Urbanne Angers #2

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urbanne MODE & STYLE • ANGERS

BERTHE AUX GRANDS PIEDS

UNE SAGA ANGEVINE GÉRALDINE NAKACHE ET LEÏLA BEKHTI « J’IRAI OÙ TU IRAS »

SYLVIE JOBBIN-LE MOAL

LA SPICE TROTTEUSE RUE TOUSSAINT NOS COUPS DE CŒUR

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C O L L E C T I O N

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La Maison du Mariage - Angers INTIMITE • CHOIX • QUALITE



Urbanne

SOMMAIRE

Édito Dans quelques semaines, on pourra parler de la « décennie 2010 ». Le souvenir va se teinter de nostalgie pendant que nous égrènerons peu à peu les années 2020. Pour Urbanne, la dernière année de la décennie a été celle de notre arrivée au sein de la métropole d’Angers. Il était temps. Comme à chaque numéro, nous sommes emballés par la dynamique et les idées qui se mettent en œuvre en permanence. La ville se réécrit, se transforme, devient plus verte, plus belle, plus proche. Il n’est que de flâner rue Toussaint pour se rendre compte que les choses changent. En mieux. Ce nouveau numéro est pour nous l’occasion de vous faire découvrir ou redécouvrir toutes celles et ceux qui font bouger la ville. À tous ceux-là - et aussi aux autres - nous souhaitons une très belle année 2020. On vous embrasse, L’équipe Urbanne

8 10 12 26 28 32 36 38 40 42 44 46 50 55 56 60 65 En couverture Manteau, pull, jupe, béret, boots et sac • Galeries Lafayette • 6 rue d’Alsace, Angers

Contact : redaction@urbanne.fr Site : www.urbanne.fr Urbanne @urbanne_magazine 6

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Sommaire

La chronique littéraire de Julia Kerninon

Interview tendance : Berthe Aux Grands Pieds Mode : habillée pour sortir Chic, il fait froid !

Rue Toussaint, la belle dynamique

Beauté : la sélection à poser au pied du sapin Enfants : vers la fin des jouets genrés ?

Savoir-faire avec les Ateliers de Radis et Capucine Rencontre avec un diamantaire

Géraldine Nakache et Leïla Bekhti, « J’irai où tu iras » Sylvie Jobbin-Le Moal, la spice trotteuse En cuisine à la Table de Loire&Sens

Nouveau Jour : créations actuelles et vintage

Visite privée : vie de château pour loft épuré Déco : bientôt chez moi ! Évasion au Costa Rica Ça vient d’ouvrir !

Urbanne Mode & Style - Magazine gratuit. N°2 - Dépôt légal en cours Un magazine des éditions MGI (SAS) 34 rue Jules Verne - 44700 Orvault Crédit photo : Pascal Kyriazis, D.R. Impression : Union Européenne Tirage : 20 000 exemplaires Responsable de la publicité : Argentine Planchot - 06 18 40 09 34 - angers@urbanne.fr Rédaction : Pierre-Baptiste Vanzini - Karen Jouault - Sarah Lobé-Élémé Correction : Charlotte David Illustrations de Marina Le Ray Directeur de publication : Stéphane Potin Création : Achromac El Kouri - 06 75 20 66 91 Les photographies de l’édito de mode ont été retouchées. La reproduction des textes et photos est interdite.


Nouvelle Classe B. N’écoutez que vous-même et profitez du plus avant-gardiste des monospaces premium. Place à la connectivité grâce à l’écran digital tactile WIDESCREEN. Place à l’intelligence avec l’assistant vocal “Hey Mercedes” de série qui s’adapte à son conducteur jour après jour. Place à la sécurité avec les systèmes d’aide à la conduite issus de la Classe S.

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Culture Urbanne

AIR DU TEMPS

LA CHRONIQUE LITTÉRAIRE de Julia Kerninon Il y a un peu moins de dix ans paraissait un livre intitulé « Faut-il manger les animaux ? ». Son auteur n’était pas n’importe qui : âgé à l’époque d’une petite trentaine d’années, Jonathan Safran Foer était considéré comme un des romanciers américains les plus doués de sa génération. Ce livre n’est pourtant pas un roman : c’est plutôt un essai dans lequel Safran Foer raconte comment, dans l’attente de la naissance de son premier enfant, il a commencé à se demander comment il le nourrirait. Petitfils de rescapés de l’Holocauste, la nourriture tient une importante place symbolique dans la vie de sa famille - Américain, la nourriture est également partout autour de lui en abondance. Ses interrogations l’ont conduit à réfléchir, lire, puis finalement enquêter sur ce dont il se nourrit - il s’est ainsi retrouvé à infiltrer clandestinement des élevages intensifs pour comprendre ce qui s’y passe, et le résultat est ce plaidoyer subtil, honnête, intelligent, en faveur du végétarianisme. Cette année, Jonathan Safran Foer publie un nouvel essai, cette fois intitulé « L’Avenir de la planète commence dans notre assiette ». Je ne sais pas à quel point vous êtes familier avec les notions d’effondrement, d’épuisement des ressources, de décroissance, ou, plus crûment, avec les chiffres concernant le réchauffement climatique et ses conséquences à court et moyen terme. Personnellement, parce que je partage ma vie avec un homme que sa récente paternité a poussé à regarder les choses en face et à se documenter, je vis désormais dans un appartement contenant une réserve d’eau potable et de nourriture, et des sacs à dos d’évacuation destinés à s’enfuir au plus vite en cas de « choc ». J’ai dé-tes-té tout ça quand ça a commencé, je l’ai détesté lui quand il s’est mis à me parler de ces trucs profondément choquants, qui impliquait la fin du monde tel que je l’avais toujours connu, l’abandon de ma vision de l’avenir, et une peur viscérale pour mon enfant. Mais comme l’écrit limpidement Safran Foer, ce qui menace nos enfants en ce moment, c’est nous. C’est notre incapacité à croire à ce qui se rapproche de plus en plus vite, et donc à changer nos modes de vie. Or, contrairement à ce que nous imaginons, les quatre actions les plus efficaces pour lutter contre le réchauffement climatique sont : 8

adopter un régime végan ; ne plus prendre l’avion ; vivre sans voiture ; avoir moins d’enfants. Quoi qu’il arrive, nous allons devoir apprendre à vivre dans un monde plus difficile dans les années qui viennent - mais nous pouvons, individuellement et collectivement, atténuer le choc, et cela commence, je crois, par prendre ces quatre points au sérieux. S’attacher à les respecter, sans perdre de temps à argumenter. Le réchauffement climatique actuel est dû aux actions humaines - c’est un fait. Nous ne pouvons plus vivre comme avant, ni fermer les yeux. Il faut simplifier nos vies. Là où Safran Foer est bon, c’est qu’il n’aborde pas ces questions en spécialiste, mais en citoyen doué simplement d’une meilleure capacité à raconter que la normale. Son nouveau livre repose sur un constat simple : nous pouvons facilement agir sur ce que nous mangeons. Il suggère de ne consommer aucun produit d’origine animale avant le dîner - parce qu’il a été prouvé qu’un tel régime était plus écologique qu’un régime 100% végétarien. Je n’ai pas encore entrepris de suivre ce conseil - mais je me suis surprise à chercher des alternatives à la crème fraîche. La chair animale a été assez facile à diminuer : mon curry au poulet est désormais aux lentilles, mes lasagnes sont définitivement végétariennes, et j’ai fini par admettre que je préfère un burger aux graines - principalement parce que le digérer ne me prend pas toute mon énergie de l’après-midi. Je ne suis ni végane ni végétarienne, mais disons que je bosse le sujet, et que ça ne me coûte pas beaucoup, en fait. Ça ne me coûte pas non plus beaucoup de conduire peu, mais c’est parce que je travaille de la maison et que j’habite en centre-ville. En revanche, depuis un an, on a décidé de ne plus prendre l’avion, même pour le travail - c’est un peu plus compliqué, mais ça aussi, ça se fait. Pour moi, le plus dur, ce sont les enfants, je crois - mais chacun son truc, j’imagine. Moins de produits d’origine animale - moins de trajets en avion - moins de trajets en voiture - moins d’enfants. Ce n’est pas facile ? Personne n’a dit que ce serait facile. Mais nous n’avons plus le choix. 


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Mode

TENDANCE

CRÉATION

BERTHE AUX GRANDS PIEDS Le haut de gamme qui ne se prend pas au sérieux

Régis Gautreau a lancé la marque Berthe Aux Grands Pieds il y a vingt ans. Elle est aujourd’hui présente en Chine, aux États-Unis et dans mille trois cents points de vente en France. Depuis, il a imaginé des gants, des chaussons, des collants, des pulls et bientôt des chaussures. Pour le rencontrer, rien de plus simple : il est sur le marché d’Angers toutes les semaines. Berthe Aux Grands Pieds, c’est votre idée. Comment devient-on amoureux de la chaussette ? J’ai créé la marque le 4 juin 1999. Auparavant, je vendais des chaussettes sur les marchés, du haut de gamme dégriffé. En fait, dès l’âge de quatorze ou quinze ans, je bossais avec des copains de quinze ans de plus que moi sur les marchés à Angers. En étant avec eux, j’ai appris à aimer le métier de commerçant. Après mes études et l’armée, j’ai eu envie de rester avec mes potes, mais à mon compte. Eux qui vendaient des bagages, des vêtements et

