2509204_SALON_EMPLOI_FORMATION by VDN

15e salon de l'Emploi et de la Formation

Cap sur l'avenir !

C'est avec une ambition claire que le Salon de l’Emploi et de la Formation revient pour sa 15e édition, ce mercredi 25 septembre, au cœur du Caveau Castelneau à Reims. L'objectif est simple mais essentiel : être utile, tant pour les jeunes en quête de leur voie professionnelle que pour les adultes en recherche de nouvelles opportunités.

Ce salon s'adresse en priorité aux collégiens, lycéens et étudiants en fin de cycle scolaire, désireux d'explorer les multiples filières de formation adaptées à leurs projets professionnels. Mais il ne s'arrête pas là.

Les demandeurs d'emploi, diplômés ou non, et les professionnels en reconversion y trouveront également des réponses concrètes pour orienter leur parcours et accéder à des offres d'emploi en phase avec leurs compétences.

Cette année, une cinquantaine d’organismes de formation et entreprises seront présents, démontrant l'importance de cet événement dans le paysage régional. Parmi eux, des acteurs majeurs comme l'Université Reims Champagne-Ardenne, les Compagnons du Devoir, Alméa Formations Interpro, ou encore le Groupe AFPAM. Ils occuperont le rezde-chaussée, dédié à l'offre de formation, avec une diversité de parcours couvrant de nombreux secteurs d'activités.

L'étage supérieur, quant à lui, sera entièrement réservé aux entreprises qui recrutent activement.

Parmi elles, des groupes de renom tels que le Crédit Agricole Nord-Est, la SNCF, Groupama Nord-Est, la CPAM, le Groupe Audéo, et même les Armées de Terre et de l'Air.

Cette proximité, entre les recruteurs et les candidats, confère au salon une dimension unique, créant un pont direct entre le monde de la formation et celui de l'emploi.

L'occasion idéale donc pour découvrir, échanger et construire son avenir.

Nicolas Fostier Directeur du pôle Innovation et Développement de Rossel Est Médias

Misez sur votre avenir

Diplômes du CAP au Bac+5

Des formations diplômantes et qualifiantes proposées en alternance

L’URCA UN ACTEUR

INCONTOURNABLE DE LA FORMATION ET DE L’EMPLOI EN CHAMPAGNE-ARDENNE

L'université de Reims ChampagneArdenne (URCA) est une institution phare dans le paysage de l'enseignement supérieur et de la formation professionnelle de la région Grand-Est. Forte d'une offre riche et variée de plus de 150 formations diplômantes, réparties sur plusieurs sites dans la Marne, les Ardennes, l’Aube et la Haute-Marne, l'URCA accueille, chaque année, près de 27 500 étudiants et emploie plus de 2 500 personnels. L’URCA répond aux besoins de formation à tous les niveaux, permettant aux étudiants d’accéder à des parcours allant du DAEU (équivalent du baccalauréat) jusqu'au doctorat.

Cette année encore, l'URCA et ses équipes seront présentes au Salon de l’Emploi et de la Formation, un événement majeur sur le territoire rémois. Les équipes des ressources humaines, ainsi que celle du service de la formation professionnelle et de l'apprentissage de l'université, seront à votre disposition pour vous informer sur les opportunités d'alternance, de formation continue, et les nombreuses offres d’emploi proposées à l’URCA.

L'IUT de Reims-Châlons-Charleville et l'UFR Sciences économiques sociales et de gestion seront également représentés, témoignant de la diversité des filières proposées au sein de l’université et de l'engagement de l'URCA dans l'accompagnement des jeunes vers une insertion professionnelle réussie.

Une université pluridisciplinaire

Par sa capacité d’adaptation aux évolutions du marché de l'emploi et son anticipation des besoins socio-économiques de demain, l’URCA est un acteur incontournable de l’enseignement supérieur sur le territoire.

L’université propose une offre de formation particulièrement attractive, qui couvre un large éventail de disciplines : de la santé au droit, en passant par les lettres, les sciences humaines, les sciences de l’ingénieur, ainsi que les sciences économiques et de gestion.

