Tous les ans, le Vaad Harabanim organise 40 jours de prière continue en envoyant ses délégués sur les lieux importants du judaïsme. La nouveauté aujourd’hui, c’est que ce sont les Rabbanim agissant sur le terrain qui prieront. Ce sont eux qui traitent les dossiers difficiles et connaissent donc de près les nécessiteux soutenus grâce à la générosité des donateurs. Ils se sont engagés pour cette campagne spéciale . Explications :
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Sur la Tombe de
Ra'hel Imeinou
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Les 40 jours de prière consécutifs sont une tradition bien ancrée au Vaad Harabanim. De nombreux témoignages sont reçus chaque
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année contant les délivrances exceptionnelles auxquelles ont assisté tous ceux qui ont participé à cette prière. Prenant sa source dans les 40 jours durant lesquels Moché Rabbénou a prié pour obtenir le pardon du peuple juif après la faute du veau d’or et qui furent couronnés par le jour de Kippour, cette tradition a permis à
Sur la Tombe de
Chimon Hatsadik
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des milliers de Juifs de sortir de l’impasse. Cette période de l’année, entre Roch ‘Hodech Eloul et Yom Kippour est dédiée à la prière, au retour vers
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Hachem et à la tsedaka. Car comme tout le monde le sait « techouva, tefila et tsedaka renversent les mauvais décrets. » Ce sont des jours d’une importance capitale, durant lesquels on peut s’adresser à Hachem alors qu’Il est encore plus proche de nous. Comme l’évoquent les lettres du mois d’Eloul en acrostiche : « Je suis à mon bien-
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aimé et mon bien-aimé est à moi ». La Présence
David Hameleh'
Divine nous entoure et Sa présence est en exil
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avec nous, dans les souffrances et les joies. Nos
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larmes sont nos preuves d’amour déposées devant le Trône de Sa gloire.
Jusqu’au bout de ses forces Ce qui caractérise les dirigeants de notre peuple, c’est leur capacité à considérer chaque Juif comme son propre enfant. De Moché Rabénou à Sur la Tombe de nos
Patriarches à Hevron
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‘Hafets Haïm, ils n’ont de cesse de se dévouer, de faire preuve d’une abnégation totale, dont seul
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Sur la Tombe de Rabbi
Avdimi de 'Haifa 4
Rav Kanievsky en passant par le Rambam ou le
un père aimant est capable. L’histoire suivante
Inscrivez vous dès aujourd prière qui auront lieu, à pa Eloul (26.08.14) jusqu'à la
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illustre parfaitement cette « mida », cette capacité unique des Grands du peuple d’Israël : un jour, un jeune homme se présenta chez ‘Hafets Haïm pour lui raconter qu’il était atteint d’une maladie incurable. Le
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Rabbi
Meir Baal Haness
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l e
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Rav l’aida à sécher ses larmes en
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lui annonçant qu’il vivrait. Mais il lui demanda de ne jamais raconter leur rencontre. Le jeune homme guérit miraculeusement et tint
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sa promesse. Mais vingt
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ans plus tard, un membre de sa famille fut atteint du même mal. Il subit une pression afin de donner le
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nom du tsadik qui lui avait
Akiva
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promis la guérison et finit par céder. Malheureusement, il retomba malade. Quand il se rendit chez le ‘Hafets Haïm pour lui demander de
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prier, le Rav s’exclama : « Il y a vingt
RAMBAM
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ans, j’avais les forces de jeûner durant quarante jours pour la guérison de quelqu’un. Mais aujourd’hui, je n’en suis plus capable ! » Le ‘Hafets ne put
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donc pas aider le jeune homme une
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seconde fois. Pour un géant spirituel de sa stature, le sacrifice de soi allait jusqu’aux jeûnes et aux privations. Il ne ressentait que la détresse de l’autre et considérait ses
