun naturel de la peau responsable du bronzage) est activée dès l’exposition aux UVB. Et comme bronzer progressivement permet d’obtenir un bronzage plus harmonieux qui dure plus longtemps, qui aura un bronzage naturel jusqu’en novembre ?

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Crème, huile ou spray ?

Si vous allez profiter de la mer, pensez aussi à choisir une crème résistante à l’eau. Mais cela ne doit pas vous empêcher de vous badigeonner de produit régulièrement.

Car on ne le dira jamais assez : « Même si les textures sont censées résister à l’eau, il faut remettre de la crème solaire après toute baignade et/ou activité sportive, » rappelle Anne.

Quant à savoir s’il faut préférer une crème, une huile ou un spray, Céline Couteau, maître de conférences des universités à la faculté pharmacie de Nantes, préconise d’opter pour une crème, pas trop liquide. « Un spray permet d’étaler le produit trop facilement et donc souvent, il n’y en a pas assez pour protéger notre peau. Je rappelle qu’un indice 50, cela veut dire 2mg de produit solaire par cm2, c’est énorme ! » Et pour être sûr d’avoir étalé de la crème partout, il en existe des colorées !

Dernière idée reçue à combattre : les coups de soleil ne rendent pas la peau moins vulnérable au soleil. Au contraire, plus le nombre de coups de soleil reçus est important, plus le capital soleil est diminué, moins la peau se défend correctement. Alors on se tartine comme il faut, s’il vous plaît !

Retrouvez l’enquête sur www.laboratoires-biarritz.fr

un espace aquasens avec bassin détente, hammam, laconium, parcours sensoriel, tisanerie et 8 cabines de soins dont 3 duo. ouvert tous les jours

Spa du Béryl . 55 boulevard de l’Océan 44250 St Brevin l’Océan - 02 28 53 20 04 www.hotel-stbrevinlocean.com

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Beauté

SÉLÉCTION

NOS CHOUCHOUS DE L’ÉTÉ

Spray Solaire Invisible de La Biosthétique chez Vincent Delorme (78 avenue du Président Roosevelt, Saint-Brevinl’Océan) • Déodorant Sauge Menthe longue durée sans sels d’aluminium du Dr. Hauschka - Sérum Visage Bio à l’huile végétale de noisette de Josiane Laure - Crème Douche Rose, à base d’huile essentielle de rose, d’huile de tournesol et d’avocat du Dr. Hauschka chez So’Zen (2 rue Dr Auguste Guilmin, Pornic) • Vernis Jasmine et Maya de Peggy Sage chez Marie Beauté (toutes les adresses sur mariebeauté.fr) • Huile Sacrée pailletée de Thalgo chez Spa du Béryl (55 avenue de l’Océan, Saint-Brevin-l’Océan) • Crème nourrissante pour cheveux Essence Absolue de Shu Uemura chez Julien Delisle (11 rue Franklin, Nantes) • Gommage Lagoon Island au sable noir de Bora Bora et aux coques de noix de coco chez Marie Beauté (toutes les adresses sur mariebeauté.fr) • Livre « Cendrillon Balance Tout », de la Pornicaise Sandrine O., une lecture ludique et girly parfaite pour l’été. Une vision humoristique de nos vies quotidiennes.

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Beauté

SÉLECTION

BEAUTÉ

VOTRE MAQUILLAGE retrouve une deuxième vie

Vos placards de salle de bains regorgent de maquillage que vous n’utilisez plus ? On ne jette rien ! Au contraire : on recycle, on détourne, et on vous explique comment.

On a toutes des trousses à maquillage remplies de fards, de poudres et de rouges à lèvres en tous genres que l’on a achetés sur un coup de cœur. Bien sûr, on ne les utilise pas car ils ne conviennent pas à notre carnation ou parce qu’on ne sait pas les appliquer. Ne jetez rien, vous pourrez vous en servir autrement.

Commençons par le fond de teint. Si vous le trouvez trop épais ou trop foncé, vous pouvez en ajouter quelques gouttes dans votre crème de jour pour en faire une crème teintée sur-mesure. « Elle aura alors plusieurs actions : une phase traitante, un éclat du teint et elle sera aussi légèrement couvrante », explique Amandine du beauty bar nantais On Se Make Up. De la même façon, des fards à paupières bruns ou vieux rose peuvent devenir des blushes, et inversement. Autre moyen de se fabriquer un blush, le rouge à lèvres. « La technique est plus compliquée. Il faut commencer par matifier votre teint avec une poudre libre pour prolonger la tenue du rouge à lèvres-blush. Ensuite, tapotez votre rouge à lèvres petit à petit

sur l’os des pommettes pour les visages fins ou sur les joues pour les visages plus ronds », explique Amandine.

Pour donner de l’éclat à votre regard, vous pouvez utiliser un embellisseur de lèvres en fard à paupières : il suffit de l’appliquer au coin interne de l’œil, mais aussi au niveau de l’arcade sourcilière. « Un fard à paupières beige peut aussi se transformer en anti-cernes. Et les couleurs plus flashy ou démodées, comme un bleu marine ou un vert, peuvent être concassées et ajouter à un vernis à ongles transparent », complète Amandine. Elle ajoute : « Des astuces comme celleci, il en existe des centaines. » Et votre maquilleuse saura vous aiguiller.

On Se Make Up 3 rue Kléber - Nantes 07 71 75 38 16 Facebook : On Se Make Up

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Beauté

PORTRAIT

BEAUTÉ

MARIE BEAUTÉ la beauté nantaise au Canada L’institut de beauté va ouvrir son premier salon au Québec en août.

L’institut Marie Beauté a douze ans. Douze ans, c’est l’âge des envies d’émancipation… C’est peut-être pour cela que Marie Trévisan, à l’origine de Marie Beauté, part développer son concept à Montréal. « Nous voulons apporter

une French Touch à l’efficacité canadienne »

« Il y a beaucoup de Françaises, là-bas, qui ne retrouvent pas forcément leurs produits de beauté habituels et les soins à la française. C’est-à-dire des soins réalisés à la main dans une ambiance cocooning, des manipulations tout en douceur… Làbas, ils utilisent beaucoup d’appareils et cherchent d’abord l’efficacité. Nous voulons apporter une French Touch à cette efficacité », explique-t-elle. L’institut ouvrira ses portes en août sur le Plateau Mont-Royal, en plein cœur du quartier français, et sera constitué d’une équipe mi-française, miquébécoise. Outre la parfumerie et l’institut, Marie Beauté version canadienne, ce sera également un salon de coiffure « pour proposer une offre beauté complète ».

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Une aventure pro et familiale Il a fallu plus de deux ans avant de commencer ce nouveau chapitre de l’histoire de Marie Beauté. « Nous connaissons très bien le Québec, nous nous y rendons régulièrement.

Cela a pu fonctionner parce que nous avons été soutenus ici et là-bas. Ce parcours compliqué a permis de tester notre motivation ! J’ai même pris des cours d’anglais pour être au point niveau professionnel », sourit Marie.

Cette aventure québécoise, c’est aussi une aventure familiale puisque enfants et mari partent aussi s’installer à Montréal. « Mon époux quitte son emploi pour rejoindre Marie Beauté.

Il va gérer le côté administratif de la société. Et nos enfants sont ravis ! ».

Que les habituées de l’institut se rassurent : Marie reviendra régulièrement en pays nantais partager avec elles ses anecdotes québécoises ! « Je ne serai pas très loin : Montréal-Nantes, ce ne sont que six heures d’avion ! », s’exclame Marie. Et six heures de décalage horaire…

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Sélection

ENFANTS

ENFANTS

IL PART EN COLO ...ou pas « Les jolies colonies de vacances. Merci maman, merci papaaaaaaaa. » On connaît tous la chanson de Pierre Perret. Mais pour nos p’tits bouts - et pour nous aussi parfois - les colos peuvent être une vraie angoisse…

Calum, 7 ans, est euphorique à l’idée de partir avec son copain Gabin. Karine, la maman de Calum, raconte. « L’année dernière déjà, il parlait de partir en camp.

Comme l’idée ne m’avait pas effleuré l’esprit, je ne l’avais pas inscrit. Cette année, j’en ai parlé avec la maman de son copain et on a réservé la même semaine pour qu’ils soient ensemble. » Les deux amis se regardent et s’exclament : « Ça va être trop bien ! ».

Pour Enola, 7 ans, ce n’est pas si simple. Aurélie, sa maman, explique : « Je lui en ai parlé, je lui ai dit qu’elle ne serait pas toute seule, que ses copains et copines vont aussi partir. Elle m’a répondu : « Pas cette année, maman, on verra quand j’aurai 8 ans ». Je retenterai l’an prochain… ».

Et puis, il y a ceux pour qui c’est un non catégorique !

Comme pour Marie, dont la petite fille Chloé, 9 ans, refuse de partir. « Elle a fait une classe de neige avec l’école et ça a été un cauchemar ! Elle était en larmes dès le départ et a pleuré tous les soirs. Même durant la journée, elle pouvait avoir des coups de blues. On lui a écrit pour la rassurer, mais ça n’a pas vraiment marché. Comme toutes ses copines partent cet été, elle nous a dit direct qu’elle ne voulait « vraiment, vraiment pas partir ». Alors on a lâché l’affaire ! ». Là encore, il faudra retenter l’année prochaine…

Quelques conseils pour un départ réussi • Proposez deux thèmes de séjour à votre enfant. Il pourra ainsi se projeter dans ce qu’il aime.

• Anticipez le séjour en lui suggérant d’aller dormir chez un copain. OK, cette idée peut être à double tranchant, car si la nuit se passe mal, il ne voudra peut-être plus partir.

• Expliquez comment le séjour va se passer, sans en parler tous les jours. N’hésitez pas non plus à rencontrer les éducateurs avec votre enfant.

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• Préparez la valise avec votre p’tit bout. Il se sentira impliqué et pourra choisir comme un grand ses vêtements préférés. Surtout n’oubliez pas le doudou ou tout autre objet qui le rassure.

• Le jour J, ne vous attardez pas. Un câlin, une phrase rassurante et c’est parti. De longs au revoir peuvent faire monter le stress chez votre enfant… et chez vous !

UN CADEAU DE NAISSANCE, ça se pense ! Ça y est, le bébé de votre meilleure amie est né ! Impossible d’aller lui rendre visite sans un cadeau digne de ce nom, et si possible original.

Des chaussons locaux et écolos Pour l’été, les chaussons Tom et Lumi se sont offert un design de super-héros, en partenariat avec la boutique Picktoshop. À part ça, rien ne change : ils sont toujours fabriqués localement, en cuir écolo et souple, et ils arborent toujours un lacet ajustable.

Picktoshop 19 rue du Château, Nantes - 02 40 46 44 52

Une gigoteuse estivale Garçon ou fille ? Vous ne savez pas ?

Alors optez pour une gigoteuse unisexe et réversible. Avec des surfeurs et des dauphins, elle sera parfaite pour cet été !

Arsène et les pipelettes 20 rue Contrescarpe, Nantes - 02 40 74 91 23

La naissance d’un ours en peluche Tout comme un bébé naît, son futur doudou préféré peut en faire autant. Une fourrure à rembourrer, un petit cœur en déco, un certificat de naissance et voilà le cadeau idéal !

Tissus Touch 12 allée des Cinq Continents, Vertou - 02 28 02 43 57

Une attache-tétine personnalisée On choisit le tissu - parmi un choix de dix-sept, de la broderie au Liberty -, le type de gravure et la couleur du lien, on indique les initiales du bébé et le tour est joué ! Rahma Kehrling, jeune créatrice nantaise, propose également sur son site des produits classiques dans des tons pastel.

Pomme Caramel www.pommecaramel.fr urbanne

Ils font bouger la ville

CRÉATION

PORTRAIT

NANTES LA JOLIE Un personnage à la hauteur de la ville

Elle est rousse et elle a des chaussures rouges. Elle s’appelle Nantes la Jolie. C’est la nouvelle incarnation d’une ville qui ne cesse d’avoir envie de raconter des histoires. Nantes titille l’imagination des Nantais, et c’est tant mieux. Ce joli personnage est né, comme beaucoup de projets dans la région, autour d’un (un seul, évidemment) verre de muscadet. Trois amis qui discutent autour d’une table un soir d’été, et qui écrivent une carte postale. Les jeux de mots sur la ville fusent. Et le nom de Nantes la Jolie sort. Après celui de Nantes à l’eau. Le pire a été évité.

Nantes réduite en miniature devient un jeu d’enfant « Nous en avons reparlé à l’approche de l’été. L’idée nous trottait dans la tête à tous les trois », sourit Vanessa Lambert. La voix des nuits sur France Bleu décide de se lancer dans l’aventure avec ses comparses, eux aussi journalistes, Raphaël Godet et Jean-Michel Nagat.

Restait juste à trouver la personne capable de donner corps à cette jeune femme. « Nous avons regardé des centaines de portfolios, des sites, des books...

C’est là qu’on s’est rendu compte de l’incroyable potentiel de créativité à Nantes, se souvient Jean-Michel Nagat. Et puis nous sommes tombés sur le travail de Marina Le Ray. Elle nous a proposé un premier dessin et c’était le bon. Nous avions rencontré Nantes la Jolie ».

Marina Le Ray - qui signe les illustrations d’Urbanne depuis le premier jour - a placé cette grande fille aux taches de rousseur dans des lieux de la ville qui ne sont pas forcément les plus emblématiques.

Avec elle, Nantes réduite en miniature devient un jeu d’enfant, comme quand elle s’amuse avec les embouteillages du pont de Cheviré, qu’elle trempe ses pieds quai de la Fosse ou qu’elle fait un somme sur la pelouse du Jardin des plantes. « Elle fait aussi du paddle sur une péniche. Nantes la Jolie fait des bêtises, s’amuse Jean-Michel Nagat.

