Françoise Swientczak et Richard Boogaerdts
Déclic Activités de lecture 4
EN COMPLÉMENT
ACTIVITÉS DE LECTURE 4
TRAVAIL PAR STRATÉGIES
Pour naviguer en toute autonomie au fil des textes
ISBN 978-90-306-8076-5 568 335
Déclic ACTIVITÉS DE LECTURE 4 Françoise Swientczak et Richard Boogaerdts
Déclic Activités de lecture Composition de Déclic Activités de lecture Pour l’élève : le cahier Pour l’enseignant : préparation de leçons téléchargeables sur www.myvanin.be
Déclic Activités de lecture 4 Auteurs : Françoise Swientczak et Richard Boogaerdts Illustrations : Marine Gosselin Couverture et mise en page : [nor] production Photo de couverture : Fotolia
L’éditeur s’est efforcé d’identifier tous les détenteurs de droits. Si malgré cela quelqu’un estime entrer en ligne de compte en tant qu’ayant droit, il est invité à s’adresser à l’éditeur. L’orthographe telle que rectifiée le 6 décembre 1990 par le Conseil Supérieur de la langue française est d’application dans la collection. Toutefois, afin de respecter les écrits des auteurs, l’orthographe d’origine y est respectée. Les photocopieuses sont d’un usage très répandu et beaucoup y recourent de façon constante et machinale. Mais la production de livres ne se réalise pas aussi facilement qu’une simple photocopie. Elle demande bien plus d’énergie, de temps et d’argent. La rémunération des auteurs, et de toutes les personnes impliquées dans le processus de création et de distribution des livres, provient exclusivement de la vente de ces ouvrages. En Belgique, la loi sur le droit d’auteur protège l’activité de ces différentes personnes. Lorsqu’il copie des livres, en entier ou en partie, en dehors des exceptions définies par la loi, l’usager prive ces différentes personnes d’une part de la rémunération qui leur est due. C’est pourquoi les auteurs et les éditeurs demandent qu’aucun texte protégé ne soit copié sans une autorisation écrite préalable, en dehors des exceptions définies par la loi. Tous droits réservés. En dehors des exceptions définies par la loi, cet ouvrage ne peut être reproduit, enregistré dans un fichier informatisé ou rendu public, même partiellement, par quelque moyen que ce soit, sans l’autorisation écrite de l’éditeur.
1re édition 2016 © Éditions Van In, Louvain-la-Neuve - Wommelgem, 2016 ISBN 978-90-306-8076-5 D/2016/0078/123 Art. 568335/01
Stratégies de lecture
En présence de l’écrit, l’apprenant est à la fois chercheur de code et chercheur de sens. Car le code (outil au service de l’acte de lecture) et le sens (visée de l’acte de lecture) sont interdépendants et autant nécessaires l’un que l’autre. Le lecteur débutant doit s’attacher à la fois à décrypter les signes graphiques (lettres, syllabes, mots...) et à faire du sens.
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- l’école a comme rôle primordial de développer chez l’élève ces stratégies, étant entendu que le lecteur débutant ne les découvrira pas seul. Il nous semble donc essentiel que le maitre ait recours à la pédagogie explicite dans ce domaine. En d’autres termes, le maitre doit montrer aux élèves quels sont les processus intellectuels que lui, le maitre, met en œuvre lorsqu’il lit. C’est la phase de modelage de l’enseignement explicite. Et c’est au départ de ces commentaires explicites que l’élève sera progressivement amené à une pratique, d’abord dirigée par le maitre et finalement autonome ; - il est bien évident que cet ensemble de stratégies ne s’acquiert pas en une seule fois, mais bien, comme nous venons de le dire, de manière progressive et que la rapidité d’acquisition de ces stratégies variera fortement d’un élève à l’autre.
