Tichri5775

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C’est à Roch Hachana que sont fixés les événements de l’année à venir. Les joies et les drames. Les naissances et les morts. Les réussites et les faillites. Ces jours, marqués par le sceau divin, sont décisifs pour le peuple juif dans son ensemble comme pour tous ceux qui le composent. Comment les aborder ? La réponse a été donnée il y a cinq ans par Rav Elyachiv qui a instauré une prière spéciale devant le Kotel. Suivons les Guedolim pour cette tefila exceptionnelle… 2


Rav Azriel Auerbach pose son livre d’étude et se lève, avant de mettre son chapeau et d’enfiler son manteau. Il fait encore jour et Roch Hachana commence dans quelques heures. Il sait que plusieurs de ses élèves l’attendent pour l’accompagner au Kotel. Rav Reouven Elbaz vient de finir une réunion à la Yechiva. Tout le monde regrette son départ, si proche du début de la fête. Mais il s’est engagé à se rendre au Kotel alors que le soleil amorce son coucher. Il n’a pas une minute à perdre, le voici déjà en route. L’Admour de Rahmastrivka n’a pas le temps de dire au revoir à ses ‘Hassidim. Après une journée très chargée, il se dépêche de finir l’organisation des prochains jours avant de rejoindre un mynian très spécial qui va bientôt commencer. Plus que vingt minutes avant le début de la prière au Kotel. Tous trois rejoignent d’autres sommités rabbiniques devant le mur des Lamentations. Tous poursuivent le même objectif : consacrer les dernières minutes avant la fête à leurs frères juifs, pour infléchir la

justice divine et obtenir Sa miséricorde. Chaque pas vers le Kotel les rapproche de leur mission commune. Malgré leurs responsabilités, ils n’ont pas hésité une seconde. Car pour eux, les priorités sont claires. Prier pour les donateurs du Vaad Harabanim, qui organise chaque année une prière spéciale quelques heures avant Roch Hachana, est un rendez-vous qu’ils ne manqueraient à aucun prix. Car la solidarité au sein du Peuple Juif est une valeur fondamentale, en particulier avant le jour du Jugement qui fixera ce qui nous attend pour toute l’année. Ponctuels et recueillis, d’autres Rabbanim arrivent. C’est maintenant Rav Yaakov Hillel qui se présente dans l’endroit consacré à la prière du Vaad Harabanim, juste en face du Kodech Hakodachim. Puis l’on distingue Rav Chmouel Auerbach, l’Admour de Lelov, l’Admour de Karlin, Rav Ezrahi, Rav Tsadka et Rav Shlesinger. Le regard pur et le pas sûr, ils sont venus représenter le Peuple Juif devant son père céleste afin de L’implorer dans ces moments intenses juste avant le début de la fête. 3


Le Chofar retentit La fête de Roch Hachana se distingue par la sonnerie du Chofar. Pour nous sortir de notre torpeur et nous inciter à la techouva, la corne de bélier est sonnée à plusieurs reprises durant les différents offices. Qui aurait pu imaginer l’année dernière qu’autant de sirènes allaient retentir dans le pays, annonçant le danger imminent de missiles destructeurs ? Qui aurait pu imaginer donner naissance à des jumeaux, reprendre l’affaire familiale ou commencer une nouvelle carrière ? Le Chofar nous délivre un message fort : concentrons nos efforts pour plus de justice, éveillons notre âme aux besoins de l’autre. La tsedaka, la tefila et la techouva renversent les mauvais décrets. Durant la prière au Kotel, les Rabbanim sont unis pour élever leurs voix vers le Ciel. Ils souhaitent consacrer au Peuple Juif les derniers moments avant le début du jugement car ils connaissent l’importance de ces instants. C’est ainsi que commence la prière. Même si l’on ne sonne pas encore du Chofar, les voix de nos Sages résonnent comme autant de tekioth et de chevarim. Semblables à des gémissements, les mots des Sages s’élèvent devant le Mur. Les yeux pleins de larmes, ils implorent le Roi des rois afin qu’Il accorde à Son peuple une année de bonheur et de délivrances. Eux qui connaissent de si près les souffrances des enfants d’Israël, ils ouvrent leur cœur et expriment leur amour pour chacun de leurs fils. Des images défilent devant eux : de jeunes orphelins privés de leur mère, mais