C’est une jeune femme insouciante qui aime sa ville, qui s’y amuse et qui y fait ce qu’elle veut ». Quatre cartes postales - vendues entre 1,60 et 2 euros dans une quinzaine de boutiques - ont été imprimées localement au sein de la Scop Parenthèses. Le tote bag est également sérigraphié à Nantes.

Des nouveautés doivent voir le jour chaque trimestre, pour raconter la ville autrement avec fraîcheur et impertinence. Chouette, on a une nouvelle copine !

nanteslajolie.fr Facebook : Nantes la Jolie Twitter : @nanteslajolie 48

Dossier Quartier

BONNES ADRESSES

La Curieuse Cordonnerie

Beauté Naturel

Le Corner’s Adeline Bijouterie

Square Habitat Villa Grenadine

QUARTIER

SAINT-BREVIN La vie entre pins et océan Spa du Béryl

Vincent Delorme

urbanne

St Brevin

Dossier Quartier

BONNES ADRESSES

Le Corner’s

Beauté Naturel

2 rue Albert Chassagne - 02 28 53 34 13 Du mardi au samedi : 8h-2h. Dimanche : 7h-2h. Fermé le lundi Facebook : Corner’s

258 avenue de Mindin - 02 40 39 42 97 Du mardi au vendredi : 9h-19h. Samedi : 9h-18h www.beaute-naturel-44.fr (RDV en ligne)

La Curieuse Cordonnerie

Adeline Bijouterie

260 avenue de Mindin - 02 40 27 44 62 Du mardi au vendredi : 9h-12h / 14h30-19h.

Samedi : 9h-12h / 14h30-17h Facebook : La Curieuse Cordonnerie

10 rue du Général de Gaulle - 02 40 27 40 51 Du mardi au samedi : 9h30-12h30 / 14h30-19h. Dimanche : 10h-13h Facebook : Adeline Bijouterie

C’est un véritable pub d’inspiration celte et irlandaise que Déborah et Éric ont créé au cœur de Saint-Brevin-les-Pins. Au sein des 130 m² de l’établissement ou sur l’une des tables de l’une des plus belles terrasses de la ville, on peut déguster, avec modération, 6 types de bières pressions, 40 sortes de bières bouteilles, une variété de 20 whiskies et plus de 10 rhums différents. Un écran géant et une très bonne sono diffusent tous les évènements sportifs. Une attention toute particulière est portée sur la cuisine : midi et soir, on propose ici de belles pièces de viande, des salades, carpaccios, tartares et même un welsh, réalisé à l’irlandaise, avec de la Murphy’s ! Autre bonus : le wifi est gratuit.

En poussant la porte, vous allez changer de point de vue sur la cordonnerie ! Élise dépoussière le métier en proposant ses créations de sacs à main ou de petite maroquinerie dans un univers coloré, qui marie les objets anciens ou non et ses coups de cœur. La cordonnière a débuté en concevant des souliers à Cholet, avant de se former en cordonnerie. Elle aime les défis et réparer ce qui est cassé. « Il ne faut pas hésiter à venir me poser la question en cas de doute, des fois, on fait des miracles », sourit-elle. Fermetures éclair, semelles, talons et clefs n’ont qu’à bien se tenir !

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La beauté pour toutes et tous. C’est le credo de Céline, qui a ouvert il y a 5 ans un institut « ouvert à tous et à tout le monde », qui dispense épilation, soins du corps et du visage, beauté des ongles et maquillage.

Ici, on ne trouve que des produits naturels et bio, comme la gamme Estime & Sens, née à Sautron, près de Nantes. Les parfums Noham sont eux fabriqués dans le golfe du Morbihan avec de l’alcool bio.

Même le maquillage prend un côté « nature », avec la gamme Couleur Caramel. Céline est aussi kératothérapeute : elle s’occupe des dysfonctionnements de la peau non pathogènes. Elle s’appuie sur les produits Dr Janka, la marque française qui offre des réponses aux problèmes de peau.

Adeline a su redynamiser LA bijouterie historique de Saint-Brevin, qui existe depuis plus de 30 ans, depuis qu’elle a repris les rênes de la jolie boutique il y a un an. Pour ça, elle mise sur des bijoux presque exclusivement fabriqués en France. Question de qualité. « La France, c’est la garantie de la qualité et de la modernité. Si la qualité n’est pas là, moi, je ne prends pas, assure-t-elle avec le sourire. Sur le long terme, c’est un choix gagnant ». Aux côtés des pièces d’orfèvrerie pour toutes les occasions de la vie, on trouve le concept de bijoux évolutifs Trollbeads qui fait fureur. Ce souci de la qualité se retrouve au niveau des montres : elle ne propose que des marques horlogères comme Lip, Pierre Lannier ou Maserati.

Villa Grenadine

78 avenue du Président Roosevelt - 02 40 27 23 16 Du mardi au samedi : 9h-12h30 / 14h-19h. Samedi : 9h-18h www.vincentdelorme.fr / Facebook : VINCENT DELORME Saint Brévin

18 rue de Pornic - 02 28 53 50 86 Du mardi au samedi : 9h30-12h30 / 15h-19h.

Dimanche : 9h30-12h30. Fermé le lundi Facebook : Villa Grenadine

C’est un vrai plaisir de venir se faire chouchouter dans l’un des plus beaux salons de la côte ! Lumineux et spacieux, on passe un très bon moment dans ce lieu épuré où l’on se sent bien. Vincent Delorme, l’un des coiffeurs les plus talentueux de sa génération, a été appelé pour coiffer les participants de The Voice et de Danse avec les Stars.

Avec son équipe, il se forme en permanence au niveau international pour continuer à évoluer. C’est ici le seul endroit de la côte de Jade où l’on peut bénéficier du concept de Beauté Totale, élaboré par La Biosthétique Paris, qui propose des soins capillaires, pour l’épiderme et des cosmétiques. La nouvelle gamme Botanique Pure Nature, 100% vegan, sans paraben, ni alcool, ni silicone, est à découvrir d’urgence.

Pourquoi pas avec une coupe de champagne à la main lors d’une des nocturnes du mercredi soir cet été ?

Faire rêver les gens et les faire voyager dans leurs intérieurs. C’est le rêve que Christine a concrétisé dans sa jolie boutique il y a un peu plus d’un an. « Dans mon magasin, ce que je veux, c’est qu’il y ait une histoire, un être humain derrière chaque produit », sourit-elle. La plupart des meubles et objets présentés ici sont fabriqués en France, comme les objets des designers Mr & Mrs Clynk, dont la présence a valu à Christine le Prix Créateur Sylvie Adigard à l’occasion de la Nuit de la Déco, qui récompense les boutiques indépendantes mettant en avant la création nationale. On trouve ici du linge de maison, de l’art de la table, des senteurs, du mobilier, des tapis, canapés, de la déco utile ou futile... Surtout, Christine apporte son aide (avec le sourire) pour tous les aménagements d’intérieur.

Spa du Béryl

Square Habitat

55 boulevard de l’Océan - 02 28 53 20 04 Du lundi au jeudi : 10h-20h. Vendredi : 10h-20h30.

Samedi : 9h30-20h30. Dimanche : 9h30-19h30 www.hotel-stbrevinlocean.com/

2 rue du Général de Gaulle - 02 40 39 16 40 Du lundi au samedi : 9h-12h30 / 14h-18h30.

Samedi après-midi sur RDV www.squarehabitat.fr

Un spa ouvert à tous, 365 jours par an ! C’est la promesse (tenue) de ce lieu magnifique, niché au cœur de Saint-Brevin-l’Océan. On peut profiter ici, dans 8 cabines (dont 3 duo), de soins bien-être, modelages détente, gommages, rituels, soins visage... Des soins adaptés pour tous, y compris les hommes et les enfants à partir de 3 ans (en compagnie de leurs parents). Pour chaque soin en semaine on bénéficie de l’entrée (en weekend +20€ /pers.) dans le bassin afin de profiter du bain à remous, du jet du col de cygne... On adore le parcours de douche sensorielle, qui stimule tous les sens, et évidemment le hammam et sa fontaine de glace. Une carte estivale, gratuite, propose une réduction dès le 5ème passage, et la gratuité au 10ème ! Tentant de découvrir ainsi la fish pédicure et ses petits poissons qui redonnent toute leur douceur à nos pieds...

Agent immobilier, c’est avant tout un métier de service. Ça, chez Square Habitat, on l’a bien compris. De cette envie d’être au plus proche des besoins des acheteurs comme des vendeurs est née la Square Box. Ce service innovant propose aussi bien des présentations dynamiques du bien en vidéo sur Internet, que du home staging virtuel avec Rhinov, qui permet aux acheteurs de se projeter virtuellement dans les lieux une fois les travaux de réaménagement réalisés. Il y a même un devis chiffré des travaux à effectuer ! Une garantie revente de 7 ans est proposée, pour être sûr de ne pas perdre un centime. Pour les vendeurs, la filiale immobilier du Crédit Agricole, s’engage à tout faire pour vendre le bien en 90 jours. Des rencontres régulières sont organisées pour suivre l’avancée de la vente, avec l’un des 4 conseillers de cette agence qui couvre toute la côte de Jade.

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St Brevin

Vincent Delorme

Miam

C’EST DE SAISON

MIAM

LA FRAISE On la ramène !

- Saint-Julien-de-Concelles, Pornic, La Baule... Les fraises de qualité ne manquent pas dans la région ! Inutile donc de céder aux appels des fraises aux accents étrangers.

Sachez que l’article 1587 (du code Napoléon, ça ne nous rajeunit pas) - qui dit en substance : « À l’égard du vin, de l’huile, et des autres choses que l’on est dans l’usage de goûter avant d’en faire l’achat, il n’y a point de vente tant que l’acheteur ne les a pas goûtées et agréées » - , ne nous autorise pas à nous servir pépouze dans les rayons. En revanche, on peut tout à fait demander au vendeur s’il nous autorise à tester le produit vanté. Ça se fait.

Il existe six cents variétés de fraises. Nous n’en consommons régulièrement que quelquesunes : Plougastel, Mara des bois ou gariguette.

La saison s’étend de mai à septembre. Le joli fruit rouge possède de réelles qualités antioxydantes : elle regorge de vitamine C. Elle est aussi riche en vitamine A. Ces vitamines se perdent rapidement à la cuisson, qui est d’ailleurs déconseillée : le goût s’en va très vite, il faut alors rajouter beaucoup de sucre, comme dans les confitures.

De toute façon, la fraise s’abîme très rapidement. Il faut la consommer presque tout de suite. Nature, au sucre avec un peu de citron ou une belle chantilly maison.

Les plus gourmands se lanceront dans une charlotte aux fraises : Des biscuits à la cuillère, un sirop, 3/4 de mascarpone et 1/4 de fromage blanc, des fraises coupées en deux entre chaque couche et... une nuit au frais. Pour savourer, il faut savoir attendre.

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Gamme Mazda CX-3 : consommations mixtes (L/100 km) de 4 à 6,4 - Émissions de C02 (g/km) de 105 à 150.

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PLUS D’INFORMATIONS SUR WWW.MAZDA.FR Gamme Mazda SKYACTIV : consommations mixtes (L/100 km) de 3,4 à 6,7 - Émissions de C02 (g/km) de 89 à 156.

Mazda Automobiles France, 34 rue de la Croix de Fer - 78100 Saint Germain-en-Laye, SAS au capital de 304 898 € - RCS Versailles 434 455 960.

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FAN DE GOUT

MIAM

DÉJEUNER SUR L’HERBE

La Chaise Longue (passage Pommeraye, Nantes) Panier de pique-nique isotherme avec verres, assiettes, couverts, nappe et serviettes • Le Bouffay Spagnol (6 rue des Échevins, Nantes) Assortiment de charcuterie espagnole : boudin noir, bellota, serrano, chorizo, filet mignon, etc. • Une Île À Part - Comptoir Corse (1 place Ladmirault, Nantes) Bière corse 1735, muscat du Cap Corse et tartinade de crème de tomate • La Trinitaine (4 place SaintPierre, Nantes) Sardines en chocolat, tartinades de sardine à l’estragon, d’anchois au piment d’Espelette, et de thon blanc au pommeau • Albert & Léontine (13 rue Saint-Pierre, Nantes) Pâtes de fruits très subtilement sucrées, pâtes de légumes au sarrasin • La Crémerie des Carmélites (15 rue de Verdun, Nantes) Saucisson sec artisanal, jus de pomme artisanal • Bio Nant’ (18 rue Racine et 1 rue Saint-Denis, Nantes) Fraises bio 54

MIAM

ILS FONT SALIVER LA VILLE

TOAST’AP L’apéro chaud Attention innovation ! Toast’Ap vient de décrocher une médaille d’or au concours Lépine, le grand concours annuel des inventeurs. La société nantaise, membre des Saveurs DétonNantes, promet une révolution avec sa petite machine nomade, en s’attaquant à un marché qui ne connaît pas la crise : l’apéro. Toasts, burgers, chips, directement cuits sur table et à toute vitesse... On adore !

Il y a des gens qui ont des idées en dormant sous un pommier, d’autres qui les ont en discutant ou en s’énervant. L’idée de Toast’Ap, Régis Berthelot l’a eue en buvant un verre. « On faisait un apéro dînatoire entre amis. Ce soir-là, on s’amusait en préparant chacun des toasts que l’on cuisait au four.

C’était à qui ferait le meilleur. Le lendemain, on s’est dit qu’on s’était bien amusé, mais que les allers-retours vers le four étaient un peu contraignants. C’est comme ça que j’ai eu l’idée d’un four de table ».

