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CHAMPAGNE TRÈS FORTE PROGRESSION DES VINS EFFERVESCENTS
Supplément gratuit au journal l’Union-l’Ardennais no 23189 du 9 janvier 2018
Editeur de la publication : journal l’Union
Directeur de la publication : Daniel Picault
Rédacteur en chef : Sébastien Lacroix
Rédaction : Julien Bouillé, Gilles Grandpierre, Claire Hohweyer, Jacques Tacquet, Jean-Michel François
Crédits photo : Christian Lantenois, Rémi Wafflart, Bernard Sivade, Michel Jolyot, Armand de Brignac, Adobestock
Réalisation maquette et infographies : Prémédias du journal l’Union (www.premedias-lunion.fr)
Publicité : Cap Régies 4/6 rue Gutenberg, 51100 Reims. CPPAP no 0415 C 86339
4/17 18/20 22/27
DOSSIER ILS ONT OSÉ
IMMO ACHETER NEUF OU DANS L’ANCIEN ? 28/30 4/17
Impression : Roularta, 33, Meiboomlaan, 8800 Roeselare, Belgique ISSN : 2491-4398
MOBILITÉS L’ATTRACTIVITÉ PARISIENNE S’ACCENTUE
COOPÉRATIVES DANS L’UNIVERS DES COOPÉRATIVES AGRICOLES
STYLE LA CRAVATE : AVEC OU SANS ?
AGRI-VITI MUTATIONS VITESSE GRAND V
Après avoir été encadreur et photographe Régis Veerecke a ouvert son école de yoga à Reims.
DES FEMMES ET DES HOMMES RACONTENT COMMENT ET POURQUOI ILS ONT CRÉÉ UNE START-UP, CHANGÉ RADICALEMENT DE MÉTIER OU TENTÉ DE SAUVER UNE ENTREPRISE EN DIFFICULTÉ. ILS NOUS APPRENNENT AUSSI QUE POUR RÉUSSIR IL FAUT SAVOIR SAISIR LES OPPORTUNITÉS TOUT EN GARDANT LA TÊTE FROIDE.
DOSSIER JULIEN BOUILLÉ
Nous vous proposons de découvrir des femmes et des hommes qui ont osé. Le dictionnaire précise qu’oser c’est entreprendre avec assurance une chose difficile, périlleuse. On ne s’étonnera donc pas de retrouver parmi ceux qui osent des créateurs d’entreprise. « On ose à partir du moment où l’on a découvert sa motivation intérieure. Moi, c’est d’être mon propre patron et de voir un projet se développer au quotidien », explique Paul-Antoine
Sowa qui, au sortir de ses études, a emprunté 1,5 million d’euros pour construire une salle de réception dans les Ardennes, Certains sont-ils nés pour oser ? Le philosophe Didier Martz indique qu’entreprendre n’est pas lié à des “préfigurations neuronales” mais que c’est plutôt le fruit d’une éducation, d’une culture. C’est aussi une disposition à saisir sa chance. « J’ai toujours été comme ça. J’ai saisi toutes les opportunités de ma vie », témoigne Adnan El Bakri, qui a osé quitter son Liban natal,
pour étudier la médecine en France, sans argent et sans parler la langue. Pour oser il faut être déterminé. « Je suis têtu comme un Ardennais et quand je m’engage dans quelque chose j’y vais à fond », explique Guy Tutiaux qui a repris et redressé la Fonderie Collignon, à Deville, qui sans lui aurait fermé ses portes.
Oser c’est aussi changer de voie, comme Frédérique Watremet qui est passée de cadre commerciale à pâtissière, ou Régis Vereecke, d’encadreur à prof de yoga. Le grand changement induit inévitablement une mise en danger. « J’ai quitté le confort et la sécurité. Ce n’est pas évident lorsque l’on a trois enfants et une maison à payer » reconnaît Maxime Mularz, qui a quitté son job de prof de maths pour créer sa start-up. Faut-il être téméraire ? Tous les témoins de ce dossier ont bien mesuré leurs risques avant de se lancer et n’ont pas confié leur destin au hasard. Comme le conclut le repreneur d’entreprises, Hervé Coutelas, « oser, ce n’est pas la loterie ».
RÉGIS
“IL
Pendant la première partie de sa vie, Régis Vereecke, 56 ans, a été encadreur, puis photographe. En même temps, il a commencé la méditation zen qui l’a amené au yoga. Ses métiers et ses pratiques personnelles ont longtemps été parallèles. Puis, de stages en apprentissages et en formations diplômantes, le yoga est devenu progressivement le centre de sa vie. Entre son admission, comme simple élève, à l’école française de yoga de Paris, et l’ouverture de son école à Reims, en 2012, il s’est passé huit ans. Ce changement de vie est un acte personnel et délibéré mais c’est aussi le “fruit d’échanges et de partages”. « On ne décide pas tout seul, ce sont les événements et les faits qui font que », témoigne-t-il. Les gens aussi que l’on rencontre, qui vous tiennent de leur main invisible. C’est ce professeur à Paris, qui vous propose d’être son assistant, puis de prendre en charge une promotion entière d’élèves. C’est cette amie artiste qui, alors que se déroulent à Reims les assises nationales de la fédération de
yoga, vous invite à sous-louer son atelier pour ouvrir votre école. Si le chemin a duré des années, le jour où la porte s’ouvre, l’opportunité se présente, on n’a finalement que quelques secondes pour se décider. « Il y a un moment de silence, il y a une bascule, il faut alors se faire confiance et y aller », se remémore Régis. Faire de sa passion son métier ne veut pas dire que l’on devient dilettante. « J’ai fait un business plan sur un bout de papier et j’ai vu: ça, ça rentre ; ça, ça sort ; ça, ça ne rentre plus ». En quittant la vie confortable de salarié pour créer une entreprise pas promise à des chiffres d’affaires mirobolants Régis a conscience de s’être engagé dans une décroissance économique. « Mais, je l’ai fait sainement, je l’ai choisi. Et au contraire je me suis engagé vers une croissance intérieure et spirituelle ». Il n’est pas le seul le croire. Ce n’est pas un hasard si de belles et prospères entreprises font appel à Régis pour mettre un grain de philosophie indienne dans l’emploi du temps bien chargé de leurs collaborateurs.
‘‘JE NE TRAVAILLE QUE SUR DES RISQUES CALCULÉS’’
Hervé Huet, agriculteur à Pogny, entre Châlons et Vitry, avait attiré les médias nationaux en 2002 lorsqu’il avait érigé dans ses champs la plus grande éolienne de France. Quinze ans après, il vient de déposer cette “vieille” machine d’une puissance de 1,5 mégawatt pour la remplacer par une éolienne de 3,4 mégawatts, qu’il présente cette fois encore comme la plus haute de France avec un mât de 117 mètres, « équivalent à la hauteur du deuxième étage de la tour Eiffel », précise-t-il. Hervé Huet est surtout à la tête du plus gros parc éolien détenu par un particulier en France avec 15 mégawatts installés ce qui correspond aux besoins en électricité de 33 000 personnes. Quelle est la logique qui fait passer de la culture de la betterave à la production électrique ? « Je travaille avec la terre, l’eau et le vent qui font partie intégrante de la nature », répond l’intéressé. À plus d’un million d’euros le mégawatt installé, il faut quand même oser s’engager financièrement. En fait, un projet éolien est très cadré, car on
peut poser sur la table de ses financeurs les moyennes annuelles de vent et surtout le prix d’achat fixe d’EDF assuré par des contrat pluriannuels. « Je ne travaille que sur des risques calculés », indique l’agriculteur bon teint. Il dit avoir pris le plus de risques lors de l’acquisition d’une petite centrale hydroélectrique dans l’Aube, en 1992, à une époque où l’on n’entendait guère parler d’énergies renouvelables. Oser pour oser ne sert à rien, il faut surtout une bonne idée et sentir le sens du vent.
L’agriculteur Hervé Huet et son fils Grégory inspectent les pâles géantes de leur dernière machine. Elles font 61 mètres de long.
DOSSIER
La première fois, c’est quand j’ai choisi de partir dans un pays que je connaissais pas, avec une langue que je connaissais pas et sans argent
Adnan El BakriAdnan El Bakri, 31 ans, est chirurgien urologue récemment diplômé du CHU de Reims. Il est président et fondateur d’une prometteuse start-up InnovSanté. Fils d’un modeste commerçant d’un petit village du nord du Liban, près de la frontière syrienne, il a été naturalisé français “au mérite”, sur proposition ministérielle, après 12 ans d’études en France et des recherches remarquées dans les nouvelles technologies appliquées à la santé, au sein d’un laboratoire du CNRS. Ce destin n’était pas tout tracé. Adnan a dû le creuser, à force de travail et de détermination. Et à force d’oser aussi « la première fois, c’est quand j’ai choisi de partir dans un pays que je connaissais pas, avec une langue que je connaissais pas et sans argent ». À la fin du mois d’août 2004, le bachelier libanais apprend qu’il est admis en première année à la faculté de médecine de Marseille, pourvu qu’il concrétise sur place son inscription dix jours plus tard. « J’ai pris l’argent de ma tirelire pour payer le billet et je me suis dit, allez maintenant je fonce. Mes parents étaient tristes, on a pleuré mais il fallait que je parte. Je ne pouvais pas refuser une telle opportunité. J’ai toujours été comme ça. J’ai saisi toutes les opportunités de ma vie ». Sans argent et seul, il est hébergé dans les locaux de la faculté, en attendant son titre de son séjour. « Je n’avais que ma valise
et mon ambition : revenir au Liban un jour pour changer les choses ». Cette ambition était née à la suite d’un accident de la route, au Liban, alors qu’Adnan était enfant. Faute d’argent, sa maman, blessée, n’avait pu être prise en charge par les urgences d’un hôpital.
Pourtant, ce n’est pas au système de santé libanais que le jeune homme va s’attaquer mais au Français. « En France, le système est excellent en termes de soins mais très en retard en termes de médecine, prédictive, préventive, personnalisée et de précision ». Le chirurgien pense qu’avec un “big data” où seraient compilées et traitées librement des millions de données relatives aux patients, on pourrait mieux prévenir les pathologies et surtout mieux soigner. C’est le point de départ du passeport santé d’InnovHealth. Lancer cette start-up fut un autre parcours d’obstacles.
« Dans le système hospitalier français, on n’est pas du tout aidé quand on veut innover, quand on a de l’ambition, on est plutôt exploités. En tant qu’interne, on m’a répété : dans ta situation, mieux vaut raser les murs. Il a fallu oser aussi car je me suis mis à dos beaucoup de personnes ».
Adnan est un peu amer mais n’a pas de regret, lui qui vit intensément au présent « je suis comme ça. Je ne pense pas au lendemain. Je fonce ».
Renseignements : 03 26 51 87 50
leur projet et les tableaux relatifs au financement. Le deuxième inclut une recherche des aides susceptibles d’être accordées, et les documents nécessaires à leur demande. Le troisième va jusqu’à l’accompagnement chez le banquier».
Mais un business plan convaincant ne constitue pas une garantie de réussite une fois l’installation réalisée. L’apprentissage d’un chef d’entreprise s’effectue dans la durée, au fil des événements et des imprévus. « Notre offre Initial Conseil répond à cette problématique.
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Première Association de Gestion et de Comptabilité de France, avec plus de 12 000 adhérents et 700 collaborateurs, CDER accompagne les créateurs d’entreprise dès leurs premières démarches.
Les prestations comptables, juridiques ou stratégiques classiques sont renforcées par des services offerts, notamment un accompagnement durant les deux
D’autres abonnements spécialement conçus pour le démarrage d’activité sont également à la disposition des créateurs : « dès le premier niveau, nous mettons en place un suivi régulier pendant la première année, souvent déterminante, un entretien détaillé dans l’année, et la production de tableaux de bord mensuels, qui mettent en exergue les atouts et les points à corriger, à partir d’une analyse des éléments comptables. C’est un précieux outil d’aide à la décision, qui permet aussi de prévenir les difficultés, en rectifiant ce qui doit l’être avant qu’il ne soit trop tard ».
Les autres abonnements conseil prévoient aussi des interventions sur le terrain, dans l’entreprise de l’adhérent. « Elles permettent de mieux cerner la manière de faire, par exemple la relation avec les clients, et l’organisation mise en place, très importante dans le cadre d’une création »
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MARIE-AUDE BUR L’INDUSTRIELLE, MICKAËL JACQUEMIN L’AGRICULTEUR CONVERTI AU NUMÉRIQUE, ENTREPRENNENT SANS COMPLEXES.
MICKAËL
JACQUEMIN
“RÉSOUDRE
L’agriculteur marnais s’est lancé dans le numérique. Et ça marche.
MARIE-AUDE BUR
Être agriculteur et se lancer dans le numérique ? Il fallait oser et Mickaël Jacquemin l’a fait. Exploitant dans le sud de la Marne, à Lignon, ce quarantenaire prouve que les jeunes branchés urbains n’ont pas le monopole en matière de création d’entreprises innovantes. Ses idées d’applications digitales, il ne les trouve pas dans des études de marché sophistiquées, elles lui tombent dessus alors qu’il est au volant de son tracteur. Sa première entreprise est née de la difficulté à faire marcher le système de guidage par GPS de sa machine, qui manquait de précision et de fiabilité. Qu’à cela ne tienne, il créé en 2014, Autoguidage.fr un service qui améliore le positionnement du tracteur et donc sa trajectoire. La solution est aujourd’hui déployée dans toute la France et même jusque dans les champs de canne à sucre de la Martinique. Il l’a développée avec son ami Vincent Barbier, spécialiste des télécoms. Tenter sa chance à deux, dans un univers où évoluent des
« Les agriculteurs sont des bricoleurs. Ils ont toujours essayé d’améliorer leur matériel dans leur atelier. Moi je le fais plutôt avec un clavier. Mais je fais les choses en tant qu’utilisateur, et je sais exactement ce dont j’ai besoin. Et si je résous un problème pour moi je pense que cela peut servir à d’autres »
grands groupes internationaux, il fallait oser. « Ils ont peut-être des ingénieurs qui font beaucoup d’études mais ils ne font pas assez de terrain », explique le pragmatique agriculteur marnais. Ce dernier a eu l’idée de sa deuxième entreprise en constatant que les agriculteurs perdaient beaucoup de temps lorsqu’il devait se rendre en tracteur vers leurs parcelles éloignées. Le porteur de solution a créé www.echangeparcelle. fr qui permet aux exploitants de se prêter mutuellement du foncier, pour gagner du temps et de l’argent. Est venu ensuite www.echangepatate.fr, qui aide à la rotation de cultures. Et la saga n’est manifestement pas finie pour Mickaël Jacquemin convaincu qu’il y a derrière chaque problème rencontré par les agriculteurs, une solution nouvelle à apporter.
“J’AI OSÉ QUAND J’AI CRÉÉ MON ENTREPRISE”
Marie-Aude Bur a démissionné de son travail de directrice commerciale pour créer, en 2003, la société Transmatik spécialisée dans la conception et la fabrication de vérins. Marie-Aude Bur s’est lancée dans l’aventure dans un petit local de l’agglomération de Reims avec peu de moyens mais une grosse volonté. « J’avais peur de me planter mais je savais que je ne me planterais pas car j’ai tout fait pour réussir. Je suis une femme fière, je n’aime pas les échecs ».
L’entreprise trouve rapidement sa clientèle et décolle avant de prendre de plein fouet la crise de 2008. La patronne bataille, restructure ses dettes, place ses salariés dans la formation pour ne pas les licencier. La manœuvre réussit, le bateau traverse la tempête et reprend même de la vitesse.
Tant et si bien qu’un groupe italien se met en tête de faire entrer la pépite rémoise dans son giron. S’agit-il d’une menace ou d’une opportunité ? Après des mois de réflexion, Marie-Aude Bur opte pour la deuxième option, avec quelques réticences admet-elle. « J’avais peur de me faire avoir. Je me suis demandée à quelle sauce j’allais me faire manger car ils faisaient 170 millions de chiffre d’affaires, moi un million ». Finalement, le fait d’avoir “osé” ouvrir le capital de son entreprise à plus gros qu’elle, semble avoir réussi à l’entrepreneuse. « Je suis plus sereine, plus créative, j’ai moins la frousse de me planter ». Et, dotée d’une nouvelle usine à Sillery, l’entreprise qui s’appelle désormais Airwork Industrie France est partie pour un nouveau cycle de croissance.
« J’avais peur de me planter mais je savais que je ne me planterais pas car j’ai tout fait pour réussir ».
PUBLI-INFO
CCI MARNE EN CHAMPAGNE
Née il y a un an, la Chambre de Commerce et d’Industrie départementale vient de se doter d’un plan d’actions détaillé, pour participer le plus efficacement possible à l’essor économique du territoire d’ici 2021.
vinicole, la bio économie fait en effet partie des secteurs à très fort potentiel, dont nous soutenons le rmées dans le document, on citera aussi un soutien renforcé aux rencontres et mises en réseaux des acteurs économiques, à travers la dynamique « Connecting Entrepreneurs » ou des événements porteurs et fédérateurs (VITeff, Foire de Châlons...), le déploiement d’un réseau d’incubateurs de start-up et de pépinières d’entreprises sur tout le territoire, ou la mise en place d’actions de formation pour accompagner le développement des entreprises, en complément des écoles consulaires existantes
les 46 hectares de Reims Bioeconomy Park, dédié à l’innovation et aux agro-ressources, à proximité immédiate du complexe de Pomacle-Bazancourt. Comme la logistique, le tourisme, et la filière viti-
Autant d’actions menées en partenariat étroit avec les collectivités, les autres chambres consulaires, les associations et bien entendu les entreprises : « en nous appuyant sur les possibilités du digital, nous avons adopté une nouvelle gouvernance, plus ouverte et réactive, pour créer un véritable parlement d’entreprises, porte-parole du monde économique auprès des pouvoirs publics ».
CCI MARNE EN CHAMPAGNE
2 rue de Chastillon - CS 90533
51010 CHÂLONS-EN-CHAMPAGNE cedex
Tel 03 26 50 62 50 www.marne.cci.fr
12, rue du Pont, 51300 Saint-Lumier-en-Champagne
Tél. : 03.26.73.94.16 - Fax : 03.26.73.30.30 sarl.bocart@wanadoo.fr
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ALEXANDRE MACHET
“C’EST
Alexandre Machet a osé ouvrir un hypermarché dans l’agglomération rémoise pourtant réputée saturée en grandes surfaces.
Dans une agglomération rémoise déjà réputée pour être saturée en grandes surfaces commerciales, créer un nouvel hypermarché était un pari osé. Alexandre Machet, 43 ans, l’a relevé. Pour construire un hyper U dans la zone de la Croix-Blandin, il a engagé un budget rondelet de 25 millions d’euros. Pourtant pas moins de six banques étaient prêtes à le suivre. Alexandre Machet s’est offert le luxe d’en choisir trois... Il faut dire que le commerçant avait avec lui la réussite de ses deux anciens supermarchés de Sainte-Ménehould et Montmédy (Meuse) dont la revente lui a permis de dégager 6 millions d’euros en apport personnel. Et ce Mosellan d’origine avait sous le bras cinq études de marché le confortant dans son idée. « Mais tout ne peut être calculé. A un moment donné il faut se lancer. Si vous attendez que quelqu’un vous signe un papier en s’engageant sur votre chiffre d’affaires futur, vous ne réaliserez jamais votre projet. C’est la différence entre l’entrepreneur et le financier », explique Alexandre Machet. Reste qu’il ne faut pas hésiter, le jour J, lorsqu’il s’agit d’appuyer, ou non, sur le bouton. « C’est la passion qui fait sauter le pas », explique-t-il.
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Sa passion, c’est de travailler avec des pâtissiers, des poissonniers ou des traiteurs utilisant des produits locaux et de qualité réunis dans un hypermarché de 6 500 mètres carrés “à taille humaine”. La bonne chair et les bons artisans, c’est beau en façade, mais l’appât du gain n’est-elle la motivation finale ? « J’avais deux magasins quasiment payés avec de bons résultats, sur le plan financier. À la limite, il fallait que je reste là où j’étais car ils se passera encore du temps avant que j’atteigne le cumul des deux résultats », assure le commerçant.
Hier prof de maths, il a osé créé une start-up. Aujourd’hui, Hostabee et son concept de ruche connectée séduisent l’Amérique.
“J’AI QUITTÉ LE CONFORT ET LA SÉCURITÉ”
Maxime Mularz était prof de maths au lycée agricole d’Aumont, à Coucy-la-ville dans l’Aisne. Il avait devant lui une vie toute tracée dans la fonction publique. Jusqu’au jour où l’apiculteur du lycée lui demande si, grâce à ses compétences en informatique, il ne pourrait pas l’aider à résoudre des problèmes de pertes de colonies et même de vols d’essaims. Naît quelques mois plus tard la start-up Hostabee dont les modules connectés permettent aux apiculteurs amateurs et professionnels de suivre à distance l’activité de leurs abeilles, sans avoir à faire des allers-retours inutiles vers les ruches. Au début, le fonctionnaire s’occupe d’Hostabee en parallèle de ses cours et sans rémunération, confiant le développement du projet à des collaborateurs.
Puis, de mois en mois la jeune entreprise couvée à Saint-Quentin marque des points et se développe. Elle se fait remarquer au Consumer Electronic Show de Las Vegas, la plus grande vitrine mondiale de l’économie numérique. La double vie devient rapidement intenable pour Maxime Mularz. « J’ai attendu deux ans et demi avant de démissionner. Il fallait que je choisisse. Je ne pouvais plus ni être un bon prof, ni être un bon chef d’entreprise. J’ai quitté le confort et la sécurité. Ce n’est pas évident lorsque l’on a trois enfants et une maison à payer. Mais on ne peut pas tout avoir », déclare-t-il.
Ce n’est pas tout à fait un grand saut dans l’inconnu, puisque Maxime Mularz a quitté l’Education nationale lorsqu’il a été sûr de la pertinence du concept et du business plan d’Hostabee. Grâce à l’usage des réseaux LoRa et Sigfox, qui nécessitent des équipements de télécommunication très légers, peu coûteux et peu gourmands en énergie, Hostabee a commencé à séduire l’Amérique, où ces technologies révolutionnaires sont finalement peu répandues. Du coup la start-up saint-quentinoise a même équipé le siège de Google à Mountain View. Et elle est en train d’adapter ses boîtiers pour se développer commercialement en Amérique. Un test a lieu en ce moment dans une grosse exploitations qui compte quelque 5 000 ruches.
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Tout juste diplômé, Paul-Antoine Sowa a emprunté 1,5 million pour construire une salle de réception dans les Ardennes à Tagnon.
À 23 ans et fraîchement diplômé, Paul Antoine Sowa est allé frapper à la porte de sa banque pour lui demander d’emprunter... 1,5 million d’euros. C’est l’investissement qu’a représenté la construction de la nouvelle salle de réception La Doyenne, à Tagnon, entre Reims et Rethel. Le banquier n’a pas regretté d’avoir pris ce risque car l’espace dédié aux mariages et fêtes familiales a affiché complet tous les week-end de la haute saison dès son ouverture en avril 2016. « Et nous sommes quasiment complet jusqu’à 2019 », indique le jeune homme.
Comment s’est-il attaqué à un projet aussi risqué ? « On ose à partir du moment où l’on
a découvert sa motivation intérieure. Moi, c’est d’être mon propre patron et de voir un projet se développer au quotidien. Ce n’est pas l’argent, sinon en tant qu’ingénieur je serais allé travailler dans une entreprise de conseil où j’aurais passé mes journées à mettre des croix dans des tableaux Excel ». Oser ne suffit pas pour réussir. Il faut bien travailler son sujet, faire des études de marché et surtout « savoir saisir les opportunités autour de soi ». Pour Paul Antoine, c’était que son père, traiteur de métier, avait observé le manque de salles de réception dans la région. Du coup, La Doyenne Traiteur est devenu le partenaire décisif de La Doyenne Réception, l’un contribuant aux affaires de l’autre.
Eric Pace a souvent osé dans sa vie. Comme lorsqu’il a proposé dans les années 90 un tracé alternatif au futur TGV Est en “déblai”, et donc partiellement enterré, qui fut finalement retenu par l’Etat préservant ainsi en partie les reliefs de l’Aisne. Avant de s’installer à Château-Thierry, Eric Pace a dessiné un trimaran asymétrique bi-directionnel, participé au développement du premier logiciel de conception assistée par ordinateur dédié aux architectes ou imaginé de nouveaux ponts habités. C’est dans le bois qu’Eric Pace ose aujourd’hui. Depuis trois ans, il travaille avec des forestiers, des industriels, des ingénieurs, des spécialistes de l’énergie. Ce commando de la construction innovante veut lancer un startup capable de produire industriellement des maisons modulaires, autonomes en énergie et faites avec des bois locaux, notamment
picards, alors que la construction est dominée par des bois d’importation. Mais qu’est-ce qui pousse cet hyperactif à oser ? « Avec le principe de précaution, on ne fait plus rien, on a peur de tout, or je pense que notre vocation est, grâce à l’éducation que nous avons reçue, d’ouvrir de nouvelles voies. Soit ça ne marche pas et on se casse la figure. Soit ça marche, et on crée de nouveaux marchés, des richesses, et on va plus loin encore ».
Le nouveau défi de l’architecte Eric Pace (Château-Thierry) : la construction de maisons modulaires en bois régional.
Ya-t-il des gens faits pour oser et d’autres pas ?
Didier Martz : Je ne pense pas qu’il y ait des gens qui soient prédisposés à entreprendre, à prendre des risques. Il y a plutôt des raisons culturelles et psychologiques qui tiennent à des formes d’éducation, au milieu social auquel on appartient quel qu’il soit. Après, à ces dispositions, s’ajoute cette capacité particulière et un peu mystérieuse qui consiste à savoir saisir l’occasion, l’opportunité, ce “bon vent qui pousse vers le port”. C’est aussi une affaire de contexte, de concours de circonstances.
Si l’on veut, on peut ?
Vouloir, ce n’est pas pouvoir. Et pouvoir ce n’est pas encore agir. “Je peux le dire” certes, mais je ne l’ai pas encore dit ! Des éléments imprévus se glissent toujours entre mon intention et l’action. De plus, vouloir quelque chose, avoir un projet, c’est paradoxalement dresser des obstacles devant soi. Si je suis dans une vallée, la montagne - à part l’ombre qu’elle projette - n’est pas un obstacle. Elle le devient à partir du moment où j’ai le projet de la franchir.
Au fond celui qui ose, qui est dans l’action, n’a-t-il pas systématiquement raison face à celui n’ose pas, qui reste dans le néant ?
Ce sont les conséquences de l’action qui en jugeront. Oser peut être aventureux. Entre l’ambition et la prétention, il y a un écart. L’action rabaisse le caquet du prétentieux : “tu as été un peu trop loin” et fait regretter le manque d’ambition : “tu aurais pu mieux faire”.
La peur empêche-t-elle d’oser ?
La peur est liée au risque car risquer c’est avancer en terrain inconnu. Lorsque j’ai un projet déjà bien ficelé, je ne prends pas de risques. Mais d’autres projets sont plein d’incertitudes. Pour un entrepreneur par
exemple, c’est le marché, la concurrence. Trop d’incertitude fait reculer. C’est qu’il va falloir, là, assumer sa liberté dirait Sartre. Et c’est angoissant. La peur est ciblée, je sais de quoi j’ai peur comme par exemple des araignées. L’angoisse est plus diffuse, on ne sait pas bien comment on va se comporter dans cette aventure. Entrer dans l’action, c’est introduire du changement dans la réalité, la mienne, celle des autres et le petit monde dans lequel j’agis. C’est commencer quelque chose d’inédit. Je ne suis pas Dieu, donc je ne peux jamais mesurer toutes les conséquences de mon acte. À ce compte, tout pousse à ne rien faire et il existe suffisamment de prétextes pour cela !
« Je ne pense pas qu’il y ait des gens qui soient prédisposés à entreprendre, à prendre des risques. Il y a plutôt des raisons culturelles et psychologiques qui tiennent à des formes d’éducation, au milieu social auquel on appartient »
Le philosophe rémois Didier Martz parle de ceux qui osent, prennent des risques, passent à l’action, s’exposent à l’inconnu.
DOSSIER
Depuis les temps immémoriaux, on travaille le métal dans la vallée de la Meuse où les entreprises et les hommes sont reconnus pour leur savoir-faire. Mais il y a aussi les réalités dans une économie hyper-concurrentielle et mondialisée. C’est pourquoi les Fonderies Collignon, fondées en 1898 à Deville, auraient dû fermer les fours si Guy Tutiaux, et son associé Jean-Pierre Mallet, ne s’étaient pas risqués à une opération de la dernière chance. Ils ont repris, en septembre 2016, le flambeau de cette entreprise mise en liquidation judiciaire deux mois plus tôt, après une longue hémorragie, qu’un plan de sauvegarde et deux périodes de redressement judiciaire, n’étaient pas parvenues à contenir. Alors que d’autres repreneurs potentiels avaient étudié le dossier, ils étaient finalement les seuls à avoir déposé une offre au tribunal de commerce de Sedan.
Petit miracle, un peu plus d’un après la reprise, la société est rentable et retrouve le chemin de la croissance. Elle a atteint en 13 mois, 6 millions d’euros de chiffre d’affaires, quand Guy Tutiaux tablait sur 4,5 millions en 12 mois.
Ce redressement spectaculaire s’est fait au prix de la fermeture d’un site, du recentrement de l’activité autour de la fonte d’acier et du licenciement de la moitié du personnel, réduit aujourd’hui à 49.
