VALENTINA GARIBOTTI École Nationale Supérieure d’Architecture de Versailles Portfolio 2015 Candidature pour Córdoba, Argentine
valentina GARIBOTTI 19b, rue du pont Colbert, 78 000 Versailles +33 6 24 79 62 83 garibotti.valentina@gmail.com 20 ans - née le 9 février 1994 Nationalité italienne
2012 - 2015 2012
Langues
Formation Licence à l’École Nationale Supérieure d’Architecture de Versailles Baccalauréat scientifique Compétences Français Espagnol Anglais
Informatique AutoCAD SketchUp Rhino Adobe Photoshop Adobe InDesign Adobe Illustrator 2014
Expérience Stage d’un mois chez 2Y Arquitectura, Marseille, France Responsable communication pour ARCHIABROAD - Ensav
« Il meurt lentement celui qui ne voyage pas, celui qui ne lit pas,celui qui n’écoute pas de musique, celui qui ne sait pas trouver grâce à ses yeux. » Pablo Neruda
Sélection de projets 01
Troiosième année
Centre de quartier intergénérationnel, projet long 02
Deuxième année
Morphologie urbaine, projet long 03
Deuxième année
Morphogenèse d’une maison, projet long 04
Deuxième année
La ville Nolli, La polarité diffuse, Studio 05
Deuxième année
Light travels on straight lines, solar box workshop 06
Première année
La greffe, projet court 07
Première année
Le sol, maquette
PLAN MASSE 1:500
01. Centre d’un quartier intergénérationnel Enseignant : Suzanne STACHER
Le projet prend place sur une parcelle de la ville d’Avon, en France. L’idée était de concevoir le centre d’un quartier qui pourrait réunir les différentes générations, connectées par des installations culturelles et sportives. Le terrain a la gare d’Avon à l’Ouest, deux tours de logements à l’Est, une rue au Nord et s’ouvre au Sud, sur le paysage. De plus, la topographie fait que le terrain ait un dénivelé de quatre mètres, ce qui a permis de créer un bâtiment qui se développe tout le long du terrain, accessible depuis la rue, créant une transition entre le végétal et le minéral. Le complexe est constitué d’un centre culturel, un gymnase, une crèche, et deux établissements : l’un pour personnes âgées et l’autre pour des jeunes. La particularité du bâtiment est que chaque pôle, que ça soit le pôle culturel ou les logements, sont exclusifs et n’ont pas de connexion physique entre eux, mais visuelle. Les connexions physiques se font par le jardin, au coeur du projet, et le toit, accessible pour les piétons ; permettant une projection dans le paysage.
« En Occident, nous posons et nous organisons souvent d’abord le bâti, les pleins, et le vide est ce qui reste, l’espace non - bâti. D’une manière géné- rale, le vide a une valeur négative, il est le rien, l’inattribué, l’inachevé, l’absence de concret ou de matière, le néant, sans temps, sans mouvement, le neutre. » Serge Renaudie, La vile par le vide
03. Morphologie Urbaine Enseignants : David DUCHEIN - Luc VILAN
Il s’agit du premier projet à l’échelle de la ville dans le territoire de La Plaine Saint-Denis, au Nord de Paris, plus précisément dans la ville d’Aubervilliers. L’intérêt de cet exercice était d’intervenir avec un regard d’urbaniste, en binôme. Nous avons choisi de nous implanter dans le centre de tours de logements d’une cité. L’idée était de créer un lieu public et culturel, ayant pour but de désenclaver la cité, de manière à creer des nouveaux flux, avec un nouveau mouvement piéton, leur donnant une place importante dans le quartier comme dans la ville. Les barres parallèles a la rue piétonne sont posées sur le sol, tandis que les barres perpendiculaires sont en porte à faux, permettant la mise en place de nouveaux espaces pouvant accueillir différents usages.
Notre concept est celui d’un monolithe inséré dans une parcelle de 16x16m, composé de deux maison distinctes dont le plan de l’une est la coupe de l’autre, avec deux ouvertures sur les façades Est et Ouest. La seule fonction de ces ouvertures est d’intégrer le soleil profondément dans la maison, ce qui amène des demi-niveaux pourEnseignant un optimisation de la lumière et deDEVERNOIS l’espace. Les matériaux utilisés répondent au : Pierre-Antoine bâtiment par leur opposition.Le travertin nous permet de garder une surface lisse et continue dont les seules interruptions sont les ouvertures, ainsi que du bois qui marque un seuil différent, montrant le garage commun et les entrées distinctes.