L’idée a cheminé... longuement. Au détour d’un changement de vie, deux ans plus tard, Régis Berthelot a décidé de s’atteler sérieusement à la question, et d’élaborer un cahier des charges. « Je voulais un appareil de cuisson convivial, qui fonctionne sans électricité, pour se démarquer des pierrades et autres. Ce devait être un appareil nomade, utilisable sur la terrasse, 56

au camping, sur un bateau et vraiment destiné à l’apéro ». Créatif à défaut d’être ingénieur, il se tourne vers un cabinet nantais pour élaborer les plans et lancer la fabrication. Résultat : un appareil en fonte d’aluminium, recouvert d’un revêtement antiadhésif et de parois en hêtre, qui chauffe grâce à un simple brûleur à alcool. Au bout de 10 ou 15 minutes de préchauffage, le résultat est tout simplement bluffant : la qualité de cuisson est incomparable. « On me dit toujours que c’est une prouesse de cuire les préparations si rapidement avec une simple flamme. La cuisson n’est pas asséchante, contrairement à un four.

Elle se rapproche d’une cuisson à basse température ». Un résultat qui titille l’intérêt de certains chefs étoilés... Parce qu’il ne faut pas se tromper : on ne cuit pas « juste » des toasts avec cet appareil. On peut s’amuser avec des champignons farcis, des courgettes, des aubergines ... Ou réaliser

des chips de fromage comme des tartines style bruschetta, ou même des miniburgers. « Il y a un côté vraiment culinaire qui est très sympa, mais aussi simple à utiliser et à mettre en œuvre. Au moment de l’apéro, on veut s’amuser, pas se prendre la tête ».

L’appareil est breveté au niveau international. Un bel objet conçu dans le plus pur esprit des Saveurs DétonNantes : local et durable. Tous les éléments sont fabriqués entre Vertou, Chantenay, Treillières et Pont-Saint-Martin. Toast’Ap, qui a raflé une médaille d’or au concours Lépine, sera bientôt en vente jusqu’à Paris, au BHV Marais, mais aussi dans certaines belles boutiques culinaires. Pas mal pour une idée née au cours d’un apéro !

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EN CUISINE

RECETTE

LA DAURADE vue par la Nazca Cebicheria

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Voyage garanti, destination l’Amérique du Sud. À la Nazca Cebicheria, rue Fouré à Nantes, le chef Bruno Triballeau et son épouse Ingrid proposent de découvrir des saveurs typiques de la Colombie et du Pérou. Une cuisine précise, rigoureuse et inventive que le chef a découverte et apprise alors qu’il était en charge des cuisines de l’ambassade de France en Colombie.

Avec son épouse d’origine colombienne - qui assure aujourd’hui le service en salle -, ils se sont régalés chaque week-end de cebiche (ou ceviche) et de tiradito, des poissons crus et marinés, et ils nous offrent deux recettes délicieusement estivales pour ce numéro.

Un parti pris très clair a été choisi dans ce restaurant : le maximum de produits, les piments, le maïs, le vin... viennent d’Amérique du Sud. Même le pain de maïs (sans gluten) est fait maison. Chaque plat est réalisé « minute » pour garantir fraîcheur et qualité optimales.

Une cuisine absolument pas figée, qui permet de laisser place à la créativité du chef : il adapte ses plats en fonction de la saison et de ses envies. Un bon prétexte pour venir et revenir.

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EN CUISINE

Cebiche de daurade en eau de tomate

Conseils du Chef « Cette préparation se fait à la minute. C’est très important pour la fraîcheur. Il faut « nourrir » le poisson en sel dès le début, ajouter le jus de citron et terminer par encore un peu de sel. On sert aussitôt pour que ce mélange ne « cuise » pas le poisson. » « Je presse le citron à la main, sans presseagrumes. En pressant trop fort, on écrase l’écorce où se situent les huiles essentielles, dont le goût n’est pas recherché dans ce plat. » « Les lamelles de poisson préparées avec le sel et le citron forment la base de ce plat. Ensuite, on peut ajouter d’autres ingrédients en fonction de la saison et des envies. » « L’eau de tomate est très légère. Elle va apporter une acidité différente et une jolie couleur au plat. »

Progression • Réaliser en avance une eau de tomate. Garder uniquement la chair de 2 kilos de tomates. Réduire en purée. Dans une casserole, ajouter une cuillère de concentré de tomates, 5 blancs d’œufs et mélanger au mixeur plongeant. Saler, poivrer et porter à frémissement. Laisser cuire 45 minutes. Filtrer soigneusement et laisser réduire une quinzaine de minutes, ajouter quelques gouttes de vinaigre de xérès. Garder au réfrigérateur jusqu’au moment de l’emploi.

• Cuire les petits pois à l’anglaise, dans un grand volume d’eau salée. Refroidir immédiatement après cuisson dans de l’eau glacée pour conserver la couleur.

Ingrédients 110g de filet de daurade par personne Fenouil confit au sirop Eau de tomate Huile de marjolaine Fleur de bourrache Petits pois Citron Vert Piment doux jaune péruvien (« aji amarillo ») Sel

• Couper les filets de daurade au dernier moment, en petits carrés d’environ 1cm. Les placer dans un saladier avec le sel, le jus de citron et le piment doux. Mélanger délicatement.

Dressage • Disposer les morceaux de poisson dans une assiette légèrement creuse.

Ajouter l’eau de tomate sans recouvrir le poisson.

• Ajouter quelques fleurs de bourrache, les petits pois et un peu de fenouil confit.

• Servir aussitôt.

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Pour aromatiser une huile, il suffit de prendre une huile « neutre » type pépins de raisin, et de laisser infuser.

Ici, on utilise de la marjolaine.

On chauffe l’huile à environ 40°C, on coupe le feu et on plonge la marjolaine dans la casserole jusqu’à complet refroidissement. On filtre et on conserve en bouteille.

BAR, CUISINE LIBRE & PIEDS DANS L’EAU GRANDE PLAGE DE LA BERNERIE EN RETZ

Les Tontons Nageurs

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EN CUISINE

Tiradito de daurade yuzu

Conseils du Chef « Dans cette recette, le poisson va mariner directement dans l’assiette. Cela va très vite grâce à la faible épaisseur des tranches. » « La framboise, qui n’est pas encore trop sucrée en ce moment, va amener une acidité intéressante à ce plat. » « En principe, dans ce plat, on ajoute du piment. Mais cette fois-ci, j’ai préféré m’abstenir pour jouer davantage avec l’acidité du yuzu. » « Cette recette est représentative de la « cuisine Nikkei ». C’est le mélange entre la cuisine péruvienne et la cuisine japonaise.

Les Japonais émigrés au Pérou ont ramené leur savoir-faire en matière de cuisine du poisson. Les techniques et les produits se sont mélangés. C’est une cuisine extrêmement intéressante et créative. »

Ingrédients 110g de daurade par personne Quelques framboises Jus de yuzu Mouron des oiseaux Graines de courge Fleur de sel

Nazca Cebicheria 31 rue Fouré - Nantes 02 40 35 34 30 Facebook : Nazca Cebicheria

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Progression

Dressage

• Mettre les graines de courge dans une poêle avec un peu d’huile d’olive. Laisser torréfier à feu très doux (environ 60°C) pendant une dizaine de minutes environ.

• Placer les tranches de daurade dans une assiette. Ajouter la fleur de sel. Napper de jus de yuzu.

• Couper les filets de daurade comme un carpaccio, mais pas trop fin.

• Placer ensuite quelques framboises coupées en deux, les feuilles de Mouron des oiseaux. Terminer avec quelques graines de courge torréfiées et servir aussitôt.

233 ROUTE DE VANNES - NANTES ST-HERBLAIN Tél. : 02 51 83 88 44 - nantes@magasins-gautier.fr Lundi : 14h -19h - Du mardi au vendredi 10h/12h30 et 14h/19h - Samedi 10h/19h

Culture

URBANNE

SPECTACLE

CHRISTOPHE BARRATIER RÉINVENTE LES CHORISTES De son film qui a ému la France entière et qui a réalisé près de 9 millions d’entrées au cinéma, Christophe Barratier a tiré un spectacle musical. Loin de copier-coller le film, il prend le temps de développer certains personnages et de raconter la même histoire, en y ajoutant de nouveaux ingrédients et davantage de chants, en créant une émotion nouvelle. Il n’est pas tombé dans le piège de l’adaptation facile, bien au contraire. Il revient sur ce processus de re-création avec Jean-Jacques Lester dans Le Mag Ciné, sur France Bleu Loire Océan.

Jean-Jacques Lester : Ce spectacle, c’est en fait une nouvelle vie pour votre film, Les Choristes ?

Christophe Barratier : Vous avez raison de parler de nouvelle vie.

Il n’y aurait jamais eu de Choristes 2, je ne le voulais pas. Mais poursuivre l’histoire autrement, ça, j’y ai toujours pensé. Quand on m’a proposé de créer le spectacle aux Folies Bergère, je me suis dit que c’était l’occasion de reparler des Choristes, treize ans après, mais de la faire autrement. Je voulais trouver un challenge pour m’amuser. Ce n’est ni une suite ni un début, c’est la même histoire, mais c’est une nouvelle œuvre.

Comment avez-vous adapté cette œuvre ?

Quand je suis revenu aux Choristes, j’avais vraiment le sentiment de faire autre chose tout en racontant la même histoire. C’est ça qui est beau. Ce qui était beau aussi, c’était de trouver des acteurs. Et puis avec Bruno Coulais, on s’est partagé la création de nouvelles chansons. Désormais, tous les acteurs adultes ont aussi une chanson. L’intérêt, c’est de rendre le spectacle plus musical que ne l’était le film. Mais que les gens se rassurent, il y aura quand même « Voit sur ton chemin », parce que si je l’avais enlevé, il y aurait eu une émeute !

Les personnages ont-ils évolué ?

Il y a moins de personnages, donc, j’ai plus de temps. J’ai eu l’occasion avec ce spectacle d’aller plus loin sur certains personnages, dont Mondain. C’est un personnage qui est victime de la justice. J’ai gardé la même histoire, mais Mondain se présente avec une chanson où il dit : « Il paraît que je suis né dans les ordures », et le refrain c’est : « Tout ce qu’ils me disent, il faut que je le sois ». Sous-entendu, on m’a dit que je suis foutu pour la vie alors je vais l’assumer.

Vous semblez éprouver un vrai attachement pour ce personnage...

Victor Leblond, qui joue Mondain, fait l’unanimité chaque soir. Il fait l’unanimité contre lui. C’est un personnage un peu négatif, un 64

peu blessé, et finalement, c’est une grande injustice : c’est celui qui est condamné à l’injustice dans sa vie, quoi qu’il fasse. C’est un animal sauvage. Il est devenu sauvage. Pour lui, c’est foutu, donc il assume. Un moment, l’air de rien, il va écouter la musique et il va trouver ça bien. Quand il veut intégrer la chorale, on lui refuse. Cette fois, on le condamne définitivement presque à mort. À la fin, c’est lui qui met le feu. On comprend pourquoi il le met, et c’est assez triste parce qu’il met le feu à l’endroit où il a espéré la dernière fois. Et comme on lui a interdit d’espérer quoi que ce soit, cette fois-ci, il veut vraiment être sûr que même l’endroit où il aurait pu encore avoir un espoir, il n’en aura plus. Donc c’est un très beau personnage, et Victor lui a donné une dimension supplémentaire.

Culture

URBANNE

En passant du cinéma au théâtre, on entre dans un nouvel univers ?

Il y a un avantage particulier par rapport au cinéma, c’est que, chaque soir, on a une troupe de quinze enfants qui chantent en direct. C’est presque un pléonasme ce que je viens de dire, parce qu’on est au théâtre. Mais c’est vrai. Disons qu’ils chantent devant nous, et on a l’impression que les enfants nous créent des chansons pour nous et chaque soir. Il y a des distributions différentes : comme ils sont très jeunes, nous avons trois groupes en alternance.

Vous êtes aujourd’hui numéro un à Paris avec ce spectacle. Quelle réussite !

Je pensais ne pas pouvoir le rater, ce spectacle, mais le risque, c’est que ça soit décevant. Qu’on se dise : « Il ne s’est pas foulé par rapport au film », et que les gens se disent « à quoi bon aller le voir ».

Mais là, il y a vraiment une émotion supplémentaire. Il y a quasiment tous les soirs une standing ovation qui montre qu’il y a une ferveur.

C’est assez curieux ce qu’inspire ce récit : quand je croise les gens après, ils ne me disent pas bravo, ils me disent merci.

Vous êtes aujourd’hui parti vers d’autres aventures... Rien de moins que la vie de Jésus, avec une musique de Pascal Obispo !

On a travaillé ensemble de sorte à faire, de façon absolument commune, une comédie musicale. Il n’y avait rien qui était imposé à l’autre. C’est lui qui a eu l’idée de faire un spectacle sur Jésus il y a quatre ans. Il m’avait appelé et il m’avait demandé si ça

m’intéressait. Moi, j’étais très impressionné évidemment, très impressionné par le sujet. Je me suis dit : « Il est peut-être fou, il ne faut pas toucher à ça ». Et puis petit à petit, au fur et à mesure des semaines, je me suis rendu compte d’une responsabilité. Je ne suis pas catholique pratiquant, mais le personnage m’intéressait, et puis je me suis rendu compte d’une chose qui était importante pour moi : ce n’est pas un spectacle sur Dieu, c’est un spectacle sur Jésus. Et quand on prend l’histoire de Jésus, les trois ans de prêche, l’arrivée à Jérusalem et sa mort sur la croix, après tout, on a une histoire qui est extraordinaire. C’est quand même un personnage qui a fait basculer le cours de l’humanité.

C’est donc un spectacle très important pour vous ?