« Je me suis dit quand même est-ce qu’on a le droit en deux minutes au tribunal de commerce de prendre une éponge et d’effacer Collignon ? »
Guy Tutiaux dans l’entreprise qu’il a sauvé de la liquidation.
Mais qu’est-ce qui a poussé, cet homme de 59 ans, celui qui avait déjà une petite entreprise à Bognysur-Meuse, à engager sa responsabilité et ses économies personnelles dans un projet de redressement où d’autres s’étaient cassé les dents ? « Depuis ma naissance, Collignon fait partie de la vie économique locale. Toute ma jeunesse, j’ai côtoyé des gens qui travaillaient chez Collignon, et certains, qui ont le même âge que moi, y travaillent encore. Je me suis dit, quand même, est-ce qu’on a le droit en deux minutes au tribunal de commerce de prendre une éponge et d’effacer Collignon ? », explique l’intéressé. En plus de cette indignation, il y avait un besoin affectif, voire viscéral, de se lancer avec détermination dans ce projet. « J’ai un défaut : je suis têtu comme un Ardennais et quand je m’engage dans quelque chose j’y vais à fond, je veux aller jusqu’au bout » témoigne M. Tutiaux. « Ensuite je suis attaché à la valeur famille. Mon père et mon grand-père, qui étaient entrepreneurs eux aussi, sont enterrés aux Hauts-Butées et je ne voulait pas qu’ils se retournent dans leurs tombes ». Au vu de la vitalité retrouvée de Collignon, les aïeux peuvent continuer à reposer en paix.
Avec huit créations ou reprises d’entreprises à son actif, on peut dire qu’Hervé Coutelas entreprend. Et il ose aussi. Notamment lorsqu’il s’est agi en 2013 de s’attaquer à un plus gros poisson que lui. Alors à la tête d’un groupe d’entreprises de menuiserie d’une cinquantaine de collaborateurs, il se positionne pour la reprise d’Isoplas, fabricant de fenêtres PVC d’Harfleur, près du Havre, qui compte 174 salariés. Epaulé par un “comité de salut public”, comme il le dit, composé du sous-préfet, du maire du Havre (un certain Edouard Philippe), du président du conseil régional et de BPI France, il s’engage dans la reprise de cette entreprise menacée d’être emportée dans la déroute de l’enseigne Huis Clos. Il reprend 120 salariés, sans doute plus qu’il n’en fallait pour relancer l’usine, et s’engage à en réembaucher vingt plus tard. L’affaire paraissait risquée. M. Coutelas sollicitait des aides publiques
Si ça ne marchait pas j’avais un million d’euros à rembourser
et exposait ses propres finances. « Je m’étais porté caution personnellement. Si ça ne marchait pas j’avais un million d’euros à rembourser », raconte-t-il. Pour autant, ce n’était pas pour lui un acte téméraire mais un engagement réfléchi. « Oser tout court n’est pas suffisant. Ce n’est pas de la loterie ». Pour mener à bien son affaire, l’entrepreneur a bouclé habilement le montage financier en négociant une baisse temporaire du loyer de l’usine auprès du propriétaire des murs et en obtenant de la Direccte une année de chômage partiel à taux plein pour les salariés. Et surtout Hervé Coutelas a fait un long tour de son carnet d’adresses pour savoir si ses clients le suivraient s’il reprenait. C’était le nerf de la guerre et la clé d’une reprise qui a réussi.
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“JE
Après avoir été acheteuse internationale chez un équipementier automobile elle a passé un CAP pâtisserie et s’est lancée.
Ingénieur mécanique de formation, Frédérique Watremet a longtemps travaillé comme acheteuse internationale pour un équipementier automobile. Elle menait de front, sans répit, une vie de cadre, souvent en déplacement à l’étranger, et de mère de deux enfants en bas-âge. « J’avais l’impression d’être en permanence dans un TGV et de voir ma vie défiler ». Viennent les quarante ans et un pépin de santé, c’est le moment d’une prise de conscience. « J’ai commencé à lever le pied, à mieux gérer mon temps. Je m’étais oubliée pendant des années ». Germe en elle l’idée de créer sa propre entreprise. Au moment de la crise de 2008, le groupe Trèves pour lequel elle travaillait engage un grand plan social, assorti d’un accompagnement pour ceux qui veulent se reconvertir ou créer leur entreprise. « Ça a été le déclic, je me suis dit, c’est maintenant ou jamais, il faut je saisisse ma chance avant qu’elle passe ». Frédérique cherche une activité rentable et créative. La restauration ? Non, plutôt la pâtisserie, décide cette passionnée de gâteaux.
Commence un marathon de deux ans pendant lequel elle décroche un CAP pâtisserie à Rouen, trouve un terrain pour construire sa boutique et boucle son financement. Ouvre en 2011, le Macaron Bleu, dans le nouveau parc d’affaires de Bezannes. C’est “the place to be” pour les entreprises rémoises aujourd’hui. À l’époque ça ressemblait à un désert. Le commerce part pourtant sur les chapeaux de roues. « On a atteint le seuil de rentabilité au bout de trois mois ». La “pâtisserie-boulangerie”, son salon et son drive sont rapidement repérés par les médias et adopté par les clients. A vrai dire, cette battante voit encore sa vie défiler sous ses yeux et a une nouvelle fois appris à lever le pied. Mais, elle a osé une deuxième vie et ne le regrette pas.
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Consultante en gestion de carrière à l’Apec, Mélisande Sirot reçoit régulièrement des cadres qui veulent changer de métier ou créer leur entreprise.
Quelles sont les motivations des gens qui viennent vous voir pour engager un changement ?
Souvent, ils n’aiment plus leur métier. Pour une reconversion, les gens ont envie de retrouver du sens dans leur travail, de l’utilité. Pour une création d’entreprise, ce sont des gens qui ont besoin aussi d’indépendance et de travailler autrement. Quelles conseils donnez-vous à des gens qui souhaitent changer de voie, créer leur entreprise ?
Il faut bien étudier son projet, regarder les avantages positifs et les contraintes, les inconvénients. Pour chaque difficulté, il faut voir quel plan d’action on peut mettre en place. Si l’on veut changer de métier, il faut aller voir un professionnel du métier que l’on vise. Parfois on se fait une représentation d’un métier puis on se rend compte ensuite que ce n’est pas tout à fait ce que l’on avait imaginé. Par exemple, si je veux devenir infirmière, j’ai cette idée de métier où l’on sauve les autres, on les aide, on les soigne. Puis en discutant avec un infirmier ou une infirmière, je vais me rendre compte qu’il faut travailler le week-end, la nuit. Je vais peut-être découvrir que cela ne va pas être compatible avec ma vie familiale, que les conditions de travail ne sont pas comme je me l’imaginais.
Quand on change de voie, on repart forcément de zéro ?
Quand on travaille avec quelqu’un sur un projet de reconversion, on va justement identifier quelles sont les compétences que la personne a pu acquérir pendant son parcours et quelles sont les compétences transférables sur le nouveau métier.
Quelles ont été les clés de la réussite des personnes que vous avez accompagnées ?
C’étaient des personnes qui avaient un grande détermination et un grande confiance, pas forcément en elles, mais en leur projet. En allant vers tel métier ou en créant telle entreprise, elles étaient convaincues que c’était leur voie. Il faut donc avoir foi en son projet.
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Environ 27 000 actifs quittent quotidiennement l’ex-ChampagneArdenne pour travailler dans une autre région, limitrophe ou non, et 23 000 salariés extérieurs font le chemin inverse. De façon générale, les quelque 500 000 actifs champardennais ont d’ailleurs la particularité d’être moins “mobiles” que ceux d’autres régions. Quand 61 % des provinciaux français quittent tous les jours leur commune pour aller travailler à distance, ils ne sont que 50 % chez nous à en faire autant. Ce n’est que dans l’Est marnais ou le Nord haut-marnais que l’on trouve les proportions les plus élevées d’actifs migrants.
S’il est trop tôt, selon l’Insee, pour mesurer l’impact de la nouvelle région Grand Est sur les migrations professionnelles, on sait déjà que seulement 7 % des actifs champardennais vont travailler chaque jour dans une région voisine, alors que cette proportion grimpe à 16 % en Lorraine. Enfin, la Champagne-Ardenne est la région où les actifs migrants qui travaillent en dehors de leur région parcourent le plus de kilo-
MIGRATIONS QUOTIDIENNES
23 000
27 000 7%
7 % des actifs champardennais vont travailler chaque jour dans une région voisine
Environ 27 000 actifs quittent quotidiennement l’ex-Champagne-Ardenne pour travailler dans une autre région, limitrophe ou non, et 23 000 salariés extérieurs font le chemin inverse.
SELON UNE ÉTUDE DE L’INSEE ACTUALISÉE EN 2016, PRÈS DE 80 000 SALARIÉS RÉSIDANT DANS UNE DES VILLES DU G10 MIGRENT CHAQUE JOUR VERS PARIS. DANS L’ANCIENNE CHAMPAGNE-ARDENNE, REIMS ET TROYES
RESTENT LES COMMUNES LES PLUS ATTRACTIVES. LES DÉPLACEMENTS DOMICILE-TRAVAIL CONCERNENT 2,3 MILLIONS DE PERSONNES DANS LE GRAND EST.
GILLES GRANDPIERRE
mètres pour se rendre au travail : 90 km contre 35 pour les Lorrains et 37 pour les Alsaciens. Quand ils travaillent dans leur région, cette distance est ramenée à 16 km.
Dans les Ardennes, les deux principales villes rythment logiquement la majorité des flux quotidiens domicile-travail. Entre Charleville et Sedan, les 3 600 déplacements se partagent équitablement. On retrouve cet équilibre entre les 2 600 actifs qui quittent chaque jour les Ardennes pour un autre département du Grand Est (Marne, Meuse d’abord) et les 2 500 autres qui y entrent. Mais ce sont surtout les 3 300 Ardennais qui bossent à l’étranger (Belgique forcément, voire Luxembourg) qui étonnent, alors que l’Insee ne comptabilise aucun étranger dans le sens inverse ! Enfin, quelque 500 Ardennais prennent le TGV chaque jour pour Paris et 720 se rendent vers le nord, probablement l’Aisne, d’où vient un nombre équivalent de salariés. Au total, autour de 8 000 actifs quittent quotidiennement les Ardennes, contre 5 000 autres qui y entrent. D’année en année, ces chiffres marquent une progression, mais le solde ne bouge pas. À noter surtout que les Ardennes sont l’un des départements français ou le taux de mobilité a le plus progressé ces dernières années. Ce qui signifie à l’évidence que les Ardennes trouvent de plus en plus l’emploi loin de chez eux.
Plus exactement, ces 5 500 actifs marnais se rendent en Ile-de-France, dont vraisemblablement à Paris. L’attractivité de la capitale pour le département ne se dément pas. À l’inverse, ils ne seraient “que” 1 500 Franciliens à faire le chemin inverse. Pour importants qu’ils soient, ces échanges entre la Marne et la capitale sont très en deçà de ceux qui rythment les allers et retours entre ce département à son voisin axonais. Chaque jour, 10 000 salariés de l’Aisne prennent la route de la Marne. Ils sont près de 4 000 à faire le chemin inverse. Enfin, environ 4 800 Marnais sortent chaque jour du département pour aller travailler dans une autre zone de Champagne-Ardenne (Aube, HauteMarne, Ardennes) et 900 dans une autre zone du Grand Est (probablement la Lorraine). Au total donc, ce sont près de 20 000 Marnais qui
quittent leur commune pour se rendre tous les jours à leur travail.
Les seuls déplacements intra-marnais méritent un regard particulier. Si Reims joue un rôle central dans ces déplacements, entre villes, ces échanges s’équilibrent. Il y a autant de navetteurs rémois qui travaillent à Châlonsen-Champagne que l’inverse, idem avec Charleville. En revanche, entre l’agglomération rémoise et Epernay, ces échanges sont déficitaires au détriment... d’Epernay ! En moyenne, le travail des Marnais se situe à 32 minutes et 26 kilomètres de leur résidence.
En réalité, ce nombre de 10 000 représente les salariés venus du Nord de la France, mais leur grande majorité viennent de l’Aisne. C’est plus de deux fois plus que le nombre de
Marnais qui font tous les jours le chemin inverse, tandis que les navettes sont beaucoup moins nombreuses entre l’Aisne et les Ardennes (500 vers l’Aisne, 200 vers les Ardennes). Plus surprenant, selon l’Insee, près de 2 400 Aubois se rendraient quotidiennement vers le nord (dont l’Aisne). Dans tous les cas, l’Aisne est le département des Hauts-de-France le plus concerné par les déplacements avec le Grand Est. Logiquement, enfin, le plus grand nombre de déplacements domicile-travail entre l’Aisne et ses voisins se constate entre Soissons et Château-Thierry d’une part et Paris de l’autre. Chaque jour, près de 5 500 navetteurs effectuent ce trajet entre les deux cités axonaises et la capitale. Globalement, ces déplacements concerneraient davantage les employés et les ouvriers, alors que les 2 500 personnes résidant dans l’aire rémoise qui travaillent à Paris sont plutôt cadres ou exercent des professions intermédiaires.
Près de 64 % des Aubois quittent leur commune pour aller travailler. Cette proportion est supérieure aux 50 % de Marnais ou aux 61 % d’Ardennais qui en font autant (la moyenne nationale est de 61 %. L’autre particularité auboise, relativement au poids démographique du département (306 000 habitants) est le nombre de navetteurs qui en sortent chaque jour : près de 9 000 alors que 6 700 salariés y entrent. Seul département de l’ex-Champagne-Ardenne à gagner des habitants, l’Aube attire aussi de plus en plus de Franciliens : de l’ordre de 1 500 personnes actuellement, alors que plus du double font encore le chemin inverse.
MOT CLÉ COOPÉRATIVES
DERRIÈRE DES GRANDES MARQUES COMME
FRANCINE OU NICOLAS FEUILLATTE SE CACHENT DE BELLES ENTREPRISES DÉTENUES PAR DES AGRICULTEURS OU DES VITICULTEURS. NÉES À LA FIN DU XIXe, CES ORGANISATIONS ORIGINALES, QUI ALLIENT PARTAGE DE VALEUR ET DE DÉCISION, N’ONT RIEN PERDU DE LEUR PERTINENCE, AU CONTRAIRE.
PAR JULIEN BOUILLÉ
Les coopératives représentent 40 % de la production agricole et agroalimentaire française.
40%
Vinadeis (ex-Val d’Orbieu) Le Centre Vinicole – Champagne Nicolas Feuillatte L’UVDCR Cellier des Dauphins
L’Union Champagne
L’Union Auboise Alliance Champagne – Jacquart
Producteurs Plaimont
Vignerons de Tutiac
La COGEVI Wolfberger
74%
74 % des sièges sociaux des coopératives sont en zone rurale.
Entreprises Siège
Activités Principales Marques principales
InVivo Paris Céréales - approvisionnement, nutrition animale, vin, distribution
Terrena Ancenis
Chiffre d’affaires (consolidé 2015) en milliards d’euros
Gamm Vert, Semences de France, Frais d’ici, Cordier-Mestrezati 5 654
Polyvalente Gastronome, Douce France, Paysan Breton, Régilait, Tendre et Plus, Père Dodu 5 037
Sodiaal Paris Lait
Agrial Caen Polyvalente
Tereos Origny-Ste-Benoite
Yoplait, Candia, Riches Monts, Régilait, Entremont, Juragruyère 4 998
Florette, Créaline, Priméale, Ecusson, Danao, Loïc Raison, Soignon, Grand Fermage, Bio Nat, Pavé d’Affinois 4 776
Sucre, amidon, alcool Beghin Say, L’Antillaise, Origny, La Perruche 4 300
Vivescia Reims Céréales - approvisionnement, meunerie, malt, nutrition animale
Axéréal Orléans Céréales - approvisionnement, meunerie, malt, nutrition animale
Limagrain Saint-Beauzire Céréales, semences, Bio-santé
Groupe Even Ploudaniel Lait, approvisionnement, nutrition animale
Triskalia Landerneau Polyvalente
Delifrance, Francine, Campaillette 3 646
Banette, Francine, Lemaire, Treblec, Ebly 3 203
Vilmorin, Clause, Jacquet, Brossard 2 351
Even, Paysan Breton, Kerguelen 2 096
Paysan Breton, Prince de Bretagne, Régilait, Ronsard 2 037
COOPÉRATIVE AGRICOLE DE JUNIVILLE
10 coopératives
128 millions € de CA 112 salariés
COGEVI
CHAMPAGNE COLLET
66,08 millions € de CA, 78 salariés
MARNE 132 coopératives 5,4 milliards € de CA 2 299 salariés
VIVESCIA
3,6 milliards € de CA, 8 000 salariés
CRISTAL UNION
2,5 milliards € de CA (16 mois), 2 500 salariés
COOPÉRATIVES GRANDES CULTURES
UNION CHAMPAGNE
SAINT-GALL
100 millions € de CA, 70 salariés
CHAMPAGNE CASTELNAU GROUPE CRVC
67 millions € de CA, 98 salariés
COOPÉRATIVES VITICOLES
ACCOLYANCE
441 millions € de CA, 420 salariés
COVAMA
CHAMPAGNE PANNIER
56,87 millions €, 64 salariés
TEREOS 4,8 milliards € de CA, 23 000 collaborateurs
AISNE
30 coopératives
248 millions € de CA
250 salariés
SCARA
74 millions € de CA, 60 salariés
20 coopératives
1,9 milliards € de CA 3 270 salariés
CV-CNF
CHAMPAGNE NICOLAS FEUILLATTE
201,7 millions € de CA, 227 salariés
ALLIANCE CHAMPAGNE JACQUART
71,9 millions € de CA, 45 salariés
UNION AUBOISE
CHAMPAGNE DEVAUX
86,4 millions € de CA, 65 salariés
FRANCE
2 600 coopératives agricoles
85,9 milliards € de CA 165 000 salariés
TOP 20 mondial 356 MILLIARDS $
monde
Les 20 plus grosses coopératives agricoles du monde totalisent un chiffre d’affaires de 356 milliards $.
180 000 coopératives agricoles 1 000 milliards € de CA 4,5 millions de salariés Europe
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Quel est le point commun entre une coupe de champagne Nicolas Feuillatte, un morceau sucre Daddy et une poignée de farine Francine ? Ce sont des produits issus de coopératives agricoles. Les groupements de producteurs sont nés à la fin du XIXe siècle, dans un contexte (déjà) de prix agricoles bas afin d’aider les agriculteurs à se fournir en intrants au meilleur coût. Elles se développeront le siècle suivant pour aider les agriculteurs à commercialiser leur production et pour servir d’appui à la mise en œuvre de la politique agricole nationale, notamment en matière de stockage des céréales.
On a compté dans les années soixante environ 5 700 coopératives agricoles. Elles ne sont plus que 2 600 aujourd’hui. Il ne s’agit pourtant pas d’un déclin. Simplement ces entreprises collectives ont suivi mécaniquement la baisse du nombre d’actifs agricoles et la concentration des exploitations permise notamment par la mécanisation. Aujourd’hui, 3 agriculteurs sur 4 adhèrent à une coopérative lesquelles représentent 40 % de la production agricole et agroalimentaire française. Leur chiffre d’affaires (2015) est de près de 86 milliards d’euros. Incitées par les lois de 1991-1992 à créer des filiales de transformation distinctes, poussées par leur gros clients à les suivre partout sur la planète, les coopératives
sont devenues parfois des groupes coopératifs “agro-industriels” d’envergure internationale. Ne se sont-elles pas dénaturées ?
Les coopératives agricoles restent fidèles à des règles particulières qui reposent sur un principe de territorialité et d’exclusivité. Chaque coopérative n’a le droit d’intervenir que dans une “circonscription territoriale” donnée et ne peut travailler qu’avec ses propres adhérents. C’est un pacte de non agression qui a apporté une certaine stabilité dans les territoires. La coopérative s’appuie sur un mode de gouvernance démocratique où un homme vaut une voix. Les grandes décisions et orientations doivent passer au crible de multiples assemblées. Cela demande du temps et peut nuire à la réactivité surtout quand on opère sur des marchés où des concurrents agissent rapidement. Mais ce rythme plus humain est aussi une marque de fabrique revendiquée. Regardant ce bon côté des choses, Pascal Prot ex-président de Vivescia parlait d’une “croissance réfléchie et d’un capitalisme patient”. Cette vision peut avoir un certain attrait à l’heure où l’on reproche souvent à l’entreprise de négliger l’humain et de privilégier le rendement à court terme.
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Quelle est la fonction d’une coopérative agricole en 2017 ?
Un proverbe africain, dit : “Si tu veux aller vite, vas-y tout seul. Si tu veux aller loin, vas-y à plusieurs”. Cela résume bien la philosophie des coopératives. Il ne faut pas oublier que l’on a aujourd’hui en France quatre centrales d’achat de la grande distribution et, en face, 10 000 entreprises agroalimentaires et 500 000 agriculteurs. La fonction de la coopérative agricole est donc de valoriser au mieux la production de ses adhérents.
Est-ce inéluctable de grossir pour survivre face aux groupes privés qui font le même métier ?
Tout dépend de la filière d’activité. Le sucre est mondialisé, il ne reste que très peu d’acteurs. Et en plus, avec la fin des quotas, la filière a dû être restructurée au niveau européen. Là, clairement si l’on veut
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Elles ne sont pas délocalisables, elles ne peuvent être rachetées, elles sont ancrées sur leur territoire
Olivier Frey
peser sur les marchés, il faut la taille critique, et dans le sucre, elle se situe au niveau mondial. Si historiquement Champagne Céréales (aujourd’hui Vivescia) s’est développée dans le malt jusqu’en Chine, c’est parce que de gros brasseurs lui ont demandé de les suivre à l’étranger sous peine de perdre les marchés en France. Mais il ne faut pas grossir pour grossir. De petites coopératives, avec des stratégies de niche s’en sortent très bien, comme la Scara dans l’Aube. Vous pouvez rester petit sans problème aussi dans le Comté. Il faut réfléchir en termes de marché pertinent.
Une coopérative qui grossit et se diversifie avec des filiales industrielles ne finit-elle pas par échapper aux agriculteurs ?
Vous pouvez avoir une petite coopérative où le directeur fait tout et les administrateurs ne font que le suivre. A l’inverse dans des grands groupes, comme Vivescia, il peut y avoir un conseil d’administration composé d’agriculteurs qui s’impliquent dans la gouvernance, font des formations et s’intéressent aux dossiers.
Ils ne sont pas là pour faire ce que leur dit le directeur général. L’entente du binôme président/directeur général fait énormément pour la gouvernance.
Le processus démocratique ne ralentit-il pas la capacité de réaction des coopératives ?
C’est un des points faibles. Mais cela permet aussi aux coopératives de réfléchir beaucoup plus longtemps aux opérations. Comme elles n’ont pas la même pression des actionnaires qu’une entreprise privée cotée en bourse, les coopératives peuvent se permettre de faire des projets sur le moyen ou le long terme. On retrouve le temps long de l’agriculture dans les coopératives agricoles.
La coopérative agricole reste-t-elle un modèle d’avenir ?
Oui - et même la coopérative tout court - j’en suis persuadé. Aujourd’hui, et d’autant plus avec le numérique, on voit énormément de communautés qui se créent, des producteurs qui lancent des supermarchés, etc. La coopérative est une alternative pour ceux qui veulent recréer du sens et faire des choses ensemble plutôt que seuls dans leur coin. Des territoires seraient morts aujourd’hui s’il n’y avait plus de coopératives agricoles qui sont parfois le premier employeur privé. Les coopératives agricoles ne sont pas délocalisables, elles ne peuvent être rachetées, elles sont ancrées sur leur territoire. Après il y aura toujours des agriculteurs qui voudront faire des choses seuls. Mais il faut voir ce que ça donne sur le long terme.
Recueilli par Julien Bouillé
La
rentabilité peut même grimper très vite à 100 voire 200 % sur des vins purement spéculatifs !
ENTRE PLACER SON ARGENT DANS DES GRANDS CRUS
PÉPÈRES MAIS SÛRS OU DES VINS SPÉCULATIFS HORS DE
PRIX, IL FAUT CHOISIR. ON PEUT AUSSI FAIRE LES DEUX… SI LE PORTE-MONNAIE SUIT.
GILLES GRANDPIERRE
Plus lucratif que les œuvres d’art ou les obligations d’Etat, les grands vins voient leur prix augmenter en moyenne de 8 % par an. Soit près du double des valeurs du CA 40 (hors inflation) ! Elu cave de l’année 2017 par la Revue des vins de France, le Rémois Fabrice Parisot (les Caves du Forum) confirme tout en esquissant un sourire entendu. « La rentabilité peut même grimper très vite à 100 voire 200 % sur des vins purement spéculatifs ! ». Dopée par quelques marchés d’exportation - Hong Kong, Etats-Unis, Singapour - ou l’engouement de people fortunés en quête d’aubaine fiscale, la spéculation vinicole serait devenue “une plaie”. « La qualité de 80 % de ces vins ne vaut pas leurs prix. Ça finit par fausser le marché », assure Fabrice.
La tentation spéculative est telle que certains de ses confrères parisiens, appâtés par la cote montante de nectars confidentiels, dévalisent leurs collègues de province chez qui ils savent pouvoir trouver les meilleurs prix. Quitte à faire la pirouette ensuite... « Dans les vins très fameux, j’ai connu une bouteille de Romanée-Conti achetée 5 000 euros et revendue le double le lendemain ! Je ne vous dirai pas où... », sourit Fabrice qui dit refouler ce type de ventes “dix à vingt fois par jour”. « On finit par cacher les bouteilles prometteuses pour les réserver à notre clientèle. En fait, ces spéculateurs sont plus des amateurs de bonnes affaires que de bons vins ».
Les vrais amoureux du jus d’octobre, eux, n’auront pas besoin de braquer une banque pour se constituer un patrimoine. De 30 à 50 euros la bouteille, la mise de départ parait cohérente sur des vins de niche qui ont le vent de la notoriété en poupe. Dans quels vignobles les dénicher ?
Partout, c’est l’avantage du vignoble français, désormais capable d’excellence dans tous ces terroirs, y compris ceux qui souffraient encore, il y a vingt ans, d’une moindre réputation, à l’instar du Languedoc-Roussillon.
Plus rien de tel aujourd’hui, même si les meilleurs placements se feront davantage en Bourgogne que dans le Bordelais où la saturation du marché a tendance à stabiliser les prix sur la durée. Evidemment, les incontournables stars d’Aquitaine (Petrus, Château Lafite et Mouton Rothschild et autre Château d’Yquem) restent des valeurs très sûres, mais entre 1 000 à 3 000 euros en prix de sortie, encore faut-il en avoir les moyens…
Avant d’en arriver là, les bons plans abondent. La Bourgogne donc (Côtes de Nuit, Beaune, Chambertin...), les Vallée du Rhône (Châteauneuf-du-Pape) ou de la Loire, l’Alsace même, recèlent des pépites. À titre d’exemples, Fabrice Parisot avoue un faible pour le Clos Rougeard,
La valeur d’un cru tient dans sa rareté, son millésime et l’image du producteur. Mais l’augmentation générale des prix des primeurs retardant la valorisation des vins, il faut compter une dizaine d’années avant d’en tirer un bénéfice intéressant. Plus le millésime est exceptionnel, plus son prix de sortie est élevé, plus sa valorisation sera tardive. L’avantage est que la valeur des grands crus est de toute façon moins sensible aux variations économiques que l’immobilier ou les marchés financiers. Se garder toutefois de l’excès d’optimisme de certaines prévisions qui tablent sur des rendements à 2 chiffres dans les prochaines années. Quoiqu’il en soit, il n’existe pas de bons placements sans une bonne connaissance du marché. Eplucher la presse professionnelle et tenir compte des notes des critiques, mixer les placements entre valeurs sûres et montantes, assurer (il va sans dire) une bonne conservation de votre collection : voilà quelques conseils pour espérer en tirer le meilleur parti.
Les cavistes de la région peuvent proposer à leurs clients des pépites qui prendront assurément de la valeur.
un Saumur Champigny capable de grimper en deux ans de 30 à 150 euros la bouteille ; ou pour les Meursault du Domaine Van Berg, une cuvée à tirage limitée mais cote explosive. Avec des rentabilités comparables, quelques grands crus étrangers ont aussi ses faveurs, le Vega Sicilia (Italie), tel vieux Madère ou l’Américain “Opus One”. Pour dénicher tout cela, bien s’informer s’impose. Les revues ne manquent pas. Sur internet, de plus en plus de sites spécialisés aident également les amateurs à investir dans l’or rouge ou blanc, par l’achat et la revente de vin en ligne. Les cavistes s’y mettent aussi. Contre quelques dizaines d’euros par mois, les vins sont choisis, achetés et gardés pour vous. Mais en l’occurence, il s’agit plus souvent de les savourer soi-même que de les revendre. Il est parfois difficile de résister…
Toute salle des ventes en organise en moyenne deux à trois dans l’année. Faute de trouver preneurs dans leur entourage, de vieux amoureux des grands crus cèdent régulièrement leurs caves. « Il y a souvent des trésors », reconnait Me Guy Archambault, gérant de l’hôtel des ventes de Champagne, à Vitry-Le-François. Des lots de 200 à 250 bouteilles de haut vol sont régulièrement mis en vente. « Il y a dix ans, 2 000 à 3 000 bouteilles, ce n’était pas rare. Les vendeurs venaient de Belgique, de Suisse, de Hollande... ». Entre 50 et 100 euros, épicuriens et collectionneurs y trouveront leur bonheur dans les classiques de Bourgogne ou du Bordelais. « Même si la plus-value sur les très grands crus de Bordeaux n’est plus certaine, car beaucoup sont partis à l ’étranger », note M. Archambault. Les spéculateurs pourront se rabattre notamment sur les champagnes. Le millésime 2000 rosé de Moët-et-Chandon, le magnum 59 Winston Churchill de Pol Roger ou telle cuvée d’exception de Bollinger, Ruinart ou Dom Pérignon sont accessibles entre 2 000 et 4 000 euros, selon l’année. Et ce prix ne fera que grimper...
