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Les b창tisseurs du Bien Page 8

Une segoula qui a fait ses preuves Page 14


Un extrait de la prière du Chlah Hakadoch

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« Tu as créé le monde pour faire connaître Ta grandeur ( …). Tu nous as donné ces deux commandements : Tu nous a donné l’ordre d’avoir des enfants et de les éduquer dans le chemin de la Thora. Tu as créé ce monde pour Ton honneur. Pour que nous connaissions Ton nom et étudions la Thora. Je lève mes yeux vers Toi pour que nous puissions continuer à étudier et à accomplir la Thora. Donne-nous une longue vie, bénie. Permets que mes enfants puissent étudier, qu’ils se conduisent bien et Te servent réellement. Qu’ils aient une bonne santé, qu’ils trouvent l’âme sœur. »


Erev Roch Hodech Sivan est le meilleur moment pour réciter la prière du Chlah Hakadoch. Ce grand de la Thora a écrit cette tefila spéciale pour la bonne santé et la réussite des enfants et elle est récitée dans toutes les communautés du monde erev Roch ‘hodech. Rédigée par un immense tsadik qui repose aujourd’hui à Tibériade, ses mots sont un puissant bouclier contre tous les accidents de la vie. Le Rav Yechaya Horowitz, dirigeant de sa

incommensurable. Si le Chlah a été désigné

génération au 17 siècle, n’a pas seulement laissé

par le nom de « kadoch », c’est parce que les

en héritage un livre fondamental de pensée juive,

hommes reconnurent sa grandeur spirituelle, son

le « Chné Lou’hoth Habrith », dont les initiales

attachement aux mitsvoth et à Hachem. Ce tsadik

forment l’acronyme de son surnom le « Chlah ».

ne vivait que pour dévoiler la grandeur divine et

Il a également composé une prière, accessible

fut un exemple de dévouement et d’humilité tous

à tout le monde, et qui revêt une importance

les jours de sa vie. C’est sans doute ce qui lui valut

capitale pour chacun d’entre nous. Cette prière

le mérite d’être enterré à quelques mètres d’un

concerne les enfants et représente un trésor

autre immense Sage, le Rambam.

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Des mots qui protègent et qui sauvent Parce que les Rabbanim sont proches du public et qu’ils recherchent toujours des moyens de lui procurer le bien et la prospérité, ils se réuniront cette année encore à Tibériade sur la tombe du Chlah Hakadoch. Ils souhaitent en effet prier ensemble afin d’exprimer à tous leur amour indéfectible, eux qui considèrent tout juif comme leur propre enfant. Durant une tefila unique

Notre Maitre le Gaon Rav

Aharon Leib Steinman

chlita

qui réunira les plus grands décisionnaires et Rabbanim de notre temps, les mots de la prière formeront un véritable bouclier céleste capable de protéger les enfants juifs des dangers physiques et spirituels. Grâce à une organisation bien huilée, un planning minuté et des dizaines de bénévoles sur place, cette veille de Roch ‘hodech Sivan sera un moment exceptionnel de kedoucha. Malgré les difficultés matérielles et les emplois du temps souvent incompatibles, les Guedolim seront présents auprès du Vaad Harabanim pour donner toute leur force de conviction et de foi durant cette précieuse prière. La distance qui les sépare de Tibériade ne les a pas découragés et ils

Notre Maitre le Gaon Rav

Haim Kaniewsky

chlita

à ce mémorable minyan.