On aura de très grandes surprises, parce que je crois que le niveau est encore plus important qu’on ne pourrait le penser de loin. Ce n’est pas de la vanité. On n’est pas dans la pop, c’est bien au-dessus de tout cela. Parfois, ça touche presque à l’opéra. On a mis du temps. Ça fait quand même quatre ans de travail sur un livret. L’idée n’était pas de faire juste des tableaux musicaux, pour que ce soit beau et que ça renvoie juste du spectaculaire. Quand on regarde les clips, on remarque à quel point, je pense, on touche à une authenticité qui va être étonnante. Parce qu’aujourd’hui, être authentique, revenir à l’essence des choses, c’est moderne.

Les Choristes débarquent au Zénith de Nantes, les 18 et 19 novembre prochains.

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Culture

URBANNE

CINÉ

« PAS COMME DES LOUPS » Une jeunesse nantaise Ils s’appellent Roman et Sifredi. Ils ont 20 ans et ils vivent dehors. Hors cadre. Deux frères, des jumeaux bousculés par la vie, que l’on voit passer du garage de leur mère en sous-sol d’un immeuble nantais, à une école squattée, puis à une cabane. Dans « Pas comme des loups », film lui aussi hors cadre, qui ne choisit pas vraiment entre le documentaire et la fiction, Vincent Pouplard, qui a longtemps œuvré auprès de la PJJ, la Protection judiciaire de la jeunesse, nous montre la réalité de ces gamins qui essaient de se construire.

Pas de discours choc, mais un regard qui interpelle.

Le film est sorti dans les salles de cinéma au mois d’avril. Vincent Pouplard était loin d’imaginer cette trajectoire quand il a commencé son film, en 2011. Après quatre ans de travail, il s’est lancé dans une tournée de plusieurs mois à travers la France pour présenter son œuvre. « Quand on fait un film, on a toujours l’ambition d’être un peu vu. Je me disais que dans les festivals, ça pouvait marcher... Mais je ne m’attendais pas à faire deux mois de tournée », reconnaît le réalisateur, alors que nous l’interrogeons sur un quai de gare. L’intérêt que suscite ce film, on peut l’expliquer évidemment par la présence des deux frères à l’écran.

Touchants. Mais aussi par la manière dont se construit l’histoire. « Le terme qui caractérise le plus ce film, c’est « documentaire de création ». Mais je dirais que c’est juste un essai libre.

La dramaturgie n’est pas absente, mais elle n’est pas conventionnelle.

On trouve des ingrédients d’amitié, de création, des ingrédients empruntés à leur vie. Ça fait beaucoup ».

Les frontières sont brouillées entre le réel et la fiction. Peut-être parce que Roman et Sifredi ne « jouent » pas. Ils vivent. On a le sentiment que c’est eux deux, et leurs potes, contre le reste du monde. « Je dirais qu’à ce moment de leur vie, ils sont plus à côté du monde. Dans une espèce de retrait nécessaire. À l’époque où je les ai filmés, ils sortaient de pas mal d’années de foyer, de collectivité. Les

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codes et les valeurs qu’ils ont envie de défendre, ils ne les retrouvent pas à côté d’eux. Ils vont vivre quelque temps dans un monde à eux. Le film force un peu le trait sur ça, mais il montre bien cette envie de se retrouver eux-mêmes, en dehors des influences humaines ». Dans le film, la parole, les discussions, les questions, le slam parfois, sont omniprésents. « Mais qu’est-ce qu’on sera

jamais, nous ? Qu’est-ce qu’on sera jamais ? »

On accompagne ces hommes en train de changer et d’entrer dans le monde adulte. « La vie que les hommes ont, ça fait qui ils sont. Ou ce qu’ils sont, même. Mais qu’est-ce qu’on sera jamais, nous ? Qu’est-ce qu’on sera jamais ? », demande l’un des frères. « Finalement, en épousant leur trajectoire et leur façon d’être au monde, j’ai trouvé le moyen de dire beaucoup plus de choses que si le film avait été plus frontal et plus politiquement direct. L’idée de départ portait un côté plus « agacé » par la tournure que peuvent prendre les choses autour de l’incarcération des mineurs. Mais je pense qu’ainsi, on a réussi à toucher plus de monde.

Quand nous présentons le film ensemble, quand Roman et Sifredi parlent avec la salle, ils peuvent voir qu’aujourd’hui, leur parole a une forme de justesse. C’est valorisant ».

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Culture Urbanne

ATTENTION TALENT

Artistes soutenus par le

PORTRAIT

THE SASSY SWINGERS Swing nouvelle vague Une pin up rousse sous son ombrelle, des gaillards qui swinguent derrière elle. Ce sont les Sassy Swingers.

Une groupe purement nantais, qui est allé se nourrir directement aux racines du swing à La Nouvelle-Orléans.

Des invités évidents pour les Rendez-vous de l’Erdre.

Ils assurent d’ailleurs en ce début d’été la Tournée des Batignolles, pour sensibiliser les quartiers nantais à ce rendez-vous unique du jazz et de la belle plaisance.

Nous les avons rencontrés... dans une école maternelle de Saint-Joseph-de-Porterie ! Il n’y a pas d’âge pour apprécier.

Une voix chaude, sensuelle, un swing venu tout droit de la La Nouvelle-Orléans, ce sont les ingrédients réunis par les Sassy Swingers. À l’origine du projet, Sandrine « Sassy » Arnaud. La chanteuse nantaise est tombée sous le charme de ce swing qui n’a rien de désuet en arpentant la capitale mondiale du genre, aux États-Unis. « Je suis partie en touriste à La Nouvelle-Orléans, se souvient-elle. On m’avait dit « tu verras, musicalement, c’est monstrueux ». Eh bien, c’est encore plus que ça ! On prend une grosse claque. J’ai entendu des femmes chanter dans la rue et dans les bars le répertoire de Louis Armstrong. Elles avaient sa gouaille, sa couleur. Ça ressemblait à ce que ma voix était, un jazz plus « sale » plus blues. Je me suis immédiatement dit que j’aimerais refaire ce répertoire en France, avec les mêmes instruments insolites que là-bas ». Ces instruments, ce sont le banjo, le washboard (littéralement : la planche 70

à laver) et le sousaphone, un tuba dont le pavillon est tourné vers l’avant, face à la foule. « Ces instruments permettent de jouer aussi bien sur scène que dans la rue, sans amplification », explique la chanteuse.

D’ailleurs, pour affronter les foules lorsqu’elle déambule, elle n’hésite pas à se munir d’un mégaphone pour répandre les bonnes paroles de ce jazz populaire, qui laisse aussi bien la place aux improvisations qu’au couplet de la chanson. À la La Nouvelle-Orléans, le chant est toujours présent, toujours vivant. Mais les Sassy Swingers ne se contentent pas de reprendre le répertoire classique, ils créent aussi leurs chansons. « On raconte la même chose que là-bas, mais avec notre sensibilité à nous : l’amour, la nourriture (qui est aussi de l’amour), s’amuse Sandrine Arnaud. En revanche, eux parlent plus de drogue et moi pas du

tout », sourit-elle. La famille des Sassy Swingers s’est aujourd’hui agrandie, elle compte désormais six membres : Mathieu Lagraula au banjo et à la trompette, Benoît Poeuf au sousaphone, Simon Riochet au washboard, François Tavard au trombone, Jules Fromonteil à la clarinette. « Nous avons développé cette formation un peu élargie pour être encore plus fidèle à l’esprit de La Nouvelle-Orléans. Là-bas, ils sont 12 000 dans les orchestres, ils jouent dans tous les sens, ils improvisent ensemble.

C’est ça que nous voulons montrer à notre public », s’enthousiasme Mathieu Lagraula.

Une ambiance incroyable à retrouver sur la scène nautique des Rendez-vous de l’Erdre le 3 septembre ■

Portrait

ELLES FONT BOUGER LA VILE

Audrey Lopes porte des vêtements faits main en coton naturel, créés à Nantes par Fabiola pour sa marque Mvie

PORTRAIT

AUDREY LOPES À la conquête de Vladivostok !

Audrey Lopes, la figure montante de la soul nantaise, est en train de gentiment éclater. Elle est invitée à se produire à la fin de l’été au V-Rox Festival, à Vladivostok, rien de moins que le temple de la nouvelle scène du versant Pacifique de la Russie. Le festival, né en 2013, veut créer des connexions et promouvoir les jeunes talents. « Le V-Rox Festival est tout entier tourné vers les découvertes. Malgré la richesse des informations disponibles en ligne, la carrière des musiciens se développe lentement, et le public est privé de voir des performances sur scène, souligne Ilya Lagutenko, musicien et initiateur de l’évènement. Nous voulons donner la possibilité aux gens de faire des rencontres hors ligne, de voir et de comprendre ce qui se passe autour d’eux, et de faire des découvertes par euxmêmes ». Devant cette promesse, Audrey Lopes est aux anges. « Je vais croiser des gens du monde entier, au sein d’un festival assez hétéroclite. C’est assez dingue », sourit-elle. « Je construis avec mes musiciens, c’est un travail au quotidien » Ce n’est pas le seul projet international où elle est appelée à participer. Elle doit également s’envoler vers l’Afrique, direction Pointe Noire au Congo, pour jouer

dans une école qui accueille des enfants malades. Entretemps, elle jouera à Saint-Nazaire et près d’Angers, au City Trucks Festival, le festival monté par des routiers. « Je n’arrête pas. J’avoue que c’est très plaisant et un peu angoissant de sentir que juste au niveau régional, il n’y a pas de lassitude. Quelque part, je gravis les échelons et les propositions viennent de plus en plus de l’extérieur. Il y a une émulation autour du projet et c’est très motivant ». Audrey Lopes parle d’Audrey Lopes en tant que projet. Mais ce dédoublement de personnalité ne lui fait pas tourner la tête. « C’est toujours moi et mes compositions, mais le projet grandit grâce au travail de nombreuses personnes. Je construis avec mes musiciens, c’est un travail au quotidien. On part toujours d’un travail clavier/voix que je réalise seule. Je l’envoie aux musiciens et chacun vient avec ses arrangements ».

Mais le travail d’Audrey Lopes n’est pas uniquement musical. « C’est sur la scène que le projet prend toute sa dimension, notamment par le développement du mouvement et de la danse, souligne celle qui passe des heures chaque jour à discipliner son corps. J’essaie de développer un univers un peu cosmique avec des planètes, un micro en lévitation sur scène. Ce qui m’intéresse, c’est de faire passer ainsi un message, un message de paix et de lumière » ■

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Culture Urbanne

AGENDA

LE KIOSQUE NANTAIS Sélection estivale

Abel et Bela © Droits réservés

Pour ce nouveau numéro d’Urbanne, le Kiosque Nantais invite ses Kiosqueurs* à partager leurs sorties coups de cœur à ne surtout pas rater cet été ! Une tournée estivale et culturelle dans les salles de spectacle, les rues et les parcs de la métropole.

Soleils bleus © Saint-Herblain

Théâtre de l’absurde Abel et Bela

… Ou deux comédiens à la dérive (par Chloé) « Parce que j’adore le théâtre de l’absurde, j’ai très envie cet été de faire escale à La Ruche pour découvrir Abel et Bela, deux comédiens au chômage complètement paumés et désespérés qui veulent monter leur pièce de théâtre. Le problème, c’est que ces deux caractères bien opposés n’arrivent pas à se mettre d’accord sur le genre de théâtre qu’ils veulent jouer. Les deux hommes jongleront alors entre comédie de boulevard et drame naturaliste, pour proposer au final un duo extravagant et cocasse portant une réflexion pleine d’humour et follement absurde sur le métier de comédien. » Pourquoi y aller ?

Pour découvrir le théâtre de l’absurde et se dire que votre été peut aussi être culturel !

Pour écouter deux comédiens tourner en dérision leur propre métier.

Pour (re)découvrir le théâtre de La Ruche, petit écrin caché du quartier Viarme, et se dire que l’on peut aussi se dépayser en restant en ville ! « Abel et Bela », de Robert Pignet, avec Didier Royant et Gérard Bourgarel La Ruche - 8 rue Félibien, Nantes - 02 51 80 89 13 Du 3 au 8 juillet, à 20h30. Tarifs : 5/8/12 euros Avant/Après spectacle ? Un verre au bar du théâtre !

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Musique

Festival Soleils bleus

« Un festival mix jazz en plein air ! » (par Anne-Laure) Cet été, du 6 au 9 juillet, direction le parc de la Bégraisière à Saint-Herblain pour se remplir les oreilles d’une ode au jazz. Soleils Bleus est un festival biennal, qui te fait découvrir des artistes locaux et internationaux qui adorent « jazzer » sur l’électro, le funk ou encore le hip-hop ! ».

Pourquoi y aller ?

Parce que c’est du jazz, mais aussi de la pop, de l’électro, du hip-hop... Bref, l’occasion parfaite d’enrichir sa culture musicale.

Parce que c’est un festival entièrement gratuit, dans un super parc, en plein été, avec de quoi se nourrir et s’hydrater pour profiter pleinement de la fête !

Parce que ça promet de belles découvertes jazzy en attendant les Rendez-vous de l’Erdre de la fin de l’été.

Festival Soleil Bleus Parc de la Bégraisière, Saint-Herblain Programme : theatreonyx.fr / 02 28 25 25 00 Du 6 au 9 juillet. Entrée gratuite.

Avant/Après spectacle ? Une balade, un pique-nique, un apéritif sur les pelouses du parc. Foodtrucks sur place pendant le festival.

Musique Rom Sucar

« De la musique tsigane envoûtante » (par Sarah)

Pourquoi y aller ?

Pour découvrir une autre musique tsigane.

Pour voyager sans avoir besoin de faire vos valises !

