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RÉNOVATION CHAQUE MAISON A UNE ÂME

ARCHITECTURE LA RICHESSE DU PATRIMOINE RÉMOIS

L’ART DU RENOUVEAU

Artisan d’Art depuis 1987

Notre atelier de fabrication est sur place. Depuis la rue, vous pourrez apercevoir au premier étage notre joaillier à l’œuvre. Il façonne vos créations sur mesure depuis 23 ans.

EN PARTENARIAT AVEC

Passés (re)composés

Dans chaque histoire, il y a un début, une fin et potentiellement beaucoup de choses qui se passent entre les deux. Il arrive aussi qu’une nouvelle histoire commence là où celle d’avant s’est achevée. Avec un narrateur différent, une vision et une sensibilité qui lui sont propres. D’autres protagonistes qui vont se réapproprier le récit initial. Des éléments de décors changeants. Des levers et des couchers de soleil aux couleurs mouvantes. Ainsi, chaque objet, chaque lieu, chaque récit peut se voir doté d’une, voire de plusieurs nouvelles vies. Qu’il s’agisse d’une caserne, d’une friche industrielle, d’un opéra ou d’une ancienne fabrique à sucre ou à tricot. D’une maison, d’objets d’un autre temps qui se métamorphosent dans un nouvel intérieur, de morceaux de verre poli ramassés sur la plage, de bouteilles de champagne, de chutes de tissus ou de vélos. De rideaux de grands-mères, de vêtements délestés d’armoires trop remplies ou de restes du frigo. De concepts de bars d’une autre époque, d’un livre aux pages un peu cornées et jaunies par le temps ou d’une vie professionnelle dans laquelle on évolue depuis un peu trop longtemps. Au final, peu importe la raison qui pousse à la transformation. Faire perdurer la mémoire, nourrir sa nostalgie, construire sur les fondations du passé ou tout simplement rendre hommage. Il restera de nous ce que d’autres décideront de faire avec ce que nous leur avons laissé en héritage.

Alizée Szwarc Meireles

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Peu importe le moyen, restons connectés HORS SÉRIE du journal l’Union. Éditeur de la publication : journal l’Union. Directrice générale et directrice de la publication : Géraldine Baehr-Pastor. Éditeur délégué : Nicolas Fostier. Responsable éditorial : Alizée Szwarc Meireles. Coordination : Manon Postal et Léa Laurent. Pour contacter la rédaction : redactioninstant@rosselestmedias.fr. Direction artistique et conception : Prémédias du journal l’Union. Photo de Une : Frédéric Leroux. Régie publicitaire : Rossel Conseil Médias Est, 6 rue Gutenberg, 51083 Reims. CPPAP n° 0425 C 86339. Imprimé par Le Réveil de la Marne, Jérome Jorda, 4 rue Henri-Dunant, B.P. 120, 51204 Épernay Cedex. ISSN 2968-711X. Dépôt légal : à parution. Provenance du papier : Gratkorn (Autriche) et Maastricht (Pays-Bas). Taux de fibres recyclées : 0 %. Les papiers utilisés sont certifiés PEFC 70 % (fibre de bois issue de forêts gérées durablement). L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération.

Dossier : quand les friches reprennent vie

Objets chinés, l'art de maîtriser l'accumulation

Studio redonne vie aux rideaux de nos mamies

Maquis cuisine les légumes dans leur intégralité

QUAND LES FRICHES reprennent vie

Reims n’a rien à envier à Bordeaux, Montpellier ou Paris. Ici aussi, on se bouge pour donner aux friches une nouvelle vie ! Le mouvement ne date d’ailleurs pas d’hier dans la cité des sacres. Il permet de fédérer les initiatives et de rendre les projets les plus fous, possibles.

Faire revivre les friches ; les transformer en tiers-lieux. Arnaud Bassery fait partie des précurseurs en la matière. Il est de ceux qui ont osé, un jour, investir l’ancien pour le faire bouger à nouveau. Sa première reconquête ? Un bâtiment de la rue Boulard, en marge des Noces Félines. C’était en avril 2015. Le début d’une longue série. « La chapelle désacralisée de la rue du Barbâtre avec Plurial Novilia en février 2016, la Boom Base place Stalingrad, Quartier libre rue Marie-Stuart… C’étaient davantage des bâtiments vacants que des friches industrielles véritablement », se souvient le fondateur du Bloc, toujours en quête d’espaces vacants, nombreux en ville, pour y « produire des trucs ». Le dernier en date ? Sa Grande Terrasse accolée à la Petite Halle, 2e édition, l’été dernier. « Il y a un rapport assez naturel entre le besoin de s’exprimer et un lieu qui est vide », remarque-t-il, souvent freiné dans son élan par les lieux « conventionnels », pourtant destinés à accueillir des formes artistiques, de rencontres ou d’événements. « Monter une expo dans une salle de concert ou un concert dans une salle d’expo, on te dit que c’est compliqué. » Sans écho favorable à sa volonté d’« hybrider » les activités ici, il a cherché ailleurs.

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Il a commencé à occuper des lieux vacants pour permettre à ces envies, ces intentions, d’exister. S’il n’ose pas se qualifier « d’artiste », sa volonté de s’exprimer est « comparable », glisse-t-il. Redonner vie à des bâtiments vides, c’est aussi pour lui une manière de « repositionner des quartiers entiers. » « L’occupation d’espaces vacants ou en friche recrée de la destination, de la convergence de publics et ça redonne de la valeur immobilière et foncière. » Il en est sûr : « On a activement participé à ce que Reims se développe, urbanistiquement parlant. » Et à « redimensionner le territoire », à « étirer » le centre-ville. Avec, en prime, un « traitement culturel » de ces projets qui sort de l’ordinaire. « On est sur des formes alternatives qui, à Reims, ont très peu émergé. Les projets qu’on a portés avec le Bloc ont permis à cette culture alternative de s’ancrer. Et puis il y a quelque chose que j’adore : une magie s’opère quand tu transformes un parking ; quand tu y apportes de la citoyenneté, des cultures, des rencontres d’art. C’est vachement mieux que le vide. »

« Pouvoir fédérer, faire grandir, porter des engagements, tester. »

Et qu’importe si ces modèles économiques « très fragiles » sont souvent perçus comme des concurrents. Arnaud Bassery est convaincu qu’une ville comme Reims doit faire confiance aux opérateurs capables de transformer la vacance immobilière en projets qui font sens. « Une ville doit se repenser sur elle-même. Elle doit étudier de quelle façon les friches peuvent retrouver des usages. » Comme le préconise d’ailleurs la loi. Magasin Libre en fut un très bel exemple durant deux étés, en illuminant les nuits des Rémois, en éclairant les talents locaux, en devenant un lieu d’expression, en préfigurant le devenir d’un quartier. « Oui, on travaille sur la vacance pour en faire un lieu festif. Mais on rajoute une brique « impact » dans nos projets. Car dans nos valeurs et convictions, c’est de pouvoir fédérer, faire grandir, porter des engagements, tester des choses, des formes… Ces lieux sont des laboratoires, des terrains d’expérimentation. On écrit notre propre histoire en fonction des opportunités, des occasions… »

APPARTEMENTS

Jean Delestrade, à la tête de Jazzus, association impliquée dans la Fédération régionale des tiers-lieux du Grand Est, a le même dessein : « Trouver des solutions pour faire en sorte que ces friches ne soient pas seulement occupées pour faire des lieux d’amusement où on boit des bières sur des palettes », mais qu’elles permettent aussi de créer de l’économie, qu’elles représentent une vraie opportunité pour les structures intermédiaires comme la sienne. Il en sait quelque chose : avant de s’implanter, en avril 2019, au Shed, un ancien bâtiment industriel de la rue Gosset de 1 500 m2 totalement réhabilité en bar-cantine, salle de concert, microbrasserie, salle d’expositions par la famille Lebœuf, Jazzus s’est longtemps baladée dans différents endroits, mais n’était « jamais seule ». La Scop, qui fête ses 10 ans cette année, coordonne aujourd’hui l’aspect culturel du lieu en animant l’espace concert, exposition, et tout un tas « d’autres choses ». « Notre problème majeur, c’est qu’on est malheureusement à l’étroit ! » glisse Jean Delestrade, qui regarde déjà ailleurs… « On est sollicités très régulièrement par les structures à la recherche d’espaces de travail. Elles veulent nous rejoindre aussi pour être dans cet esprit de coopération. On est en phase de réflexion. On a un projet, on va aller

Les « fabriques du possible »

trouver de nouveaux espaces pour fédérer plus de monde autour de cette idée de tiers-lieu culturel. » Chercher des espaces pour faire des choses ensemble et les rendre visibles, c’est justement la philosophie défendue par le réseau des tiers-lieux du Grand Est qui « accompagne les initiatives qui peuvent se mettre en place dans des villes mais aussi dans des campagnes ». Bliiida à Metz, Motoco à Mulhouse ou Le Rucher Créatif à Troyes… Les exemples ne manquent pas. « Finalement, quelle différence entre occupation et squat, qu’il y a pu avoir jusque dans les années 2000 à Reims ? » interroge Jean Delestrade. « Il y a cette idée que la friche peut être un outil pour rendre acceptables et désirables des lieux afin qu’ils deviennent consacrés à l’événementiel. (…) Pour donner de la place à ceux qui n’en ont pas pour bosser – souvent des gens des milieux culturels et artistiques. Alors oui, il y a des contraintes, mais c’est avant tout un terrain de jeu, où l’on construit le contenu par rapport au lieu, où l’on concilie le côté instagrammable et le rôle social et culturel. Ça a fait émerger pas mal de choses et ça fédère. Ça fait naître plein d’envies. Ce sont les fabriques du possible. »

ÇA BOUGE RUE DE LA MAGDELEINE ET PLACE D’ERLON

Ce fut un garage. Un bar (Ma Bouteille s’appelle Reviens). Et ce sera bientôt un tiers-lieu. Au 19, rue de la Magdeleine, la coopérative d’entrepreneurs SET UP a prévu de faire cohabiter au rez-de-chaussée une taproom, un restaurant avec cuisine bistronomique, et un bar à vin et champagne, doté d’une « belle carte » de tapas. Sans oublier une terrasse de 80 places assises ! « On aura aussi une microbrasserie, on produira notre propre bière », annonce Valentin Wojnarski, directeur d’exploitation de ce nouveau lieu baptisé « La Magdeleine ». Au premier étage, quatre petits salons pourront héberger anniversaires, réunions, séminaires, formations. C’est aussi là que La Capsule posera ses cartons et que SET UP installera ses bureaux. Enfin, sous les toits, seront aménagés des espaces de coworking, des bureaux privatifs pour entrepreneurs. « L’idée est de créer un lieu totem de l’entrepreneuriat mais aussi un lieu de vie. On parie sur le devenir du quartier. » Les travaux sont en cours, l’ouverture est prévue entre fin octobre et mi-novembre. Du côté de la place d’Erlon aussi, les choses se précisent. La galerie du Lion d’Or est en pleine mutation pour devenir un grand food court, sur le modèle de Boom Boom à la Villette ou La Felicità à Paris. Voilà 10 ans que Laurent Cordier, le porteur du projet, tentait de redonner du souffle à cet espace de 2 000 m2 en plein cœur de ville. « Le problème, c’est qu’Internet a changé le positionnement des commerces traditionnels ; avec le Covid, les gens ont pris l’habitude de commander en ligne. Résultat, il y a moins de flux, toutes les galeries commerciales connaissent ça. » Comment les faire revivre ? En reprenant un à un les magasins pour créer Food Restos, « la plus belle surface de la place d’Erlon » avec lumière du jour et jusqu’à 8 m de hauteur sous plafond, et y installer ce qu’on ne peut pas avoir sur la Toile : à savoir du loisir, de la restauration, des bars, autour d’une place centrale.

