Je ne sais pas depuis combien de temps on nous casse les burnes avec la possibilité d’ajouter le skateboard à la liste des sports pratiqués aux Jeux Olympiques (C’est vrai qu’après le beach-volley et le curling... On peut bien rajouter n’importe quoi...) mais là vraiment ça me dépasse... En effet pourquoi on ne se pose pas un peu plus la question: “Dans quel pays auront lieu les prochains J.O.?” Non mais sérieusement, j’espère que des pays vont boycotter cette merde en Chine, que des sportifs vont avoir les couilles de porter des t-shirts “Free Tibet”, ou d’autres actions du genre... J’en rien à foutre que Ryan Sheckler gagne la médaille d’or, mais que de pacifistes innocents se fassent assassiner, ça me révolte. Faites du skate pas la guerre!
Ich weiss auch nicht wie lange die Disskusion um die Möglichkeiten “������ ������� Skateboarding” Olympisch zu machen schon andauern. Und wenn man schaut welche illustren Sportarten mittlerweile in die Liga des Olymps erhoben wurden (BeachVolley... Curling) da würd es niemand mehr wundern! Doch muss ich zugeben, dass mich diese Fragen nicht im geringsten Beschäftigen... Wieso beschäftigt man sich nicht lieber mit der Frage “In welchem Land finden die nächsten Olympischen Spiele statt?!” Nein jetzt im Ernst; ich würde mir wünschen dass alle Nationen diese Scheisse in China boykottieren würden! Oder dass die Sportler die Eier hätten “Free Tibet” Shirts zu tragen, oder andere solche Aktionen... Ich habe nichts dagegen wenn Ryan Scheckler eines Tages eine Goldmedaille an den Olympischen Spielen gewinnt, aber sehr wohl wenn unschuldige Pazifisten ermordet werden! Das bringt mich in Rage!! Skate don’t hate– und schon gar kein Krieg!!
Remerciements / Dank: Niniche, Nao, Jan&Sarah, Mischou&Diana, Big Mischou, Tomi&Leah, Fredo, Clood&Amanda, Colin, Grufa, Michi, Pat, 20-100, Phil, Jack, Turbo, M&P Marceaux, Mini-Fabi, Oli, Wowo, Kévin, Alain&Catherine, Christine&Francis, Fred&David@Soma, etc...
Contacts / Kontakt: www.versus-skatezine.ca versus_skatezine@hotmail.com Couverture / Cover: G.I.Jey BS Smith photo / foto: The Boss
Un vendredi, nos trois (plus ou moins) Bernois, prennent le train en direction de Fribourg dans l’espoir de skater de nouveaux spots, et, si possible, filmer quelques tricks pour la déjà célèbre future vidéo... ... Really Goofy! Direction l’université, où The Boss pensait avoir aperçu quelque chose de sympathique. Et, en effet, l’endroit semblait prévu pour la pratique du skateboard. Après environ 15 minutes d’échauffement (dont 12 minutes passées à déplacer un banc pour s’en servir de curb), le drame: Le gardien arrive, et demande à nos 3 compères de dégager. Apparement le bruit dérangeait les professeurs préparant leurs cours pour la rentrée prochaine. Quelques vaines tentatives de dialogue, pour obtenir quelques minutes de surcis, rien à faire, ils doivent partir. Ils tenteront même d’abandonner le banc là où ils l’avaient apporter, mais le gardien, les obligea à le remettre en place.
Eines Freitags nahmen unsere drei - mehr oder weniger - Berner den Zug in Richtung Freiburg, in der Hoffnung dort vielleicht einige neue Spots zu skaten oder gar einige Tricks für das zukünftige “Really Goofy” Video zu filmen. Erstmal Richtung Universität, wo man laut The Boss einige sympathische Dinge finden könne. Und wie sich herausstellte hatte er auch recht: das Gelände war wie zum skaten gemacht... Aber nach etwa 15 Minuten, wovon 12 dabei drauf gingen einen Bank zuverschieben um sie als Ledge zu nützen, ereignete sich das Drama: Der Abwart erschien wie ein böser Geist und forderte die drei auch gleich auf, zu gehen. Anscheinend schien der Lärm die Professoren bei der Vorbereitung ihrer Kurse für das folgende Semester zu stören. Sie versuchten über Diplomatie einige Minuten heraus zu schinden, es war jedoch alles vergebens Abflug! Doch bevor man den Ort verlassen konnte musste erst alles wieder zu recht gerückt werden! Der Abwart bestand darauf, dass sie die Bank wieder an seine ursprüngliche Position beförderten... was einige weitere Anstrengung kostete!