Pour danser, c’est l’été !

Rom Sucar, avec Mihai Pirvan, Camelia Pirvan et Mugurel Barbu TNT - 11 allée de la Maison Rouge, Nantes 02 40 12 12 28 (réservation recommandée) Le samedi 22 juillet, à 20h30. Entrée gratuite.

Avant/Après spectacle ? Un verre au bar du théâtre !

Rom sucar © Ar Deck

« Cet été, je vous invite à embarquer dans la petite salle intimiste du TNT pour un voyage musical familial aux douces mélodies tsiganes, roumaines et balkanes. Tout droit venue de Clejani, village de musiciens roumains, la musique de Rom Sucar aux notes chaudes, festives, et aux timbres éclatants, nous transporte au-delà des frontières serbes, bulgares, moldaves, hongroises ou turques, dans un folklore moderne et rustique des pays d’Europe de l’Est. Laissez-vous enivrer par ces airs envoûtants, et n’oubliez pas de danser ! ».

*Kiosqueur : Spectateur engagé et passionné partageant ses coups de cœur spectacle sur Facebook et le site internet du KN, chez notre partenaire France Bleu Loire Océan, mais aussi à triporteur ou dans les pages d’Urbanne !

Les Kiosqueurs bénéficient d’invitations chez nos partenaires salles, participent à de rencontres avec des artistes, des sorties groupées…

Envie de rejoindre la communauté des Kiosqueurs ? Les adhésions pour la saison 2017/2018 sont ouvertes !

Toutes les infos sur notre site internet : www.lekiosquenantais.fr

Théâtre

Miniatures

« Embarquement immédiat avec Royal de Luxe ! » (par Amélie)

Miniatures © Royal de Luxe

« La compagnie Royal de Luxe est de retour à Nantes tout l’été pour présenter « Miniatures », sa dernière création. Muni de votre carte d’embarquement, prenez place dans le voyage poétique et burlesque d’un pilote de ligne dont l’avion a traversé les dimensions. Dans ce rêve éveillé, il observe avec tendresse et confronte notre monde actuel, ses incohérences et ses paradoxes. Un format à taille humaine, proposé au public sous un chapiteau installé place de la Petite Hollande. ».

Pourquoi y aller ?

Parce que la compagnie Royal de Luxe, ce ne sont pas que les Géants !

Parce que c’est l’événement de l’été… … Et que vous pourrez dire à la rentrée : « Moi, j’y étais ! » « Miniatures », par la compagnie Royal de Luxe (spectacle tout public) Place de la Petite Hollande, Nantes Du 29 juillet au 20 août 2017, tous les jours (sauf le lundi).

Retrait des places sur site dès 13h30. Entrée gratuite.

Avant/Après spectacle ? Une promenade ou un verre en centre-ville !

Sélection de la rédaction

Les OFF des Rendez-vous de l’Erdre

Un air de plage place Aristide Briand, devant le Radisson et l’Aristide. Les commerçants du quartier se mobilisent pour installer 200 transats rouges sur la place, afin de profiter, le temps d’une nuit d’été, des rythmes du jazz manouche ou revisité par Pierre-Yves Plat, et du blues rock des Nantais de Colfax.

Place Aristide Briand, Nantes Le jeudi 31 août, de 19h30 à 20h30. Évènement gratuit. urbanne

Dossier

NANTES

DOSSIER

VOYAGE À NANTES Suivez la ligne verte ! « Ceux qui aiment l’art viendront à Nantes ! ». C’est la promesse qui s’inscrit clairement sur les affiches de la nouvelle édition du Voyage à Nantes, qui se déroule du 1er juillet au 27 août. L’évènement culturel, qui mêle parcours artistique, évènements et expositions, est porté cette année par la réouverture du Musée d’arts de Nantes, après six ans de travaux. « On a imaginé une année « art », une année qui soit très forte sur cette thématique, souligne Jean Blaise, le maître d’œuvre du Voyage à Nantes. Nous faisons un vrai effort pour être présent dans l’espace public. C’est ce qui nous démarque aujourd’hui ». Un parcours de treize kilomètres, le long d’une ligne verte tracée à la peinture sur le sol de la ville, mène le visiteur vers cinquante-deux étapes, qui vont du jardin géant imaginé par Claude Ponti au Jardin des plantes, jusqu’à l’ancienne maison d’arrêt investie par un collectif d’artistes. Cette visite, qui s’enrichit d’année en année, est marquée cette fois par des installations de grande ampleur sur des places emblématiques de la ville. Sélection absolument pas exhaustive.

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L’expo à ne pas louper H.R. Giger. Ce nom, les fans de science-fiction en général et d’Alien en particulier, le connaissent. C’est lui qui a dessiné la créature de l’espace.

Il a travaillé toute sa vie sur ces formes biomécaniques angoissantes. C’est également lui qui a collaboré à la création de l’univers de Dune. Depuis la mort de l’artiste suisse en 2014, c’est la première rétrospective mondiale de cette importance qui lui est consacrée, et ça se passe au Lieu Unique. Une centaine de tableaux, mais aussi des sculptures et des documentaires sont présentés. Attention, cette expo peut heurter les plus jeunes.

Ça va faire causer Jean Blaise, le directeur du Voyage à Nantes, a amené les choses en douceur pendant la présentation de la programmation de cette édition. Cette année, il y aura « trois installations très fortes et très particulières dans l’espace public ». Ces œuvres seront érigées place Royale, place Graslin et place du Bouffay. Autant dire qu’elles seront légèrement mises en avant. Qu’il s’agisse de ces arbres recouverts de béton et de personnages fantomatiques - « La terre où les arbres rêvent » - place Royale, de la grande roues désaffectée où les nacelles ont été remplacées par des godets de pelleteuse place du Bouffay, ou d’« Hécate », place Graslin, sculpture noire d’un gisant dans laquelle on pourra pénétrer, on ne peut pas dire que ça respire franchement la gaité. « On ne demande pas aux artistes de venir décorer la ville, argumente Jean Blaise. On leur demande de venir travailler in situ et d’interpréter la cité. Les artistes se retrouvent dans le même « trip » et dans le même désespoir. Une même critique de la société ». Eh oui : parfois, l’art dérange. Donc il interpelle en délivrant un message.

Bref, il fait son boulot d’art. CQFD.

Dossier

NANTES

Et aussi...

Micr’Home, une maison minuscule installée dans un interstice entre deux immeubles, est à voir rue du Puits d’Argent. Solution élégante à l’étalement urbain. Autre endroit transformé par l’art : l’ancienne prison du centre-ville.

Avant de devenir un nouvel îlot d’immeubles, le bâtiment du greffe est investi par une dizaine d’artistes qui ont travaillé sur le thème de l’enfermement. À mi-chemin entre l’exposition collective et l’expérience immersive, Entrez Libre, nous parle du vécu des anciens occupants du lieu. Des habitants toujours bien étranges au Jardin des plantes : Dépodépo, imaginé par Claude Ponti, met en scène le fond d’un jardin occupé par un géant.

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Vous avez des enfants ? « Paysage glissé ». N’espérez pas y échapper cet été : un toboggan géant qui dévale du chemin de ronde du Château des ducs de Bretagne jusque dans les douves, c’est légèrement alléchant en matière de visite culturelle pour nos enfants. Aventure d’autant plus extraordinaire que l’installation est courbe, et qu’elle vient épouser la forme d’une tour. On ne voit donc pas où l’on arrive en s’élançant sur ce ruban d’acier pour 50 mètres de glissade. Évidemment, le toboggan ne dégrade pas la muraille. Il devrait même faire partie des œuvres non pas pérennes, mais réinstallées tous les ans. L’architecte des Bâtiments de France a donné son accord. Après s’être rassis sur sa chaise.

Et le Musée d’arts fut C’est le véritable temps fort de cet été et de cette année.

Le Musée d’arts de Nantes en a terminé avec les travaux.

Ouverture le 23 juin avec 30% de surfaces d’exposition supplémentaires, et 900 œuvres présentées qui vont de l’art ancien à l’art contemporain, et de la peinture à la vidéo. Le bâtiment est magnifiquement restauré et le Cube, la nouvelle bâtisse de 2 000 m², s’y intègre parfaitement. Le lieu se veut ouvert sur la ville et il commence aussi par nous ouvrir l’appétit : c’est le chef étoilé Éric Guérin (La Mare aux Oiseaux, en Brière) qui a repris le restaurant.

www.levoyageanantes.fr

Lifestyle

TENDANCE

CULTURE

MOOV GALLERY L’art se rencontre aussi à Vannes L’art contemporain, ce n’est pas seulement dans les rues de Nantes, le temps d’un été. Cet aussi toute l’année sur Internet, grâce à la Moov Gallery, une galerie d’art en ligne qui a ouvert voilà quelques mois un lieu de rencontre physique au cœur de Vannes, dans le Morbihan. Cet espace fait le lien entre artistes et grand public, pour le bonheur des créateurs et des amateurs d’art vrai.

Lancé il y a cinq ans à Bruxelles, en Belgique, à l’initiative d’artistes en recherche d’un moyen d’exposition partagé, Moov Gallery s’est développé sur Internet avec succès. Des peintres, sculpteurs, photographes y ont trouvé une vitrine d’un art contemporain au-delà des étiquettes. Pour répondre au souhait de contact concret de certains amateurs d’art, des galeries ont donc été ouvertes dans des villes emblématiques comme Lisbonne ou Pont-Aven, plus près de nous.

Dorénavant, c’est Vannes qui bénéficie de cette ouverture d’esprit. Au 5 rue des Vierges, dans le coeur historique, trois

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étages sur 300 m² accueillent les oeuvres de vingt artistes, en tous domaines et origines. Qu’ils soient Français, Portugais, Belges, Hollandais, Canadiens, Espagnols ou Brésiliens, tous ont une vision personnelle du monde qui les entoure à montrer. « Nous sommes des artistes vivants, et plusieurs d’entre nous sont présents au quotidien à Vannes, pour échanger avec le public, explique Loïc Kerzon, l’un des créateurs exposés.

Nous sommes une galerie d’artistes faite par des artistes, c’est la différence avec d’autres lieux d’exposition ».

Amour ou placement

Yong-Man KWON, peintre officiel de la Marine, «Réparation», peinture à l’huile, 2016

© DR

Tous les mois, les expositions évoluent pour promouvoir de nouvelles propositions, de la peinture marine à la photo, en passant par l’abstrait ou la sculpture concrète. « La volonté est d’amener l’art contemporain dans des villes où il pouvait être absent, poursuit Nox. Dans le même esprit, Jean Fontan, artiste prolixe de Port-Navalo qui expose également à NewYork, incarne pleinement le concept de Moov Gallery. Entre « Valentine », « Passagers du vent » à l’âme bretonne et « Régate » sur métal, ce dernier partage vitrines et étages de ce site d’exposition d’un genre nouveau avec une palette de peintres, sculpteurs et photographes mondialement connus ou en devenir. Investisseur engagé, il souligne « Nous donnons leur chance à de jeunes artistes, mais via des experts, les oeuvres sont toutes cotées. Les facilités de paiement permettent de ne pas résister à un coup de coeur ». Évaluées de 500 à 20 000 euros, les oeuvres permettent à beaucoup d’investir par amour de l’art, ou volonté de placement. Deux experts basés à Bruxelles étudient au quotidien les propositions de nouveaux créateurs, dont les oeuvres seront soumises au vote du public sur Internet avant d’être validées à la vente. « Avant tout, nous sommes une galerie de partage à échelle humaine. Et ce n’est pas un hasard si nous accueillons nombre de créatrices, sous la direction à Vannes de deux femmes, Camille Blondel et Isabelle Le Fessant ». Le site internet et la galerie de Vannes se veulent complémentaires pour un impact et une rencontre démultipliée entre artistes et grand public.

Jean FONTAN, «Valentine», peinture sur aluminium, 2017

5 rue des Vierges, Vannes 09 84 25 92 19 moovgallery56@gmail.com 10h - 12h30 et de 14h - 19h du mardi au samedi www.moovgallery.eu Alex & Manon, «Horizon», sculpture en acier, 2017 urbanne

Déco

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VISITE PRIVÉE

PARTIE DE CAMPAGNE en pleine ville La vie à la campagne, en plein cœur de Nantes.

C’était le souhait des propriétaires de cette parcelle, située dans le quartier Zola. Le terrain est vaste mais les contraintes sont nombreuses.

Alors, Philippe Ouali, l’architecte choisi pour réaliser le chantier, a dû dessiner une maison vraiment originale pour tirer tout le potentiel de cet endroit préservé. Une visite que nous avons pu effectuer dans le cadre des Journées À Vivre, qui permettent de pousser la porte de ces maisons exceptionnelles le temps de deux week-ends au mois de juin. Découverte.

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Déco

VISITE PRIVÉE

Il faut s’enfoncer dans une petite ruelle entre deux jardins, pour parvenir jusqu’à cette maison. Les murs ne laissent rien deviner de ce qui se trouve à l’intérieur, mais, déjà, le bruit de la ville s’éloigne, étouffé par les arbres. Dès le vestibule passé, on débarque dans une immense pièce à vivre. Et on comprend tout. Le regard passe en un instant de la cheminée aux baies vitrées, et à travers elles, au jardin. Le soleil coule à flots. C’est l’été. On a comme une envie immédiate de plonger dans la piscine. « C’est vrai qu’on est bien ! », s’amuse le propriétaire. « Il n’y a pas de bruit, on est à la campagne, on va chercher les salades dans le jardin. C’est le bonheur ». Philippe Ouali (GAO Architectes), a également le sourire. Il sait que cette maison a conquis ses propriétaires, qui se sont beaucoup investis dans sa réalisation.