13 000 m2 de béton et d’émotion

dans la cité

Les dirigeants de Kube sont tombés sous le charme d’anciens locaux

du Port Sec. Ils sont réaménagés progressivement pour la croissance et l’épanouissement du groupe et d’autres entreprises. Une façon de faire du neuf avec du vieux bien dans l’air du temps.

Écouter ses clients, trouver des solutions à leurs besoins, tracer des plans, mener des chantiers. C’est très rationnel. C’est la mission de Kube. Mais lorsqu’il s’est agi, il y a 5 ans, de quitter ses murs presque neufs de Witrylès-Reims pour trouver de l’espace où grandir, le groupe de promotion, construction, ingénierie et services n’a pas écouté la raison. « Nous avons fait un choix émotionnel, il y avait une âme dans ces bâtiments », explique Clément de Kergorlay, président. Avec ses associés, le Rémois est tombé sous le charme de cet ensemble de trois bâtiments de 13 000 m2 construits en 1929 au Port Sec, pour Les Établissements Économiques, pionniers du succursalisme rémois.

Les réserves d’épices, les stocks de boîtes de conserve, les cuves de vin étaient partis sous d’autres cieux depuis belle lurette pour laisser, presque à l’abandon, des milliers de mètres carrés de plateaux bruts, ponctués de poteaux et de murs béton, patinés par les ans, grimés par les hommes. « C’est une architecture industrielle très simple qui permet une grande modularité », observe Sébastien Resse, directeur du développement. Kube et ses 70 salariés occupent déjà un étage du bâtiment principal et en visent deux. Une quinzaine d’autres entreprises y ont posé leur plaque, de l’atelier de bande dessinée 510 TTC, au studio de danse 511 en passant par l’Institut Formation aux Textiles du Monde. Dans ce qui s’appelle le « Pavillon des arts et de l’ingénierie », Kube voudrait accueillir de nouvelles sociétés qui partageraient la même philosophie. « L’entreprise est une personne morale qui doit aider les gens à grandir », résume Clément de Kergorlay. Dans ces bâtiments jadis excentrés mais que la ville a rattrapés, Kube voudrait aussi créer un tiers-lieu, plus informel, social, créatif où l’on pourrait se rencontrer, échanger, se restaurer. Pour construire, en somme, quelque chose de nouveau dans des murs anciens. Faire du neuf avec du vieux, c’est le destin aussi des sachants du bâtiment qui, par la force des choses et le bon sens, se convertissent au recyclage et à l’économie circulaire.

Julien Bouillé

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LES IDÉES SE CRISTALLISENT

DANS L’ANCIENNE USINE À SUCRE

La sucrerie du Hameau est un village d’entreprises qui abrite 15 sociétés, un centre d’entraînement technique pour pompiers, une brasserie et une salle événementielle pouvant accueillir

500 personnes.

Il y a cinq ans, ce n’était qu’une friche industrielle perdue en rase campagne, à Saint-Germainmont, dans le sud des Ardennes, à trois quarts d’heure de route de Reims. Fondée au XIXe siècle, désaffectée depuis le début du XXIe, l’ancienne sucrerie Linard a tapé dans l’œil de l’entrepreneur Sylvain Dumenil. Il y a d’abord déménagé son entreprise, Scorpe Technologies, spécialisée dans les équipements de désincarcération pour pompiers, qui était trop à l’étroit dans ses locaux de Witry-lèsReims. Dans ce décor de cinéma, avec ses volumes énormes, ses murs de brique délavés et ses vieilles machines à l’arrêt, il y a fondé aussi la sucrerie du Hameau, un village de 15 entreprises où travaillent maintenant une quarantaine de personnes. Scorpe y organise chaque année des « TCS days » qui font venir services de secours et industriels de toute la France, voire au-delà, pour essayer de nouveaux outils sur des carcasses de voitures parsemées dans un décor à la Mad Max.

Julien Bouillé - DR

CONVIVIALITÉ

Dans ce qui est aussi un centre d’entraînement et de formation fonctionnant toute l’année, l’ancienne tour de la sucrerie sert au travail sur corde et aussi de… fumoir pour le restaurant. Puisqu’il n’y avait rien aux alentours pour recevoir les stagiaires le midi, une brasserie a été créée sur place. Au menu : des plats faits à partir de produits locaux et une déco bien sûr industrielle. Une salle de réception pouvant accueillir 500 personnes a été aménagée facilement dans ces bâtiments XXL. Elle accueille le vendredi des soirées à thème qui attirent des habitants du Rethélois, de Reims mais aussi de Belgique. Les samedis, l’espace est privatisable.

Des salariés rémois y viennent en covoiturage

Au hameau, il y a un garagiste, un vendeur de voitures d’occasion, un préparateur de voitures de course, un usineur, un traiteur et même une agence de communication. Scorpe a pris des participations dans certaines entreprises pour les épauler dans leur structuration. À la sucrerie, on travaille dans un esprit d’entraide et de convivialité. Il n’est pas rare de trouver un salarié derrière le bar. Les entreprises financent la moitié des repas du midi pris au restaurant du hameau. Les salariés, qui pour beaucoup habitent à Reims, pratiquent le covoiturage. Et surtout, le hameau apporte une animation et un lieu de convivialité inespérés dans cette région très agricole.

Design addiction

XXL Maison est une marque de mobilier design et décoration, française, qui propose des collections exclusives pour le salon, la salle à manger et la chambre. XXL Maison puise son inspiration dans l’air du temps et propose de nouvelles collections deux fois par an.

RÉNOVER CHEZ SOI POUR REPENSER SON QUOTIDIEN

Rénover du sol au plafond, refaire sa maison de fond en comble… Vous connaissez sûrement ces expressions ? Nous pourrions croire que le réaménagement de chez soi passe nécessairement par des travaux volumineux et une transformation complète. Pourtant, ne dit-on pas également qu’on n’est jamais mieux que chez soi ? Chez soi, comme ce livre de Mona Chollet paru en 2015, qui fait l’éloge de cet espace domestique dans lequel nous évoluons au fil des ans. En effet, nos vies se composent des expériences que nous vivons, des rencontres que nous faisons et des objets que nous accumulons. Alors, pour s’approprier pleinement une nouvelle maison, faudrait-il réellement tout jeter à la benne, y compris ce grand miroir hérité de grand-tata et les chaises qui trônaient dans l’atelier de papy ? Les Compagnons Peintres Champenois vous accompagnent pour créer un chez-vous à votre image, avec du neuf comme du recyclé.

Cultivez votre nostalgie en conservant vos meubles

Donner une nouvelle vie aux meubles auxquels vous tenez est une excellente manière de les adapter à votre quotidien. Eh oui, même si nous adorons nos grands-parents, nous ne pouvons pas nier que nous ne menons pas tout à fait la même vie qu’eux. Mais parfois, la valeur sentimentale l’emporte sur la mode. C’est décidé : il est hors de question qu’un changement de couleur dans le salon efface de si beaux souvenirs ! Pour qui se prend-il, ce terracotta ? C’est de mamie Jacqueline que nous parlons ! En panne d’inspiration, il est toujours temps de demander conseil aux Compagnons Peintres Champenois. Repeindre ses chaises oui, mais comment ? Serait-il possible d’y intégrer un clin d’œil à Piet Mondrian, votre artiste favori ? À vos mood boards, vos carnets d’inspirations et relevez vos manches !

La

décoration ne s’arrête pas aux

revêtements

Tiens, chérie, que penses-tu de repeindre les murs du salon ? Cette phrase paraît si simple, mais si vous l’avez déjà prononcée ou entendue, vous savez bien que ce n’est que le début de l’histoire. Vous voici devant un nuancier en train de vous demander s’il ne faudrait pas changer aussi les tapis et les rideaux. D’ailleurs, il faudrait du satiné pour les murs ou plutôt du mat ?

Tandis que vous optez pour des teintes vibrantes et vitaminées, vous réalisez que ces fauteuils en cuir matelassé jureront avec l’ambiance que vous créez. Oui, nous parlons bien de ces fauteuils capitonnés hérités de nos grands-parents. Bonus de la part du jury si vous détenez aussi un grand buffet vaisselier en bois de merisier. Faut-il vraiment se débarrasser de tout cela ? Ce sont de belles pièces ! Une nouvelle décoration d’intérieur ne représente pas nécessairement l’envoi de tout cela à la benne. Saviez-vous qu’en 2021, 1,2 million de tonnes de déchets issus d’éléments d’ameublement ont été collectées en France ? Reprendre du mobilier ancien pour le transformer et le remettre au goût du jour, c’est aussi un geste pour l’environnement !

Compagnons Peintres Champenois 7 rue Denis Papin, Reims 03 26 83 88 40 www.compagnons-peintres.fr

Visionnez notre vidéo de présentation

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Pour les trajets courts, privilégiez la marche ou le vélo. #SeDéplacerMoinsPolluer

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RÉHABILITATIONS

la

richesse

d’un patrimoine rémois renouvelé

LA CASERNE CHANZY

L’ancienne caserne de pompiers

Si aujourd’hui, la Caserne Chanzy est connue pour être un hôtel avec vue sur la cathédrale, honoré de 5 étoiles bien méritées, autrefois, ce lieu abritait la toute première caserne de pompiers de la cité des rois. Mise sur pied en 1926, la façade extérieure de l’ancienne caserne de pompiers au style Art déco est restée intacte. Son histoire symbolise l’énergie déployée par la municipalité pour remettre la ville sur pied au sortir de la Première Guerre mondiale.

18 rue Tronsson Ducoudray, Reims

LA VILLA DEMOISELLE

L’emblème Art nouveau et Art déco de Reims

Située non loin de la célèbre maison de champagne Vranken Pommery, la Villa Demoiselle est un exemple d’architecture unique de transition art nouveau et art déco. Anciennement appelée « villa Cochet », la demeure a été imaginée par l’architecte Louis Sorel puis construite entre 1904 et 1908. Acquise en 2004 par Paul-François Vranken, la villa a été réhabilitée en musée et espace de dégustation pour y faire découvrir les cuvées de la maison Vranken à ses visiteurs.

56 boulevard Henry Vasnier, Reims

Hélène Ioannidis - DR
© ChristopheLagocki
© Syphaiwong Bay

La cité des Sacres brille à travers divers édifices inscrits au patrimoine mondial de l'Unesco : la cathédrale, le palais du Tau et l'ancienne abbaye Saint-Remi, mais aussi les « Coteaux, Maisons et Caves de Champagne. » Outre ces symboles emblématiques de la culture locale, plusieurs lieux issus du patrimoine rémois vivent aujourd’hui une seconde vie à travers de nouvelles activités. Zoom sur ces lieux réhabilités dont vous ne soupçonnez pas toute l’histoire !

LE FRAC CHAMPAGNE-ARDENNE

Le bâtiment qui accueillait le collège des Jésuites de Reims

Du haut de ses 41 ans, le Fonds régional d’art contemporain de Champagne-Ardenne est installé depuis 1990 dans une partie de l’ancien collège des Jésuites de Reims fondé en 1608. Le lieu chargé d’histoire abrite également depuis 2010 le campus universitaire Sciences Po Reims. L’ensemble fait l’objet d’une réhabilitation des intérieurs, respectant les façades existantes sous la supervision des Bâtiments de France. 1-2 place Museux, Reims

15 rue des Rémouleurs CORMONTREUIL 8 allée de Maxenu Zone commerciale Leclerc PIERRY

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LE TRÉSOR

L’ancien bâtiment du trésorier de la cathédrale

Construit au XIIe siècle, le Trésor a été restauré dans les années 1920 puis reconverti en point info et billetterie culture de la Ville de Reims en 2018. Le bâti extérieur a été conservé avec des éléments de la façade originale. Le lieu classé monument historique en 1920 est l’un des seuls vestiges datant d’avant la Seconde Guerre mondiale dont les fondations d’origine sont restées intactes.