Or, l’activité de lecture exige la mobilisation de multiples compétences stratégiques. Lorsque nous lisons, nous mettons en place plusieurs stratégies de lecture, c’est-à-dire un ensemble de conduites coordonnant plusieurs actions vers un but : comprendre.
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Deux remarques préalables s’imposent toutefois :
ment familial de l’élève, au manque ou à l’inadéquation des stratégies d’apprentissage chez les apprenants, mais souvent aussi à un enseignement insuffisant des stratégies de lecture ou à la surutilisation d’une seule stratégie.
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Personne ne peut se prétendre lecteur tant qu’il n’est pas autonome. Et cette autonomie n’existe qu’à partir du moment où le lecteur est capable d’utiliser de façon combinée un ensemble d’habiletés. C‘est cet ensemble d’habiletés, de stratégies, que le lecteur débutant va devoir développer.
Qu’est-ce qu’une stratégie ?
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Au sens général du terme, une stratégie signifie « manière de procéder pour atteindre un but spécifique1 ». Selon Legendre, une stratégie d’apprentissage est un « ensemble d’opérations et de ressources pédagogiques, planifié par le sujet dans le but de favoriser au mieux l’atteinte d’objectifs dans une situation pédagogique2 ». Tardif3 insiste sur le fait que les stratégies sont des connaissances qui peuvent donc être apprises et intégrées dans la mémoire à long terme des apprenants. Elles sont généralement observables à travers le comportement scolaire des élèves. Elles sont aussi modifiables et donc susceptibles d’évolution. Enfin, elles peuvent parfaitement être enseignées. Pourquoi enseigner les stratégies de lecture ? Sur la base de notre expérience et des constatations effectuées dans les classes primaires, les difficultés que rencontrent les lecteurs débutants peuvent trouver leur explication dans des facteurs liés à l’environne-
L’acte de lecture exige donc un travail de synthèse et de construction d’interdépendances entre différents processus de traitement de l’information écrite. Ce travail de synthèse est d’autant plus facile à réaliser que le lecteur utilise différentes stratégies lui donnant facilement accès à l’objectif ultime de sa lecture : la compréhension de ce qu’il lit. Le bon lecteur met ses stratégies en œuvre le plus souvent de façon inconsciente. Nous savons que beaucoup de nos élèves débutants ont des déficits à ces deux niveaux, ce qui les situe d’emblée dans la situation d’élèves en difficulté, non pas en raison d’un manque de capacités ou de la présence d’une quelconque déficience, mais parce qu’ils n’ont pas compris, au contraire de quelques autres sans doute un peu plus doués, qu’ils doivent utiliser des « outils » pour comprendre ce qu’ils lisent. Il faudrait donc s’employer à aplanir les difficultés liées à ces deux capacités en multipliant les textes d’écoute et en accroissant le vocabulaire visuel des élèves tout en leur enseignant les stratégies de lecture les plus utiles en tenant compte de leurs acquis4.
L’apprentissage de stratégies de lecture n’a donc pas pour objectif prioritaire d’apprendre à l’enfant à lire, mais de lui apprendre à mieux lire. Le succès d’un enfant à l’école, comme la réussite d’un adulte tout au long de sa vie, dépendent largement de leurs aptitudes en lecture. Les conséquences des problèmes en lecture sont connues : risque accru d’échec et de décrochage scolaire et perspectives de carrière limitées.
Pour rendre efficace l’enseignement de stratégies de lecture, il faut que le maitre : - définisse clairement, pour lui-même d’abord et pour l’élève ensuite, les stratégies à enseigner, c’est-àdire toutes, si l’élève n’en maitrise aucune ou en tout cas certainement celles qu’il ne maitrise pas et qui sont susceptibles de lui rendre service dans l’activité de lecture ; - soit au clair avec l’utilité de ces stratégies et la fasse ressortir pour l’élève ; - rende très clair le processus d’apprentissage de ces stratégies ; - guide l’élève vers la maitrise progressive de ces stratégies ; - encourage l’élève à recourir à ces stratégies (et en vérifie l’utilisation) ; - incite l’élève à être autonome dans l’utilisation de ces stratégies.