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aussi des parents éplorés après la perte d’un enfant. Des personnes ruinées, d’autres désorientées, des malades en danger de mort, d’autres abandonnés dans des maisons de retraite. Ils ont une pensée pour chacun d’entre eux et pour tous ceux qui souffrent d’autres maux. Ils frissonnent en invoquant le Toutpuissant avant de Lui présenter un plaidoyer vibrant. Toute leur énergie est concentrée afin d’évoquer les liens d’amour indéfectible entre le Peuple Juif et son Roi. Les sanglots de leurs cœurs s’élèvent jusqu’au trône de gloire dans cette prière qui vient du fond de l’âme. Rien ne peut former d’écran entre le Ciel et nos Grands Sages. Car c’est l’amour pour chaque Juif qui est leur dénominateur commun. Ils rétablissent par leurs mots, Chofars puissants et lumineux, le contact entre D.ieu et Son peuple. Ces mots vibrants culminent dans l’unité de leur prière. Chargés de l’émotion et de la force de ces géants de la Thora, ils subjuguent l’assistance nombreuse venue prier aux côtés des Rabbanim.

Le crépuscule de l’aube La nuit va bientôt tomber. Avec elle, c’est le jour du jugement qui va commencer. Les Rabbanim adressent une dernière supplique en faveur des donateurs qui font tant de bien à leurs frères dans la douleur. Ils consacrent un « Michebera’h » spécial pour eux, pleins de reconnaissance pour leur action au côté du Vaad Harabanim. Ils doivent maintenant repartir


afin de se consacrer à leurs communautés, pour diriger des offices aux quatre coins de la ville. Les délégués du Vaad Harabanim vont alors citer tous les noms des hommes et des femmes généreux qui font de l’empathie une règle de vie. Le cœur serré, ils présentent leurs requêtes, une par une, en ayant à l’esprit chaque difficulté dépassée, chaque enfant sauvé, chaque faillite évitée grâce à leurs gestes. Ces actes de bonté sont autant de mérites pour les donateurs, qui, même à plusieurs milliers de kilomètres, et souvent sans être conscients de la portée de leur acte, peuvent s’enorgueillir d’avoir à leur crédit tant de joyaux spirituels. Durant toute une année, ils ont soutenu, aidé, consolé ceux qui souffraient dans le silence. Ils ont fait de leur crépuscule un nouveau départ et ont transformé l’obscurité en lumière. Pour tous ceux-là, le Vaad Harabanim et les Grands Sages dédient chaque année cette prière initiée par Rav Elyachiv. Et chaque année, les demandes sont plus nombreuses car les Juifs du monde entier veulent à tout prix y participer. Ces requêtes affluent durant toute la journée, et encore quelques minutes avant la fin de la prière. Quelle preuve de confiance ! Quel engagement puissant de tout le Peuple Juif, conscient de l’importance de ces minutes cruciales ! Et alors que le soleil se couche sur Jérusalem, un espoir renaît de ces cendres, par le mérite de la solidarité juive.

Notre Maitre le Gaon Rabbi D.

Abou'hatseira Chlita

demande de participer à la prière 5


.‫ זֶה ַּכ ּ ָפ ָר ִתי‬.‫ זֶה ְּתמ ּו ָר ִתי‬.‫זֶה ֲחלִ ָיפ ִתי‬

‫ וַ עַ ד ָה ַר ָּבנִ ים לְ עִ נְ יָ נֵ י‬- ‫זֶה ַה ֶּכ ֶסף יֵ לֵ ְך עַ ב ּור ַהצְ ָד ָקה ׁ ֶשל גְ דוֹ לֵ י ַהדוֹ ר ְשלִ ָיט"א‬ :‫ וַ ֲאנִ י ֶא ָּכנֵ ס וְ ֵאלֵ ְך לְ ַח ִ ּיים טוֹ בִ ים ֲאר ּוכִ ים ּולְ ׁ ָשלוֹ ם‬,‫צְ ָד ָקה ְּב ֶא ֶרץ ַהקוֹ ֶדש‬