03. Morphologie d’une maison
Notre concept est celui d’un monolithe inséré dans une parcelle de 16x16m, composé de deux maison distinctes dont le plan de l’une est la coupe de l’autre, avec deux ouvertures sur les façades Est et Ouest. La seule fonction de ces ouvertures est d’intégrer le soleil profondément dans la maison, ce qui amène des demi-niveaux pour un optimisation de la lumière et de l’espace. Les matériaux utilisés répondent au bâtiment par leur opposition.Le travertin nous permet de garder une surface lisse et continue dont les seules interruptions sont les ouvertures, ainsi que du bois qui marque un seuil différent, montrant le garage commun et les entrées distinctes.
Le projet prend place sur une parcelle carré de 16x16 mètres, mitoyenne à d’autres parcelles, de même taille ( de forme rectangulaire et carré ), dans une rue, de manière à creer un quartier. La particularité de ces maisons jumelles est que le plan de l’une est la coupe longitudinale de l’autre. Depuis l’extérieur, les maisons forment un monolithe de pierre, avec la façade du rez-de-chaussé en bois. Il y a peu d’ouvertures, une principale pour chacune des maisons, mais leur taille imposante est suffisante pour la quantité de lumière naturelle nécessaire à chaque habitat.
04. La ville Nolli, La polarité diffuse Enseignant : Djamel KLOUCHE
La polarité diffuse nait sans centralité et demeure indiscernable et répandue. Elle réside essentiellement dans la tension entre une émission une réception de flux. La détermination d’un pôle émetteur s’établit par sa condition de logement. La détermination d’un pôle récepteur s’établit par sa condition de collectif, commerces, bureaux. La libre répartition des pôles émetteurs t des pôles récepteurs est le caractère fondamental de la polarité diffuse. Nul pôle, nul flux n’est determiné expressément dans un lieu unique. Tout quartier est fondé sur un libre changement des polarités, l’énergie et la tension s’adaptent aux évolutions urbaines. Nous déclarons la POLARITÉ DIFFUSE.
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LIGHT TRAVELS IN STRAIGHT LINES
PLAN
= 05. Light travels on straight lines
SECT
Workshop dirigé par les professeurs de la AA School de Londres. Un espace pour expérimenter la lumière, dans le cadre du Solar Dechatlon « La cité du Soleil » qui a eu lieu à Versailles en 2014. Notre objectif était de jouer avec une lumière zénithale, créant des points de lumière sur le sol. Pendant la journée, le bâtiment attrape la lumière solaire. La nuit, le sol diffuse cette lumière à travers les lames et les différentes faces du volume. Aujourd’hui nous utilisons de plus en plus de lumière, de plus en plus forte. Nous voulions proposer une expérience sur comment vivre avec le moins de lumière possible. Lorsqu’on entre, on s’adapte à l’obscurité, puis, peu à peu on réalise qu’on est aptes à voir. Pour montrer ce procès d’adaptation, des écritures sont exposées sur le mur, qui se révèlent à mesure que notre vision s’adapte. Ce lieu est une invitation. Les lames de verre sont orientées au Sud ; lorsque les personnes se dirigent au Chateau de Versailles, ils arrivent à l’entrée d’une rampe, telle une invitation.
SITE
Enseignant : Bob SHIELD
INSIDE SECTION
06. La greffe architecturale Enseignant : Gilles EBERSOLT
Première intervention sur un site réel, le Campus Universitaire de Nanterre, France. Une intervention libre, sur le thème de la greffe. Nous avons choisit comme bâtiment une résidence étudiante, installée sur deux édifices différents. Notre greffe est une extension. Un nouvel apport spatial à cette résidence, mais aussi une nouvelle circulation, puisque le programme qui s’y installe, une cafétéria et une bibliothèque, permet la communication entre les deux bâtiments. Pour la structure, nous avons choisit un pliage en triangle, pour qu’elle se suffise à elle-même, qui vient s’appuyer sur la structure de l’existant.
07. Le sol
Enseignant : Richard SCOFFIER
Où commence l’architecture ? Les fondamentaux de l’architecture.Travail de maquette pour expérimenter un terrain. Conception d’un observatoire à partir du module du triangle, avec une variation des tailles, selon le degré de la pente et l’usage des nouveaux espaces créés.
valentina garibotti PORTFOLIO Ensav 2015