Livre de l’enseignant(e)
ALivre de l’enseignant(e)
ALivre de l’enseignant(e)
Vanessa Delhaye - Arnaud Dezwaene
Jérémy Distatte - Christine Sirjacobs
Pour l’élève : 2 livres-cahiers A et B
Pour l’enseignant : 2 livres de l’enseignant (comprenant le corrigé)
Des documents téléchargeables disponibles sur www.wazzou.be
Les manuels numériques (A et B) disponibles sur www.wazzou.be
Auteurs : Vanessa Delhaye
Arnaud Dezwaene
Jérémy Distatte
Christine Sirjacobs
Illustrations : K’ Naye – Karine Nayé-Roy
Conception, couverture et mise en page : Kiv’Là! – Softwin
Voici le code qui vous donnera accès aux documents reproductibles en ligne liés au présent ouvrage.
Pour activer ce matériel complémentaire, rendez-vous sur www.monactivation.be et suivez-y la procédure d’inscription.
• Une fois votre accès activé, vous pourrez consulter le matériel complémentaire aussi souvent que vous le désirez et aussi longtemps que la version imprimée du présent ouvrage ne sera pas remplacée par une nouvelle édition.
• L’accès au matériel complémentaire ne peut être utilisé que par une seule personne.
• L’accès au matériel complémentaire vous est fourni gratuitement à l’achat de l’ouvrage Élan 5A – Livre de l’enseignant(e). Aucune indemnité ne sera exigible en cas de non-fonctionnement ou d’indisponibilité du site hébergeant le matériel complémentaire ou du matériel complémentaire en lui-même, pour quelque raison que ce soit.
• En cas de non-fonctionnement et/ou de question, nous sommes à votre disposition par courriel à l’adresse support@vanin.be.
L’éditeur s’est efforcé d’identifier tous les détenteurs de droits. Si malgré cela quelqu’un estime entrer en ligne de compte en tant qu’ayant droit, il est invité à s’adresser à l’éditeur. L’orthographe telle que rectifiée le 6 décembre 1990 par le Conseil Supérieur de la langue française est d’application dans la collection. Toutefois, afin de respecter les écrits des auteurs, l’orthographe d’origine y est respectée.
Les photocopieuses sont d’un usage très répandu et beaucoup y recourent de façon constante et machinale. Mais la production de livres ne se réalise pas aussi facilement qu’une simple photocopie. Elle demande bien plus d’énergie, de temps et d’argent. La rémunération des auteurs, et de toutes les personnes impliquées dans le processus de création et de distribution des livres, provient exclusivement de la vente de ces ouvrages. En Belgique, la loi sur le droit d’auteur protège l’activité de ces différentes personnes. Lorsqu’il copie des livres, en entier ou en partie, en dehors des exceptions définies par la loi, l’usager prive ces différentes personnes d’une part de la rémunération qui leur est due. C’est pourquoi les auteurs et les éditeurs demandent qu’aucun texte protégé ne soit copié sans une autorisation écrite préalable, en dehors des exceptions définies par la loi.
Tous droits réservés. En dehors des exceptions définies par la loi, cet ouvrage ne peut être reproduit, enregistré dans un fichier informatisé ou rendu public, même partiellement, par quelque moyen que ce soit, sans l’autorisation écrite de l’éditeur.
1re édition 2024
© Éditions VAN IN, Mont-Saint-Guibert – Wommelgem, 2024
ISBN 978-94-647-0650-5
D/2024/0078/200
Art. 606510/01
Chapitre 1 Souvenirs de vacances 7
Savoirs et savoir-faire abordés GI
Compétences abordées GV
Matières abordées ............................................................................................................................. GVII
Corrigé et notes méthodologiques ..................................................................................................... G7
2 Cap sur l’aventure !
Savoirs et savoir-faire abordés .......................................................................................................... GVIII
Compétences abordées .................................................................................................................... GXV
Matières abordées GXVIII
Corrigé et notes méthodologiques G33
Chapitre 3 Dis-moi qui tu es… 63
Savoirs et savoir-faire abordés GXIX
Compétences abordées GXXIII
Matières abordées ......................................................................................................................... GXXVI
Corrigé et notes méthodologiques ................................................................................................... G63
Chapitre 4 Un banc de rêve !
Savoirs et savoir-faire abordés ...................................................................................................... GXXVII
Compétences abordées ................................................................................................................ GXXXII
Matières abordées GXXXIV
Corrigé et notes méthodologiques G93
Chapitre 5 Tous différents !
Savoirs et savoir-faire abordés GXXXV
Compétences abordées GXL
Matières abordées ............................................................................................................................ GXLI
Corrigé et notes méthodologiques ................................................................................................. G121
Chapitre 6 En avant la musique !
Savoirs et savoir-faire abordés ......................................................................................................... GXLII
Compétences abordées GXLV
Matières abordées GXLVII
Corrigé et notes méthodologiques G145
Travail individuel
Travail en duo
Travail en petits groupes
Travail en groupe-classe
Matériel à télécharger sur Wazzou et à photocopier
Les textes accompagnés de ce picto ont été enregistrés en version audio et sont disponibles en téléchargement sur Wazzou. Pour une question de temps, de facilité ou pour aider à la lecture, l’enseignant(e) peut donc décider de les faire écouter à certains des ses élèves.
Élan ! Pourquoi ce titre ?
« Prenez votre Élan ! »
Le jeu de mot est « un peu facile », mais il prend ici tout son sens. En effet, grâce à cette nouvelle méthode, nous souhaitons insuffler une dynamique à l’élève : qu’il s’élance en confiance sur le chemin de l’apprentissage !
Mais l’élan, c’est aussi – et surtout – cet animal majestueux et fort, dont les bois ont pour nous une signification toute particulière…
Une histoire de chemins
Avez-vous remarqué que notre élan a trois bois ?
Chacun de ces bois représente dans notre méthode un des chemins que nous proposons à l’élève. En effet, notre ambition, pour que chaque élève puisse construire du sens en tant que récepteur d’un message écrit, est de proposer différents chemins adaptés pour y parvenir, dans une logique élémentaire de différenciation pédagogique. Découvrons ensemble de quoi il s’agit…
Lire, c’est construire du sens en tant que récepteur du message écrit.
Au départ d’évaluations diagnostiques (téléchargeables grâce au code présent dans le guide), l’enseignant(e) peut, à différents moments de l’année scolaire, répartir ses élèves en différents groupes de besoin. En fonction de son groupe, chaque élève reçoit un texte de même sens − porte d’entrée de chaque chapitre − mais aux difficultés adaptées à ses compétences propres.
Ainsi, parmi les trois ou quatre textes proposés, les paramètres suivants varient : la longueur des phrases, du texte ; la construction syntaxique des phrases ; le niveau de vocabulaire ; la présence ou non d’indices externes (illustrations, extraits sonores...) ; la police (type de police, taille, interligne…).
Écrire, c’est produire du sens en tant qu’émetteur d’un message.
Chaque chapitre se termine par une mission d’écriture, permettant à l’élève lecteur de devenir un élève producteur de textes. Cette étape essentielle est favorisée en amont par le travail, en contexte, des outils de langue nécessaires à la production d’écrit.
Et sur le chemin lui-même, que fait-on ?
Même si chaque élève a reçu un texte adapté à ses besoins en début de chapitre, les exercices et les apprentissages sont identiques pour tous les élèves.
La structure des chapitres est également commune et s’articule autour des points suivants :
Je découvre le texte
Je comprends le texte (notamment au moyen de stratégies de lecture)
Je découvre le genre du texte étudié et sa superstructure
Mes missions : La tâche finale que l’élève aura à produire au terme de la séquence y est détaillée.
Je lis / J’écris : L’orthographe, la grammaire, la conjugaison et le vocabulaire y sont envisagés dans une progression chronologique cohérente mais aussi et surtout travaillés de façon signifiante et contextualisée. En effet, les outils au service de la langue abordés seront ceux qui permettront à l’élève de produire l’écrit final.
Ma production
Mon évaluation : L’élève y a l’occasion de s’auto-évaluer avant l’évaluation de l’enseignant(e).
Le « savoir parler » et le « savoir écouter » ne sont pas en reste et sont travaillés régulièrement dans chaque chapitre à différents endroits de la structure proposée ci-dessus, complétant notre volonté d’aborder en profondeur l’ensemble des compétences de français. Ainsi par exemple, chaque chapitre débute par une proposition d’audio et de vidéo qui contextualise le thème abordé, via le QR code de la page de garde.
Pourquoi des groupes de besoin ?
Lors de l’apprentissage de la lecture, le travail des compétences qui l’accompagnent s’arrête souvent après la 2e primaire.
Dès la 3e, le plus souvent, les élèves se retrouvent devant un texte avec la consigne de le lire et de répondre à une série de questions s’y rapportant. En faisant cela, on émet le postulat que chaque élève, à partir de la 3e primaire, possède toutes les habiletés de la lecture.
Pourtant, nous savons qu’aujourd’hui, nombreux sont ceux qui ne maitrisent pas encore la lecture. Lire un texte demande d’apprendre des stratégies, et celles-ci sont trop souvent négligées. Dans Élan, nous avons décidé d’intégrer l’apprentissage de ces stratégies dans le livre-cahier.
Bien sûr, plus un élève lit, meilleure sera sa lecture. Mais cela ne suffit pas. Pour comprendre un texte, l’élève doit apprendre à lire les syllabes, les mots, les groupes de mots par unité de sens, et même par groupes de mots non pertinents. Il faut également tenir compte de la fluidité de la lecture, du respect de la ponctuation, de la vitesse de lecture, de l’intonation, de la compréhension du vocabulaire… Tout ceci contribue à la compréhension du texte et est évalué, dans Élan, grâce aux évaluations diagnostiques.
Trois évaluations diagnostiques sont proposées. L’objectif est de mesurer la maitrise des différents points utiles et indispensables à l’apprentissage de la lecture et surtout à sa compréhension :
• la vitesse de lecture ;
• la fluidité de lecture ;
• la mémoire de travail ;
• la motivation de lecture.
Grâce à ces évaluations diagnostiques, l’enseignant(e) pourra créer des groupes de besoin au sein de sa classe en choisissant parmi les différentes versions de textes d’entrée celui qui est le plus adapté à chaque élève. Nous le rappelons : quel que soit le texte travaillé, la totalité du cahier pourra de toute façon être réalisée par chaque enfant.
Le groupe de besoin a pour but de mettre chaque enfant en situation de réussite par rapport au texte d’entrée de la séquence et par conséquent dans toutes les activités de la séquence. La production finale pourra, elle aussi, être modulée en fonction du groupe de besoin.
Nous insistons sur le fait qu’il s’agit d’une évaluation individuelle, qui doit idéalement se dérouler aux côtés de l’enseignant(e).