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des bijoux m’ont dit : « Ça ne nous dérange pas, mais... Fais des chaussettes ! ». C’est comme ça que je me suis lancé et que j’ai appris à aimer les chaussettes. Comment est née la marque ? Elle est née après une discussion avec un ami à Angers. On parlait de Charlemagne et de sa mère, Berthe au grand pied. J’ai immédiatement pensé que cela pouvait être un nom de marque intéressant. Mon pote m’a dit que ce serait dingue que ce ne soit pas déposé. Ce n’était pas le cas, et


je l’ai déposée le soir même, sans hésiter. C’est Français, c’est souriant, c’est une marque qui se retient à la seconde. Je fais revivre une reine de l’an 800. J’égratigne un peu l’orthographe, puisque son nom s’écrit sans « s », mais l’aventure dure depuis vingt ans. Qu’est-ce qui vous plaît dans les chaussettes ? C’est un produit que j’ai appris à aimer, et surtout à bien comprendre. Au premier abord, particulièrement en France, on s’en fiche des chaussettes, parce que ça ne se voit pas. Dans l’inconscient collectif, c’est facile à fabriquer et ça ne coûte rien. En réalité, les chaussettes, ça se voit. Et quand c’est moche, c’est moche. C’est en fait un produit élitiste et extrêmement difficile à fabriquer, et donc cher. Vous aviez une exigence, pour cette marque, celle de la qualité... Oui, c’est pour ça que je me suis rapproché de la Manufacture Perrin à Montceau-les-Mines, en Saôneet-Loire. Je travaillais avec eux depuis longtemps. Ils m’ont donné leur accord pour essayer de lancer une première collection une peu souriante. Cela a fonctionné très rapidement, parce qu’on ne s’est rien refusé : du coton d’Égypte, de la laine et du fil d’Écosse... Ce sont des chaussettes hyper résistantes, confortables, jolies, décalées et fabriquées en France. Et aujourd’hui encore, si l’on veut vous voir, il faut se rendre... sur le marché. Pourquoi n’avez-vous jamais lâché votre étal ? C’est une drogue, c’est un laboratoire extraordinaire. Je capte l’air du temps à la seconde, avec le consommateur en direct. C’est lui le seul juge. Je le rencontre cinq fois par semaine, y compris le dimanche. Si je sens que le produit n’est pas assez confortable, mal fabriqué ou fragile, je rectifie. On sait tout, tout de suite. C’est quoi une bonne paire de chaussettes ? Ce sont des chaussettes qu’on n’a pas envie de retirer. Elles se font oublier. Elles sont confortables, ne plissent pas, ne serrent pas trop. Elles ont un talon, une pointe remaillée et elles sont chaudes quand il le faut et fraîches le reste du temps

Mais vous ne vous êtes pas cantonné aux chaussettes ? Nous avant lancé des collants haut de gamme avec un fabricant du sud de la France en 2004, puis nous avons essayé de développer des chaussons du côté d’Angoulême, des gants dans l’Oise... La marque a pris beaucoup d’ampleur. Elle représente 50% du chiffre d’affaires de Perrin aujourd’hui. On exporte en Chine, aux États-Unis, en Europe, en plus des mille trois cents détaillants en France. Vous êtes un vrai précurseur du made in France ! C’est vrai qu’il y a vingt ans, c’était précurseur à mort. On s’en fichait du made in France, comme des chaussettes, d’ailleurs. Je reviens du salon du Made in France, c’est hyper intéressant ce qui est en train de se passer. Vous avez aussi lancé des modèles de pulls marins, légèrement revisités... Oui, avec des thèmes de chaussettes au niveau des coudes. Je me suis rapproché de la manufacture Royal Mer à La Regrippière. On fait du vrai haut de gamme, vraiment made in France et vraiment décalé. On en a vendu seize mille en trois ans. Alessandra Sublet et Denis Brogniart les ont même portés à la télé. La prochaine étape, ce sont les chaussures... On lance la première collection de chaussures God Save Berthe fin janvier. Elles seront fabriquées dans le Maineet-Loire. Elles reprennent tous les codes de la marque. Le côté déjanté et la qualité sans concession.

https://bertheauxgrandspieds.com


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HIVER

Mannequin : Frédérique (www.fredxoc.book.fr) Make up artist : Christine Terazza Un très grand merci à l’équipe du magasin Ligne Roset (5 avenue de Contades, Angers), pour le formidable accueil qui nous a été réservé pour ce shooting.

MODE

LES MATIÈRES de l’hiver

Pull, gilet en maille, pantalon et chemise • GERRY WEBER • 15 rue des Lices, Angers

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PRINTEMPS

Perfecto en velours Molly Bracken, jupe Mamouchka et pull Ryujee • D’Zelle • 5 rue Montauban, Angers

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Nouveau Beaumont Betty Barclay Soie pour Soi

Rayon pantalons du 36 au 50 Taille haute avec Lycra

Ouvert du mardi au vendredi 10h - 13h / 14h - 19h Samedi 10h -18h30

15 rue des Lices Angers 02 41 73 34 23

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HIVER

Pull et pantalon Isabel Marant, bottes Jérôme Dreyfuss, bijoux Gas • À Cause des Garçons • 25 rue des Poêliers, Angers Lunettes • Acuitis • 1 place du Pilori, Angers

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Prêt à porter décontracté chic

23 Rue des Poëliers - Angers 09 87 16 69 73 Ouvert du Mardi au samedi 11h-13h / 14h-19h

River Woods by Gala

Riverwoods49 www.riverwoods-bygala.fr urbanne


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HIVER

Manteau, pull, jupe, béret, boots et sac • Galeries Lafayette • 6 rue d’Alsace, Angers 18


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HIVER

Pull La Fée Maraboutée, cardigan et jupe Meisïe • La Boutique • 8 place du Pilori, Chalonnes-sur-Loire

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HIVER

Cardigan, foulard, jean • River Woods • 23 rue des Poêliers, Angers

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Pull et pantalon Isabel Marant, bottes Jérôme Dreyfuss, bijoux Gas • À Cause des Garçons • 25 rue des Poêliers, Angers Lunettes • Acuitis • 1 place du Pilori, Angers urbanne


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Robe Yuka, cardigan s.Oliver, bottines Bunker et sautoir • Bell’s Boutic • 25 rue de la Bellière, Mauges-sur-Loire

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SÉLECTION

UNE SAISON enveloppante

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1/ Manteau CKS - Les Petits Potins - 64 rue du Mail, Angers • 2/ Manteau - GERRY WEBER - 15 rue des Lices, Angers • 3/ Manteau Trench and Coat - Notting Hill - 4 rue Bodinier, Angers • 4/ Doudoune See by Chloé - À Cause des Garçons - 25 rue des Poêliers, Angers • 5/ Manteau trois-quarts - Des Petits Hauts - 20 rue des Poêliers, Angers 26

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RUE TOUSSAINT

DOSSIER

RUE TOUSSAINT La belle dynamique

La rue, jadis connue pour ses antiquaires, accueille aujourd’hui de jolis restaurants, des boutiques qui savent se démarquer et même un hôtel ouvert sur la ville. Une rue qui vit aussi le premier dimanche de chaque mois au gré de la brocante du château sur lequel elle débouche. Voici quelques-uns de nos coups de cœur.

9 21 N°9

Galerie Eloka, la rencontre des arts Dennya Cormier présente ici un passionnant dialogue entre art contemporain, arts premiers et artisanat d’art. Tableaux, sculptures et objets - labellisés Atelier d’Art de France - développent une atmosphère unique. L’exposition actuellement consacrée à Jean Boccacino, un peintre angevin, permet de découvrir un magnifique travail autour du monde du cirque, du théâtre et de l’imaginaire. Mardi, jeudi, vendredi, samedi : 10h-13h /14h-18h30 02 41 96 85 42 ou 07 86 92 91 98 / www.galerie-eloka.com

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59 31 N°31

Les Archives, la mode en toute indépendance Les Archives, lieu ouvert depuis l’été 2018, avec un espace multimarques pour homme à la sélection soignée. On y trouve aussi bien A.P.C., AMI, Veja, que Maison Kitsuné et son célèbre Fox. On y découvre Maison Labiche avec ses broderies fantaisies et Cuisse de Grenouille et son style « gentleman surfer », aux côtés de l’intemporel K-Way ou des produits du Slip Français. Du mardi au vendredi 11h-13h30 / 14h30-19h. Le samedi : 10h30-19h 09 82 35 20 50 / www.lesarchives-shop.com Instagram / Facebook : lesarchivesangers

N°41

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L’expertise de la Compagnie des Métaux Précieux La Compagnie des Métaux Précieux de l’Ouest est le spécialiste régional de l’achat et la vente de l’or d’investissement (lingots et pièces), des bijoux anciens ainsi que des monnaies et billets de collection. Elle traite aussi le recyclage de tous les métaux précieux. On peut pousser la porte avec ou sans rendez-vous chez ces numismates passionnés et amoureux des bijoux anciens. Du mardi au samedi : 10h-13h / 14h-18h 02 41 34 94 57 / angers@cmpouest.fr

N°21

Jane Jardinerie La greffe a pris et cette jolie jardinerie de ville est aujourd’hui foisonnante. Les jardiniers citadins trouvent ici de quoi fleurir intérieurs et balcons, mais également des objets de décoration et des idées cadeau. Ici, le savoir-faire se transmet grâce aux ateliers, et l’équipe va même jusqu’à installer les plantes à domicile ou en entreprise. Mardi au jeudi, 11h-19h / vendredi et samedi, 11h-19h30 02 41 96 58 36 / www.jane-jardinerie.fr

N°59

Hôtel Marguerite d’Anjou, le charme et la convivialité Ouvert sur la ville et vue imprenable sur la château, l’établissement retrouve un nouveau souffle avec l’arrivée de Christophe et Pierre-Louis. L’un apporte la rigueur de sa formation hôtelière, l’autre l’œil de son ancienne vie de premier assistant-réalisateur pour faire de ce logis hôtel un lieu alliant confort, qualité, simplicité et convivialité. Ouvert tous les jours 02 41 88 11 61 / www.hotel-marguerite-danjou.com

Suivez l’actualité des commerçants de la rue Toussaint : www.facebook.com/ruetoussaint.angers urbanne


Beauté

ACTU

NEWS

LES ACTUS BEAUTÉ de l’hiver

Du chocolat dans ma salle de bains Non, la gourmandise n’est pas un vilain défaut ! Surtout quand il s’agit de soin du corps. La marque Lamazuna, qui œuvre pour une salle de bains zéro déchet, a lancé un coffret 100% chocolat. Composé d’un shampooing solide pour cheveux normaux à secs et d’un beurre de cacao solide pour corps et visage (et même pour massages), ce coffret séduira les plus gourmands de chocolat et de soins ! www.lamazuna.fr

Tout savoir sur les ingrédients de la cosmétique Les consommateurs sont de plus en plus en recherche de transparence concernant la composition de leurs produits de beauté. C’est pourquoi le groupe L’Oréal a lancé un site dont le but est de répondre aux demandes de clarté des utilisateurs. Comment les produits sont composés et fabriqués, pourquoi L’Oréal utilise certains ingrédients parfois controversés, quels sont les engagements en matière de sécurité ou de respect de l’environnement ? Le groupe répond de façon claire et précise, et c’est déjà pas mal. au-coeur-de-nos-produits.loreal.fr

Prendre soin de soi dès l’enfance Nos bambins, filles et garçons, prennent de plus en plus soin d’eux. Et une marque, Nougatine, leur est dédiée. Des formulations à plus de 95% d’ingrédients d’origine naturelle, sans huile essentielle, sans PEG, sans silicone, sans alcool, sans tensioactif sulfaté et sans suremballage - parce que nos enfants sont conscients de leur environnement. Le tout dans un univers de fête foraine avec des parfums gourmands. Et devinez quoi, il existe des coffrets pour Noël ! Instant Coton 31 rue des Lices, Angers 02 41 23 11 79

And the winner is…

Quelle est l’enseigne beauté la plus appréciée des étrangers en France ? Cosmetify, plateforme de comparaison des produits de beauté, a réalisé une enquête pour répondre à cette question. And the winner is Yves Rocher ! Les étrangers de 42 pays font confiance à la marque bretonne.