Depuis sa création en 1976, Maison Schosseler Traiteur se distingue par l’importance accordée à l’écoute et l’accompagnement personnalisé de ses clients :
« nous travaillons en amont sur chaque détail, pour la parfaite réussite de chacune des prestations qui nous sont confiées, des dîners en tête-à-tête aux repas pour 2000 convives, en passant par les soirées entre amis, les cocktails haut de gamme », précise le Directeur général Virgile Schosseler.
« Notre valeur ajoutée repose sur deux savoir-faire complémentaires. En premier lieu, le directeur des cuisines Jean-Michel Grzegorczyk et ses équipes élaborent des recettes avec des produits frais, de saison, nobles et rigoureusement sélectionnés, faisant la part belle aux fournisseurs locaux. 98 % de nos préparations sont réalisées par nos soins. Nous n’avons pas de catalogue, chaque menu est établi avec le client ».
Autre atout majeur de la Maison Schosseler Traiteur : un savoir-faire unanimement reconnu en matière de
Le plus ancien traiteur de Reims associe l’expertise de professionnels de la cuisine authentique et de spécialistes de l’organisation de réception, pour des prestations raffinées et sur-mesure.
logistique. « Nous pouvons gérer toute l’organisation de A à Z, en fonction des demandes et des attentes, pour les particuliers comme pour les professionnels. Conception, décoration lumineuse et florale, mise en place de la salle, implantation éphémère des offices cuisine, arts de la table, scénographie du service, calage précis du timing, toutes ces tâches sont confiées à des professionnels chevronnés ».
Signe de l’indéfectible attachement de l’entreprise à une qualité irréprochable de la cuisine et du service apporté aux clients, Maison Schosseler Traiteur est depuis 19 ans le seul membre champardennais du réseau Traiteurs de France, ce qui implique l’adhésion à une charte très stricte. De fréquents contrôles des produits, des processus et des conditions de fabrication sont effectués par des organismes indépendants. La moindre entorse au référentiel se traduit par la perte de cette certification. Cela implique également un engagement éco-responsable, avec un bilan carbone établi chaque année, et une démarche résolument citoyenne, notamment en matière de lutte contre le gaspillage.
MAISON SCHOSSELER TRAITEUR
1 rue Clément Ader
Parc d’activités de Taissy - 51500 Taissy
Tél. 03 26 49 06 05 www.ms-traiteur.com
LE PROSECCO NE CESSE DE MENER LA COURSE FOLLE DES EFFERVESCENTS DANS LE MONDE, EN VOLUME, SUPPLANTANT MÊME LE CHAMPAGNE, ROI DES BULLES, SUR CERTAINS MARCHÉS. L’EFFET DES COCKTAILS ET AUTRES BOISSONS FACILES À BOIRE. MAIS SURTOUT, C’EST L’ESSOR DES BULLES QU’IL FAUT PRENDRE EN COMPTE, PLUS QUE LA CONCURRENCE ENTRE ELLES.
PAR CLAIRE HOHWEYEROui, l’Angleterre n’est plus, en valeur, le premier marché du champagne, hors France. Et oui, le prosecco y a supplanté les bulles champenoises depuis quelques années, à la fois en nombre de bouteilles et en valeur. Le pays est devenu le bastion du mousseux italien, devant même l’Italie, puisque les ventes y représentent les trois-quarts des ventes globales. Et pourtant, une bouteille de pétillant italien se vend bien moins cher qu’une bouteille de champagne. En Europe, les ventes du mousseux italien ont crû, entre 2015 et 2016, de 25 %. Entre 2010 et 2016, les ventes ont également augmenté de 25 %. Mais la déferlante est-elle réellement dérangeante ?
Non parce que dans ces vins effervescents, le champagne pèse 40 % de leur valeur. Et cela n’est pas tellement inquiétant non plus si l’on observe que les consommateurs plébiscitent les bulles en général et pas que le prosecco. En effet, selon les chiffres d’Agrex consulting, la consommation mondiale de vins effervescents a augmenté de 23 % entre 2009 et 2016. Plutôt une très bonne nouvelle pour ce segment des vins. Les prévisions sont même très positives, à +10 % d’ici 2020, en particulier au Royaume-Uni, aux Etats-Unis, au Canada, au Japon, en Chine et en Australie.
L’ATTRAIT POUR LES BULLES FACILES EXPLIQUENT EN PARTIE LE PHÉNOMÈNE TANDIS QUE LE CHAMPAGNE RÉSISTE.
Nous vivons une étape critique dans la vie du champagne et il faut en avoir conscience. Seul le haut de gamme (et le rosé) sont en hausse. Le socle de gamme se contracte.
James
de Roany
FORTE PROGRESSION
DES VINS EFFERVESCENTS ÉTRANGERS
Qu’en est-il en France ? Le pays reste le premier marché du champagne avec près de 50 % de ses ventes enregistrées dans l’hexagone. La filière se repositionne de plus en plus vers un marché tourné vers la gastronomie et le CHR. Mais en GD, en 2016 selon FranceAgriMer dans une note de conjoncture de février 2017, les ventes de champagne ont regressé de 2,8 % par rapport à 2015 en volume et de 0,5 % en valeur. Moins de quantité, donc, mais mieux valorisée. « Ceci s’explique par une baisse importante des ventes de Champagne sous
marques de distributeurs et autres marques au prix moyen de 15 euros par col par rapport aux marques nationales plus chères (22,70 euros par col) qui pèsent pour 70 % des volumes et 78 % de la valeur dans le segment ». Ce, grâce aux stratégies de maisons augmentant légèrement leurs prix.
Parallèlement, les effervescents étrangers continuent de progresser en grande distribution française, de 63,4 % en volume entre 2011 et 2015 (15 millions de flacons) et de 82,2 % en valeur (75 millions d’euros). Vertigineux. Ces ventes sont poussées fortement par le cava (44 % du volume et 45 % de la valeur) puis du prosecco, vendu à un prix moyen de 6,29 euros par col.
Les champagnes tentent de séduire d’autres clientèles, notamment en proposant des champagnes « on ice ».
Vins effervescents : (24 millions d’hectolitres)
Pourquoi séduisent-ils plus ? On ne peut le nier, tout le monde ne peut s’offrir une bouteille de champagne à plus de 20 à 25 euros, sauf, éventuellement, en période de fêtes. Le prosecco, popularisé par le spritz, s’avère “facile à boire”. James de Roany, ancien président de la commission vins et spiritueux (2008-2013) des conseillers du commerce extérieur de la France, le constate dans son rapport pour la CSGV en juin 2017 : « La consommation du vin (et en particulier) du champagne étant
- Les cinq premiers acteurs de la filière (groupes cotés) représentent, en 2016, près de 31 % du volume et 39 % de la valeur.
- Le champagne représente 22 % en valeur, en 2016, des exportations de la filière vins et spiritueux en France (FEVS).
- L’estimation des expéditions 2017 se monte à 310 millions de cols contre 306 millions en 2016. CHAMPAGNE
directement proportionnelle au pouvoir d’achat, les ventes devraient continuer à baisser dans les pays européens là où il est très fort » dont la France et l’Angleterre. L’export est donc la solution de survie. « Nous vivons une étape critique dans la vie du champagne et il faut en avoir conscience. Seul le haut de gamme (et le rosé) sont en hausse. Le socle de gamme se contracte ».
La filière champagne tente alors de détourner l’attention avec quelques tendances de bulles “sur glace” ou à utiliser en cocktails. Sans pour autant se départir de ses atouts : la diversité des terroirs, l’histoire de ses vignerons et l’élégance de son image. Enjeu majeur : rajeunir la clientèle, séduire les plus jeunes. Reste à se rendre accessible, au moins dans l’explication du métier ou de la création de moments privilégiés pour faire ressentir toute l’essence de cette belle appellation qu’est le champagne.
Les cava et prosecco boostent les ventes des effervescents en grande distribution en France.
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INNOVATION
CHERCHEURS ACADÉMIQUES ET START-UP DE LA RÉGION
SONT SUR LES RANGS POUR SE POSITIONNER SUR LES OUTILS DE LA FERME DE DEMAIN.
L’équipe de Vitibot, à Châlons-enChampagne, avec, au second plan, le prototype Hector, un petit chenillard autonome, et au premier plan Bakus, la maquette du futur tracteur enjambeur 100% autonome, 100% électrique.
L’agriculture en France et en Europe a vécu sa première révolution agricole au XVIIIe siècle.
Pour augmenter la production et nourrir une population croissante, on a supprimé la jachère, introduit de nouvelles plantes, amélioré les rotations et développé les cultures fourragères pour nourrir les bêtes.
La seconde révolution agricole a permis au XXe siècle une forte augmentation de la productivité grâce à la mécanisation, à l’utilisation d’engrais chimiques et l’utilisation de produits phytosanitaires.
Tout laisse à penser qu’au début de ce XIXe siècle, s’engage une troisième révolution portée par le numérique. L’augmentation de la population mondiale, son urbanisation croissante, l’élévation de son niveau de vie, et donc de la qualité comme de la richesse de son alimentation, imposent de produire encore plus, sur des surfaces qui ne sont pas extensibles. Sans compter que le dérèglement climatique accentue les écarts de production d’une année à l’autre.
De nouveaux outils ont commencé à apparaître dans les fermes depuis le début des années 2000. Ils aident l’agriculture à être plus précise, à améliorer encore ses rendements et à réduire l’usage d’intrants. Ce sont des machines commandées numériquement, des GPS qui guident les tracteurs au plus juste mais ce que l’on appelle l’agriculture connectée est un concept global qui va plus loin. « C’est une agriculture intelligente avec laquelle on dispose d’un certain nombre d’outils,
que ce soient des capteurs, des équipements informatiques ou des logiciels qui permettent de récupérer un maximum d’informations, de les traiter et d’être capable d’aider à prendre des décisions », explique Eric Perrin, maître de conférences à l’université de Reims Champagne-Ardenne. Avec une quinzaine d’autres chercheurs du groupe “signal, image, connaissance” du laboratoire CReSTIC, il travaille sur les outils de cette agriculture et viticulture “3.0”.
Les blouses blanches de l’université rémoise ont noué un partenariat avec une start-up lilloise, Orchid. Ensembles ils cherchent à mettre au point un procédé pour déterminer la date de maturité de fruits et de légumes, et surtout les maladies avant qu’elles ne surviennent. Pendant toute la saison 2017 un technicien a été détaché dans la serre d’un maraîcher pour passer des rangs de fraises au spectromètre infrarouge. « Les modifications que nous allons détecter dans le spectre vont permettre de déterminer la présence, ou pas, de certaines molécules. Elles vont indiquer par exemple le niveau de sucre ou la présence d’un champignon ». La “scannette” à fraises est prometteuse, car elle permettra au maraîcher par exemple, de détecter des maladies avant qu’elles ne surviennent. Mais la commercialisation n’est pas pour demain matin.
Les recherches, financées en partie par une société d’accélération et de transfert de technologies (SATT Nord) doivent être validées scientifiquement et déboucher sur un appareillage réaliste économiquement.
La start-up Vitibot est beaucoup plus proche du marché. Là, on n’est pas dans la recherche universitaire car la jeune entreprise a été fondée à Châlons-enChampagne par de jeunes ingénieurs diplômés qui avaient une idée en tête : commercialiser rapidement un robot capable de travailler tout seul dans les vignes. Pendant deux ans, Hector, un petit chenillard, a arpenté discrètement les coteaux champenois pour s’entraîner à faire du désherbage mécanique, de l’effeuillage ou des traitements phytosanitaires. L’idée est de réduire l’utilisation d’intrants (grâce au désherbage mécanique) ou, quand on ne peut pas faire autrement, de préserver la santé des travailleurs en les éloignant de l’utilisation de produits chimiques. Les travaux ont été si convaincants que l’équipe de Vitibot a prévu de mettre sur le marché en 2018 sa première machine de série. Bakus sera un puissant tracteur enjambeur 100 % autonome, 100 % électrique. On pourrait donc le croiser dans les rangs de vignes bien avant de croiser une voiture autonome sur les routes....
La start-up châlonnaise NeXXtep Technologies propose pour sa part d’assister l’agriculteur dans ses fastidieuses opérations de gestion des produits phytosanitaires. Sa solution “Keyfield”, qui repose sur l’usage des balises, de puces RFID et de codes-barres, permet de mesurer l’usage de phytosanitaires, de gérer les stocks et de mettre à jour automatiquement les « cahiers de culture ». Le numérique peut aider à optimiser ses coûts de production, à libérer l’agriculture de la paperasse pour qu’il se consacre à son vrai métier.
L’agriculture connectée, c’est bien sûr aussi des drones qui permettent de cartographier les parcelles, afin de déterminer l’état santé et la maturité des plantes ou le taux d’humidité dans le sol. Mais, problème, les caméras atteignent une telle puissance qu’elles produisent des masses très volumineuses et donc lourdes à transmettre au sol, puis longues à traiter. C’est là qu’interviennent à nouveau les blouses blanches du Crestic. « Nous sommes entrés en contact avec une start-up parisienne qui dispose d’un drone faisant des acquisitions d’images, et à qui l’on propose d’aller plus loin en intégrant une intelligence artificielle pour n’extraire que les points intéressants et donc limiter ensuite le travail à faire sur ordinateur », explique Eric Perrin. Avec son collègue Valeriu Vrabie, ils travaillent à installer un “nano ordinateur” sur le drone. Il serait capable de réaliser le traitement massif de données (le fameux “deep learning”) à l’aide de programmes issus de l’intelligence artificielle. C’est fou ce qu’il se passe aujourd’hui dans les airs au-dessus des champs. Et ce n’est manifestement qu’un début.
Julien Bouillé
Les AUTOMOTEURS gagnent en performance avec, un capot dynamisé, une cabine revisitée et une transmission hydrostatique ÉCO.
Depuis mai dernier, deux entités régionales Cerfrance sont réunies dans un même groupe, pour des services encore plus pertinents et performants, tout en préservant la proximité avec les adhérents.
Benoît Hureau, Président de Cerfrance CNEIDF et agriculteur à Machault, dans les Ardennes. Le nouveau groupe est présent dans 7 départements.
« La fusion de Cerfrance Nord Est - Ile de France et de Cerfrance Sud Champagne renforce en premier lieu notre capacité à accompagner nos adhérents face aux nouveaux défis et aux profonds changements économiques auxquels ils sont confrontés », détaille Eric Verjot, désormais Directeur général du groupe de conseil et d’expertise comptable Cerfrance Champagne Nord Est Ile-de-France. « Cela ne signifie pas pour autant que nous nous éloignons des valeurs associatives qui constituent notre force et notre différence, notamment un maillage territorial étroit, permettant à nos équipes de mettre au service de nos clients-adhérents une connaissance approfondie des réalités économiques locales ».
Le nouveau groupe compte 19 000 adhérents, 4 000 particuliers et 15 000 professionnels, 46 agences réparties dans 7 départements (02, 08, 51, 77, 91, 10 et 52), et 860 salariés. « Cette envergure nouvelle nous permet de proposer des prestations plus ciblées en fonction de la nature du métier et du profil de
nos clients, de renforcer leur accompagnement au quotidien par un conseiller avec lequel ils construisent une relation de confiance durable, et d’être encore plus réactifs à leurs demandes ».
Depuis plusieurs années, cette volonté se traduit par une mise à disposition de services numériques, autour d’un portail collaboratif baptisé Cerfrance Connect. « Les adhérents peuvent saisir en ligne les éléments de leur comptabilité, numérisés si besoin, et disposent d’outils gratuits d’aide à la gestion et d’archivage numérique. Ils peuvent échanger avec leur conseiller pour prendre rapidement leurs décisions. Sans oublier l’option Cerfrance Avantages, qui leur permet de profiter de réductions significatives sur des fournitures, des équipements, des matériaux, des prestations ou des véhicules de société. Leurs salariés et apprentis peuvent accéder à des places de spectacle ou des voyages à des tarifs jusqu’alors réservés aux comités d’entreprise. Enfin, l’entreprise dispose d’un espace « B to B », qui lui permet d’entrer directement en relation avec d’éventuels partenaires, clients ou fournisseurs ».
CERFRANCE CHAMPAGNE NORD EST ILE DE FRANCE
Centre d’Affaires Reims Champigny
Allée Jean-Marie Amelin - Bât A - 3e étage
CS 30020 - 51886 REIMS cedex
Contact : contact@cneidf.fr www.cerfrance.fr
Maximin Charpentier, président de la chambre d’agriculture de la Marne.
es drones, les capteurs, les caméras arrivent dans les fermes. Ces nouveaux outils produisent une nouvelle matière première : la donnée numérique. Chacun l’utilise de son côté pour nourrir son business mais il faudra aller plus loin si l’on veut aboutir à la ferme vraiment intelligente. « On est au début de l’histoire. L’agriculture dispose de certaines fonctionnalités qui sont relativement simples mais on a compris qu’en agglomérant de la donnée et en partageant les outils on allait pouvoir aller très très loin. Mais le problème aujourd’hui, c’est que personne ne veut échanger sa donnée car c’est encore difficile de valider un modèle économique avec ses propres fonctionnalités. Chacun se dit : si je cède ma donnée à tout le monde, comment demain je vais m’y retrouver ? C’est très complexe, ça fait peur », constate Maximin Charpentier, président de la chambre d’agriculture de la Marne.
En fait, s’il semble que la donnée agricole soit la propriété des exploitations, elle n’a vraiment de valeur que si elle est exploitée et coordonnée de façon globale. Dans cet écheveau d’acteurs et de technologies, l’éditeur de logiciels agricoles Smag, dont le siège se trouve à Châlons-en-Champagne, a lancé en novembre dernier un manifeste pour l’émergence d’un “big bata” agricole. La filiale du groupe coopératif In Vivo pense qu’« aucun acteur ne pourra construire et valoriser seul le big data agricole ». Des gros efforts de concertation et de partage doivent être menés pour arriver à quelque chose d’unifié et de cohérent. Le spécialiste du numérique Gilles Babinet a émis l’idée, lors de la dernière foire de Châlons, de faire émerger un “Facebook agricole” français. Un vœu pieu ? Cela vaut peut-être le coup d’essayer.
Julien BouilléTerrasolis : c’est un mini-pôle de compétitivité qui veut coordonner les actions d’innovation agricole dans la région Grand Est et promouvoir la multifonctionnalité de l’agriculture.
Terralab : géré par Terrasolis, c’est une plate-forme d’innovation née dans l’ex-base aérienne 112. Ses 240 hectares de terres, ses hangars et ses bureaux sont ouverts à toutes sortes de partenaires.
Terradata : c’est un pôle d’excellence lancé par Châlons Agglo, l’Urca, la CCI Marne et Terrasolis pour faire émerger des projets sur le numérique et en particulier sur l’interopérabilité de la donnée et sa normalisation. Une partie des projets seront testés à Terralab mais l’idée est d’ancrer des entreprises à Châlons.
Les machinistes agricoles
In Vivo et Coop de France
Le réseau des chambres d’agriculture
Les producteurs de produits phytosanitaires
Les start-up
REIMS
Terrasolis, Terralab, bioraffinerie de Pomacle-Bazancourt, Village by CA à Bezannes, le projet de pavillon biéconomie de l’Exposition
Universelle 2025
EPERNAY
Bioéconomie et vignoble
CHÂLONS-EN-CHAMPAGNE
Planet A (collectif d’experts, d’acteurs économiques et politiques), Terradata et IHEDA (projet d’Institut des Hautes Études de l'Agriculture)
Spécialiste de la pyrotechnie depuis 1988, Euro Bengale vient de signer une convention avec l’aéroport Paris-Vatry pour le stockage d’explosifs dans son nouveau dépôt
Avec 100 soutes de stockage sur une surface de 25 000 m2, la plateforme ouverte par Euro Bengale depuis avril dernier à Connantray-Vaurefroy est la plus grande installation française dédiée au stockage d’explosifs. « Il s’agit d’une Installation Classée pour la Protection de l’Environnement, de type Seveso Seuil Haut », détaille Bernard Deom, directeur d’Euro Bengale. « Pour assurer son exploitation, nous avons embauché dix salariés, diplômés et habilités par la préfecture, l’objectif étant de 35 emplois en allure de croisière ».
En novembre dernier, Euro Bengale a signé une convention mutuelle de support avec l’aéroport ParisVatry, situé à 7 kilomètres de la plateforme : « nous transportons et stockons temporairement les explosifs qui transitent par l’aéroport, l’un des deux seuls en France habilités par la Direction Générale de l’Aviation Civile pour les opérations de chargement d’explosifs civils ou militaires à bord des avions».
Pour assurer cette activité rigoureusement encadrée, Euro Bengale s’appuie sur une expertise acquise
depuis 30 ans dans la production de feux d’artifice : « nous gérons depuis plusieurs années 2 entrepôts où nous gardons près de 100 tonnes d’explosifs, Cela implique une application stricte de nombreuses règles de sécurité, trop rarement respectées ». Également Président du Syndicat de la Pyrotechnie de Spectacle et de Divertissement (www.spsd.info), Bernard Deom milite en effet depuis longtemps pour un contrôle renforcé de la profession. « Selon nos estimations, moins de 5 % des entreprises recensées dans le secteur des feux d’artifice respectent la législation, alors que les collectivités locales constituent l’essentiel des commanditaires, et que leur responsabilité peut être engagée en cas de contrôle ou d’accident. Rappelons que tous ceux qui font commerce des feux d’artifice doivent disposer d’un agrément technique préalable, nominatif, délivré par la préfecture, et renouvelable tous les 5 ans. À ne pas confondre avec le certificat de qualification de tireur de feu d’artifice, qui ne concerne que l’installation et le tir du feu, mais en aucun cas le stockage et l’emploi, l’agrément technique étant en quelque sorte le permis de conduire de l’artificier ».
Le Bochet
08390 SAUVILLE
Tél. 03 24 30 62 61 www.eurobengale.com
La plateforme de Connantray s’étend sur une longueur de 4 km et une largeur de 800 mètres.L’ACCESSOIRE VESTIMENTAIRE CONTINUE-T-IL DE SÉDUIRE LES PROFESSIONNELS ?
LE COSTUME-CRAVATE A-T-IL TOUJOURS
LA FAVEUR DES SELF-MADE-MEN, CHEFS
D’ENTREPRISE ET JEUNES RASTIGNAC EN QUÊTE DE RECONNAISSANCE ? OUI ET NON. DANS LA LIGNÉE D’UN STEVE JOBS QUI AVAIT
ADOPTÉ UN LOOK “COL ROULÉ”, L’ALLURE EST PLUS DÉCONTRACTÉE. MAIS LES MODES
ÉTANT CE QU’ELLES SONT, LA TENDANCE
RAPPELLE LA CRAVATE ET HABILLE TOUJOURS
L’ÉLÉGANCE ET LE SÉRIEUX.
PAR CLAIRE HOHWEYER
Chez Mumm, la cravate, rouge de préférence, comme le cordon de la bouteille emblématique, représente l’appartenance à la maison, portée ici par le nouveau directeur de la marque et de Perrier-Jouët, Christophe Danneaux.
Qui aurait cru que la cravate, cet accessoire si typiquement masculin, aurait pu devenir le centre de l’attention politique à l’été 2017 ?
Sûrement pas les médias. Et pourtant. Refusant de se soumettre au code vestimentaire - finalement jamais inscrit dans le règlement qui ne mentionne qu’une “tenue correcte exigée” - Jean-Luc Mélenchon suivi du mouvement des Insoumis refusa alors de porter la cravate dans l’hémicycle. Un ensemble de “sans-cravate” pour rappeler les “sans-culotte” qui n’avait de but qu’un effet de manche politique. Quelques semaines plus tard, il la portait à nouveau.
La cravate comme outil d’expression ? Sans aucun doute. Apparue, selon les origines de l’accessoire, au IIIe siècle avant Jésus-Christ en Chine, elle s’est réellement développée à l’époque des Hussards croates sous Louis XIII, sous forme d’écharpe nouée,
La cravate représente une présence, une bonne présentation et un certain respect.
Alain Audeval, vendeur chez Mistral
avant de connaître sa version moderne dans les années 1920 à New-York. Avant cela, Louis XIV lui-même avait créé la fonction de “cravatier”. C’est dire l’importance de la mise, jusqu’au moindre détail, au plus haut sommet du pouvoir.
Mais au XXIe siècle, que dit-elle de l’homme qui porte la cravate ? Pour Steve Jobs, feu le patron d’Apple, ou plus récemment Xavier Niel, elle n’était, n’est visiblement pas indispensable, pour eux qui ont adopté le pull à col roulé. Délaisser le style BCBG pour séduire
de plus jeunes générations pour lesquelles la cravate rappelle trop les anciennes ?
Sûrement.
Pourtant, les modes passent et la cravate reste. Preuve en est la tenue “costume-cravate” de rigueur dans les milieux de la finance des banques. Dans le milieu du champagne, elle n’est pas exigée mais reste de mise. La cravate fait partie de la panoplie du gentleman. Et permet même de jouer un dress-code lié à une marque. Par exemple, la cravate rouge rappelant le cordon rouge de la marque de champagne Mumm. A Reims, le prêt-à-porter masculin ne se dépare d’ailleurs pas des rayons cravates. Tailor corner dispose de rayons vertigineux. Chez Mistral, pour Alain Audeval, vendeur, « elle représente une présence, une bonne présentation et un certain respect ». Pour soi-même et la personne à laquelle on s’adresse. Un bon point pour une embauche. Une association nommée “La Cravate solidaire” a même été créée il y a cinq ans pour soutenir des personnes en recherche d’emploi. La cravate peut apporter une assurance, une fonction mais peut aus-
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si se montrer moins conventionnelle qu’elle ne le fut. De Ryan Gosling dans “La la land” à Jimmy Fallon dans le “Tonight show” ou le “Saturday night live” en passant même par Emmanuel Macron, la cravate se fait plus étroite encore, moins stricte mais toujours chic. La mode n’étant pas le seul apanage des femmes, et heureusement, tout homme qui apprécie porter la cravate possède mille et une façons de l’apparier à sa tenue ! Tout dépend du message qu’il souhaite envoyer à son auditoire. La cravate a encore de belles années devant elle…
Emilien Boutillat, jeune œnologue chez Armand de Brignac, choisit le port de la cravate pour les présentations de cuvées dans un contexte élégant et chic.
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Parmi les références de Concept Soirée, Events Conseil, L’union, Frey, Horizon Bleu, Reims Evénements, et de grandes Maisons de champagne.
Depuis 13 ans, Bruno Marlois met sa passion de l’audiovisuel, de l’éclairage et des nouvelles technologies au service des événements organisés par les particuliers et les entreprises du Grand Est et de la région parisienne.
« Quelques mois après avoir décroché un BTS métiers du son au lycée de la Salle à Reims, j’ai créé mon activité, initialement axée sur les événements privés, essentiellement les mariages », raconte Bruno Marlois, fondateur et dirigeant de Concept Soirée. « Peu à peu, je me suis orienté vers la clientèle des entreprises, qui représente aujourd’hui 90% de mon chiffre d’affaires, d’abord pour des cocktails et des soirées VIP, puis pour des prestations en journée, type séminaire, conférence, assemblée générale, lancement de produit, inauguration d’un centre commercial ou d’une concession automobile, conception d’un stand pour un salon ou une foire... ».
Travaillant seul durant les dix premières années de son aventure, épaulé par une douzaine d’intermittents fidèles et par son épouse, qui lui apporte « une aide au quotidien et un regard féminin sur chaque idée », Bruno Marlois est aujourd’hui entouré de deux collaborateurs, un commercial et un responsable logistique. « C’est un poste essentiel, car nos clients
attendent beaucoup d’efficacité de notre part, notamment dans le timing des installations ». Autre atout majeur de Concept Soirée : l’inventivité. « Je scénarise chaque événement, en intégrant des effets spéciaux, pour en faire un moment réellement exceptionnel. Je suis très à l’affut de nouvelles idées présentées dans les salons spécialisés organisés autour du monde, et je les adapte pour proposer sans cesse des animations inédites et surprenantes ». Ce recours aux technologies innovantes est même devenue une signature pour l’entreprise, au point qu’une nouvelle marque, « MAZING », sera très bientôt créée pour proposer une offre clefs en main autour de ces outils de communication. On citera 13 ShootingBox (des bornes photo interactives personnalisables signées Concept Soirée), des totems tactiles pour présenter des produits de façon ludique, des feux d’artifice intérieurs, un écran géant sur remorque pour retransmettre tout type d’événement, des expériences de réalité virtuelle prochainement personnalisables à volonté, des vitrines et projecteurs holographiques ou des écrans leds morcelables à volonté...
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CONSEILS POUR NE PAS COMMETTRE DE FAUXPAS DANS LE PORT DE LA CRAVATE AVEC SON COSTUME. UNE RÈGLE SIMPLE : ÊTRE À L’AISE.
« Sous un costume noir ou bleu foncé, porter une chemise blanche ou bleu ciel, discrète, elle sera une bonne base de la tenue », assure Alain Audeval, de Mistral.