C’est bientôt Yom Kippour et nous nous y sommes tous préparés pendant les jours redoutables. Nous ressentons au plus profond de notre être l’impact de nos fautes et voulons les réparer. L’une des coutumes qui peut nous y aider est celui des Kaparot. Or, chaque année, le Vaad Harabanim tient à proposer à tous ceux qui le souhaitent d’accomplir cette mitsva dans les meilleures conditions. Le minhag des Kaparot est ancré depuis des générations dans le Peuple Juif. En donnant de l’argent aux nécessiteux, on ouvre les portes de la miséricorde divine. C’est pourquoi le Vaad Harabanim propose un service « Kaparot » afin que tous puissent accomplir cette mitsva comme il se doit. Par un simple appel téléphonique au standard, on peut s’inscrire dans ce 6

programme « Kaparot » afin de réaliser cette coutume ancestrale. L’argent récolté est remis aux familles pauvres afin de les aider à survivre. Pour celui qui donne, c’est l’opportunité d’accomplir une mitsva très importante avant Yom Kippour. Car comme nos Sages l’ont expliqué, « la prière, la techouva et la tsedaka, renversent les mauvais décrets. » Accomplir la tsedaka dans cette période décisive de l’année est le souhait de tous les Juifs. Il faut simplement adresser les dons à la bonne adresse afin qu’ils soient distribués à ceux qui traversent de grandes difficultés.


Le Gaon Rav A. L. Steinman Chlita

Le Gaon Rav H. Kanievsky Chlita

Une tsedaka démultipliée Lorsqu’on adresse un don au Vaad, on sait qu’il ira directement à des personnes réellement démunies dont le cas a été examiné par les Rabbanim du comité. Plus que cela, la particularité d’un don effectué au Vaad Harabanim est de se démultiplier. Car nos dons sont associés à des milliers d’autres, formant une multitude de possibles pour les déshérités. C’est ainsi que la pièce que nous versons aide non pas une seule famille et de façon limitée, mais des milliers de personnes à l’infini. Or, comme le prouve le succès de l’opération chaque année, l’amour du prochain au sein de notre peuple est une valeur très importante, grâce à D.ieu ! Les donateurs, même anonymes et modestes, savent que leurs contribution est essentielle. D’autant que la tsedaka, dans la période cruciale entre Roch Hachana et Yom Kippour est l’occasion de donner de nous-mêmes, ce qui permet de nous faire pardonner nos fautes et de montrer à Hachem notre attachement à l’autre et donc à Lui. Permettre cette extraordinaire solidarité est l’idéal de l’Association, relayé par les milliers de donateurs actifs dont le cœur souffre pour leurs prochains.

Le Gaon Rabbi D. Abouhatseira Chlita

Le Gaon Rav C. Auerbach Chlita 7


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Le Vaad Harabanim est le pouls du peuple juif. En vérifiant les actions qu’il mène, comme autant de battements de cœurs, on peut prendre la mesure de la santé de notre peuple. Découvrons ensemble l’électrocardiogramme de vos actions à ses côtés, qui ont tant joué toute l’année pour guérir les plaies de tant de nos frères…

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Imaginons un homme en simple visite à l’hôpital. Il attend un proche dans la salle d’attente. Tout est calme dans les couloirs du service. De temps à autre, une infirmière passe. Une secrétaire colle une feuille sur le panneau d’affichage, une porte s’ouvre puis se referme. Rien de particulier en somme. Mais soudain, quelque chose d’inhabituel arrive. D’un coup, c’est l’agitation totale. Apparemment il s’agit d’une urgence. Des médecins et des infirmières se pressent à l’entrée. Des brancardiers transportent des blessés et d’un pas pressé les emmènent à l’intérieur. On entend les sirènes d’ambulances et le nombre de blessés augmente sans arrêt. Il s’est passé quelque chose. Même si l’on ne sait pas exactement quoi, un terrible carambolage, une catastrophe naturelle, un attentat, on assiste à un événement inhabituel. C’est un peu la situation que l’on vit aujourd’hui au Vaad Harabanim : en règle générale, les cas traités suivent une courbe stable. Mais cette année, tout a changé : le nombre de demandes a augmenté en flèche. Le Peuple Juif traverse une période difficile. Pourquoi ?