Du matériel royal pour vos cheveux Des coiffures dignes d’une reine : voilà ce que promet la marque ghd avec le coffret deluxe de la nouvelle collection Royal Dynasty. Dans un vanity burgundy - il fallait bien une couleur noble pour cet écrin - se trouvent le styler ghd platinum+ et le sèche-cheveux, qui, pour l’occasion, se parent d’un rose gold. On a toutes rêvé d’être une princesse un jour, non ? Eh bien, c’est possible! La Suite 19 boulevard du Maréchal Foch, Angers 02 41 87 41 39 30

Des cheveux lissés à la perfection Une des meilleures gammes de produits capillaires pour cheveux lissés s’installe à Angers. Lissfactor est le spécialiste en la matière. Les shampooings et soins de la marque préparent les cheveux au lissage japonais ou brésilien et les renforcent après. Les soins cliniques en salon apportent également matière et brillance aux cheveux agressés et abîmés. Salon Quentin Desmars 23 rue des Lices Angers 02 41 27 69 45


Tendance

BIEN-ÊTRE

PORTRAIT

ET LA FEMME se mit à courir… Le Marathon de la Loire prépare sa 4e édition qui aura lieu le 10 mai prochain à Saumur. Chaque année, les femmes y sont de plus en plus nombreuses. Mais qu’est-ce qui fait courir les femmes ?

Tout le monde court. Les jeunes et les moins jeunes. Les hommes, et de plus en plus les femmes. Emmanuelle Bouttier-Floc’h, chargée de communication du Marathon de la Loire, le constate année après année. « Durant la dernière édition, on recensait 31% de femmes, et cette part augmente tous les ans. Le parcours traverse le parc naturel régional, longe la Loire et le terrain est plat, cela séduit le public féminin. » Antoine Gruau, référent nutrition pour le Marathon de la Loire et coach spécialisé dans la variabilité de la fréquence cardiaque, compte, lui aussi, de plus en plus de coureuses. « Elles sont moins dans l’esprit compet’. Une de mes amies parle de « blabla run » : on part courir avec ses copines pendant une heure et on se raconte nos vies. Mais il est vrai que de plus en plus de femmes s’entraînent pour un marathon ou un semi. »

« Garder du plaisir quoi qu’il arrive » Et la préparation est la même pour un homme ou une femme. « Je conseille de travailler l’endurance, fondamentale pour pouvoir tenir sur les longues distances. Durant ce type d’entraînement, on peut littéralement chanter en courant ! ». Là où une différence est notable, c’est la progression. « Les femmes sont plus à l’écoute de mes conseils que les hommes ! Du coup, elles progressent

plus rapidement ! », sourit Antoine Gruau. La préparation passe aussi par la nutrition. « Bien s’alimenter en vue d’une course est aussi important que s’y préparer. Une bonne alimentation permet d’éviter les blessures. Je vais adapter mes conseils aux personnes : leur routine, leur profession… ». Mais le plus important, selon Antoine Gruau, c’est « garder la notion de plaisir, quoi qu’il arrive ». « Si on commence à enfiler ses baskets à contrecœur, c’est que notre corps est fatigué. On peut ne pas s’en rendre compte. » Le professionnel conseille d’y aller étape par étape, sans se comparer avec les autres, en respectant son corps. « Ce serait dommage de s’épuiser avant la course », conclut-il. ¢

Un parcours nature Le week-end du 8 au 10 mai 2020, le Marathon de la Loire attend 6500 coureurs de 27 nationalités. Ce rendez-vous séduit les sportifs, notamment grâce à ses trois épreuves différentes : le marathon (42,195 km), le semi (21,1 km) et un combiné canoë-course à pied (12 km en canoë et 17 km en course). Ce qui fait l’originalité de ces courses, c’est bien l’ambiance sur le parcours avec une animation musicale prévue tous les kilomètres.

www.marathon-loire.fr urbanne


Beauté

CONSEIL

BEAUTÉ

AU PIED du sapin…

Coffret Merveilleuse (peeling et masque) de Sanoflore - Pharmacie et parapharmacie • Coffret iO (eau de parfum et bracelet olfactif) de Douces Angevines - L’Oisellerie - 5 rue de L’Oisellerie, Angers • Coffret Cinq Mondes à composer - Éclat des Sens - 11 rue Marie-Amélie Cambell, Angers • Coffret Citadine (crème visage et yeux, gommage visage et crème corps) de Phytomer - Instant Coton - 31 rue des Lices, Angers • Coffret Sothys (nettoyant visage, masque et gommage visage) - Les Moments Doux - 10 place de la République, Angers

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Beauté

CONSEIL

BEAUTÉ

UN MAQUILLAGE DE FÊTES parfait !

Pas question de rater son maquillage de fêtes ! Et pour être la plus belle, voici quelques conseils de pro avec Élodie, de l’institut Les Moments Doux.

CONSEIL N°1

On prépare sa peau avant de se maquiller

Gommage et masque hydratant et/ou lissant sont O-BLI-GATOI-RES ! « Cela permet d’avoir une peau impeccable qui tiendra mieux le maquillage », explique Élodie.

CONSEIL N°2

On corrige si besoin

De nombreux soins correcteurs existent pour embellir et protéger la peau. De la même façon, on peut opter pour un anti-cernes. « On choisit toujours une carnation en dessous de la nôtre et on l’applique après le fond de teint. »

CONSEIL N°3

Jamais sans ma poudre !

Après avoir appliqué sa crème de soin et son fond de teint, on poudre. « Cela va fixer le fond de teint et donner un côté velouté à votre peau. Lorsque vous allez mettre du fard à joue, l’effet sera également plus fondu, plus homogène. » À noter : optez pour une poudre sublimatrice qui donnera un aspect nacre à votre teint.

CONSEIL N°4

Bouche ou yeux, telle est la question

Impossible de choisir un maquillage intense pour la bouche ET les yeux. « Avec une bouche très dessinée et des yeux soutenus, le regard de votre interlocuteur sera perdu », indique Élodie. C’est la fête, mais quand même…

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CONSEIL N°5

On ose trois couleurs pour les yeux

Avant toute chose, on commence par poudrer ses yeux afin de mieux fixer le fard à paupières. « Les ombres claires vont être posées en dominante sous le sourcil. Puis, on applique une couleur intermédiaire sur la zone mobile avant d’ajouter une touche plus foncée au coin de l’oeil. » Sans oublier le mascara, « de préférence noir pour l’intensité avec, pourquoi pas, les pointes des cils en violet ou bleu pour rehausser la couleur de vos yeux. »

CONSEIL N°6

Des lèvres bien dessinées

Après avoir fait un soin des lèvres avec un gommage et un baume, on dessine leur contour au crayon et on pose son rouge à lèvres avec un accessoire. « En utilisant un pinceau à lèvres, votre geste sera plus précis et permettra de mieux répartir la matière. »

CONSEIL N°7

Une virgule de blush

Un maquillage de fête se termine forcément par le blush. « Il est important de l’harmoniser à son rouge à lèvres : avec un rouge à lèvres rose, on choisira un blush rosé. » Il s’applique toujours de haut en bas, en partant du dessous des tempes jusque sous les yeux, dans un geste en forme de virgule. Une vaporisation de fixateur et vous êtes prêtes !

Les Moments Doux 10 place République, Angers 02 41 88 86 59


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Sélection

ENFANTS

ENFANTS

VERS LA FIN DES JOUETS genrés ?

S’il est impossible d’échapper à Noël et ses cadeaux, ces derniers sont de plus en plus conçus pour les filles et les garçons. Jusqu’à un certain point… Les stéréotypes ont la vie dure : difficile de passer à côté du rose, toujours associé aux filles qui jouent forcément à la poupée, et du bleu, la couleur des garçons, de leurs boucliers et mallettes de bricolage. « Les choses changent. Petit à petit. Les fabricants écoutent les retours des clients et essaient d’imaginer des jouets moins genrés », constate Nicolas Grolleau, à la tête de la boutique Le P’tit Lutin. Carmen Chevrier, conseillère de vente chez Oxybul, note également quelques changements. « Chez nous, cela passe beaucoup par la couleur et le packaging : notre petite cuisine existe en rouge ou vert et on voit une petite fille et un petit garçon sur l’emballage. » Une cliente d’une cinquantaine d’années surprend notre conversation et s’exclame : « Enfin ! C’est bien. » L’achat de jouets genrés ne serait donc pas qu’une question de génération ? « Globalement, les clients apprécient les efforts faits. Dans notre discours, on essaie de rendre l’article le plus mixte possible, même quand on a un petit garçon sur l’emballage d’un déguisement de pompier ! », affirme Carmen. Chez Le P’tit Lutin, on est moins convaincu. « Les grandsparents font attention, mais certains jeunes parents ont du mal à laisser leur fils jouer à la dînette. Clairement, c’est un problème pour les parents, pas pour les enfants au moins jusqu’à trois ans. Les enfants, eux, jouent avec ce qu’on leur propose », constate Nicolas.