L'un des principaux employeurs de la région

En tant que 5e employeur du territoire champardennais, l'URCA joue un rôle déterminant dans l'économie régionale, en proposant une grande diversité de postes, que ce soit dans les domaines administratifs, technique ou académique.

Le recrutement au sein de l'université s'inscrit dans une démarche visant à attirer des talents diversifiés et qualifiés, dans le but de renforcer les compétences de ses équipes et d’améliorer constamment la qualité de l’enseignement, de la recherche et des services offerts aux usagers.

EN ALTERNANCE

French Tech : les nouveaux secteurs prometteurs en Grand Est

En phase avec le développement accru des technologies numériques, la French Tech a le vent en poupe depuis ces dernières années. Informatique, cybersécurité, innovation, développement des technologies de l’information et des intelligences artificielles : ces secteurs en constant développement offrent de nouvelles perspectives sur le marché de l’emploi, au niveau national, mais aussi au local.

Focus sur ces métiers porteurs émergeant dans l’éco-système du travail qui ouvrent de nouveaux débouchés pour la French Tech, notamment en région Grand Est…

Web & Innovation

Les métiers porteurs de la French Tech en 2024

Très porteurs depuis ces dernières années, les métiers de l’informatique tels que développeur web, programmateur de logiciels ou analyste réseaux, sont encore importants sur le marché de l’emploi en 2024. Au premier semestre de l’année, le baromètre Numeum comptabilisait une hausse de 4 % de croissance du nombre de nouveaux emplois liés à la French Tech.

La demande de talents du côté de la French Tech semble donc rester élevée, en particulier du côté des métiers liés à l’essor des technologies et l’explosion des data :

- Développeur web applicatif

- Chef de projet SAP / Salesforce

- Ingénieur cybersécurité, cloud, data ou machine learning

- Architecte cloud

- Data Analyst

- Administrateur Systèmes et Réseaux

- Analyste Cybersécurité

Selon le média IT for Business, d’autres secteurs liés à la transformation numérique et à la transition écologique tels que la GreenTech, la HealthTech et la SpaceTech continuent aussi de croître, avec une forte création d’emplois dans ces domaines innovants.

Depuis le début de l’année 2024, 5 000 créations d’emploi ont été recensées parmi les start-up de la French Tech. Garantes de l’innovation des logiciels, de la sécurité des données personnelles et du développement des applications numériques, ces professions ont encore un bel avenir devant elles.

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Débouchés

La recrudescence des formations en écoles d’ingénieur

Même si les métiers de la Tech sont en mouvement perpétuel, se lancer dans une carrière dans le numérique et l’innovation reste un choix professionnel stable. Ces métiers offrent en effet de bonnes conditions de travail et d’excellentes rémunérations, car ils requièrent des compétences assez pointues en informatique.

Très présentes au sein des universités et des écoles, les formations aux métiers de la Tech se développent et se spécialisent de plus en plus. Le territoire français compte environ 200 écoles d’ingénieurs accréditées. Et, depuis plusieurs années, la plupart de ces écoles proposent des parcours adaptés à ces nouvelles carrières dans l’IT et la Tech.

Pour répondre aux nouveaux enjeux du secteur à forte demande, certains parcours spécialisés ont d’ailleurs été créés récemment au sein des écoles d’ingénieurs en informatique :

- Les formations en cybersécurité : avec la montée des cyberattaques, plusieurs écoles proposent des spécialisations en architecture de sécurité et en protection des systèmes d’information.

- Les parcours liés à l’intelligence Artificielle et le Machine Learning : avec la recrudescence des outils d’intelligence artificielle, de nouvelles formations dédiées au développement d’algorithmes et à l’éthique de l’IA sont peu à peu intégrées aux parcours de formation en ingénierie informatique.

- La section Cloud Computing et DevOps : des cours sur la gestion d'infrastructures cloud et la mise en place d'environnements agiles pour créer de nouvelles applications et plateformes en réseaux se développent également dans les écoles.