Par ailleurs, tout au long de l’année, des exercices de lecture en téléchargement vont permettre aux élèves d’exercer leur fluidité de lecture, leur vitesse, leur mémoire de travail. Ces exercices peuvent être proposés aux élèves au travers d’ateliers en classe ou de travail individuel à domicile.
Concrètement, comment créer les différents groupes de besoin en début d’année ?
Nous proposons que les groupes de besoin soient construits autour de l’apprentissage de la lecture. Ces groupes de besoin peuvent donc varier régulièrement tout au long de l’année et même à chaque nouvelle séquence. Pour aider l’enseignant(e) à construire ses premiers groupes de besoin, nous proposons de faire passer à chaque enfant l’évaluation diagnostique en lecture n° 1 en début d’année (septembre).
Pour autant, l’enseignant(e) peut aussi décider que sa classe est assez homogène pour ne créer qu’un seul groupe de besoin. Tous les élèves recevront alors le même texte de départ.
Par contre, pour une gestion optimale du groupe-classe, nous vous conseillons de faire maximum 3 groupes de besoin.
Il se pourrait tout à fait bien que vous n’ayez pas besoin d’évaluer vos élèves pour créer vos groupes de besoin, votre connaissance du groupe-classe étant toujours prédominante sur l’évaluation.
Et en cours d’année ? Comment faire évoluer les groupes de besoin ?
Les évaluations diagnostiques 2 et 3 permettent à l’enseignant(e) de mesurer la progression de chaque élève. Dès lors, elles se feront au cours de l’année à l’appréciation de l’enseignant(e) et ne doivent par ailleurs pas forcément avoir lieu au même moment pour tous les élèves, chaque élève progressant à des vitesses différentes.
Chaque évolution des groupes de besoin ne doit par ailleurs pas obligatoirement passer par une évaluation diagnostique. Le choix du texte peut être dicté par le thème de la séquence, par le type de texte présenté ou par l’intérêt général des élèves.
Comment attribuer les différents textes d’entrée ?
Dans le guide, à chaque entrée de séquence, une explication plus détaillée des différents textes d’entrée vous permettra d’appréhender au mieux les différences entre chaque texte et de les distribuer à vos groupes de besoin le mieux possible.
Ces dernières années, de nombreuses recherches scientifiques ont démontré qu’une « évaluation » très régulière est plus profitable que la répétition excessive du même type d’exercice.
Conscients de la difficulté de mettre cela en place dans vos classes et attentifs à ce que cela soit le plus ludique possible, nous avons créé un jeu de cartes : Graines de castor
Ce jeu de cartes reprend, par chapitre, la matière travaillée dans les outils de la langue. Des questions courtes, précises et fermées sont proposées aux élèves. Les réponses se trouvant sur les cartes, les élèves peuvent travailler en autonomie, sans l’enseignant(e). Les règles du jeu sont présentées à la page suivante de ce guide.
Pour que cette activité soit efficace et que les notions soient travaillées et retravaillées le plus souvent possible, la clé de la réussite, c’est la régularité. On pourrait par exemple imaginer organiser tous les matins par groupe de 2 ou 3 une séance de 8 minutes de ce jeu de cartes. Ce serait une manière ludique, enrichissante et intéressante de commencer la journée.
De plus, l’interaction entre élèves, le confrontation de leurs opinions ou de leurs réponses est un moyen très performant d’apprentissage et de progression individuelle. En effet, toute la matière vue dans les outils de la langue sera vue, expliquée et réexpliquée par les élèves et pour les élèves.
Attention, nous insistons sur le fait que même si nous appelons cela une « évaluation », il n’est en aucun cas utile d’intervenir dans le travail des élèves et de noter cette activité journalière.
Conclusion
Aussi vrai que les bois de l’élan sont larges, de grande envergure et ramifiés en de nombreux cors, les chemins que l’élève emprunte pour apprendre sont multiples et comportent de nombreux embranchements. Aussi il nous tient à cœur de vous proposer un manuel d’apprentissage du français qui tient compte de cette réalité pour que tous les élèves... prennent leur Élan !
Découvrez ici notre vidéo de présentation de la collection :
Nombre de joueurs : 2 ou 3 élèves
Matériel : Cartes correspondant aux différents chapitres du livre-cahier
Les élèves jouent uniquement avec les cartes correspondant au(x) chapitre(s) qu’ils ont déjà travaillé(s) en classe.
Avant de commencer la partie, chaque joueur choisit deux cartes au sort, faces retournées, sans les regarder.
Un des joueurs au choix est désigné maitre du jeu.
Le maitre du jeu pose les questions de ses deux cartes.
Si la réponse est bonne, il passe à la question suivante.
Si elle est fausse, il donne impérativement la bonne réponse avant de continuer.
Il est important que les élèves ne restent pas sur une mauvaise réponse, mais entendent la réponse correcte.
Le jeu ne se termine que lorsque chaque élève a été au moins une fois maitre du jeu.
Nous ne souhaitons pas qu’il y ait un système de score ou de points, mais chaque enseignant(e) peut faire évoluer la règle selon son organisation de classe.
Savoirs
Attendus
Orienter sa prise de parole, son écoute, sa lecture, son écrit
Composantes de la situation de communication lire écrire
Supports de communication (papier ou numérique) lire
Citer les paramètres de la communication : énonciateur, destinataire, intention dominante, message, contexte (temps et lieu) et les niveaux de langue.
Repérer la diversité des interlocuteurs : – connu/inconnu ; – f amilier/non familier ; – un/plusieurs ; – d u même âge/plus jeune/plus âgé ; – d’ici/d’ailleurs.
Identifier le type de support utilisé.
Construire un message significatif
Relations sémantiques entre les mots parler écouter lire écrire
Facteurs de cohérence lire écrire
Classe des mots lire écrire
Conjugaison écrire lire
Connaitre les notions de synonyme.
Connaitre : – les techniques de reprise de l’information (anaphorique).
Connaitre les critères qui permettent de définir la classe : – d u pronom (personnel).
Connaitre les règles générales d’accord du participe passé (cas recouvrant les emplois du PP employé sans auxiliaire, avec « avoir », avec « être » à l’exception des cas de l’accord du participe passé des verbes pronominaux).
Connaitre la conjugaison au mode : – indicatif (présent). Connaitre l’infinitif.
Connaitre le participe passé.
Stratégies/habiletés de compréhension
lire Nommer et décrire les stratégies/habiletés de compréhension : – se créer des images ((se) construire une représentation mentale du texte) ;
– f aire des hypothèses (anticipation et interprétation) et les vérifier ; – résumer (percevoir le sens global) ;
– retrouver des informations (prélever des informations explicites) ;
Stratégies/habiletés d’interprétation lire
Composantes de la production d’un message oral ou écrit
écrire
Structures textuelles dominantes lire écrire
Tenir compte des paramètres de la situation de communication
– lire entre les lignes (élaborer des inférences) ;
relier le texte et les illustrations (mettre en relation le texte et les illustrations).
Décrire les stratégies d’interprétation : – lecture participative (émotionnelle) ; – lecture distanciée (analytique) ;
– porter un jugement critique sur un document (papier ou numérique).
Maitriser les composantes de la production d’écrits :
– planification ;
– mise en texte ;
– révision ;
– correction.
Connaitre les caractéristiques générales de la structure : – narrative.
Orienter sa prise de parole, son écoute, sa lecture, son écrit
lire écrire
Assigner un but à sa lecture ou son écoute
lire
Planifier son message écrit en tenant compte de l’intention et du destinataire
écrire
Identifier l’énonciateur, le destinataire, l’intention dominante, le message et le contexte pour planifier sa lecture et son écrit.
Tenir compte du niveau de langue (familier, courant, soutenu).
S’adapter à la diversité des interlocuteurs : – connu/inconnu ; – f amilier/non familier ; – un/plusieurs ; – d u même âge/plus jeune/plus âgé ; – d’ici/d’ailleurs.
Utiliser les termes du support de lecture comme indices pour anticiper le contenu d’un document. Mobiliser ses connaissances préalables sur l’auteur, le sujet et le genre du texte.
Rassembler ses idées et les grouper par blocs de sens en tenant compte de la structure textuelle à produire.
Construire un message significatif/du sens
Utiliser les caractéristiques de la phrase
Émettre des hypothèses d’anticipation et d’interprétation puis les vérifier
écrire
Utiliser le code
Utiliser toutes les marques de ponctuation dans une production personnelle.
Construire du sens à l’aide de stratégies
écouter lire
Prélever des informations explicites lire
Élaborer des inférences lire
Mettre en relation le texte et les illustrations écouter lire
Formuler des hypothèses d’anticipation et d’interprétation et les vérifier.
Mettre en relation le sens du texte avec son vécu.
Confronter les significations construites personnellement au texte et à celles élaborées par les pairs.
Repérer et reformuler des informations essentielles contenues dans un écrit (papier ou numérique fourni par l’enseignant).
Déduire des informations implicites en reliant des informations explicites proches ou éloignées.
Déduire des informations implicites en reliant des informations du texte et son vécu ou ses connaissances du monde.
Décrire le lien entre le texte et les illustrations d’un écrit papier ou numérique.
Dégager et assurer la cohérence du message/texte
Identifier le genre du message entendu ou du texte lu
Organiser un message selon une structure textuelle dominante
Utiliser des reprises d’informations d’une phrase à l’autre pour construire du sens
Observer le fonctionnement de la langue pour dégager des régularités
lire
écrire
lire
écrire
Dégager les caractéristiques de la structure textuelle dominante afin d’en définir le genre.
Organiser (graphiquement) les éléments donnés d’un texte selon les caractéristiques de la structure dominante donnée.
Utiliser les modes et les temps appropriés pour assurer la cohérence temporelle.
Repérer la (les) voix du (des) locuteur(s).
Relier des informations (référents) et leurs reprises anaphoriques : – d es substituts grammaticaux (pronoms).
Assurer la reprise d’une information d’une phrase à l’autre en utilisant : – d es substituts grammaticaux.
Traiter/utiliser les unités lexicales
lire écrire
Utiliser le lexique écrire
Repérer des différences et des similitudes morphologiques et de relations sémantiques (synonymes) entre des mots écrits.
Utiliser, en tenant compte de la situation de communication, les mots du lexique spécifique à une thématique ou un champ disciplinaire.
Traiter/utiliser les unités grammaticales
Utiliser la notion de phrase écrire
Utiliser la notion de classe de mots écrire lire
Conjuguer
écrire
Utiliser les règles d’orthographe grammaticale
Utiliser une procédure de raisonnement grammatical
Respecter le système temporel choisi
écrire
écrire parler
écrire
Respecter la structure des phrases simples dans une production écrite en utilisant la ponctuation adaptée.
Identifier la classe des mots dans une phrase : – pronoms personnels.
Conjuguer à toutes les personnes les verbes (voir savoirs) aux modes et temps suivants : – indicatif : présent, futur simple, futur proche, passé composé, conditionnel présent, imparfait, passé simple ; – impératif présent.
Distinguer le radical de la terminaison.