---kicked-out spot 1 Déçu, mais bien décidé à trouver d’autres lieux de rêves, The Boss survola un gap au passage, avant de faire une pause sur ce qui semblait être un bon manual pad… Tom, plus réaliste que ses compatriotes, abandonna (avant même d’essayer). Pour rajouter un peu de piquant, The Boss & G.I.Jey parièrent, un yahourt au kiwi à la clef, sur celui qui rentrera sa figure en premier. G.I.Jey abandonna à son tour, la réalité le rattrappant rapidement… The Boss fut de même peu de temps après. G.I.Jey, sur les bords de la crise de nerfs, prit quand même le temps de faire un tour du bâtiment avant de plier bagages, toujours dans l’espoir de trouver un coin de Barcelone quelque part. Et là… miracle ! Un magnifique roof-gap. Le temps d’appeler ses collègues, de monter sur le toit, on leur demandait déjà de partir. L’aggressivité du ton employé n’arrangeant en rien les choses, l’empêcheur de tourner en rond, menaça d’appeler la police. G.I.Jey, toujours prêt à
---kicked-out spot 1. Enttäuscht, aber überzeugt andere gute oder sogar traumhafte Spots zufinden, machten sich die 3 auf! Unterwegs sprang The Boss über ein Treppen/Troittoir Gap, um sich dann auf der anderen Strassenseite mit den anderen etwas auszuruhen! Da bemerkten Sie, dass man dieses Ding auch als Manual-Pad missbrauchen könnte! Tom, realistischer als die anderen, warf die Flinte von Anfang an ins Korn, ohne je einen Versuch zu starten. Um das Ganze ein wenig spannender zumachen wetteten die anderen 2 um ein Kiwi-Yoghurt.. man musste nur seinen Trick zuerst landen. Die Realität holte G.I.Jey sehr bald ein, und er gab auf, was einige Versuche später dann auch The Boss tat, und sich geschlagen gab. Geschlagen von Freiburg! G.I. Jey, mit den Nerven schon ziemlich am Ende, nahm sich trotz allem die Zeit, eine kleine Runde um den Block zu drehen, um eventuell doch noch einen “Barcelona-like” Spot zu finden... und siehe da: Wunder geschehen! Ein traumhaftes Roof-Gap. Nachdem er seine Kollegen zusammen getrommelt hatte, war es
son appareil photo, et 50 essais plus tard, c’était dans la boîte. Ils ne sauront jamais si ce gardien était sympa ou fainéant, puisqu’ils n’ont pas demander leurs restes avant de partir vers le prochain spot. Et, celui-ci, se trouvait seulement 50 mètres plus loin! Le temps de poser leurs sacs, on leur fit comprendre qu’ils n’étaient là non plus, pas les bienvenus. ---kicked-out spot 3 Le moral était de plus en plus bas, et malgré un semblant de spot devant la cathédrale, Tom & G.I.Jey durent renoncer. Les jolies filles, la faim, et la soif (de bières) prirent le dessus. Pendant que The Boss essayait son backside tailslide, G.I.Jey jouait le paparazzi, et Tom rêvassait déjà…
rendre service, lui tendit son téléphone. Ne semblant pas vraiment apprécier, la tension monta rapidement. Tom, au gabarit pouvant fait rougir à peu prêt n’importe quel garde du corps, était prêt à intervenir. Ils évitèrent tout de même le bain de sang losqu’un deuxième résident des lieux, expliqua, gentillement, les raisons pour lesquelles il les priait de s’en aller. ---kicked-out spot 2 Chanceux dans leur malheur, nos trois amis ne firent que 400 mètres avant de trouver un autre lieu propice à la pratique de la planche à roulettes. Une série de marches, avec un plan incliné sur le côté... Attérisssage sur des pavés, avec une borne fontaine en plein dans la trajectoire. Problème, ils se trouvent en face d’une banque, et le gardien les regarde déjà, alors qu’ils n’ont pas encore commencer à skater. Tom & The Boss étaient déjà prêt à s’en aller, mais G.I.Jey tenta sa chance, en clamant qu’il allait faire un ollie into bank, du premier essais. Alors The Boss prit sa caméra, Tom