Les opportunités à saisir sur le territoire du Grand Est

Le dynamisme de la Tech en France fleurit particulièrement à travers le récent développement de l’écosystème des start-up. Cette synergie fait suite au mouvement de la “Mission French Tech” lancé en 2013 par Fleur Pèlerin, Ministre déléguée auprès du ministre de l’Innovation et de l’Économie numérique. Selon Numeum Grand Est, plus de 3 000 demandeurs d'emploi sont à ce jour à la recherche d’un travail dans le secteur de l’informatique en région Grand Est, et un nombre d’offres équivalentes est à pourvoir.

La région Grand Est figure d’ailleurs parmi les grands territoires porteurs de la Tech en France. Fondée il y a un peu moins de 10 ans, l’association French Tech Est accompagne des start-up et projets innovants issus de la Tech au local, et compte aujourd’hui 250 membres actifs. La plateforme French Tech Est propose d’ailleurs un annuaire complet qui recense l’ensemble des start-up évoluant dans la Medtech, la Fintech, la Greentech ou encore l’Agritech localisées en Alsace, dans la Marne, en Moselle, dans l’Aube, les Vosges ou en Lorraine.

Côté formations, les nouvelles filières du numérique sont accessibles dans de nombreuses universités en région Grand Est. Au sein du pôle universitaire IMT Grand Est qui regroupe 6 écoles entre Strasbourg et Nancy, de nombreuses formations sont proposées, notamment au sein de l’école TÉLÉCOM Nancy. Des spécialités en Intelligence Artificielle et Masses de Données (IAMD), en Ingénierie du Logiciel (IL) et en Internet Systems and Security (ISS – Internet, Systèmes connectés et Sécurité) sont par exemple ouvertes aux ingénieurs en Bac +2. Aujourd’hui, la région Grand Est recense plus de 700 start-up dans le secteur de la Tech. Certaines entreprises issues de cette liste de start-up recrutent actuellement dans plusieurs départements de la région. C’est le cas des sociétés Amaya Ag, 45-8 Group, Datatomic ou encore thaink² ! Plus d’infos sur les start-up Tech de la région Grand Est sur

Nous cultivons tous les talents

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Ces métiers qui recrutent en 2024

# Aide à domicile

Un métier en quête de renforts

Entre la hausse des besoins et le manque de personnel qualifié, les opportunités de recrutement ne manquent pas au sein du secteur de l’aide à domicile. En 2023, on estimait à 25 000 le nombre de postes qui ne trouvaient pas de personnel dans le secteur…

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L'aide à domicile subit une pénurie de personnel à l’heure où la demande ne cesse de croître avec le vieillissement de la population. Pourtant, les opportunités de recrutement sont nombreuses : aide aux personnes âgées, accompagnement des personnes handicapées ou les soins à domicile. Selon la FEPEM (Fédération des Particuliers Employeurs de France), plus de 300 000 postes d'auxiliaires de vie seront à pourvoir d'ici 2030. Une situation qui est amenée à s’amplifier en vue du vieillissement de la population.

# Enseignant

Un métier en crise, une vocation à repenser

Le secteur de l’éducation fait face à une pénurie grandissante. Aujourd'hui, les défis sont nombreux.

Le quotidien des enseignants devient de plus en plus difficile : surcharge de travail, classes pleines, manque de reconnaissance, salaires jugés insuffisants découragent les vocations. Cela entraîne une pénurie de professeurs dans de nombreuses régions. La Cour des comptes a planté le décor : plus de 5 500 enseignants auraient manqué à l’appel entre 2017 et 2021. Et la situation s’est aggravée suite à la fin du concours déplacé à la fin du bac + 5 en 2022.