Appliquer les règles générales d’accord du participe passé employé seul ou avec être.
Appliquer une procédure pour choisir une graphie : é/-er.
Utiliser les formes verbales assurant la construction grammaticale correcte des phrases et la cohérence temporelle.
Assurer la présentation du message
Soigner la présentation de son écrit écrire
Apprécier, agir/réagir, réviser
Réfléchir à sa pratique de lecteur lire parler
Assurer la lisibilité et adapter la présentation à son destinataire.
Vérifier le maintien du but de lecture assigné.
Expliquer les stratégies de compréhension et d’interprétation mises en œuvre (inférence).
Autoévaluer sa maitrise des stratégies.
Évaluer le rôle joué par les stratégies dans la compréhension ou l’interprétation d’un texte (utilité perçue).
Verbaliser les connaissances acquises sur la langue, sur les genres et structures de textes et sur la culture.
Vérifier et ajuster sa production
Réviser sa production écrite écrire lire
écrire
Communiquer sa production écrite écrire lire
Relire sa production et vérifier :
– le contenu des idées ; – leur organisation dans des phrases respectant une structure dominante choisie (à l’aide d’une grille de révision) ;
– le respect de l’intention poursuivie.
Définir des pistes de révision.
Ajuster sa production en fonction des pistes de révision.
Corriger une production de son choix à l’aide d’une grille de vérification et des référentiels (dictionnaire – en ligne –, correcteur orthographique, conjugueur…) de la classe en vue de la partager.
Compétences LIRE
Manifester sa compréhension d’un document dont l’intention est :
Attendus LIRE
Manifester sa compréhension
– d e donner du plaisir/susciter des émotions.
En répondant à des questions ou en produisant un dessin, quelques phrases ou une action qui donnent à voir certains des éléments suivants :
– les liens établis entre l’implicite et l’explicite ;
– les liens entre les actions et les motivations des personnages ;
– une émotion ressentie, l’empathie éprouvée pour un personnage (traits de caractère, valeurs, comportements) ;
– l’intention de l’auteur ;
– les caractéristiques de sa structure textuelle permettant d’identifier son genre ;
– les relations entre les éléments (chronologie, texteillustrations) ;
– les mots appartenant à un même champ lexical ;
– le sens du texte grâce à l’observation des indices grammaticaux, verbaux et au fonctionnement de la langue.
Expliciter sa compréhension
Vérifier et justifier sa compréhension d’un document.
En répondant à des questions posées oralement, expliciter les stratégies de compréhension mobilisées :
– prélever des informations explicites ;
– élaborer une inférence ;
– f aire des hypothèses ;
– relier le texte et les illustrations ;
– reformuler le sens global ;
– (se) construire une représentation mentale du texte.
Écrire pour :
– d onner du plaisir/susciter des émotions.
Produire un écrit
Rédiger un écrit qui combine plusieurs des éléments cidessous en mobilisant des ressources (référentiels) :
– en restant dans le sujet ;
– en tenant compte de l’intention et du destinataire ;
– en l’organisant selon une structure textuelle simple donnée ;
– en utilisant les traits de ponctuation adéquats ;
– en orthographiant correctement les mots connus et inconnus et en appliquant les règles d’orthographes grammaticale et lexicale ;
– en utilisant les connecteurs ;
– en utilisant les modes et les temps appropriés pour assurer la cohérence temporelle ;
– en utilisant les substituts lexicaux et grammaticaux ;
– en recourant aux lexiques courant et spécifique à une thématique ou un champ disciplinaire.
Expliciter les composantes de sa production
Verbaliser les composantes de la production d’écrits.
En répondant à des questions posées oralement, expliciter les composantes de la production d’écrits mises en œuvre :
– planification ;
– mise en texte ;
– révision ;
– correction.
Type de texte : le compte-rendu
L’indicatif présent et l’indicatif passé composé
Les pronoms personnels
Participe passé ou infinitif
Semaine Période
1Entrée dans le thème + Je découvre le texte 7-10
2Je comprends le texte 10-12
3Je découvre le compte-rendu 13-14
4J’enrichis mon vocabulaire 15
1
5
6
Découverte des missions – Je rédige le compte-rendu d’un évènement particulier sous la forme d’une carte postale (J’écris/Je parle) 16
Exercices sur la différence entre temps simple et temps composé. Cette séance permettra à l’enseignant(e) de juger le niveau des élèves par rapport aux matières de conjugaison abordées dans ce chapitre : indicatif présent et indicatif passé composé.
Documents téléchargeables 2
7L’indicatif présent et l’indicatif passé composé 17-20
8L’indicatif présent et l’indicatif passé composé 17-20
9 Les pronoms personnels 21-24
10 Les pronoms personnels 21-24
11 Les pronoms personnels 21-24
13 Participe passé ou infinitif ? 25-28
14 Participe passé ou infinitif ? 25-28
15 Un peu d’entrainement 29
12 Participe passé ou infinitif ? 25-28 3
16 Première production 30
17 (Auto)évaluation + correction de première production 30-32
18 Production finale 31-32
Souvenirs de vacances
Étape 1
L’enseignant(e) demande aux élèves de prendre la page 7 de leur livre-cahier et d’observer l’illustration. Il/Elle pose des questions et anime la discussion :
Que voyez-vous sur l’illustration ?
Que représente l’illustration ?
Réponses attendues : On peut observer le titre de la séquence, on peut voir des montagnes russes… Les élèves émettent des hypothèses sur le sujet qui sera abordé dans ce chapitre.
Étape 2
L’enseignant(e) présente ensuite les indices supplémentaires aux élèves à l’aide du QR code.
Les élèves enrichissent leurs hypothèses à l’aide des nouveaux indices.
Questions de réflexion que l’enseignant(e) peut soumettre aux élèves :
Qu’avez-vous entendu dans l’indice audio ?
De quel type de bruit s’agit-il ?
À quoi cela vous fait-il penser ? Un lieu ? Une période de l’année ? Un évènement ? …
Qu’avez-vous découvert au travers de la vidéo ?
Quelle histoire nous raconte cette vidéo ?
À votre avis, quel sera le thème de ce chapitre ?
Le titre de la séquence correspond-il à vos hypothèses ?
Colle ici le texte que tu as reçu de ton enseignant(e).
L’enseignant(e) distribue à chaque élève le texte qui correspond le mieux à son niveau de maitrise de la lecture.
Pour ce chapitre :
chemin B
chemin C
chemin D
Texte le plus complexe du point de vue de la lecture. Il se différencie des autres par un vocabulaire plus soutenu.
Texte moyen en termes de difficulté. Cependant, il se pourrait que malgré tout, le vocabulaire reste compliqué pour certains élèves. Dans ce cas, vous pourriez proposer le chemin D ou A.
Texte de base légèrement simplifié du point de vue de la complexité du vocabulaire.
chemin A Le plus simple des 4 textes de ce chapitre. Il est plus court et le vocabulaire est simplifié.
Nous attirons votre attention sur le fait que, pour éviter la comparaison entre élèves, une même lettre ne correspond jamais deux fois au même niveau de texte.
D’un chapitre à l’autre, le texte C peut par exemple être tantôt le plus complexe, tantôt le plus simple.
Ces différents textes sont téléchargeables sur Wazzou.
Par ailleurs, l’ensemble des textes d’entrée est également disponible en version audio sur Wazzou. Pour une question de temps, de facilité ou pour aider à la lecture, l’enseignant(e) peut donc décider de les faire écouter à certains de ses élèves.
Exercice 1
Objectif : Prendre en compte les différents éléments de la carte postale, ceux qui sont écrits et ceux qui sont représentés visuellement, afin de comprendre le texte.
Dans un premier temps, l’élève se retrouve seul face à la consigne à exécuter. L’enseignant(e) encourage l’élève à prendre des notes dans son cahier de brouillon ou sur une feuille.
Au bout de quelques minutes, l’enseignant(e) propose aux élèves de discuter en duo de cet exercice. Durant ce moment d’échange, l’enseignant(e) s’assure de la bonne compréhension de la consigne en passant entre les groupes pour écouter les discussions. L’objectif est de comprendre le texte de la carte postale, éventuellement en s’aidant des indices visuels de cette carte.
Exercice 2
Objectif : Se rendre compte qu’il n’y a pas que les indices écrits qui permettent de répondre aux questions mais que des indices visuels tels que le timbre peuvent aussi contenir des éléments de réponse. Les élèves pourront également se rendre compte qu’ils ne savent pas répondre à toutes les questions.
L’enseignant(e) invite les élèves à compléter le tableau.
L’enseignant(e) peut prendre un moment collectif de partage par rapport à cet exercice pour bien mettre en avant l’importance d’analyser tout le document et non pas seulement la partie texte.
C’est avec la question « Où se déroule l’histoire ? » qu’on va pouvoir faire le lien avec l’élément visuel du timbre qui donne le lieu d’envoi de la lettre. Avec la question « Quand se déroule l’histoire ? », on peut se rendre compte qu’on ne trouve parfois pas toutes les réponses aux questions dans les documents.
Le correctif est à considérer à titre indicatif, les réponses des élèves pourraient différer en fonction de leurs arguments. Par exemple, à la question « Où se déroule l’histoire ? », certains pourraient répondre que ce n’est pas sur la carte postale, la réponse à cette question pourrait être : en Belgique, au parc d’attractions Ouftiland… sans indiquer de lieu précis (ville). La discussion peut être la même avec la question « Quand se déroule l’histoire ? » : on pourrait se contenter de répondre « pendant les vacances », sans donner de date.
L’enseignant(e) s’assure que les élèves travaillent sur la page 8 pour réaliser cet exercice.
Objectif : Repérer les éléments utiles du texte pour réaliser l’illustration au recto de la carte postale (le verso se trouvant à la page 8).
Exercice 3b
Avant cet exercice, l’enseignant(e) veillera à discuter avec les élèves de la différence entre une illustration d’un texte et l’illustration d’une carte postale. L’illustration d’une carte postale est généralement neutre. Ici on attend des élèves qu’ils illustrent l’ambiance d’un parc d’attractions et non l’évènement de la panne.
Dans le cas présent, dans le texte, l’élève parle d’un incident, il est évident que cet incident est un fait marquant mais ne sera pas l’illustration d’une carte postale. L’illustration devra être en rapport avec le parc d’attractions : un plan du parc, une illustration de l’attraction phare sur laquelle s’est déroulée la panne…
↘ 1. Lis le texte reçu. Arrête-toi après chaque phrase. Qu’as-tu compris ? Quels liens fais-tu avec les autres informations du document ?
N’hésite pas à noter tes réponses sur une feuille de brouillon. Une fois que tu as terminé, tu peux également comparer tes réponses avec celles de ton (ta) voisin(e).
↘ 2. Pour chaque question posée, indique si tu as pu ou non trouver une réponse Coche dans la colonne qui convient.
Oui, c’est écrit dans le texte.
Où se déroule l’histoire ?
Quand se déroule l’histoire ?