2 rue Guillaume de Machault, Reims

LES TOUT PREMIERS LOCAUX DE L’UNION

Autrefois la rédaction de l’Eclaireur de l’Est

Lors de sa création en 1944, le siège du quotidien L’Union s’installe place d’Erlon à Reims. Avant cette date, les locaux étaient ceux du périodique L’Éclaireur de l’Est, journal fermé en 1944 pour cause de collaboration pendant la Seconde Guerre mondiale. Cette section de la place d’Erlon abrite aujourd’hui restaurants et bars, des commerces qui font la réputation de cette zone très touristique à Reims. 87 - 91 place d’Erlon, Reims

LE SQUARE DES CORDELIERS

Un vestige du Moyen Âge

L’un des vestiges le plus chargé d’histoire à Reims, le square des Cordeliers, est un ancien couvent franciscain datant du Moyen Âge. Après la Révolution française, le bâtiment est converti en filature et conserve son nom de Cordeliers. L’église se voit démolie en 1813 et, malgré d’importants dommages subis pendant la Première Guerre mondiale, le Couvent est devenu un square public sans avoir été reconstruit après la fin du conflit.

Rue des Trois-Raisinets, Reims

LE LIEU CULTUREL CELLIER D’EXPÉDITION MUMM

Un lieu anciennement consacré à l’élaboration du champagne

Aujourd’hui espace culturel de la ville, le Cellier d’Expédition Mumm aussi appelé « Le Cellier » était auparavant un lieu pour élaborer le champagne. Situé à deux pas de l’actuel hôtel de ville de Reims, Le Cellier a été construit pour l’entreprise de champagne Jules Mumm en 1899 sous la direction de l’architecte Ernest Kalas. Maintenue d’origine, la façade a été décorée par des mosaïques et si vous regardez de plus près les œuvres de la façade, vous pourrez y décrypter des cariatides qui représentent les quatre vertus du vin : Virtus (le courage guerrier), Ingenium (le génie), Amor (l’amour) et Gaudium (la joie). 4 bis, rue de Mars, Reims

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Reims

la Magnifique

Elle accueille un flux de voyageurs annuel de 4 millions de personnes. Nous pensons tous la connaître par cœur pour l’avoir traversée en long, en large et en travers. Mais au-delà de sa fonction première, la gare de Reims renferme bien des secrets.

LES VIES CACHÉES DE
Alizée Szwarc Meireles - Frédéric Leroux

CONSTRUISEZ LA MAISON DE VOS RÊVES

VISITE

Quand Hervé Chatriot, qui travaille à la direction des gares de Champagne-Ardenne, nous parle d’elle, c’est les étoiles plein les yeux que ce passionné de patrimoine ferroviaire nous distille volontiers des anecdotes qu’il a compilées dans son livre Reims la magnifique (Liralest/Le Pythagore éditions, 2023). Une visite guidée qu’il propose une fois tous les mois permet de se plonger dans les méandres de ce majestueux bâtiment de 105 m de long. L’opportunité pour les curieux d’en apprendre un peu plus sur l’histoire de ce monument du patrimoine rémois mis en service en 1858, tout en découvrant des espaces insoupçonnés et des histoires insolites. À commencer par un stand de tir en dessous du hall principal installé dans une ancienne remise à charbon et toujours en activité. Ou encore un abri antiaérien qui fut utilisé pendant la Seconde Guerre mondiale et dont le plafond a été renforcé par des coupons de rails. En déambulant dans les couloirs et sur le parvis, Hervé nous parle de Marcel Falala, chef de gare, résistant déporté à Dachau et le cite avec entrain : « Je pars en wagon à bestiaux mais je reviendrai en première. » Il enchaîne sur les actions héroïques de certains cheminots et sur les impacts de balles et d'obus toujours présents dans la pierre. Alors que nous découvrons les archives et ses milliers de boîtes, il nous montre avec enthousiasme les plans originaux de la gare, mais également de celle de Charleville ou de la magnifique rotonde de Mohon. Il nous raconte comment la construction de la gare a influencé l’urbanisme de la ville qui a vu naître la rue Thiers pour que la symétrie avec l’édifice soit parfaite. Que des toiles grandeur nature avaient été peintes pour imaginer la future façade. Que la statue de Colbert a été érigée pour accueillir les nouveaux arrivants… En sortant de la visite avec des informations plein la tête, on a l’impression de connaître un peu mieux celle qui a permis à la ville de Reims de s’étendre au-delà de ses remparts.

Cuisines - Salles de bains - Dressings - Mobilier
REIMS THILLOIS - Zone IKÉA - Parking Intermarché

Les Croqueuzesillustrent la

vie des gens

Leur motto : mieux qu'un selfie, un croquis. Juliette et Adèle, alias les Croqueuzes, conjuguent leur style en proposant aux inconnus de croquer leur portrait.

Le Cellier.

Tout a commencé par un coup de tête un soir pluvieux à Menetou-Salon, dans le coin de Bourges. Juliette, qui sévit à l’époque comme étudiante à l’Académie de bande dessinée Delcourt à Paris, propose à deux de ses amies de se joindre à elle le temps d’un week-end pour dessiner les badauds qui déambulent dans les allées d’un marché local artisanal. Année après année, les familles qui se sont prêtées à l’exercice reviennent pour se faire croquer le portrait. Trois ans plus tard, c’est au tour d’Adèle de se joindre à la bande des Croqueuzes pour proposer un style de dessin bien à elle. Désormais installées à Reims avec un troisième comparse, Aristide, adepte de fantaisie moderne, qui gère de son côté la communication et l’administratif du projet, la rêveuse et la grande timide continuent de croquer les gens régulièrement à côté de leurs activités professionnelles. Actuellement, on peut les retrouver chez Holy Shot une fois par mois. L’occasion pour ces trois personnages hauts en couleur de multiplier les rencontres et de saisir de nouvelles opportunités de collaborations. Nous leur avons demandé pour ce numéro de l’Instant Rémois de nous proposer une illustration qui colle avec la thématique de l’art du renouveau.

‘‘L’identité naît de la différence’’

La passion de notre métier passe avant tout par nos échanges et le plaisir de vous combler de façon intemporelle.

Savoir-faire

Morphovisagiste - Formation continue « Master Class »

L’Apparté au Masculin Service Barbier traditionnel

Qualité

Produits La Biosthétique Paris respectueux de l’environnement

65 rue de Thillois

03 26 88 64 97

www.appartecoiffure.fr

Prenez RDV
Alizée Szwarc Meireles - Les Croqueuzes

Objets chinés

L’art de maîtriser l’accumulation

Au-delà de la simple acquisition, chiner en brocante ou récupérer un vieux meuble de famille est un art de vivre qui célèbre la diversité, la durabilité et la beauté de l’imperfection. En matière de décoration, accumuler des trésors qui ont traversé le temps est une technique délicate qui consiste à mélanger les styles sans créer un effet de surcharge !

Voici quelques astuces pour vous permettre de jongler avec les traces du passé afin de transformer votre maison en vitrine de personnalité et d’histoire, tout en conservant un certain minimalisme.

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Privilégiez les teintes « sages » et lumineuses juste rehaussées de touches de bois et de vannerie, les espaces doivent être épurés et doux pour, subtilement, mettre en valeur vos meubles bruts ou décapés.

Transformez un lit de camp en sofa ultra désirable avec une montagne de coussins. Créez une bibliothèque avec des poutres ou des planches récupérées dans laquelle vous exposerez livres, dessins, céramiques et étonnantes trouvailles.

Remplissez des cruches de fleurs, dépareillez vos chaises, craquez sur des gravures du XIXe scotchées simplement au mur ou fixez des cadres vides. Des détails charmants disséminés dans toutes les pièces qui ne manqueront pas de rendre votre quotidien plus bucolique et chaleureux !

Et pour les plus curieux, découvrez le croquis de mon aménagement bureau « retour de brocante » simplissime  en flashant ce QR code.

Une ode a la femme..

CHEZ ARLETTE

UN LIEU DÉDIÉ À LA BEAUTÉ OÙ ON SE SENT

comme à la maison

En arrivant à notre rendez-vous, nous ne nous attendions pas à découvrir une maison qui ne demandait qu'à raconter son histoire. Bienvenue chez Arlette, ou devrions-nous dire, chez Priscilia, Constance et Laura !

C’est avec beaucoup d’émotion et un sourire qui se forme naturellement sur son visage que Priscilia nous raconte sa rencontre avec Arlette, qui était bien plus qu’une simple voisine pour elle. Première personne à l’avoir accueillie dans le quartier, c’était une âme généreuse, une femme qui incarnait la bonté et la dévotion. Ancienne bonne du curé, elle avait fait de l’aide aux autres sa mission de vie. Qu’il s’agisse de lire un livre à une personne hospitalisée, de tendre la main à un sans-abri ou de veiller sur Priscilia pendant sa grossesse.

Une maison au service des autres

Suite au décès d’Arlette, Priscilia n’a pas hésité longtemps avant de donner une nouvelle vie à ce lieu cher à son cœur. Cherchant depuis des années un endroit où exercer sa profession, elle a saisi l’opportunité de racheter la bâtisse. C’est ainsi qu’est née sa maison de beauté, un espace conçu avec soin, qui rend hommage à Arlette à travers son nom, un clin d’œil chargé de sens et d’affection. Chez Arlette, c’est un espace où l’on se sent comme à la maison. Dès l’entrée, une petite tradition rappelle la chaleur d’un foyer : on retire ses chaussures, comme pour marquer la frontière entre le stress extérieur et la sérénité intérieure.

Léa Laurent & Manon Postal - Célia Beausoleil, DR

« Ce que nous, on attend d’un tel lieu, on veut le donner à nos clients. »

Un pari plus que réussi après deux ans de travaux et une année d’ouverture. Priscilia, désormais accompagnée de Constance et Laura, a fait renaître cette maison à sa manière. Elles mettent tout leur cœur pour offrir à leurs clients ce qu’elles-mêmes attendraient d’un tel lieu. On y retrouve des soins pour le corps et le visage, ainsi que des séances de sport et de yoga. « Ce lieu permet de prendre confiance et conscience de soi », nous confie l’équipe. Cet espace, aujourd’hui devenu symbole de partage, rend hommage à une femme qui, par sa bonté, continue d’inspirer.

C’est la rentrée, reprenez des forces

Chocolaterie & Salon Gourmand

Ouverts du mardi au samedi de 10h à 19h

Les Chocolats de Maud 5 rue Emile Dorigny - St Brice Courcelles www.leschocolatsdemaud.com / 06 79 49 14 82

ON A TESTÉ POUR VOUS

la confection de bijoux

AVEC ATELIER DEUX MAINS

L’atelier de création de bijoux avait lieu le dimanche mais je n’étais pas disponible. Pourtant, j’en rêvais de ce collier aux teintes verdâtres, repéré sur le compte Instagram d’Atelier 2 Mains. Chloé, la créatrice de la marque, m’a alors proposé un moment privilégié, dans son atelier. Et croyez-moi, réaliser un collier de toute beauté n’est pas chose aisée.

Quand la nature devient bijoux

Chloé me reçoit dans son atelier, une verrière baignée de lumière. C’est ici qu’elle entrepose tous ses trésors de plage : morceaux choisis de verre poli soigneusement collectés en bord de mer, fragments de coquillages, petits galets mais aussi des perles chinées ici et là… « Je crée des bijoux inspirés et fabriqués par l’océan. » En effet, bien que situé à Reims, son espace de création respire le grand large. Chloé s’échappe régulièrement au Pays basque, en Bretagne ou dans les Landes pour dénicher des trésors…

Des bijoux personnalisables

Le collier de mes rêves répondait au doux nom de Masterpiece, un chef-d’œuvre en verre poli. « Recycler le verre présent sur nos plages, c’est ce que j’aime le plus travailler. En dehors de son aspect esthétique par la multitude de teintes que l’on peut trouver, transformer le verre en provenance de nos déchets est une véritable démarche écologique », me précise Chloé. Elle ajoute que je peux tout à fait personnaliser ma création en utilisant un de mes anciens bijoux ou en intégrant des trésors de plage que j’aurais ramassés et auxquels je tiens. Je n’y avais pas pensé. Je sélectionne donc des morceaux de verre dans sa collection…

À vos marques, prêts, percez !