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Déco

VISITE PRIVÉE

La maison, en forme de « V », épouse parfaitement la parcelle enclavée et lui assure une intimité parfaite. « La vraie contrainte, ici, c’est que nous sommes en cœur d’îlot, en second rideau, explique-t-il. Ça fait tout le charme du lieu, mais ça implique aussi qu’en pratique, il est impossible de monter un étage puisqu’il faut un recul de 9 mètres par rapport au voisinage ».

L’architecte a donc imaginé une maison en forme de « V », qui suit le contour du terrain, pour s’ouvrir vers le sud. Chauffage au sol, baies à galandages immenses qui viennent se cacher dans les cloisons, tout est optimisé pour laisser entre la lumière et... faire de la place sur les murs aux toiles du propriétaire. Dans la pièce à vivre de 72 m², la cheminée vient en partie fermer l’espace. Elle s’arrête avant le plafond pour ne pas couper le volume.

Derrière, se niche un immense bureau dont les baies vitrées offrent une vue imprenable sur les tomates. Le meuble, comme beaucoup d’autres dans la maison, a été dessiné et fait fabriquer par Philipe Ouali. Le gris anthracite s’intègre ainsi parfaitement aux formes de la maison.

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VISITE PRIVÉE

La cuisine sert de tour de contrôle à la maison, entre le salon, la terrasse et la partie nuit. Tout est soigneusement caché derrière des portes blanc laqué. Le fourbi habituel aussi nécessaire qu’encombrant est relégué dans une immense arrière-cuisine. Pas de fausse note. Les trois chambres desservies par un couloir ont un point commun : la vue sur la piscine et le jardin. De quoi avoir le moral en ouvrant les volets le matin. Les propriétaires se sont réservé le fond de cette aile. Un espace plus intime, qui s’articule autour d’un patio, traité dans un style plus minéral, qui permet d’abreuver la salle de bains de lumière tout en la protégeant des regards extérieurs. C’est là aussi que l’atelier du peintre a été installé, à l’écart de l’agitation. La preuve que tout a été pensé dans cette maison ? Un accès a été aménagé pour permettre de relier le jardin, autrement totalement enclavé, au garage. Ça évite de faire passer la tondeuse par le salon...

La pièce centrale, dans tous les sens du terme, du jardin, c’est la piscine. « C’est la première chose dont on s’est occupé au début des travaux, se souvient l’architecte. Nous avons commencé par creuser le bassin. Une fois la construction commencée, c’était trop tard ». Le liner gris offre beaucoup d’élégance à la pièce d’eau. Il rappelle les dalles de la terrasse. En plein été, baies soigneusement rentrées dans les murs, on ne fait plus la différence entre le sol intérieur et le sol extérieur de la maison. « Nous avons trouvé des dalles identiques pour servir de revêtement dedans et dehors. La seule différence, c’est que dehors, elles sont totalement antidérapantes », pointe le propriétaire. Les deux sols, intérieur et extérieur, sont rigoureusement au même niveau.

L’architecte a même conçu un système pour que l’eau de pluie de la terrasse soit évacuée sous les dalles, pour éviter un caniveau disgracieux. « C’est le symbole du soin de détail de Philippe, souligne la propriétaire. Le contact a été très sympa.

Et le résultat est largement à la hauteur de nos attentes » ■

L’architecte a proposé une déco basée sur le gris anthracite. Couleur utilisée pour les meubles qu’il a dessinés pour cette maison.

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ROUTE DE VANNES - SAINT HERBLAIN / 82 AVENUE DE BRETAGNE - GENESTON www.nantes.arthur-bonnet.com urbanne

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BIENTÔT CHEZ MOI

CHAISES ET FAUTEUILS L’assise nous enveloppe

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Chaise Sia Authentik Design 115 route de la Gare, Vertou

Fauteuil outdoor Twins Label Maison 16 ter rue Ordronneau, Rezé

Chaise avec accoudoirs Civel 5 place Aristide Briand , Nantes

Chaise Academy Calligaris Via Julio 96 boulevard Jules Verne, Nantes

Guéridon Alto Gold (collection Addict) Meubles Gautier 233 route de Vannes, Saint-Herblain

Chaise Bahia Calligaris Via Julio 96 boulevard Jules Verne, Nantes

Fauteuil rotin noir Label Maison 16 ter rue Ordronneau, Rezé

Fauteuil outdoor Korbeill Label Maison 16 ter rue Ordronneau, Rezé

Fauteuil pieds métal et rotin Meubles et Compagnie 176 Route de Vannes Nantes Orvault

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Deco

ELLE FAIT BOUGER LA VILLE

PORTRAIT

HELÈNE MORBU Modeleuse de terre L’atelier d’Hélène est situé dans une petite rue de l’île de Nantes. À travers la vitrine, on peut la voir travailler la terre, l’écraser, la tamiser, la colorer, la modeler, l’émailler. Totalement investie dans le travail de la céramique, elle a reçu le Prix de la Jeune Création Métiers d’Art 2016, qui récompense l’avant-garde des métiers d’art. Elle expose cet été à Genève et Berlin. Rencontre avec une artiste souriante.

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Il n’y avait pas grand monde qui s’intéressait à la céramique quand Hélène Morbu étudiait aux Beaux-Arts, à Reims. En fait, il n’y avait qu’elle. La terre, son travail, sa transformation après cuisson, lui parlait. « La céramique, c’est infini.

Le matériau est ancestral, mais il y a encore des choses à découvrir » Rien de mystique, juste une envie de voir ce qu’elle pouvait faire de ce matériau qui est peut-être le plus commun de tous. « Ce qui m’intéresse, c’est sa transformation, les différentes terres, l’émail, la cuisson... », énumère l’artiste installée à Nantes. « La céramique, c’est infini. Le matériau est ancestral, mais il y a encore des choses à découvrir ».

Hélène Morbu parle en connaissance de cause. Elle a passé des années à mettre au point une technique qui lui permet de réaliser une résille en terre en trois dimensions, utilisée dans sa série « Codex ». « Ça cassait à chaque fois, je n’en pouvais plus. À un moment, j’ai failli abandonner, sourit-elle aujourd’hui.

Une fois que ça a fonctionné, il a fallu analyser pourquoi ça marchait ». Elle voulait utiliser la plasticité de la terre, comme elle dit. Un travail unique que l’on retrouve également sur d’autres créations où la terre, repoussée par un peigne, forme des écailles ou un cannage. « Je voulais que cela donne l’impression d’avoir été tressé. J’émaille uniquement certaines parties. Le contraste de la lumière sur les parties mates et brillantes crée une vibration dans la surface. Cela induit une variation sur le vase, presque un paysage ». Le

vase - baptisé Quetzal - ainsi sculpté, patiemment émaillé, demande dix heures de travail. Ces techniques, elle est la seule à les connaître. « Chaque céramiste n’arrive pas forcément à reproduire ce que fait un autre. La terre bouge, la cuisson n’est pas la même selon le four. L’intérêt, c’est que nous ne sommes pas interchangeables ». Son voyage à la découverte de cette matière est loin d’être terminé. « Je suis encore attachée à

l’objet. Mais le côté utilitaire va peut-être disparaître »

« Je n’ai pas encore exploité les cuissons », lâche-t-elle, comme en se parlant à ellemême. Après avoir passé des années sur ces pièces uniques que l’on trouve dans des galeries parisiennes, à Reims ou à Nantes (chez Mira), elle pense à se lancer dans une autre aventure. « J’ai envie de recréer un modèle qui sera fait en petite série, tourné ou moulé. Je vais y réfléchir pendant les vacances », explique-t-elle. Cela lui permettra peutêtre de faire un clin d’œil aux tasses, très pures et colorées, de son bleu fétiche, celui de ses débuts. « Je suis attachée à l’objet, encore. Mais le côté utilitaire va peut-être disparaître : certains vases sont presque fermés. Un jour, ils le seront complètement, mais je ne suis pas encore prête ». L’artiste n’arrive pas encore à trancher la question qui a fait suer des générations d’élèves de terminale en philosophie : « le beau est-il utile ? ». En ce qui concerne Hélène Morbu, on pourrait répondre par une pirouette : sa quête est aussi utile que ses réalisations sont belles. Avis personnel ■

www.atelierdelarepublique.fr

L’Atelier de la République 25 rue de la Tour d’Auvergne Nantes 06 07 10 42 14

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BIENTÔT CHEZ MOI

LE TISSU C’est le confort

Canapé Taylor Calligaris Meubles et Compagnie 176 route de Vannes, Orvault

Fauteuil suspendu Bloomingville La Villa de Sophie 11 rue du Traité de Paris, Pornic

Fauteuil Baltique Villa Grenadine 18 rue de Pornic, Saint-Brevin-les-Pins

Pouf Sia Authentik Design 115 route de la Gare, Vertou 94

Banquette outdoor Label Maison 16ter rue Ordronneau, Rezé

Pouf Cube (grand choix de tissus) Meubles Gautier 233 route de Vannes, Saint-Herblain

Pouf extérieur en fiberclay et sa galette La Villa de Sophie 11 rue du Traité de Paris, Pornic

Constructeur depuis 40 ans 02 40 04 72 70

Maisons Dréan 83 route de la Gare 44120 Vertou

2 juin 2017

Excellent 39 avis clients N° de contrôle : 425 219 722

Note attribuée par les clients de Maisons Dréan sur immodvisor.com

www.maisons-drean.fr 2 marques, 2 ambiances, mais le même savoir faire

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BIENTÔT CHEZ MOI

REFLETS Et légèreté

Miroir sorcière Meubles et Compagnie 176 route de Vannes, Orvault

Miroir 7 faces Civel 5 place Aristide Briand , Nantes

Enfilade années 50 (palissandre) Villa Grenadine 18 rue de Pornic, Saint-Brevin-les-Pins

Tables d’appoint (métal,rotin et chêne) Label Maison 16 ter rue Ordronneau, Rezé

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Sculptures Swan Deep Earth (56/81cm) Meubles Gautier 233 route de Vannes, Saint-Herblain

Miroir Meubles et Compagnie 176 route de Vannes, Orvault

Vases Bottle vert et blanc Meubles Gautier 233 route de Vannes, Saint-Herblain

Petite table en frêne naturel Ø38cm Label Maison 16 ter rue Ordronneau, Rezé

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BIENTÔT CHEZ MOI

LUMIÈRE CHALEUREUSE Et matériaux naturels

Lampe à poser Pomax Label Maison 16ter rue Ordronneau, Rezé

Lampadaire Marisa Via Julio 96 boulevard Jules Verne, Nantes

Lampadaire Bamboo Via Julio 96 boulevard Jules Verne, Nantes 98

Suspensions Pims Meubles Gautier 233 route de Vannes, Saint-Herblain

Suspension en aluminium verni noir White Noise Civel 5 place Aristide Briand, Nantes

Série de lampes de table en verre soufflé gravé satiné Civel 5 place Aristide Briand , Nantes

Lampadaire Rangun Via Julio 96 boulevard Jules Verne, Nantes

MOBILIER DE JARDIN Show room 650m2 Spécialiste petit balcon Luminaires Barbecue

Les lapins QEEBOO revendeur exclusif LES JARDINS D’ILOT

2 rue de la pré neuve 44 350 Guérande Tél. : 02 51 73 77 00 Du lundi au samedi - 9h-12h30 / 14h - 19h

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NOS PLUS BELLES SOIRÉES

Jeudi

27

Avril

la Team Urbanne

Urbanne a 4 ans !

Quelle soirée ! Urbanne a fêté son 15ème numéro avec ses partenaires dans l’un des sites les plus symboliques de Nantes : le Passage Sainte-Croix. Ce lieu, au cœur du Nantes historique et patiemment rénové pendant deux ans, fait désormais - comme Urbanne, nous l’espérons- la synthèse entre le Nantes d’hier et d’aujourd’hui, entre le joli passé de la cité et l’ouverture vers ce qui fait bouger la ville maintenant ! Ouvert à tous, le Passage SainteCroix, qui accueille de nombreuses manifestations culturelles, expositions, concerts, conférences, nous a permis de mettre les petits plats dans

Thierry (Ligne Roset), Jean-Louis (Onze) et son épouse, Patrice (Saint James)

Sandrine (Les Petits Princes), Fabrice et Laurent (Le Salon qui Parle), et Jean Tessier 100

L’équipe Centre Laser HTM

Nadine (Jott) et son collaborateur

les grands pour accueillir avec un vrai plaisir tous ceux qui nous ont fait confiance ces dernières années : ceux qui sont apparus dans nos pages, nos partenaires annonceurs et nos partenaires d’envie de faire mieux et différent comme Les Saveurs DétonNantes - qui ont assuré aux buffet - ou le Crédit Mutuel, Green Course et France Bleu. Grâce à la Sefiborne de notre ami le Jardin d’Images, nombreux sont les invités qui sont repartis avec un (joli) cadeau offert par nos partenaires. On recommence très vite, c’est promis !

Sébastien (Dessange - Nantes) et Nelson

Patrice (La Tablée La Belle Iloise), Florian (Le Monde du Macaron) et sa collaboratrice

Les délices des Saveurs DétonNantes

Soizic et Astrid (Padam), et Valérie (Blanc des Vosges)

Claudie et Michel (Label Maison)

Laure et Stéphane (Les Rigolettes Nantaises), Jean-Louis (Les Caprices de Jeannette) et sa compagne

Jean-Pierre (Gautier) et son épouse

Ronan (Jardin d’images)

Audrey Lopes

Pascal (Arthur Bonnet), et Isabelle

Guillaume et Sandrine (MINI) et Stéphane (Un Amour de Maison)

Stéphane- Pierre Baptiste- Pascal (Magazine Urbanne)

Vincent et Josette (Via Julio)

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Urbanne

ESSAI AUTO

TOYOTA C-HR HYBRIDE Le SUV moderne

ESSAI

Avec ce nouveau crossover compact, Toyota veut frapper fort. Le véhicule n’essaie pas de se fondre dans une catégorie de voitures toujours plus fournie, mais impose un look bien à lui. Deux motorisations sont proposées : essence ou hybride. La marque, qui s’est fait une spécialité de ces moteurs qui combinent la force de l’électricité et de l’essence, espère d’ailleurs vendre 2 véhicules sur 3 équipés de moteurs hybrides cette année. Nous avons demandé à Sarah, la directrice de l’Aquatonic, d’essayer pour vous ce petit bijou dans sa version Distinctive Pack Premium.