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Les stratégies d’apprentissage s’apparentent à une démarche de résolution de problèmes. Or, la lecture est, pour une large part, un processus cognitif de résolution de problèmes. Un tel processus doit être enseigné de façon explicite et systématique puisque la résolution de problèmes dans la pratique de la lecture est loin d’être spontanée chez les jeunes lecteurs. Même lorsqu’ils disposent des connaissances linguistiques et textuelles nécessaires, les apprentis lecteurs démunis de stratégies de lecture ou recourant à des stratégies inefficaces ne réussiront sans doute pas à améliorer efficacement la qualité de leur compréhension.
Mais il est bon, à ce moment-ci de notre réflexion, de dresser les grandes lignes de la mise en œuvre de l’apprentissage des stratégies de lecture.
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Enseigner des stratégies de lecture : est-ce pertinent ?
progressivement au profit de l’acquisition et de l’automatisation des secondes en vue de former des lecteurs autonomes.
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D’un point de vue psychopédagogique, il importe donc d’apprendre à l’apprenti lecteur, de façon systématique et régulière, les différentes stratégies qui lui permettront d’accéder à ce que Bentolila appelle la « flexibilité », c’est-à-dire l’interaction entre les différents processus en œuvre dans l’acte de lire.
Comment enseigner les stratégies de lecture ?
Utiliser le présent manuel comme un outil permettant à l’élève de travailler seul serait une erreur. Comme nous l’avons souligné précédemment, il convient d’insister sur l’importance du modèle qu’est le maitre. Puisqu’il est supposé être le seul expert en la matière dans la classe, il se doit de jouer son rôle de modèle pour amener ses élèves à acquérir des stratégies de lecture efficaces et favoriser leur autonomie. Nous sommes bien conscients que les enseignants doivent sans cesse adapter la planification et l’organisation de leur enseignement en fonction des réalités de leur classe et notamment du stade d’acquisition de la lecture par leurs élèves.
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Partons du principe que le maitre possède et met en application, le plus souvent sans même s’en rendre compte, un certain nombre de stratégies qui font de lui un bon lecteur. Lorsqu’il a pris conscience de l’importance de l’emploi de ces stratégies dans l’acte de lire, se pose à lui la question de savoir comment enseigner des stratégies de lecture et lesquelles enseigner.
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Nombreux sont les enseignants qui se sentent concernés par cette problématique et qui ont envie d’offrir à leurs élèves les meilleurs outils pour accéder, de façon performante, à la lecture. Mais nombreux aussi sont ceux qui se sentent désemparés quant aux moyens à mettre en œuvre pour y parvenir. C’est pour remédier à cette situation que nous nous proposons de répondre à la question suivante : l’enseignement systématique et explicite des stratégies de lecture peut-il aider le lecteur débutant à surmonter ses difficultés en lecture ?
Cet enseignement devrait viser le déploiement des stratégies d’enseignement et des stratégies d’apprentissage de la lecture, les premières devant s’effacer 1 2 3 4
Cependant, nous croyons que dans le cadre de l’apprentissage de la lecture, il est utile de prévoir des périodes de temps relativement longues et ininterrompues, que de nombreux auteurs appellent des « ateliers de lecture », de même, cela va de soi, que des occasions multiples et variées pour les élèves de mettre en application leurs nouvelles connaissances et habiletés. Les auteurs
LEGENDRE, R., Dictionnaire actuel de l’éducation, Montréal, Guérin et Paris, Eska, 1993. LEGENDRE, R., opus cité. TARDIF, J., Pour un enseignement stratégique. L’apport de la psychologie cognitive, Montréal, Éditions Logiques, 1992. D’après un texte de J.-P. Gaté.