Zeit aufs Dach zu steigen...was gleich zu einem äusserst aggressiven Intervenieren eines Arbeiters führte. Dieser drohte sogleich die Polizei zu rufen. Worauf G.I.Jey stehts hilfsbereit, ihm auch gleich sein Telefon zur Verfügung stellen wollte. Dies versetzte den Arbeiter aber umso mehr in Rage und die ganze Tonalität verschlechterte sich rapide. Worauf Tom mal ein paar Schritte nach vorne trat, in jedem Falle bereit einzuschreiten! Jedoch konnte jegliche grössere Auseinandersetzung oder gar Blutvergiessen vermieden werden, da in diesem Moment ein weiterer Anwohner “die Bühne” betrat, und dann auf verständliche und freundliche Weise der Berner Delegation erklärte, weshalb Sie hier nicht erwünscht seien, und dass Sie doch jetzt bitte gehen sollen. ---kicked-out spot 2. Glück im Unglück für unsere 3 Freunde, finden sie doch keine 400m weiter stadteinwärts einen anderen Platz um sich auf ihren Skateboards zu vergnügen! Eine grössere Treppe, welche auf der Seite mit einer breiten (& befahrbaren) Kante versehen ist. Das ganze in mitten von feinstem Boden,
Retour vers la gare ; pour rester dans l’esprit de la journée, Tom & G.I.Jey achetèrent une «somptueuse » Amsterdam Maximator 11.6%… Ils durent la mélanger à du thé glacé pour essayer d’en venir à bout. Rien à faire. Arrivé à Berne, Tom raya Fribourg de sa carte. The Boss & G.I.Jey eux, pensaient déjà y retourner, mais pendant la fin de semaine, ou alors même de nuit, en espérant avoir cette fois plus de chance. Toutes les photos de cet article sont de Tomster... Merci!
Brunnen und verspiegelten Scheiben. Das eizige Problem war, dass es sich dabei um den Vorplatz einer Bank handelte. Einige Angestellte (und vielleicht der Security) schauen ihnen bereits verdutzt zu, bevor ihre Skateboards überhaupt den Boden berührten! Tom & The Boss waren bereits am gehen, als sie bemerkten wie es G.I. Jey juckte. Er wollte sein Glück versuchen, uns einen Ollie über die Treppe auf den Absatz machen. Am liebsten im ersten Versuch, und danach das Weite suchen. So nahm The Boss also seine Kamera hervor, und legte sich zusammen mit Tom (ausgerüstet mit einem Fotoapparat) auf die Lauer. Sie waren sich nicht einig ob es an der Freundlichkeit oder Faulheit der Bankangestellten lag, doch nach 50 Versuchen war die Sache endlich im Kasten. Ohne dazu aufgefordert zu werden, machten sich die 3 Freunde davon. Gleich um die Ecke fanden Sie den nächsten Spot. Die Zeit ihren Rucksack zu deponieren und auf ihre Bretter zu stehen, reichte aus um festzustellen, dass Sie auch hier nicht willkommen waren! ---kicked-out spot 3. Nun war die allgemeine Moral definitiv an einem Tiefpunkt angelangt. Und obwohl man hinter der Kathedrale Spots erspähen konnte, war für G.I. Jey und Tom die Zeit gekommen, um zurück zutreten. Die schönen Mädchen, der Hunger und der Durst (nach einem kühlen Bier) ergriff ihre Aufmerksamkeit. Während dessen versuchte sich The Boss an Bs Tailslides das Curb hinauf...G.I. Jey machte ein wenig den Paparazzi und Tom, nun Tom war schon am träumen... Auf dem Weg zum Bahnhof kauften sich G.I. Jey und Tom (um sich dem Gefühl des Tages zu ergeben) ein Amsterdam Maximator 11.6%... Es brauchte aber die Unterstützung von The Boss`s Eistee um die Sache zumindest degustierbar zu machen.Zurück in Bern verbannte Tom das Wort „Freiburg“ in den dunklen Abgrund des nicht-erinnerns. G.I. Jey & The Boss dagegen dachten bereits an eine Revanche... irgendwann an einem Wochenende... oder vielleicht sogar während der Nacht?! Damit es nicht wieder zu einer Kick-out Tour kommen sollte!
