portfolio
valentina garibotti
2016
Va l e n t i n a G a r i b o t t i Etudiante d’Architecture
garibotti.valentina@gmail..com +33 (0) 6 24 79 62 83 +54 (9) 351 3 50 86 10 valentina.garibotti (Skype)
A PROPOS Etudiante de 22 ans, je suis en master d’architecture à l’École Nationale d’Architecture de Versailles. De nationalité italienne, je vis en France depuis l’âge de 10 ans et je suis originaire d’Argentine, où je suis actuellement en échange international jusqu’à février 2017. Je porte un grand intérêt aux différentes disciplines qui s’accordent avec l’architecture, notamment la sociologie et le paysage, que je prévois d’approfondir une fois architecte. Pour mon mémoire, mon intérêt s’est porté sur l’étude du développement des villes, plus précisément la ville de Cordoba en Argentine, traitant sur les limites matérielles et immatérielles issues de la fragmentation territoriale et sociale de la ville.
EXPÉRIENCE PROFESSIONNELLE Stage d’un mois chez 2Y Architecture, Marseille, France Bénévole Association Un Techo Para Mi Pais, Argentine Responsable communication ARCHIABROAD - Ensav
Balades
Photo
Voyager
LANGUES
ESPAGNOL Langue maternelle
Sport
Musique
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FRANÇAIS Bilingue
ANGLAIS Courant
F O R M AT I O N De février 2016 a novembre 2016 Master d’Architecture Facultad de Arquitectura, Urbanismo y Diseno, Cordoba, Argentine De septembre 2015 a fevrier 2016 Master d’Architecture École Nationale Supérieure d’Architecture de Versailles, France De septembre 2012 a juillet 2015 Licence d’Architecture École Nationale Supérieure d’Architecture de Versailles, France Juillet 2012 Obtention Baccalauréat S Lycée Théodore Aubanel, Avignon, France
COMPÉTENCES
ITALIEN Familier
AutoCAD
AdobePhotoshop
Rhinoceros
AdobeIllustrator
SketchUp
AdobeIndesign
Revit
Maquette
Cordoba, Cordoba, Argentine
ecole rodin Avec Alice RAVEL Enseignant : Ivan RAVNIK _ Lucas RUARTE
L’École, comme tout équipement, a pour rôle de satisfaire différentes nécessites sociales et participer a la construction d’une bonne qualité de vie. Nous croyons que le rôle de l’architecte est, avant tout, la construction de cette qualité de vie. Nous avons sépare le programme de l’école en deux bâtiments, selon un ordre d’accessibilité. Les deux volumes, unis par passerelles au premier étage, se complètent : l’un introverti et l’autre extraverti. La considération des fonctions de d’ordre de l’apprentissage et de son application, devaient se retrouver dans le même bâtiment. Le point de départ est que dans une école d’art, le principal apprentissage vient de l’observation de l’autre ; de cette idée est née le volume introverti, avec un patio intérieur, permettant un contact visuel permanent. Le deuxième volume contient les fonctions qui n’appartiennent pas seulement au programme de l’école sinon a l’individu même, comme le sport et la lecture. Le gymnase et la bibliothèque se retrouvent au niveau du sol, pouvant s’ouvrir au public, cassant la frontière extérieur/intérieur. Des installations se placent entre l’école et le parc, établissant un parcours didactique et ludique, ayant une influence sur les étudiants et les habitants du quartier. 4
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le cercle Avec ARIAS, FASSI, FERRERO, RAVEL, VALLE, ZAMPIERI Enseignant : Ian DUTARI
Par la future intervention dans le rondpoint de la Place Espagne, un des carrefours le plus transités de la ville de Cordoba, les étudiants ont ete appeles a participer a un workshop, pour reconsiderer l’usage et les usagers du lieu. La proposition consiste en une intervention rapide, ayant pour focus et principal sujet le piéton. La grande affluence de voitures, taxis, bus, camions, fait que le piéton ne traverse pas la rue pour acceder a la place, en faisant un lieu mort. Considerant que les differents usagers disposent de différentes vitesses, la structure mise en place permet de séparer ses vitesses, donnant une place au pieton. Le cercle, une structure permettant une balade au dessus de la place, qui connecte les différentes avenues au travers de passerelles et permet une vision des alentours, comprenant musées, parcs et édifices. 10
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Naples, Italie
objet total Avec Paula BIZAIS Enseignants : Sophie DELHAY _ Raphaelle HONDELATTE