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Bonjour, nous te présentons Superchercheur. Découvrons ensemble ce petit détective qui va te permettre de devenir un « superlecteur » !
Il va te montrer comment il réfléchit, comment il fait pour comprendre un texte, une image, un message.
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Tout d’abord, observons ses objets de recherche.
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À quoi peuvent-ils bien lui servir ? Nous allons le découvrir ensemble. Tu rencontreras également des petits smileys qui vont t’indiquer de quelle activité il s’agit ! Travailler à deux ou en groupe, échanger, écouter (activité collaborative) Écrire : expression écrite Évaluation formative
JE DÉ CO UV R E SUPE R CHE R CHE UR
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JE CHERCHE DES INDICES
Je découvre des « stratégies de lecture » DANS DES IMAGES Activité 1
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J’utilise mes outils de superlecteur(trice)
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1 Voici une photo représentant des poupées. Observe-la et réponds aux questions.
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S T R AT É GI E 1 : J E CHE RCHE DE S I NDI CE S
Indique le nombre de poupées… ● garçons : ........……… ● filles : ........……… ● qui ont de la couleur rose dans leur vêtement : ........……… ● qui ont un chapeau brun clair : ........………
● qui ont un pancho : ........………
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● qui ont un chapeau de couleur unie : ........………
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● qui ont des nœuds autour du cou : ........………
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Après avoir observé attentivement les poupées mexicaines, réponds aux questions ci-dessous.
s
a Échange avec les copains !
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Dessine sur une feuille A4 en paysage deux poupées mexicaines (une fille et un garçon) et dresse une liste de questions. Ensuite, collectez vos dessins à poser au tableau et construisez un jeu de questions pour la classe.
................................................………………………............ ................................................………………………............ ................................................………………………............ ................................................………………………............ ................................................………………………............
STR ATÉ G I E 1 : JE CHE R CHE DE S I NDI CE S
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b Fais une description complète d’une poupée représentée sur la photo.
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2 La photo de la page suivante représente un petit restaurant du Costa Rica. a Observe la photo et relève la liste de quelques publicités.
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........………………………………………………………………………....... ........………………………………………………………………………....... ........……………………………………………………………………….......
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b Mets une croix dans la bonne colonne.
Le nom du restaurant est Mar Abierto. On y sert de la bière.
On peut y manger du poisson. Il y a sur la façade une publicité : - pour faire du bateau - pour acheter un appartement - pour une marque d’essence - pour louer une voiture - pour manger de la glace
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S T R AT É GI E 1 : J E CHE RCHE DE S I NDI CE S
Vrai
Faux
IN N VA s on iti Éd Source : R. Boogaerdts
STR ATÉ G I E 1 : JE CHE R CHE DE S I NDI CE S
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Activité 2
J’utilise mes outils de superlecteur(trice)
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1 Observe ces affiches et réponds aux questions.
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De qui parle-t-on ?
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À ce prix-là, elle pourrait être encore plus moche. .....................................…………………...........………………………...........
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En purée, c’est aussi bon qu’une belle. .....................................…………………...........………………………...........
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Élue Miss 2013. .....................................…………………...........…………………........... C’est comme une belle. .....................................…………………........………………........... Cite les cinq fruits et légumes moches de la première affiche : .....................................……………… .....................................……………… .....................................……………… .....................................……………… .....................................……………… STR ATÉ G I E 1 : JE CHE R CHE DE S I NDI CE S
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2 Réponds aux questions après avoir observé la publicité.
Cite trois ingrédients du Petit Lu.
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En quelle année est dessiné le Petit Écolier ? .....................................…………………...........………………………........... Quel est le support du dessin à l’époque ?
.....................................…………………...........………………………...........
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3 Réalise une affiche argumentative sur le thème de l’alimentation en t’aidant des affiches que nous venons d’analyser.
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DANS LES TEXTES ET LES IMAGES Activité 1
J’utilise mes outils de superlecteur(trice)
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Coche la case de l’image qui correspond à la phrase. Sois bien attentif(-ve) !