« Nous vivons les prémices d’une prise de conscience » Certes. Et s’il est plus commun de voir des petits garçons jouer à la dînette dans les catalogues, on n’y trouve pas encore beaucoup de petites filles se saisir d’une perceuse. Pourtant, comme l’expliquait le psychopédagogue Nicolas Murcier en 2005, c’est 36

entre cinq et sept ans que « la valeur accordée aux stéréotypes de sexe est à son apogée chez les enfants ». On a de quoi s’inquiéter… « Je pense que nous vivons les prémices d’une prise de conscience. On parle des jeux très connotés comme la cuisine ou le bricolage, mais il y a aussi des efforts à faire sur les loisirs créatifs, où les thèmes sont encore majoritairement féminins, et les déguisements. Il faudra plusieurs générations », conclut Carmen. Petit à petit, on a dit.

La filière signe une charte de bonnes pratiques En septembre, fabricants, distributeurs et marques ont signé une charte de bonnes pratiques. Pour ce Noël 2019 (et les suivants !), ils s’engagent notamment à « éviter les stéréotypes assignant à chaque genre des postures, des activités ou des codes de couleurs trop déterminés », à « mettre fin aux stéréotypes sexistes diffusés, non pas par le jouet en lui-même, mais par sa notice et/ou sa description », ou encore éviter les catégorisations de genre dans les magasins ou les catalogues. Les sciences devraient également être promues pour les filles et les garçons grâce au nouveau label STIM, comme « Sciences, Technologie, Ingénierie et Maths ». Encore un peu de patience et les univers seront moins centrés autour de la maison pour les filles et de la virilité pour les garçons…

Le P’tit Lutin 4 rue de l’Aiguillerie, Angers - 02 41 20 15 01 Oxybul 4 rue Chaussée Saint-Pierre, Angers - 02 41 48 42 95


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Ateliers

RADIS ET CAPUCINE

RADIS ET CAPUCINE Des ateliers pour se réapproprier ensemble les savoir-faire

magasin pour fabriquer de la bière, de la moutarde ou des cosmétiques à la maison. C’est aujourd’hui une boutique-atelier à Angers qui permet d’apprendre, entre amis ou en famille, des tours de main et des recettes auprès de professionnels. Faites-le vous-même. Mais faites-le ensemble. Découverte.

Jean-Sébastien Griffaton est fils et petit-fils de semenciers. Devant le manque d’engouement, à une certaine époque, des Français pour leurs potagers, il a décidé de revisiter le métier. Aujourd’hui, avec son équipe de trente-cinq personnes à Trélazé, il conçoit des activités ludiques d’apprentissage. « Nous sommes devenus les spécialistes des coffrets à ingrédients et des activités ludiques à faire à la maison, raconte-t-il. La moutarde a été notre premier produit. En regroupant les ingrédients et avec les ustensiles de monsieur Tout-le-monde, vous pouvez faire votre pot de moutarde en dix minutes. » Ont suivi des ateliers pour faire des fromages, et ensuite de la bière. Radis et Capucine vend plusieurs dizaines de milliers de kits par an. « Maintenant, nous proposons aussi de fabriquer du pastis ou du gin, s’amuse-t-il. Mais il y a aussi une demande - parallèle à une méfiance grandissante du public quant aux ingrédients - pour réaliser des cosmétiques bio et sans conservateurs. » On peut fabriquer son baume à lèvres ou pour les cheveux, cire pour le corps... Ces activités, Radis et Capucine propose aujourd’hui de les vivre - elles et beaucoup d’autres - dans sa boutique-atelier. « Nous voulions faire de ce lieu une vitrine de notre marque et de nos univers : le jardinage, la cuisine créative, la cosmétologie et les ateliers bière. Mais nous voulions aussi être originaux en proposant des choses que l’on ne trouve pas en magasin et que l’on voit sur Pinterest ou Instagram », souligne Jean-Sébastien Griffaton. Tous les ateliers sont bio, zéro déchet et tendent à démontrer qu’on 38

peut faire soi-même des choses insoupçonnées. « Ma mission sur terre, c’est faire pousser une graine par enfant, assure-t-il. La boutique a une autre mission : aider à changer sa consommation et faire des choses qui rendent moins dépendant des industriels. Les gens viennent ici pour une transmission de savoir-faire. Nous voulons qu’ils se réapproprient leur quotidien. » Tous les animateurs sont des spécialistes : chefs cuisiniers, décoratrices d’intérieur, professeur de cosmétologie, brasseurs de bière. « Quand on pose une question, on a une réponse précise », souligne le chef d’entreprise. On voit ici des parents avec leurs enfants, des quadragénaires venir brasser leur bière avec leur papa, des collègues de travail, des entreprises, des enterrements de vie de jeune fille ou de garçon... Ces ateliers offrent autre chose que des produits : du temps passé ensemble. 

Les Ateliers de Radis et Capucine 21 place Molière, Angers 02 41 24 99 29 ateliers.radisetcapucine.com


LE BEAU AURA TOUJOURS RAISON

PAIPAÏ LUCIDIPEVERE

3 bis et 5 avenue de Contades, Angers – 02 41 87 88 59 – angers@cinna.fr

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Urbanne

RENCONTRE

DÉCOUVERTE

LE DIAMANT passionnément

Le diamant, gage d’amour éternel, déchaîne les passions. Xavier Thomas a totalement succombé au charme de cette pierre si précieuse. Bijoutier depuis quatre générations, il est aujourd’hui le premier diamantaire de sa lignée. Une vocation. Rencontre. C’est un véritable écrin pour leurs diamants que Xavier Thomas et son épouse Denise ont imaginé à Angers. Dans un extraordinaire bâtiment du XVe siècle, ils ont créé un havre pour abriter leur seconde carrière et leur passion. Après avoir fait fructifier l’héritage familial, Xavier Thomas a vendu ses quatre bijouteries. Il aurait pu arrêter sa carrière. Mais le virus était là. A cinquante-six ans, il décide de reprendre une formation pour devenir diamantaire, spécialiste reconnu de cette pierre éternelle. «Certified diamond grader», indique son diplôme obtenu à Anvers (Belgique), la capitale du diamant. Il finit même major de promotion. «C’est juste du bonheur, sourit-il. 40

Je suis devenu vraiment spécialiste en diamant, même si cette pierre, je la connais depuis que je suis né.»

Seul maître à bord Le diamant, c’est sa passion. La pierre illumine son regard quand il en parle. «C’est une pierre éternelle, c’est ce que j’aime. C’est un bijou qui fait partie de notre vie, qui a une histoire et qu’on peut transmettre à ses enfants.» Les bijoux qui sortent de cette maison sont uniques. C’était également


le souhait du diamantaire. «Je voulais m’affranchir des fournisseurs, des marques. Aujourd’hui, je sais ce que j’achète et je suis responsable de ce que je fabrique du début à la fin. » Tout un processus se met en oeuvre dès lors que l’on franchit la porte de la boutique. On commence par parler de pierre, de pureté, de taille... «Je travaille directement avec Anvers. En fonction des souhaits, je peux avoir trois pierres à présenter sous vingt-quatre à quarante-huit heures », explique-t-il.

Du rêve à la réalité Chaque bijou est ensuite imaginé, dessiné, mis au point en collaboration avec le diamantaire dans un espace dédié, très intime. «On crée une histoire ensemble, sourit Xavier Thomas. C’est vraiment une pièce unique. On n’achète pas une alliance ou une bague de fiançailles par hasard. On crée quelque chose, on présente un dessin en 3D, on le retravaille jusqu’à aboutir à un résultat parfait. Il faut prendre le temps.» Le bijou sera ensuite réalisé dans un atelier angevin. L’exigence est toujours là, y compris pour le choix de l’or. L’or blanc, par exemple, est un or palladié, un dérivé du platine qui ne jaunit pas avec le temps. Après les quelques semaines nécessaires à la naissance de ce bijou haute couture, il est enfin présenté dans son écrin. «Chaque pierre est vendue avec un certificat international reconnu dans le monde entier», souligne le diamantaire. Chacun des diamants vendu ici fait partie du processus de Kimberley, une plateforme d’échange internationale qui garantit que l’origine de la pierre est aussi pure que son éclat.

Maison Thomas Diamantaire 21 place Sainte-Croix, Angers 02 41 24 72 69

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Culture Urbanne

CINÉMA

CINÉ

GÉRALDINE NAKACHE ET LEÏLA BEKHTI « J’irai où tu iras »

Dans cette comédie signée Géraldine Nakache et écrite en pensant à Leïla Bekhti, les deux comédiennes incarnent deux sœurs fâchées que tout oppose : Vali, chanteuse (Géraldine Nakache), et Mina, thérapeute (Leïla Bekhti). L’une est enchantée, l’autre désenchantée. À l’écran, ça fait des étincelles. Mais à la ville, les deux femmes sont plus unies que jamais. Jean-Jacques Lester les a rencontrées pour Action - Le Mag Ciné, sur France Bleu Loire Océan.

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Pourquoi avoir choisi de tourner ce film à Nantes, Géraldine Nakache ? Géraldine Nakache : Pourquoi Nantes ? Parce que je suis une fan inconditionnelle de Jacques Demy. Il a filmé les sœurs comme personne, il a filmé la chanson, la musique, un univers enchanté comme personne. Après, on est venu à Nantes pour des raisons bien plus factuelles : j’avais besoin d’un trajet qui ne dure pas plus de trois ou quatre heures, c’est le cas de Nantes-Paris. Je ne voulais pas me diriger vers un road movie, et donc ça m’arrangeait bien, cette belle ville de Nantes.

âge où on choisit sa famille. Géraldine, c’est une sœur que je me suis choisie. On a aujourd’hui un rapport assez fusionnel, tout en étant très indépendante l’une et l’autre. J’aime aussi Géraldine en tant que cinéaste, en tant qu’actrice. Dès qu’on se donne la réplique, ça me remplit de joie. Je trouve qu’elle a une faculté assez dingue en termes d’écriture, de direction d’acteurs, de réalisation... Elle a un vrai talent pour faire passer des expressions, des émotions totalement contraires, sans que l’on s’en rende compte, sans que ce soit « tire-larmes ». Et j’aime beaucoup son cinéma.