Chloé m’installe devant une perceuse, une pince à la main et un casque sur les oreilles. Je n’ai jamais fait ça de ma vie. Mon travail consiste à percer, un à un, les minuscules morceaux de verre. Je tente de réaliser un premier trou mais je n’ai pas la technique ! Il faudra que je m’y reprenne à plusieurs fois avant de réussir. Le verre, ça casse ! Et percer des petits bouts de verre pour constituer un collier entier, c’est long !

Atelier 2 Mains : explications

« 2 Mains » comme 2 mains car les bijoux de Chloé sont réalisés à la main et que deux mains ne sont pas de trop comme vous l’avez compris précédemment ! Minutie, patience et savoir-faire sont indispensables. Chloé a étudié le design d’objets à l’Esad de Reims. Créer a quelque chose d’inné chez elle. Pas chez moi ! 2 mains comme Demain car la démarche de Chloé est évidemment écoresponsable. Comme elle le dit si bien : « Du déchet au bijou, il n’y a qu’un pas ! » www.atelierdeuxmains.com

Robe de mariée, robe de cérémonie et costume

Essayage dans un showroom privé

Haute-Couture

17 rue Carnot - Reims rose-glamour.fr 03 53 13 21 46

LA TRANSFORMATION D’UN BIJOU À VOTRE IMAGE !

Infiniment BASSEREAU

Au-delà de la transmission de génération en génération d’une bague ou d’un collier, ce sont les sentiments suscités par un bijou qui lui confèrent une valeur inestimable. Fidèle témoin de votre passé, parfois, une simple transformation lui permettra de vous accompagner dans le présent.

SACHEZ QUE TOUT EST POSSIBLE

Une monture peut être entièrement repensée, une pierre déplacée, un pavage remplacé. Votre création sur mesure peut être réalisée à partir d’une page blanche, mais elle peut également s’inspirer d’une photo ou d’une image.

Transformation ou modernisation de bijoux anciens, en Maison, chaque étape est travaillée dans une extrême précision par nos ateliers. 1 2 3 4 2 3 1

Une fois vos envies ciblées, nos artisans se mettent au travail pour vous faire différentes propositions.

Nous utilisons plusieurs techniques comme le croquis, le 2D ou même la création de bijoux en cire ou en 3D, pour vous permettre de vous projeter, du rêve à la réalité.

Bon à savoir

Nous vous offrons la possibilité de racheter votre or 18 carats pour réaliser votre projet de transformation.

NOTRE DÉMARCHE ÉTHIQUE

Toutes nos créations joaillières BASSEREAU sont réalisées en or 18 carats recyclé. Lors d’une transformation, nous pouvons également donner une seconde vie à vos pierres, ce qui inscrit votre projet dans une véritable démarche soucieuse de l’environnement.

Vivez l’avance par la technologie.

Nouvelle Audi Q6 e-tron 100 % électrique

Gamme Audi Q6 e-tron : consommation mini/maxi en cycle mixte (kWh/100 km)* : 17,0 - 19,4. « Tarif » au 27/03/2024. Valeurs susceptibles d’évolution. Pour plus d’informations, contactez votre Partenaire. Depuis le 1er septembre 2018, les véhicules légers neufs sont réceptionnés en Europe sur la base de la procédure d’essai harmonisée pour les véhicules légers (WLTP), procédure d’essai permettant de mesurer la consommation de carburant et les émissions de CO2, plus réaliste que la procédure NEDC précédemment utilisée. * Selon configuration. Volkswagen Group France, SA au capital de 198 502 510 €, 11 avenue de Boursonne Villers-Cotterêts, RCS Soissons 832 277 370. Vorsprung durch Technik = L’avance par la technologie.

Pour les trajets courts, privilégiez la marche ou le vélo #SeDéplacerMoinsPolluer

CES 3 ARTISANS MARNAIS donnent une seconde vie

AUX BOUTEILLES DE CHAMPAGNE

On peut en faire des choses, avec une bouteille de champagne ! Une fois vide, elle retrouve une seconde vie entre la main d’artisans locaux qui la transforment en un tas d’objets du quotidien stylés et même en bijoux... Florilège.

LA BOUGIE

On connaissait celles de Marsault et Dioniso… Voici la bougie de Maxime Ferry, estampillée « Maison Pépin », déjà disponible au Chai Léon à Reims, où l’autoentrepreneur rémois, qui vient de se lancer, est caviste. Celui qui s’est formé à Avize réutilisait au départ les bouteilles pour garder un souvenir de ses découvertes gustatives. Il entend désormais en faire commerce, en imaginant ses propres étiquettes en papier recyclé aux dessins délicats pour habiller ses créations en cire naturelle de soja ou colza bio français. Ses parfums viennent tous de Grasse et ses mèches sont en double bois non traité.

LA PLANCHE APÉRO

Vous cherchez une planche apéro élégante et originale, aux saveurs champenoises ? Celle de Marsault, baptisée « Le Cochelet », sera du meilleur effet auprès de vos convives ! Il faut compter plus de 24 heures et un savoirfaire complexe pour atteindre ce résultat. Le logo de l’entreprise familiale d’Hautvillers est discrètement posé sur chaque flacon de champagne upcyclé et fondu en Champagne-Ardenne, et il résiste au lave-vaisselle. À noter qu’un nouveau format vient de sortir : le jéroboam, pour encore plus de plaisirs partagés entre amis !

©Maison
Pépin
© Marsault (au château de Sacy)

LE VASE

Façonné dans un flacon de champagne upcyclé, coupé et poncé à la main à Hautvillers, le vase La Vigneronne de Marsault se décline en plusieurs tailles, de 37,5 cl à 300 cl. Idéal pour décorer vos plus belles tables en les accompagnant d’une ambiance typiquement champenoise ! Comme sur les planches apéro, le logo est discrètement posé à la main sur chaque vase et résiste au lave-vaisselle.

LES BIJOUX

Sa femme voulait un saphir, il ne pouvait pas lui offrir. Alors Giuseppe Oliveri lui a créé un bijou sur mesure avec… une bouteille de champagne bleue ! Spécialisé dans l’upcycling des flacons champenois (et quelques autres) depuis 2021, il récupère sa matière première chez ses partenaires, mais aussi place d’Erlon ou dans les bennes à verre directement. Celui qui s’est fait connaître avec ses verres à eau a, depuis, étendu sa gamme, avec notamment des magnets fondus, des bougies, des carafes, des vases, des diffuseurs de parfum et ses fameux « Bijoux du vignoble » by Dioniso.

LE COQUETIER

On craque pour ce coquetier méga original qui donne envie de servir des mouillettes à ses invités ! Ce petit bijou est l’œuvre là encore de Dioniso, qui a fait de cet objet du quotidien l’une de ses premières créations avec les vases et les verres à eau. Voilà qui donne un sacré coup de fouet aux arts de la table ! Proposé en vert ou en blanc, il est en vente sur le site de Dioniso.

MATHILDE ET KEVIN

UN COUPLE UNI PAR L’UPCYCLING

Mathilde et Kevin forment un couple tout droit sorti d’une série des années 80, amoureux du vintage, des brocantes et des randos à vélo, partageant une passion commune pour l’upcycling et une même philosophie de vie qu’ils s’efforcent de transmettre à leurs familles et à leurs amis.

Mathilde, photographe et adepte de la seconde main, se lance la première dans l’arène en commençant à créer elle-même ses chouchous, fabriqués à partir de chutes de tissus, puis à les offrir à ses copines. Lors d’une soirée, l’une d’entre elles suggèrent qu’elle devrait les vendre… C’était en 2019 et Housh Housh était lancée ! Des débuts balbutiants, à chercher la bonne technique, faire et défaire… Mathilde peaufine petit à petit la fabrication de l’accessoire phare des années 90. Ce qu’elle veut avant tout, c'est faire du neuf avec de l’existant mais aussi créer des pièces uniques. Hors de question d’acheter des fournitures neuves, nos tiroirs regorgent de trésors. Tissus, fil à coudre, étiquette… tout est récupéré ou acheté chez Emmaüs. Depuis quelques mois, Mathilde a élargi son activité en se mettant à broder, et c’est Kevin (graphiste de métier) qui est mis à contribution pour dessiner les modèles de broches qu’elle vient ensuite broder. Dernièrement, ce sont des messages à broder à suspendre comme des fanions avec une phrase ou une citation de votre choix qui occupent les soirées de notre créatrice. Quant à Kevin, c’est en 2020 qu’il crée les Cycles Billy Vintage, nés de sa passion tardive pour les vélos anciens. Fan des vélos des années 70 et 80, époque où l’industrie du cycle était exceptionnelle en France, il chine à tout va pièces et accessoires d’origine à l’obsolescence non programmée pour leur redonner vie. Une quête qui nécessite une expertise et une connaissance approfondie qu’il puise notamment dans les catalogues de pièces anciennes. Autodidacte, il se documente et se forme en lisant et en regardant des tutoriels, puis il désosse, remonte et twiste les montures abandonnées. À ce jour, une soixantaine de vélos attendent de reprendre vie et de trouver leur futur propriétaire. Pour Kevin, chaque vélo a une âme et c’est non sans mal qu’il se sépare de ses progénitures. Alors si vous avez vous aussi envie de plonger dans leurs univers respectifs, courez-y… enfin donnez un bon coup de pédale ! Un peu de nostalgie et beaucoup de créativité vous attendent à l’arrivée.

PATIO - TERRASSE

ACCÈS PAR L’HÔTEL DE LA PAIX 9 rue Buirette - Reims 03 26 47 00 45

Retrouvez notre carte sur le site www.restaurant-cafe-de-la-paix.fr

Hélène Micherolli - Célia Beausoleil

L’AVENTURE JACQUES STUDIO

ET SI ON REDONNAIT VIE AUX RIDEAUX DE NOS MAMIES ?

Vous les reconnaissez entre mille, les rideaux de mamie qui trônent désormais dans les friperies et ressourceries du coin. Il y a maintenant trois ans, Clara décide de leur redonner vie en créant sa propre ligne de vêtements, aux motifs aussi uniques que vintage. Tombée depuis toute petite dans la couture, sa grand-mère lui donne sa machine à coudre qui deviendra par la suite sa plus fidèle alliée.

Ni une ni deux, Clara crée ses propres patrons ; cette jeune femme diplômée en marketing de la mode donne alors vie à ses idées. Gilet, sac banane, mais aussi short et petite robe d’été, il ne m’en fallait pas plus pour succomber. J’opte pour un gilet Céline au motif Osiris, parfait pour compléter mon look de rentrée. Mais Jacques Studio, c’est avant tout une histoire de famille : du prénom de son grand-père emprunté, aux coups de main du petit frère, rien n’est laissé au hasard par cette nostalgique. Associer modernité et ancien, c’est ce que souhaitait Clara, afin de convertir ses clients à l’upcycling. Sa plus grande force : produire ses pièces en quantité limitée les rendant quasi uniques. Désormais reconvertie en institutrice, c’est un beau chapitre de sa vie qu’elle me raconte avec beaucoup d’humilité. Mais mon petit doigt me dit que l’aventure Jacques Studio ne sera jamais complètement finie. Vous retrouverez bientôt, qui sait, la marque dans une jolie boutique solaire du centre-ville de Reims.