Le projet se base dans la ville de Naples, Italie, et s’intéresse principalement a la topographie de celle-ci, au travers de la grande et la petite échelle par le relevé des différentes ruptures topographiques classées en tant que pentes, falaises et vallées, le long du Corso Vittorio Emanuele, une des principales voies de circulation de Naples, qui a la particularité de diviser la ville horizontalement, créant une ville base et une ville haute. A l’échelle de la ville, le systeme mis en place permet de redonner une continuité lisible et praticable pour tous les usagers, véhiculés ou piétons, tout comme à l’échelle du site, où l’objet total à la fois infrastructure et équipement, permet le lien entre le points hauts et bas, au travers d’équipements et répondant aux nécessités du contexte. On propose un projet local qui permet de déclencher un projet général à l’échelle de la ville. Les différentes interventions dynamisent la ville. L’objet vient s’appuyer sur le bâti, se connecte aux voiries existantes, se greffe à l’existant. Il devient un parcours public valorisant les parcs, se mêlant à un parcours privé desservant les logements et commerces. Cet objet multimodale met en relation l’habité et la ville : on vit la rue, on vit le sol. 14
Comment est architecturee la pente ? Topographie de paysage
La pente
La falaise
La vallĂŠe
Topographie urbaine
La pente
La falaise
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La vallĂŠe
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dimension cachée Enseignants : Augustin CORNET _ Emeric LAMBERT
Le point de départ sont deux éléments essentiels de l’architecture qui sont le mur et la fenêtre. Le vocabulaire proposé est que le mur est l’élément qui crée des séparation alors que la fenêtre est l’élément qui va nous lier. De là nait un élément qui combine les deux, créant des éléments qui vont venir imposer une forme. Cette forme propose trois surfaces : de 9m, 18m et 6m. La particularité de ces espaces est qu’ils peuvent être pris comme individuels ou bien comme un tout, selon si l’on prend en compte le caractère du mur ou bien celui de l’ouverture. A ces surfaces sont liés trois types d’ouvertures projetant l’espace à l’extérieur. L’intention est de proposer different scénarios à chaque appartement, faisant de chaque habitation un lieu unique. Toutes les typologies répondent à la règle des espaces imposé par la forme, mais par le biais des ouvertures le rapport à l’extérieur et au contexte. Tous les appartements bénéficient des trois types de fenêtre, mais leur mise en place n’est pas la même. La forme permet de moduler l’espace, de le transformer, le réinterpréter, le réinventer à travers l’aménagement de ces pièces. L’expérience architecturale que je recherche est de voir ce que la forme peut produire sur nos sens et comment la perception de l’espace peut avoir un impact sensible sur nous. Il s’agit de répondre à des attentes et des usages forts, primordiaux. Il n’y aura pas du végétal et des constructions, mais une filiation entre un paysage et des modes d’habiter. 20
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la ville nolli Avec BEAUTE, BIZAIS, DAUTANCOURT, LENFANT, RAVEL, RAVEL, RECOURSE Enseignant : Djamel KLOUCHE
La polarité diffuse naît sans centralise et demeure indiscernable et répandue. Elle réside essentiellement dans la tension entre une émission et une réception de flux. La détermination d’un pôle émetteur s’établit par sa condition de logement. La détermination d’un pôle récepteur s’établit par sa condition de lieu de collectif, commerces, bureaux. La libre répartition des pôles émetteurs et des pôles récepteurs est le caractère fondamental de la polarité diffuse. Toute polarité peut donc être un vide, un flux, une tension. Nous déclarons, la polarité diffuse. 24
PRODUCED BY AN AUTODESK EDUCATIONAL PRODUCT
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morphologie urbaine Avec Morgan BREGIGEON Enseignants : David DUCHEIN _ Luc VILAN
Il s’agit du premier projet à l’échelle de la ville dans le territoire de La Plaine Saint-Denis, au Nord de Paris, plus précisément dans la ville d’Aubervilliers. L’intérêt de cet exercice était d’intervenir avec un regard d’urbaniste, en binôme. Nous avons choisi de nous implanter dans le centre de tours de logements d’une cité. L’idée était de créer un lieu public et culturel, ayant pour but de désenclaver la cité, de manière à creer des nouveaux flux, avec un nouveau mouvement piéton, leur donnant une place impor tante dans le quartier comme dans la ville. Les barres parallèles a la rue piétonne sont posées sur le sol, tandis que les barres perpendiculaires sont en porte à faux, permettant la mise en place de nouveaux espaces pouvant accueillir différents usages.