Dans son livre, “Le Meilleur des Mondes”, Aldous Huxley invente une dictature parfaite en tout point. Parfaite parce que les gens, mêmes esclaves, y sont heureux. Tout fonctionne grâce notamment à une drogue, le Soma, dont la consommation est imposée par l’administration. Le Soma rend heureux, enlève tout envie de se rebeller et le jour où dans le livre, quelqu’un décide de ne plus en consommer, tout le système s’écroule. Soma, dans sa version magazine, est toujours fortement conseillé, il rend heureux et à partir du moment où vous arrêtez de le prendre dans votre skateshop local, tout s’écroule... Salut les gars! Bon alors dites-moi, la dictature Soma se met bien en place comme prévu? Fredd : Comme prévu oui, c’est-à-dire tranquillement, mais sûrement. On attend encore un peu avant d’écraser définitivement la concurrence… C’est pourtant une bonne dose à chaque fois, mais personnellement je suis un peu en manque entre deux numéros... Fredd : On a été un peu long à distribuer les trois premiers numéros, ça devrait mieux aller maintenant. On va tenir notre rythme de un numéro tous les deux mois. Si tout se passe normalement… Tricks RIP, Freestyler RIP, Chill RIP, Simili RIP... Les magazines de skateboard tombent comme des mouches, et vous, vous en lancez un nouveau, alors que le géant Thrasher à déjà sa division Française bien implantée. Êtes-vous suicidaire? Tura : Je ne pense pas que tous ces magazines se soient suicidés, à part un ou deux… Et puis au contraire, avec leur disparition on s’est dit qu’on avait une chance ! Quant à Thrasher France, j’ai bien peur qu’il ait rejoint Chill et les autres, on nous avait offert un abonnement à chacun, mais ça fait des mois qu’on ne reçoit plus rien… Fredd : On est peut-être un peu Kamikazes en effet, mais en même temps, on a le sentiment que Soma a sa place en France. On ne marche sur les pieds de personne, ou alors pas trop fort, et on pense avoir une certaine légitimité du fait que nous sommes indépendants et toujours passionnés de skateboard, ce qui n’est pas le cas de tout le monde, j’dis ça, j’dis rien bien sûr. Quels sont les futurs plans de Soma? Tura : Les plans de Soma sont simples : faire que le magazine sorte, dans les temps. Ça me rappelle la question qu’une personne d’une grosse marque de chaussures m’a posée il n’y a pas si longtemps : « Quel est votre but pour 2008 ? ». J’ai trouvé la question bizarre, la réponse était assez évidente… Mais je crois qu’elle s’attendait à ce qu’on lui réponde « écraser les autres », « devenir riches » ou « niquer des meufs »… Parfois les gens ont du mal à comprendre qu’on n’ait pas d’ambition particulière, à part celle d’essayer de payer son loyer… Fredd : Moi c’est « niquer des meufs », rien à foutre du loyer à payer ! Va t-on avoir le droit à une vidéo un jour? Soma-Slave?! Tura : Moi j’y connais rien en vidéo… Fredd : On a tellement de choses à faire avant… ce serait bien oui. Un jour peut être ?
À 15 ans, même s’il était déjà bien trop tard, j’avais encore des espoirs de “carrière” dans le skateboard... 10 ans plus tard, même si je n’ai pas encore vraiment les pieds sur terre, puisqu’il sont toujours sur ma board, je me suis fais une raison. N’empêche qu’il m’arrive encore d’annuler des rendez-vous galant pour une session entre potes... Passons, ce que je veux dire par là, est que vous semblez vivre mon rêve: allier travail et passion. Quels conseils donneriez-vous aux gens comme moi, pour qu’on ait un jour la chance de travailler dans le milieu du skateboard? Tura : mmmh… Avant de vivre du skate comme « journaliste », il faudra gagner de l’argent ailleurs qui te permettra de te déplacer sur les événements, d’acheter du matériel performant, et surtout de payer les factures à la maison. Peu à peu, il est possible que cette activité (de journaliste amateur) prenne le pas sur l’autre… Donc ça c’est mon premier conseil : trouver un vrai travail. C’est comme ça que je m’y suis pris. L’avantage avec l’intérim, c’est que tu fais tellement des boulots de merde que ça te motive encore plus à te bouger pour faire autre chose. Ensuite, ça va paraître, stupide, mais il faut faire les choses avec le cœur… Un jour, après avoir reçu mes premiers chèques