Notre Maitre le Gaon Rav

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Nissim Karelitz

seront là avec l’assemblée venue se joindre

Notre Maitre le Gaon Rav

chlita

Yaakov Hillel

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« Hachem, sauve mon fils ! » Le sentiment naturel qui anime tous les parents est de vouloir offrir le meilleur à ses enfants. La meilleure éducation, la meilleure nourriture, mais aussi le plus grand confort et la sécurité la plus totale… Quelle mère ne sursaute pas lorsqu’elle voit le numéro de téléphone de l’école s’afficher sur son portable ? Chaque heure de la journée est rythmée par ces préoccupations. Notre enfant a-t-il de bonnes fréquentations, est-il heureux, épanoui ? Devant le Kotel ou à la synagogue, chez soi ou après une réunion de travail, la prière est toujours accompagnée de requêtes concernant nos enfants. « Hachem, sauve mon fils ! » s’exclamera la maman d’un enfant malade en essuyant ses

Notre Maitre le Gaon Rav

Gershon Edelstein

chlita

Notre Maitre le Mekoubal Rabbi David Abou'hatseira chlita

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larmes. Une autre suppliera pour que sa fille puisse se marier avec son zivoug alors qu’une troisième demandera que la sienne puisse passer ses examens avec succès. Or, le Chlah nous dévoile un secret : une tefila spéciale, qui permet de faciliter l’accès de la prière jusqu’au trône céleste. Prier avec ses propres mots est très important. Mais lorsqu’on lit la tefila du Chlah et que l’on réalise ce que l’on dit, on prend la mesure de la dimension cosmique de notre rôle de parent.

Notre Maitre le Gaon Rav

Arieh Finkel

chlita

Vers les hautes sphères

Notre Maitre le Gaon Rav

Chmouel Auerbach 6

chlita

La prière de min’ha doit bientôt commencer. Les abords de la tombe du Chlah ont été sécurisés et une foule se presse afin de se joindre à la tribune des Rabbanim. Malgré la chaleur et le trajet, parfois long du plusieurs heures, les Rabbanim arrivent à l’heure et se recueillent quelques minutes. Ils se concentrent alors intensément avant de lire


les premiers psaumes qui seront suivis de la amida puis de la prière du Chlah. La ferveur des Grands de la Thora est communicative et tous ceux qui se sont joints à eux témoignent du même envol vers les hautes sphères. Les voix des Maîtres forment un appel poignant auquel nul ne peut être indifférent. Les mots du Chlah, prononcés par de si illustres Sages, acquièrent toute leur puissance et déchirent le ciel. Tout en pleurant, ils pensent à chacun d’entre nous, comme des pères aimants. Ils pleurent pour leurs enfants qui souffrent, pour les abandonnés et ceux qui n’ont plus d’espoir. Ils pleurent pour leurs enfants sans ressources et pour ceux qui attendent une réponse. Nous vous invitons à nous rejoindre, jeudi 29 mai, veille de Roch ‘hodech Sivan à Tibériade. Si vous ne le pouvez pas, associez-vous à cette prière salvatrice et communiquez vos noms et vos requêtes. Vous formerez, avec les Rabbanim, un bouclier pour vos enfants…

Notre Maitre le Gaon Rav

Reouven Elbaz

chlita

Notre Maitre le Gaon Rav

Yaakov Edelstein

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L’action du Vaad Harabanim en faveur des défavorisés ne consiste pas seulement dans l’octroi de bourses d’aide. Même si l’apport financier est primordial, les délégués se rendent disponibles un maximum afin d’être la présence amie et sécurisante dont tant de Juifs dans la détresse ont besoin. Un travail de bâtisseur, qui, pierre après pierre, édifie le Bien. 9


Les Rabbanim ne répondent pas seulement aux questions de hala’ha. Ils ne sont pas seulement responsables de la synagogue ou d’un tribunal rabbinique. Ils ont également, en permanence, le souci de leur prochain. Malgré leur emploi du temps surchargé, ils savent se consacrer aux autres, au prix de leur propre repos. Tout le monde sait que les heures tardives de la nuit sont le meilleur moment pour parler à Rav Cohen, lui poser une question personnelle. C’est pourquoi c’est ce moment-là, quelques minutes avant minuit, que Yaakov a choisi pour rendre visite au Rav de sa communauté. Il s’est rendu devant son immeuble et l’a abordé devant la porte d’entrée. « Puis-je vous parler, Rav ? » « Oui, bien sûr, avec plaisir, c’est pour ça que je suis là… Viens, monte à la maison ! » Yaakov échange des paroles de Thora avec le Rav 10