Et vous avez choisi un lieu emblématique pour le démarrage : le château... G.N. : Le château des ducs de Bretagne, effectivement. D’abord, c’est un endroit magnifique, que j’adore. Et puis, quand on a trouvé le décor, j’étais ravie. Je me disais que ça plantait bien l’histoire, on était tout de suite situé à Nantes.

Vous parlez d’éducation similaire, dans quel sens ? G.N. : Ce qui nous a réunies, c’est la façon qu’on a de regarder le monde, peut-être. L’humour comme bouclier, le sourire après avoir pleuré pour adoucir les choses. Aller vers la lumière, lever la tête et y aller.

Et vous aussi, Leïla Bekhti, ça vous parle, Nantes ? Leïla Bekhti : C’est une ville que j’affectionne particulièrement puisque j’ai - enfin, nous - avons un très très bon ami à nous qui vient d’ici. C’est d’ailleurs assez drôle puisque, avec Géraldine, ils se sont rencontrés sur le tournage. Et depuis, il nous accompagne sur la tournée. Du coup, j’ai une affection particulière pour cette ville, effectivement. Et c’est qui ? On peut le dire ? L.B. : Il s’appelle Romain. Il est avec nous parce qu’il filme quelques petites scènes un peu drôles de la tournée. Mais c’est devenu quelqu’un d’assez proche, personnellement et professionnellement. On va faire beaucoup de choses avec lui. Dans ce film formidable, on passe du rire aux larmes et on est surpris par ce qui arrive aux sœurs que vous interprétez. On y croit vraiment, vous êtes vraiment deux sœurs toutes les deux… Géraldine Nakache : Vous savez, dans le cœur, c’est ça. Moi, j’ai un nom à particule, déjà. Je m’appelle Géraldine Nakache de Bekhti. Leïla Bekhti : Merci pour la particule… G.N. : (rires) C’est vrai que depuis « Tout ce qui brille », Leïla et moi nous sommes devenues des sœurs dans la vie. Ce n’est un secret pour personne, nous sommes très très proches. Du coup, quand j’ai envie de réécrire un film pour nous deux, le sujet de la famille - qui est important pour moi - s’impose, et je ne me voyais pas faire autre chose qu’un film avec elle et me l’offrir comme sœur au cinéma. Qu’est-ce qui vous fascine chez Géraldine, Leïla Bekhti ? Qu’est-ce qu’il fait que vous vous aimez si fort ? L.B. : Je pense que nous nous sommes vraiment trouvées sur l’éducation que nous avons reçue, c’est-à-dire à peu près la même. Et au moment où nous nous sommes rencontrées, nous étions à un

Dans ce film, il y a également Céline Dion. Vous vivez dans son ombre. On sait que vous aimez beaucoup cette chanteuse, Géraldine, on pénètre un drôle d’univers, grâce à vous. On est dans le monde des fans ! G.N. : Pendant l’écriture du film, j’ai rencontré des vrais choristes de Céline Dion, de vrais fans de Céline Dion, et puis pas mal de chanteurs de prestations privées aussi. Même si c’est une toile de fond du film, j’avais besoin de m’alimenter, de voir si j’allais poser mon regard au bon endroit. C’est vrai que j’ai une passion invétérée pour Céline Dion, comme j’en ai une pour les chanteurs de manière générale, quel que soit le niveau, si j’ose dire. Je crois qu’il y a très peu de différences entre une Vali que j’interprète, et une Céline Dion. Il ne s’agit pour moi que d’une histoire de croyances. Ce sont des gens qui donnent tout pour ceux qui viennent les écouter et ça, ça me subjugue. Et votre père à toutes les deux, c’est Patrick Timsit. Un joli rôle pour lui... G.N. : Patrick Timsit est beaucoup plus jeune que le rôle. J’avais peur qu’il me dise : « Je t’aime beaucoup, mais non, je ne serai pas le papa de Leïla et Géraldine ». En fait, il a lu le script assez vite et il m’a dit : « Je le connais ce bonhomme, je le reconnais, il me parle, il me touche. On y va ». Patrick, c’est vrai qu’il a offert à ce rôle ce qu’on connaît de lui, son humour et sa grâce. Mais il a aussi offert la fragilité qui traverse son regard en permanence dans la vie. C’est ce que j’espérais... en mieux. L.B. : Ça a été une vraie belle rencontre. Je n’avais pas la chance de le connaître. J’étais hyper excitée avant de le rencontrer. La seule chose que je me suis dite, c’est qu’il fallait qu’il y ait beaucoup d’affect entre nous. C’est toujours plus agréable. Quand on est arrivé à la lecture, au bout d’une minute, il nous a pris toutes les deux dans les bras et j’ai senti une vraie complicité de papa. On a beaucoup ri. Et c’est vrai que je le trouve extraordinaire dans le film. ¢ urbanne


Miam

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DÉCOUVERTE


SYLVIE JOBBIN-LE MOAL La « spice-trotteuse »

Des étagères qui débordent d’épices, de saveurs. Des noms inconnus, d’autres qui font rêver. C’est le quotidien de Sylvie Jobbin-Le Moal et de son équipe Des Épices à Ma Guise. Une épicerie comme on la rêve.

« Là, on est dans le végétal, la fraîcheur. » Sylvie Jobbin-Le Moal est en pleine réflexion devant deux « échantillons » de poivre du Sichuan vert. L’odeur des petites baies venues de l’autre bout du monde embaume la pièce. L’épicière sent, touche, goûte. Ces grains de poivre ne sont pas arrivés là par hasard. Toute l’année, Sylvie et son équipe sillonnent le monde pour aller chercher directement, non seulement de nouvelles saveurs, mais également des épices toujours plus savoureuses. « Quand j’envoie quelqu’un, c’est assez balisé. Moi, c’est un peu plus l’aventure, mais il faut au moins trois ou quatre rendez-vous pris à l’avance, sinon on est parti six mois », sourit-elle. L’occasion de rencontrer des producteurs, de goûter. « On apprend aussi de nouveaux usages des produits, de nouveaux mélanges. La dernière fois, j’ai par exemple goûté une sauce particulière avec du piment et du Sichuan. Pour la boutique, ça ne donnera rien : la productrice ne veut pas exporter. Mais pour la culture générale, ça donne des idées », glisse-t-elle. Et cette culture de l’épice, Sylvie Jobbin-Le Moal n’en manque pas depuis dix ans que l’ingénieure agronome et ex-informaticienne s’est lancée dans cette aventure. Elle a tout lâché pour parcourir le monde et ramener dans sa magnifique boutique d’Ancenis le fruit de ses découvertes. Celle qui se définit comme épicière, « au sens littéral du terme », travaille aujourd’hui avec les chefs et a des revendeurs dans la France entière. Elle va chercher, sélectionne, importe, torréfie, conditionne les épices du monde. À commencer par le poivre. Son « truc », comme elle dit. « La richesse et la variété des poivres étonnent les gens », s’amuse-t-elle. Elle va

devenir artisan dans les mois qui viennent. Une reconnaissance du travail entrepris sur les mélanges, les conceptions et la fabrication de nouvelles saveurs. « J’ai mon carnet de recettes », montre-t-elle en désignant un épais classeur, où l’on déchiffre celle du Vadouvan. « C’est un mélange de huit épices où l’on commence par torréfier fortement le fenugrec avant de moudre les épices, sauf le sésame. C’est très précis. Et très bon. » On trouve dans cet atelier odorant des recettes traditionnelles, des idées issues de ses voyages et de demandes de chefs. Avec ses « spice-trotteuses », elle a déjà parcouru le Vietnam, la Tasmanie, l’Inde, le Sri-Lanka, l’Iran, la Hongrie, l’Espagne, le Japon, Madagascar... « Aller sur le terrain, ça change un peu la relation que je peux avoir quand je parle des produits, assure Vanessa, la commerciale de la boutique. Avant, je racontais l’histoire de l’entreprise, maintenant, je raconte mes retours de voyage », sourit celle qui rentre du Cambodge. ¢

Des Epices à Ma Guise 27 rue Saint-Michel, Ancenis 02 40 09 61 89 www.desepicesamaguise.com À Angers Aux Halles du Lycée (2 place du Lycée) Aux Halles de la Visitation (10 rue Talot)

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Urbanne

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EN CUISINE


RECETTE

SAINT-JACQUES, RISOTTO DE CHÂTAIGNE et champignons sauvages

Il venait tout juste d’arriver chez Loire&Sens. Nous avons connu Elliot Lhumeau lors de la rédaction de notre premier numéro d’Urbanne Angers. Une rencontre avec un jeune chef passionné qui nous a donné envie de revenir et de le laisser parler, cette fois, de sa cuisine. En quelques mois, on sent que le jeune chef s’est épanoui derrière ses fourneaux. « Je relève un peu la tête, sourit-il. On a sorti trois ou quatre cartes qui me ressemblent, je commence à mettre en place ici la cuisine qui me correspond vraiment. » Une cuisine authentique, gourmande, de saison. À l’image de ces Saint-Jacques qu’il a cuisinées pour nous et dont il nous offre la recette. Travaillées avec des châtaignes, des champignons et de la courge, c’est un plat d’hiver magnifique. « Ce plat est inspiré de ce que je pouvais faire à Sarlat, au côté de mon ancien chef, sourit-il. Tout cuisinier a besoin de bases. Ce sont les miennes. Mais, petit à petit, je trace ma route, je suis mes idées et mon chemin. » Un chemin qui file en ligne droite en ce qui concerne ce plat, avec des goûts francs, marqués, et des saveurs enveloppantes. Tout ce dont on a besoin pour affronter cette saison froide. Mais pleine de beaux produits.

La Table Loire&Sens 11 chemin du Bois Guillou, Juigné-sur-Loire 02 41 66 30 03 www.loireetsens.com/fr

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EN CUISINE

Les conseils du chef

Ingrédients

(pour 4 personnes) 20 noix de Saint-Jacques 500g de crème liquide entière 1 tête d’ail 200g de châtaignes crues pelées 1 butternut 400g de champignons sauvages 200g de sucre 400g de vinaigre

Progression • Mettre la tête d’ail à confire au four à 180°C dans du papier alu pendant 30 minutes. Faire chauffer la crème. Mettre la moitié des gousses d’ail encore en chemise à infuser. Passer au chinois pour enlever les gousses d’ail. Concasser les châtaignes crues. Les ajouter à la crème d’ail. Laisser cuire à petit feu pendant environ 20 minutes. Saler aux trois quarts de la cuisson.