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efforts comme secondaires. Il donnait sa vie pour ses frères, même pour
d'hui aux 40 jours de artir de Roch 'Hodech neila de Yom Kippour
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Yossi Haguelili
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Binyamin Hatsadik 5
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Dan ben Yaakov
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ceux qu’ils ne connaissaient pas, comme ce jeune homme. Les Rabbanim d’aujourd’hui s’identifient à ceux d’antan et se rendent sur de nombreux
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sites afin de prier. Avec leurs livres de prière et de Psaumes, ils se rendront dans les grands sites afin d’adresser des requêtes poignantes à D.ieu. Parce qu’ils travaillent sur le terrain et reçoivent les personnes dans le besoin, parce qu’ils ont assisté aux miracles rendus possibles par la tsedaka, ils se mobiliseront cette année pour les donateurs
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'Hazon Ich
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du Vaad Harabanim. Les Rabbanim se rendront sur les tombeaux des Patriarches. Les Rabbanim de Haïfa iront à Tsfat et à Tibériade, dans le Golan
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et le Galil. À Jérusalem, les Rabbanim prieront sur les tombeaux du prophète Chmouel, de Chimone hatsadik, du roi David et au Kever Ra’hel. Ils se rendront également sur le Mont des Oliviers, sur la tombe du Or HaHaÏm Hakadoch et sur celles de Rav Elyachiv à Guivat Shaoul et de Rav Ovadia Yossef à Sanhédria. Dans le Sud, ceux de Ber
A coté de la maison de la
Chounamit
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Sheva se recueilleront à Netivoth, sur la tombe de Baba Salé.
Sans les donateurs, rien ne serait possible Animés par la même ferveur et le même attachement à l’œuvre du Vaad, les Rabbanim sanctifieront ces instants de prière, en déchirant le ciel de leurs supplications pour le peuple juif. Le cœur serré par la conscience des souffrances et des difficultés que subissent les plus démunis,
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RAM'HAL
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Chlah Hakadoch 6
l’esprit plein de l’action généreuse et salvatrice des donateurs, ils adresseront vos requêtes en
Inscrivez vous dès aujourd qui auront lieu, à partir de R jusqu'à la neila
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pleurant. Car sans vous, rien ne serait possible. C’est vous qui avez le mérite de répondre à l’appel
des millénaires. Les Rabbanim veulent honorer
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Sur la Tombe de Rav
Yossef Chalom Elyashiv
divin à la tsedaka et qui réalisez, chacun avec ses moyens, l’idéal de solidarité juive prônée depuis
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vos efforts et consacrer leur temps et leurs forces
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pour vous. Ils passeront de nombreuses heures afin de citer vos noms. Durant 40 jours, concentrés et émus, ils donneront toute leur énergie pour vos enfants, votre réussite, votre santé. Ils ressentiront vos souffrances dans leur chair et verseront des
Sur la Tombe de Rav
larmes.
Car le lien entre les donateurs et les nécessiteux est ressenti au plus profond de leur être par les Rabbanim de chaque ville. Ils connaissent l’importance des aides financières, des paniers alimentaires, des suivis scolaires, des soutiens aux veuves et aux orphelins. Tout cela est vécu par eux au jour le jour. C’est pourquoi jour après jour, durant 40 jours, vous pourrez compter sur eux, comme ils peuvent compter sur vous.
d'hui aux 40 jours de prière Roch 'Hodech Eloul (26.08.14) de Yom Kippour
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Ovadia Yossef
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Baba Salei
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Leib Baal Hayissourim
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Ari Z"al 7
La relation de confiance entre les Sag de la génération et le Vaad Hara est connue de tous.
À l’occasion de la prière des 40 jours, nos dirigeants spirituels ont tenu, une fois de plus, à adresser leurs requêtes personnelles à la grande Association de tsedaka qu’est le Vaad. Rav Steinman, Rav Kanievsky, Rav Chmouel Auerbach ou encore Rav David Abou’hatsera déposeront leurs demandes en faisant un don aux nécessiteux. Nos décisionnaires, qui sont aussi nos modèles d’humanité, accompliront ce geste empreint de noblesse la veille de Roch ‘hodech Eloul.