Pour un entretien professionnel, on la choisira unie de préférence, « sobre, très discrète », assure Alain Audeval. Sauf si le milieu professionnel est plus créatif auquel cas, une couleur, sans tomber dans le jaune canari, peut avoir son petit effet.
Comme pour le pantalon : même couleur, même coupe ajustée. Ni trop large, ni trop courte. Avec différentes poches, à fines rayures, unie, les possibilités sont larges.
Il va sans dire que le pantalon sera de la même couleur que la veste. Un basique. Un gilet peut même accompagner la veste et le bas pour un costume “trois-pièces”.
À choisir : en cuir ou vernies et à lacets ou à boucles. Des Richelieu ou derbies, classiques ou des Brogues, plus fines, avec de petites perforations. Pas de mocassins avec un smoking.
BILAN 2017 ET PERSPECTIVES 2018 AVEC DEUX SPÉCIALISTES DE CDER, 1RE ASSOCIATION DE GESTION ET DE COMPTABILITÉ DE FRANCE, QUI COMPTE 3 000 EXPLOITANTS ET 3 000 VITICULTEURS PARMI SES ADHÉRENTS.
Que retenir de 2017 ?
Jean-Marie Lett, directeur du service conseil : « des rendements très moyens pour les cultures d’été, blé ou céréales, et plutôt satisfaisants pour les cultures d’automne, comme la betterave et le maïs. Les prix sont restés faibles, à cause d’une récolte mondiale exceptionnelle, et de stocks historiques. Au delà des explications conjoncturelles, il faut noter que ces prix bas sont devenus la norme depuis 3 ans, et qu’il va falloir en tenir compte ».
Quel impact sur les revenus des exploitants ?
« Malgré des rendements moyens et des prix décevants, les revenus 2017 se situent dans la moyenne des 5 dernières années, en grande partie grâce à la baisse des charges et notamment les engrais, les charges sociales exploitant et les amortissements. Cependant, on constate de grands écarts de revenus entre exploitations et
entre régions : La Champagne crayeuse dépasse en moyenne 300 E/ha grâce à ces cultures diversifiées alors que la Brie, le Vallage et l’Argonne seront en dessous de 200 E/ha ».
Quelles tendances pour l’élevage ?
« On enregistre un petit mieux pour les producteurs de lait, autour de 40 euros pour 1 000 litres. Mais ils ne profitent que très faiblement de la hausse des prix du beurre à l’international. Le prix de la viande bovine se maintient grâce aux exportations ».
Comment s’annonce 2018 ?
« Difficile avec des marchés dépréciés, une baisse des aides à l’hectare de 150 euros entre 2014 et 2020, un endettement en hausse de 40 % sur les 10 dernières années, et une exposition de plus en plus forte aux fluctuations du marché. Pour s’adapter, les exploitants doivent rapidement réduire leurs coûts de revient, et aller chercher de la valeur ajoutée dans de nouvelles activités. Mais au-delà de 2018, nous sommes à
l’aube d’une nouvelle révolution agricole, avec l’émergence de nouvelles technologies : drones, satellites, tracteurs autonomes ou robots de culture vont bouleverser le paysage agricole à condition que les règles qui pèsent sur le secteur bougent aussi ».
2017, un bon cru pour la filière ?
Bertrand Trepo, responsable du marché viticole :
« En apparence, tous les indicateurs sont au beau fixe. Les objectifs de rendement AOC ont été presque atteints, la qualité sera au rendez-vous grâce au tri et au travail des chefs de cave, et pour la 1re fois depuis 8 ans, les ventes en France ont augmenté de 0,2 % sur les 10 premiers mois de 2017. Le prix du raisin est orienté à la hausse, parfois même fortement. Mais j’y vois une situation de crise confortable, qui pourrait présager de profonds changements dès la fin 2018 ».
Pourquoi cette inquiétude ?
« Les Maisons assurent 72 % des ventes de bouteilles, alors que les vignerons possèdent environ 90 % des hectares de vignes. La part de leur ré-
Nous sommes à l’aube d’une nouvelle révolution agricole, comparable à celle de la 2e moitié du 20e siècle
Jean-Marie Lett, responsable du service conseil
colte sous contrats au négoce atteint aujourd’hui 63 %, ce qui leur permet de compenser la baisse des ventes de leurs champagnes constatée depuis 2010. Mais je ne pense pas que les Maisons de Champagne aient envie de payer le raisin, de moins en moins rare, toujours plus cher. Attention au prévisible retour de bâton ! »
Quelle solution ?
« Les bonnes capacités d’investissement dans le vignoble doivent être réorientées de la production vers le commerce. Nous disposons déjà de l’un des meilleurs outils de travail au monde. Nous devons aujourd’hui financer la création de postes de commerciaux, et nous doter d’une communication et d’un marketing innovants ».
Recueilli par Jacques Taquet
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LES ÉTUDES CONCORDENT : LA MAISON INDIVIDUELLE RESTE LE LOGEMENT IDÉAL POUR L’ÉCRASANTE MAJORITÉ DES ACQUÉREURS.
MAIS À L’HEURE DU CHOIX ENTRE CONSTRUCTION NEUVE ET BIEN ANCIEN, L’ASPECT FINANCIER EST PRIMORDIAL. COMPARATIF DÉTAILLÉ DES DEUX OPTIONS.
PAR JACQUES TAQUET
C’est le type de maison le plus vendu, dans le neuf comme dans l’ancien : un pavillon de 90 m2, avec 3 chambres, un garage et un terrain d’environ 500 m2, dans une commune située à une dizaine de kilomètres d’une agglomération. Ce logement constitue donc une bonne référence pour comparer les prix.
Avant de faire construire, il faut d’abord acheter un terrain. Sans surprise, le prix varie fortement selon les zones : comptez 47 E le m2 dans les environs de Laon, 66 E le m2 dans le secteur de Charleville-Mézières, et 177 E le m2 autour de Reims. Soit un maximum de 88 500 E. Dans tous les cas, il faut également s’acquitter des “frais de notaire”, qui sont en réalité essentiellement constitués de taxes diverses, et qui représentent 7 à 8 % du montant de l’acquisition. Si le terrain n’est pas viabilisé, il faut prévoir des frais de raccordement, au minimum 2 000 E si les réseaux se trouvent à proximité, mais qui peuvent grimper jusqu’à 20 000 E dans les cas difficiles.
Autre impôt, lié cette fois à la délivrance du permis de construire : la taxe d’aménagement, payable en deux fois au delà de 1 500 E (12 mois et 24 mois après l’obtention du permis). Révisé chaque année, son
montant varie suivant le taux fixé par plusieurs collectivités locales. Pensez à vous renseigner en mairie.
Reste bien entendu le poste principal, le coût de la construction. Si la moyenne nationale s’élevait à 190 000 E TTC en septembre 2017, les prix dépendent largement de la surface habitable, du choix des matériaux et des finitions et équipements demandés. Dans notre exemple, ils vont de 65 000 E pour une maison avec participation du client aux travaux, à 110 000 E minimum pour un pavillon plus haut de gamme. À noter que ces prix intègrent la TVA, 20 % du montant dans la plupart des cas. Et que si le logement est bâti dans le cadre d’un Contrat de construction de maison individuelle, les frais de notaire ne concernent que l’acquisition du terrain.
PRIX TOTAL DU PAVILLON (sans la taxe d’aménagement) entre 93 000 et 207 000 E
« Faire construire, c’est d’abord concevoir une maison qui correspond parfaitement à vos attentes, et qui ne nécessite pas de travaux » souligne David Pinto, chef des ventes du groupe Geoxia nord-ouest, qui regroupe 3 marques, Maisons Castor, Maisons Phénix et Maison Familiale. « On peut aussi compter sur des charges réduites de chauffage et d’énergie, grâce à la certification RT 2012, obligatoire pour toute construction neuve. Et dans le cadre d’un CCMI, on évite les mauvaises surprises même après la réception des travaux, grâce aux garanties de livraison, des vices apparents, de remboursement, sans oublier la décennale dommage ouvrage ».
Pour comparer efficacement une maison ancienne à une construction neuve, il ne faut pas seulement prendre en compte la surface et la localisation, mais raisonner à prestations équivalentes, notamment en matière de dépenses énergétiques.
Mais ils ne comprennent pas les frais de notaire, plus élevés que dans le neuf, autour de 8 % du prix de vente. Autrement dit, comptez 15 580 E pour une maison vendue 200 000 E
PRIX TOTAL D’UNE MAISON ANCIENNE
entre 108 000 et 215 580 E au maximum 245 000 E si travaux importants de rénovation énergétique
Comme pour le neuf, penchons-nous sur le bien le plus vendu actuellement, un pavillon de 90 m2 construit dans les années 80, à environ 10 km d’une agglomération. Dans l’Aisne, on peut trouver son bonheur à partir de 100 000 E net vendeur. À quelques encablures de Charleville-Mézières, le prix oscillera plutôt autour de 125 000 E. Près de Reims, il atteindra facilement 200 000 E Ces prix incluent la TVA et les honoraires de l’agence, à la charge du vendeur, et qui correspondent à un pourcentage dégressif en fonction du montant demandé.
« Il faut relativiser ces chiffres », explique Frédéric Tourteaux, directeur de L’Agence à Reims. « L’évaluation du montant des travaux de rénovation énergétique correspond à un maximum rarement atteint, sans oublier que des aides financières sont accordées pour ces démarches. Dans la plupart des cas, un bien construit il y a moins de 40 ans ne demande que des aménagements aux incidences financières beaucoup plus légères. Le charme de l’ancien continue à fonctionner, puisque les ventes atteignent cette année des niveaux jamais atteints depuis 2008. Beaucoup d’acquéreurs apprécient de pouvoir se projeter quand ils visitent un bien, ce qui est plus difficile quand on est confronté à un plan ».
À surveiller de près quand on se porte acquéreur d’un bien ancien : le DPE, Diagnostic de Performance énergétique, obligatoire et réalisé par un diagnostiqueur certifié. À moins d’une complète rénovation de la maison avant sa mise sur le marché, qui entraînera forcément une hausse du prix demandé, les maisons bâties dans les années 80 se voient attribuer un classement E : elles sont encore équipées de chauffages électriques ancienne génération et de menuiseries en bois.
Inutile d’imaginer que des travaux permettront d’égaliser les performances d’une maison RT 2012. On peut espérer s’en approcher et atteindre le classement C, mais il faudra effectuer d’importants travaux d’isolation, changer les portes, les fenêtres, la chaudière et les convecteurs. Un investissement qui peut atteindre 30 000 E dans les cas les plus critiques.
Autre risque lié à l’achat d’un bien ancien : en cas de découverte d’un vice caché après la signature de l’acte notarié, il faudra intenter une action et prouver la mauvaise foi du vendeur.
Les fonds mis en place dès cette année permettront de soutenir les opérations prioritaires pour le développement du territoire.
« Ces 3 dispositifs nous permettent de bénéfi de financements ou de cofinancements importants pour des opérations identifiées comme prioritaires pour le territoire », détaille Renaud Averly, Président de la Communauté de communes du Pays rethélois. « Pour chacun d’entre eux, nous avons constitué un dossier très précis, et nous l’avons défendu auprès des organismes chargés de sélectionner les candidatures ».
Chaque fonds correspond en effet à un besoin recensé auprès des professionnels d’un secteur d’activité précis, comme l’Opération de Restructuration de l’Artisanat et du Commerce : « d’un montant total de 500 000 € sur 3 ans, ce dispositif permettra de soutenir financièrement les entreprises de moins de 10 salariés à hauteur de 20 à 30 % de leurs dépenses d’investissement, comme la modernisation de l’outil de production, la mise aux normes d’un magasin en matière d’accessibilité aux personnes à mobilité réduite ou l’achat de véhicule professionnel aménagé. Un autre volet concerne les actions collectives et les animations ». Les créateurs et repreneurs d’entreprises sont quant à eux concernés par la convention signée par le consortium (Communauté de communes du Pays rethélois et chambres économiques des Ardennes)
ORAC, AFE, POCE : encore mystérieux pour beaucoup, ces sigles devraient rapidement devenir familiers aux chefs d’entreprise, artisans, commerçants et porteurs de projet de la Communauté de communes.
avec l’Agence France Entrepreneur. « Un guichet unique sera créé pour simplifier l’accompagnement des porteurs de projet et leur accès aux organismes partenaires. Ce fonds bénéficiera en tout de 600 000 €, dont 300 000 abondés par l’AFE, le reste par la Région Grand Est, l’Europe, la Caisse des Dépôts et Consignations et la Communauté de communes du Pays rethélois ».
Enfin, le Pacte Offensive Croissance et Emploi conclu avec la Région Grand Est permettra à l’intercommunalité de mener des actions complémentaires au Schéma Régional de développement économique, autour de 4 priorités structurantes : l’activité logistique, le secteur agroalimentaire et les circuits courts alimentaires locaux - en phase avec l’essor de l’économie circulaire -, l’énergie et l’économie touristique. Précision importante : ces dispositifs ne remplaceront pas mais complèteront les outils mis en place par la Communauté de communes et la Région Grand Est : « nous poursuivrons par exemple notre politique foncière et immobilière, avec la poursuite des aménagements de nos zones d’activité pour l’accueil rapide et qualitatif de nouvelles entreprises ». Pour tout projet, n’hésitez pas à nous contacter !
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Création de l'Impôt sur la Fortune Immobilière, hausse de la CSG sur les plus-values, recentrage du Pinel et du PTZ, baisse des APL : 2018 serait-elle une "annus horribilis" pour l'immobilier ? Les professionnels restent pourtant sereins.
« Oui, l'immobilier reste l'un des investissements les plus intéressants du marché », affirme d'emblée Fabrice Cellier, Directeur commercial de la FIC (Financière Immobilière de Champagne) et conseiller en gestion de patrimoine. « Si on prend les réformes une à une, elles ne modifient pas les fondamentaux qui ont permis à l'immobilier de devenir et de rester l'un des placements préférés des Français ». À commencer par le remplacement de l'ISF par l'IFI : « Les taux restent inchangés, il n'y a donc pas de bouleversement majeur pour les propriétaires d'un patrimoine immobilier supérieur à 1,3 million d’euros. De plus, cela ne concerne qu'une minorité de contribuables, qui disposent de surcroît de plusieurs dispositifs leur permettant de diminuer le montant de leur impôt, par exemple la nue-propriété, une formule qui permet d'acquérir un bien dont on cède l'usufruit durant 15 à 20 ans à un opérateur, généralement un bailleur social ».
Destinées à flécher l'investissement vers les entreprises, les mesures entrées en vigueur le 1er janvier ne devraient pas pour autant détourner les épargnants de l'immobilier : « Tout placement doit être comparé à l'ensemble des offres existantes. Et l'immobilier possède toujours des atouts majeurs ».
On citera notamment l'effet de levier du crédit : « C'est le seul placement qui peut être financé à plus de 80 % par un emprunt, une spécificité d'autant plus intéressante que les taux d'intérêt restent historiquement bas. Cela en fait le meilleur moyen de se constituer un patrimoine tranquillement et sûrement, soit en générant un revenu locatif éventuellement
Pour favoriser la construction en zone tendue, les propriétaires vendeurs bénéficieront prochainement d’un abattement fiscal sur les plus-values réalisées lors de la vente d’un terrain. L’exonération pourra atteindre 100 % si la vente est réalisée en vue de réaliser des logements sociaux.
accompagné d'une défiscalisation, soit en réalisant une plus-value à long terme. Mais, plus que jamais, cela implique de bien sélectionner le quartier et la ville où l'on achète ».
Le recentrage du dispositif Pinel vers les zones les plus tendues ne devrait pas non plus bouleverser le marché immobilier : « La défiscalisation s'apparente à une cerise sur le gâteau. De plus en plus d'acquéreurs l'ont compris, comme en témoigne l'arrivée sur le marché de clients plutôt jeunes, qui achètent de grandes surfaces et les louent quelques années avant de s'y installer. Et même en cas de suppression de tout dispositif d'incitation fiscale à investir dans le neuf, un scénario improbable selon moi, les investisseurs classiques, qui représentent généralement la moitié des acquéreurs d'un programme, pourront se tourner vers le marché de l'ancien, et profiter du déficit foncier en cas de travaux ou des avantages liés à la location meublée ». À l'appui de cette analyse, on notera que le volume des transactions a poursuivi sa progression cet automne, dans le neuf comme dans l'ancien.
Véritable booster des ventes dans l’ancien et le neuf, le Prêt à Taux Zéro n’est pas supprimé, mais « réorienté ». Dans les zones classées comme tendues, il sera réservé aux acquisitions d’un bien neuf. Dans les zones B2 et C, soit l’ensemble de la Marne, l’Aisne et les Ardennes à l’exception de Reims et Villers-Cotteret, il est reconduit jusque fin 2019 dans le neuf et dans l’ancien. Mais son enveloppe sera limitée à 20 % du montant maximal de l’acquisition contre 40 % aujourd’hui. Selon les estimations du réseau de courtage Empruntis, 23 % des bénéficiaires du PTZ en 2017 n’y auront pas droit cette année.
Si le dispositif de défiscalisation dans le neuf est reconduit pour 4 ans dans les mêmes conditions qu’auparavant, il est désormais réservé aux zones les plus tendues.
Le régime d’imposition sur les plus-values immobilières reste inchangé, mais les prélèvements sociaux augmentent de 1,7 point. Concrètement, cela concerne tous les biens acquis depuis moins de 30 ans. Cette hausse de la CSG ne sera pas déductible des revenus, car les plus-values immobilières sont imposées au forfait et non au barème.
L’Impôt sur la Fortune immobilière concerne environ 150 000 contribuables. Par rapport à l’ISF, le barème et les taux ne changent pas. L’abattement de 30 % sur la résidence principale est également maintenu.
Le recentrage du dispositif Pinel vers les zones les plus tendues ne devrait pas non plus bouleverser le marché immobilier : « La défiscalisation s’apparente à une cerise sur le gâteau. De plus en plus d’acquéreurs l’ont compris, comme en témoigne l’arrivée sur le marché de clients plutôt jeunes, qui achètent de grandes surfaces et les louent quelques années avant de s’y installer. Et même en cas de suppression de tout dispositif d’incitation fiscale à investir dans le neuf, un scénario improbable selon moi, les investisseurs classiques, qui représentent généralement la moitié des acquéreurs d’un programme, pourront se tourner vers le marché de l’ancien, et profiter du déficit foncier en cas de travaux ou des avantages liés à la location meublée ». À l’appui de cette analyse, on notera que le volume des transactions a poursuivi sa progression cet automne, dans le neuf comme dans l’ancien.
Visiblement très mécontents de devoir baisser certains loyers pour compenser la diminution des APL, les bailleurs sociaux se préparent aussi à une réorganisation visant à réduire leur nombre, environ 800 aujourd’hui. Fusions et autres mariages sont déjà évoqués...
Les richesses industrielles de nos régions, avec tout leur potentiel de technologie et d’emploi, sont parfois méconnues. Le site AMADA de Charleville-Mézières est l’un de ces potentiels. Reconnu comme l’un des leaders mondiaux dans le secteur de la machine-outil, et présent depuis plus de 40 ans en Europe, et 30 ans à Charleville-Mézières, le Groupe AMADA conjugue tradition, expertise japonaise et le meilleur du savoir-faire français.
Dans ses huit sites de production européens, dont trois en France, AMADA fait preuve d’un engagement économique durable aux côtés des entrepreneurs pour favoriser les gains de productivité et développer l’activité et l’emploi sur nos territoires.
Ces dernières années, plusieurs dizaines de millions d’euros ont été investis et des bâtiments construits en France notamment à Charleville-Mézières (08) et à Château-duLoir (72). Ces projets ambitieux ont vocation à soutenir le développement technologique des usines, à favoriser la performance industrielle et la compétitivité du Groupe et à renforcer nos centres de production pour développer les activités d’AMADA en Europe.
Cette aventure industrielle qui s’inscrit dans la continuité et dans la durée, est partagée avec les acteurs de la vie économique locale, favorisant ainsi l’emploi, et suscitant des parcours de carrières dans des métiers liés à la haute technologie.
Un interlocuteur unique pour cinq métiers
Opérateur d’infrastructures IT indépendant né à Reims en 1997, HEXANET propose des solutions personnalisées, souples et sécurisées, grâce à une approche globale des outils informatiques.
Les équipes d'HEXANET disposent d'outils innovants, dont 4 Data Centers implantés en France.
En 2017, HEXANET intégrée au groupe Isagri compte 73 collaborateurs répartis sur son siège social de Reims et ses 4 agences commerciales (Paris, Beauvais, Le Mans et Angers). Hexanet a célébré son 20e anniversaire en toute sérénité, grâce à une croissance de 15 % de son chiffre d’affaires par rapport à la période précédente.
« Cela confirme notre stratégie, apporter une réelle valeur ajoutée dans nos 5 domaines d’expertise : les télécoms, la téléphonie, le web, l’infogérance et l’hébergement, dont le développement constitue l’un de nos objectifs prioritaires dans les mois qui viennent », détaille le Directeur général Lionel Marchaud. « Nous souhaitons en effet construire d’ici 2019 une nouvelle salle à notre Data Center Rémois de nouvelle génération. Nous nous préparons aussi à l’obtention en 2018 d’une nouvelle certification, le label ISO 27001, visant à mettre en place un renforcement du management et de la sécurisation des systèmes hébergés dans nos Data Centers ». Pour continuer à améliorer la qualité de ses services, HEXANET a recruté l’an dernier un directeur technique et un directeur relations clients, « afin d’assurer une meilleure transversalité entre nos équipes pour apporter à nos clients encore plus de satisfaction. »
Très présente dans la moitié nord de la France, HEXANET a pour objectif d’ouvrir prochainement de nouvelles agences dans le sud de la France pour renforcer sa présence auprès de ses clients.
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LE CLASSEMENT DES GRANDES ENTREPRISES DE LA RÉGION 83/122
Palmarès
La Société LEMOINE STORE DECO est aujourd’hui, la première entreprise de l’Aisne à disposer des trois certifications, NF Service, ISO 14001 et Qualibat Reconnu Garant de l’Environnement. Cette entreprise familiale dont les activités principales sont la fabrication et la pose de fermetures pour l’habitat, de protection solaire et de vérandas n’a eu de cesse de tendre vers la perfection afin d’offrir à sa clientèle des services d’excellence.
Depuis sa création, STORE DECO LEMOINE connaît une croissance régulière de son activité qui se matérialise par l’augmentation continue de son chiffre d’affaire pour atteindre 4.7 M€ et 34 salariés en 2017. En raison de la crise économique la société a réorienté au début de l’année 2010 sa stratégie par une montée en gamme qui a été accompagnée par une augmentation de la qualité de ses prestations. Fort de cette orientation, STORE DECO LEMOINE obtient la certification NF SERVICE Bâtiment délivrée par l’AFNOR qui atteste d’un niveau d’excellence en termes de service à la clientèle.
STORE DECO LEMOINE a adopté une démarche écoresponsable qui a été validée par l’obtention en juillet 2012 de la certification ISO 14001. Ce processus d’amélioration continue a permis à la société de minimiser ses impacts environnementaux. Ceci implique une gestion saine des déchets via le tri sélectif, des achats verts ou encore une optimisation des déplacements. Depuis 2013, STORE DECO LEMOINE est également certifiée Qualibat RGE « Reconnu Garant de l’Environnement ».
La mention « RGE » est un outil garantissant aux particulier que les entreprises contractées « respectent des critères objectifs et transparents » dans la réalisation des travaux de rénovation énergétique. Cela permet aux clients de STORE DECO LEMOINE de bénéficier du crédit d’impôt de 15% pour la rénovation de ses fenêtres jusqu’au 1er Juillet 2018, et d’un taux de TVA réduit à 5,5 %.
Grâce à une formation continue et à un très faible turn-over, les techniciens poseurs de STORE DECO maîtrisent et se transmettent les méthodes traditionnelles de pose tout en respectant les normes et DTU (données Techniques Utiles) en constante évolution. Ce savoir-faire doit également s’accompagner de la maîtrise des nouvelles technologies connectées et de la domotique pour le pilotage à distance des volets roulants, stores ou encore portail et portes de garage, ainsi que les alarmes sans fils pour la sécurité des biens et des personnes. Aujourd’hui, STORE DECO LEMOINE regarde vers l’avenir avec sérénité, tout en consolidant son savoir-faire traditionnel et artisanal, qui fait le succès de l’entreprise depuis plus de 38 ans.
STORE DECO LEMOINE
Rue Paul Emile Victor 02100 SAINT-QUENTIN
Tél. +33(0)32 367 2620 - Fax : +33(0)323678140 info@store-deco.com
LE "MARKETING DE RECOMMANDATION", AUTREMENT
DIT LA CRÉATION D'UN RÉSEAU DE PARTENAIRES ET DE CLIENTS, S'AVÈRE SOUVENT AUSSI EFFICACE QUE
LES OUTILS DE PROMOTION CLASSIQUES. DANS LA RÉGION, DE PLUS EN PLUS DE CLUBS D'AFFAIRES
FAVORISENT LES RENCONTRES.
Leader mondial du secteur, Business Network International compte 17 groupes dans la Marne, l’Aisne et les Ardennes. Choisis sur recommandation, les membres se réunissent lors d’un petit-déjeuner hebdomadaire.
Fondé en 2016 par Dominique
Lebrun, PDG de Tercom, le Champagne-Ardenne Business Club propose des déjeuners-débats organisés au Stade Delaune à Reims. Il compte déjà plus d’une centaine de membres.
Présent à Reims, Saint-Quentin, Châlons, Vitry-le-François et Charleville, ce réseau français s’implante peu à peu dans la région. Réunions tous les 15 jours, dans un lieu convivial ou une entreprise.
Fondée en 2007, l’antenne rémoise de ce club national organise chaque année une dizaine de soirées au Domaine Les Crayères, avec l’intervention d’une personnalité et un dîner-dégustation de vins.
Comme son nom l’indique, ce réseau lancé par la CCI Marneen-Champagne regroupe des entrepreneures débutantes ou aguerries, qui échangent autour de sujets pratiques et de leurs expériences.
Réunissant les partenaires du CCRB, ce club propose des apéritifs d’avant match, des petits-déjeuners, des conférences et des événements sportifs ou ludiques (tournois, soirées à thème...).
Lancé par le réseau national Golfy, ce club réunit des décideurs
amateurs de golf de tout niveau. Parmi les avantages proposés, une journée B to B est organisée chaque année au Golf de Reims, à Gueux.
La CCI Marne-en-Champagne multiplie les occasions de rencontres d’affaires (visites, speed-meetings...). Elle a aussi créé 2 réseaux thématiques autour de la création et de la transmission.
Même si leur vocation reste l’action caritative, ces clubs font souvent office de réseau professionnel. Ils bénéficient notamment d’une implantation solide dans des communes de toute taille.
Les loges créent incontestablement des liens étroits entre des membres unis par des valeurs communes. Place forte maçonnique, Reims compte ainsi 600 frères et soeurs dans 14 loges.
"Le bon dosage, c'est 2/3 de donneurs d'ordre et 1/3 de prestataires"
Dominique Lebrun, directeur du Champagne-Ardenne Business Club
Créés en 1991, les bilans de compétences se font une place dans les nombreux dispositifs liés au Droit Individuel à la Formation, mais à petits pas : sur le plan national, 50 000 ont été menés en 2016 contre 32 000 en 2010, selon les Opacif, organismes paritaires chargés de collecter les contributions des entreprises au titre du Droit Individuel à la Formation. Un chiffre qui n’intègre pas les évaluations proposées par Pôle Emploi, plus courtes et plus pratiques, assurées par des structures spécifiques. Pour Eric Claudon, directeur de l’antenne rémoise du CIBC Alsace-Champagne-Ardenne, qui réalise chaque année environ 500 bilans de compétences dans le Grand Est, « nous souffrons d’un incontestable déficit
Pour bénéficier d’un congé de bilan de compétences, il faut justifier pour les CDI d’une activité d’au moins 5 ans, dont 12 mois dans l’entreprise actuelle. Pour les CDD, une activité salariée d’au moins 24 mois durant les 5 dernières années, dont 4 mois au cours des 12 derniers mois, est exigée. Les commerçants, travailleurs indépendants, chefs d’entreprises doivent quant à eux se renseigner auprès du Fongecif pour obtenir la liste des centres agréés. Aucun financement en vue, mais l’inscription de cette prestation au bilan comptable, déductible des charges en cas d’imposition sur le bénéfice.
de notoriété. L’idée d’une évaluation personnelle, assimilée à une forme de jugement, peut également rebuter certaines personnes. Enfin, il faut être prêt à s’investir personnellement de manière forte pour aller au bout de la démarche ».
Pourtant, le bilan de compétences « concerne aussi bien les salariés du public et du privé que les non-salariés, avec des prises en charge différentes (voir encadré). Il correspond à des situations de plus en plus répandues : envie de progresser dans une entreprise, mal-être dans une fonction, désir de donner une nouvelle orientation à sa vie professionnelle, avec un projet clair et réaliste. Et il peut être pris en compte dans une démarche de Validation des Acquis de l’Expérience ».
Pour bénéficier d’un congé de bilan de compétences, il faut le demander à l’employeur au moins 60 jours avant la date du 1er entretien avec un centre agrée. Il dispose d’un délai de 30 jours pour accorder, ou reporter dans la limite de 6 mois, le congé demandé.
Volontairement étalés dans le temps, sur une durée maximum de 3 mois, les entretiens personnalisés correspondent à des étapes de réflexion essentielles, et à un travail personnel de recherche de l’évalué. Cela peut notamment impliquer des immersions dans un univers professionnel, ou des simulations d’entretien d’embauche.