chez Sugar, je discutais avec Benjamin Deberdt, je lui disais que j’avais eu de la chance de l’avoir, ce poste. Et lui m’avait répondu que cette chance, je l’avais provoquée… Fredd : Bonne chance… Tiens, quelques questions TV-Réalité dans les bureaux de Soma... (Je ne pouvais pas m’empêcher, c’est trop tendance) - Comment se déroule une journée normale pour vous? Tura : Levé à 9 heures, devant mon ordinateur à 9h05… Il arrive que je passe des semaines à ne faire que du Word, du Photoshop, des e-mails et du téléphone ; et puis il y aura des semaines où je serai en tournée. L’avantage en tournée, c’est que tu peux skater tous les jours… Donc je ne sais pas s’il y a vraiment de journée normale… Fredd : Levé 7h30 dernier délai. Amener les petits à l’école à 8h30 et retrouver Tura sur Ichat vers 9h30… ça c’est pour le début. Puis je fais de l’ordinateur dans une pièce sans lumière ou presque. J’essaye aussi d’aller skater une heure ou deux au moins une fois tous les deux jours. A partir de 17 heures je reprends mon rôle de père modèle et vers 21 heures, si j’ai encore le courage je me remets sur mon ordinateur. Youhou ! - Vous buvez quoi devant votre ordinateur? Tura : Du thé noir, ou du thé vert, avec du sucre. Fredd : Du Silicium G5. - Quel genre de musique écoutez-vous? Tura : J’écoute à peu près la même chose qu’il y a 10 ans… Des trucs classiques comme Led Zep, The Smiths, Metallica, Bad Religion… Rien de très original, hein ? Fredd : Slayer pour m’endormir et Brassens pour me reveiller. Rarement le contraire. - Vous regardez des vidéos de skate de temps de temps? Tura : Oui. on m’envoie souvent des liens sur lesquels je n’ai qu’à cliquer… Alors je clique, je visionne et j’efface avant que ça ne prenne trop de place sur mon disque dur. Fredd : J’essaye d’en voir le plus possible, je vois les principales. J’aime bien taper des noms comme celui de Neil Blender sur Youtube…
- Vous lisez d’autres mag de skate? Tura : J’adore les mags de skate et les magazines en général. J’en reçois pas mal chez moi… Jusqu’à récemment je les gardais tous, mais j’ai commencé à en jeter… Mais j’en garde plus que je n’en jette… Souvent, d’ailleurs, je regrette de les avoir jetés… Fredd : Depuis que je ne bosse plus pour Freestyler je ne reçois plus les mags, alors je pique ceux de Tura. J’ai des milliards de mags chez moi, j’adore ça. Imaginez que les questions qui suivent sont comme dropper la méga rampe de Danny Way: Vous ne pouvez pas faire à moitié. Alors soyez franc ! (Et saignant si possible, c’est plus vendeur!) - “The life of Ryan Sheckler” sur MTV ça vous inspire quoi? Tura : Ryan Sheckler est un couillon. Fredd : Qu’il crève ! Sérieusement. - Votre avis sur le fait que Terry Kennedy (& Co.) soit sponsorisé par une marque de tuning? Tura : Il paraît qu’il ne gagne même pas d’argent avec ça, juste des roues pour sa bagnole… Donc pareil que Sheckler... Fredd : Pffff. Rien à foutre. - Chad Muska et Paris Hilton? Tura : Moi ça me fait marrer… Mais bon, je ne pensais pas que Muska tomberait si bas. Fredd : Pareil, il me fait marrer Muska. J’espère qu’il s’est bien amusé avec Paris et qu’il a pensé à filmer ses ébats… - Chet Childress (et son image “punk-rider” de pool) portant des Nike? Tura : Je pense que Nike fait une erreur en sponsorisant, Chet Childress, il ne sera jamais champion du monde. Fredd : Si ça peux le faire voyager et payer son loyer, je trouve ça cool, par contre je trouve lamentable qu’il s’en prenne à Consolidated. - Le skateboard aux J.O.? Tura : Je suis pour, complètement pour. Pour les tests anti-dopage, pour la marseillaise quand Bastien gagne, pour, pour, pour. Non, contre. Fredd : Pour voir Sheckler et Bob Burnquist chanter l’hymne de leur pays une main sur le cœur et la larme à l’oeil, non merci. Ok, c’est déjà fini, encore merci de votre temps, et longue vie à vous. Maintenant, place aux remerciements, etc, si vous en avez... Tschuss! Fredd : Merci à Dieu, mes parents et Ryan Sheckler. Tura : Merci à Allah, au maire de Reims et à la reine d’Angleterre. - Gabriel Engelke bs ollie par Bertrand Trichet - Tura fs rock’n roll layback par Bertrand Trichet - Tura fs blunt slide shove it par Paul Labadie - Fredd wallie par Tura