Le look est très accrocheur ! Qu’en pensez-vous ?

C’est vrai que cette voiture se démarque. Elle a un style propre, je dirais un peu japonais. Il y a des lignes marquées. Ça change, en bien, des voitures qui ont tendance à toutes se ressembler. Le côté « coupé » est clairement assumé jusqu’au bout : les poignées des portes arrière placées en hauteur en sont un bon exemple.

L’intérieur est-il au niveau de look de la carrosserie ?

Je dirais que c’est assez bluffant. La finition est vraiment au niveau, les matériaux sont de qualité. Je dirais qu’on est là dans une voiture premium, sans hésitation. Le côté moderne du véhicule se retrouve jusque dans le design du tableau de bord. L’écran tactile de belle taille domine le tout et permet de naviguer facilement dans toutes les fonctionnalités de la voiture.

Quelles sensations une fois en route ?

Eh bien le côté hybride est un peu déstabilisant quand, comme moi, on le découvre. Mais on s’habitue très vite. La voiture réagit très bien à l’accélération, mais surtout, on se sent réellement en sécurité.

L’assistance à la conduite est une vraie découverte et un vrai plus. Le régulateur de vitesse adaptatif, qui permet à la voiture de s’adapter automatiquement au trafic, est très intéressant, tout comme l’alerte de détection piéton et de franchissement de ligne. Le volant vous maintient dans la file. C’est vraiment une autre expérience de conduite.

Quel détail retenez-vous de cette expérience ?

Je retiens plein de choses, mais peut-être la dernière avant de couper le contact : la capacité de la voiture à gérer seule son créneau. Pour moi, ça vaut largement toute assistance possible à l’aide au stationnement. À qui conseilleriez-vous cette voiture ?

C’est une voiture qui convient parfaitement à une petite famille.

Malgré le côté compact, les enfants seront parfaitement à l’aise à l’arrière. Et puis, je dirais que c’est aussi une voiture parfaite pour ceux qui veulent faire attention à l’environnement et à la pollution, sans sacrifier au confort et aux performances.

TOYOTA CÔTE OUEST AUTO Route de Nantes, 44840 REZE/ Les Sorinières - 02 40 04 45 07 www.toyota.fr/nantes Rd point du Croisy - Rte de Vannes 44800 ST HERBLAIN - 02 40 72 87 87 www.toyota.fr/nantes

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Evasion

BALI

EVASION

BALI Une vision du paradis D’immenses plages de sable fin, de splendides rizières en terrasse, un artisanat créatif, des temples de toute beauté, une gastronomie succulente, une population conviviale... Bali serait-elle le paradis sur terre ?

Beaucoup le pensent. Et nous aussi.

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Avec ses 3,9 millions d’habitants sur un espace plus petit qu’un département de l’Hexagone, « l’île des dieux », comme on surnomme Bali, n’est qu’un confetti dans l’immense Indonésie, plus de 17 000 îles et 250 millions d’âmes, qui en font le quatrième plus grand pays au monde et le premier pays musulman de la planète. Parmi les originalités de Bali, se trouve justement la religion : ici, la population est hindouiste à 95%. La culture et la façon d’accueillir les visiteurs s’en trouvent du coup différentes et expliquent sans doute en partie l’attrait pour ce territoire, où fans de sports nautiques, férus d’architecture, lézardeurs sur plages dorées, gourmets curieux, randonneurs à bâtons, fêtards karaokistes, ou chercheurs d’authenticité se croisent sans souci à un moment du séjour. Bali se dévoile sur toutes ses facettes en deux pôles complémentaires, Ubud, la capitale culturelle dans les terres, et le littoral du sud. Deux bases de départ à la découverte de l’île qui permettent de rayonner sans grands trajets routiers vers les innombrables points remarquables de Bali.

À l’intérieur

Caractéristiques du paysage balinais, les rizières en terrasses émerveillent à chaque rencontre. Pas deux qui se ressemblent au gré de la pente du terrain, de la circulation de l’eau, de la proximité de villages ou temples, d’un chemin serpentant en plein cœur...

Avec leur système de fonctionnement en « subak », coopérative de paysans qui gère l’ouverture équitable de l’irrigation des parcelles, elles sont classées au patrimoine mondial de l’Unesco. Si Jatiluwih s’impose en site merveilleux pour les admirer, les rizières en terrasses irriguées, les « sawak », méritent un arrêt photo au minimum, et mieux, une balade facile entre niveaux, dans de nombreux secteurs du centre de l’île. Des circuits guidés à vélo y sont proposés à chaque coin de rue. Mais on peut aussi se plonger dans la vie des riziculteurs dans quelques villages où les habitants se sont associés pour un accueil des touristes, dont les bénéfices profitent à toute la communauté. Ainsi à Tunjuk, la demi-journée débute par un passage à l’école et la participation à un cours. Puis, voici l’apprentissage de la fabrication des petits paniers en feuilles de bananier qui servent d’offrande aux temples, tandis que d’autres assistent à un entraînement de coqs de combat. Enfin, distribution des protecteurs chapeaux pointus et bâtons de marche pour rallier la rizière. Il faudra descendre dans la boue jusqu’au genou pour conduire les buffles et la charrue, avant d’être initié au repiquage du riz... dans un grand éclat de rire.

Sur le littoral

Sur son îlot battu par les vagues à une dizaine de mètres du littoral, le temple de Tanah Lot est aussi incontournable à Bali que peut l’être la tour Eiffel à Paris. Sa construction remonterait au XVème siècle, et des serpents marins en assureraient la protection. À marée haute ou à marée basse, il présente au long de la journée mille aspects différents. Quand les flots se retirent, la balade sur la plage permet d’en admirer les facettes et de s’imaginer le plaisir d’y grimper, réservé aux seuls croyants. Sur la digue de roches et de terre qui s’avance vers lui, ce sont des foules de curieux qui se croisent à toute heure, avec une affluence énorme au coucher du soleil, à 18h10, quel que soit le jour de l’année. Des couleurs orangées et rouges noient alors l’horizon et l’îlot, quand crépitent les appareils photo. Certes, les allées qui y mènent sont devenues d’immenses zones commerciales où tout, du plus chic au plus kitsch, s’étale pour les touristes, mais le spectacle de terre et mer mélangées qu’offre Tanah Lot ravit et comble d’images à ramener dans ses souvenirs émerveillés. Bali n’est définitivement égale à nulle autre. urbanne

Evasion

BALI

Entrer dans la danse

Visiter

Il n’existe pas moins d’une cinquantaine de danses sur Bali, mais toutes ne sont pas accessibles aux étrangers au culte. Cependant, quels que soient le jour ou l’heure, un spectacle ouvert au public se déroule dans un déploiement de costumes colorés, de maquillages surlignés, de dragons méchants, de princesses aux yeux écarquillés, de singes moqueurs... Des orchestres de percussions et flûtes, les « gamelans », composés uniquement d’hommes, accompagnent les intrigues de combats entre le bien et le mal. Trois principales danses sont représentées. Le « Legong » raconte l’histoire d’une jeune fille qui refuse de céder à un roi qui l’a enlevée... elle sera libérée par un joli prince. Le « Barong » voit s’affronter le Bien et le Mal... ces deux notions étant présentes chez l’homme, il n’y aura pas de vainqueur. Enfin, le « Kechak » se différencie par une troupe de comédiens habillés de pagnes à carreaux, symbolisant une armée de singes qui, tout au long de l’intrigue reprenant des éléments des deux autres danses citées, émettront sans cesse claquements de dents et sifflements, avec une pincée d’humour.

Capitale culturelle de Bali, Ubud se niche entre forêts et rizières. La ville elle-même de 35 000 habitants se confond avec les villages alentours, et l’on passe de l’un à l’autre sans vraiment s’en rendre compte.

Si la zone la plus urbaine virevolte au rythme des scooters, des cars de visiteurs, des restaurants en tous genres, des boutiques de souvenirs, des comptoirs d’excursions, chaque art investit un quartier particulier. Ici, les expositions de peinture, là les sculpteurs sur bois, ailleurs les spécialistes de la pierre ou les ateliers de bijoux... avec en entrée de galerie, des artistes-artisans à l’œuvre pour montrer leur savoir-faire. Et il y en a pour tous les goûts ! Presque à chaque coin de rue d’Ubud, un endroit où suivre un spectacle traditionnel, et tout près, une discothèque techno pour les fans de la fête venus du monde entier, ou un salon de massage. Ce melting-pot étonne mais ne semble perturber personne, et il faudra au moins deux journées pleines (et autant de nuits) pour en faire le tour... en passant forcément à côté de plein d’autres choses.

Se régaler Délicate et parfumée, avec épices servies à part pour le confort de nos sensibles palais occidentaux, la cuisine balinaise se déguste tout au long de la journée dans des snacks locaux, les « warungs », ou dans des restaurants classiques aux heures de repas. Plats de base, le « nasi goreng » (riz) et le « mie goreng » (nouilles) sont grillés à la poêle avec légumes et épices et un œuf au plat servi sur le dessus. Le canard farci, « bebek betutu », est l’autre incontournable. Farci, il cuit des heures à l’étouffée dans une feuille de bananier. L’excellent « babi guling » est un cochon de lait farci qui cuit une nuit à la broche arrosé d’épices et lait de coco... un délice et une façon pour les locaux d’afficher leur différence avec la grande majorité musulmane de leurs compatriotes indonésiens. Au moment du dessert, il faut tester les fruits indigènes comme le mangoustan, le rambutan (proche du litchi) et le dragon. Et pour finir une petite tasse de « Kopi Luwak » ? La civette sauvage, petit animal style putois, adore les belles cerises du caféier, n’en digère que la coque externe et rejette dans ses excréments la pulpe intacte des grains. Des amateurs occidentaux de café l’ont érigé au sommet du goût. Devenu le café le plus cher du monde, le Luwak (civette) est hélas, de nos jours, souvent produit artificiellement en élevant en cage des civettes gavées de cerises de café de médiocre qualité, alors que dans la nature, l’animal ne choisit que les plus belles. Bien se renseigner auprès d’autochtones donc avant d’acheter au prix fort des grains quelconques au premier étal venu.

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Rencontrer la sérénité Les temples innombrables parmi lesquelles Besakih et ses nombreux niveaux, Pura Luhur Uluwatu au sommet d’une falaise, ou Gunung Kawi et ses colonnes sculptées dans la roche de la colline, dressent un itinéraire de beauté et de sérénité à travers toute l’île.

Lieu de purification de tout Balinais, Pura Tirta Empul comporte un vaste bassin en deux parties où l’on vient mettre sa tête sous les treize fontaines. L’accès est ouvert aux visiteurs après un passage au vestiaire et le port obligatoire du sarong. Avant l’immersion, on dépose son offrande de fleurs roulées dans une feuille, et on allume un bâton d’encens sur un des autels ou la tête d’une fontaine. Beaucoup ont alors une surprise en découvrant une svastika gravée dans la pierre. C’est l’un des plus anciens symboles de l’humanité, signe de bon augure, dont Hitler retourna le sens des pointes pour en faire la croix gammée des nazis. Ici, le sens originel s’applique. La température agréable de l’eau du bassin d’environ un mètre de profondeur facilite le rituel, qui appelle discrétion et respect. L’immense lac Beratan doit beaucoup de sa renommée au Pura Ulun Danu, temple dédié à la déesse des eaux Dewi Danu, qui s’avance dans le lac volcanique depuis 1663.

C’est une des images de rêve de Bali, avec ces tours à toitures superposées sur un carré de terre envahi de fleurs multicolores, à deux mètres du bord. La luminosité des différents édifices du temple, partagés entre hindouistes et bouddhistes, contraste avec le voile de brume tombant tout au long de la journée depuis les sommets d’en face. Pas de quoi décourager les plus téméraires pour un petit tour en barque... avec une petite laine. Nous sommes à 1 200 mètres d’altitude et Bali aime à surprendre encore !

urbanne

By Night

NOS PLUS BELLES SOIRÉES

Ligne Roset

Jeudi

23

Mars

COMME CHAQUE ANNEE LIGNE ROSET ET SES PARTENAIRES ONT DONNE RENDEZ-VOUS A L’ENSEMBLE DE LEURS CLIENTS ET AMIS. PRES DE 300 PERSONNES ETAIENT PRESENTES LE JEUDI 23 MARS DANS LE MAGASIN LIGNE ROSET 15 RUE DE L’ARCHE SECHE A NANTES.