Les structures agréées proposent un entretien préalable gratuit, en général d’une heure, pour évaluer l’entente avec le consultant. Il est conseillé d’en « tester » au moins deux. Certains organismes s’appuient sur des psychologues, d’autres des consultants en ressources humaines. A l’usager de choisir le profil qui lui correspond.
La synthèse remise à la fin du parcours n’est jamais constituée d’indications précises sur le poste idéal en fonction d’un profil. Il faut donc l’appréhender comme un portrait « en creux » d’un potentiel. À noter que ce document n’est remis à l’employeur que si le salarié l’accepte.
Coût d’un parcours : entre 1 300 et 2 100 euros, en fonction du nombre d’heures (au maximum 24) accordé par l’Organisme Paritaire Collecteur Agréé par l’entreprise. Pour les salariés, tout est pris en charge.
Psychologue du travail et responsable des 8 consultants du CIBC de Reims, Marjolaine Naji souligne la diversité des profils concernés par le bilan de compétences : « dans la grande majorité des cas, ce sont des salariés qui s’interrogent sur la pertinence de leur parcours et sur leur évolution. Mais leurs attentes sont très variées : possibilité de progresser dans leur entreprise, évaluation de leur capacité à changer de cap, validation d’un projet encore vague ou plus précis... Notre rôle, c’est de leur fournir des éléments objectifs pour accompagner leur réflexion. »
Pour un nombre croissant d’entreprises, le bilan de compétences répond à un besoin en matière de gestion prévisionnelle de l’emploi et des compétences. « Nous incitons de plus en plus de collaborateurs à suivre ce cursus », explique Nathalie Therrien, responsable emplois, compétences et rémunérations chez Groupama Nord-Est. « La rapide évolution de nos métiers nous amène à réorganiser nos méthodes et nos approches. Faire le point sur les compétences qu’on pratique réellement et sur les formations qu’on peut suivre pour réaliser son projet professionnel est aujourd’hui indispensable. »
AUTANT DIRE QUE LES HEURES QUI VONT SUIVRE VONT ÊTRE COMPLIQUÉES ET MÊME « TRAUMATISANTES », SELON MAÎTRE SIMON MIRAVETE, AVOCAT À REIMS. IL RÉPOND À NOS QUESTIONS SUR UN SUJET QUI N’ÉPARGNE POTENTIELLEMENT PERSONNE, PAS MÊME LES CHEFS D’ENTREPRISE.
Me Miravete, qu’est ce qui justifie le placement d’une personne en garde à vue ?
La garde à vue est décidée par un officier de police judiciaire (OPJ) dans le cadre d’une enquête quand une personne est soupçonnée d’avoir commis un délit ou un crime puni d’une peine d’emprisonnement. Elle s’applique de la même façon pour une personne multirécidiviste que vis-à-vis de quelqu’un arrêté pour la première fois, un caïd ou un chef d’entreprise. Une garde à vue est avant tout une privation de liberté : la personne est enfermée dans une geôle – et il y en a des correctes et des nettement moins bien –, à disposition des enquêteurs qui vont l’auditionner.
Combien de temps dure cette privation de liberté ?
Dans une procédure de droit commun, elle est de 24 heures. Le procureur de la République peut la prolonger d’une nouvelle période de 24 heures, soit 48 heures maximum. Dans des cas exceptionnels et en matière de criminalité organisée, la durée de cette mesure peut atteindre 96 heures maximum et pour une affaire de terrorisme, jusqu’à 144 heures avec intervention du Juge de la Liberté et de la Détention pour le renouvellement. Que se passe-t-il pendant tout ce temps ?
Pour commencer, l’OPJ indique à la personne mise en cause le motif, la date et le lieu de l’infraction sans qu’elle puisse avoir accès au dossier. Elle est aussi informée de ses droits : choisir un avocat qui pourra s’entretenir avec lui pendant une durée d’une demi-heure, faire prévenir un membre de sa famille et/ou son employeur par l’Officier de police judiciaire, sauf par celui-ci de s’y opposer pour des raisons liées à la bonne évolution de l’enquête. Enfin, il a la possibilité d’être examiné par un médecin afin de s’assurer de la compatibilité de son état de santé avec la mesure de garde à vue.
De quelle façon l’avocat intervient-il ?
D’abord, la personne mise en cause le choisit elle-même. Si elle n’en connaît pas, un avocat sera désigné d’office. Celui-ci ne peut s’entretenir avec la personne en garde à vue que pendant une demi-heure. En cas de prolongation, la même durée d’entretien sera accordée. L’avocat pourra également assister aux auditions.
Pendant ces auditions, le gardé à vue peut faire des déclarations spontanées, répondre aux questions qui lui sont posées ou ne rien dire du tout, ce qui s’appelle opposer le droit au silence.
Que se passe-t-il après la garde à vue ?
Plusieurs possibilités existent en fonction des éléments de l’enquête. Le procureur, en lien avec l’OPJ, peut décider la mise en liberté du gardé à vue sans aucune suite judiciaire.
Le procureur peut également faire comparaitre la personne en comparution immédiate pour y être jugée ou encore lui remettre une convocation à se présenter à une date donnée devant une juridiction pour jugement. Enfin et s’il existe des charges suffisantes, le procureur peut ordonner sa présentation devant un juge d’instruction lequel pourra décider des suites à donner notamment en présentant la personne mise en examen devant le juge des libertés de la détention qui est le seul habilité à placer une personne en détention.
La garde à vue est-elle un passage obligé dans une enquête ?
Non. Depuis le 1er janvier 2015, le législateur a instauré la procédure de l’audition libre qui est de plus en plus privilégiée par les enquêteurs. Cette procédure ne concerne que les personnes ayant répondu à une convocation de la police ou de la gendarmerie dans le cadre d’une infraction qui ne requiert pas nécessairement une privation de liberté.
La personne entendue en audition libre peut se faire assister d’un avocat et peut quitter le commissariat ou la gendarmerie à tout moment sans qu’elle ne puisse être retenue par la force.
Toutefois, un placement en garde à vue peut être décidé ultérieurement.
Recueilli par Jean-Michel François
Depuis 1997, cette société spécialisée dans la programmation et l’assistance à la maîtrise d’ouvrage a développé des compétences multiples, reconnues par plusieurs certifications officielles.
La construction d’une salle omnisports et d’un tennis couvert à Gueux fait partie des missions d’AMO confiées cette année à Asciste ingénierie et BLP Architectes Associés (51).
« En 20 ans et quelques mois d’existence, nous affichons un nombre record de réalisations », souligne Bruno Despée, Directeur général d’ Asciste Ingenierie. « Je citerai près de 50 groupes scolaires réalisés ou en cours, 25 structures d’accueil de la petite enfance, plus de 40 opérations dans le domaine des bâtiments de santé (EHPAD, maisons médicales, centres hospitaliers...), 25 équipements sportifs, de nombreux bâtiments publics ou tertiaires, et plusieurs opérations d’aménagement urbain ».
OPTIMISATION PATRIMONIALE
Autre forme de reconnaissance : 9 qualifications attribuées par l’OPQIBI (Organisme Professionnel de Qualification de l’Ingénierie Bâtiment Industrie). Deux nouvelles qualifications viendront bientôt s’ajouter à la liste.
Dans ses deux agences, implantées à Bezannes et à Tours, Asciste Ingenierie réunit des compétences multiples et spécifiques, qui lui permettent d’accompagner les collectivités territoriales, les administrations d’Etat et les maîtres d’ouvrages privés à chaque étape de leurs projets : « nous proposons
des prestations à la carte, depuis la simple étude de faisabilité jusqu’à des missions complètes de maîtrise d’ouvrage déléguée ».
Asciste Ingenierie a aussi développé diverses expertises dans des domaines très spécifiques : « nous proposons par exemple une démarche d’optimisation patrimoniale aux maîtres d’ouvrages publics ou privés qui disposent d’un patrimoine important. L’objectif est de mettre en adéquation l’immobilier avec les moyens hébergés. Sur la base d’un audit technique et fonctionnel du patrimoine existant et d’une définition précise des besoins, nous mettons en place une stratégie immobilière en plusieurs étapes : identification du patrimoine qui sera conservé et rénové, dimensionnement des constructions éventuelles, revente du patrimoine abandonné pour financer une partie des travaux. Cette démarche permet de redonner de la cohérence à l’organisation des services, de mutualiser certains espaces et équipements, d’améliorer l’efficacité des équipes, et de réduire à terme les coûts de fonctionnement et de maintenance ».
160 rue Louis-Victor de Broglie - CS 50011 51430 BEZANNES
Tél 03 26 61 06 80 www.asciste.fr
Créée le : 1er janvier 2017
Communes : 48
Commune principale : Tergnier
Population : 55 981
Superficie : 382.79 km2
Siège : 57 boulevard Gambetta 02301 Chauny Cedex. Tél. 03 23 39 94 94
Président : Bernard Bronchain, adjoint au maire de Tergnier
Origine : elle est née de la fusion de la communauté de communes des Villes d’Oyse et de la communauté de communes Chauny-Tergnier avec intégration de trois communes de la communauté de communes du Val de l’Ailette (Bichancourt, Manicamp et Quierzy)
Créée le : 1er janvier 2014
Communes : 38
Commune principale : Laon
Population : 42 935
Superficie : 305,57 km2
Siège : Maison intercommunale
60 rue de Chambry, 02000 Aulnois-sous-Laon
Tél. 03 23 22 31 00
Président : Eric Delhaye, maire (UDI) de Laon Missions : elles touchent à l’économie, l’insertion, l’assainissement, les transports urbains depuis 2014, ainsi que le complexe piscine-patinoire
« Le Dôme », le musée et le conservatoire de musique et de danse.
Créée le : 1er janvier 2000
Communes : 28
Commune principale : Soissons
Population : 51 783
Superficie : 180,96 km2
Siège : Les Terrasses du Mail, 11 avenue François Mitterrand, 02880 Cuffies Tél. 03 23 53 88 40
Président : Jean-Marie Carré, DVG, adjoint au maire de Septmonts
Projets : un complexe aquatique (Les Bains du lac) prévu pour 2018 à Mercin-et-Vaux, la transformation du quartier de la gare à Soissons, trois écoquartiers à Billy-sur-Aisne, Crouy et Septmonts, poursuite de l’aménagement du Parc Gouraud…
Créée le : 1er janvier 2017
Communes : 39
Commune principale : Saint-Quentin
Population : 83 287
Superficie : 293,26 km2
Siège : 58 boulevard Victor Hugo - BP 80352 02100 Saint-Quentin. Tél. 03 23 62 82 82
Président : Xavier Bertrand (LR), président des Hauts-de-France
Origine : née de la fusion de la communauté d’agglo de Saint-Quentin et de la communauté de communes de Saint-Simon.
Créée le : 1er janvier 2017
Communes : 87
Commune principale : Château-Thierry
Population : 54 700
Superficie : 879,97 km2
Siège : 9 rue Vallée – BP 50272
02400 Château-Thierry. Tél. 03 23 69 75 41
Président : Etienne Haÿ, maire d’Epaux-Bézu
Origine : cette communauté est issue de la fusion des anciennes communautés de communes de la région de Château-Thierry, du canton de Condé-enBrie, du Tardenois et de 21 communes de l’Ourcq et du Clignon.
Créée le : 1er janvier 2017
Communes : 39
Commune principale : Anizy-le-Château
Population : 17 650
Superficie : 301,02 km2
Siège : 6-8 place Général-de-Gaulle – BP7
02320 Pinon
Président : Francis Kock, PS, maire de Brancourt-en-Laonnois
Origine : elle est née de la fusion de la communauté de communes des Vallons d’Anizy et de la communauté de communes du Val de l’Ailette sans les communes de Bichancourt, de Manicamp et de Quierzy qui sont dans la communauté d’agglomération d Chauny – Tergnier – La Fère.
Présente en France depuis 2002, wpd développe, finance, construit et exploite des parcs éoliens. Chaque projet est mené en étroite collaboration avec l’ensemble des acteurs concernés.
Aucune pollution de l’air, zéro déchet, pas d’émission de gaz à effet de serre : l’éolien fait incontestablement partie des sources d’énergie renouvelable les mieux adaptées aux défis environnementaux de notre époque. Présent dans 18 pays, le groupe wpd compte parmi les leaders mondiaux du secteur. « En 15 ans, nous avons implanté 25 parcs sur le territoire français, qui produisent l’équivalent de la consommation domestique de plus de 400 000 personnes, dont 16 dans le Grand Est et les Hauts-de-France », détaille Philippe Vignal, Directeur général de wpd. « Nous nous concentrons sur des objectifs raisonnables, entre 4 et 6 parcs chaque année, car nous prenons le temps de travailler sur chaque dossier en plaçant la concertation au coeur de notre démarche ».
Dès l’identification d’un site favorable, les collectivités territoriales, les communes, les services de l’Etat, les bureaux d’étude, mais aussi la population, les associations locales, les propriétaires et les exploitants agricoles sont consultés et informés de tous les détails du projet.
« Nous avançons main dans la main avec tous ces interlocuteurs, pour construire une offre sur mesure,
répondant aux enjeux et aux spécificités du territoire. Nous sommes réellement à l’écoute des doléances et des objections qui peuvent s’exprimer, et nous y répondons grâce à nos équipes d’experts, et en interrogeant les organismes spécialisés (DREAL, GRDF, Aviation civile, ABF, cabinets d’étude acoustiques...).
Cette démarche peut prendre plus d’un an : chaque dossier de demande d’autorisation représente près de 1000 pages ».
Après cette première phase cruciale, wpd finance et gère le raccordement des éoliennes au réseau de distribution d’énergie, la construction du parc ainsi que les aménagements nécessaires à son fonctionnement, puis l’exploitation des équipements à travers sa filiale wpd windmanager. Véritablement ancrée dans les territoires, wpd soutient l’emploi localement, partout où elle installe des éoliennes. « Au-delà des emplois pour la surveillance et la maintenance que nous créons pour chacun de nos parcs, nous faisons au maximum appel à des entreprises locales pour les travaux de construction. Sans oublier les nouvelles ressources fiscales générées pour les collectivités ».
Dans un souci de promotion de la participation locale, wpd s’appuie d’ailleurs de plus en plus sur le financement participatif pour ses projets éoliens.
WPD SAS
98 rue du Château - 92100 Boulogne-Billancourt 01 41 31 09 02 www.wpd.fr
Créée le : 1er janvier 2017
Communes : 54
Commune principale : Villers-Cotterêts
Population : 30 013
Superficie : 534,39 km2
Siège : 9 rue Max Dormoy 02600 Villers-Cotterêts
Tél. 03 23 96 13 01
Président : Alexandre de Montesquiou, maire Montgobert
Particularité : à l’ouest de l’Aisne, cette communauté a choisi son nom pour mettre en lumière le territoire et ses richesses naturelles. Le nom « Retz » renvoie à la Forêt de Retz et celui de « Valois » fait référence à l’ancien duché de Valois.
Créée le : 31 décembre 1992
Communes : 68
Communes principales : Le Nouvion-en-Thiérache et Vervins
Population : 26 985
Superficie : 722,14 km2
Siège : 13, rue de l’Armistice, Villa Pasques, 02260 La Capelle. Tél. 03 23 97 36 00
Président : Paul Véron, maire de Clairfontaine
Particularité : les quatre anciens cantons du Nouvion-en-Thiérache, de la Capelle, de Vervins, Sains-Richaumont forment cette communauté rurale et agricole, connue ses bocages et son fromage, le maroilles.
Créée le : 1er janvier 2014
Communes : 32
Communes principales : Ribemont et Origny-Sainte-Benoîte
Population : 16 447
Superficie : 327,18 km2
Siège : 1 route d’Itancourt 02240 Mézières-surOise. Tél. 03 23 66 73 17
Président : Didier Beauvais, maire de Surfontaine
Projets : les créations d’une maison de santé à Moy-de-L’Aisne et d’une école de musique intercommunale sont lancés. A noter que la commune de Pithon, du canton de Ribemont, est rattachée à la communauté de communes de l’Est de la Somme.
Créée le : 22 décembre 1995
Communes : 47
Communes principales : Guignicourt et Sissonne
Population : 20 958
Superficie : 578,23 km2
Siège : 2 route de Montaigu, 02820 Saint-Erme
Tél. 03 23 22 36 80
Président : Alain Lorain, maire de La Selve
Particularité : beaucoup de communes de cette communauté qui borde les Ardennes et la Marne sont davantage intéressées par ce qu’il se passe à Reims qu’à Amiens où Lille.
Créée le : 1er janvier 2017
Communes : 36
Commune principale : Guise
Population : 17 536
Superficie : 329,28 km2
Adresses : deux. 6 rue André Godin à 02120 Guise. Tél. 03 23 61 12 17 et 14 rue
Maillard, 02630 Wassigny. Tél. 03 23 66 15 57
Président : Hugues Cochet, maire DG de Guise
Projet : la revitalisation du centre-bourg de Guise est l’un des principaux dossiers en cours. Guise fait partie des 54 lauréats nationaux retenus en 2014 pour ce programme d’une durée de six ans. Une vingtaine de projets a été initiée par la Ville et la communauté de communes.
Créée le : 22 décembre 1997
Communes : 30
Communes principales : Montcornet et Rozoy-sur-Serre
Population : 7 569
Superficie : 257,17 km2
Siège : Rozoy-sur-Serre. Tél. 03 23 98 04 54
Président : Pierre Didier, maire de DagnyLambercy
Particularité : Sur les 30 communes de cette collectivité très rurale, 23 ont moins de 200 habitants, dont 13 qui ont moins de 100 habitants.
Créée le : 30 décembre 1994
Communes : 26
Commune principale : Oulchy-le-Château
Population : 5 715
Superficie : 231,76 km2
Siège : 17 rue Potel, 02210 Oulchy-le-Château
Tél. 03 23 55 65 20
Président : Hervé Muzart, maire de Vierzy
Particularité : Toutes les communes du canton d’Oulchy-le-Château adhèrent à cette collectivité également très rurale. Aucune des 26 communes n’atteint le millier d’habitants.
Créée le : 19 décembre 1995
Communes 30
Communes principales : Bourg-et-Comin, Baurieux
Population : 5 402
Superficie : 178.98 km2
Siège : 1 rue de l’Eglise, 02160 Craonne
Tél. 03 23 22 69 72
Président : Jean-Paul Coffinet, maire de Beaurieux
Particularité : cette communauté rurale, mais non loin de Laon et de Reims, se développe sur un territoire hautement historique et désormais touristique autour du célèbre Chemin des Dames.
Créée le : 29 décembre 1995
Communes : 26
Commune principale : Hirson
Population : 22 100
Superficie : 349,21 km2
Siège : Le Sémaphore, Bâtiment C. Espace
Rotonde-Florentine 02500 Buire. Tél. 03 23 99 35 35
Président : Jean-Jacques Thomas (PS), maire d’Hirson
Particularité : avec l’Oise, le Gland, le Ton, la Jacotte, le ruisseau de la Bachelotte, celui du Marais, celui de la Marquette, la Petite rivière, etc., il y a bien plus que trois rivières dans cette communauté verdoyante, qui jouxte le Nord, les Ardennes et la Belgique.
DE COMMUNES DU PAYS DU VERMANDOIS
Créée le : 29 décembre 1995
Communes : 21
Communes principales : Charly-sur-Marne et Nogent l’Artaud
Population : 15495
Superficie : 235,18 km2
Siège : 2, voie André Rossi, 02310 Charly-sur-Marne. Tél. 03 23 82 54 82
Président : Georges Fourré, adjoint au maire de Charly-sur-Marne
Origine : à sa création, la communauté ne comptait que 17 communes et était basée à la mairie de Chézy-sur-Marne. Son siège a été successivement transféré dans trois sites de Charly-sur-Marne pour se fixer définitivement voie André Rossi en 2001.
Créée le : 17 décembre 1992
Communes : 42
Communes principales : Marle et Crécy-sur-Serre
Population : 14 706
Superficie : 428,66 km2
Siège : 1 rue des Telliers BP 31 02270 Crécy-surSerre. Tél. 03 23 80 77 22
Président : Pierre-Jean Verzelen (LR), maire de Crécy-sur-Serre
Origine : située au beau milieu de l’Aisne, cette communauté a commencé d’exister avec la création du syndicat du Pays de la Serre en 1986, qui a laissé sa place à la communauté de communes actuelle en 1992, laquelle a multiplié ses compétences au fil des années.
Créée le : 31 décembre 1993
Communes : 54
Commune principale : Bohain-en-Vermandois
Population : 31 816
Superficie : 448 km2
Siège : Hameau de Riqueval, RD 1044, 02420
Bellicourt. Tél. 03 23 09 50 51
Président : Marcel Leclère, maire de Bellicourt
Origine : à l’extrême nord-ouest du département, se forme dès 1984une association de développement local à laquelle succède, en 1990, le syndicat intercommunal d’aménagement, de recherche et d’étude du Vermandois.
La communauté de communes du Pays du Vermandois voit effectivement le jour quatre ans plus tard.
« Il ne s’agit pas d’un groupe au sens strict du terme, mais de plusieurs entités qui accompagnent les communes et les EPCI, chacune dans un domaine très spécifique, tout en étant capable de proposer une vision et des compétences transversales sur un dossier ». Juriste de formation et ancien cadre de la Fonction Publique Territoriale, Jean-Michel THIEBAUT a créé en mars 2002 OMNIS Conseil Public, qui intervient auprès des communes et groupements de collectivités, en matière de gestion de délégation de services publics, de passation d’appels d’offres, de création et de développement d’intercommunalités, ou d’audits financiers et organisationnels ».
« Au fil des expériences et de l’apparition de nouvelles missions ou charges pour les élus locaux, nous avons créé d’autres sociétés afin de compléter notre offre, en optant pour des structures légères, souples, réactives et compatibles avec notre volonté de créer un lien de proximité et de confiance avec nos clients ».
CorBavie intervient dans le domaine de l’accessibilité, pour un service « clef en main » autour de la sécurité et de la mise aux normes des espaces et bâtiments
En associant les compétences de 4 sociétés spécialisées dans l’assistance aux collectivités, OMNIS Conseil Public et ses partenaires apportent une réponse adaptée aux préoccupations des élus locaux.
publics pour les personnes à mobilité réduite. VICUS Urba travaille sur l’urbanisme réglementaire (PLU, carte communale…) l’aménagement urbain et le cadre de vie allant de la programmation d’opérations de construction à la création de ZAC en passant par l’élaboration des projets de territoire ou la réalisation de cartographies et d’infographies précises et pédagogiques.
A2R Ingénierie est quant à elle spécialisée dans l’assistance à maîtrise d’ouvrage en matière de V.R.D et de bâtiments.
Ces sociétés sont hébergées, depuis fin 2017, par la SAS C2A qui gère le nouveau Centre d’Affaires des Arcades dédiés aux collectivités territoriales, situé 9 et 11 place Bernard Stasi à Epernay (51200).
Ainsi tout en conservant leur identité et leurs expertises propres, les équipes d’OMNIS Conseil Public, de Corbavie, de VICUS Urba et d’A2R Ingénierie y sont réunies pour des synergies encore plus efficaces et une réactivité augmentée.
Le Centre d’Affaires propose également des salles équipées pouvant accueillir des réunions ou des sessions de formation.
OMNIS CONSEIL PUBLIC / SAS C2A
Centre d’Affaires des Arcades
9/11 place Bernard Stasi - 51 200 EPERNAY Tél : 03 26 51 07 08 contact@omnisconseil.fr / contact@sasc2a.fr www.omnisconseil.fr
Créée le : 28 décembre 1994
Communes : 58
Communes principales : Braine, Vailly-sur-Aisne et Bucy-le-Long
Population : 20 314
Superficie : 395,17 km2
Siège : 20 ter rue du Bois Morin - BP 6 - 02370
Presles-et-Boves. Tél. 03 23 54 05 81
Président : Jean Chabrol, maire de Couvrelles
Particularité : entre Soissons , Laon et la Marne, cette communauté rurale et agricole multiplie ses influences et ses propres axes de développement.
Créée le : 1er janvier 2012
Communes : 19
Communes principales : Givet et Fumay
Population : 27 648
Superficie : 231,21 km2
Siège : 29 rue Méhul - 08600 Givet
Tél. 03 24 41 50 90
Président : Bernard Dekens (LR), maire de Vireux-Wallerand
Particularité : ce regroupement trouve son origine grâce à la présence sur son site de la centrale nucléaire de Chooz et aux retombées financières que celle-ci génère.
Créée le : 31 décembre 1997
Communes : 100
Commune principale : Vouziers
Population : 17 605
Superficie : 1194,27 km2
Adresse : 44-46 rue du Chemin Salé – BP 80
08400 Vouziers. Tél. 03 24 30 23 94
Président : Francis Signoret, maire de Grandpré
Particularités : la tradition agricole est la filière principale de la “2C2A”, avec l’exploitation forestière et l’artisanat. Le tourisme et l’environnement constituent les principales pistes de développement du territoire.
Créée le 1er janvier 2014
Communes : 61
Commune principale : Charleville-Mézières
Population : 126 800
Superficie : 526,71 km2
Siège : 49 avenue Léon Bourgeois, BP 30559, 08003 Charleville-Mézières
Tél. 03 24 57 83 00
Président : Boris Ravignon (LR) maire de Charleville-Mézières
Particularité : cette communauté d’agglomération rassemble presque la moitié de la population (46 %) des Ardennes et regroupe les deux plus grandes villes : Charleville-Mézières et Sedan.
Créée le : 1er janvier 2014
Communes : 37
Communes principales :
Signy-le-Petit et Maubert-Fontaine
Population : 10 015
Superficie : 427,95
Siège : 6 impasse de la Fontaine
08260 Maubert-Fontaine - Tél. 03 24 26 13 31
Président : Miguel Leroy, maire de Auvilliers-les-Forges
Particularité : cette communauté éminemment rurale, résulte de la jonction des deux anciennes communautés de communes de la région de Signy-le-Petit et de la Thiérache ardennaise
(dont aucune n’atteignait le seuil réglementaire de 5 000 habitants) auxquelles se sont jointes des communes isolées.
Créée le : 20 décembre 1995
Communes : 94
Commune principale : Signy-L’Abbaye
Population : 21 917
Superficie : 1014,44 km2
Siège : rue de la Prairie - 08430 Poix-Terron
Tél. 03 24 35 22 22
Président : Bernard Blaimont, maire de Gruyères
Origine : Voici douze ans, 89 communes pour commencer, toutes rurales dans le centre des Ardennes, constituaient une communauté sur les compétences habitat, cadre de vie, développement économique, tourisme, jeunesse, environnement.
Entourée d’une campagne verdoyante, Chauny offre un cadre de vie résolument qualitatif.
« Notre ville de 12 357 habitants dispose d’équipements et de services dignes d’une agglomération de 30 000 âmes ». Maire de Chauny depuis 1989, Marcel Lalonde mise depuis longtemps sur le bien-être de ses administrés pour permettre à sa commune de profiter pleinement de ses atouts géographiques : « l’accès à l’A26, vers Saint-Quentin, Lille, Amiens ou Reims est très rapide. Nous nous situons à 100 kilomètres de Roissy et à 1 h 15 de Paris via l’A1 ou par la ligne ferroviaire Saint-Quentin-Paris, qui dessert quotidiennement la capitale. »
Afin d’associer le charme de la campagne au confort des centres urbains, Chauny s’est en premier lieu dotée de plusieurs structures culturelles : « le cinéma Lumière comprend 3 salles. Le centre municipal Le Forum accueille de très nombreux spectacles de théâtre, de danse et de musique, ainsi que des ateliers thématiques. La Médiathèque et le musée municipal proposent également de nombreuses animations régulièrement. Sans oublier les manifestations comme les Fêtes de Rabelais et son carnaval, la
À la croisée des grands axes routiers et ferroviaires, cette commune axonaise place la qualité de vie de ses habitants au cœur de sa stratégie, afin d’offrir une véritable alternative aux grandes métropoles.
course cycliste Paris-Chauny ou encore le Marché de Noël accompagné de sa quinzaine commerciale. Ces événements renforcent le dynamisme du centreville : « On y trouve enseignes nationales et magasins indépendants. Nous travaillons en collaboration avec l’association des commerçants pour améliorer en permanence l’attractivité du secteur. Nous avons ainsi créé 120 places de stationnement et autorisé l’implantation de terrasses ».
Autre particularité de la commune, « on peut y pratiquer quasiment tous les sports, dans 3 complexes modernes et un centre aquatique. Une quarantaine de clubs sont recensés parmi plus de 100 associations locales ». Sans être exhaustif, on ajoutera à cette liste de nombreux parcs et espaces verts, une vingtaine d’établissements scolaires publics ou privés, une école municipale de musique, un centre hospitalier (comprenant une maternité, un EHPAD), un centre de secours principal et le siège de la brigade territoriale de gendarmerie. Raccordée à la fibre optique, équipée d’un système de vidéo-protection, Chauny bénéficie d’une offre immobilière constituée de maisons, à des prix inférieurs aux autres villes de la région.
BP 60053
02302 CHAUNY cedex
Tél. 03 23 38 70 70 www.ville-chauny.fr – Facebook : Ville de Chauny
EPERNAY, COTEAUX ET PLAINE DE CHAMPAGNE
Créée le : 1er janvier 2014
Communes : 65
Commune principale : Rethel
Population : 29 666
Superficie : 800,15 km2
Siège : 3 quai d’Orfeuil 08300 Rethel
Hôtel de ville de Rethel. Tél. 03 52 10 01 00
Président : Renaud Averly (LR) maire de Corny-Machéroménil
Objectifs : favoriser l’association des villes et espaces ruraux autour de projets de développement local, encourager la réflexion entre communes, accroître la participation des acteurs socio-économiques et associatifs aux choix d’aménagement du territoire et de développement économique, initier des partenariats entre le territoire et les institutions.