« La crème d’ail est quelque chose de très délicat, elle prend au fond facilement et il faut vraiment remuer de temps en temps et laisser cuire à feu très très doux. La crème doit réduire et concentrer le goût. » « Il faut toujours sortir les Saint-Jacques en avance pour les amener à température ambiante avant la cuisson. Cela permet une cuisson plus rapide et plus uniforme. » « Pour la marinade des pickles, selon les goûts, on peut mettre un peu moins de sucre. C’est à chacun de doser. Si on n’aime pas l’acidité du vinaigre, on peut le remplacer par une moitié de vinaigre balsamique blanc et une moitié de vinaigre de cidre. Cela apporte encore d’autres saveurs. » « Il faut utiliser la partie haute du butternut, où il n’y a pas de graines, pour obtenir des tranches bien nettes. » « Les champignons peuvent être faits à l’avance et se réchauffer au dernier moment. Le cèpe est un peu fort, mais ça marche très bien avec les champignons de Paris. Personnellement, j’aime bien les chanterelles, un champignon fin au goût très particulier. »

• Mettre le restant d’ail dans du lait entier avec sel et poivre. Laisser infuser. Filtrer en pressant bien. • Faire une marinade pour pickles avec 200g de sucre, 400g de vinaigre et 600g d’eau. Faire bouillir. Placer le butternut coupé en tranche d’1 ou 2 mm dans un bocal et verser dessus la préparation bouillante. Laisser refroidir. Conserver ensuite au frais. • Laver et trier les champignons. Les poêler vivement à l’huile d’olive jusqu’à faire sortir l’eau de végétation. Ajouter une noix de beurre en fin de cuisson pour finir de les lustrer. • Faire saisir les Saint-Jacques à l’huile d’olive sur une seule face dans une poêle bien chaude pendant 1 minute. Retirer la poêle du feu, retourner les Saint-Jacques 10 secondes et dresser tout de suite...

Dressage • Placer le risotto de châtaignes au centre d’une assiette chaude. Ajouter dessus les champignons sauvages. Placer ensuite les noix de Saint-Jacques, côté coloré vers le haut, et les pickles de butternut. Mixer rapidement le lait parfumé à l’ail au mixeur plongeant pour former une écume. Déposer quelques cuillerées d’écume sur le dessus et servir aussitôt. 48

L’avis du chef

« Un plat à la fois frais, savoureux et de saison. »


Nouveau jour LES ATELIERS

BOUTIQUE DÉCO DESIGN & VINTAGE

(Ré)apprenons à faire...Naturellement !

Les Ateliers de Radis et Capucine 21 place Molière, Angers.

02 41 24 99 29 Du mardi au samedi Boutique : de 10 h à 19 h Ateliers : de 8 h à 22 h Retrouvez notre programme d’ateliers sur :

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Déco

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VISITE PRIVÉE


VISITE

LA VIE DE CHÂTEAU pour un loft épuré

Redonner vie à l’étage entier d’un immeuble ancien situé en plein cœur d’Angers, juste en face du château, c’est un vrai challenge. Ce loft a largement relevé le gant. Il a su conserver une âme tout en prenant une allure résolument contemporaine. Visite privée.

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Déco

VISITE PRIVÉE

Ce n’est pas dans une ancienne usine ou un atelier oublié que se situe le plateau de 172m² de ce loft, mais dans un ancien couvent. Les sœurs, propriétaires du bâtiment, décident de le vendre et il faut tout imaginer. Le potentiel est énorme. La vue sur le château est imprenable et le plateau livré brut, hors d’eau et hors d’air, est seul au deuxième étage. La surface est à réexploiter entièrement. Reste à trouver des lignes directrices fortes. « Les propriétaires sont partis du principe que l’atout principal de ce lieu, c’est l’emplacement, la vue, explique Cédric Pinto, directeur de l’agence immobilière Espaces Atypiques qui vient de vendre ce loft. Tout l’intérieur a été dessiné en fonction de cette vue, pour exploiter le soleil qui entre et le coup d’œil sur

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ces murailles magnifiques. » Résultat : un plan qui dessine une pièce de vie magistrale avec cuisine semi-ouverte et des chambres implantées, telles deux ailes, de chaque côté de la pièce de vie. D’un côté, on trouve la suite parentale, son dressing et sa salle d’eau. De l’autre, deux chambres et une salle de bains. Clair, net, efficace. Pour apporter de la chaleur et également faire un pont entre les époques, un magnifique parquet à lames XXL a été installé. Il dialogue parfaitement avec les ouvertures de style ancien et les menuiseries réalisées en chêne massif. Dans tout ce loft, la même gamme de coloris a été appliquée. Blanc, noir, gris clair, anthracite permettent de souligner les volumes.


Offrez-vous un nouveau

- RCS 831 530 779 – Tous droits réservés – crédit photo : Story

cadre de vie !

ANGERS

16 rue Grand Launay 02 41 81 33 08 / story.angers@story.fr

www.story.fr

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Déco

VISITE PRIVÉE

La cuisine reflète cette palette de couleurs. Une verrière de style atelier, peinte en noir, ferme une partie de l’espace. Au sol, des carreaux de carrelage de très grande dimension ont été intégrés au côté du parquet. Ils accueillent un magnifique îlot central. Pour distinguer les espaces entre la cuisine et la salle à manger, les fenêtres ont tout simplement été peintes en blanc d’un côté et en noir de l’autre. Dans le salon, le noir, le blanc et le gris se retrouvent sur les grands rideaux qui ont été installés. Le tissu apporte une sensation de confort et d’intimité. Le tissu, on le retrouve aux fenêtres et sur la tête de lit de la chambre, apportant encore une fois cette impression de cocon et d’intimité. Dans la suite parentale, l’espace a particulièrement bien été exploité dans la salle de bains. Un meuble double-vasque en face à face a été installé. Il dessine un passage par lequel on accède à la baignoire et à la très grande douche. Cette fois encore, d’immenses carreaux ont été utilisés sur les murs. Ils offrent une sensation d’espace et de luxe. Dans la douche, la robinetterie intégrée ne laisse affleurer que le strict nécessaire pour ne pas casser l’harmonie des lignes. ¢

Merci à l’agence Espaces Atypiques qui nous a ouvert les portes de ce loft. Espaces Atypiques 20 place Louis Imbach, Angers 02 52 35 27 27

www.espaces-atypiques.com/angers

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Créations

NOUVEAU JOUR

NOUVEAU JOUR Créations actuelles et vintage

C’est une boutique de passionnée, et ça se voit. Agathe Cian Renimel a créé un univers tout entier dédié au design et à la décoration, où les créations des designer français dialoguent avec des pièces vintage. Découverte.

ON A IM E

L’accueil et l’ambiance. Profiter des puces du samedi matin, place Imbach, pour venir passer un moment et découvrir la sélection qui change en permanence. « La chance ». C’est ainsi qu’Agathe Cian Renimel décrit ce qui l’a amenée à créer Nouveau Jour. « La chance, c’est d’avoir rencontré Françoise Manceau qui avait installé ici sa boutique, Dilettante, quelques années auparavant, sourit-elle. Mais la chance, c’est surtout qu’elle m’a choisie pour imaginer une suite, un nouveau chapitre pour ce lieu. » Agathe Cian Renimel est intarissable en faisant le tour de sa boutique. Elle parle de l’histoire de chaque objet tout en redressant un cadre ou réorientant un vase. « Ce qui m’intéresse, c’est de créer ici c’est un mélange entre le vintage et le contemporain, de faire des sélections de déco osées et originales qu’on ne voit pas ailleurs. » À peine un an qu’elle a installé ici son univers que l’on sent déjà qu’Agathe a une idée très claire de la direction à prendre. Il faut dire qu’elle a baigné toute son enfance dans l’ambiance des brocantes et des vides-grenier, entre une grand-mère grande collectionneuse de poupées anciennes, et un grand-père qui n’en finissait pas d’accumuler des partitions et des ouvrages sur l’histoire de la musique. « Ils m’ont souvent emmenée

les week-ends, les vacances avec eux, pour chiner. C’est un rêve d’enfant qui se réalise », glisse-t-elle. Aujourd’hui, l’ancienne graphiste freelance continue la chine et travaille avec un réseau de brocanteurs qui connaissent parfaitement ses attentes. « Mon premier métier, c’était d’être à l’affût des tendances, ce qui me sert évidemment aujourd’hui. Même si je marche à l’instinct et aux coups de cœur », sourit-elle. Elle va chercher ses créateurs, pour la plupart Français, sur les réseaux sociaux, sur les salons. Elle crée ainsi un univers à la fois beau et accessible, où les objets et les idées cadeau côtoient des pièces vintage plus imposantes. « C’est ça, la magie du design. Il permet de faire dialoguer des pièces ensemble, quelles que soient leurs époques, et de créer des mises en scène ».  Nouveau Jour 46 place Louis Imbach, Angers 06 63 15 11 02 urbanne


Déco

BIENTÔT CHEZ MOI

Fauteuil vintage (teck et bambou) Nouveau Jour 46 Rue Pocquet de Livonnières, Angers

Lampe à poser Nina (design T.Lohner) Trilogue 17 rue des Lices, Angers

Suspension (papier plissé plastifié) Nouveau Jour 46 rue Pocquet de Livonnières, Angers

Masque mural artisanal décoratif (bois sculpté) Nouveau Jour 46 place Louis Imbach, Angers

DES PIÈCES qui font la différence

Miroirs Arceau (design Numéro 111) Ligne Roset 5 avenue de Contades, Angers

Canapé carré Prado (design C. Werner) Ligne Roset 5 avenue de Contades, Angers

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Lampe style 80’s (base terrazzo) Nouveau Jour 46 place Louis Imbach, Angers

Boîtes carrées La Combinée (design M.Laug) Ligne Roset 5 avenue de Contades, Angers


Masque mural artisanal décoratif (bois sculpté) Nouveau Jour 46 place Louis Imbach, Angers

Plat (céramique) Nouveau Jour 46 place Louis Imbach, Angers

Moulins à sel et poivre (design G.Sowden) Trilogue 17 rue des Lices, Angers

Fauteuil vintage danois 60’s (drap de laine) Nouveau Jour 46 Rue Pocquet de Livonnières, Angers

Gigognes - Motard Story 46 Rue Pocquet de Livonnières, Angers

Console bois Metro - Mooviin Story 16 rue du Grand Launay, Angers

Bougie parfumée L’Amour à la plage Nouveau Jour 46 place Louis Imbach, Angers

Lampe à poser Clarine (design P.Zulauf)) Ligne Roset 5 avenue de Contades, Angers

Table de repas Mosaïc - Menzzo Story 16 rue du Grand Launay, Angers urbanne


Design et style

Publi–communiqué

ARTHUR BONNET

ARTHUR BONNET Le design et le style

Avec ses quatre-vingt-dix ans d’expérience, Arthur Bonnet allie un savoir-faire hérité de la tradition artisanale de la cuisine aménagée et une modernité « haute couture » issue de son travail avec de grands designers.