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1. « Je ne suis pas content, Nathan ! Ton vélo n’est pas dans le garage et tu as déchiré ton pantalon ! »
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2. « Mon papa est un vrai champion du bricolage. Il adore la mécanique. »
3. « Non Tobby, tu ne peux pas monter sur le lit. »
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S T R AT É GI E 1 : J E CHE RCHE DE S I NDI CE S
IN N VA s on iti Éd STR ATÉ G I E 1 : JE CHE R CHE DE S I NDI CE S
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4. « Pendant la Préhistoire, pour se nourrir, les hommes chassaient et mangeaient beaucoup d’animaux sauvages. »
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5. « Mon frère, ma sœur et moi, on aime beaucoup quand notre grand-mère nous lit des histoires. »
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Activité 2
J’utilise mes outils de superlecteur(trice)
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1 Voici un texte accompagné de dessins de maisons. Observe attentivement les dessins et lis bien le texte. Tu devras retrouver de quelle maison parle le texte, en t’aidant d’indices.
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Le petit village français d’Espelette est célèbre pour sa culture du piment.
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On en voit partout : aux vitrines des magasins, sur les étals des marchands dans la rue et même suspendus pour sécher à la façade des maisons. Dans la partie supérieure du village, ces maisons ont la particularité d’être toutes
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construites sur le même modèle : un toit à double pente surmonté d’une
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petite cheminée. Sous ce toit, de grosses poutres apparentes s’entrecroisent pour former ce qu’on appelle des façades à colombage. Elles ont toutes un étage percé de quatre fenêtres à croisillons protégées par d’épais volets de bois. Au rez-de-chaussée, une double porte cochère jouxte la vitrine d’une petite boutique qui vend, évidemment, des piments. Le jour où j’en ai acheté, le ciel s’est couvert et le vent a commencé à souffler. Le commerçant s’est empressé de fermer ses volets, mais, heureusement pour moi, pas sa boutique. « À Espelette, m’a-t-il raconté, le piment et les clients sont rois. Il pourrait donc y avoir une tempête ou un tremblement de terre, les vendeurs de piments garderont toujours leur boutique ouverte ». 18
S T R AT É GI E 1 : J E CHE RCHE DE S I NDI CE S
Souligne et numérote dans ce texte tous les indices qui se rapportent aux maisons. - L’indice 1 concerne la (les) maison(s) n° ............... - L’indice 2 concerne la (les) maison(s) n° ............... - La maison dont parle le texte est la maison : ............... 2 Même exercice. 2
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Certaines maisons, avec leur balcon de bois, semblent plus confortables que d’autres, mais elles aussi offrent aux touristes la possibilité
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d’acheter des piments. Rares sont celles dont la façade ne s’orne pas
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de guirlandes de piments suspendus comme des parures de Noël. Parfois, au détour d’une ruelle, un menu accroché près de la porte vous
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invite à gouter les délices de la gastronomie locale. Là, vous pouvez non seulement déguster un excellent repas, à base de piments bien sûr,
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mais aussi vous reposer loin de l’agitation des grandes villes. C’est dans l’une de ces charmantes demeures que j’ai passé une merveilleuse nuit après avoir mangé une excellente omelette aux piments.
Ce texte parle de la maison n° ............... Souligne l’/les indice(s) dans le texte.
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Quand on descend vers la rivière qui serpente aux pieds du village, l’aspect des maisons change un peu. On n’y trouve plus de grappes de piments accrochées à la façade. C’est dans l’une d’entre elles que je devais retrouver mon ami Gaspard. « Tu ne peux pas te tromper, m’avait-il dit. Ma maison est recouverte d’un toit à double pente surmonté d’une simple cheminée. Il n’y a qu’une porte au rez-de-chaussée avec une petite barrière à sa gauche. Au-dessus de la porte, trois petites fenêtres permettent d’éclairer l’intérieur. Au-dessus de ces trois fenêtres, une autre fenêtre avec six petits carreaux donne un peu de lumière à la cage d’escalier qui conduit à un petit balcon d’où tu auras une vue exceptionnelle sur la rivière et les champs de piments ».