devant le thé que lui a servi la Rabbanith. Après quelques minutes, le Rav l’interroge sur ce qui l’amène. Le jeune homme ne peut alors empêcher ses larmes de couler. Il se déleste du poids des dernières semaines qui pesait lourdement sur son cœur. Depuis des mois, sa femme est malade et personne ne le sait. Yaakov et Choulamith ont pris soin de le cacher à tout le monde. Pourtant, le Rav connaît bien Yaakov. Il l’a connu quand il était enfant. Très affecté par son récit, il lui pose des questions. Pourquoi ne pas en parler à tes parents ? Yaakov lui explique que ces derniers ne sont pas en mesure de l’aider. Ils sont âgés et il craint pour leur propre santé. C’est alors que Yaakov explique plus précisément la situation. La maladie de sa femme est grave. Il existe un médicament susceptible de la guérir mais il est extrêmement onéreux, non remboursé par la sécurité sociale. Ce n’est pas avec son salaire d’enseignant qu’il pourra se le procurer !


« Ce médicament peut la sauver ! explique-t-il. Il faut le commander à l’étranger, commencer les soins et assurer un suivi médical... Je suis venu vous voir car nous ne savons pas vers qui nous tourner… ». Yaakov aborde ensuite le sujet des enfants. Sa voix s’étrangle alors dans sa gorge. La maman n’est plus présente depuis des semaines. Le changement se fait cruellement ressentir et les enfants sont totalement déboussolés. Après plusieurs mois, Yaakov s’est enfin décidé à tout raconter au Rav. Il a immédiatement senti que celui-ci prenait très à cœur son histoire et allait l’accompagner tout au long de la longue route qu’il devrait entreprendre. « Reviens me voir demain ! » Le Rav ne pose plus de questions. Ses yeux sont assombris par la tristesse. Il réfléchit quelques minutes. Après avoir évalué les difficultés, il

s’exclame : « Nous allons t’aider, je vais m’adresser au Vaad Harabanim et nous allons organiser une structure d’entraide ! » En raccompagnant Yaakov, il lui dit des mots d’encouragement et lui demande de revenir le lendemain. Le soir même, il remplit une demande d’aide afin de l’envoyer à la première heure au Vaad Harabanim. Son épouse est également mise à contribution. Elle se renseigne afin de trouver des personnes susceptibles de garder les enfants, de s’occuper du linge, des repas. Le Rav peut se concentrer sur la mission d’urgence : trouver les fonds nécessaires à l’achat du médicament. Le Vaad Harabanim, en partenariat avec le Rav de Yaakov va agir, vite. Avec à la base des délégués solidaires et discrets, l’équipe de « construction » va se mettre en place. Les chantiers sont nombreux. Les moyens mis en œuvre aussi. Tous les rôles sont distribués : de l’architecte au contremaître, 11


de l’ingénieur à l’ouvrier, tous vont se mobiliser afin de bâtir l’édifice de solidarité qui permettra à Choulamith de retrouver la santé. Et à ses enfants de retrouver leur mère. Rav Cohen, ainsi que les autres Rabbanim, sont les fers de lance de ce mouvement. Ils sont plusieurs centaines à travers le pays. Outre leur poste de chefs de communauté, ils sont au centre de toutes les activités d’entraide. Ils élaborent des plans de sauvetage adaptés à chacun. Et ce sont eux qui se soucient des problèmes techniques. Ils abordent toutes les situations difficiles avec disponibilité et sont les piliers solides sur lesquels on peut toujours compter. Pour nous, une histoire comme celle de Yaakov et de Choulamith est une nouvelle attristante. Pas plus. Mais pour eux, chacun de ces « faits divers » est un dossier à traiter. La sollicitation est permanente mais la porte jamais fermée. L’écoute et l’accueil sont toujours de mise.