Cuisine signée par le designer Thibault Desombre

« Notre métier, c’est d’accompagner nos clients au-delà de la cuisine en réinventant son environnement ». Nathalie Tessier, gérante du magasin Arthur Bonnet Angers avec son époux, Pascal Tessier, donne le ton. C’est pour cette raison que l’Atelier d’Arthur, véritable vivier de couleurs, de matières et d’idées, trône au centre du showroom. On peut y découvrir les collections Arthur Bonnet mises en relief par des crédences en verre, des plans de travail en céramique ou en pierre, des revêtements muraux… sélectionnés avec soin par toute l’équipe du magasin. « C’est en restant à l’écoute, et en prenant le temps qu’il faut, que nous essayons de répondre au mieux, mais aussi de surprendre notre clientèle », explique Nathalie Tessier, qui a choisi de faire partie de l’aventure Arthur Bonnet depuis maintenant six ans. « L’atelier nous permet de proposer un service déco qui fait la différence. »

L’ambiance, c’est aussi l’une des priorités du showroom. « Chez nous, les clients se sentent bien, et le magasin aide les gens à se projeter dans leur future cuisine », souligne Nathalie Tessier. L’art de vivre, le chic à la française, c’est la promesse - tenue par Arthur Bonnet depuis neuf décennies. C’est encore l’art de recevoir et la convivialité qui sont par exemple mis à l’honneur dans le modèle Rendez-Vous, signé par Thibault Desombre, designer, ébéniste et compagnon du Tour de France. Ce modèle propose des tiroirs galbés noirs, clin d’œil au style Louis Philippe, associés à la pureté d’une laque mate au coloris légèrement rétro et au chic du noyer d’Amérique. Les époques et les styles sont revisités. Le résultat, convivial et raffiné, est loin de ce que l’on a l’habitude de voir ailleurs. C’est ça l’esprit Arthur Bonnet.

Arthur Bonnet 2 rue Joseph Cugnot, Les Ponts-de-Cé 02 41 91 91 81 58


Déco

BIENTÔT CHEZ MOI

NATURELLEMENT géométrique

Canapé banquette Caribe Story 16 rue du Grand Launay, Angers

Vases Buée (design M.Hirth) Ligne Roset 5 avenue de Contades, Angers

Secrétaire mural (chêne) Nouveau Jour 46 place Louis Imbach, Angers

Porte-manteau Clara (design E.Vasileiou) Ligne Roset 5 avenue de Contades, Angers

Serre-livres Lithos (design E.Vasileiou) Ligne Roset 5 avenue de Contades, Angers

Fauteuil Pumpkin (design P.Paulin) Ligne Roset 5 avenue de Contades, Angers

Lampe à poser OLO (design J-B. Fastrez) Trilogue 17 rue des Lices, Angers

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Evasion

MADÈRE

ÉVASION

SÁMARA

L’échappée tropicale au cœur du Costa Rica Sept kilomètres de sable. D’un côté l’océan, et de l’autre la jungle, les cocotiers, et les animaux en liberté. Sámara a bien des allures de carte postale. Aux antipodes de la station balnéaire bondée, ce petit village de la province du Guanacaste, au Costa Rica, possède tous les ingrédients pour vous faire déconnecter du stress du quotidien. Destination de rêve pour un dépaysement total !

Vivre la « pura vida »

Se réveiller au chant des oiseaux colorés posés sur le bord de votre fenêtre, et apercevoir cette vue sur l’océan, comment voulez-vous ne pas vous sentir déconnecté à Sámara ? Surtout quand on pense à toutes les activités qui vous attendent tout au long de votre séjour... Baignade dans les piscines naturelles de Carrillo, en attendant de voir passer une baleine. Balade à dos de cheval pour partir découvrir la jungle avoisinante et ses cascades secrètes. Échappée en kayak sur l’île qui fait face au village, et découverte des fonds marins. Ou encore session surf pour prendre quelques vagues. Eh oui, ici, on se repose au rythme de la « pura vida » ! Et on déguste aussi. À chaque coin de rue, on retrouve les sodas, qui propose sur leur carte les différentes saveurs locales dont les fameux gallo pinto (petit-déjeuner typique), ceviche de poisson et casados... Et si vous n’avez pas l’âme aventurière, vous trouverez facilement de quoi vous faire plaisir dans les restaurants, plus internationaux, qui bordent la plage.

Les immanquables du Costa Rica

Vous pouvez aussi profiter de votre séjour à Sámara pour aller découvrir quelques incontournables du Costa Rica, se trouvant seulement à quelques heures de routes… En allant, par exemple, faire un trek au parc national de Tenorio, pour admirer le volcan Tenorio et la faune sauvage des alentours (grenouilles colorées, singes, Morphos…), et en profiter pour faire trempette dans les sources chaudes, ou les marmites de boue bouillante. Au bout d’environ 60


By Night

NOS PLUS BELLES SOIRÉES

Berthe Aux Grands Pieds : Mr et Mme Gautreau

Damien Vétault Chocolatier : Damien Vétault et Maxime Hulot

Cinna : Emilie Sauvage, Eric Rennesson, Pauline Couaillier

SOIRÉE CINNA

DS Store : Mr Vaillant, Mme Roinard, Mr Gaté et Mme Lepaysant

Mardi

1

Octobre

Comme chaque année Cinna et ses partenaires ont donné rendez-vous à l’ensemble de leurs clients et amis. Plus de 250 personnes étaient présentes dans le magasin Cinna Angers au 5 avenue de Contades le 1er octobre pour la soirée « découverte de talents ».

Hexa : Mr Ollivier Henry et son équipe

Maison Thomas Diamantaire : Mr et Mme Thomas

Nuances Bains : Jonathan Godard et Lea Roullier

Val d’Evre Traiteur : Benoit Sauvage et André Mayet

Urbanne : Stéphane Potin

De Venoge

CINNA 5 AVENUE DE CONTADES ANGERS

Les partenaires de l’évènement : Maison Thomas Diamantaire, Angers DS Store, Automobile, 02 41 21 22 02, Liliane.roinard@angers.dsautomobile.fr Berthe Aux Grands Pieds, www.www.bertheauxgrandspieds.com Nuances Bains, Beaucouzé, 02 41 39 43 00, nuancesbains@gmail.com Hexa, Angers, 02 41 43 67 67, www.esprithexa.fr Damien Vétault Chocolatier, Angers, 02 41 88 96 35, www.damienvetault.com Buffet organisé par le traiteur Le Val D’Evre, La Boissière sur Evre, 02 40 98 80 50, www.valdevre.com Dégustation des vins* Cellier des Chartreux 04 90 26 30 77 et des champagnes* de Venoge 06 07 11 93 93

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*LL’abus d’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération

Ce fut l’occasion de découvrir la nouvelle collection Cinna.


une heure et demie de marche, final grandiose : le rio Celeste, aussi connue comme la cascade la plus bleue du monde. Dans la même zone, le parc national Rincon de la Vieja vous permettra de réaliser l’ascension du volcan du même nom, qui est toujours en activité. Il est même possible d’aller faire du rafting, un peu plus bas, dans les eaux vives du rio Colorado et de son canyon (accessible à tous). Vous pouvez aussi partir découvrir les richesses de Monteverde. Visitez une plantation de « l’or noir » du Costa Rica : le café, et vivez des sensations fortes dans le parc d’aventures Selvatura où ponts suspendus et accrobranche sont les rois. On vous conseille aussi de partir, au moins une journée entière, randonner dans le parc Manuel Antonio. On vous conseille de partir très tôt le matin pour avoir la chance de voir un plus grand nombre d’animaux, puis de profiter des autres activités sur place (kayak, quad, snorkelling…). La côte caraïbe regorge, elle aussi, de paysages magnifiques : Cahuita, Punta Uva, le refuge national de Manzanillo… Mais traverser le pays est long : environ neuf heures. Et puis, ce sera l’excuse d’une autre (prochaine ?) aventure !

Des voisins inattendus

Rassurez-vous, vous ne serez pas les seuls à fondre devant ces paysages. Quelques stars aussi n’ont pas su résister à l’appel des cocotiers et de l’eau translucide. Dont Mel Gibson, qui possède une propriété qui donne directement sur la plage de Barrigona, et Zinedine Zidane, qui vient récemment de poser ses valises sur les hauteurs de la plage de Carrillo. Plages respectivement à 9 et 5 kilomètres de Sámara, que vous devez (aussi) aller voir !

Quand y aller ?

La province du Guanacaste est la plus sèche du Costa Rica. La meilleure période pour s’y rendre, et profiter tout autant de la végétation que de la chaleur, est de novembre à janvier.