Qui est l’émetteur ?
Qui est le récepteur ?
Que s’est-il passé ?
Qui sont les personnages de l’histoire ?
Quel âge a l’émetteur ?
↘ 3. Réponds aux questions et suis les consignes…
Oui, j’ai trouvé un indice sur la carte. Non, on ne trouve pas l’information.
→ a. Trouve les indices qui te permettent d’identifier le lieu visité et entoure-les dans le texte de la carte postale.
Timbre - « Meilleur endroit du monde pour s’amuser »« Montagnes russes » - « Parc » - « Sommet de l’attraction » - « Ouftiland »
→ b. À l’aide de ces indices, dessine, au crayon, le recto de la carte postale.
Tout dessin de montagnes russes + autres attractions que l’on peut trouver dans un parc d’attractions est considéré comme correct. L’incident avec les pompiers ne doit pas être dessiné.
→ c. Compare et discute de ta carte postale avec ton (ta) voisin(e) de classe, puis ajoute ou efface des éléments pour rendre ton dessin plus précis et colorie-le.
→ d. Trouve un titre au texte que tu viens de lire.
Titre en lien avec : La mésaventure / Le parc d’attractions
→ e. Avec tes camarades, établis le classement des 5 titres les plus pertinents et note-les.
1.
2.
3.
4.
5.
La correction dépendra du classement réalisé en classe.
•
→ f. Écris trois questions que tu aimerais poser à Ezra.
Exemples de questions : « Combien d’attractions as-tu faites ? »
« Y avait-il du monde ? »
Toutes les questions en rapport avec la journée au parc d’attractions.
• • → g. Pose les questions que tu viens d’écrire à ton (ta) voisin(e) qui joue le rôle d’Ezra et devra te répondre.
↘ 1. Replace les différents évènements de l’histoire sur la ligne du temps en utilisant les lettres qui y correspondent.
A. L’arrivée à Ouftiland
B. La rédaction de la carte postale C. La rencontre avec les pompiers
L’incident sur le Oufti Terreur
Cet exercice de comparaison est proposé en duo, il pourrait être réalisé par groupe ou par atelier en fonction de votre organisation de classe.
Pour aider les élèves dans leur réflexion lors de la comparaison avec leur voisin(e), voici les sujets de discussion que l’enseignant(e) peut leur suggérer :
Avez-vous identifié les mêmes indices ?
Vos dessins sont-ils les mêmes ?
Quelles sont les différences ?
Objectif : Trouver un titre pertinent en rapport avec le texte de la carte postale.
Sur la base des réponses du point précédent, établir un classement des titres les plus pertinents.
L’enseignant(e) recopie les titres proposés au tableau, avant d’inviter les élèves à analyser les différents titres.
Voici des sujets de discussion :
Les titres sont-ils pertinents ?
Est-il possible de faire une classification des titres ? Si oui, laquelle ?
Lors de la mise en commun, on établira peut-être que certains titres ne sont pas pertinents car ils ne sont pas en lien avec le texte.
Il sera certainement possible de classer : titre sur la peur et l’incident, titre sur le parc, l’amusement…
Exercice 3f
Voici des pistes de réflexion pour que les élèves puissent valider ou non leurs questions :
Vos questions sont-elles sensées ?
Ont-elles un lien avec le fait raconté dans la carte postale ?
Exercice 3g
Exercice oral.
Je lis/J’entends : Je comprends le texte
Exercice 1
Objectif : Travailler sur la chronologie des évènements.
Objectif : Vérifier la compréhension à la lecture des élèves.
L’enseignant(e) insiste sur le fait que l’exercice se réalise sur le texte de la page 8. Il y a plus de deux réponses possibles.
Suggestion : Réaliser la correction du questionnaire précédent.
L’enseignant(e) peut introduire l’utilisation de la carte postale. Il/Elle pourrait poser la question suivante aux élèves : Dans quel cas envoie-t-on une carte postale ?
Suggestion de correction : L’enseignant(e) peut proposer aux élèves de comparer leurs réponses (en duo, par groupe, ou collectivement).
Voici quelques pistes pour les discussions des élèves : Avez-vous les mêmes réponses ?
Discutez de vos réponses et essayez de vous mettre d’accord.
↘ 2. Réponds aux questions ci-dessous.
→ a. Qui a rédigé cette carte postale ? Coche la réponse correcte.
Ezra Justin Julie Frousseville
→ b. Souligne la phrase correcte : L’émetteur de la carte est une fille. L’émetteur de la carte est un garçon.
→ c. Surligne dans le texte deux indices qui te permettent de répondre à la question b.
→ d. Qui a reçu cette carte postale ? Coche la réponse correcte.
Ezra Justin Julie Frousseville
→ e. Dans quel pays pourrait se trouver ce parc d’attractions ? Justifie ta réponse par des indices de la carte postale.
En Belgique, car le timbre est un timbre belge. Car « oufti » est une expression liégeoise, donc typiquement belge.
→ f. Ezra dit faire preuve de courage. Aide-toi du texte pour expliquer en quoi il est courageux.
Ezra n’est pas rentré chez lui après la panne, il a continué à profiter du parc d’attractions.
Il nous dit dans sa carte : « J’ai oublié cette mésaventure », « Je suis remonté dans les attractions. »
→ g. Ezra parle de « contrôles ». À ton avis, de quel type de contrôle s’agit-il ?
Contrôle technique des attractions.
Papa a fait l’entretien de la voiture avant de la présenter au contrôle technique.
La maitresse nous a fait passer un contrôle sur la matière du premier trimestre.
Il a perdu le contrôle de l’appareil.
X X X « Je suis bien arrivé », « Ça m’a un peu rassuré/rassénéré », « Je suis monté », « Je suis courageux »
→ h. Coche les phrases où le mot « contrôle » a la même signification que dans cette carte postale.
Le contrôle de pression des pneus est recommandé avant un long voyage.
→ i. Comment se sentait Ezra lorsqu’il a écrit la carte postale ? Coche la (les) réponse(s) correcte(s).
X X
Heureux Fâché Découragé Satisfait Anxieux
→ j. Justifie ton choix en deux ou trois lignes en t’appuyant sur le texte et sur ton vécu.
Il se sent bien car il semble avoir envie d’y retourner l’année d’après (« cap’ de venir avec moi lors des prochaines vacances »), il dit que « Ouftiland » est le meilleur endroit pour s’amuser (c’est qu’il a passé un bon moment dans le parc d’attractions).
→ k. Écris les mots qui relèvent du champ lexical de la peur.
Frousseville, Poltron, couardise, peur de ma vie, Oufti Terreur, apeurés
↘ 3. Comment as-tu fait pour répondre aux questions précédentes ? Explique avec tes mots.
Réponse libre
Tu viens de prendre quelques minutes de réflexion sur les procédés qui t’ont permis de répondre aux questions des pages précédentes. Le procédé que tu as utilisé s’appelle l’« inférence » : tu as inféré.
Que signifie « inférer » ?
Chercher une information non donnée Observer les indices visuels
Comment inférer ?
Écoute les explications de ton enseignant(e) et/ou regarde cette vidéo explicative. Inférer
Combiner des indices du texte
Combiner avec mes connaissances
Cet encadré permet aux élèves de laisser une trace de leur discussion. Cette trace peut être personnelle ou collective à la classe en fonction du choix de l’enseignant(e).
J’ai découvert
Objectif : Les élèves comprennent le principe d’inférer.
Suggestion : L’enseignant(e) explique l’inférence aux élèves par des exemples simples. Exemple à proposer en classe :
Phrase à donner aux élèves : « Ce matin, j’ai préparé mon sac avec enthousiasme, j’ai veillé à ne rien oublier. J’ai pris mon maillot, mon bonnet et mon essuie. Je n’ai plus besoin de bouées maintenant, je sais nager. On y est enfin, j’attends ce moment depuis le début de la semaine. »
Question : Où suis-je ?
Réponse : À la piscine.
Quels sont les indices écrits ? Maillot, essuie, nager. Quelles sont mes connaissances antérieures ? Je sais que pour aller nager, je vais à la piscine. La tenue pour la piscine est un maillot et un bonnet.
L’enseignant(e) lit le petit résumé sur l’inférence avec les élèves et donne des explications supplémentaires si nécessaire.
L’enseignant(e) propose aux élèves de regarder une courte vidéo explicative sur la démarche d’inférer.
1x exercice complémentaire « Stratégies » (Inférer) à télécharger
Un exercice complémentaire pour travailler cette stratégie est proposé dans les documents à télécharger. Il permettra aux élèves de mettre en pratique les conseils qu’ils viennent de découvrir sur la stratégie de l’inférence.
Exercice 1
Proposer aux élèves de lire le texte.
Exercice 2
Pour compléter le tableau, inviter les élèves à émettre des hypothèses. En différenciation, l’enseignant(e) pourrait proposer les réponses, en vrac, au tableau.
↘ 1. Lis attentivement le texte suivant. Il s’agit d’un compte-rendu publié dans un journal. Il parle de l’évènement vécu par Esra.
Grosse panne hier après-midi dans une attraction du parc Ouftiland : une vingtaine de personnes bloquées !
Hier après-midi, le « Oufti Terreur », une des plus grandes montagnes russes du parc Ouftiland, a bien porté son nom !
En effet, cette attraction qui fait le bonheur des visiteurs a été victime d’une panne. Celle-ci a immobilisé le train juste au sommet du parcours.
Malgré les efforts des techniciens du parc, il n’a pas été possible de trouver la cause du problème.
Ce sont donc les pompiers liégeois qui sont venus délivrer les passagers à l’aide de la grande échelle. La délicate opération de sauvetage a duré plusieurs heures.
Heureusement, toutes les victimes sont sorties indemnes de l’attraction. Il faut noter qu’un tel incident reste très rare, les attractions faisant l’objet de contrôles quotidiens.
J. Saitout
↘ 2. Compare le texte de la carte postale et le texte du journal. Complète le tableau suivant.
Carte postale Journal
Qui est l’énonciateur ?
Quel est le destinataire ?
Où trouve-t-on ce texte ?
ÉditionsVANIN
Quelle est l’intention de l’énonciateur ?
Quel est le point commun entre ces deux textes ?
L’énonciateur parle-t-il de lui, de ses émotions ?
Esra, un enfant
J. Saitout, journaliste
Justin, l’ami d’Esra Les lecteurs du journal
Sur une carte postale Dans un journal papier ou numérique
Raconter une journée dans un parc d’attractions et surtout un incident vécu
Informer sur un évènement survenu dans un parc d’attractions
On y parle d’un même évènement : la panne d’une attraction.
Oui
Non
↘ 3. Cite quelques exemples d’évènements ou de faits pouvant faire l’objet d’un compte-rendu.
-une épreuve sportive
-un fait divers
-une visite
-une expérience scientifique
-une réunion
-un accident
-un spectacle
↘ 4. Un article de journal ou une carte postale sont deux manières d’effectuer le compte-rendu d’un évènement. Recherche d’autres manières de présenter un compte-rendu.