Créée le : 1er janvier 2017
Communes : 31
Commune principale : Bogny-sur-Meuse
Population : 26 307
Superficie : 418 km2
Siège : 6 rue de Montmorency – BP 41 – 08230
Rocroi. Tél. 03 24 54 59 12
Président : Régis Depaix, maire de Montcornet
Origine : ce territoire du nord des Ardennes, limitrophe de la “Pointe” , de la région de Charleville-Mézières et de la Belgique, est né de la fusion de deux autres communautés de communes “Portes de France” et “Meuse et Semoy”.
Créée le : 1er janvier 2017
Communes : 50
Ville principale : Epernay
Population : 48 774
Superficie : 586,92 km2
Siège : Hôtel de la communauté - place du 13e RG 51331 Epernay Cedex – Tél. 03 26 56 47 85
Président : Franck Leroy (UDI), maire d’Epernay
Principales missions : organisation des transports en commun, valorisation des produits touristiques, aménagement du territoire, gestion des déchets, etc.
Créée le : 23 décembre 1994
Communes : 50
Commune principale : Carignan
Population : 20 453
Superficie : 512,64 km2
Siège : Maison des Portes du Luxembourg, 37 ter avenue du général de Gaulle 08110 Carignan. Tél. 03 24 27 90 98
Président : Daniel Gillet, adjoint au maire de Malandry.
Objectif : la récente dénomination “Portes du Luxembourg” vise à localiser géographiquement cette communauté voisine de deux pays étrangers « dont l’attractivité est connue en France, en Europe et dans le monde. »
Créée le : 1er janvier 2017
Communes : 143
Ville principale : Reims
Population : 293 000
Superficie : 1 424, 89 km2
Siège : CS 80036, 51722 Reims Cedex. Tél. 03 26 77 78 79
Présidente : Catherine Vautrin (LR)
Raison d’être : c’est en partie pour se mesurer aux autres métropoles, notamment du Grand Est, que Reims et les communes composant son bassin de vie ont décidé de se rassembler afin de renforcer leur attractivité.
Créée le : 1er janvier 2017
Communes : 46
Ville principale : Châlons-en-Champagne
Population : 80 511
Superficie : 810,35 km2
Siège : 26 rue Joseph-Marie Jacquard
51000 Châlons-en-Champagne
Président : Bruno Bourg-Broc (LR)
Histoire : le district de Châlons-sur-Marne a été créé en 1963 avec huit communes, avant de fédérer progressivement les communes dans un périmètre de plus en plus large, tout en devenant communauté d’agglomération en 1999 puis Châlons-agglo en 2016. L’aéroport international de Vatry se situe sur le territoire de l’agglo.
Renaud Lejeune
Diplômé d’État en Architecture
Créée le : 1er janvier 2014
Communes : 60
Ville principale : Sainte-Ménehould
Population : 12 255
Superficie : 831,44 km2
Siège : Groupe Buirette - Rue Renard
51800 Sainte-Ménehould - Tél. 03 26 60 17 38
Président : Bertrand Courot (Dvd), maire de SainteMénehould
Origine de la CCAC : elle est issue de la fusion de la communauté de communes de la région de Givry-en-Argonne, de la communauté de communes de la région de Sainte-Ménehould, de la communauté de communes du canton de Ville-sur-Tourbe, de la dissolution du Syndicat Mixte du Pays d’Argonne
Champenoise et de l’absorption des syndicats scolaires de Viller/Verièrres, La-Neuville-Au-Pont et Auve et Yèvre.
TDA, toute une équipe autour d’une architecture citoyenne et solidaire
TDA, une agence d’architecture pluridisciplinaire, à l’écoute de tous vos projets publics comme privés
Créée le : 30 décembre 1996
Communes : 19
Ville principale : Montmirail
Population : 7 456
Superficie : 279,51 km2
Siège : 4, rue des Fosses - 51210 Montmirail
Tél. 03 26 81 36 61
Président : Etienne Dhuicq, maire de Montmirail
Domaines d’intervention : la communauté a opté pour un vaste domaine de compétences, de l’élaboration de programmes locaux de l’habitat à la création et la gestion de zones d’activités d’intérêt communautaire ou encore la création, l’aménagement et l’entretien de la voirie communale.
Deux agences pour être au plus près de vous :
AGENCE MARNE
29, rue Chanzy 51100 REIMS 03 26 05 28 80
AGENCE ARDENNES 9, rue de l’Abattoir 08000 CHARLEVILLE-MÉZIÈRES 03 24 57 42 19
Contact : info@tda-archi.com
Créée le : 1er janvier 2017
Communes : 40
Commune principale : Sermaize-les-Bains
Population : 12 192
Superficie : 450,7 km2
Siège : Mairie, 8 place Matras 51340 Vanault-les-Dames
Président : Claude Guichon, maire de Bussy-le-Repos
Origine : la communauté s’est formée par la fusion des communautés de “Côtes de Champagne et Saulx” (35 communes) et de cinq des sept communes de “Saulx et Bruxenelle”.
Créée le : 1er janvier 2014
Communes : 28
Commune principale : Courtisols
Population : 9 546
Superficie : 491.06 km2
Siège : 4, Grande Rue 51240 Saint-Germain-la-Ville
Président : Michel Jacquet, maire de Togny-auxBœufs
Origine : cette communauté, exclusivement rurale, a été créée le 1er Janvier 2014 par fusion des communautés de communes de la Guenelle, du Mont de Noix, de la Vallée de la Coole et de la Vallée de la Craie et s’est élargie le 1er janvier 2017 aux communes de Courtisols, Poix et Somme-Vesle.
Créée le : 1er janvier 2014
Communes : 25
Communes principales : elles sont deux avec Thiéblemont-Farémont et Saint-Remy-en-Bouzemont-Saint-Genest-et-Isson
Population : 5 696
Superficie : 287,51 km2
Siège : Saint-Remy-en-Bouzemont-Saint-Genestet-Isson
Présidente : Pascale Chevaillot, maire de Gigny-Bussy
Particularité : située dans le sud-est marnais et dans l’arrondissement de Vitry-le-François, cette communauté est l’une des trois marnaises concernées par le lac du Der.
Créée le : 16 décembre 1992
Communes : 17
Commune principale : Aÿ
Population : 15 073
Superficie : 182,82 km2
Siège : Place Henri Martin - 51160 Aÿ
Tél. 03 26 56 95 20
Président : Dominique Lévèque (PS), maire d’Aÿ
Particularités : Le champagne est la principale activité économique de cette communauté dont la totalité des communes est située dans le Parc régional de la Montagne de Reims. Par ailleurs, depuis le 1er janvier, les communes d’Aÿ, de Mareuil-sur-Aÿ et de Bisseuil forment une communauté dans la communauté et porte le nom d’Aÿ-Champagne.
Créée le : 1er janvier 2017
Communes : 54
Commune principale : Dormans
Population : 21 558
Superficie : 190,78 km2
Siège : 4 boulevard des Varennes
51700 Dormans - Tél. 03 26 57 53 89
Président : Christian Bruyen (LR), maire de Dormans, président du conseil départemental. Particularité : cette communauté, essentiellement viticole et agricole, parcourt plusieurs paysages très hétérogènes de l’ouest de la Marne.
Créée le : 1er janvier 2017
Communes : 62
Commune principale : Sézanne
Population : 21 884
Superficie : 209,84 km2
Siège : Promenade de l’Aube - 51260 Anglure
Tél. 03 26 42 75 18
Président : Gérard Amon, maire de Joiselle
Particularité : cette communauté, très hétérogène entre coteaux, éoliennes, forêts et cultures, s’étend sur une large part du sud-ouest marnais.
Créée le : 30 décembre 1998
Communes : 14
Commune principale : Fère-Champenoise
Population : 6 200
Superficie : 319,13 km2
Siège : 150 rue des Verriers - 51230
Fère-Champenoise. Tél. 03 26 42 52 36
Président : Bruno Legrand, maire de Fère-Champenoise
Particularité : il s’agit de la plus petite communauté en nombre de communes qui se sont unies progressivement, jusqu’au 1er janvier 2014 avec l’arrivée de Connantre.
Créée le : 1er janvier 2013
Communes : 35
Commune principale : Vitry-le-François
Population : 25 644
Superficie : 514,87 km2
Siège : Hôtel de Ville BP420
51308 Vitry-le-François Cedex. Tél. 03 26 41 22 77
Président : Jean-Pierre Bouquet (PS), maire de Vitry-le-François
Particularité : la dénomination de cette communauté a été choisie pour montrer la diversité de ses territoires afin de mieux jouer la carte touristique.
Créée le : 1er janvier 2014
Communes : 16
Commune principale : Suippes
Population : 7 695
Superficie : 479,5 km2
Siège : 15 place de l’Hôtel de Ville BP 31 51601 Suippes. Tél. 03 26 70 08 60
Président : François Mainsant, maire de Saint-Jean-sur-Tourbe
Particularité : Depuis le début de l’année 2017, les trois communes de Courtisols, Poix et SommeVesle, ont quitté ce regroupement pour rejoindre celui de la communauté de communes de la Moivre à la Coole.
Créée le : 14 décembre 2000
Communes : 60
Commune principale : Saint-Dizier (Haute-Marne)
Population : 59 919
Superficie : 932,75 km2
Siège : Cité Administrative, 12 rue de la Commune de Paris - 52115 Saint-Dizier cedex.
Tél. 03 25 07 31 31
Président : Philippe Bossois (LR), premier adjoint au maire de Saint-Dizier
Particularité : dix communes marnaises participent à cette communauté dont Saint-Dizier est le centre.
MAÎTRE RESTAURATEUR SALLE DE RÉCEPTION
CHAMBRES TOUT CONFORT
Ouvert tous les jours de 12h à 14h et 19h à 21h30 sauf lundi midi et soir, mardi et dimanche soir 6, place du Théâtre - 08000 Charleville-Mézières Tél. 03 24 37 41 34 - www.lapapillote08.fr
Où organiser vos réceptions et réunions de travail
Spécialiste des cocktails et réceptions organisés par les Maisons de champagne, Marc Morel met son savoir-faire au service des particuliers et des entreprises, pour des événements inoubliables.
Si le laboratoire de production de Marc Morel est installé aux pieds des coteaux de vignes d’Epernay, ce n’est peut-être pas un hasard : « 80% de notre chiffre d’affaires est réalisé avec les Maisons de champagne », explique ce chef de cuisine qui a lancé son entreprise en 2010.
« Pour chaque prestation réalisée pour ces clients très exigeants sur la qualité, nous travaillons avec le chef de cave pour choisir des produits de base et des garnitures parfaitement adaptés aux cuvées proposées. Nous avons ainsi acquis une solide expérience des accords entre mets et vins, qui nous permet d’établir avec chacun de nos clients un menu en fonction des boissons servies lors d’un cocktail ou d’un repas »
Autre valeur partagée par les 10 salariés de la société : le respect des produits et de leur saisonnalité.
« Toutes nos préparations sont entièrement réalisées par nos soins dans notre laboratoire, avec des ingrédients sélectionnés chez les meilleurs fournisseurs. Et notre carte varie en fonction des
saisons, pour garantir la fraîcheur des produits utilisés ».
Signe fort de cet attachement à la qualité, Marc Morel Traiteur fait partie depuis 2013 de l’Association des Maîtres Cuisiniers de France : « pour être admis dans ce groupement qui maintient et diffuse l’art culinaire de notre pays, il faut être parrainé par 2 chefs étoilés ou Meilleur Ouvrier de France, dans mon cas Thierry Conte et Bruno Turbot. Il faut aussi adhérer à une charte de qualité très stricte, qui implique une façon d’être et de travailler dans le respect de valeurs fortes. Je citerai par exemple l’encouragement de l’apprentissage, qui nous conduit à former en permanence un pâtissier et un cuisinier ».
Marc Morel Traiteur travaille avec la même rigueur et la même exigence pour toutes les prestations proposées aux professionnels et aux particuliers : mariages, communions, baptêmes, lunchs, cocktails-apéritifs, buffets ou plateaux repas. Egalement organisateur de réceptions, Marc Morel Traiteur peut prendre en charge la gestion de chaque événement, du service à la décoration florale, en passant par les arts de la table.
MARC MOREL TRAITEUR
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A 1h30 de Paris, notre établissement rassemble toutes les conditions pour la réussite de vos séminaires, réunions de travail ou événements privés. Les séminaires et réunions de travail sont des moments d’exception auxquels nous attachons une attention toute particulière. Nous pouvons accueillir de 7 à 50 personnes dans un décor propice au rassemblement et au partage. Nos 3 salons équipés (paperboard, vidéo-projecteur, écran, wifi..) sont à la lumière du jour avec possibilité d’occultation... à vous de choisir l’ambiance. Vos déjeuners, dîners et pauses peuvent être pris dans un salon privatif ou dans notre restaurant gastronomique. Vos demandes feront l’objet d’une étude personnalisée, pour vous proposer un événement qui vous ressemble et adapté à votre budget.
Journée de travailForfait séminaire résidentiel
70€ TTC par personne comprenant location de salle + 2 pauses + déjeuner, plusieurs activités peuvent être intégrées à votre séminaire : détente au SPA, dégustation et visite de maisons de champagne...
Comprenant : la journée de travail avec 2 pauses café et la salle équipée, les menus déjeuner et dîner 3 plats, une nuit en chambre classique et un petit déjeuner gourmand. Les plus : accès libre au « Spa bulles Détente » avec piscine, jaccuzi et hammam
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75, rue Forest 08000 Charleville-Mézières Tél. 03 24 55 00 00 contact@75fa.fr www.75forestavenue.com
Venez vous ressourcer avec vos équipes au cœur de la forêt ardennaise. Mettezvous « au vert » : détente, calme et sérénité assurés ! Notre salle de réception peut accueillir 100 convives et dispose d’une grande terrasse. Un petit salon et plusieurs salles de travail sont à votre disposition. Hébergement possible (8 chambres/20 couchages).
Cuisine traditionnelle, gastronomique, ou barbecue convivial... nous nous adaptons à tous vos projets ! Vous souhaitez pratiquer une des activités de pleine nature : canoé, course d’orientation, giropode, tir à l’arc, équitation... nous organisons votre programme sur mesure ! Découvrez-nous sur www.mannesarts.fr. Devis gratuit. Contact commercial : M. Francisco Quesada - Tél. 06 70 01 99 61 Mail : contact@mannesarts.fr
RestaurantHôtel Nb salles réunion Max participants OuvertureWifi Oui8 chambres6 + 1100Toute l’annéeGratuit
Le Domaine des Mannesarts Rue du Paquis 08500 Les Mazures 03.24.52.95.00 www.mannesarts.fr contact@mannesarts.fr
Hôtel Bagatelle
214, Zone Commerciale
«Les Bas Jardins» 51530 Dizy
Tél. 03 26 51 00 13 www.hotel-bagatelle.com
Découvrez « le charme et la classe du 18e siècle alliés au fonctionnel du 21e siècle. » À 2 km au sud d’Epernay, le Château du village de Pierry est le cadre privilégié de tous vos évènements professionnels, relationnels, ou familiaux. Les lieux, loués à un seul utilisateur à la fois, vous garantissent confidentialité et convivialité. Accueil jusqu’à 300 personnes en réception. Journées d’études et séminaires de 15 à 150 participants avec salle de réunion plénière attenante équipée. Salons de sous-commissions et de restauration. Son jardin anglais est un bel écrin pour pauses et cocktails d’exception. Les celliers et caves peuvent abriter également un moment de détente (dégustations champagne maison commentées par le maître des lieux Jean Paul Gobillard).
5 chambres de style dans l’aile gauche du château (pour le staff...) complètent cet accueil personnalisé.
À 5 minutes du Berceau historique du Champagne, à quelques pas seulement des caves champenoises de Dizy et à la périphérie d’Epernay, l’hôtel Bagatelle vous accueille au cœur même du vignoble Champenois. Implanté depuis 30 ans au sein de notre établissement, nous connaissons vos attentes pour la réussite de votre séminaire, journée de travail ou événement privé au cœur du Champagne. Notre établissement, d’une capacité de 48 chambres, vous accueille également pour vos hébergements. Nous vous accueillons de 3 à 40 personnes dans notre espace privatisé. Notre salle est équipée de paperboard, vidéo-projecteur avec écran, de wifi gratuit pour l’ensemble des invités, d’un écran télévision 130 cm. La salle dispose d’une entrée privative et est à la lumière du jour. L’ensemble des pauses et repas sont pris au sein de notre bar ou de notre restaurant. Bien entendu, toute demande est traitée avec le plus grand intérêt et nous pouvons également vous proposer des offres sur mesure (garden party, visites de caves, dégustation de champagne).
1734
Le Château de Pierry 45 rue Léon Bourgeois 51530 Pierry 03 26 54 02 87 contact@chateau-de-pierry.fr www.chateau-de-pierry.fr
JOURNÉE D’ÉTUDE
Comprenant la location de salle, le café d’accueil, la pause matin, le déjeuner boissons comprises, la pause après midi.
FORFAIT SÉMINAIRE RÉSIDENTIEL
Comprenant la location de salle, le café d’accueil, la pause matin, le déjeuner boissons comprises, la pause après-midi, le diner du soir boissons comprises, la chambre et le petit déjeuner.
RÉCEPTIONS PRIVÉES
Au sein de notre restaurant ou de notre espace privatif, un repas sur mesure, une décoration possible.
Capacité du restaurant : 90 personnes.
Capacité de la salle privée : en U 24, en théâtre 50, en classe 20, en repas assis 46 et en cocktail 60.
à quelques pas de la Cathédrale Notre Dame, bijou de l’art gothique, et du Centre des Congrès, notre hôtel 4 étoiles est idéalement situé. Pour un séjour d’affaire, vous serez satisfait par la qualité de nos équipements et le confort de nos 130 chambres. Nos 10 espaces de travail, alliant technologie et modularité, combleront vos attentes. Des atouts qui vous feront apprécier votre séjour dans notre hôtel Mercure au cœur de la ville de Reims.
Tous nos salons sont équipés de vidéoprojecteurs, système Clickshare. Notre restaurant panoramique le Rem’ et notre bar à Champagne le Blanc de Bulles vous accueillent pour une pause gourmande et pétillante ! Nous assurons vos repas séminaires en cocktail, buffet ou servis à table. Nous vous guiderons pour le choix de vos activités : dégustation œnologique, team-building ludique en ville ou dans le vignoble, ou encore, visite des grandes maisons de Champagne.
Mercure Reims Centre
Cathédrale
31 boulevard Paul Doumer
51100 Reims
Restaurant Le Rem’ : Idéal pour vos déjeuners d’affaire, profitez du garage de l’hôtel (gratuit pendant votre déjeuner) et rejoignez la vaste salle panoramique par l’ascenseur. Cuisine française et régionale, menu du jour à partir de 19.50€, possibilité de déjeuner en tout confidentialité. www.restaurantlerem.fr
Tél. 03 26 84 49 49
H1248@accor.com
Grâce à son concept inédit de buffet à volonté aux spécialités indiennes, ce restaurant rémois rencontre un tel succès qu’il a décidé de proposer de nouveaux services pour les particuliers et les entreprises.
Punjab est d’abord une entreprise familiale : « le nom fait référence à la région dont nous sommes originaires, située entre l’Inde et le Pakistan, et dont le patrimoine culinaire est l’un des plus riches du pays », explique Samrina Mohammad, qui a lancé son restaurant il y a un an et demi, en compagnie de ses parents. « C’est aussi un hommage à notre grand-mère, qui passait des heures à préparer des plats traditionnels, et à notre grand-père, pour lequel chaque repas était un moment de partage privilégié ».
Ce sens de la famille s’accompagne d’un indéniable sens du détail. « Nous avons longuement réfléchi à l’agencement et au décor, qui comporte de nombreux éléments directement venus du Punjab. Nous avons également effectué plusieurs semaines de tests pour adapter au mieux nos recettes indiennes aux palais européens ».
Autre point fort, la qualité des plats proposés aux clients : « tout est réalisé en cuisine par notre équipe,
avec des produits frais majoritairement fournis par des partenaires locaux. Nous prenons le temps de préparer nos recettes dans le respect de la tradition culinaire indienne. Parmi nos spécialités, le cheese naan est par exemple cuit dans une jarre en terre, au sein d’un four tandoor ». Les prix restent quant à eux très raisonnables : 13,50 € pour le buffet du midi en semaine, 19,50 € pour celui du soir, du week-end et des jours fériés.
Tous ces atouts ont permis à l’entreprise de trouver très rapidement sa clientèle, et de réaliser dès sa première année un chiffre d’affaires nettement supérieur aux objectifs. « Cela nous permet de lancer plus tôt que prévu de nouveaux services, notamment des plateaux repas à emporter, pour se régaler à la maison ou au bureau, ainsi qu’une offre traiteur, toujours sur le principe du buffet, pour les particuliers et les entreprises. Nous proposons aussi un salon privatif de 50 places, pour tout type d’événement privé ou professionnel ».
6 rue en Mémoire des Harkis - 51100 REIMS
Ouvert midi et soir du mardi au dimanche inclus Réservations : 03 26 25 33 80 www.punjab-reims.fr Facebook : Punjab Reims
Pour vos réunions, séminaires, et autres manifestations, le Golden Tulip Reims l’Univers*** vous propose 6 salons entièrement rénovés et équipés pouvant accueillir jusqu’à 150 personnes.
L’hôtel est idéalement situé en hyper-centre de Reims, en face de la gare SNCF et saura répondre à l’ensemble de vos souhaits.
Notre restaurant bistro-gastronomique ‘Le SPARK’ vous accueillera dans un joli cadre contemporain original et dans une ambiance chaleureuse. Vous y découvrirez une cuisine autour des produits de la mer, avec un sublime menu Homard qui mettra vos papilles en émoi.
Notre bar saura vous surprendre et vous distiller de nombreux cocktails ou alors une dégustation de champagne.
Golden Tulip l’Univers*** 41, boulevard Foch 51100 Reims 03.26.88.68.08 www.lespark.com sales@goldentulipreimslunivers.com info@goldentulipreimslunivers.com
RestaurantHôtelNb salles réunionMax participantsOuverture Wifi Oui Oui 6 (280 m2) 150toute l’annéeGratuit
Resort Résidence Pierre
Peter et Heidi
Bruneel-Huys
25 rue Pierre Curie 10430 Rosière-près-Troyes Tél. 06 36 90 51 81 info@residencepierre.fr
Bar à champagne - Restaurant - Hôtel****
Notre résidence est située en Champagne, à deux pas de la belle ville de Troyes. Nos hôtes viennent profiter de la région exceptionnelle, de notre piscine chauffée toute l’année, mais surtout de la fête culinaire quotidienne, agrémentée du délicieux Champagne “Résidence Pierre”. Dans la soirée, vous pouvez rêver dans l’une de nos chambres luxueuses. Dans notre cuisine ouverte, vous pouvez discuter avec le cuisinier et partager un apéritif. Vous êtes à la maison avec nous.
Nb chambresClassementWifi gratuitClimatisationAccueil 24/24Parking 16 4**** Oui Oui Oui Oui
Le Central Park est l’endroit idéal pour organiser vos séminaires. Notre centre de loisirs de 3 500 m2 en plein centre de Charleville-Mézières (parking public à 10 m) possède une salle de travail modulable recevant 100 personnes d’environ 120 m2. Equipement technique dernière génération : Wifi, rétroprojecteur relié à votre ordi portable, pupitre, micro photocopieur, etc. Un pub irlandais est aussi disponible pour organiser vos soirées privées avec possibilité buffets (collaborateurs et/ou clients, lancement produits, Noël enfants, anniversaire, baptême, etc.). Un bowling 16 pistes, un jeu de laser de 400 m2 et une brasserie Maître Brasseur Restaurateur (menu sur devis tous budgets) complètent cette offre unique sur les Ardennes (possibilité de coupler avec golf, accrobranche, stage survie, marionnettes, canoë, randonnée, trail, VTT, etc.)
Restaurant
PUNJAB
6 rue en Mémoire des Harkis - Reims 03 26 25 33 80 contact@punjab-reims.fr www.punjab-reims.fr
Le Central Park Charleville (à côté des cinémas) 03 24 54 00 00 www.lecentralpark.com
Ouverture
Toute l’année Gratuit
Wifi Oui
Pour les amateurs ou experts de la cuisine traditionnelle indienne, venez découvrir nos spécialités indiennes autour d’un buffet à volonté. Nos formules buffet à volonté (hors boissons, hors nans) :
- MIDI (du mardi au vendredi) à 13,50 €
- SOIR, WEEK-ENDS et JOURS FERIES : 19,50 €
Salon privatif : organisez vos évènements privés et professionnels dans notre salon privatif de 50 places (séminaires, repas d’entreprise, réceptions, évènement familiaux...)
Traiteur : les saveurs indiennes vous accompagnent lors de vos réceptions, sur vos lieux privés ou professionnels en vous proposant buffets, pièces cocktails, plateaux repas.
CapacitéParking
Salle privative
Horaires de service
150 couvertsPrivé1 - Capacité 50 pers. 12h - 14h et 19h - 22h (vend. et sam. 19h-22h30)
Laissez-vous guider et surprendre par...
Un art de vivre qui se cultive au quotidien, une offre de loisirs et des sorties adaptées au plus grand nombre, des établissements d’enseignement performants, une nouvelle dynamique économique avec des opportunités uniques pour les porteurs de projets : Châlons Agglo est un territoire porteur de sens et support de votre audace.
Découvrir Châlons-en-Champagne, c’est pénétrer au cœur d’une région connue dans le monde entier pour son vin consacré par l’Histoire de France et l’UNESCO. C’est se laisser surprendre par ce qui forge son identité, au fil de l’eau, dans les jardins, vastes poumons verts qui émaillent la ville-centre, le long des rues où la pierre, la craie ou le vitrail témoignent d’une intense activité artistique, sur scène ou hors les murs grâce à un bouquet perpétuel d’animations culturelles et sportives.
L’effervescence de la vie culturelle est constante et notamment autour des arts du cirque dont la Ville est la capitale française avec le Centre National des Arts du Cirque (CNAC) qui forme des artistes internationaux aux arts du cirque contemporain et Furies, festival de cirque et de théâtre de rue. C’est aussi une découverte
originale de Châlons, classée Ville d’art et d’histoire, et de son patrimoine avec Métamorph’Eau’ses, un son et lumières sur l’eau, unique en Europe.
Enfin, chaque année, en octobre, les cinéphiles se donnent rendez-vous à Châlonsen-Champagne pour le festival international de cinéma "War on Screen" où les conflits sont traités sous toutes les formes et tous les tons.
La notoriété nationale et internationale de la Foire-Exposition de Châlons-enChampagne s’enracine dans l’héritage des Foires de Champagne. Avec plus de 250 000 visiteurs annuels, ce rendez-vous, deuxième rassemblement agricole de France, placé dans le Top 5 des foires nationales, ambitionne désormais de devenir la Foire d’innovation agricole de référence en Europe.
Idéalement situé au carrefour des routes reliant la région parisienne à la frontière allemande, le Benelux au sillon rhodanien, et connectant ainsi plusieurs millions de personnes, notre Territoire offre une localisation de premier plan. L’ambition de Châlons-en-Champagne est de développer l’image d’un territoire basé sur l’innovation et les thématiques d’avenir (smart agriculture, silver economy, logistique multimodale…), tout en gardant cette douceur de vie propre à l’identité du vignoble champenois, classé au Patrimoine mondial de l’UNESCO.
Contact
Châlons Agglo
Direction du Développement Économique 03 26 21 87 30
Les principaux établissements du nord-est de la France
Chaque année, l’Union présente un palmarès des plus importants établissements du secteur privé (y compris les associations) situés dans les départements qui composent son territoire, soit 5 départements : Aisne, Ardennes, Marne, Aube, Haute-Marne.
Nous avons sélectionné les établissements employant plus de 100 salariés en un même lieu. Si une même entreprise compte plusieurs établissements de plus de 100 salariés, chacun est répertorié et classé selon son effectif. Pour certaines entreprises ayant de nombreux établissements ou agences dispersés, les effectifs ont été regroupés à l’établissement principal (siège ou direction régionale), et l’effectif est alors suivi de *.
Ce palmarès est constitué de 5 tableaux, un par département : les principaux établissements du secteur sont présentés par département puis selon leur activité (agroalimentaire, industrie, construction, commerce, services).
1 Définition de l’INSEE : « L'établissement est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'entreprise. Un établissement produit des biens ou des services. L'établissement, unité de production, constitue le niveau le mieux adapté à une approche géographique de l'économie. »
PUBLICS
Ce tableau présente les 20 principaux employeurs publics, sur l’ensemble de la zone : mairies et
collectivités, armée, centres hospitaliers, universités, administrations, établissements publics, organismes de protection sociale. Pour beaucoup d’entre eux, les collaborateurs sont dispersés entre plusieurs établissements, mais nous avons indiqué l’effectif total employé. D’une manière générale, dans chaque département, centres hospitaliers et conseil départemental figurent parmi les principaux employeurs.
Un travail d’enquête et de mise à jour Toutes les données recueillies pour composer les tableaux ont été vérifiées, complétées et mises en forme par la SNIC (Société Normande d’Information et de Communication).