• Chargé(e) de clientèle en assurance et banque

• Chargé(e) de mission de gestion sociale et projet RSE

• Responsable du développement commercial en France et à l’international

▶ Spécialisation e-commerce

▶ Spécialisation œnotourisme

• Secrétaire assistant(e) médico-social(e)

• Secrétaire juridique

• Comptabilité et gestion

• Gestion de la PME

• Professions immobilières

• Assurance

• Gestion de la PME

• Communication

• Comptabilité et gestion

• Tourisme

• Négociation et digitalisation de la relation client

• Management commercial opérationnel

Si le secteur connaît une légère amélioration cette année comparé à la rentrée 2023, les concours de recrutement d’enseignants ont comptabilisé plus de 3 000 postes vacants pour la rentrée 2024. À l’heure où enseigner est une mission essentielle avec un besoin constant d'éducation, l’avenir du secteur soulève encore de nombreux défis !

# Pharmacien

Un métier essentiel touché par la pénurie

de compétences médicales

En France, le secteur pharmaceutique manque sérieusement de professionnels. Avec des besoins de santé qui augmentent, la baisse de recrutement inquiète.

• Accompagnement éducatif petite enfance

Ensemble, faisons évoluer votre avenir

Que vous soyez salarié, demandeur d’emploi, étudiant, commerçant, ou profession libérale...

Le GRETA CFA de la Marne vous accompagne dans votre projet de formation en commerce, industrie, bâtiment, secrétariat, comptabilité, notariat, banques, coiffure, langues, restauration, aide à la personne, transport, maintenance des véhicules, bilans de compétences...

Le secteur pharmaceutique fait face à un sérieux manque de personnel, notamment en zones rurales. Les pharmaciens, essentiels à la santé publique, voient leurs conditions se dégrader malgré une demande toujours forte et les déserts médicaux accentuent la pénurie. En 2023, une enquête de France Travail (anciennement Pôle emploi) plaçait les pharmaciens au 2 ? rang des professions qui ont le plus de mal à recruter, avec environ 80 % des officines qui reconnaissent des difficultés de recrutement. Si la tendance se poursuit, la part des 25-30 ans ne parviendra pas à compenser les futurs départs à la retraite.

# Carrossier automobile

Un métier manuel en pénurie

Le secteur de la carrosserie automobile fait face à une pénurie croissante de main-d'œuvre qualifiée, notamment due à un manque de jeunes formés et au vieillissement de la population active.

En 2023, on comptait près de 17 800 ateliers de carrosserie en France. Avec les départs à la retraite et l'évolution technologique rapide du secteur, une forte demande de professionnels qualifiés s’est rapidement installée. Le taux de recrutement non abouti est élevé, avec 23 170 salariés qualifiés, tandis qu’un besoin encore plus important de main-d'œuvre est attendu dans les ateliers.

Les formations en alternance peinent à compenser les nombreux départs, bien que 14 800 jeunes soient actuellement en formation, un chiffre en hausse de 69 % depuis 2015.

Offres en hausse, talents en baisse

À l’heure où le marché de l’emploi connaît une reprise économique après la crise sanitaire, les entreprises françaises se heurtent à un problème majeur : recruter les talents nécessaires. Cette tension croissante entre l’offre et la demande de main-d’œuvre s’observe dans de nombreux secteurs, ce qui amplifie les difficultés de recrutement.

Ces secteurs qui peinent à recruter

Si plus de 2 millions de projets d’embauche ont été prévus en 2024 selon les chiffres de France Travail, des difficultés de recrutement ont été reconnues dans les secteurs de la construction, du commerce et du transport. Les entreprises spécialisées dans la construction, la métallurgie ou la maintenance peinent à trouver du personnel qualifié, notamment dans les métiers manuels et techniques.

Le secteur tertiaire, en plein essor, fait également face à des tensions, en particulier dans les services à la personne, le transport et la logistique, où la demande dépasse de loin l’offre. Côté santé, le désert médical s’aggrave aussi avec un sérieux manque de personnel en zones rurales.