« Je voulais montrer aux gens que le ringard n’existe pas. »
Léa Laurent - Frédéric Leroux, DR

ACCESSIBLE DÉPÔT VENTE et ses looks de rentrée

Issue d’une famille de commerçants, Jennifer Gervasoni a grandi dans les allées des dépôtsventes tenus par sa mère à une époque où ce n’était pas aussi tendance qu’aujourd’hui. Pour s’habiller dans son budget, et quand on adorait les vêtements, c’était la solution mais on ne le criait pas sur les toits. De nos jours, la mode se voulant plus vertueuse et les préoccupations environnementales plus présentes, la seconde main s’est totalement démocratisée.

En grandissant, Jennifer ne pense pas réellement emprunter la voie familiale mais en sortant du lycée, elle désire entrer dans la vie active et c’est naturellement qu’elle se tourne vers la mode. Au début, elle travaille avec sa mère puis se pique véritablement au jeu jusqu’à tenir seule, depuis quelques années, la boutique Accessible Dépôt-Vente ouverte il y a plus de 20 ans. Une institution rémoise pour beaucoup de clientes. Mais quelle est la différence entre un dépôtvente et une friperie ? Dans la boutique de Jennifer, les arrivages sont journaliers, ses clientes déposent leurs pièces, propres, non abîmées et n’ayant pas plus de 3-4 ans d’âge, exclusivement des marques ou des créateurs, fast fashion s’abstenir. La qualité est primordiale et la sélection exigeante.

Jennifer se déplace aussi chez ses clientes qui souhaitent se séparer d’une partie de leur dressing, elle les accompagne dans leur sélection, négocie les prix puis repart bien souvent avec des trésors.

Pantalon Sandro. Chaussures Miu Miu. Étole Martin Margiela. Broche Chanel. Sac Antik Batik.

REIMS BRITISH CARS

Parc d'Activités Sud, Rue Rayet-Liénart,51420, Witry-Les-Reims 03 26 97 17 75

landrover.fr/reims

Modèle présenté : Defender 110 P400e Hybride électrique. Consommation de carburant en cycle mixte l/100 km (WLTP) : 2,5 à 3,1. RCS Concessionnaire.

Pensez à covoiturer. #SeDéplacerMoinsPolluer

La définition d’un prix est d’ailleurs très importante, en dépôt-vente il se doit d’être moins cher que sur certains sites, ce qui induit une bonne connaissance du marché.

Mais ce que Jennifer apprécie surtout c’est la relation de confiance qu’elle instaure avec ses clientes (au point de savoir à l’avance qui va acheter telle ou telle pièce !) : « Si ça ne va pas, je le dis. Je ne veux pas que ma cliente soit déguisée ! » dit-elle avec son franc-parler et sa sincérité.

Et ce n’est pas Jennifer non plus qui va vous inciter à acheter, la vente ce n’est pas trop son truc, dixit l’intéressée, elle se fait discrète et s’adapte à sa cliente pour lui laisser l’espace dont elle a besoin pour fouiner. Mais attention, si vous souhaitez échanger et avoir un conseil, vous êtes au bon endroit.

Au-delà de la gestion de la clientèle, l’activité ne manque pas, entre les publications Instagram (Jennifer y présente les pièces qu’elle reçoit quotidiennement), les envois partout en France, les messages de ses clientes et bien sûr toute la mise en place de la boutique, Jennifer ne voit pas les journées passer mais comme elle le dit elle-même, ce n’est pas du travail, c’est du plaisir !

1. Tailleur Isabel Marant. Tshirt blanc Dries Van Noten. Talons Gucci.
2. Veste sans manches Marni. Robe Gil Sander. Collier Virginie Bergman. Sandales APC.
3. Trench Chloé. Tshirt Dries Van Noten. Pantalon Chloé. Sac Louis Vuitton.

SOLSTICE

le nouveau concept store local

C’est dans un coin lumineux de Reims qu’a pris vie une boutique pas comme les autres. Solstice, c’est l’histoire de trois âmes créatives : Mathias, Amélie et Éva, chacun porteur d’un projet qui leur tenait à cœur. Lorsque leurs chemins se croisent il y a 3 ans, l’idée de fusionner leurs passions devient une évidence.

Léa Laurent et Manon Postal - Frédéric Leroux

Mathias, passionné de brocante et chineur infatigable, lançait sa marque en 2021, d’abord en ligne. Amélie, experte en friperie vintage, faisait ses débuts la même année, dénichant des pièces uniques et typiques des années 80, qu’elle transforme parfois grâce à de jolies broderies. Et puis il y a Éva, la force tranquille derrière le concept des Slow Market que vous connaissez sûrement déjà. Une fois dans la boutique colorée, chacun de leurs univers semble se compléter pour ne faire plus qu’un.

Une vision commune pour un projet inédit

Solstice, c’est avant tout une philosophie de vie commune pour ces trois créateurs qui se sont trouvés au bon moment. « On en était au même stade de notre vie et de nos projets pros, ça coulait de source de commencer ce projet tous les trois », raconte Mathias. Le nom « Solstice » évoque parfaitement leur concept : un peu de soleil dans la vie quotidienne à travers des objets, des bijoux et des vêtements uniques, écoresponsables et chargés d’histoire.

du 01 au 04 oct.

Les Sentinelles

Bénédicte Cerutti

du 13 au 15 nov.

Rapt

Lucie Boisdamour / Chloé Dabert

du 20 au 21 nov.

Lacrima

Caroline Guiela Nguyen

du 28 au 29 nov.

Aria Da Capo

Séverine Chavrier

retrouvez le programme sur :

Simon Gosselin
Christophe
Raynaud
de Lage / Festival
d’Avignon
Alexandre
Ah-Kye
Victor Tonelli

Une boutique à leur image

Ouverte depuis le 2 juillet, Solstice se démarque déjà par son approche humaine et son refus du commerce de masse. Chaque recoin de la boutique reflète les goûts et la personnalité de ses créateurs. Mathias chine au coup de cœur, parcourant brocantes, vide-greniers et recycleries pour dénicher des trésors, notamment dans les arts de la table, un de ses domaines de prédilection. Amélie, quant à elle, propose des vêtements vintage qu’elle peut personnaliser et broder selon les désirs de ses clients. Éva, avec sa démarche du Slow Market, veille à rassembler des créateurs locaux qui partagent ses valeurs écoresponsables tout en proposant des articles exclusifs.

«L’idée c’est que les gens repartent avec un coup de cœur. »

Un lieu en perpétuel mouvement

Tous les deux mois, la sélection de créateurs change, apportant une fraîcheur constante et une variété toujours renouvelée. Les corners de brocante et friperie évoluent également au fil des semaines et des trouvailles, garantissant à chaque visite une nouvelle découverte. Solstice s’impose déjà comme un incontournable à Reims pour les amateurs de beau, de durable, et de singulier.

CARNET D'ADRESSES

DU 21/09 AU

31/10/2024

Exposition

EPSYLON POINT

RÉTROSPECTIVE

1981/2024

En magicien de la couleur, EPSYLON POINT s’exprime sur des questions sociétales, la condition humaine, les conflits mondiaux. Ses œuvres parlent aussi d’érotisme et de musique…

Anartiste dans l’âme, l’artiste dénonce la perversité des systèmes capitalistes. Il développe sur toiles ses sujets réalisés dans la rue avec la même conviction.

Sa technique est basée sur des fonds abstraits peints à main levée sur lesquels il pose des pochoirs souvent inspirés de photos d’actualités ou de slogans politiques.

Artiste au grand cœur considéré comme le pionnier du pochoir en couleur en Europe, EPSYLON POINT s’impose comme une figure emblématique de l’art urbain en France.

LA RÉTROSPECTIVE 1981/2024, vous invite à découvrir le travail de l’artiste à travers ses premiers pochoirs et ses nouvelles productions réalisées dans le cadre de sa résidence de création artistique à Laon.

Les œuvres exposées retracent la démarche artistique de ce pionnier du pochoir.

CLOÎTRE DE L’ABBAYE SAINT-MARTIN

Les œuvres de ses débuts, des œuvres historiques réalisées au pochoir en couleurs qui ont influencé plusieurs générations.

rue Marcellin Berthelot - 02000 LAON.

Entrée gratuite - du mercredi au samedi de 14h à 18h.

MAISON DES ARTS ET LOISIRS

Des œuvres plus récentes où les textes et les images se superposent pour raconter des histoires multiples autour d’une esthétique foisonnante.

Place Aubry - 02000 LAON

Entrée gratuite - du mardi au vendredi de 13h à 17h30 et le samedi de 14h à 17h.

LITTLE GEORGETTE LE NOUVEAU BISTROT DE LA GRANDE GEORGETTE

INSPIRÉE PAR LA RÉUSSITE DE LA GRANDE GEORGETTE, LES ÉQUIPES

DE LA CASERNE CHANZY DÉVOILENT LEUR NOUVELLE ADRESSE « LITTLE

GEORGETTE ». UNE BRASSERIE CONVIVIALE ET AUTHENTIQUE SITUÉE

DANS LA CONTINUITÉ DE L’HÔTEL, AU PIED DE LA CATHÉDRALE DE REIMS. CE BISTROT MODERNE PROMET UNE EXPÉRIENCE CULINAIRE

UNIQUE TOUT EN SIMPLICITÉ ET GOURMANDISE.

Un projet né de l’envie de diversifier l’expérience de restauration

Little Georgette est née du succès de son aînée La Grande Georgette, et de l’envie de proposer une expérience culinaire plus accessible, sans compromis sur la qualité. Sous la direction du chef Julien Raphanel, ce nouveau restaurant, complémentaire à La Grande Georgette, propose une cuisine de type « bistrot », mettant en avant des plats traditionnels de la cuisine française à des prix abordables. Baptiste Collignon, directeur des 3 entités, et ses équipes ont voulu créer un lieu où convivialité et authenticité se rencontrent.

Une ambiance chaleureuse et décontractée en tête à tête avec la cathédrale de Reims

Avec sa cuisine ouverte et sa terrasse accueillante face à la cathédrale, Little Georgette est l’alliance parfaite entre tradition et modernité. Une brasserie qui propose des plats généreux, préparés avec des produits frais et locaux. Ce nouvel établissement ne se contente pas de séduire les habitués de La Grande Georgette. Little Georgette s’adresse tout simplement aux amateurs de bonne cuisine et de bons vins, désireux de profiter d’une expérience culinaire authentique, abordable et d’un service plus rapide.

Une carte authentique et gourmande

La carte de Little Georgette met à l’honneur les plats qui ont fait la renommée des bistrots français. On y retrouve des incontournables tels que le tartare de bœuf, l’os à moelle ou encore l’escalope à la viennoise ainsi que des desserts, tels que la crème brûlée et les profiteroles, pour conclure le repas sur une note sucrée. Concernant le choix des vins, vous découvrirez une carte réfléchie par Jean-Charles Kranzmann, alliant vignerons et grandes maisons, avec la possibilité de profiter également des belles références que possède La Grande Georgette.

Un engagement fort pour le terroir local

Ancrée dans le terroir champenois, Little Georgette s’engage à travailler avec des producteurs locaux, favorisant un approvisionnement en circuit court. Ce choix permet non seulement de soutenir l’économie locale, mais aussi de proposer des plats réalisés avec des ingrédients de première fraîcheur, garantissant une qualité constante.

Little Georgette : de la nouveauté à l’occasion des 5 ans de la Caserne Chanzy En explorant de nouvelles approches culinaires, ce bistrot contribue à renforcer la présence locale de la Caserne Chanzy tout en restant fidèle à ses valeurs : authenticité, partage et convivialité. « Little Georgette » promet d’être un lieu chaleureux et accueillant où l’on célèbre les plaisirs simples de la bonne cuisine, de quoi ravir les papilles des habitants de Reims et de ses visiteurs venus découvrir la Champagne et le champagne.