-reportage radiophonique ou télévisuel
-article scientifique
-procès-verbal d’une réunion, d’un accident
Que trouve-t-on dans le compte-rendu d’un évènement ?
- Un titre (pas toujours)
- Une introduction : Qui ? Quoi ? Quand ? Où ?
- Le développement : • informations essentielles
• description fidèle
- Une conclusion : comment l’évènement se termine-t-il ?
Quel est le ton employé par l'auteur(e) d'un compte-rendu ?
Selon la forme du compte-rendu, l'auteur(e) adopte un ton neutre, sans donner son avis (article, procès-verbal...), ou peut faire part de son ressenti et de ses émotions (carte postale, témoignage...).
Exercice 3
Dans un premier temps, les élèves recherchent d’autres évènements pouvant faire l’objet d’un compte-rendu.
Ne pas hésiter à fournir quelques exemples afin d’enrichir les résultats de la recherche.
Les élèves devront identifier l’évènement dont on parle.
Les élèves citent les exemples trouvés et les écrivent dans leur livre-cahier.
Exercice 4
Faire rechercher d’autres manières de présenter un compte-rendu.
Diriger la recherche en posant des questions du type : « Comment peut-on avoir des informations sportives ? » (journal papier ou en ligne, reportage radio, reportage télévisuel…)
Lister les exemples trouvés et les noter dans le livre-cahier.
J’ai découvert
Utiliser le compte-rendu issu du journal afin d’y repérer la structure.
Faire colorier dans différentes couleurs les mots : titre, introduction, développement et conclusion.
Retourner à la carte postale dans la partie qui effectue le compte-rendu de l’évènement. Quels éléments y trouvons-nous ?
Les faire repérer par les élèves avec les mêmes couleurs. (Attention, tous les éléments n’apparaissent pas forcément. Ici, il n’y a pas de titre par exemple.)
vocabulaire
Exercice 1
Dans l’idéal, les élèves seront regroupés par quatre en fonction des textes qu’ils ont reçus en page 8. En effet, pour réaliser l’activité de vocabulaire, les élèves devront comparer, par groupe, les quatre textes de base.
Si vous n’avez pas utilisé ces quatre textes en page 8 ou que vous avez beaucoup d’élèves ayant reçu le même texte, vous pouvez prévoir quelques copies de chaque texte à distribuer à chaque groupe.
Exercice 2
Suggestion : Cet exercice pourrait également être réalisé en solo comme exercice de dépassement, ou en quatuor comme poursuite de l’exercice précédent.
↘ 1. Une même idée peut être exprimée à l’aide de mots différents. Par groupe, comparez les cartes postales de chemins différents et écrivez les autres mots utilisés pour exprimer ce qui est noté en gras dans les phrases suivantes.
a. Des contrôles sont réalisés tous les jours.
quotidiennement
b. J’ai vite oublié ce mauvais moment
cette aventure fâcheuse
c. Je suis un enfant courageux.
téméraire
audacieux cette mésaventure
d. À cause d’une panne, nous sommes restés à l’arrêt pendant quatre heures !
Consécutivement à
e. Mais j’ai eu la peur de ma vie ce matin.
Toutefois
Suite à
Par contre
f. Le train s’est immobilisé au sommet de l’attraction.
arrêté
g. Morts de soif et morts de peur, nous avons remercié les pompiers qui sont venus nous délivrer.
Assoiffés
apeurés sortir du pétrin.
↘ 2. Par deux, complétez la grille en utilisant les synonymes des mots ci-dessous. Une fois cela fait, un adjectif qualificatif, synonyme de « courageux », devrait apparaitre sous la flèche.
1. tous les jours | 2. rare | 3. rester | 4. à nouveau | 5. très grande peur 6. dire | 7. arrêter | 8. rassuré | 9. mort de peur
↘ En fin de chapitre, tu vas imaginer le dessin et le texte d’une carte postale que tu aurais envoyée cet été.
Le but principal de cette carte est d’y effectuer le compte-rendu d’un évènement particulier (une aventure, une rencontre, un incident), en mentionnant les faits dans l’ordre chronologique.
Pour mener à bien cette première mission, tu devras veiller à différents points que tu vas apprendre à maitriser tout au long de ce chapitre.
L’indicatif présent (p. 17)
L’indicatif passé composé (p. 17)
Les pronoms (p. 21)
L’emploi des terminaisons en « er » (infinitif) ou « é » (participe passé) (p. 25)
La structure de la carte postale
Pour t’aider à réaliser ta production finale, réfléchis à ces quelques questions :
→ Qui sera le destinataire ?
→ Comment vas-tu t’adresser à cette personne ?
→ Quelle est son adresse ?
→ D’où envoies-tu cette carte ? (lieu de vacances, excursion d’un jour, camp avec un mouvement de jeunesse...)
→ Que peux-tu en dire ? (occupations, ambiance, météo, amusement...)
→ Quel évènement particulier vas-tu décrire ?
→ Par quelle phrase vas-tu terminer ta carte et prendre congé du destinataire ?
Mes missions : Je rédige le compte-rendu d’un évènement particulier sous la forme d’une carte postale (J’écris/Je parle)
Objectif : L’élève sera amené à écrire le compte-rendu d’un évènement sur une carte postale. Le sujet peut être laissé au choix de l’élève, imposé par le contexte – si vous êtes en classe de dépaysement, par exemple – ou encore imposé par l’enseignant(e).
Des exercices complémentaires sur la structure de la carte postale, « Je découvre la carte postale », sont proposés en ligne.
1x exercices complémentaires à télécharger ( -
= remédiation
= niveau attendu
= dépassement
Suggestion : À ce stade, l’enseignant(e) peut inviter les élèves à prendre leur cahier de brouillon (ou une feuille de bloc) afin de répondre aux questions posées sur le post-it. Ceci permettra aux élèves d’avoir une base pour leur premier jet d’écriture en page 30, à la fin de la séquence.
Objectif : Les élèves distinguent les temps simples des temps composés.
1x exercices complémentaires à télécharger ( - - )
Suggestion : Un exercice peut être proposé aux élèves en difficulté ou à des classes dont on ne connait pas le niveau afin de s’assurer de la maitrise de la matière. Vous trouverez, dans les exercices complémentaires, des exercices sur la notion de temps simple et de temps composé.
Exercice 1
Notion visée : Distinction entre temps simple et temps composé. L’enseignant(e) peut suggérer aux élèves de souligner les verbes dans chaque phrase avant de réaliser l’exercice.
Exercice 2
Notion visée : Production d’écrit avec contrainte pour vérifier l’assimilation de la notion « temps simple ».
Suggestion de correction : L’élève lit oralement sa phrase et ses camarades valident ou non sa réponse et l’aident à se corriger au besoin.
Exercice 3
Notion visée : Production d’écrit avec contrainte pour vérifier l’assimilation de la notion « temps composé ».
Suggestion de correction : L’élève lit oralement sa phrase et ses camarades valident ou non sa réponse et l’aident à se corriger au besoin.
Suggestion pour rendre les exercices 2 et 3 collectifs :
L’enseignant(e) demande aux élèves d’écrire deux phrases dans leur cahier de brouillon en donnant les contraintes : l’une avec un temps simple, l’autre avec un temps composé. Ensuite, une lecture à voix haute se fait pour les élèves qui désirent communiquer leurs phrases.
On peut imaginer une réflexion collective afin de se corriger les uns les autres. On peut écrire les phrases correctes au tableau et les classer.
À la fin des discussions, les élèves peuvent écrire dans leur livre-cahier une des bonnes réponses retenues au tableau.
1x exercices complémentaires à télécharger ( - - )
Des exercices complémentaires sur la notion de temps simple et de temps composé peuvent également être réalisés à la fin des trois premiers exercices et distribués en fonction des besoins de chaque élève.
Suggestion : Si vous estimez que cette matière doit être évaluée en tant que telle, vous pourriez utiliser l’exercice complémentaire niveau
à un temps simple à un temps composé Il s’écrit en 1 partie. Il s’écrit (le plus souvent) en 2 parties.
Tu le connais Je pars demain.
Nous viendrons te rejoindre.
La 1re partie est l’auxiliaire : « être » ou « avoir ».
J’ai reçu une carte. Il a renversé son verre. Il s’était fait mal.
↘ 1. Coche les phrases dont le verbe est conjugué à un temps composé
J’ai reçu ta carte postale hier.
Tu n’imagineras jamais mon histoire !
Hier matin, nous jouions au ballon.
Le facteur est arrivé tout à coup.
La 2e partie est le participe passé du verbe.
On se retrouve entre voisins pour rouler à vélo ou faire du skate dans la rue.
Zoé n’a pas suivi Choco, notre chien.
Il a renversé le facteur et son sac de courrier.
Je te laisse imaginer la scène…
Zoé et moi avons distribué le courrier avec le facteur.
↘ 2. Écris une phrase à un temps simple puis souligne le verbe.
Nombreuses réponses attendues.
↘ 3. Écris une phrase à un temps composé puis souligne le verbe.
Nombreuses réponses attendues.
↘ 4. Complète le texte ci-dessous en conjuguant les verbes aux temps adéquats (présent ou passé composé).
ai découvert est s’agit trouve change semble s’est habillée a fait avons fait avons appris embrasse
Coucou Granny, Hier matin, j’ (découvrir) ma nouvelle école. Elle (être) plus petite que la précédente… Il (s’agir) vraiment d’une école de village. Je (trouver) que la vie à la campagne (changer) fort de la vie urbaine. Ma nouvelle maitresse (sembler) gentille. Hier, elle (s’habiller) élégamment, elle m’ (faire) penser à toi. Ce matin, nous (faire) quelques calculs. Nous (apprendre) également un poème pour la rentrée des classes. Je t’(embrasser) fort.
Madame Ida Lebon 11, rue Victor Hugo 59 000 Lille
France
↘ 5. Dans les phrases, y a-t-il des indices qui peuvent aider à choisir un temps ?
Oui Non Si oui, lesquels ?
Hier matin
Hier
Ce matin
↘ 6. Avec ton (ta) voisin(e), complète la phrase ci-dessous pour répondre à la question suivante : « Quels sont les temps que vous avez choisis pour compléter ce texte ? »
Nous avons utilisé
l’indicatif présent et l’indicatif passé composé.
Exercice 4
Notion visée : L’utilisation à bon escient de la concordance entre l’indicatif présent et l’indicatif passé composé.
Suggestion : L’enseignant(e) peut mettre en évidence les fautes des élèves et leur demander de se corriger à l’aide de leurs outils de référence. Proposer à l’élève qui a commis des erreurs de se relire à voix haute. À l’oral, il se rendra peut-être compte de ses erreurs.
Exercice 5
Notion visée : Concordance des temps entre l’indicatif présent et l’indicatif passé composé.