Des tensions de recrutement qui varient selon les secteurs d’activité

Certains secteurs connaissent des difficultés de recrutement dues à un besoin accru de compétences spécifiques ou à des pénuries de talents dans certaines zones géographiques. Les entreprises industrielles et du bâtiment souffrent d’un manque de main-d’œuvre qualifiée, tandis que les secteurs tertiaire et médical sont confrontés à des besoins plus diversifiés : surcharge de travail, manque de personnel dans certaines localités ou dégradation des conditions de travail.

Un constat majeur : la pénurie de talents

Le marché du travail souffre d’un manque de qualifications dans de nombreux métiers. La digitalisation rapide des entreprises, la transition écologique et les évolutions technologiques créent une demande pour des compétences spécialisées, mais les formations ne suivent pas toujours ce rythme. Résultat : les entreprises peinent à recruter, malgré des offres d’emploi en constante augmentation.

Selon INDEED, en 2021, plus de 70 % des professions en France ont rencontré des difficultés de recrutement, marquées par une augmentation des offres d’emploi et un manque de candidats qualifiés pour répondre aux offres. Les données récentes de France Travail indiquent notamment qu’environ 70 % des offres d’emploi concernent les PME et TPE, où le besoin de main-d’œuvre qualifiée est indispensable.

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Charleville-Mézières

Serrurier : un métier bien loin

d’être verrouillé

Ces dernières années, le service statistique du ministère du Travail de la Dares a recensé le métier de serrurier parmi les trente secteurs professionnels français sous tension. De nombreuses entreprises dans le secteur des métiers du bâtiment peinent à trouver des candidats pour pourvoir les postes vacants. Les métiers manuels, dont celui de serrurier, ne sont pas épargnés.

Une profession d’ouvrage industriel qualifiée et polyvalente

Aujourd’hui, le serrurier-métallier ne façonne pas uniquement les clés, les serrures ou les gonds. Très polyvalente, la profession relève désormais aussi bien du domaine industriel qu’artistique. Le serrurier articule ses missions autour du travail des métaux : la construction et la menuiserie métallique, la serrurerie, les connaissances du bâtiment, la ferronnerie, mais aussi le traitement des surfaces. La profession offre donc des perspectives de carrière enrichissantes aujourd’hui particulièrement recherchées.

Une demande en forte hausse avec la diversification des infrastructures

La diversification des compétences requises, couplée à l’essor de l’artisanat du bâtiment et des travaux sur mesure, a accru la demande pour recruter des professionnels qualifiés. Le développement des infrastructures urbaines et des projets immobiliers renforce également ce besoin de nouveaux talents. Ces derniers doivent se former pour adapter leurs compétences aux demandes du marché de plus en plus compétitif.

Le domaine peine à dénicher de nouvelles recrues

En forte tension malgré la polyvalence du métier, le secteur peine aujourd’hui à renouveler ses professionnels, notamment à cause des départs à la retraite et du manque de nouvelles recrues. Les conditions

de travail contraignantes de la serrurerie (travail en extérieur, horaires irréguliers) pourraient en partie expliquer le manque d’engouement pour le métier.

Se former au métier de serrurier

Les différentes passerelles

Devenir serrurier du jour au lendemain, ça ne s’improvise pas. Plusieurs diplômes et voies de formations sont accessibles :

- CAP serrurier-métallier,

- BEP réalisation d’ouvrages chaudronnés et de structures métalliques,

- Bac pro Ouvrage du bâtiment et métallerie,

- BEP techniques des métaux, aluminium, verre et matériaux de synthèse,

- Bac STI génie mécanique,

- BTS Constructions métalliques ou Réalisation d’ouvrages chaudronnés.

Accéder au métier de serrurier indépendant sans diplôme, c’est aussi possible, à condition de justifier d’une expérience professionnelle d’au moins 3 ans.

Des formations dans l’Aisne et la Marne

Une dizaine de formations au métier de serrurier sont accessibles dans l’Aisne et la Marne :

Les Compagnons du Devoir - Muizon-Reims / Le BTP CFA de l’Aisne / Lycée professionnel Armand Malaise / Les Lycées Professionnels et établissements régionaux d'enseignement adapté.