Pour établir la sélection, nous nous sommes appuyés sur le fichier SIRENE (INSEE), en retenant tous les établissements de plus de 100 salariés. Toutes les informations à paraître ont ensuite été vérifiées. La source retenue en priorité est l’information fournie directement par les entreprises, qui ont été sollicitées par questionnaire (courrier et e-mail) et, pour celles qui n’avaient pas répondu, relancées systématiquement par téléphone. Ces informations ont été complétées et vérifiées, et un croisement des fichiers de la SNIC avec d’autres fichiers et sites (notamment Corporama) a été effectué. Lorsqu’il n’a pas été possible de vérifier les informations, nous avons préféré ne pas faire figurer l’établissement. En outre, nous avons retiré une demi-douzaine d’entreprises qui nous ont expressément demandé de ne pas figurer.
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20 • Centre hospitalier de Châlons Châlons-en-Champagne Centre hospitalier Dir. Danièlle Herbelet
21 • 40e RA Suippes
www.ch-chalonsenchampagne.fr
www.chalonsenchampagne.fr (1) N° d’ordre : indique le rang de l’établissement dans le département, selon l’effectif. • indique qu’il s’agit du siège social. * Lorsque les effectifs sont suivis de *, il s’agit des effectifs totaux, ou de ceux de l’ensemble de la direction régionale.
Présent dans 79 pays sur les cinq continents, Mazars emploie 18 000 collaborateurs dont plus de 3 000 en France.
« Nous sommes auditeurs pour des sociétés de toute taille, certaines ayant une dimension internationale, et nous sommes experts-comptables des TPE, des PME et des entreprises familiales », précise Patrick Reny, Expertcomptable et Commissaire aux comptes, Associé, responsable de la région Champagne-Lorraine. Depuis nos 38 bureaux en France, nous accompagnons nos clients au quotidien. La proximité est indispensable pour exercer nos métiers au cœur du territoire de nos clients ».
Installé dans le Parc d’Affaires de Bezannes depuis 2012, Mazars possède également 2 autres bureaux à Epernay et Nancy, et accompagne 2 500 clients.
Le cabinet privilégie une approche sectorielle, avec des équipes spécialisées, notamment dans la filière champagne. « Nos experts connaissent parfaitement ces métiers, leurs problématiques, apportent des solutions adaptées. Nos équipes sont, par exemple, spécialisées dans l’accompagnement des coopératives, dans l’aide à la gestion ou dans la recherche de financements ou de subventions ». Mazars a également développé une expertise dans le secteur de la distribution de proximité :
MAZARS REIMS
37 rue René Cassin
51430 BEZANNES
Tél. 03 26 79 75 00 reims@mazars.fr
Groupe indépendant d’audit, de conseil et de services comptables, fiscaux et juridiques, Mazars s’appuie sur des équipes locales, qui conjuguent expertise globale et connaissance du tissu économique régional.
« 600 clients nous font confiance dans ce secteur, sur toute la région Grand Est. Grâce à des services de reporting, nous établissons pour ces mêmes clients des tableaux de bord très utiles au pilotage de leur activité».
Le cabinet établit chaque mois 6 000 fiches de paie des PME clientes. Nous assurons également pour nos clients le suivi juridique annuel, ce qui leur permet de satisfaire les obligations légales en droit des sociétés.
« Nous les accompagnons également dans la gestion de leur patrimoine tout au long de leur vie jusqu’à la transmission à la génération suivante. »
LES MATINALES MAZARS
« Nous organisons au cours de l’année, les « Matinales Mazars », des réunions d’information animées par nos experts, en fonction de l’actualité législative et réglementaire. La prochaine Matinale apportera un éclairage sur les ordonnances réformant le Code du Travail. En janvier, nous analyserons les dispositions de la Loi de Finances 2018 ».
Calendrier des Matinales Mazars 2018 et informations complémentaires, contactez Katia WITCZAK au 03 26 79 74 71 – m@il : katia.witczak@mazars.fr
MAZARS EPERNAY
17 rue des Archers
51200 EPERNAY
Tél. 03 26 25 20 05 epernay@mazars.fr
www.mazars.fr
MAZARS NANCY
3 allée d’Auteuil
54500 VANDŒUVRE-LÈS-NANCY
Tél. 03 83 93 39 61 nancy@mazars.fr
PRÈS DE CHEZ VOUS !
P R È S D E C H E Z V O U S !
Au Luxembourg, situé sur l’axe routier N4, Rombach-Martelange regroupe plusieurs commerces très variés OUVERTS 7J/7
Deux magasins spécialisés en boissons et articles fumeurs :
SUPERMARKET DPS
Ouvert de 8h à 20h
JET DISCOUNT
Ouvert de 8h à 19h
Boutique Leonidas dans votre Supermaket DPS
Restaurants : IL DIABLO
LA CHARBONNADE - LE NORD LE MOUTON NOIR L’ODAS
Alimentation générale : LOUIS DELHAIZE Ouvert de 7h à 20h
Parfumerie : Le 5 Ouvert de 9h à 19h
La Vinothèque de Martelange :
Ouvert le lundi de 13h à 18h, du mardi au samedi de 9h30 à 18h
Station Service Q8 « Chez Arthur »
Ouvert du lundi au samedi de 6h à 22h
Dimanches et jours fériés de 10h à 19h
Rang(1) Société (Groupe) Commune Activité
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38 Materne (Mom)
43 Nestlé France (Nestlé, Suisse) Itancourt
47
67 • SNC Florepi (Abel & Schäfer, Allemagne) Guignicourt Pâtisseries
70 Tereos Bucy-le-Long Sucre
73 • Les Fromagers de Thiérache (Savencia) Le Nouvion-en-Thiérache Fromages
83 • Fruits Rouges & Co Laon Production de fruits
86 • Daunat Picardie (Norac) Chambry Sandwiches et salades Dir. usine Bénédicte Pasquier
86 Mondelez France Biscuits Production (Mondelez International, USA) Vervins Biscuiterie
86 Sermix (Invivo) Chierry Alimentation animale DG Tristan D’Hérouville
92 Mondelez International (Mondelez International, USA) Jussy Biscuiterie
108 Roquette Frères Montigny-Lengrain Produits amylacés
116 • Champignons Ruol Billy-sur-Aisne
7 • MBK Industrie (MBK Yamaha) Rouvroy Cycles, motos, scooters
7 • Novacel Ophtalmique (Essilor) Château-Thierry Verre
www.nestle.com
www.fauquet-maroilles.com
03.23.28.49.49 www.fruitsrougesandco.com
www.daunat.com
www.mondelezinternational.com
03.23.63.21.55 www.mondelezinternational.com
www.novacel-optical.com 10 • West Pharmaceutical Services France (West, USA) Le Nouvion-en-Thiérache Caoutchouc
11 Eurokera (Saint-Gobain, 50% et Corning, 50%) Chierry Verre vitro céramique Dir. usine
25 Dow France SAS (Dow Chemical, USA) Chauny Parachimie
25 • Magnetto Wheels (Magnetto, Italie CLN) Tergnier Sous-traitant automobile
(1) N° d’ordre : indique le rang de l’établissement dans le département, selon l’effectif. • indique qu’il s’agit du siège social. * Lorsque les effectifs sont suivis de *, il s’agit des effectifs totaux, ou de ceux de l’ensemble de la direction régionale.
site Thierry Walther
03.23.97.88.88 www.westpharma.com
03.23.84.85.00 www.eurokera.fr
03.23.38.34.56 www.dow.fr
Les agences ardennaises de ce réseau réputé pour son dynamisme et son efficacité améliorent en permanence l’accueil de leurs clients, comme en témoignent les nouveaux locaux carolomacériens.
Certains chiffres parlent d’eux-mêmes. « Notre ancienne agence de Charleville-Mézières faisait 45 m2, la nouvelle comprend 100 m2 dédiés à l’accueil et 60 m2 de salles d’archivage et de réunion », explique Florent Labbé, directeur des agences meilleurtaux. com de Rethel et Charleville-Mézières.
« Au delà d’un meilleur confort de travail pour l’équipe, cela nous permet surtout de pouvoir répondre encore mieux et plus rapidement aux attentes de nos clients. Nous pouvons désormais recevoir davantage de personnes en même temps, dans de très bonnes conditions de confort et en toute confidentialité, car chaque conseiller dispose de son propre bureau. Le suivi des dossiers est facilité pour une efficacité renforcée ».
Mieux exposé, au début du cours Aristide Briand, et plus facilement accessible, le nouvel emplacement permettra également à l’agence de courtage de poursuivre le développement de ses activités, en progression constante depuis son implantation à
MEILLEURTAUX.COM CHARLEVILLE
9 cours Aristide Briand 08000 CHARLEVILLE-MÉZIÈRES
Tel. 03 24 59 69 70 charleville@meilleurtaux.com
Charleville en mai 2011. « C’est une étape importante, comme l’a été l’ouverture de notre deuxième agence à Rethel en 2014. Nous avançons à un rythme raisonné, qui nous permet de ne jamais sacrifier la qualité du service rendu ». Cette priorité est reconnue par les clients, comme l’indiquent les notes moyennes de satisfaction publiées sur google : 4,9/5 pour l’agence de Rethel et 4,7/5 pour celle de Charleville. Ces avis coïncident avec la très bonne image du réseau national meilleurtaux.com, élu il y a quelques semaines marque préférée des Français parmi les courtiers en prêts (sondage Toluna pour MPF). « Nous avons la chance de travailler avec une enseigne dynamique, qui met à notre disposition des informations précises et constamment actualisées, et des outils matériels très performants, comme des logiciels efficaces et pratiques. Nous pouvons également proposer une offre plus large, grâce à des accords exclusifs passés avec des organismes financiers, en matière de prêts immobiliers pour les particuliers et les professionnels, de rachat de crédits et de délégation d’assurance ».
MEILLEURTAUX.COM RETHEL
1 avenue Gambetta 08300 RETHEL
Tel. 03 24 38 98 19 rethel@meilleurtaux.com
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38
Suisse) Vaux-Andigny
43 Noirot (Müller) Laon
46 • Godin (Cheminées Philippe France) Guise
51 • Fapagau et Compagnie (L'Oréal) Gauchy
57 • Mahle Filtersysteme (Mahle, Allemagne) Seboncourt Sous-traitant
58 • LMA Packaging (Qualipac filiale de Pochet) Château-Thierry Plasturgie
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67 • CSP Paris Fashion Group (CSP International Fashion Group, Italie)
74 • Defta Essomes Essomes-sur-Marne Sous-traitant
74 • Ondulys Saint Quentin (Ondulys VPK) Morcourt Carton ondulé
84 • Gea Westfalia Separator Production Fce (GEA Group, Allemagne) Château-Thierry
84 • Tata Steel France Bât.
86 Nexans France Bohain-en-Vermandois Câbles électriques
86 Verallia
www.ensival-moret.com
03.23.07.51.50 www.nexans.com
Espagne)
03 23 72 23 23 www.saica.com 101 • MATT (Trèves) Montcornet Accessoires
À Reims Murigny, Emmanuel MARZIN et son équipe privilégient la qualité et le choix des matériaux, pour apporter des solutions originales et esthétiques en carrelage et parquet, et concevoir des projets clé en main de salles de bain, cuisines ou dressing.
2 dessinatrices sont à votre service pour concevoir vos projets.
À l’entrée de la salle d’exposition de 1 000 m2 de Marzin Habitat, installée depuis 24 ans Grand Val de Murigny à Reims, un bureau de réception illustre d’emblée l’état d’esprit de l’équipe dirigée par Emmanuel Marzin : « ici, le client peut prendre le temps d’exposer son projet en détail, demander des conseils, trouver des matériaux dans le cadre du budget qu’il s’est fixé ».
CHOIX ET SAVOIR-FAIRE
Près de 15 000 références, une soixantaine de fournisseurs différents : le magasin dispose de l’un des plus beaux choix de la région en matière de carrelage et de parquets. « Nous distribuons des marques innovantes à haute technicité et des marques de décoration design pour les particuliers en exclusivité. Nous créons régulièrement de nouveaux box expo pour mettre en valeur les nouvelles tendances, par exemple les carrelages effets matière (bois, papier peint, tissu, marbre...). Nous proposons également des produits à haute technicité, comme des carrelages en fine épaisseur ou en grande dimension, jusqu’à 3,20 m ».
Artisans, promoteurs et architectes d’intérieur peuvent quant à eux trouver la perle rare au sein d’une carreauthèque régulièrement mise à jour. Marzin Habitat dispose de sa propre équipe de pose, constituée de conducteurs de travaux, de carreleurs, de plombiers et de menuisiers, qui mettent un point d’honneur à travailler dans les règles de la tradition artisanale : soin apporté aux détails, précision des gestes techniques et respect des matières font véritablement partie de l’ADN de l’entreprise. L’équipe de vingt personnes comprend aussi cinq concepteurs de projets et une architecte d’intérieur, qui élaborent des plans détaillés pour les particuliers comme pour les professionnels : « notre cœur de métier consiste à gérer un projet global, conçu sur mesure car chaque cas est unique. Certains de nos clients souhaitent un projet clef en main, fourni et posé. D’autres sont accompagnés de leur architecte d’intérieur. À chaque fois, nous nous dépassons pour trouver les solutions les plus innovantes, les plus originales et les plus performantes à moindre coût ».
MARZIN HABITAT
Grand Val de Murigny - 24 rue Edmond Rostand 51100 REIMS
Tél. 03 26 36 30 51 www.marzin-habitat.fr
Fondée à Reims en 1972, cette entreprise familiale a su intégrer au fil des ans l’ensemble des expertises et des métiers liés à la construction, pour une approche globale des projets de toute taille.
« L’ingénierie de la construction fait partie des secteurs en constante évolution », analyse Eric Gnat, PDG de la société. « Si nous pouvons aujourd’hui gérer un projet depuis son lancement jusqu’à sa livraison, c’est que nous nous sommes dotés en interne des compétences administratives, juridiques et techniques indispensables, tout en conservant les valeurs qui sont au cœur de notre philosophie depuis plus de 45 ans : la réactivité, la qualité, la fidélité et la durabilité ».
Maîtrise d’œuvre bâtiment et VRD (Voiries Réseaux Divers), Assistance à la Maîtrise d’Ouvrage, gestion des démarches administratives, réalisation de l’ensemble des études techniques depuis la conception jusqu’à la réalisation, génie climatique et électrique, management du planning et du budget : la cinquantaine de collaborateurs de GNAT Ingénierie mettent leurs savoir-faire en commun pour des solutions adaptées à chaque dossier.
L’entreprise a également développé des expertises dans des domaines spécifiques, notamment les contraintes environnementales : « depuis 1995, nous intégrons cette dimension à tous nos projets, au delà
des aspects purement réglementaires. Cela nous a permis d’acquérir une réelle maîtrise des techniques et des procédés de construction, et ainsi de proposer les solutions les plus pertinentes pour un projet. Nous assurons un suivi environnemental complet de tous les dossiers, comme par exemple l’édification de bâtiments HQE (Haute Qualité Environnementale), les demandes d’autorisation de sites, l’analyse de friches industrielles ou bien le suivi des dépollutions ».
Citons quelques grandes réalisations récentes en Champagne-Ardenne : extension et modernisation de l’usine AMADA à Charleville Mézières, construction du nouveau site vinicole MHCS à Oiry, construction et extension de plateformes logistiques des Transports Caillot à Reims, construction des nouveaux bureaux de Cristal Union à Bezannes ou construction de la nouvelle cuverie HQE du Champagne Palmer à Villers-aux-Nœuds... Précision importante, « nous nous investissons avec la même énergie pour tous les projets, quelle que soit leur dimension, et en cultivant la même proximité avec chaque client, ce qui nous a amené à implanter deux agences en plus de notre siège historique de Reims, une dans les Hauts-deFrance et l’autre en Ile-de-France ».
Reims - Grand Est - 10 rue Clément Ader BP 101 51685 REIMS cedex 2 Tel. 03 26 82 32 55 www.gnat.fr
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Transports Blondel Morcourt Transport de marchandises PDG Jérôme Juteau
14 • AMSAM Soissons Aide à domicile DG Matthieu Vanderbeken
15 • RTA Gauchy Autocariste
17 • La Maison du Cil (Procilia)
20 • Le Toit Familial (Action Logement)
23 Transports Papin Montcornet Transport routier Gérant
N° d’ordre : indique le rang de l’établissement dans le département, selon l’effectif. • indique qu’il s’agit du siège social. * Lorsque les effectifs sont suivis de *, il s’agit des effectifs totaux, ou de ceux de l’ensemble de la direction régionale.
03.23.05.77.77 www.blondel-logistique.com
03.23.75.51.00 amsam.net
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Incontournable rendez-vous de la rentrée dans le Grand Est, la Foire de Châlons affirmera cette année encore sa vocation de vitrine de l’excellence du territoire et de plateforme des initiatives innovantes.
Manifestation populaire capable de réunir en 2017 près de 245 000 visiteurs dont 120 000 ont assisté à l’un ou plusieurs des concerts du festival Foire en Scène (compris dans le prix de l’entrée), et quelque 800 exposants, la Foire de Châlons accueille chaque année près de 200 conférences, événements et rencontres professionnelles ou sociétales, et constitue l’un des rendez-vous favoris des responsables politiques nationaux à l’heure de la rentrée.
2e salon agricole hexagonal, Equip’Agro reflète quant à lui l’évolution des savoir-faire dans un secteur économique en pleine mutation. « Proactive, innovante, l’agriculture d’aujourd’hui investit massivement dans la recherche et met en place des solutions intelligentes et efficaces, pour relever les défis alimentaires et environnementaux . La promotion de cette démarche d’excellence sera au coeur de notre 72e édition. Il faut changer de paradigme, de sémantique, pour mieux communiquer et mieux expliquer au consommateur à quel point cette filière
représente un formidable levier de développement pour le Grand Est, première région agricole de France ». Autre ambition forte de la Foire 2018, « nous souhaitons affirmer davantage encore notre rôle de plateforme d’échanges entre les acteurs de l’innovation, notamment en matière de bioéconomie, véritable expertise de notre territoire. Nous réunirons toutes les initiatives régionales lancées autour de cet enjeu, comme le Pôle IAR, TERRASOLIS ou PLANET A, sans oublier la candidature française et rémoise à l’organisation de l’Expo Universelle 2025. De nombreux rendez-vous seront organisés pour les expliquer et les mettre en valeur, mais aussi pour confirmer la mobilisation de toutes les forces vives du territoire, des organisations professionnelles agricoles et viticoles aux organismes consulaires (CCI Marne, Chambre de Métiers, Chambres d’agriculture), en passant par les collectivités territoriales et les élus, les établissements d’enseignement et de recherche, et les entreprises privées. La co-construction d’un projet constitue en effet une condition aujourd’hui indispensable à sa réussite ».
UCIA EXPOS
4, rue Garinet 51000 CHÂLONS-EN-CHAMPAGNE
Tél 03 26 68 20 44 www.foiredechalons.com
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N° d’ordre : indique le rang de l’établissement dans le département, selon l’effectif. • indique qu’il s’agit du siège social.
Lorsque les effectifs sont suivis de *, il s’agit des effectifs totaux, ou de ceux de l’ensemble de la direction régionale.
« Depuis la fondation de notre groupe en 1945 à Epernay, nous avons accompagné des centaines de créateurs et de repreneurs, dont la grande majorité continue à nous faire confiance », souligne JeanFrançois Bouvet, PDG de FCN. « Nous avons d’ailleurs développé le Pack Créateur et le Pack Repreneur, deux offres qui répondent aux besoins spécifiques de celles et ceux qui se lancent dans l’entreprenariat, depuis le choix d’une forme juridique pertinente jusqu’à la mise en place de l’organisation administrative et comptable, en passant par la recherche de financements, l’optimisation du statut fiscal et social du dirigeant, l’élaboration d’un business plan ou les formalités juridiques ».
Autre forme d’accompagnement, le groupe est partenaire de 2 structures dédiées aux jeunes pousses : « nous soutenons depuis quelques mois l’espace ZAM coworking à Aÿ, qui accueille et met en réseau les porteurs de projets innovants. Nous nous sommes également associés en 2016 à la première opération Quartier Libre menée à Reims, et nous
FCN
Premier groupe d’Expertise comptable et de Commissariat aux Comptes du quart nord-est de la France, FCN propose des services spécialement adaptés à la création d’entreprises classiques ou de start-up innovantes.
faisons partie des mécènes de la deuxième édition de cette initiative désormais pérenne ».
À la fois espace de travail collaboratif, incubateur de start-up et espace événementiel, la deuxième mouture de Quartier Libre comprend un pôle de compétences, au sein duquel les experts-comptables de FCN tiendront des permanences régulières et animeront des réunions d’information destinées aux créateurs.
« Ce type d’écosystème nous permet de mieux cerner les attentes des start-uppers. Généralement jeunes et adeptes de nouvelles méthodes de travail, ils se positionnent sur des activités et des marchés encore inconnus. En plus de nos missions classiques de gestion des comptes et des formalités sociales et fiscales, cela implique des outils de prospective et des bilans prévisionnels réguliers, pour une sécurisation optimale. Leur correspondant FCN doit aussi se montrer encore plus réactif, et tisser rapidement un lien de confiance et de proximité avec eux. Cette démarche s’inscrit pleinement dans les valeurs de nos 550 collaborateurs, répartis dans 32 agences ».
45, rue des Moissons - B.P. 40428 - 51065 REIMS cedex
Tél. 03 26 77 38 99
Contact : dg@fcn.fr
Site internet : www.fcn.fr
D’importants travaux de transformation et de redynamisation, financés par la commune, seront lancés au printemps prochain pour améliorer la visibilité des commerces et le confort des usagers.
Figurant au coeur du projet de mandat de l’équipe municipale et du Maire Sylvie Butin, élus en 2014, la réhabilitation du centre de Saint-Memmie représente un enjeu majeur pour la deuxième ville de la Communauté d’Agglomération de Châlons-enChampagne. « Notre objectif est d’abord de permettre aux commerces de proximité, indispensables à la qualité de vie quotidienne de nos 5 700 habitants, de travailler dans de meilleures conditions, et d’attirer de nouvelles enseignes », explique Sylvie Butin.
Si la commune dispose à sa périphérie de deux centres commerciaux très dynamiques (ZAC Voitrelles et Mercuriales), elle fait face, comme toutes les petites villes, à la nécessité d’adapter son centre aux nouvelles demandes des consommateurs et des citoyens. Pour mieux les cerner et y répondre, de nombreuses réunions d’information et de concertation associant la population, les élus et les services techniques municipaux ont été organisées autour du projet. « Nous avons tenu compte des remarques et des propositions des riverains, des commerçants et des usagers, par exemple en intégrant l’idée de la création
d’une piste cyclable », confirme Sophie Walter, adjointe chargée des travaux et de l’urbanisme.
Concrètement, la première phase du chantier sera lancée en avril prochain. Elle concernera la place, la rue Baudiet et une partie de l’avenue Jacques Simon.
« Nous allons rendre plus visibles et attractives les cellules commerciales », détaille Jean-Pierre Gaumont, adjoint chargé de la voirie, de l’environnement et du cadre de vie. « Tous les revêtements de sol seront remplacés, avec des matériaux naturels et majoritairement produits dans la région pour les voies mixtes, les trottoirs, les allées piétonnes, le parvis et la placette que nous allons créer ».
Le secteur retrouvera ainsi sa vocation de « place du village », pouvant accueillir plusieurs manifestations et animations au cours de l’année, afin de dynamiser les activités alentours. Autre point essentiel : le stationnement sera modifié mais en maintenant le nombre de places de parking. Des plateaux surélevés seront installés aux entrées du secteur, et les trottoirs seront aplanis, pour sécuriser et faciliter l’accès des personnes à mobilité réduite et des patients arrivant par ambulance chez les professionnels de santé du secteur.
Hôtel de Ville - 2 avenue Le Corbusier 51470 SAINT-MEMMIE
Tel. 03 26 68 10 80 www.mairie-saint-memmie.fr
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19 • Ateliers des Janves Bogny-sur-Meuse
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23 • Unilin SAS (Mohawk, USA) Bazeilles
28 Société Ardennaise Industrielle (Selni)
N° d’ordre : indique le rang de l’établissement dans le département, selon l’effectif. • indique qu’il s’agit du siège social. * Lorsque les effectifs sont suivis de *, il s’agit des effectifs totaux, ou de ceux de l’ensemble de la direction régionale.
Grâce à la compétence reconnue de ses équipes et à sa maîtrise des nouveaux matériaux, à découvrir dans deux salles d’exposition, MARZINPRO est un partenaire privilégié des entreprises et des particuliers.
Des salles de bain design, des cabines de douche option hammam ou équipées d’une paroi chauffante, des petits espaces ingénieusement agencés, des spas nouvelle génération, des objets déco chics ou plus ludiques, des centaines de carrelages dont les plus grands dépassent les 3 mètres de hauteur... Dans la salle d’exposition MARZINPRO de Pierry, ouverte en 2011 et récemment rénovée, comme dans celle de Ormes, créée en 2015, les dernières tendances déco et les matériaux les plus innovants sont mis en valeur dans un large espace.
« Nous y exposons des produits dénichés dans les salons européens les plus réputés, ce qui nous permet d’être vraiment à la pointe en matière de nouveautés », décrit le Directeur général Roberto Bartolini. « Les fabricants de carrelage innovent en permanence, et parviennent aujourd’hui à imiter à la perfection n’importe quelle matière, de la pierre au bois en passant par les tissus ».
Ces progrès indéniables permettent aujourd’hui au carrelage de s’imposer sur les sols et les murs de toutes les pièces d’une maison, y compris le salon
Salle d’exposition
PIERRY-EPERNAY
9 bis allée de Maxenu
51530 PIERRY
Tél 03 26 54 15 20
ou les chambres, pour créer des espaces originaux et cosy.
Faisant partie des rares entreprises titulaires de 5 certifications QUALIBAT, MARZINPRO a développé plusieurs expertises très particulières, comme la maîtrise des résines techniques, convenant parfaitement aux exigences des sols industriels. « Nous innovons pour toujours mieux répondre aux attentes de nos clients, en conservant l’exigence de haute qualité qui a fait notre réputation. Sur 47 salariés, 37 sont des poseurs, des ouvriers expérimentés qui travaillent dans les règles de l’art. Certains sont de vrais spécialistes dans un domaine précis, comme les installations industrielles viticoles. Nous disposons également d’un bureau d’études intégré, ce qui nous permet de gérer des projets de A à Z, en collaboration avec les architectes ou les décorateurs d’intérieur ». Véritable référence dans le secteur de la viticulture, MARZINPRO participe actuellement à plusieurs projets d’envergure dans la région : aménagement du Royal Champagne à Champillon, rénovation de l’hôtel particulier de la Maison Leclerc Briant à Epernay, nouveau site de la Maison Veuve Clicquot près de Reims, etc.
MARZINPRO
Entreprise de pose qualifiée
Tél 03 26 50 35 20 www.marzinpro.fr
Salle d’exposition
REIMS-TINQUEUX
5 rue des blancs fossés
51370 ORMES
Tél 03 26 06 31 11
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47 Amada Europe (Amada, Japon) Charleville-Mézières
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Au cœur de l’hyper-centre, cette véritable institution rémoise met à la disposition des entreprises et des particuliers une palette complète d’équipements et de prestations haute qualité.
Implanté face à la gare de Reims, à quelques pas de la place Drouet d’Erlon, l’hôtel de l’Univers a ouvert ses portes en 1930. Vaisseau amiral du groupe Bombaron, intégré depuis 2014 au réseau international Golden Tulip, l’établissement dirigé depuis 1995 par Christophe Bombaron a su évoluer pour répondre aux nouvelles attentes des clients, professionnels ou particuliers, tout en conservant son cachet atypique et sa démarche résolument qualitative.
Doté de 42 chambres (dont 12 exécutives) récemment rénovées, lumineuses et confortables, l’hôtel classé 4 étoiles dispose également de 250 m2 d’espaces fonctionnels de réunion ou de réception. « Entièrement équipées, nos trois plus grandes salles peuvent accueillir 150 convives en formule tables rondes ou 250 personnes pour un cocktail », détaille Vanusha Martinelli, responsable commerciale. Autre atout majeur de l’établissement, son restaurant le Spark propose une cuisine bistronomique, à base
de produits frais, renouvelée au fil des saisons et élaborée par le chef Fabien Abdalalim, venu du Cheval Blanc à Sept-Saulx. « Vous dégusterez au sein de notre carte notre produit phare ‘‘Le Homard’’ dans un menu qui lui est entièrement dédié à un prix très abordable. Nous travaillons aussi sur mesure, en nous adaptant au budget des particuliers et des entreprises qui organisent un événement, cocktail ou repas ». Cette capacité à mettre en œuvre des expertises multiples a permis au Golden Tulip Reims l’Univers de devenir le siège de multiples clubs service (Lion’s Club, Rotary, etc) et d’accueillir régulièrement les réunions ou séminaires d’entreprises prestigieuses, issues du monde du champagne, pharmaceutique, etc. À noter enfin que fidèle à sa philosophie, ne jamais se contenter des acquis, le groupe Bombaron a décidé de mener un agrandissement hors-norme de l’hôtelrestaurant : « D’ici 2020, l’hôtel sera doté de 102 chambres, et de nombreux salons pour satisfaire les nouvelles clientèles ».
GOLDEN TULIP REIMS L’UNIVERS
41 boulevard Foch 51100 REIMS
Tel. 03 26 88 68 08
www.goldentulipreimslunivers.com/fr
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49 Clinique du Parc Clinea
49 Fizalys Audit Charleville
56 Adrexo (Hopps Group)
(1) N° d’ordre : indique le rang de l’établissement dans le département, selon l’effectif. • indique qu’il s’agit du siège social.