Little Georgette 18 rue Tronsson Ducoudray - Reims Face à la cathédrale 03 26 83 18 18 - contact@lalittlegeorgette.com

& LUNETIERS & CRÉATEURS

Vava Eyewear est un label de lunettes qui puise son inspiration dans la ville de Détroit, jadis symbole de modernité et d’espoir. Une histoire de survie, de confiance à nouveau donnée au futur et à la planète.

C’est cette histoire que Vava a voulu nous raconter au travers de ses pièces au design métallique, très post-industriel, jusque dans son processus de fabrication : un juste et nécessaire retour vers l’artisanat, son savoir-faire, loin de la production de masse.

Ses lignes sont fortes, sophistiquées, urbaines, futuristes. Elles sont contrastées, en noir et/ou blanc. Elles sont créées à partir de cristal, d’un alliage d’aluminium utilisé à l’aérospatiale mais malgré tout répondent à la conscience écologique de ses designers. Toutes les pièces sont écologiques et biodégradables.

Les astuces anti-gaspi

Pour une action collective

Les applications anti-gaspillage alimentaire se multiplient : Too Good To Go, Optimiam, Zéro gâchis…

Le gaspillage alimentaire en France atteint des proportions alarmantes avec près de 10 millions de tonnes de nourriture jetées chaque année, soit plus de 100 kg par personne. Ces pertes colossales, équivalentes à 400 g par jour et par personne, soulignent l’urgence d’adopter des pratiques responsables. En tant que consommateurs, nous avons le pouvoir de faire une différence significative. En intégrant quelques gestes simples et en réutilisant intelligemment nos restes, nous pouvons inverser la tendance. Voici quelques astuces pratiques pour transformer vos habitudes alimentaires et contribuer à réduire le gaspillage.

POUR COMMENCER

PENSONS ORGANISATION !

Avant de partir faire vos courses, faites le tour de vos stocks et listez ce dont vous avez besoin, ceci pour éviter les doublons et d'entasser les denrées. Puis, faites vos menus en fonction de ce qu’il y a à finir. Vous pouvez aussi adopter le vrac pour acheter la juste dose. Achetez votre pain en boulangerie, faites-le trancher et conservez-le au réfrigérateur pour une meilleure conservation ; mettez le surplus au congélateur. Pour les produits secs, si la date de durabilité minimale est dépassée, ce n’est pas inquiétant, ils se conservent des mois après cette date.

Retrouvez d’autres astuces pour recycler vos plats

Et enfin, notez les dates d’ouverture sur les emballages alimentaires avec un marqueur, cela évite de jeter à cause de doute de fraîcheur.

QUE FAIRE AVEC NOS RESTES ?

Voici quelques idées pour utiliser vos restes : le pain sec peut se transformer en croûtons, chapelure, ou encore en pain perdu. Les fruits pas assez ou trop mûrs peuvent être cuisinés en compote, confiture, gelée ou jus, tout comme les légumes flétris : faites-en un coulis, un caviar, une purée ou encore une soupe. Les restes de viandes peuvent être réutilisés pour des hachis parmentier, des cakes, ou encore froids dans des salades. Les restes de riz dans des légumes farcis ou encore des croquettes ou une salade niçoise. Enfin, la pizza est l’astuce incontournable pour les restes ! Vous pouvez acheter un pâton de pâte à pain crue à la boulangerie, sinon la recette de la pâte est simple, vous pourrez la garnir de vos restes et même de vieux fromages secs ! Et enfin faites des brunchs, ce repas est idéal pour mixer du salé et du sucré sur la table : un œuf, une tranche de jambon, de la tarte, de la salade de fruits, du pain…

Mathilde Demonceaux
Diététicienne

LE MAQUIS

ODE AUX LÉGUMES EN PLEIN CŒUR DE REIMS

Ma copine Gladys était dispo pour déjeuner, mais un truc léger et pas trop gras car – je cite – « je ne mange que des cochonneries en ce moment ». Le ton était donné et le lieu tout trouvé ! Rendez-vous au Maquis, à midi, rue du Clou dans le Fer. Elle voulait manger healthy, elle allait être servie...

Assiette unique et déclinaison veggie

Au Maquis, le concept est simple et efficace : une assiette unique composée de légumes variés, crus et cuits, – mais toujours locaux et de saison – avec une option viande ou végétarienne, le tout savamment assaisonné d’épices et d’herbes fraîches. Cléo, la créatrice du Maquis, et Marie qui l’accompagne en cuisine redoublent d’inventivité pour offrir quotidiennement une cuisine méditerranéenne, saine, goûteuse et créative. Résultat : une assiette équilibrée, fraîche et drôlement appétissante.

Gladys opte pour la version sans viande, une galette version samoussa composée de légumes mixés et assaisonnés, accompagnée d’une sauce au yaourt mariée à de petits oignons revenus avec du curcuma et d’un délicieux houmous…

Rien ne se perd, tout se transforme

Le Maquis s’engage dans la lutte contre le gaspillage alimentaire. Cléo utilise les légumes dans leur intégralité, de la racine jusqu’à la tige en passant par les épluchures.

« On fait des bouillons, des huiles aromatisées, et même des pestos avec les parties souvent jetées comme les pieds de brocolis. On ne jette que les épluchures vraiment abîmées ou inutiles, ce qui représente une petite caisse de 5 litres par semaine qu’on va jeter au compost ! »

Au Maquis, pas question non plus d’entendre parler de restes. Les courgettes rôties du jour qui n’auraient pas trouvé preneurs se retrouveront le lendemain dans la galette, mixées avec un reste de céréales et un peu de fromage. Une approche inventive et durable de la cuisine…

Une épicerie sélective

Le Maquis propose aussi une épicerie où Cléo sélectionne des produits méditerranéens de qualité. On peut trouve, entre autres, des sardines, des confitures artisanales, des tapenades ou de la bière… C’est ainsi que Gladys et moi, non sans avoir englouti un délicieux fondant au chocolat pour le dessert, repartons chacune avec d’appétissants canistrelli aux olives tout droit venus d’une biscuiterie artisanale en Balagne, histoire de prolonger notre virée en Méditerranée.

Transmettre le savoir-faire

Déjeuner au Maquis suscite des interrogations car on ne sait pas toujours identifier ce qu’on a dans son assiette. Alors Cléo n'hésite pas à partager son savoir-faire. « Beaucoup de gens ne savent pas comment cuisiner. Prenez l’exemple des brocolis, la plupart des gens jettent les pieds et les feuilles alors qu’ils peuvent être utilisés dans leur intégralité avec un peu d’imagination ! »  Ce partage s'inscrit dans une démarche de résistance contre l'industrie agroalimentaire, incitant les clients à adopter des pratiques culinaires plus responsables.

À savoir

Pour ceux qui souhaitent aller plus loin, des ateliers de cuisine pourraient bientôt voir le jour, offrant à tous la possibilité de cuisiner comme au Maquis. Affaire à suivre !

REIMS DÉPOUSSIÈRE LE MYTHE DU

SPEAKEASY

Depuis quelques années, le mythe du speakeasy est dépoussiéré à Reims. Le Bootlegger, premier du genre, a été récemment rejoint par deux autres établissements insolites remettant au goût du jour la grande époque de la prohibition.

Vivons heureux, vivons cachés. Cet adage bien connu que l’on ressort à l’envi se prête volontiers à la tendance des speakeasy. Des bars clandestins, à l’ambiance feutrée, nés aux États-Unis pendant la période de la prohibition et souvent à la main du crime organisé. Loin de New York ou de Chicago, à Reims, ces bars confidentiels revivent grâce à une clientèle déjà conquise.

Mamie

Cachée derrière une façade qui inhibe tout soupçon, la brasserie Mamie attise la curiosité. En effet, si au premier abord on vient pour y manger comme chez ses grands-parents, on ne croirait pas que derrière les portes d’une armoire située à l’étage se trouve un bar. Présentes dans plusieurs villes de France, c’est à Reims que les équipes ont eu l’envie d’ajouter une pièce unique à ce lieu qui sort déjà de l’ordinaire. Plongé dans un décor végétal totalement imaginé par Mathieu Soliveres, rappelant le monde de Narnia, on vient volontiers dans cet endroit cosy et intimiste. On y déguste des cocktails exclusifs tout droit sortis de l’imagination du barman, mettant en avant des alcools moins conventionnels, qui donnent lieu à des créations comme le whisky fumé au thym. Pour Vincent Le Tallec, directeur des opérations, l’effet waouh recherché est une franche réussite. 19 bis rue de Thillois

Léa Laurent et Manon Postal - Célia Beausoleil

Le Bootlegger

Le Bootlegger fait office de cador dans cet univers. À la tête de l’établissement, Cyprien Paleni, passionné par les histoires de bandits et des « hommes sans loi ». Si le bar n’est pas caché comme le voulaient les codes de discrétion de l’époque, une fois les rideaux de velours tirés, on y retrouve une ambiance fidèle au mythe. De la « cocktailerie » en passant par les décorations tout droit tirées d’un film de la Belle Époque, le lieu a tout des repaires de voyous. « J’aime me démarquer, l’interdiction a permis une grande créativité », explique le propriétaire des lieux. Ce qui lui a d’ailleurs valu le titre de meilleur bar afterwork de France en 2018. Accoudé au bar, on retrouve les cocktails classiques mais aussi des créations originales autour notamment du whisky. Les soirées à thèmes organisées par le lieu en font aujourd’hui sa renommée et expliquent sûrement le succès sans faille du Bootlegger.

4 rue Gaston Boyer

Le Vidéoclub

Le petit dernier du genre, ouvert depuis le 4 avril, est une véritable histoire de famille. Lorsqu’on pousse les portes de cet établissement tout droit venu des années 80, on rencontre Léa et Alexis, les deux fondateurs de ce bar, accompagnés des parents de ce dernier. Déjà propriétaires de plusieurs établissements à Reims, ils avaient pour volonté de créer un lieu inspiré du Lavomatic à Paris. Caché derrière les cassettes de E.T., les Dents de la mer ou encore le Grinch, se trouve une pièce baignée par la lumière des néons où trône un bar rappelant la Prohibition. Depuis la rue, impossible de savoir qu’un bar s’y cache. Tout est insonorisé et sobre, à l’exception d’un néon accroché à l’entrée. La surprise ne s’arrête pas là ; la nostalgie continue avec des cocktails aux noms tous plus évocateurs les uns que les autres : le Pretty Woman, le Pulp Fiction, le Scarface. Entre l’afterwork et la boîte de nuit, ce lieu promet de devenir un incontournable auprès des Rémois. 29 rue de Chativesle

TANZANIE ET ZANZIBAR DE SAFARIS EN LAGONS PARADISIAQUES

En Afrique de l’Est, dominée par le Kilimandjaro et ses 5 900 m d’altitude, la Tanzanie, sculptée par ses forêts, montagnes, lacs et plaines, fait partie de ces lieux où la faune, riche, dense et variée, dispose encore de grands espaces sauvages et protégés. Les sites naturels y sont extraordinaires, les paysages sublimes en toute saison.

Depuis des temps ancestraux, la grande migration amène chaque année d’immenses troupeaux de gnous, zèbres et gazelles à parcourir la savane en quête de verts pâturages, attirant ainsi de nombreux prédateurs.

Parcourons au nord les vastes plaines de l’immense Serengeti, où le lever de soleil enflamme cette terre des « Big Five » : lions, léopards, éléphants, buffles et rhinocéros.

Sélectour

rue Jeanne d’Arc - Reims

Découvrons le cratère du Ngorongoro, autre joyau des safaris, enclave de 20 km de diamètre, 610 m de profondeur et véritable sanctuaire et refuge de milliers d’animaux sauvages. Explorons la beauté du lac Manyara et ses plus de 400 espèces d’oiseaux ; sillonnons le parc de Tarangire, couvert de véritables champs de baobabs centenaires ; immergeonsnous dans les parcs du Sud, moins fréquentés et plus confidentiels.