Suggestion : L’enseignant(e) peut évoquer la notion de « marqueurs temporels » (connecteurs). En effet, ceux-ci permettent d’aider dans le choix des temps.
Exercice 6
Notion visée : Concordance des temps entre l’indicatif présent et l’indicatif passé composé.
Suggestion : Voici une série de questions pour enrichir la discussion : Avez-vous choisi le même temps ?
Pourquoi avoir choisi ce temps ?
Sur quels indices de la phrase vous êtes-vous basés pour choisir un temps ?
Exercice 7
Notion visée : Synthèse sur l’indicatif présent et l’indicatif passé composé.
Suggestion : Cet exercice doit aider à approfondir la réflexion de l’élève sur les différences entre l’indicatif présent et l’indicatif passé composé, un temps simple et un temps composé, ainsi que sur la manière dont ils se forment. Il pourrait être le point de départ d’une synthèse ou d’un rappel sur les notions d’indicatif présent et indicatif passé composé.
Exercice 8
Notion visée : Utiliser l’indicatif présent et l’indicatif passé composé.
Suggestion : Les différents paragraphes pourraient être réécrits entièrement au présent ou au passé composé. Cet exercice permettrait aux élèves les plus avancés de se dépasser.
↘ 7. Coche la réponse correcte dans le tableau ci-dessous.
L’indicatif présent est un temps composé.
L’indicatif passé composé s’écrit en plusieurs mots.
L’indicatif passé composé est un temps du présent.
L’indicatif passé composé est constitué d’un auxiliaire conjugué à l’indicatif présent et du participe passé du verbe conjugué.
L’indicatif passé composé est un temps simple.
Le participe passé se termine toujours par « é ».
↘ 8. Replace les verbes conjugués à l’indicatif présent ou passé composé au bon endroit dans le texte ci-dessous. Veille au sens du texte et aux indices orthographiques.
a boudé a fait a gagné ai suivi adore aime avons pu baladons Donnez est suis font jettent joues marchons ont loué parcourons réunissez sommes promenés
J’ me rendre à la mer. Avec mes parents, nous nous pendant des heures, nous pieds nus sur le sable et le long de l’eau, nous les dunes.
L’année dernière, mes parents un appartement sur la digue. C’était le top. Avec mon frère et ma sœur, nous faire du roller le long de la digue.
adore baladons marchons parcourons ont loué avons pu sommes promenés a fait font est jettent a gagné a boudé Est joues réunissez Donnez suis aime ai suivi
Le weekend dernier, nous nous le long du lac en famille.
Il très beau. Mon frère et ma sœur souvent des compétitions entre eux. Au bord de l’eau, leur objectif de trouver des cailloux, ils les à la surface de l’eau pour faire des ricochets. Cette fois-ci, c’est ma sœur qui . Mon frère tout le reste de la journée. -il vrai que tu de la musique avec des copains ? Combien de fois par semaine vous -vous ? -vous souvent des concerts ? Je curieux, j’ la musique. J’ des cours de solfège il y a quelques années.
↘ 9. Transforme ces phrases au pluriel en utilisant toujours l’indicatif présent.
J’avance très lentement.
Nous avançons très lentement.
Je nage dans la rivière.
Nous nageons dans la rivière.
Tu garantis le bon fonctionnement de cet appareil.
Vous garantissez le bon fonctionnement de cet appareil.
Cette plante fleurit au printemps.
Ces plantes fleurissent au printemps.
Tu jettes tes déchets dans la bonne poubelle.
↘ 10. Conjugue les verbes entre parenthèses à l’indicatif passé composé
Tylian (déménager) récemment.
Ses parents (acheter) une nouvelle maison à la campagne. Il (vivre) en ville auparavant.
Jules (être) son ami d’enfance depuis la maternelle.
Lorsqu’il (emménager) à la campagne, il (se faire) de nouveaux amis. Il (s’intégrer) dans sa nouvelle école où il (créer) des liens avec son nouvel ami Louis.
Le weekend dernier, Jules (venir) rendre visite à Tylian.
Il (découvrir) sa nouvelle vie. Ils (pouvoir) parler durant des heures.
Vous jetez vos déchets dans la bonne poubelle. a déménagé ont acheté a emménagé a vécu a été s’est fait s’est intégré a créé est venu a découvert ont pu
Notion visée : L’indicatif présent.
Suggestion : Cet exercice travaille la conjugaison de certains verbes particuliers du 1er groupe, les verbes en « -cer » et « -ger ». Le radical de ces verbes est modifié à certaines personnes de l’indicatif présent.
Cet exercice travaille également la conjugaison des verbes du 2e groupe.
Remarque 1 : L’objectif de ce premier chapitre est de revoir l’indicatif présent des verbes du 1er et 2e groupe, les verbes particuliers du 1er groupe seront retravaillés au chapitre 3.
Remarque 2 : Au préalable, l’enseignant(e) peut rappeler les catégories de verbes aux élèves. La notion est travaillée les années précédentes mais un rappel ne fera sans doute pas de tort.
Pour rappel : Les verbes à l’infinitif présent peuvent être classés en trois groupes / catégories. Le 1er groupe correspond aux verbes terminés en « -er » sauf ALLER, qui est une exception. Le 2e groupe reprend les verbes terminés en « -ir » à l’infinitif dont le participe présent se forme en « -issant ». Le 3e groupe est formé des verbes restants, terminés à l’infinitif en « -ir, -re, -oir ».
Notion visée : L’indicatif passé composé.
1x exercices complémentaires ( - - )
1x évaluation
Proposition de pondération :
L’exercice 1 pourrait être pondéré sur 10 points puisqu’il y a 10 verbes à conjuguer.
L’exercice 2 pourrait être pondéré sur 5 points.
1x jeu de cartes sur la conjugaison :
En complément à ces exercices, nous vous proposons de construire un jeu de cartes à jouer. Vous en trouverez les planches dans les documents téléchargeables. Ce jeu permettra d’exercer de manière régulière la conjugaison sans pour autant y consacrer une période complète.
Exercice 1
Savoir écouter : Écouter un texte lu par l’enseignant(e).
Soit l’enseignant(e) lit le texte directement, soit il/elle utilise la piste audio disponible en scannant le QR code.
Exercice 2a
Notion visée : Utiliser des pronoms personnels pour éviter les répétitions.
Suggestion : L’enseignant(e) peut rappeler avant cet exercice ce qu’est un pronom personnel. Il peut demander de remplacer certains groupes nominaux dans une phrase par un pronom personnel.
Exemples :
Cynthia part en vacances. Æ ELLE part en vacances. Luc et Maggie sont les grands-parents de Jeanne. Æ ILS sont les grands-parents de Jeanne.
↘ 1. Écoute attentivement ce texte.
Aujourd’hui Daphné et Maximo se rendent à la Foire du Midi à Bruxelles. Daphné et Maximo décident de se faire peur dans le train fantôme. Daphné est plutôt courageuse mais Maximo est un grand peureux. Mais quand Daphné veut quelque chose, Maximo ne dit jamais non. Il parait que Maximo aime Daphné en secret !
Voici que Daphné et Maximo s’installent dans le fond de la banquette mobile. Dès la mise en mouvement de la banquette mobile, Daphné sourit et Maximo panique. Maximo tente de tenir la main de Daphné mais la main de Daphné se dérobe. En effet, enthousiaste et follement amusée, Daphné se frotte les mains. Maximo se sent bien seul. La peur et l’inquiétude font trépider Maximo.
Le décor lugubre – toiles d’araignées en spray, cercueils factices, faux squelettes suspendus – met Maximo mal à l’aise. Mais jusque-là, c’est encore supportable pour Maximo. Soudain, un comédien dans un costume de Dracula surgit de derrière une porte et fait mine de se pencher sur Daphné et Maximo. Daphné est saisie et Maximo hurle ! Maximo se débat et dans un mouvement désordonné, Maximo arrache le masque du comédien.
Le comédien est surpris. Le comédien n’a jamais vu une telle réaction. Alors, le comédien se met à rire à gorge déployée. Daphné imite le comédien et Daphné aussi s’esclaffe. Maximo récupère de ses émotions. Voyant Daphné rigoler et le comédien avec sa bonne bouille rire également, Maximo se fend d’un mémorable fou rire nerveux que Maximo n’arrivera à contrôler que de longues minutes après !
↘ 2. Réécris ce texte à l’aide des consignes suivantes.
→ a. Dans cette première partie, remplace les mots mis en évidence dans le texte ci-dessus par des pronoms personnels.
Aujourd’hui Daphné et Maximo se rendent à la Foire du Midi à Bruxelles. décident de se faire peur dans le train fantôme. Daphné est plutôt courageuse mais Maximo est un grand peureux. Mais quand veut quelque chose, ne dit jamais non. Il parait qu’ aime en secret !
→ b. Dans cette deuxième partie du texte, replace les mots encadrés au bon endroit en fonction du sens.
il il celle-ci les deux enfants la téméraire la jeune fille le duo le le le craintif lui la main celle-ci il lui
les deux enfants
Voici que s’installent dans le fond de la banquette mobile. Dès la mise en mouvement de , sourit et panique. tente de tenir mais se dérobe.
celle-ci la téméraire
le craintif Il lui la main
En effet, enthousiaste et follement amusée, se frotte les mains.
Maximo se sent bien seul. La peur et l’inquiétude font trépider. Le décor lugubre – toiles d’araignées en spray, cercueils factices, faux squelettes suspendus – met mal à l’aise. Mais jusque-là, c’est encore supportable pour . Soudain, un comédien dans un costume de Dracula surgit de derrière une porte et fait mine de se pencher sur Daphné est saisie et Maximo hurle ! se débat et, dans un mouvement désordonné, arrache le masque du comédien.
celle-ci la jeune fille le le lui le duo Il il
→ c. À toi de jouer : réécris le dernier paragraphe du texte en évitant les répétitions.
Le comédien est surpris. Le comédien n’a jamais vu une telle réaction. Alors, le comédien se met à rire à gorge déployée. Daphné imite le comédien et Daphné aussi s’esclaffe. Maximo récupère de ses émotions. Voyant Daphné rigoler et le comédien avec sa bonne bouille rire également, Maximo se fend d’un mémorable fou rire nerveux que Maximo n’arrivera à contrôler que de longues minutes après !
Celui-ci est surpris. Il n’a jamais vu une telle réaction. Alors, il se met à rire à gorge déployée. Daphné l’imite et elle aussi, s’esclaffe. Maximo récupère de ses émotions.
Voyant son amie rigoler et le comédien avec sa bonne bouille rire également, il se fend d’un mémorable fou rire nerveux qu’il n’arrivera à contrôler que de longues minutes après !
Notion visée : Utiliser des pronoms ou des groupes nominaux pour éviter les répétitions.
Notion visée : Utiliser des pronoms personnels pour éviter les répétitions.