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3 Évaluation.
Ce texte parle de la maison n° ............... Indique l’/les indice(s) qui t’a/ont permis d’éliminer la/les maison(s) : ............……………………………... -> ........…………....…………………... ............……………………………... -> ........…………....…………………... ............……………………………... -> ........…………....…………………...
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Activité 3
J’utilise mes outils de superlecteur(trice) 1 Tu trouveras ci-dessous la description de danseurs du monde. Lis les informations que l’on donne et associe chaque description avec la lettre correspondant au bon dessin de l’annexe 1. Attention, il y a des intrus !
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Robe de coton imprimé dans des couleurs vives, foulard attaché haut sur
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la tête et mules en peau de chèvre recouverte du tissu de la robe. Tel est le vêtement typique de ces contrées africaines. De un à dix bracelets aux poignets, de larges boucles d’oreilles. Tout le soleil de l’Afrique. Le rythme dans le sang, au son des tam-tams, les femmes dansent.
Jupe colorée en coton imprimé madras, ample, de couleurs vives avec de
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grands carreaux. Elle est portée avec un jupon blanc à volants. Le foulard est attaché haut sur la tête, il est le langage de la femme. Le corsage blanc à volants est brodé. Les femmes des Antilles dansent sur des rythmes endiablés.
En Inde, les femmes, drapées dans leur sari soyeux et de couleurs vives, dansent
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pour les dieux. Le mouvement des mains et des yeux est très important.
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Danseuses drapées dans des voiles soyeux, elles se déhanchent au rythme
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de la musique. La ceinture et le corsage de paillettes brillent sous la lumière. Le ventre est nu, le nombril est garni d’une pierre. Les danseuses du Caire ondulent des bras et du ventre.
La robe à volants rouges et à pois est de toutes les fêtes en Andalousie.
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Le châle en soie fine est bordé de longues franges. Les femmes dansent au rythme du flamenco, au son des guitares et des castagnettes.
Les jupes à longues franges ondulent au rythme de la musique. Les danseuses polynésiennes portent des colliers de fleurs autour du cou.
p La robe de ces danseuses est essentiellement composée de volants bordés
d’un ruban de couleur. Elles frappent des talons au rythme de la musique. Elles sont accompagnées d’un musicien au large sombrero mexicain.
q Leurs parures de peaux frangées sont richement décorées. Les coiffes de
plumes sont multicolores. Les mocassins, décorés de peintures et de perles. La « danse du Soleil » est la plus spectaculaire des danses indiennes des plaines de l’Amérique. Pendant quatre jours et quatre nuits, les Sioux dansent et chantent autour de l’arbre sacré pour honorer les esprits. STR ATÉ G I E 1 : JE CHE R CHE DE S I NDI CE S
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2 Réalise cette activité avec ton copain de table ! Découpe dans l’annexe 1 les étiquettes représentant les danseurs de l’activité précédente. À l’aide d’un atlas et des informations dont tu disposes dans la description, colle les étiquettes autour des cartes ci-dessous, dans les cadres prévus. Attention, il y a un cadre « intrus » ! Indique ensuite l’emplacement par un point sur les cartes et relie-le à l’étiquette.
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IN N VA s on iti Éd STR ATÉ G I E 1 : JE CHE R CHE DE S I NDI CE S
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3 À toi maintenant… Décris en cinq lignes le costume de la danseuse du dessin ci-dessous.
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Activité 4
J’utilise mes outils de superlecteur(trice)
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1 Les sorcières se préparent pour la fête d’Halloween, mais cela ne va pas toujours sans mal ! Lis attentivement le texte. Ensuite, observe avec soin les deux dessins de la page suivante. Un seul dessin correspond exactement au texte. Lequel ?