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Notre Maitre le Gaon Rav A. L. Steinman Chlita
Notre Maitre le Gaon Rav H. Kaniewsky Chlita
Notre Maitre le Gaon Rav C. Auerbach Chlita
Notre Maitre le Gaon Rav Y. Hilel Chlita
Notre Maitre le Gaon Rav Y. Edelstein Chlita
Notre Maitre le Gaon Rav R. Elbaz Chlita
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Tsadik de Vilednik
ges abanim
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Chlomke Mizvihl
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Notre Maitre le Gaon Rav D. Abou'hatseira Chlita
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'Hida
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Notre Maitre le Gaon Rav N. Karelits Chlita Sur la Tombe de
Benayahou ben Yeoyada
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Notre Maitre l'Admour de Rahmastrivka Chlita Sur la Tombe de Rabbi
Na'houm Ich Gamzou 9
Deux mois de vacances, ça remplit les batteries ! C’est le 25 août et c’est bientôt la rentrée. Dans tous les foyers, on sent l’ébullition. On a déjà préparé les cartables et les fournitures scolaires. Les emplois du
l’année : e d t u b é d e l C’est le nt reprendre o v s t n a f n e les et c’est la e l o c ’é l e d chemin atifs, avant r a p é r p s e d joie s velles classe u o n s e l r e r g d’inté mi(e)s. Pour a s e s r e v u o et de retr e , le chemin d t n a t r u o p s certain orcément f s a p a r e s e l’école n aussi riant…
temps sont dans la tête de chacun avec ses nouvelles matières, ses découvertes et ses espoirs. Nos génies en herbe vont retrouver leurs amis, alors que les mamans planifient la rentrée dans tous ces détails.
Un grand moment La rentrée au Gan a ses règles, comme celle du CP ou de la sixième. Chaque étape est un nouveau départ, avec ses interrogations. Mon enfant est-il prêt à affronter un nouveau professeur ? Saura-t-il s’adapter à la classe ? Trouvera-t-il une place au milieu de ses camarades ? Obtiendra-t-il de bons résultats ? La petite Ora entre cette année au jardin d’enfants et c’est avec de belles joues roses qu’elle entre dans la classe avec sa maman pour le premier jour. Jérémie, lui, va apprendre à lire. Il connaît déjà les lettres qu’il a apprises avec son père. C’est donc sûr de lui qu’il se rend à l’école, avec son beau cartable neuf. Quant à Sarah, la rentrée en 6e est un grand moment : que de changements mais aussi que de perspectives ! Les manuels scolaires sont bien rangés dans la bibliothèque et Sarah, qui a toujours été une bonne
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Yonathan ben Ouziel
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Baal Chem Michelshtat
élève, a hâte de s’en servir. Mais pour d’autres enfants, dont la famille est en difficulté, c’est plutôt un moment d’angoisse qu’un moment de joie. Et pour ceux qui n’ont rien, cette angoisse est décuplée.
Des allers retours incessants Certaines mamans n’ont pas les ressources nécessaires pour acheter le minimum à leurs enfants. Alors bien sûr, il y a le système D qui fonctionne à plein régime. On peut toujours rapiécer les vieux vêtements et trouver des cartables d’occasion. Mais dans certains cas, les problèmes sont plus graves. Chimone est né avec une anomalie au rein. Il est suivi à l’hôpital depuis sa naissance et a besoin de soins constants. Alors pour lui, à tous les points de vue, la première classe du gan, c’est un immense événement. Ses parents sont confrontés à des
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Chmouel Hanavi
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Ovadia MiBartenoura
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Rachach 11
L’année dernière, grâce à vous, des milliers de familles ont assisté à de véritables miracles et ont bénéficié de :
7 490 Bourses d’entraide
24 963 Paniers alimentaires
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Aides pour les veuves et les orphelins
Opérations urgentes ou délicates
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Aides médicales
Soins dentaires
2 803 Subventions pour des soutiens scolaire
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problèmes de taille : comment fera-t-il pour se rendre à l’hôpital et retourner ensuite au gan ? Pourra-t-il réellement profiter de cette année de découverte et de premières expériences sociales avec d’autres enfants de son âge ? Les bilans médicaux l’empêcheront ils d’assister aux fêtes et aux anniversaires de ses nouveaux copains ? Un espoir existe pourtant car les médecins envisagent une intervention chirurgicale. Longue et coûteuse, elle permettrait à Chimone de vivre normalement.