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twins Avec Tadeusz Pruszkowski Enseignant : Pierre-Antoine DEVERNOIS
Le projet prend place sur une parcelle carré de 16x16 mètres, mitoyenne à d’autres parcelles, de même taille ( de forme rectangulaire et carré ), dans une rue, de manière à creer un quartier. La particularité de ces maisons jumelles est que le plan de l’une est la coupe longitudinale de l’autre. Depuis l’extérieur, les maisons forment un monolithe de pierre, avec la façade du rez-de-chaussé en bois. Il y a peu d’ouvertures, une principale pour chacune des maisons, mais leur taille imposante est suffi- sante pour la quantité de lumière naturelle nécessaire à chaque habitat.
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un techo para mi pais ONG _ Benevolat Cordoba, Argentine
Dans le cadre de mon mémoire, ou je traite sur la notion de frontière en étudiant les limites matérielles et immatérielles issues de la ségrégation sociale et territoriale dans la ville de Cordoba, j’ai intégrée l’association Un Techo para mi Pais qui prend place en Amérique latine. Partis les différentes apports et aides, ils interviennent dans les quartiers pauvres pour construire des maisons à ceux qui en ont le plus besoin. J’ai intégrée la section de diagnostic et assignation. Notre rôle consiste à aller sur place et rencontrer les familles qui s’inscrivent pour qu’on leur construise une maison. Personnellement, ce qui m’intéressait était de voir une autre manière d’habiter, quels étaient les moyens et les ressources qu’ils avaient. J’ai pu rencontrer des familles, auxquelles les répondaient à un questionnaire, qui permet un classement de ceux qui sont le plus dans le besoin. Les principaux points sont le nombre d’habitants sous le même toit, les revenus, l’état de l’habitat et les maladies. Ces visites on lieux tous les samedis matins. Il existe ensuite deux constructions, que l’on appelle massives, par un, où l’on va dans les quartiers pendant trois jours pour construire. A ce moment là, ayant besoin de plus de bras, nous formons des équipes de dix personnes dont huit bénévoles qui viennent juste pour la construction. Les deux autres sont les chefs de chantier. J’ai eu la chance de pouvoir participer à une des constructions. Elle m’a appris non seulement un autre mode d’habiter, mais aussi un autre type de partage. Je n’avais jamais construit. Pour moi le rôle de l’architecte est avant tout de construire une qualité de vie. Pendant trois jours j’ai partagé leur quotidien, et nous avons construit ensemble leur futur foyer. Nous avons amélioré leur qualité de vie par l’apport de travail de trois jours. La plus part des bénévoles sont des étudiants. L’échange qui s’est fait entre les différents points de vue et apports, m’ont encore plus convaincue sur le fait que le métier d’architecte est complexe par l’affinité avec d’autres offices. En plus de tout ça, j’ai vécu une vie et une organisation de chantier plutôt précaires, mais ou j’ai énormément appris. 32
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valentina garibotti _ portfolio 2016 E c o l e N a t i o n a l e S u p e r i e u r e d ’ A r c h i t e c t u r e d e Ve r s a i l l e s