Imprégnons-nous du mode de vie et de la culture des ethnies tanzaniennes, peuple fier et chaleureux, attaché à ses traditions ancestrales.

Logeons en tentes de luxe ou en « lodges » au charme fou très « Out of Africa », en osmose totale avec cette nature à grand spectacle, où l’on se plaira à pratiquer l’art de la contemplation tout en prêtant une oreille attentive aux bruissements de la faune environnante.

L’idéal : combiner ces moments uniques à un séjour à Zanzibar et ses incroyables plages de sable blanc, à quelques encablures des côtes tanzaniennes. Surnommée « l’île aux épices », l’île doit son extraordinaire métissage à ses influences africaines, arabes, indiennes et européennes.

Le plus : s’offrir le luxe de loger au Zanzibar White Sand Luxury Villas & Spa 5*

En bordure d’une plage sublime et immaculée, cette adresse d’exception (membre Relais & Châteaux) véritable oasis de tranquillité au charme intimiste (18 villas nichées sur 4 hectares de végétation luxuriante) séduit autant pour son service haut de gamme que par sa philosophie résolument écoresponsable :

• Villas construites en matériaux locaux et naturels, alimentées par énergies 100 % renouvelables.

• Chauffage solaire assurant l’intégralité de l’eau chaude de la station.

• Usine de dessalement et de filtration (eau potable de haute qualité en bouteilles de verre).

• Matériaux biodégradables dans tout l’hôtel.

• Atelier de menuiserie favorisant les compétences en emplois qualifiés.

• Emploi du personnel de l’île à tous niveaux de poste.

• Fruits et légumes du jardin servis chaque jour au restaurant et biodéchets compostés.

• Poisson frais livré sur la plage par les pêcheurs directement au chef.

• Plus de 20 000 plantes cultivées sur place.

• Partenariats uniquement avec des fournisseurs locaux et durables pour les achats et produits de l’hôtel.

BOÎTE À LIVRES Boîtes à trésors

Approcher une boîte à livres, c’est embrasser l’inconnu. Vous ne savez pas ce que vous allez y trouver, quelle couverture va vous attirer, quels personnages vont vous emporter, quelle aventure vous allez expérimenter... Car c’est bien de cela qu'il s’agit : d’une véritable petite aventure.

Rencontre hasardeuse

Vous l’avez repérée de loin, cette boîte à livres pleine de promesses. Quels trésors allez-vous dénicher ? Nul ne sait. Pour cela, il faut s’approcher de cette caverne d’Ali Baba mise à disposition gratuitement. La règle est simple : chacun peut emprunter un livre ou en déposer un. Le principe repose sur le partage, la générosité et la confiance. Parfois vous y croisez d’autres compagnons d’aventure, qui, comme vous, se tiennent d’abord un peu à distance puis s’approchent, penchent légèrement la tête pour pouvoir lire les titres, piochent un livre au hasard, parcourent le résumé, le reposent. Quelquefois, la rencontre est plus percutante. Le livre saisi vous emballe, vous remerciez secrètement celui qui l’a déposé, le fourrez dans votre sac et continuez votre chemin. Ce qui est bien avec les boîtes à livres, c’est que la surprise est (presque) toujours garantie. Les trésors sont sans cesse renouvelés grâce aux nombreux lecteurs donateurs.

PARTAGE

Parcours à lire durable

L’aventure vous tente ? Au centre-ville de Reims, on trouve la fameuse boîte-tronc du Boulingrin. Cet arbre si cher aux Rémois – un paulownia d’un siècle – était en fin de vie et une partie de son tronc fut conservée pour lui faire honneur, devenant un véritable point de rencontre autour de la lecture. Prolongez votre balade au square des Cordeliers. Vous y trouverez une boîte à livres qui fait le plaisir des grands et des petits. Vous n’avez rien trouvé de palpitant ? Tentez votre chance au square Colbert au bout de la place d’Erlon. Ce lieu très fréquenté vous offrira peut-être le roman dont vous rêvez. Toujours pas ? Descendez les basses promenades et dirigez-vous rue de Saint-Brice dans le quartier Clairmarais. En face de la Petite Halle, près d’un jardin partagé, les habitants ont fabriqué une boîte à livres régulièrement alimentée… Votre promenade peut se poursuivre à l’infini car ici et là, dans chaque quartier de Reims et dans les villages alentour, sont disposées ces boîtes à trésors, encourageant le recyclage et la réutilisation des livres. Laissez le hasard faire. Croyez-moi, vous ne serez pas déçus, parole de passionnée de boîte à livres.

La Marelle

Un arc-en-ciel de sourires

Une légende ancienne dit que l’on peut trouver un trésor au pied des arcs-en-ciel. Vous voulez vérifier ? Rendez-vous à La Marelle, à Villers-Allerand ! Pour trouver le chemin, rien de plus simple : vous n’avez qu’à suivre les sourires et vous arriverez au pied de l’arcen-ciel, enseigne et emblème de ce lieu unique et inclassable mais tellement attachant.

La Marelle est née dans l’esprit de Céline, Barbara et Kevin qui se croisaient régulièrement sur les brocantes. Et, comme toujours, c’est souvent du hasard des rencontres que naissent les plus beaux projets. Ce qui les a réunis c’est la volonté de créer un lieu pas comme les autres, un lieu unique, un lieu qui leur ressemble où la joie et la bienveillance règnent et se partagent.

La Marelle, ouverte depuis mai dernier, est un peu tout cela mais aussi un peu plus. Café associatif à prix libre (on donne ce que l’on veut et on se sert soi-même), friperie de seconde main ou vintage, brocante chic mais aussi parfois délicieusement kitsch comme on adore.

À l’origine il y avait une envie commune de vivre à la campagne mais aussi d’y travailler. Le projet de participer à la redynamisation d’un village avec un lieu ouvert à ses habitants et aux visiteurs. Villers-Allerand au cœur du vignoble, entre Reims et Épernay, était le spot idéal ! Les 3 amis ont vite craqué sur un lieu incroyable. Une vieille bâtisse, en plein centre du village où l’on perçoit encore la présence rassurante de toutes les générations qui s’y sont succédé.

Arnaud Steffen

Le lieu avait déjà une âme, Barbara, Céline et Kevin lui ont redonné des couleurs. Dans la cour, nous sommes accueillis par la fameuse marelle qui a bien sûr inspiré le nom du lieu. On se retient de sauter à cloche-pied pour entrer dans la boutique… encore que…

C’est là, entre « terre et ciel », que les 3 entrepreneurs ont créé un petit endroit douillet à la décoration changeant au fil des arrivées de meubles, bibelots, affiches, vaisselle et ustensiles vintage divers et variés (sans oublier la peluche géante de Maya l’abeille en pleine discussion avec celle de Babar).

Chine et seconde main ne veulent pas dire désorganisation et bazar : à La Marelle les vêtements sont classés par couleurs dans un joli arc-en-ciel de matières !

Il y règne une atmosphère apaisée et une grande sérénité, même lors des nombreux événements organisés sur le site. Brocantes régulières dans la cour avec d’autres amis chineurs, apéros et festivités sur la place en fin de semaine. Le lieu est éphémère, et comme toutes les bonnes choses ont une fin, en décembre il est possible que La Marelle se transporte ailleurs… mais qui sait…

La légende n’avait donc pas tort, au pied de l’arc-en-ciel de La Marelle se trouve un véritable trésor, celui de l’amitié, de l’accueil et de la convivialité.

Restaurant - Service Traiteur

11 Grande Rue, Champfleury, Réservation au 09 50 83 59 83

leclosdechampfleury.com

Fermetures hebdomadaires : Les dimanche soir, lundi soir, mardi toute la journée et mercredi soir.

Parking privé « Une bonne table à 10 mn du centre-ville »

Chaque maison a une âme à raconter

Durant la réunion de rédaction, nous avons échangé sur un lieu vraiment atypique qui cherchait preneur. Et par le plus grand des hasards et de scrolls sur les réseaux sociaux, nous sommes tombés sur son acquéreur. Avec 38 déménagements à son actif, Annabelle Brun n’en est pas à son coup d’essai. Rencontre.

Depuis toute jeune, Annabelle a toujours refait les appartements dans lesquels elle a vécu. Au-delà d’une simple passion, c’est comme si elle s’était donné pour mission d’inventer un second souffle à l’âme originelle des lieux dans lesquels elle avait posé ses bagages. Au fil du temps, des événements d’une vie et des déménagements, cette passionnée créative n’a eu de cesse de bricoler, récupérer et transformer les 38 adresses qui ont croisé son chemin. Et pour elle, les choses n’arrivent pas par hasard. Les rencontres avec les lieux sont comme celles qu’on vit avec les gens. Elles s’inventent, se créent, s’imaginent. Au final, les choix qui s’imposent à elle pour sublimer des détails érodés par le temps ne vont pas chercher bien loin. C’est dans la simplicité qu’Annabelle souhaite s’exprimer. Elle n’aime pas ce qui est compliqué. Ses amis disent d’ailleurs d’elle « qu’elle est simple dans sa complexité. »

BA L TR O PI CA L

Des Nuits qui chantent Bernard Lavilliers, Tiken Jah Fakoly & Bonbon Vodou

Bernard Lavilliers et l’Orchestre symphonique de l’Aube

Tiken Jah Fakoly

Alain Souchon

accompagné par Ours & Pierre Souchon

Ibrahim Maalouf, Raphaël

Angélique Kidjo, Barrut, Hervé Clara Ysé, Yuston XIII

MCSolaar, Dionysos

Barbara Pravi, Bonbon Vodou KKC x CPC, Tonycello Metro Verlaine

Le OFF OFF OFF , Les Afters le Choeur de l’Aube le Grand Choral

INF O RMATI ONS E T RÉ S ER VATIONS E N LIGN E WW W.NUI TSD ECHAMPAGN E.COM ET SUR LES RÉSEAUX DE VENTE HABITUELS

BILLETTERIE GUICHET: CENTRE CULTUREL LA MAISON DU BOULANGER

En prenant possession des lieux, elle ressent les choses, scrute les moindres détails, s’imprègne de l’atmosphère, laisse voguer son imaginaire. Au fur et à mesure de ses tribulations immobilières, on commence à lui demander son avis pour transformer des intérieurs. Elle décide de se former. Elle opte pour la décoration feng shui, rapport à celui qu’elle a avec l’harmonie. Puis vient le projet qui lui permet de se lancer. On lui suggère également de poster ses chantiers sur les réseaux. Sans y croire une seconde, elle tente l’expérience et voit son compte propulsé dans les hautes sphères. Depuis les États-Unis, on l’appelle pour des reportages dans des magazines de déco. De son côté, elle continue à travailler sa marque de fabrique à force de blanc, de brut et de bois. Annabelle n’a pas besoin de couleurs ; elle trouve son bonheur dans les espaces vides qui ne nécessitent pas d’être comblés pour que leur sublime soit exprimé.

Aujourd’hui, elle accompagne dans la France entière des gens qui font appel à ses services, son savoir-faire et son hypersensibilité en se dévoilant à elle, comme une bonne séance chez le psy, pour qu’elle concocte à sa manière un espace de vie qui ressemble à la fois à la personnalité des lieux et à celle de ceux qui vont y élire domicile. D’ailleurs, si vous êtes sensible à la numérologie, allez faire un tour sur son compte Instagram (@les_penates_home) pour en apprendre davantage sur la symbolique des adresses. Chaque numéro a son lot de choses à vous apprendre sur vous. Et concernant son projet de rénovation de lieu atypique pour lequel nous l’avons contactée, il faudra être patient et attendre encore quelques semaines pour qu’on puisse vous en parler…

Alizée Szwarc Meireles Frédéric Leroux, Annabelle Brun

L’ÉCONOMIE

DE L’EAU ET DES RESSOURCES NATURELLES AU CŒUR DES PRÉOCCUPATIONS DE CHARLET PISCINES

GRÂCE À SON SAVOIR-FAIRE EN MATIÈRE DE RÉNOVATION, DE

CHAUFFAGE ET DE FILTRATION DE L’EAU, L’ENTREPRISE FAMILIALE

CHARLET PISCINES S’EST ADAPTÉE AUX NOUVEAUX ENJEUX

ÉNERGÉTIQUES AVEC DES SYSTÈMES INNOVANTS ET DURABLES.