En toutes circonstances Que les événements soient dramatiques ou simplement problématiques, l’équipe de bâtisseurs est toujours sur la brèche. Que ce soit lors d’un accident ou pour un cas plus grave, ils sont opérationnels. Quand par exemple un appartement a brûlé, ce sont eux qui se soucient de trouver un nouveau toit aux victimes, de 12

traiter avec les assurances, de remédier à tous les manques. Et si une famille doit affronter le décès d’un proche, ce sont encore eux qui sont présents, entourant la famille pour leur redonner courage et organiser les obsèques et les chiva. Ils sont également là pour fêter des événements joyeux, comme une ‘houpa ou une bar mitsva. Ils incarnent le ‘hessed de am Israël.

Des délégués anonymes Les soucis domestiques sont également pris en compte par les « bâtisseurs ». Un jour, Ephrat est arrivée chez Myriam un peu paniquée. Elle a accouru chez sa voisine car sa machine à laver avait pris feu. Or, elle est orpheline et n’a pas de mère à qui demander conseil. Myriam constate qu’un composant électronique a effectivement brûlé. Elle lui propose immédiatement de laver son linge chez elle, le temps d’appeler le technicien. Ephrat a perdu sa mère très jeune. Elle sait qu’elle peut compter sur sa voisine qui est une déléguée du Vaad Harabanim. Elle l’aidera le cas échéant à acheter une autre machine, et s’occupera de son linge, le temps de la livraison. C’est elle qui l’épaule à chaque petit pépin. D’autres profitent de cette disponibilité extraordinaire et frappent aussi à la porte de Myriam. Le sacrifice pour les autres est sa vocation.


Des cas extrêmes

pour l’accompagner. Elle l’écoute, en état de

Il faut également agir dans l’instant, et être sur

Totalement déstabilisée, elle comprend qu’elle

le qui-vive. C’est ce dont témoigne Moché, l’un

peut compter sur Moché et sur son épouse et

des délégués du Vaad. Un vendredi après midi,

qu’elle peut leur confier ses enfants.

choc. Comment partir en laissant ses enfants ?

une heure avant chabbath, il entend la sirène de plusieurs ambulances en bas de chez lui. Son

Les délégués du Vaad et les Rabbanim sont les

fils lui explique que Morde’haï le voisin a eu une

bâtisseurs du Bien qui donnent leur temps et

crise cardiaque et reçoit les premiers soins sur

leurs forces pour aider, conseiller, trouver des

place. Moché entre sans délai en action. Il se

solutions… Ils sont ceux sur qui nous comptons

soucie de savoir ce que vont devenir les enfants

inconsciemment pour réaliser cette entraide

pendant chabbath, rassure Hanna, l’épouse de

magnifique qui est l’apanage de notre peuple. Et

Morde’haï, et lui conseille de partir à l’hôpital

le sceau de sa pérennité.

Grâce à vous ! L’année dernière, grâce à vous, des milliers de familles ont assisté à de véritables miracles et ont bénéficié de :

5 123 Aides pour les veuves et les orphelins

24 963 7 490

Paniers alimentaires

Bourses d’entraide

1 263 Soins dentaires

814 4 724

Opérations urgentes ou délicates

Aides médicales

2 803 Subventions pour des soutiens scolaire

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« La veille de Chavouoth, prenez 91 pièces et ajoutez-y 13 autres afin de parvenir à la somme de 104 (deux fois la valeur numérique du mot « ben »). Donnez cette somme à la tsedaka afin d’aider les indigents et les érudits dans le besoin. Vous serez gratifiés par la naissance d’un enfant et vous hâterez la rédemption finale. »

Rav Haïm Palagi est un Sage du 19e siècle qui a œuvré toute sa vie pour ses frères. Grand érudit, il n’eut de cesse de se soucier de l’autre et de ne jamais laisser l’un des siens dans la souffrance. C’est peut-être la considération qu’il portait à chaque Juif, qu’il chérissait comme son propre enfant, qui lui permit de révéler un secret en forme de segoula… 14