« Je voudrais tant jouer dans la cour de récréation ! » Pour Judith , une petite fille qui entre en CP et qui se déplace en chaise roulante à cause d’un virus qui a paralysé ses jambes, la gageure s e m b l e également immense. La vie quotidienne n’est pas simple et parsemée d’embûches à cause de cet handicap qui n’est pourtant pas incurable. Lorsqu’elle rentre de l’école, c’est souvent la même phrase qui revient : « Maman, je voudrais jouer pendant la récréation ! » Mais cela est impossible et elle ne peut s’ébattre joyeusement comme ses camarades. Pour elle, pas de balle au prisonnier ni de saut à la corde. Son cœur se serre et elle ne peut s’empêcher de pleurer malgré tous les efforts qu’elle fait pour garder
sa dignité. Sa maman le lui dit toujours : « Bientôt ma chérie, tu pourras jouer comme les autres. Tu passeras l’opération qui te libèrera de ton fauteuil. Il faut de la patience ! Nous trouverons l’argent » Mais comment une petite fille de 6 ans peutelle comprendre qu’une question d’argent l’empêche de marcher ?
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Le ventre vide
Avec un peu de bonne volonté, il est possible de soutenir ces familles. Tous unis, et chacun selon ses moyens, on peut briser la logique de la misère. Quelque que soit la somme, elle permet de constituer un capital solidarité qui profitera à ces enfants et aux nôtres. Les dividendes seront multipliés dans notre vie et fructifieront éternellement. Les Rabbanim du Vaad donneront leur bénédiction et prieront pour tous les donateurs durant les 40 jours entre Roch ‘hodech Eloul et Yom Kippour. Ne nous privons pas de leurs prières.
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Or Ha'haim Hakadoch
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D’autres enfants sont en bonne santé mais ont souvent le ventre vide. C’est le cas de David, qui a bientôt 11 ans et qui entre en 6e. Son père vient de perdre son travail et sa mère est au chômage. La situation financière s’est tant dégradée que le frigo n’a rien à offrir. Lorsque David rentre de l’école à quatre heures, et qu’il n’a mangé que deux tartines de pain, il ouvre souvent la porte du réfrigérateur. Mais à chaque fois, les étagères sont cruellement vides. Faute de moyens, ses parents ne peuvent l’inscrire à la cantine. Parfois il se rend chez des voisins qui lui donnent de quoi se restaurer. Mais comme il a honte de demander, il revient souvent chez lui affamé. Le soir, il va souvent se coucher sans avoir mangé. Or, David a besoin de se nourrir à sa faim afin de réussir son année. En attendant de retrouver du travail, ses parents ont besoin d’une aide alimentaire mensuelle.
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Chimon Bar Yohai
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Sur la Tombe du Rav
Elazar Mena'hem Cha'h
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Sur la Tombe du Rabbi de
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Une voiture… fidèle Les témoignages de délivrances personnelles écrits par les donateurs du Vaad Harabanim et envoyés à nos bureaux sont toujours saisissants et émouvants. Il y a quelques jours, l’un d’entre eux nous est parvenu de France, et a attiré tout particulièrement notre attention. Voici l’histoire de son auteur, vraie mais dont nous avons changé les détails pour la parution, afin d’éviter toute ressemblance avec les personnes réelles ayant vécu cette expérience.
Ce matin-là, Eva* avait demandé à Samuel*, son mari, d’aller faire quelques courses à l’épicerie. Comme son rendez-vous était en fin de matinée, il accepta de bon cœur, prit la liste des courses et partit. Au retour, il se gara devant son immeuble (en banlieue parisienne) pour déposer les courses à la maison. Mais en arrivant devant la porte de chez lui, il constata avec horreur qu’il avait oublié les clefs sur son tableau de bord. Son cœur fit un bond et il courut en bas de l’immeuble à toute allure. Là, ce fut le choc : sa voiture avait disparu ! Il eut beau regarder autour de lui en tournant la tête dans tous les sens, il ne put retrouver sa chère voiture. Il remonta chez lui totalement abattu. C’était si stupide. Comment avait-il pu oublier ses clefs et offrir un si beau cadeau aux voleurs ! Eva lui conseilla d’aller le plus rapidement possible porter plainte à la police mais Samuel n’avait plus le moyen de s’y rendre. Finalement, il se fit tout de même accompagner par un ami et fit sa déposition au commissariat. Sur le retour, son ami lui conseilla d’aller faire un tour dans le quartier jouxtant le sien, lieu de nombreux trafics habité par des délinquants. Samuel ne trouvait pas l’idée très judicieuse. Les voleurs de voiture ne se garent pas devant chez eux. Ils appartiennent à une organisation mafieuse qui leur permet de revendre les véhicules après les avoir fait disparaître quelques jours. Mais son ami insista et Samuel retourna chez lui afin de prendre le double de sa clef de voiture. Il expliqua à Eva l’idée de son ami tout en lui confiant ses réserves et ses doutes. -
Il faudrait vraiment un miracle !