L'adaptation face au bouleversement des ressources en énergie

Fondée au début des années 1980 par Jean-Claude Charlet, l’entreprise de conception de piscines Charlet Piscines a vu les conditions d’approvisionnement en énergie radicalement évoluer ces 40 dernières années.

« Dans les années 80, nous chauffions l’eau avec du fioul ou du gaz. (…) Aujourd’hui, la pompe à chaleur est devenue le meilleur moyen de chauffer l’eau », précise Jean-Christophe Charlet, le directeur de la société. Charlet Piscines s’est adapté à l’évolution des réglementations quant aux systèmes de filtration et de traitement des eaux qui exigent que les bassins consomment moins d’eau.

Malgré des coûts encore importants, l’entreprise tient à proposer de plus en plus de récupérateurs d’eau et de panneaux photovoltaïques.

Des systèmes innovants et durables pour économiser l’eau

« L’économie de l’eau reste notre volonté principale ! » souligne Jean-Christophe Charlet qui précise que le traitement de l’eau fait par la société est réalisé à l’aide de lampes à UV, d’électrolyses et de domotique. L’ajout d’une couverture aux piscines permet aussi de diviser par dix l’évaporation de l’eau des bassins.

Charlet Piscines élabore des techniques pour concevoir des piscines beaucoup moins consommatrices en eau. Les équipes rénovent des bassins anciens en réduisant leur profondeur à 1,50 m. Ainsi, « il y a moins de produits et donc moins d’eau à chauffer ! » souligne Jean-Christophe Charlet. Grâce à leurs petites profondeurs, les piscines deviennent alors plus conviviales et plus sécurisantes.

Retrouvez les 3 showrooms Charlet Piscines

Cormontreuil : 35 rue des Blancs Monts - 03 26 09 46 31

Saint-Memmie : ZAC de Voitrelle - 03 26 68 28 39

Saint-Dizier : 7 avenue Pierre Bérégovoy - 03 25 05 27 83

Plus d’informations sur charletpiscines.fr

P o ur un e fo i s c ’ e st

no u s q ui c h a n g e o n s d e p r o pr i é ta i r e .

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L’ATELIER DE DÉCORS

OU LA DOUBLE VIE DE L’OPÉRA DE REIMS

Il avait 17 ans quand il fit ses premiers pas à l’Opéra de Reims en tant que stagiaire. Aujourd’hui seul constructeur des décors de l’atelier, Éric a connu 6 directions et côtoyé de nombreux artistes. Il nous a livré avec humilité la vie d’une maison culturelle, rythmée au son d’un travail passionné.

Un savoir-faire signature

Pourtant rangé parmi les petits opéras de France, l’Opéra de Reims s’élève au rang national grâce à son atelier de création de décors. Initié par l’ancien directeur des lieux, Serge Gaymard, l’atelier illustre comment la technique fait briller. Véritable laboratoire de création, quelques objets trahissent naïvement que les années sont passées. Parfois cassés, quelques bouts de bois s’y sont entassés. Table centrale et taches de peinture au sol bétonné, voilà là où Éric invente, peint, fabrique et crée.

Créer l’illusion

« Il faut être MacGyver », sourit-il. Éric doit rivaliser d’ingéniosité pour faire vivre le monde imaginé par les scénographes en projets concrets. Il crée l’illusion, dissimule, et cette expertise, il la doit à son parcours. D’abord cintrier puis responsable du pointage lumière, il connaît la scène et ses exigences, il connaît la scène et ses nuances. « Quand on aime, on plonge », affirmet-il. Depuis son premier spectacle Casse-Noisette, la passion pour son métier ne l’a jamais quitté. Toujours en quête de nouvelles idées, il s’instruit et innove. Sa nouvelle création ? Du faux marbre à base de papier journal.

Le sens de l’adaptation

Parce que travailler pour la culture c’est aussi travailler avec son temps, son métier a évolué. Formé aux anciennes techniques il a connu les châssis toilés et la lueur des bougies. Quand les toiles donnaient avant « un sens à l’éclairage » , aujourd’hui, ce sont les volumes qui les rendent vivantes. L’appréhension du décor a évolué avec l’intégration de vidéos, mais une chose restera inchangée : la technique. Matériaux légers et angles limés, si la scène d’exposition plante le décor, Éric doit aussi penser à la manière dont il sera déterré.

Une brève existence, un possible renouveau ?

Construits pour être déconstruits, les décors sont aussi créés pour être détruits. Quelques fragments restent accrochés au cœur, pourtant les décors stockés cinq ans sont ensuite détruits. Mais, à force d’effacer les traces du passé, on finit par les oublier. Fort de cette certitude, la question d’une seconde vie des décors s’impose, et fleurit l’idée de mettre en place une ressourcerie. L’art d’Éric est éphémère, il le sait, mais peut-être existera-t-il bientôt plus de 5 ans ?

NOUVEAU

Un savoir-faire français depuis 1988

100% SUR-MESURE dans 100% DE LA MAISON

RANGEMENTS DRESSINGS BIBLIOTHÈQUES SOUS-ESCALIERS BUREAUX CUISINES

La Fileuse

Un lieu dédié à l’art de la création

Située dans le quartier Orgeval et inaugurée depuis 2012, La Fileuse, friche artistique municipale dédiée aux artistes pour la conception et la production des spectacles, est un lieu qui suscite la curiosité. Non ouvert au public habituellement, des rendez-vous devraient rythmer pour la première fois cette saison ce lieu pas tout à fait comme les autres.  « Je vous fais la visite ? » À un rythme soutenu, Elsa Bezaury, directrice de la structure, nous emmène dans ce labyrinthe de plus de 3 000 m2. La Fileuse, gérée par la Ville de Reims, située rue du Docteur Schweitzer, interpelle par son architecture « entrepôt ». Depuis la délocalisation des activités de Timwear en 1987, seule usine régionale de fabrication de tricot en 1956, le lieu a été repris par la Ville de Reims.  Depuis l’inauguration en 2012, cette friche accueille des artistes pour des projets divers, souvent pour plusieurs mois. « Nous accueillons les artistes en phase de travail, pour des projets bien spécifiques, c’est ce qu’on appelle des résidences, ils viennent tester des installations pour des décors de spectacles, certains viennent aussi pour avoir un cadre de travail », ajoute Elsa Bezaury.  Durant l’été, la plupart des artistes ont filé, mais il reste çà et là quelques installations, comme cette table verte, sa nappe fleurie, ses 3 chaises et sa théière qu’on dirait sorties de l’univers d’Alice aux pays des merveilles « Ça, c’est pour un spectacle au Cellier », nous glisse Elsa Bezaury.

Laurie Andrès

Une nouvelle programmation

Passerelle entre les artistes et les structures culturelles, La Fileuse est un lieu d’expression qui favorise les rencontres et les échanges, les partenariats sur le territoire rémois. C’est aussi une fois par an l’occasion pour le public de découvrir les résidents lors des Ateliers d’Artistes qui ont lieu au mois d’avril, de s’immiscer dans les coulisses d’un spectacle en création, d’en comprendre les rouages et le savoir-faire.  Cette saison, pour la première fois, en plus des Ateliers d’Artistes,  l’équipe de La Fileuse proposera une brochure avec 3-4 rendez-vous par an, ouverts au public. « C’est ce qu’on appelle des sorties de résidence, concrètement, des artistes en fin de projet vont présenter leurs travaux lors d’une soirée dédiée », explique Elsa Bezaury.  En attendant une rentrée foisonnante, le retour des compagnies, des résidents, des tables et des chaises, des papiers volants, des installations sonores disruptives, La Fileuse peaufine sa programmation. Désormais ce laboratoire de curiosités aura un public.

POMPES

EN ROUTE AVEC

Stanislas Maximin

À BORD DE L’AUDI Q6 E-TRON QUATTRO

Il a les mains sur le volant et le regard tourné vers la route. Stanislas Maximin est le CEO de Latitude, la startup qui conçoit et construit des fusées. Oui, de celles qui vont dans l’espace. Quelques semaines avant cet essai de cette nouvelle Audi Q6 e-tron quattro, nous entendions encore aux informations l’annonce de la Nuit des étoiles. Mais ce serait galvauder de comparer le nouveau modèle électrique de la marque d’origine allemande à une étoile filante. Nous avons mieux à vous offrir ici.

Le confort de l’habitacle qui nous marque

Curieusement, le test du véhicule fut composé de grands moments de silence de la part de notre invité, du journaliste et du photographe. Entre deux commentaires au sujet des dimensions de la voiture (2,19 m de largeur, 4,77 m de longueur et 1,64 m de hauteur), nous profitions très simplement du calme de l’habitacle. Zen, c’est le terme que votre serviteur ne s’attendait pas à poser dans un article dédié à une automobile. Pourtant l’Audi Q6 e-tron semble proposer aux passagers de faire la paix le temps d’un trajet. L’isolation phonique est si efficace que nous parvenions à chuchoter pendant le test sur une portion d’autoroute. Les sièges massants étaient activés à l’avant et côté passagers arrière, nous imaginerions sans problème une paire de jeunes bambins s’adonner à une sieste paisible.

Une expérience cinématographique

Même les unités de commande paraissent souhaiter la paix des ménages. Tandis que Stanislas profite de l’affichage tête haute et se concentre pour ne pas rater la prochaine sortie, « je ne sais pas si je pourrai m’en passer après ce test », la passagère se détendait en cherchant la prochaine musique à diffuser dans l’habitacle depuis l’écran qu’elle n’a que pour elle. Ce n’est d’ailleurs pas le seul compliment dédié à la visibilité : « On se croirait au cinéma. » C’était vrai, le design intérieur nous offrait une visibilité complète sur la route. Les montants du pare-prise se font presque oublier. Tout est fluide. Malgré tout, c’est un échec. Stanislas était occupé à bavarder et il a raté la sortie, nous allons devoir passer par le péage ! Exclamations, les voix s’élèvent, débats sur le nouvel itinéraire à suivre… Nous étions si détendus dans cet Audi que nous en avons oublié de nous disputer. En effet l’erreur d’itinéraire a bien déclenché un fracas, mais non pas de colère, de rires !

Se faire remarquer

Pour la séance photo, nous nous sommes arrêtés en plein centreville. Rue de Tambour, les passants nous regardent. Mais qui sont ces trois personnes avec une voiture, des caches sur les plaques d’immatriculation et des appareils photo ? Cet homme blond et élancé est-il célèbre ? Et cette voiture… un passant portant deux grands sacs en provenance d’une boutique de marques de créateurs s’arrête. « Elle est très belle la nouvelle Audi Q6 e-tron, elle fait très sportive, surtout à l’arrière ! » Bavardages, Stanislas répond et débat au sujet de la ligne du véhicule, car voici quelque chose qu’on ne peut lui retirer : cette voiture a du chien ! Nous l’avons même verrouillée et déverrouillée à plusieurs reprises uniquement pour admirer les signatures lumineuses au niveau de l’éclairage extérieur. Ne pas penser à K-2000 nous est impossible, mais dans un scénario où Michael Knight serait plutôt un James Bond. Cependant Stanislas, notre spécialiste des fusées, est catégorique, pas d’armes secrètes pour l’Audi Q6 e-tron, si ce n’est son charme.

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