Suggestion : Pour les élèves qui éprouvent encore des difficultés, l’enseignant(e) peut proposer de réaliser l’exercice en plusieurs étapes :
1. Faire souligner dans le texte de base les mots à modifier : Le comédien (celui-ci) est surpris. Le comédien (il) n’a jamais vu une telle réaction. Alors, le comédien (il) se met à rire à gorge déployée. Daphné imite le comédien et Daphné (elle) aussi s’esclaffe. Maximo récupère de ses émotions. Voyant Daphné (son amie) rigoler et le comédien avec sa bonne bouille rire également, Maximo (il) se fend d’un mémorable fou rire nerveux que Maximo (qu’il) n’arrivera à contrôler que de longues minutes après !
2. Demander à chaque élève d’écrire au brouillon le texte modifié.
3. Mettre en évidence les erreurs des élèves pour qu’ils puissent se corriger.
4. Proposer aux élèves de comparer leur texte par deux ou trois.
Il est important de profiter de cet exercice pour s’assurer de la compréhension de la démarche auprès des élèves.
Cet exercice permettra de rappeler le constat proposé dans la rubrique « J’ai découvert ».
Remarque : Les substituts lexicaux seront abordés plus largement dans les chapitres suivants. La notion principale abordée dans ce chapitre est : les pronoms personnels et leur utilisation comme substituts.
Cette rubrique a pour objectif de remettre des mots sur ce qui a été mis en avant à l’exercice 2.
Exercice 3
Notion visée : Reconnaitre des pronoms dans un texte. L’enseignant(e) peut faire remarquer aux élèves que la petite fille sur l’illustration tient un sac avec son prénom. Elle s’appelle Julia. C’est un détail qui aura de l’importance dans l’exercice suivant.
Exercice 4
Notion visée : Retrouver ce que désigne le pronom (retrouver son antécédent).
Suggestion : En réalisant une correction collective, l’enseignant(e) peut aborder la notion d’« antécédent », c’est-à-dire inciter les élèves à retrouver le mot que le pronom remplace.
Les pronoms sont utilisés pour éviter les répétitions.
1PS : je/j'
2PS : tu
3PS : il/elle/ on
1PP : nous
2PP : vous
3PP : ils/elles
remplacent un sujet
Les pronoms personnels
remplacent un complément du verbe y en
1PS : me/m', moi
2PS : te/t', toi
3PS : le/l', la, lui
1PP : nous
2PP : vous
3PP : les, leur, eux, elles
↘ 3. À l’aide du tableau précédent, souligne les différents pronoms personnels dans ce texte.
Lisa, tu sais que j’adore les voyages en avion ! Maman m’avait prévenue, mais je ne pensais pas que ce serait cool à ce point… Après le décollage, le pilote nous a prévenus que les hôtesses distribueraient un repas à tous les passagers. Il était bien bon ! Tout au long du voyage, le trajet de l’avion était projeté sur un écran. Nous pouvions également y lire la météo et d’autres renseignements au sujet de notre destination. Sans hésiter, je te recommande vivement cette expérience…
↘ 4. Recopie dans le tableau ci-dessous les pronoms soulignés à l’exercice précédent et coche le mot qu’ils remplacent dans la phrase.
remplacent un complément circonstanciel y, en tu X j’ X
Julia le voyage en avion tous les passagers le repasun écranLisa
m’ X je X nous X Il X Nous X y X je X te X
↘ 5. Retrouve les groupes de mots remplacés par les pronoms soulignés ci-dessous.
Ils sont invités à mon anniversaire.
Quand pourrons-nous aller à la montagne ?
Toute la famille y sera dans quelques semaines.
Voulez-vous accompagner notre classe en excursion ?
Justine en prend toujours deux morceaux.
mes frères et moi mes amis Papa et toi de la tarte à la montagne
↘ 6. Réécris les phrases suivantes en remplaçant les éléments soulignés par un pronom.
Julia est en Italie avec ses cousines.
→
Elle est en Italie avec ses cousines.
À Rome, elle découvrira de merveilleux monuments.
→
Elle y découvrira de merveilleux monuments.
Elle n’a pas oublié son petit frère.
→
Elle ne l’a pas oublié.
Les cousins ont besoin d’aide pour organiser une fête.
→
Ils en ont besoin pour organiser une fête.
Julia et Lou souhaitent demander de l’aide à Lisa pour l’anniversaire de Papy.
→
Elles souhaitent lui demander de l’aide pour l’anniversaire de Papy.
Les excursions font découvrir de beaux endroits aux vacanciers.
→
ÉditionsVANIN
Elles leur font découvrir de beaux endroits.
Nous venons de travailler sur une nature de mots : les pronoms.
Te souviens-tu d’autres natures ? Complète ce tableau :
adjectif qualificatif pronom nom verbe déterminant adverbe conjonction préposition
Qui est ce mot ?
Notion visée : Associer un pronom à un antécédent possible.
Suggestion : Avant de réaliser cet exercice dans le livre-cahier, l’enseignant(e) peut écrire les phrases au tableau et demander aux élèves de les recopier dans leur cahier de brouillon en remplaçant le pronom souligné par un groupe nominal.
Ils sont invités à mon anniversaire. Les erreurs possibles pour cette phrase seraient que les élèves choisissent un groupe nominal féminin pluriel ou un groupe nominal masculin singulier. Grâce ce pré-exercice, l’enseignant(e) peut mettre en évidence l’importance du genre et du nombre du pronom utilisé. Le groupe nominal devra être masculin pluriel. Il/Elle pourra également rappeler que dans un groupe de personne, c’est le masculin qui l’emporte. On pourrait remplacer ce pronom par une série de prénoms et dans cette série, certains prénoms peuvent être féminins tant qu’il y a au moins un prénom masculin.
Toute la famille y sera dans quelques semaines.
Justine en prend toujours deux morceaux.
Dans le cas de ces deux phrases, le groupe nominal ne se placera pas au même endroit que le pronom dans le cas du remplacement d’un complément.
Exemples : Toute la famille sera à la plage dans quelques semaines. Toute la famille sera au mariage dans quelques semaines…
Notion visée : Pronominaliser un groupe nominal.
Suggestion : Cet exercice peut être réalisé en solo. Cependant, en cas de difficultés :
a. ne pas hésiter à faire oraliser l’exercice ;
b. proposer au tableau les pronoms à utiliser, en vrac : elles, en, ils, leur, elles, lui, l’, y, elle ;
c. pour les trois dernières phrases qui contiennent deux pronoms, simplifier l’exercice en demandant d’effectuer une seule pronominalisation à la fois.
Les élèves notent leurs hypothèses dans le cahier de brouillon ; l’enseignant(e) peut proposer d’indiquer un exemple pour chaque nature.
Les élèves citent les natures notées et donnent quelques exemples oralement. En parallèle, une possibilité est d’effectuer un référentiel mural avec les natures et quelques exemples cités.
1x exercices complémentaires (
1x évaluation
Proposition de pondération :
)
L’exercice 1 pourrait être pondéré sur 10 points puisqu’il y a 10 pronoms à replacer.
L’exercice 2 pourrait être pondéré sur 3 points, un point par phrase.
L’exercice 3 pourrait être pondéré sur 2 points puisqu’on attend deux réponses.
Exercice 1
Notion visée : Observer des mots terminés par le son [e].
Suggestion 1 : L’enseignant(e) peut faire verbaliser les élèves sur leur observation. Il peut également suggérer de répondre à quelques questions soit oralement, soit dans leur cahier de brouillon.
1. Quel est le point commun entre les (suites de) mots soulignés ? Réponse attendue : Ils se terminent par le son [e].
2. Quels types de mots sont soulignés ? Réponse attendue : Il y a des verbes, il y a des adjectifs, il y a des participes passés.
Suggestion 2 : Pour aller plus loin dans l’exercice, l’enseignant(e) peut demander de quel verbe provient chaque participe passé découvert. Ensuite, observer les infinitifs et les participes passés qui ont été soulignés dans ce texte pour se rendre compte qu’ils viennent tous de verbes appartenant au 1er groupe.
Remarque : Nous avons décidé de souligner les participes passés lorsqu’ils étaient utilisés à un temps composé mais aussi quand ils étaient employés seuls. Certains mots soulignés ont fait l’objet de discussions. Nous avons pris le parti de souligner tous les mots dérivés de verbe du premier groupe dont le son final se lit [e]. La distinction entre participe passé employé seul ou adjectif prête parfois à confusion.
Ce texte est disponible en version audio sur Wazzou. Pour une question de temps, de facilité ou pour aider à la lecture, l’enseignant(e) peut donc décider de le faire écouter à certains de ses élèves.
↘ 1. Lis ce texte et observe les mots soulignés.
Tout le monde connait les montagnes russes. Il s’agit d’un parcours composé de voitures attachées sur un rail. Le véhicule, une fois lancé, peut atteindre des vitesses relativement élevées. Ce manège, tant apprécié, ne date pas d’hier. Les premiers furent construits il y a déjà quatre siècles !
À l’époque, en Russie, l’hiver est long et rigoureux ! Cela a donné des idées à quelques aventuriers. Ils ont profité de la situation (la neige et la glace) pour s’amuser un peu… Ils se sont lancés dans la construction de pentes en bois qui seraient rapidement prises par le gel et couvertes de neige. Ensuite, bien calé dans un solide siège en osier, le téméraire candidat pouvait se laisseraller sur la pente bien glissante…
Mais en été, il était impossible de profiter de la neige…
C’est ainsi qu’au début du XVIIIe siècle, des entrepreneurs européens eurent l’idée de remplacer le siège en osier par des chariots à roulettes qui venaient s’emboiter sur des rails fixés à une structure.
En 1812, une entreprise française a commencé à se spécialiser dans la construction de ces nouveaux manèges de foire. Cette entreprise s’appelait… Les Montagnes Russes.
↘ 2. Avec ton (ta) voisin(e), classe les mots soulignés en deux catégories.
Commencez par comparer vos réponses.
composé attachées lancé élevées apprécié donné profité lancés calé fixés commencé
Participe passé
Choisissez un critère de tri pour le classement.
Nommez vos deux critères et classez les verbes dans le tableau ci-dessous.
Infinitif
s’amuser se laisser aller profiter remplacer s’emboiter se spécialiser
↘ 3. Relie chaque infinitif au genre et nombre demandés avec le participe passé correspondant.
P.P. d’écouter au masculin singulier
P.P. d’apprécier au féminin pluriel
P.P. d’essayer au féminin singulier
P.P. d’aimer au masculin pluriel
P.P. de chercher au féminin pluriel essayées cherché écouté aimé appréciées essayée cherchées aimés apprécié écoutée
Notion visée : Distinction entre infinitif et participe passé.
Suggestion : L’enseignant(e) peut demander aux élèves de travailler dans un premier temps dans leur cahier de brouillon. Il/Elle pourra ainsi s’assurer du critère de classement avant de passer à l’exercice dans le cahier.
Notion visée : L’accord du participe passé employé seul.