Nos conseils

Prévoyez, au minimum, entre 15 et 20 jours de voyage pour vraiment profiter. Pour les logements, vous trouverez votre bonheur : auberges de jeunesse, hôtels de luxe, cabinas… Il est bon de s’y prendre à l’avance pour un séjour fin décembre-début janvier. Et si vous décidez de louer une voiture, on vous recommande vivement de vous tourner vers un 4x4. Ici, les routes sont rarement aussi paisibles que les paysages. Sinon, bien que plus longs, les trajets se font aussi très facilement en transports en commun. 62


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Urbanne

ESSAI AUTO

ESSAI

NOUVELLE MERCEDES CLASSE B DYNAMIQUE, SÛRE ET CONFORTABLE

Mercedes a réinventé la Classe B. Une voiture familiale plus dynamique, plus confortable et plus sûre que jamais. La silhouette de cette troisième génération se fait plus sportive, et l’intérieur a été totalement repensé. Nous avons demandé à Argentine, la nouvelle responsable d’édition d’Urbanne à Angers, de l’essayer pour vous.

Qu’avez-vous pensé de cette Classe B au premier regard ? Je trouve que la nouvelle ligne est franchement réussie. La couleur est magnifique et la calandre, très large, lui donne un look très abouti. Le design intérieur vous a également fait flasher ? J’ai vraiment adoré découvrir cet intérieur. Il y a la fois la qualité du cuir surpiqué et des finitions, et un look très moderne. Une foule de petits détails indiquent qu’on est dans une voiture de dernière génération : l’écran de bord panoramique, les grilles d’aération façon réacteur d’avion. En plus, la navigation sur l’écran tactile est très intuitive et la voiture est dotée d’un système d’intelligence artificielle qui nous permet de donner des ordres à la voix. Une fois en route, cette voiture tient-elle toutes ses promesses ? La conduite est très agréable, avec une position de conduite assez élevée. Le moteur répond avec beaucoup d’énergie et ça, ça me plaît beaucoup. La boîte automatique est hyper agréable d’utilisation. Le levier, placé derrière le volant, est très accessible.

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Qu’est-ce qui vous a séduit particulièrement dans cette Mercedes ? L’ensemble de la technologie d’aide à la conduite et la finition. Mais de mon point de vue, son principal intérêt, c’est que c’est une vraie voiture familiale. Il y a de la place derrière et dans le coffre. En fait, elle est belle, moderne et spacieuse. J’adore. Quels sont les petits plus qui font la différence ? À l’intérieur, le toit ouvrant panoramique. Il peut être parfaitement occulté ou laisser largement entrer la lumière. À l’extérieur, c’est l’ouverture du coffre « main libre », vraiment pratique pour la vie de tous les jours. À qui recommanderiez-vous cette voiture ? Je crois que tout le monde peut se faire plaisir à son volant. C’est une voiture familiale idéale : à l’aise sur la route et qui se faufile en ville.

SAGA MERCEDES Benz Angers - Villevêque 02 41 33 44 00


Lacoste Photographie

D’Zelle

BY LAMIA - DEPUIS OCTOBRE 2019

BY LAURENT - DEPUIS SEPTEMBRE 2019

Portraitiste Photographe de père en fils, la famille Lacoste traverse le monde de la photographie depuis 1920. Aujourd’hui, Laurent est, comme les générations précédentes, un artisan de proximité. C’est pourquoi l’endroit compte un studio de prise de vue. S’il développe et assure les tirages argentiques sur place, le photographe est également à l’écoute des innovations techniques : robotphoto (borne selfie), transfert de films super 8, VHS ou diapositives, mise en page de livres-photos, revendeur d’Instax…

Prêt-à-porter féminin Des pièces qui sortent de l’ordinaire, des marques exclusives à Angers, plusieurs coupes de jeans taille haute (slim, droite, extraslim) ou de robes (fluide, droite, longue, courte), cette boutique est le paradis de toutes les femmes, des dames aux demoiselles - d’où le nom de la boutique. Des styles différents mais des vêtements de qualité, comme les doudounes italiennes ou les pulls confortables que l’on trouve en boutique. Avec toujours les conseils avisés, la bienveillance et le sourire de Lamia.

Mantra : « Au service de la photographie depuis 1920 »

Mantra : « Sublimer toutes les femmes, des dames aux demoiselles »

3 rue Saint-Aubin, Angers - 02 41 25 18 25 Lundi : 14h30-18h. Du mardi au samedi : 10h-13h/14h-19h http://www.lacostephotographie.fr / Facebook : Lacoste Photographie / Instagram : @lacoste_photographie_

Maison Moine

BY FLORENCE, BRUNO, VINCENT ET BASTIEN - DEPUIS OCTOBRE 2019

Linge de maison C’est une histoire de famille qui s’écrit dans cet établissement depuis 1960. Si l’activité de tapissier-décorateur se poursuit, Maison Moine a étoffé son offre dans son nouvel espace. Plusieurs marques se côtoient avec toujours un soin apporté à la qualité des produits (draps de 120, 200 et 500 fils par exemple). Sobres ou colorés, classiques ou fantaisie, il y a forcément une housse de couette ou un coussin qui vous charmera. Le + : l’aménagement d’une chambre, des rideaux au linge de maison, en passant par le papier peint. Mantra : « Des matières de qualité, un conseil avisé » 16 rue Voltaire, Angers - 02 41 25 24 98 Du lundi au samedi : 10h-19h www.maisonmoine.fr / Facebook : Maison Moine Tapissier Décorateur / Instagram : @maisonmoine

5 rue Montauban, Angers - 02 53 61 62 54 Du mardi au samedi : 10h-19h Facebook : DZ Elle / Instagram : @boutique.dzelle

Salon Quentin Desmars BY QUENTIN - DEPUIS OCTOBRE 2019

Salon de coiffure Ce double champion du monde de coiffure a créé un endroit où la qualité du travail, la précision des finitions et la sélection des produits, le tout à prix accessible, sont des maître-mots. Celui qui aime tout dans la coiffure, des coupes homme ou femme au balayage, de la coloration au soin, cherche avant tout à comprendre les envies de chacun pour mieux vous coiffer. Et quand vous saurez qu’il dispose de deux fauteuils massants, vous voudrez vraiment découvrir cette adresse chaleureuse et accueillante. Mantra : « Réveillez l’élégance qui est en vous » 23 rue des Lices, Angers - 02 41 27 69 45 Du mardi au vendredi : 9h-12h / 14h-19h. Samedi : 9h-12h / 14h-17h30 www.salonquentindesmars.com (réservation en ligne possible) / Facebook : Salon Quentin Desmars / Instagram : @salonquentindesmars urbanne


Sortir

CA VIENT D’OUVRIR / CA VIENT DE CHANGER

Acuitis

BY JEAN - DEPUIS NOVEMBRE 2019

Maison d’optique et d’audition Un accueil de qualité, des conseils de professionnels et un endroit chaleureux : l’enseigne met tout en œuvre pour vous permettre de trouver une paire de lunettes originale ou des solutions auditives adaptées. Acuitis sait aussi allier design (monture en titane, en fleur de coton ou encore en corne de buffle) et innovations technologiques comme les lunettes auditives ou les verres Nikon très élaborés fabriqués en France. Le + : la collection cultissime pour porter les mêmes lunettes que Johnny Depp, Nana Mouskouri ou Oprah Winfrey. Mantra : « Lunettes de créateur à prix très très doux » 1 place du Pilori, Angers - 02 72 47 05 98 Lundi : 12h-19h / Du mardi au samedi : 10h-19h www.acuitis.com / Facebook : Acuitis Angers / Instagram : @acuitis_angers

Radis et Capucine

Instant Coton BY MARION- DEPUIS FÉVRIER 2019

Institut de beauté Ici, la formule « produits sélectionnés avec soin » prend tout son sens. Car Marion, elle-même allergique à bon nombre de formulations cosmétiques, a choisi des produits aux ingrédients bio ou naturels, respectueux des peaux sensibles et atopiques mais aussi de l’environnement. Des produits que les clients pourront retrouver en cabine et en boutique. Titulaire d’une spécialisation Spa Praticienne, l’institut compte deux espaces pour des soins et massages en solo ou duo. Le + : des prestations pour les enfants de plus de 6 ans, avec ou sans leurs parents. Mantra : « Un moment de douceur pour vous, votre peau et l’environnement » 31 rue des Lices, Angers - 02 41 23 11 79 Mardi, mercredi et vendredi : 9h-19h. Jeudi : 13h-21h. Samedi : 9h-14h. www.instantcoton49.com Facebook : Instant Coton / Instagram : @instantcoton.49

Le Boudoir

BY NATHALIE ET ANTHONY - DEPUIS OCTOBRE 2019

BY LAETITIA - DEPUIS SEPTEMBRE 2019

Ateliers DIY Concevoir une crème bio, fabriquer une mangeoire à oiseaux, brasser sa bière, cuisiner à partir de fleurs sauvages… Le but des ateliers est de découvrir (ou redécouvrir) des savoir-faire autour de la nature et du végétal. Animés par des passionnés, qu’ils soient animateurs ou artisans, ces ateliers originaux valorisent les produits bio et le zéro déchet. Tous les ingrédients et matériaux utilisés sont disponibles en boutique. Le + : la possibilité de privatiser l’endroit pour un anniversaire, un enterrement de vie de célibataire…

Salon de coiffure Des tableaux aux murs, des bougies dans la cheminée, un divan : ce salon, situé dans un ancien hôtel particulier de type haussmannien, ressemble plus à l’appartement d’une bonne copine chez qui on irait prendre le thé. Sans être un endroit élitiste, on sait qu’on va y passer un moment privilégié, avec les professionnelles Gina, Claire, Betty et Zoé. Et pour se sentir encore plus comme chez soi, le salon peut être privatisé pour un anniversaire entre copines, une préparation de mariage avec ses témoins ou tout simplement une après-midi filles.

Mantra : « Et si nous (ré)apprenions à faire… naturellement ! »

Mantra : « L’appartement de coiffure »

21 place Molière, Angers - 02 41 24 99 29 Du mardi au samedi : 10h-19h pour la boutique / 8h-22h pour les ateliers ateliers.radisetcapucine.com / Facebook : Les Ateliers de Radis et Capucine / Instagram : @ateliers.radisetcapucine

43 boulevard du Roi René, Angers - 02 41 77 81 09 Du mardi au samedi sur rendez-vous Facebook : Le Boudoir Coiffure / Instagram : @leboudoirbycoiffure

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