Colmater la brèche Le Vaad Harabanim a pour vocation d’aider les nécessiteux, de sauver des vies, de combler le vide malheureusement laissé par les services sociaux. Il a toujours été l’adresse pour les malades, les blessés de la vie, les personnes dans le besoin. Les délégués de chaque ville sont l’oreille attentive pour comprendre les laissés pour compte, en particulier en cette période de crise. Les malades qui ne peuvent plus travailler et subvenir à leurs besoins, les familles qui s’endettent pour sauver la vie de leurs proches, les enfants démunis qui partent le ventre vide à l’école. Des hommes et des femmes qui ne trouvent plus de

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Les Rabbanim du Vaad, lors d'une réunion spéciale : La situation de nombreuses familles est extremement précaire et elle risque de tomber dans la misère totale.

travail. Toutes ces personnes qui souffrent tentent

s’en sortir. Ils sont entrés dans un tunnel sans en

de cacher leur honte mais n’ont plus de quoi vivre.

voir le bout. D’autres essayent de faire des heures

Or, grâce à vous, ils savent vers qui se tourner car le

supplémentaires, ou de trouver de nouvelles sources

Vaad Harabanim est toujours présent. Depuis plus de

de revenus. Mais leurs recherches sont vaines et

vingt ans, grâce à vos dons généreux, l’Association

ils doivent continuer à assurer le quotidien, sans y

les soutient et nombreux sont ceux qui ont vaincu la

parvenir. Ils tentent d’économiser mais leurs efforts

misère et retrouvé une vie normale…

sont souvent dérisoires. Pour eux, les vacances sont inenvisageables et ils doivent se contenter de

Garder la tête haute

sortir avec leurs enfants dans le jardin du quartier.

Chaque jour, de nombreux dossiers arrivent au bureau

plus tard et la nourriture est revue à la baisse, au

du Vaad. Etudiés par les Rabbanim de l’Association,

strict minimum. Mais tout cela ne suffit pas et il faut

ils sont l’objet de toutes les attentions afin de

trouver des solutions. Urgemment.

trouver des solutions. Les responsables essayent d’attribuer une aide à chacun, en la personnalisant. Mais cette année, les Rabbanim

L’achat de nouveaux vêtements est toujours remis à

Dans d’autres cas, c’est une maladie soudaine qui risque de détruire le noyau familial. Lorsque l’un

ont ressenti les conséquences de la baisse des aides sociales. Beaucoup de ceux qui étaient à la limite du gouffre risquent d’y tomber. Irrémédiablement. Pour ces derniers, la vie est très difficile. Certains tentent d’emprunter de l’argent pour garder la tête haute mais, en réalité, ne savent pas comment

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5 123

7 490

Aides pour les veuves et les orphelins

Bourses d’entraide

1 263

4 724

2 803

814

Soins dentaires

Aides médicales

Subventions pour des soutiens scolaire

Opérations urgentes ou délicates

24 963 Paniers alimentaires


des parents est atteint d’une affection grave et qu’il ne peut plus subvenir aux besoins de sa famille, la pauvreté s’ajoute aux problèmes médicaux. Le danger est alors certain, menaçant l’équilibre de l’édifice. Papa est hospitalisé et ne peut plus aller au travail. Maman fait des allers-retours incessants et les retombées se font rapidement ressentir. Le Vaad Harabanim ne peut redonner la santé à un malade mais il peut alléger son fardeau afin qu’il n’accumule pas de dettes destinées à régler des soins vitaux, non remboursés par la sécurité sociale. À cela s’ajoute la situation dans le Sud du pays durant les derniers mois. L’été n’a fait qu’accentuer les problèmes. De nombreuses familles ne pouvaient plus rester chez elles et vaquer à ses occupations quotidiennes. Pour elle, ce fut l’exode. Elles cherchèrent un oncle, un frère, une cousine dans une autre ville. Mais le revers de la médaille fut un important manque à gagner, outre tous les frais provoqués par ces départs précipités. Loin de chez soi, il n’est pas si facile de surmonter les difficultés.