Suggestion : L’enseignant(e) peut revenir au texte de l’exercice 1 et faire observer les différentes terminaisons des participes passés avant d’entamer cet exercice.
Exercice 4
Notion visée : Distinction entre infinitif et participe passé.
Suggestion : Avant d’entamer cet exercice, l’enseignant(e) peut demander aux élèves s’ils connaissent des astuces pour savoir s’il s’agit d’un infinitif ou d’un participe passé. Si c’est le cas, il peut y avoir un échange oral. Sinon, l’enseignant(e) demande aux élèves de réfléchir à leur démarche pendant l’exécution de cet exercice. La correction pourra être collective afin de faire appliquer les astuces de manière orale.
Exemples :
Ils avaient réservé une nuit dans un hôtel… hanté ! Æ Ils avaient prévu une nuit dans un hôtel… hanté !
Alors, comment expliquer ces évènements étranges ? Æ Alors, comment définir ces évènements étranges ?
Exercice 5
Notion visée : L’accord du participe passé employé seul ou avec « être ».
Remarque : Pour la phrase « Nous sommes bien chargés / chargées ! », les deux possibilités sont correctes.
↘ 4. Colorie la forme orthographique correcte : en bleu si c'est un infinitif, en vert si c'est un participe passé.
En janvier dernier, quatre amis originaires de Morlanwelz, en quête de sensations fortes, sont partis en voyage en Écosse. Ils avaient réserver réservé une nuit dans un hôtel... hanté ! Olivier, Denis, Frédéric et Thomas ont toujours adorer adoré se faire peur. Ils sont très souvent aller allés au cinéma ensemble pour regarder regardé des films d’horreur.
Un hôtel hanté ? « Surement un piège à touristes », ont-ils penser pensé , au moment d’ embarquer embarqué à l’aéroport de Zaventem. Une fois arrivés à Aberdeen, en Écosse, ils se sont installer installés dans leur hôtel avant de profiter profité de la région pour se balader baladé . Le soir, ils sont rentrer rentrés dans l’établissement, se demandant ce qu’il pouvait bien avoir d’hanté. Et pendant la nuit, ils ont été gâter gâtés : bruits de pas au plafond (alors qu’ils étaient au dernier étage), portes qui claquent, robinet qui s’ouvre seul, chasse d’eau qui se tire sans cesse... Effrayant !
Les quatre amis se sont bien amuser amusés . « Les organisateurs n’ont pas économiser économisé leurs efforts pour nous effrayer effrayé » a même dit Olivier à ses camarades. Ils ont adorer adoré passer passé la nuit dans cet hôtel hanté.
La véritable peur, le véritable frisson, la grosse angoisse est arriver arrivée le lendemain, quand Denis s’est rendu compte qu’il s’était tromper trompé d’hôtel à la réservation, que ce n’était donc normalement pas l’hôtel « hanté » et que rien n’avait jamais été prévu par personne pour faire peur aux touristes.
Alors, comment expliquer expliqué ces évènements étranges ?
↘ 5. Indique la bonne terminaison. S’agit-il d’un infinitif ou d’un participe passé ?
Colorie ensuite la réponse correcte.
Nous avons pu écout les histoires des autres élèves.
Infinitif P.P. masc. sing.
P.P. masc. pl. P.P. fém. pl. P.P. fém. sing.
Nous avons reçu notre commande. Nous sommes bien charg !
Infinitif P.P. masc. sing.
P.P. masc. pl. P.P. fém. pl. P.P. fém. sing.
Élise et Laly, êtes-vous pass par la France avant d’arriv en Suisse ?
Infinitif P.P. masc. sing.
Infinitif P.P. masc. sing.
P.P. fém. sing.
P.P. masc. pl. P.P. fém. pl.
P.P. masc. pl. P.P. fém. pl. P.P. fém. sing.
Roméo et Nora sont touch….. par ce beau cadeau.
er er és / ées és ées
Infinitif P.P. masc. sing.
P.P. fém. sing.
P.P. masc. pl. P.P. fém. pl.
↘ 6. Orthographie correctement ces mots. S’il s’agit d’un participe passé, relie-le à l’aide d’une flèche au mot auquel il se rapporte.
Ça y est, les vacances sont bien termin ! Nous sommes de retour à l’école…
L’année pass , tout s’est bien déroul . Nous sommes donc arriv en cinquième année. Nous allons bien nous amus , sans oublier de travaill
Tu viens de découvrir qu’une forme verbale terminée par le son [e] peut s’écrire de deux manières différentes : « -é » ou « -er ».
• Si je peux remplacer le mot par un infinitif du 2e ou 3e groupe, il s’agit d’un . J’écris
Exemple : Je vais poster cette lettre. > Je vais finir cette lettre.
• Si je ne peux pas le remplacer par un autre infinitif, il s’agit d’un . J’écris .
Exemple : Mes devoirs sont terminés. > Mes devoirs sont finir
Dans certains cas, le participe passé peut être utilisé comme un Alors, il s’accordera en genre et en nombre avec le nom auquel il se rapporte.
• Il prendra la terminaison é au .
Exemple : un nez retroussé
• Il prendra la terminaison ée au
Exemple : une tarte dorée
• Il prendra la terminaison és au
Exemple : des promeneurs fatigués
masculin singulier
féminin singulier
masculin pluriel
• Il prendra la terminaison ées au .
Exemple : des fleurs fanées ées ée é er er és/ées infinitif participe passé « -er » « -é » adjectif
féminin pluriel.
Notion visée : L’accord du participe passé employé seul ou avec « être ».
Cette section a été travaillée indirectement au travers des différentes suggestions.
1x exercices complémentaires ( - - ) 1x évaluation
Proposition de pondération :
L’exercice 1 pourrait être pondéré sur 7 ou 14 points puisqu’il y a 14 mots à finir, soit 1 point, soit ½ point par réponse.
L’exercice 2 pourrait être pondéré sur 4 points, un point par placement correct.
L’exercice 3 pourrait être pondéré sur 6 points, un point par bonne réponse.
Exercice 1
Notion visée : Rédaction du compte-rendu d’une visite sous forme de carte postale.
Suggestion : L’enseignant(e) peut demander aux élèves de surligner en différentes couleurs les éléments qui se retrouveront du côté droit et du côté gauche de la carte.
Exercice 2
Notion visée : Rédaction du compte-rendu d’une visite sous forme de carte postale.
Suggestion : L’enseignant(e) peut préalablement réaliser la transformation d’une phrase. Exemple : Jules est allé à Pairi Daiza. Æ J’ai passé une magnifique journée à Pairi Daiza. Avec cet exemple, l’enseignant(e) explique aux élèves qu’ils doivent se mettre dans la peau de Jules, ils écriront donc la carte à la première personne de la conjugaison.
Cet exercice permet de travailler la lecture, la structure de la carte postale et la conjugaison (changement de personne).
Cette différenciation peut être un préalable à l’écriture de la carte postale pour les élèves en difficulté. Elle peut constituer également l’exercice de production d’écrit pour les élèves en manque d’inspiration.
↘ 1. Voici la description d’une carte postale. Lis-la attentivement.
Jules est allé à Pairi Daiza. Il en profite pour écrire à sa cousine Sarah Prévot. Celle-ci habite rue de la Gare, numéro 12, en France, à Maubeuge. Le code postal est 59 600.
Jules s’adresse gentiment à sa cousine.
Il explique qu’il a passé une magnifique journée à Pairi Daiza. Il a pu admirer de nombreux animaux mais hélas, les pandas sont restés cachés. Il a été un peu déçu.
Il a adoré la rencontre des lémuriens, même si un petit chenapan est venu chaparder sa collation !
Il lui dit qu’il espère la revoir bientôt et lui envoie un gros bisou.
Il n’a pas oublié de signer sa carte.
↘ 2. Rédige une carte postale qui pourrait correspondre à ce que tu viens de lire.
Ma très chère cousine,
J’ai passé une magnifique journée à Pairi Daiza. J’ai pu admirer de nombreux animaux. Hélas, les pandas sont restés cachés. J’ai été un peu déçu.
J’ai adoré la rencontre des lémuriens, même si un petit chenapan a chapardé ma collation !
J’espère te revoir bientôt. Je t’envoie un gros bisou.
Jules
Mademoiselle Sarah Prévot
rue de la Gare, n°12
59 600 Maubeuge
France
Je rédige le compte-rendu d’un évènement particulier sous la forme d’une carte postale
Imagine le dessin et le texte d’une carte postale que tu aurais envoyée cet été. Tu y effectueras le compte-rendu d’un évènement particulier (une aventure, une rencontre, un incident...), en mentionnant les faits dans l’ordre chronologique. Ton dessin doit rester neutre (vue d’un lieu par exemple) et ne pas illustrer l’évènement.
↘ Ma première production
Vérifie que tu as bien fait attention à tous les éléments repris dans la grille de la page 32.
Premier jet du texte de ma carte postale :
Ma production : Je rédige le compte-rendu d’un évènement particulier sous la forme d’une carte postale (J’écris/Je parle)
Pour aider l’élève à préparer son travail et le guider dans la recherche d’idées, quelques questions préalables sont proposées avant de passer à la réalisation de la carte (voir le post-it dans « Mes missions », p. 16). Cela permettra aux élèves en difficulté de structurer leurs idées avant de se lancer dans l’écriture du premier jet.
En début d’activité, il peut être intéressant de faire construire la grille d’évaluation par les élèves (livre fermé). Ceux-ci doivent faire appel aux notions étudiées ainsi qu’au contenu de la mission présentée en début de chapitre.
Pour la production finale, les élèves devront tenir compte des remarques formulées par l’enseignant(e) à l’issue de la production du 1er jet.
Les élèves sont invités à créer sur le cadre supérieur l’illustration de leur carte postale. Cette illustration doit bien sûr être en lien avec le texte de leur carte postale (vue d’un lieu par exemple), mais pas avec l’évènement particulier dont celui-ci rend compte.
↘ Ma production finale
Lis attentivement les remarques notées sur la fiche d’évaluation. Corrige, améliore ton travail, puis recopie-le soigneusement.
Recto de ma carte postale
Verso de ma carte postale
↘ Colorie les cases selon ton niveau de maitrise :
Je maitrise. Je ne maitrise pas encore suffisamment. J’ai besoin d’aide. Je dois m’exercer.
Moi Mon enseignant(e)
Les différents éléments de la carte postale sont présents et notés aux endroits adéquats.
Le texte principal comporte : - une formule d’appel, - le compte-rendu d’un évènement particulier, - une formule de congé.
J’ai fait preuve d’imagination dans le choix de l’évènement.
J’ai conjugué les verbes aux temps adéquats.
J’ai utilisé des pronoms.
Mes phrases ont du sens. J’ai placé les majuscules et les points.
J’ai vérifié l’orthographe, et plus particulièrement les terminaisons en « er » ou « é ».
La manière d’évaluer la mission finale est laissée à l’appréciation de chacun (couleurs, lettres, points et répartition de ceux-ci, émoticônes...).