Sarah et Ichaï relurent la phrase décrivant la segoula plusieurs fois. Ils consultèrent ensemble le prospectus du Vaad Harabanim dans laquelle elle figurait et eurent de nombreuses discussions à ce sujet. Après avoir subi tant de soins en vue d’avoir un enfant, malheureusement sans résultat, ils pensaient tous deux la même chose : il était temps de suivre les indications de Rav Palagi. Judith et Daniel eurent la même intuition. Souvent, lorsque Daniel revenait à la maison, il retrouvait sa femme très abattue. Même s’ils avaient eu la chance d’avoir une petite fille, cela faisait si longtemps qu’ils attendaient de donner la vie encore une fois ! Daniel consolait son épouse comme il le pouvait, jusqu’au jour où un ami lui parla de la segoula de Rav Haïm. Il raconta tout à sa femme. Le regard de Judith s’illumina. Cela faisait longtemps qu’elle attendait que ses prières soient entendues et elle sentit que l’enseignement du Rav pourrait l’aider.


Quant à Chira et Méïr, ils découvrirent le secret de la tsedaka du Rav Palagi grâce à une jeune accouchée que Chira rencontra à l’hôpital alors qu’elle rendait visite à l’une de ses amies. La voisine de chambre de cette dernière lui raconta son incroyable histoire. Après dix ans de mariage, elle venait de mettre au monde un magnifique petit garçon, qu’elle souhaitait appeler « Haïm » du nom du Rav Palagi. C’était en effet grâce à la segoula des 104 pièces qu’elle avait mérité un tel petit ange ! Les lettres de Chira, de Judith ou d’Ichaï, reçus au Vaad Harabanim témoignent avec émotion d’une

réalité bien palpable : la segoula a été éprouvée par de nombreux couples, qui ont une reconnaissance sans fin pour le Rav Palagi. Tous expliquent qu’ils sont si heureux d’avoir un enfant, grâce à l’aide qu’ils ont octroyée à leur prochain par l’intermédiaire du Vaad Harabanim. Ils savent que c’est du Ciel que le Rav Palagi a séché leurs larmes, par le mérite de la tsedaka, en permettant à leur rêve de se réaliser…

Les Grands de la génération, accomplissent la Segoula de Rav 'Haim Palaggi par l'intermediaire du Vaad Harabanim Je prend part à l'action du Vaad Harabanim. Je fais un don de la somme de 104 Shekel à l'occasion de Chavouot. A. L. Steinman

Ci-joint un don de 104 Shekel pour Chavouot (Segoula de Rav 'Haim Palaggi) pour la bonne cause qu'est le Vaad Harabanim. 'Haim Kanievsky

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Pour que les Grands de la Génération prient pour vous

- La veille de Roch 'Hodech Sivan - La veille de Chavouot Prénom en hébreu ____________________________________ Prénom de la mère ___________________________________ Bonne santé Parnassa Enfants Mariage Réussite avec les enfants Succès Autre ____________________ Prénom en hébreu ____________________________________ Prénom de la mère ___________________________________ Bonne santé Parnassa Enfants Mariage Réussite avec les enfants Succès Autre ____________________

En France En Suisse

0-800-106-135

0-800-555-889 0-800-761-13 1877-722-2646

5 possibilités

pour transmettre vos dons au Vaad haRabanim : Appelez ce numéro pour un don par carte de crédit : 0-800-106-135 en Israël: 00. 972.2.501.91.00 - - - - -

En Belgique

Au Canada

Envoyez votre chèque à : Vaad haRabanim En France : 10, Rue Pavée 75004 Paris FRANCE En Suisse : Rue Louis-Curval 12. Geneve 1206. SUISSE En Belgique : Consciencest St. 23 2018 Antwerpren BELGIUM Au Canada : 5831 Esplanade. Montreal QUEBEC CANADA h2t3a2

- Envoyez votre don à l'un des Rabanim de votre région (demandez la liste au numéro 0-800-106-135). - Envoyez votre don dans l'enveloppe jointe.

www.vaadharabanim.org

Un reçu sera envoyé pour tout don * Veuillez libeller vos chèques à l'ordre de Vaad haRabanim


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