Jean-Louis Lebert Boutique Onze

Cathel Le Moigne & Jean-Christophe Richard Honda / Victor Hugo Automobiles

Yves Derouin (Optique Derouin), Michel Dader et son fils Alexis

Jacques Kaim Samsung

Stéphane Potin, Gaêtane et Margaux de Urbanne

Pascal Bonnet et ses collaboratrices (Arthur Bonnet)

Vincent Caillard et son équipe La Tour 120 et Eric Rennesson (Ligne Roset)

Jérôme Tranchant, Thierry Garreau et Eric Rennesson (Ligne Roset)

Champagne De Venoge

Famille Visonneau Pâtisserie et Chocolaterie Visonneau

Les partenaires de l’évènement : Honda/Victor Hugo Automobiles Orvault, 02 40 76 20 21, www.dynamism.fr Yves Derouin Opticien Sautron 02 40 63 69 72 – yvesderouin-opticien.com Onze Nantes, 02 40 48 90 93 , www.boutique-onze.fr Samsung/Serif TV Nantes, 02 40 20 45 58, www.seriftv.com Arthur Bonnet Nantes – 02 40 54 83 29 - www.arthur-bonnet.com Pâtisserie Visonneau Nantes, 02 40 48 27 78, www.visonneau.fr Buffet organisé par le restaurant La Tour 120 Nantes, 02 40 35 48 15.

Dégustation des vins* Cellier des Chartreux 04 90 26 30 77 et des champagnes* de Venoge 06 07 11 93 93

LIGNE ROSET 15 RUE ARCHE SÈCHE NANTES CENTRE 02 40 20 45 58

Ambiance soirée 108

*L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération.

Ce fut l’occasion de découvrir la collection dessinée par Philippe Nigro pour Ligne Roset.

By Night

NOS PLUS BELLES SOIRÉES

Mercredi

05

Avril

Jean-François Birac, PDG Blanc Des Vosges, Catherine Choquet, Adjointe au Maire, Hélène Abbey, Directrice des ventes

Blanc des Vosges

BLANC DES VOSGES 12 RUE BOILEAU À NANTES 02 28 49 52 48 WWW.BLANCDESVOSGES.FR

Inauguration du concept store Blanc des Vosges Le 5 avril dernier, Blanc des Vosges, le célèbre fabriquant de linge de maison 100 % Made in France depuis plus de 170 ans, s’est offert une nouvelle adresse au coeur de Nantes.

Un bel espace de 100 m2 dévoile ses collections haut de gamme de linge de lit, accessoires déco et ligne parfumée pour la maison. Un savoir-faire unique et des collections tendances avec notamment un service sur-mesure.

Boutique Blanc des Vosges rue Boileau

Catherine Choquet, Blogueuses nantaises, Karine Sarre Boracay

Ligne parfumée Blanc des Vosges

Eric Guillet Brillouet, Mathieu Lopez Allnedis

Parure Cantade Céladon avec plaids et linge de bain coordonnés

Valérie Cruciani, responsable de la boutique, et Christine Etienne

By Night

NOS PLUS BELLES SOIRÉES

Mardi

23

Avril

Dr Fleischmann, Françoise Anee – Beauge, Benoît Poupart, Dr Chavigny, Isabelle Collet, Dr Lasfargue

Centre Laser

HTM

CENTRE LASER HTM 68 BOULEVARD MEUSNIER DE QUERLON 44 000 NANTES 02 51 77 19 10

C’est au cours d’une soirée festive que Benoit Poupart et Stéphane Le Bourhis, (les nouveaux dirigeants de la société Médicare HTM) et leur équipe ont présenté leur tout nouveau sérum.

Mme Pinson, Mme Bilore, Sandrine Poupart, Mr Pinson, Dr Lasfargue

Dr Comps, Benjamin Kabazzi, Maryse Valette 110

Beatrice Cervantes, Isabelle Collet, Lise Cervantes, Cornelia Osho-Rivoal

Centre laser HTM

Dr Fleischmann, Dr Coutant Foulc, Mme Fleischmann

Mme Blouin et Mme Chemin, Loïc Gautier

By Night

NOS PLUS BELLES SOIRÉES

Jeudi

18

Mai

Guillaume Renault Directeur Calligaris France,Vincent Nowicki Via Julio,Jean Pierre Cogné Agent Calligaris Ouest

Via Julio

VIA JULIO MOBILIER - DÉCORATION 96 BOULEVARD JULES VERNE 44300 NANTES TÉL. 02 28 16 08 32 WWW.VIAJULIO.COM

Via Julio fêtait le 18 mai dernier ses 10 ans. Une soirée festive avec la musique du duo Rhapsodie Clarisse Bernard et Christian Boutin. Un grand merci à tous les clients et fournisseurs présents à cet événement. Rendez-vous bientôt à tous ceux qui apprécient notre show room, nos marques et nos conseils

Arthur et Victor Accueil Vip

Sandrine Dugué et Marc Mercier 112

Patrick Volteau Agent Artcopi

Arthur et Victor Acceuil VIP

Sylvie Grasset Agent Serge Lesage Ouest,Vincent Nowicki Via Julio

Anthony et Walter

Sortir

CA VIENT D’OUVRIR / CA VIENT DE CHANGER

Alix

Izac

BY ALEXANDRA - DEPUIS AVRIL 2017

BY CÉLINE ET LYDIE - DEPUIS MAI 2017

Institut de beauté La bonne idée : un lieu de beauté et de bien-être pour femmes et hommes, voilà ce que propose Alix. Parce que notre humeur, la saison ou l’état de notre peau varient, les soins, prodigués avec les cosmétiques Codage, sont sur-mesure - on parle ici de soins haute couture. Même la cire Perron Rigot pour l’épilation rend l’expérience (presque) agréable. À cette adresse de la rue du Roi Albert, vous serez vraiment les rois et reines.

Mantra : « Se sentir comme chez soi avec des soins sur-mesure »

Prêt-à-porter masculin La bonne idée : l’homme dans toute sa classe ! Qu’il porte un costume pour aller au travail ou un polo sport chic le week-end, notre mec sera toujours bien habillé. La classe selon Izac tient dans les détails : une pochette, un bouton carré, un zip, des lacets qui rappellent la couleur de la chemise… De fabrication italienne, les vêtements sont raffinés et confectionnés dans de belles matières.

Mantra : « Un univers où seule l’élégance ne se démode jamais » 22 rue Crébillon, Nantes - 02 28 02 56 11 www.izac.fr / Facebook : Izac Du lundi au vendredi : 10h-19h. Samedi : 10h-19h30

1 rue du Roi Albert, Nantes - 02 40 20 81 08 www.alix-bien-etre.fr / Facebook : Alix bien-être et beauté Du mardi au samedi : 10h-19h

Arsène et les pipelettes

Brown

BY CHRISTOPHE ET LAURENT - DEPUIS MARS 2017

BY CAROLE - DEPUIS MAI 2017

Prêt-à-porter enfant La bonne idée : Arsène, c’est le petit garçon timide et sage ; les pipelettes, ce sont ces petites filles pleines de vie qui veulent des jupes qui tournent. Cette marque basque propose donc des pièces dans lesquelles s’amuser pour les enfants espiègles, et des vêtements plus classiques, mais toujours avec une forme de décontraction. Avec des imprimés forts et des couleurs chaudes, les vêtements Arsène et les pipelettes sentent bon les vacances et les bêtises !

Mantra : « Des vêtements à la fois classiques et fun » 20 rue Contrescarpe, Nantes - 02 40 74 91 23 www.arseneetlespipelettes.com / Facebook : Arsène et les pipelettes Du mardi au samedi : 11h-14h / 15h-19h

Concept store masculin La bonne idée : ici, on ne vient pas chercher une marque, on vient chercher un style, pour tous les moments de la journée. Les créateurs ont mis dans leur boutique tout ce qu’ils aiment : des vêtements élégants, des ceintures sur-mesure et modulables, des chaussures en cuir de qualité, des cosmétiques pensés pour les hommes et des saveurs italiennes ! Cette adresse à forte identité n’est pas uniquement réservée aux hommes, les femmes trouveront ici moult petits cadeaux à offrir.

Mantra : « L’art de vivre au masculin » 7 rue de Guérande, Nantes - 02 28 49 50 47 www.boutiquebrown.fr / Instagram : @boutique_brown Du mardi au samedi : 10h-19h

urbanne

Sortir

CA VIENT D’OUVRIR / CA VIENT DE CHANGER

Tissus Touch

BY CLAIRE - DEPUIS AVRIL 2017

Mercerie, création et ateliers La bonne idée : cette boutique est la caverne d’Ali Baba des couturières en recherche d’originalité et de qualité. On y trouve des Liberty à fleurs, mais pas que - car le Liberty est d’abord un type de tissu et pas un motif -, des tissus Tensira teints à la main en Afrique, de la laine géante ou encore des broderies modernes en vinyle perforé.

Le tout avec un espace enfants pour que les mamans puissent faire leurs achats tranquillement… Des ateliers de création sont également proposés.

Mantra : « La couture, le tricot et la broderie prennent un coup de jeune » 12 allée des Cinq Continents, Vertou - 02 28 02 43 57 www.tissustouch.fr / Facebook : Tissus Touch Du lundi au vendredi : 10h-19h. Samedi : 10h-18h

Chakra Noir

Theine

BY AOM ET PIERRE - DEPUIS AVRIL 2017

Maison de thé La bonne idée : après avoir vécu 9 ans au pied des plantations de thé en Thaïlande, le couple revient avec des produits nature de petits producteurs thaï, mais aussi du Laos, du Japon ou encore de Chine. Il s’est attaché à sélectionner des thés récoltés à la main et surtout frais. Ici, les thés nature n’ont que quelques semaines d’âge. Il propose également des tisanes d’une coopérative auvergnate et des thés aromatisés. Et pour déguster ses boissons, vous trouverez des bols et autres cuillères réalisées artisanalement.

Mantra : « Theine adore servir le thé à ceux qui en raffolent » 4 rue de l’Arche Sèche, Nantes - 06 47 43 92 42 Facebook : Theine Lundi : 14h-19h. Du mardi au samedi : 10h30-19h

Made.Höme

BY MYRIAM, ELISA, RONAN - DEPUIS MAI 2017

BY GUILLAUME ET JONATHAN - DEPUIS AVRIL 2017

Prêt-à-porter La bonne idée : ne comptez pas sur ces deux jeunes hommes pour faire dans le chichi et les froufrous. Le prêt-à-porter qu’ils proposent est minimaliste, alternatif, avant-gardiste, le tout en noir et blanc.

Ils ont réussi à allier leurs deux univers, dark et streetwear, hip-hop et rock, autour de pièces graphiques pour certaines, unies pour d’autres, mais toujours fortes. Les vêtements sont souvent unisexe et unitaille. Même les étiquettes ont été travaillées pour présenter les tailles et genres de façon différente.

Mantra : « Un style minimaliste et fort »

Décoration et architecture d’intérieur La bonne idée : la boutique, déjà située rue Voltaire, triple sa superficie dans son nouvel espace et peut ainsi accueillir une nouvelle marque, Caravane. Comme son nom l’indique, Caravane est liée au voyage et permet de s’évader grâce à des tissus des quatre coins du monde, aux matières et tissages différents. Le tout dans un esprit ethnique chic. Que les habitués se rassurent, ils retrouveront toujours les créations colorées de Franck Drion, les cartes d’Antoine Corbineau ou les affiches de voyage de Docteur Paper.

Mantra : « Mère et fille font votre déco en toute simplicité »

1 rue des Trois Croissants, Nantes - 02 28 49 00 95 Facebook : Chakra Noir Du mardi au samedi : 11h30-19h 114

1 bis rue Voltaire, Nantes - 09 82 53 84 01 www.madehome.fr / Facebook : Made.Höme Du mardi au samedi : 10h-19h

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(1) L’article 5 de la loi n° 2014-1654 du 29 décembre 2014, dit ”Dispositif Pinel“ permet une réduction d’impôts dont le montant dépend de la durée de l’engagement de location pris par l’acquéreur. La réduction d’impôt varie de 12 à 21%. Cette réduction s’applique aux logements respectant certaines conditions disponibles auprès de nos conseillers commerciaux, sur le site internet www.vinci-immobilier.com. L’éligibilité au Dispositif Pinel n’est pas garantie par VINCI immobilier dès lors que les conditions d’application sont fixées et vérifiées par l’administration fiscale. Le non-respect des engagements de location entraine la perte des incitations fiscales. (2) Le Prêt à Taux Zéro Renforcé (PTZ +) permet de financer jusqu’à 40 % du prix d’acquisition d’une résidence principale neuve (hors frais de notaire), sans les intérêts, ceux-ci étant pris en charge par l’État. Sous réserve d‘acceptation du dossier par un organisme bancaire, cette aide est accordée aux personnes n’ayant pas été propriétaires de leur résidence principale depuis au moins deux ans. Sous réserve de respecter les conditions fixées aux articles L 31-10-1 et suivants et R 31-10-1 et suivants du Code de la Construction et de l’Habitation et aux conditions du décret du décret n°2015-1813 du 29 décembre 2015, de l’arrêté du 1er août 2014 pris en application de l’article R 304-1 du Code de la Construction et de l’Habitation et du décret n° 2015-1 301 du 16 octobre 2015, le montant du prêt dépendant du niveau de revenus, de la composition du foyer fiscal, de la localisation géographique du bien. Conditions disponibles sur simple demande. (3) La certification NF Habitat est attribuée par l’organisme CERQUAL Qualitel Certification. Il certifie également que l’ensemble de la construction d’un immeuble, dans le cadre d’une VEFA, respecte certains critères liés à la qualité de service et d’exécution.

Démarche visant l’obtention de la certification, validée à l’achèvement de la résidence. (4) La conception du projet respecte les dispositions de l’article 4 de la loi “Grenelle 1” du 3/08/09 relative à la Réglementation Thermique (RT) 2012, qui ont pour objectif de limiter la consommation d’énergie primaire des bâtiments neufs à un maximum de 50 kWhEP / (m2 an) en moyenne. Le diagnostic de performance énergétique sera réalisé pour chaque logement avant livraison. VINCI Immobilier Promotion RCS NANTERRE 339 788 309 - Photos et illustrations non contractuelles. Crédit photo : iStock. 3D : Epsilon 3D. 06/17.