Les allocations du Vaad Harabanim pour l'année 5774 selon les types de cas Les allocations du Vaad Harabanim en 5774 par rapport à 5773

Une dynamique sacrée Toutes ces souffrances, tous ces cas difficiles parviennent

quotidiennement

au

bureau

du Vaad Harabanim. Et comme toujours, l’Association

fait

son

maximum

pour

y

répondre, tendre la main et ne pas refuser une aide essentielle. Toutefois, elle ne peut continuer à soutenir chacun comme elle le souhaiterait. Des milliers d’aides ont été attribuées cette année mais les retombées de 5774 sont grandes et nous voulons persévérer dans notre œuvre commune. Grâce à chacun d’entre vous, vous qui tenez ce prospectus entre vos mains, nous avons pu soulager des milliers de familles. C’est grâce à votre geste, quel qu’il soit, que des cas désespérés ont brisé la dynamique du malheur pour s’inscrire dans la dynamique sacrée du ‘hessed. Alors, ensemble,

continuons

cette

merveilleuse

œuvre et soutenons ceux qui en ont réellement besoin.

Pour des dizain es de milliers de

familles, 5774 a été une année très difficile. De tr ès nombreux cas de terribles tragéd ies sont parvenus au bureau du Vaad Harabanim. Mai s 5774 est term inée, et une nouvelle année commen ce. Avec votre aide , avec votre don, elle sera une meille ure année pour les

nécessiteux – et pour vous !

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Sur la tombe de Rahel Imeinou

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A Amouka, sur la tombe de Yonathan ben Ouziel

A Meiron, sur la tombe de Rabbi Chimon Bar Yohai


Au Kotel Hamaaravi

Sur la tombe de Rabbi Yehouda bar Ilay

Votre émissaire se rendra immédiatement au Kotel Hamaaravi et y récitera tout le livre des Tehilim. Il récitera tout le livre des Tehilim sans interruption en mentionnant votre requête personnelle. 15


Pour que les Grands de la Génération prient pour vous la veille de et la veille de Roch Hachana Yom Kippour Prénom en hébreu _______________ Prénom de la mère ___________________ Bonne santé Parnassa Enfants Mariage Réussite avec les enfants Succès Autre ____________________ Prénom en hébreu _______________ Prénom de la mère ___________________ Bonne santé Parnassa Enfants Mariage Réussite avec les enfants Succès Autre ____________________

Vous pouvez envoyer vos Kapparot au Vaad Harabanim pour une bonne année

En France En Suisse

0-800-106-135

0-800-555-889 0-800-761-13 1877-722-2646

5 possibilités

pour transmettre vos dons au Vaad haRabanim : Appelez ce numéro pour un don par carte de crédit : 0-800-106-135 en Israël: 00. 972.2.501.91.00 - - - - -

En Belgique

Au Canada

Un reçu sera envoyé pour tout don

Envoyez votre chèque à : Vaad haRabanim En France : 10, Rue Pavée 75004 Paris FRANCE En Suisse : Rue Louis-Curval 12. Geneve 1206. SUISSE En Belgique : Consciencest St. 23 2018 Antwerpren BELGIUM Au Canada : 5831 Esplanade. Montreal QUEBEC CANADA h2t3a2

- Envoyez votre don à l'un des Rabanim de votre région (demandez la liste au numéro 0-800-106-135). - Envoyez votre don dans l'enveloppe jointe.

www.vaadharabanim.org

* Veuillez libeller vos chèques à l'ordre de Vaad haRabanim


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