* Lorsque les effectifs sont suivis de *, il s’agit des effectifs totaux, ou de ceux de l’ensemble de la direction régionale.
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4 • Petit Bateau Usine St Joseph (Yves Rocher) Troyes Confection
4 Usine Michelin Troyes La Chapelle-Saint-Luc Caoutchouc Dir. usine Stéphane
6 Centrale nucléaire de Nogent-sur-Seine (EDF) Nogent-sur-Seine Production d’électricité Dir. Olivier Garrigues
7 Assa Abloy Aube Anjou (Assa Abloy, Suède) Sainte-Savine Serrures et cylindre Dir. Gonzalo Libano
11 Aube Bedding (Adova Group) Bar-sur-Aube Literie et canapé Dir. José Da Cunha
12 Lacoste Opérations Usine Troyes Confection Dir. indus. Jérôme Le Bleis
20 • MWF (Mefro Group, Allemagne) La Chapelle-Saint-Luc Sous-traitant automobile DGA Jean-Christophe Vergnaud
23 • AL-Babtain France SAS Saint-André-les-Vergers Poteaux en acier
24 Petit Bateau (Yves Rocher) Buchères Confection
25 LISI Aerospace Bar-sur-Aube Fonte de fer ou d'acier
26 Gravotech Marking SAS La Chapelle-Saint-Luc Machines à graver
31 • Cycleurope Industries Romilly-sur-Seine Vélos
39 • Sciae (Scipio Holding SAS, Allemagne) Dienville Ameublement
www.petit-bateau.com
03.25.25.60.60 nogent.edf.com
03.25.71.72.00 www.lacoste.com/fr
03.25.92.31.41 www.lisi-aerospace.com
www.gravograph.com
www.sciae.com
39 • Société Groupe Larbaletier Fontaine-Les-Grès Plasturgie PDG Olivier Choiselat 170 03.25.70.23.14 larbaletier.fr
39 Wepa France (Wepa, Allemagne) Torvilliers Papier Resp. usine Udo
46 • Sedis Troyes Pièces mécaniques
48 Lacoste Opérations Services adm.
48 • Tractel SAS St-Hilaire-Sous-Romilly Equipements de manutention
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N° d’ordre : indique le rang de l’établissement dans le département, selon l’effectif. • indique qu’il s’agit du siège social. * Lorsque les effectifs sont suivis de *, il s’agit des effectifs totaux, ou de ceux de l’ensemble de la direction régionale.
Chefs d’entreprise, Fizalys est à vos côtés :
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Né de la fusion de différentes sociétés d’expertise comptable des Ardennes, de la Marne et de l’Aisne, le groupe FIZALYS réunit plus de 3000 clients, avec lesquels il cultive des liens de proximité et de confiance.
« En 2010, 3 cabinets ardennais indépendants ont uni leurs forces pour continuer à proposer des services adaptés aux attentes des clients et pour faire face à l’évolution de notre profession», raconte Laurent Podvin, Expert comptable, Commissaire aux comptes et Président de FIZALYS Audit, l’une des six filiales détenues à 100% par le groupe FIZALYS. «De jeunes confrères sont venus nous rejoindre et nous avons réalisé en 2011 l’acquisition d’un autre cabinet Ardennais ».
Aujourd’hui, le groupe compte plus de 10 expertscomptables et 105 collaborateurs, répartis sur 8 sites, dont 6 dans les Ardennes. «Réunis au sein du groupe FIZALYS, nous avons conservé l’esprit de proximité qui caractérisait nos cabinets indépendants et portons une attention toute particulière aux demandes de notre clientèle ».
FIZALYS propose en effet un accompagnement personnalisé à chaque entreprise ou association, de l’artisan qui travaille seul aux PME/PMI beaucoup plus importantes. « Les compétences complémentaires de
nos équipes nous permettent d’établir des synergies, tout en conservant la réactivité et l’adaptabilité d’interlocuteurs connaissant parfaitement le client et ses particularités ».
Cette nouvelle approche de la relation client se traduit aussi par la création d’un portail informatique, permettant aux professionnels de traiter leur comptabilité ou leur gestion commerciale en ligne, sans acquérir un logiciel dédié. Ils peuvent aussi créer un coffre-fort électronique, pour déposer et consulter les documents qu’ils souhaitent, et accéder à des informations pratiques régulièrement mises à jour.
Parmi les expertises développées par le groupe, le suivi social dans les sociétés et ceci quelque soit la taille d’entreprises : « dernière mission en date, établissement des salaires et charges dans une entreprise de 140 salariés et ceci suite à démission du responsable RH ».
Autre forme de service, la formation des clients et de leurs salariés, grâce à la filiale EFORM@CTION : « il peut s’agir de sessions consacrées à la comptabilité pure, à des règles sociales spécifiques, ou à l’évolution de la fiscalité des entreprises ».
GROUPE FIZALYS
6 boulevard des Ecossais
08200 SEDAN
Tel. 03 24 29 80 81 www.fizalys.net
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9 ISS Propreté (ISS A/S, Danemark)
62 • Prêt A Partir Touring Car (Piot) Marolles-sous-Lignières
(1) N° d’ordre : indique le rang de l’établissement dans le département, selon l’effectif. • indique qu’il s’agit du siège social. * Lorsque les effectifs sont suivis de *, il s’agit des effectifs totaux, ou de ceux de l’ensemble de la direction régionale.
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3 • Forges de Courcelles (Sifcor) Nogent Sous-traitant
3 • GHM SA Sommevoire
5 • AHD (CIF) Saint-Dizier Fonderie d'acier
7 • Ferry Capitain Usine de Bussy (CIF de Bussy) Vecqueville Fonderie
8 • FBM Brousseval Fonderie d'acier
www.fbm-fonderies.fr
9 • Greatbatch Medical (Integer Holdings Corporation, USA) Chaumont Prothèses orthopédiques Dir. Guillaume Henry 360* 03.25.30.77.77 integer.net
16 • Yanmar Construction Equipment Europe Saint-Dizier Matériels de chantiers Pdt Arnaud Berthier
21 Plastic Omnium Systèmes Urbains Langres Plasturgie Dir. Olivier Lefebvre
www.plasticomnium.com
22 • Etablissements Maurice Marle Nogent Prothèses médicales PDG Antonio Gil 200 03.25.31.85.79 www.marle.fr
24 Plastic Omnium Auto Exterieur (Plastic Omnium) Langres Plasturgie Dir. par intérim Richard Dekerle 196 03.25.87.82.00 www.plasticomnium.com
25 • Magna Engineered Glass Europe (Magna, Canada) Hûmes-Jorquenay Injection plastique Gérants J. Herman & G. Schmeken
26 • Yto France (Yto, Chine) Saint-Dizier Pièces agricoles DG Tao
27 • Ferro France Saint-Dizier Emaux Gérant Emmanuel Marinho 162 03.25.07.33.33 www.ferro.com
28 Saint-Gobain PAM Usine de Bayard (Saint Gobain) Bayard-sur-Marne Canalisation en fonte
30 • GHM (Sls) Wassy Fonderie Dir.
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33 • Forges de Froncles (ABC) Froncles
34 Sogefi suspensions (Sogefi, Italie) Fronville Sous-traitance automobile
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N° d’ordre : indique le rang de l’établissement dans le département, selon l’effectif. • indique qu’il s’agit du siège social. * Lorsque les effectifs sont suivis de *, il s’agit des effectifs totaux, ou de ceux de l’ensemble de la direction régionale.
Grâce à des investissements conséquents et à une expertise unanimement reconnue dans la menuiserie intérieure, cette entreprise rémoise se développe et embauche à un rythme soutenu et maîtrisé.
Fondateur et dirigeant de LES ATELIERS DE REIMS, Pierre CARRE ne dissimule pas sa satisfaction face au chiffre d’affaires réalisé par sa société en 2017 : 11 million et demi d’euros contre 9 millions en 2016. « Cette progression importante conforte la stratégie que nous avons adopté début 2016, quand nous avons repris l’activité MENUISERIE du groupe FAYAT, pour gagner en souplesse et en réactivité afin d’aller chercher de nouveaux clients. Nous sommes d’autant plus rassurés que notre carnet de commandes en ce début d’année dépasse les 17 millions d’euros ».
Pour réaliser cette performance, l’entreprise a investi près de 700 000 € dans son atelier de fabrication de 1200 m2 : « nous avons acquis trois machines nouvelle génération, pour débiter, plaquer et usiner les panneaux de bois. Nous avons aussi travaillé sur le confort de nos salariés, notamment dans la manutention des produits grâce à des palans pneumatiques ou des transpalettes électriques, et sur le plan acoustique. Cet outil moderne et performant nous permet d’être totalement
autonomes, de garantir une qualité homogène pour tous les matériaux que nous utilisons et de tenir scrupuleusement les délais sur lesquels nous nous engageons ».
La société s’appuie également sur 59 collaborateurs motivés et aux compétences complémentaires : « Notre bureau d’étude intégré fournit des solutions techniques chiffrées, adaptées à chaque projet. Nos ouvriers, cadres et ingénieurs sont expérimentés et qualifiés, et nos menuisiers possèdent un savoir-faire incontesté ». La création d’emplois figure parmi les priorités des Ateliers de Reims : 6 personnes ont été embauchées en 2017, 2 en encadrement, 3 sur les chantiers et 1 en atelier. Intervenant essentiellement en Champagne-Ardenne et Ile-de-France, l’entreprise participe à de nombreux grands projets en cours : construction de la nouvelle polyclinique Courlancy et de plusieurs immeubles pour Bouygues, Crédit Agricole du Nord Est, Montroyal Immobilier à Bezannes, rénovation du Royal Champagne à Champillon, le futur hôtel Mariott à Reims et l’extension de la Fondation Roederer pour le CHU de Reims.
ATELIERS DE REIMS
136 rue Léon Faucher 51100 REIMS
Tél 03 26 48 42 43 www.lesateliersdereims.com
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Société (Groupe)
5 • MHCS (LVMH) Epernay Champagne Pdt Stéphane Baschiera
6 • Vivescia Reims Collecte de céréales
15 • Veuve Clicquot Ponsardin (MHCS, Moët Hennessy Champagne Services, filiale de LVMH) Reims Champagne PDG Jean-Marc Gallot
29 • Champagne Lanson (Lanson-BCC) Reims Champagne
36 • Vranken-Pommery Monopole
37 • Acolyance Reims
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(1) N° d’ordre : indique le rang de l’établissement dans le département, selon l’effectif. • indique qu’il s’agit du siège social. * Lorsque les effectifs sont suivis de *, il s’agit des effectifs totaux, ou de ceux de l’ensemble de la direction régionale.
03.26.51.20.00 www.moet.com
www.vivescia.com
03.26.89.54.40 www.veuve-clicquot.com
www.lanson.com
www.vrankenpommery.com
Au-delà de ses missions obligatoires d’organisme consulaire, la Chambre développe de nombreux outils pour accompagner les artisans tout au long de leur parcours, de la formation à la cessation d’activité.
En 2017, dans le département, l’artisanat représentait 14 720 salariés dans 8533 entreprises, 9238 dirigeants, 1462 apprentis et 367 conjoints collaborateurs. Pour Michel Boulant, Président de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de la Marne, « ces acteurs indispensables au développement du territoire ont des attentes et des besoins spécifiques. Notre rôle consiste en premier lieu à y répondre à chaque étape de leur vie professionnelle, d’abord en simplifiant et en regroupant leurs démarches administratives, mais aussi en mettant à leur disposition des services de proximité efficaces et pertinents ».
Dès le CAP et jusqu’à l’école d’ingénieur, les jeunes qui souhaitent se former à l’un des 250 métiers de l’artisanat peuvent s’adresser au Centre d’Aide à la Décision : « ce point d’accueil les aide à préciser leur projet, les informe sur les contrats, les centres de formation et les diplômes, et les met en contact avec les entreprises susceptibles de les accueillir avec un maître d’apprentissage dédié. En parallèle,
le CAD accompagne les artisans au recrutement des apprentis ».
L’apprentissage constitue d’ailleurs l’une des priorités de la Chambre pour 2018 : « 350 offres restent à pourvoir dans la Marne. Nous allons intensifier les actions de promotion de cette voie d’excellence vers l’emploi. Rappelons que 80 % des apprentis obtiennent leur diplôme et qu’un apprenti sur deux crée son entreprise ».
Les porteurs de projet bénéficient d’un accompagnement et d’un suivi personnalisés, qui se prolongent durant les 3 premières années d’activité et en cas de difficulté. Autre clef du succès de l’entreprise, la formation continue est également au cœur de l’offre de la CMA. « Nous avons développé un véritable savoir-faire dans 17 domaines et 87 thèmes de formation et nous allons bientôt ouvrir nos sessions à d’autres secteurs que l’artisanat ».
À noter enfin que la Chambre est partenaire de nombreuses collectivités et organise des actions de promotion de certaines filières particulières, par exemple les 200 artisans d’art de la Marne.
68 boulevard Lundy - BP 62746
51062 REIMS
Tel. 03 26 40 64 94 www.cm-reims.fr
Champagne Piper-Heidsieck (EPI, Européenne de participation industrielles)
192 • Charbonneaux Brabant Reims Vinaigrier/moutardier
(1) N° d’ordre : indique le rang de l’établissement dans le département, selon l’effectif. • indique qu’il s’agit du siège social. * Lorsque les effectifs sont suivis de *, il s’agit des effectifs totaux, ou de ceux de l’ensemble de la direction régionale.
122 • Gunnebo Bazancourt (Gunnebo, Suède) Bazancourt
124 Chantelle Épernay
124 • Entreprise Cordier (Lapeyre Industrie)
124 • Knorr - Bremse Systèmes ferroviaires (Knorr-Bremse, Allemagne) Tinqueux Système de freinage
(1) N° d’ordre : indique le rang de l’établissement dans le département, selon l’effectif. • indique qu’il s’agit du siège social.
* Lorsque les effectifs sont suivis de *, il s’agit des effectifs totaux, ou de ceux de l’ensemble de la direction régionale.
124 • Virax (Rothenberger, Allemagne) Épernay Outillage
136 • Tecnoma Technologies (Exel Industries France) Épernay
139 Ciments Calcia (Italcementi Group, Italie) Couvrot
139 • Kadant Lamort (Kadant Inc. USA) Vitry-le-François
147 • Suez RV Reims (Suez Recyclage et Valorisation France) Reims
149 Imerys TC Pargny-sur-Saulx
AstraZeneca Reims Reims Laboratoire
151 • ArcelorMittal Distribution Solutions Saint-Brice-Courcelles Produits sidérurgiques
151 • Brink Towing Systems SARL (Brink Group) Bétheny Sous-traitant
151 Itron France Reims Compteurs de gaz
151 • Preciculture SAS (Exel Industries) Fère-Champenoise Matériel agricole
151 Smurfit Kappa Tours-sur-Marne Carton ondulé
160 • JST France (JST, Japon) Marolles Composants électroniques Dir. site Juan-Carlos Garcia
163 • Resinoplast (Ivy Group) Reims Plasturgie DG Jérémy Dauchin
163 Terex Cranes France (Terex, USA) Châlons-en-Champagne Appareils de levage
Emmanuel Digues
170 • Feralco (Averys) Sézanne Rayonnages Dir. usine Sébastien Bossard
171 Campa (Müller) Fismes Appareils de chauffage Dir. site Hervé Vermande
www.arcelormittal.com/dsfrance
www.preciculture.eu
www.smurfitkappa.fr
www.demagcranes.fr
03.26.80.76.76 www.feralco.fr
03.26.48.01.76 www.campa.fr
175 • Privé Châlons-en-Champagne Silos métalliques PDG Jean-Michel Privé 111 03.26.68.66.66 www.prive.fr
177 • Seyfert Champagne (Calm) Reims Carton ondulé Dir. exploit. Christophe Mendez
183 Cartier Joaillerie International Sas Bezannes Joaillerie Resp. Pierre Rainero
183 • Parchimy (Eugène Perma) Reims Produits capillaires Pdt CA Didier Martin
185 Chubb France Agence Reims (UTC-BIS) Reims Systèmes de protection Dir. agence F. Sztajnowski & F. Sztajnowski
190 • Imprimerie Billet
191 • Forgel (Groupement Casel) Bezannes Froid, climatisation
192 ALK - Abello (ALK-Abello, Danemark) Vandeuil Pharmacie
192 • Ateliers Roche (CIF) Reims Mécanique générale
192 Tokheim Services France (Tokheim)
3 Eiffage Route Nord-Est DR Nord-Est Reims Génie
Cari Thouraud - Fayat (Fayat Bâtiment)
122 Colas Nord-Est - Agence de Reims
124 • Le Bâtiment Associé (La Financière, le
(1) N° d’ordre : indique le rang de l’établissement dans le département, selon l’effectif. • indique qu’il s’agit du siège social.
Lorsque les effectifs sont suivis de *, il s’agit des effectifs totaux, ou de ceux de l’ensemble de la direction régionale.
03.26.50.55.00 www.seyfert.fr
www.cartier.fr
03.26.50.56.56 www.eugeneperma.fr
www.imprimerie-billet.fr
www.forgel.fr
www.ateliersroche.fr
www.tokheim.com
4
49
64
67
67 • Centre E. Leclerc Pierrydis Pierry Hypermarché DG Guillaume Gobillot
74
81 • Comptoir général de robinetterie Tinqueux Grossiste robinetterie Pdt Jérémie Petit
81 Ikea Reims Thillois Grande surface Mobilier Dir. étab.
03.26.54.06.33 www.e-leclerc.com/pierry
03.26.79.07.07 www.cgr-robinetterie.fr
N° d’ordre : indique le rang de l’établissement dans le département, selon l’effectif. • indique qu’il s’agit du siège social. * Lorsque les effectifs sont suivis de *, il s’agit des effectifs totaux, ou de ceux de l’ensemble de la direction régionale.
PEUGEOT REIMS - Cité de l’Automobile, ZAC Croix Blandin - 2-4 rue Léna Bernstein - Reims - Tél. 03 26 77 31 31 - peugeot-reims.fr
ABC PEUGEOT CHARLEVILLE - 23 route de Warnecourt - Prix-lès-Mézières - Tél. 03 24 37 37 45 - peugeot-charleville.fr
ABC PEUGEOT SEDAN - 6 avenue du Général-de-Gaulle - Sedan - Tél. 03 24 27 13 25 - peugeot-sedan.fr
ABC PEUGEOT HIRSON - 1 Parc de l’Épinette - Hirson - Tél. 03 23 58 20 22 - peugeot-hirson.fr
Rang(1) Société (Groupe)
42 • Plurial Novilia (Action Logement Immobilier) Reims Logement social
45 A-G-Net Propreté Multiservices Reims (AG) Saint-Brice-Courcelles Entretien, nettoyage
45 ISS Propreté Direction régionale (ISS A/S, Danemark) Reims Entretien, nettoyage Dir.
48 • FCN
51 Derichebourg propreté - Agence de Reims Saint-Brice-Courcelles Entretien, nettoyage Dir. agence Manon Arnaud
52 • Alméa Châlons-en-Champagne Formation DG Xavier Flambard
52 • AS Entreprises (Dépend de FDSEA 51) Reims Expertise comptable Dir. Christophe Songy
52 Elior Services Propreté et Santé Taissy Entretien, nettoyage
52 Neoma Business School Reims Ecole de commerce
52 Onet Propreté & Services Reims Entretien, nettoyage Dir. Antoine Rivière
61 • Le Foyer Rémois (Global Habitat) Reims Logement social Pdt Dir. Julien Paul
62 Samsic II Reims Entretien, nettoyage Chef d'étab. Thibault Valentin
64 La Banque Postale - Centre financier Châlons-en-Champagne Banque & Assurance Dir. Anne Deflander
66 Societe Générale - DR Champagne-Ardenne Reims Banque & Assurance
67 • CERA (Trèves) Reims Etudes techniques Dir. Jean-Luc Lanfranchini
67 • Champagne Déménagements (Holding Caille) Reims Déménagement Resp. Christine Caille
67 Sanef - Direction Région Est (Abertis, Espagne) Reims Réseau autoroutier Resp. Réseau ChampagneArdenne Fabrice Kartès
74 • L'Union (Rossel, Belgique) Reims Presse quotidienne DG Daniel Picault
77 Sécuritas Agence Champagne-Ardenne Muizon Surveillance & sécurité Dir. agence Guillaume Richez
81 GSF Ariane Reims Entretien, nettoyage
87 ITMLAI (Intermarché) Luxémont-et-Villotte Préparation de commandes Resp. exploit. Romain Serres
(1) N° d’ordre : indique le rang de l’établissement dans le département, selon l’effectif. • indique qu’il s’agit du siège social. * Lorsque les effectifs sont suivis de *, il s’agit des effectifs totaux, ou de ceux de l’ensemble de la direction régionale.
www.derichebourg.fr
03.26.69.25.85 www.almea-formations.fr
03.26.04.96.66 www.as-entreprises.fr
03.26.07.81.99 www.elior.com
03.26.77.47.47 www.neoma-bs.fr
03.26.87.50.87 fr.groupeonet.com
03.26.84.46.46 www.foyer-remois.fr
03.26.84.87.49 www.samsic.fr
www.societegenerale.fr
03.26.85.71.00 www.treves.fr
03.26.02.10.70 www.caille-sa.fr
01.41.90.59.00 www.sanef.com
03.26.50.50.50 www.lunion.presse.fr
03.26.79.83.20 www.securitas.fr
03.26.82.05.26 www.gsf.fr
PUBLI-INFO
Société Champenoise d’Énergie. Le 111 Avenue Paris.
Incubateur-accélérateur de start-up.
Depuis sa création en 1960, la Société d’Economie Mixte de la Ville et de l’Agglomération de Châlons-en-Champagne a su évoluer pour devenir un partenaire incontournable des entreprises et collectivités.
La SemCha réunit des actionnaires publics et privés autour d’un objectif essentiel : le développement du territoire de Châlons-en-Champagne : « nous sommes à la fois investisseurs et accompagnateurs des porteurs de projets », précise Jérôme Mat, Président de la société. « Nous avons notamment développé 3 expertises complémentaires. D’abord, nous sommes spécialistes des solutions immobilières adaptées à tout type d’activité, du bureau à l’entrepôt. Pour cela, nous disposons d’un important patrimoine de locaux tertiaires, industriels ou commerciaux, dont nous assurons la gestion locative. Et nous investissons chaque année dans l’acquisition et la réhabilitation de bâtiments susceptibles d’accueillir de nouvelles entreprises. L’immobilier est ici moins cher que dans les grandes agglomérations voisines, et les créateurs peuvent bénéficier d’exonérations fiscales et sociales importantes, dans le cadre du Contrat de Redynamisation du Site de Défense châlonnais ».
Deuxième compétence développée par la SemCha : « nous possédons une solide expérience en matière
SEMCHA
Messe des Entrepreneurs 42 rue Grande Etape
51000 CHÂLONS-EN-CHAMPAGNE
Tel. 03 26 66 77 35 www.semcha.com
de l’ingénierie territoriale et l’Assistance à la Maîtrise d’ouvrage des administrations d’Etat, des collectivités, et des entreprises privées. Nous intervenons dans la Marne et la Haute-Marne, pour des opérations de mise en accessibilité ou de restructuration des bâtiments publics, notamment des mairies, des écoles ou des EHPAD ».
3e champ d’intervention : l’accompagnement de la Ville pour le redynamisation de son centre. « Nous nous portons acquéreurs de rez-de-chaussée, que nous restructurons et rénovons, pour les louer à des porteurs de projets, que nous assistons également en les mettant en relation avec des franchises commerciales ».
À noter enfin que la SemCha fait partie des actionnaires de la Société Champenoise d’Energie, spécialisée dans les projets de parcs photovoltaïques ou éoliens, créateurs d’emplois locaux non délocalisables, et de l’incubateur-accélérateur de start-up ThincLab, ouvert à tous ceux qui ont une idée dès son émergence, et dont les programmes sont établis avec l’Université d’Adélaïde en Australie.
Partenaires :
La régie publicitaire de Rossel
Est Médias s’appuie sur les marques leaders d’information l’Union, L’Ardennais, L’Est-Eclair et Libération Champagne et une offre de services innovante, pour toujours mieux répondre aux attentes de ses clients en matière de communication.
Pour son Directeur Christophe Boudet, « Cap Régies est précurseur dans l’utilisation des nouvelles techniques de communication ».
Avec plus de 620 000 lecteurs et internautes réguliers* recensés chaque semaine, les 4 titres du pôle Rossel Est Médias (L’Union, L’Ardennais, L’Est Eclair et Libération Champagne) ont une nouvelle fois confirmé en 2017 leur place de premiers supports de communication dans la région. « Grâce à la notoriété et à l’impact de ces grandes marques, 3 500 clients nous font confiance chaque mois », souligne Christophe Boudet, Directeur de Cap Régies. « Pour optimiser notre offre média déjà riche et variée, nos 67 collaborateurs, conçoivent en permanence de nouvelles offres afin d’accompagner les entreprises et innover dans leur stratégie de communication ».
Cette démarche résolument Cross Média, qui conjugue print, web et mobile, se traduit notamment par le renforcement des outils mis au service des annonceurs et des agences : « en complément de nos supports digitaux, nos clients peuvent désormais accéder à l’univers de ‘‘20 minutes’’, site leader de la presse gratuite d’information en France, bénéficier d’un système de géo-localisation qui leur permet d’atteindre les internautes dans le secteur de leur choix. Nous venons aussi de lancer des produits innovants, pour étonner le
CAP REGIES
14 rue Edouard Mignot - Bâtiment A - CS 20001
51 083 REIMS cedex Tel. 03 26 50 50 50
lecteur, comme le Mémostick, un sticker positionné à la Une du journal. Ou l’habillage personnalisé de 4 pages du quotidien, dont la une et la dernière, qui permet aux entreprises célébrant ou organisant un événement d’envoyer à leurs clients un exemplaire expédié et distribué le jour même. »
Depuis plusieurs années, Cap Régies a aussi développé un savoir-faire reconnu en matière d’organisation de forums et de salons thématiques : « en 2017, nous avons proposé 12 événements, en partenariat avec de grands secteurs d’activité, comme l’immobilier, l’automobile ou la formation ».
Autres formes de diversification : un supplément gratuit dédié à l’immobilier et distribué en boîte aux lettres et dépôts (L’Union Immo), un magazine haut de gamme trimestriel (L’Instant Rémois), ou les grands rendez-vous annuels comme le Guide Balades, L’Instant Champagne, ou le Guide Economique... Concernant les annonces légales, l’assistance sur le terrain par deux expertes des collectivités et des entreprises pour la dématérialisation de leurs annonces légales sur le site proxilégales.fr.
Dernière illustration de cette volonté d’évolution constante, Cap Régies changera bientôt de nom et de logo. Rendez-vous en février pour en savoir plus...
la capacité à se réinventer et à créer favorise le DÉVELOPPEMENT
IMPULSER UNE DYNAMIQUE POUR SOUTENIR L’ATTRACTIVITÉ, L’INNOVATION ET L’EMPLOI
230
910 entreprises surimplantées à Reims ont assuré leur pérennité
8 400 entreprises implantées pour la création de emplois
150 300 000 congrès et salons accueillis par an et visiteurs
L’effervescence économique
124
139 •
139 XPO Supplain Chain Site ND Logistics Bussy-Lettrée Fret de proximité
163 • STDM (RATP) Châlons-en-Champagne Autocariste
177 • Société Nouvelle Struby (STG) Witry-lès-Reims Transport routier
181 • CEVA Logistics France Bussy-Lettree Stockage pièces automobiles
185 • Horizon Bleu Reims Conseil en communication Sec. gén. Sabrina Paradis
www.stdmarne.fr
www.cevalogistics.com
03.26.40.16.17 www.horizon-bleu.com
185 • Regnault Autocars Mareuil-Le-Port Transport de voyageurs Pdt Jean-François Hureaux 105 03.26.58.00.52 www.regnault-autocars.fr
185 • Simon Reims Reims Transports & logistique Gérant Gilles Simon
192 • Action Multi Services Reims Entretien, nettoyage
192 Adrexo (Hopps Group)
192 Ceva Freight Management France Bussy-Lettrée
192 • Domaine les Crayères (Gardinier & Fils) Reims Hôtel-Restaurant DG Hervé Fort
192 Geodis Distribution Express Saint-Martin-sur-le-Pré Messagerie express Dir. Etienne George
192 GFI Progiciels
192 • Helium Reims Assurances
dél. Thierry Auzole
192 Lancry Protection Securite Reims Surveillance & sécurité Resp. agence Arnaud Mezier
192 LCL DR Champagne Ardenne Reims Banque & Assurance Dir. rég. Jean-Baptiste Roudillon
192 • Polyclinique Priollet (Courlancy Santé) Châlons-en-Champagne Activités hospitalières PDG Jean-Louis Desphieux
192 Stem Propreté Champagne-Ardennes Cormontreuil Entretien, nettoyage DG Stéphane Matchon
03.26.87.44.95 www.simon-transports.fr
www.adrexo.fr
www.cevalogistics.com
03.26.24.90.00 www.lescrayeres.com
03.26.69.44.44 www.geodis.com
www.gfi.fr
03.26.61.24.61 helium.fr
03.26.88.99.38
03.26.79.80.04 www.lcl.fr
03.26.66.72.00 www.groupe-courlancy.com
03.26.82.49.44 www.stem.fr
N° d’ordre : indique le rang de l’établissement dans le département, selon l’effectif. • indique qu’il s’agit du siège social.
Lorsque les effectifs sont suivis de *, il s’agit des effectifs totaux, ou de ceux de l’ensemble de la direction régionale.