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Dessin n° ............... parce que ............................................................ ..........……………………………………..................................................
LES SORCIÈRES SE FONT BELLES
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Nous sommes le 31 octobre. Ce soir, c’est Halloween et le bourgmestre d’Abracadabraville organise un grand bal. Les sorcières de cette ville veulent toutes être belles pour cette soirée. Malheureusement, la méchante sorcière Gertrude veut être la plus belle. Pour parvenir à ses fins, elle a ensorcelé les sorcières esthéticiennes du centre de beauté et il y règne maintenant une grande agitation. Pour pouvoir observer leurs bêtises de l’extérieur et se moquer d’elles, Gertrude a affublé les esthéticiennes d’un ridicule petit chapeau rond à pois afin de les reconnaitre. Elle
rigole beaucoup lorsqu’elle voit qu’Anémone s’est trompée dans les raccordements électriques et que la pauvre Madame Irma est en train de griller sous son casque. Les décharges électriques sont si fortes qu’elle risque d’en perdre ses petites chaussures. À sa droite, Madame Géraldine est plongée dans son magazine people et ne remarque rien tandis que Madame Agathe la regarde d’un air étonné. Cependant, elle ne réagit pas, de peur de froisser sa nouvelle robe à volants. La méchante Gertrude se régale du spectacle. Surtout qu’Anémone risque de se prendre les pieds dans les fils et de s’étaler
STR ATÉ G I E 1 : JE CHE R CHE DE S I NDI CE S
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ce qui concerne les chapeaux : les chapeaux pointus sont démodés depuis au moins dix ans ! Une fois de plus, Gertrude se moque de la situation. Madame Bettina, venue au départ pour une séance de pédicure, va certainement changer totalement de look et être encore plus ridicule qu’avant d’entrer dans le salon de beauté. Au fond d’elle, Gertrude espère aussi que Madame Violette, momentanément aveuglée par les shampoings appliqués par Marguerite, va se cogner contre une chaise et trébucher, ajoutant encore à l’agitation générale. Pour terminer, la méchante sorcière est ravie de constater que Géraldine s’est trompée d’outils. En effet, vu la longueur des ongles de Madame Alphonsine, Géraldine aurait mieux fait d’utiliser une ponceuse électrique plutôt qu’une simple petite lime. Violette et Alphonsine ne seront jamais prêtes à l’heure pour le bal et ce sera deux concurrentes en moins pour Gertrude.
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de tout son long. Et personne ne viendra l’aider à se relever. En effet, les sorcières esthéticiennes sont toutes très occupées. Angeline doit aider Madame Augustine à choisir ses produits cosmétiques et surtout y remettre de l’ordre après qu’Anémone les a bousculés. Sa collègue, Mélusine, se concentre sur la pose des bigoudis de Madame Stella. À côté d’elles, Madame Séraphine peine sous les coups de brosse acharnés de Mathilda. À ce rythme-là, la pauvre Séraphine sera chauve en sortant de l’institut. Gertrude rigole beaucoup en voyant les grosses touffes de cheveux accrochées au peigne de Mathilda. Hermine, quant à elle, hésite sur la conduite à tenir. En effet, elle remarque que Madame Bettina ne suit pas du tout la mode. Sa tresse pousse au milieu de son front alors qu’elle devrait être sur les côtés de sa tête, comme c’est le cas pour Madame Ernestine qui suit toujours la mode de près, sauf en
2 Écris le nom des sorcières à côté des numéros correspondants. 1 ……………............
6 ……………............
11 ……………............ 16 ……………............
3 ……………............
8 ……………............
13 ……………............ 18 ……………............
2 ……………............ 4 ……………............ 5 ……………............
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12 ……………............ 17 ……………............ 14 ……………............
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Dessin 1
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