s’exclama Samuel
*Nom d’emprunt 14
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Na'hman MiBreslev Eva l’écoutait attentivement et, à ce mot, esquissa un sourire. -
J’ai une idée ! Tu parles de miracle, et moi je sais comment les provoquer !
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Ah oui, comment ? s’enquit Samuel de plus en plus abattu.
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Il suffit d’appeler le Vaad Harabanim et de faire un don. Cela enclenche le processus du miracle.
Samuel réfléchit quelques instants et lui donna son feu vert. Eva fit un don de 52 euros, Samuel prit le double de ses clefs et rejoignit son ami qui l’attendait en bas. Une fois dans le quartier malfamé, ils firent le tour du pâté de maison deux fois. Tous deux priaient que par le mérite de la tsedaka ils puissent retrouver la voiture. Mais après quelques minutes, Samuel dit, le regard triste : -
Nous avons échoué !
Son ami n’était pas aussi pessimiste et proposa de s’engager dans une allée qu’ils n’avaient pas explorée. À cent mètres, ils virent la voiture garée sur le parking d’une tour ! Les deux amis n’en revenaient pas et Samuel ne pouvait s’empêcher de répéter que ce n’était pas possible. Jusqu’au moment d’introduire la clef dans la porte, il n’arriva pas à croire qu’il s’agissait bien de sa fidèle voiture…
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Levi Itshak Berditchev
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Israel Baal Chem Tov
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Honi Hameaguel
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Elazar Berrebi Chimon *Les lieux et jours de prière peuvent changer
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Pour que les Grands de la Génération prient pour vous durant le mois d'Eloul Je vous demande de prier pour : Prénom en hébreu _______________________ Prénom de la mère _____________________ Bonne santé
Parnassa Enfants Mariage Réussite avec les enfants Succès Autre ____________________
Prénom en hébreu _______________________ Prénom de la mère _____________________ Bonne santé
Parnassa Enfants Mariage Réussite avec les enfants Succès Autre ____________________
40 jours de prière continue
40 jours de prière sur les lieux saints par les Rabbanim du Vaad agissant sur le terrain
depuis Roch 'Hodech Eloul jusqu'à Yom Kippour 24h/24 et 7j/7 sans interuption*
*Tous les noms qui nous parviendront après Roch 'Hodech Eloul (26/08/14) seront mentionnés jusqu'à la fin des 40 jours
En France En Suisse
0-800-106-135
0-800-555-889 0-800-761-13 1877-722-2646
5 possibilités
pour transmettre vos dons au Vaad haRabanim : Appelez ce numéro pour un don par carte de crédit : 0-800-106-135 en Israël: 00. 972.2.501.91.00 - - - - -
En Belgique
Au Canada
Envoyez votre chèque à : Vaad haRabanim En France : 10, Rue Pavée 75004 Paris FRANCE En Suisse : Rue Louis-Curval 12. Geneve 1206. SUISSE En Belgique : Consciencest St. 23 2018 Antwerpren BELGIUM Au Canada : 5831 Esplanade. Montreal QUEBEC CANADA h2t3a2
- Envoyez votre don à l'un des Rabanim de votre région (demandez la liste au numéro 0-800-106-135). - Envoyez votre don dans l'enveloppe jointe.
www.vaadharabanim.org
Un reçu sera envoyé pour tout don * Veuillez libeller vos chèques à l'ordre de Vaad haRabanim