École Mazenod de Lyon (3e)

Graines de lecteurs RĂŠcits

École Mazenod - Classe de CE2

Histoires écrites par la classe de CE2 de l’école primaire Mazenod Avec l’aimable collaboration de Marie-Aude Murail

Les espionnes d’Italie

par Anissa

Les espionnes d’italie Chapitre 1 : Le groupe J’avais 28 ans quand l’aventure m’appela. Je me présente, je m’appelle Elisa Patterson. Je travaille à Paris, comme factrice, je livre des lettres.

En plus, j’ai un deuxième travail, celui d’espionne pour le groupe « flash ». Ce groupe aide les personnes à lutter contre les bandits. Mon chef s’appelle John Bianca.

Chapitre 2 : La rencontre Un jour j’ai reçu une lettre de mon chef. Voici ma mission : « retrouver le voleur qui a volé des tortues en or du musée du Capitole de Rome ».

Je suis partie pour Rome en avion. A l’arrivée, près d’un café, j’ai bousculé une jeune fille. Elle a renversé son café sur moi et s’est excusée.

Elle m’a dit son prénom : Alexandra. Je me suis présentée aussi.

– Je m’appelle Elisa, Elisa Patterson.

– Que fais-tu à Rome ? m’a demandé Alexandra.

– Je suis là pour le travail, et toi ?

– Moi je vais voir ma grand-mère.

– Peut-être à une prochaine.

Chapitre 3 : La mission J’ai couru jusqu’au musée National Romain car je savais que le voleur allait venir pour voler d’autres choses. J’ai passé la nuit devant le musée et je ne me suis même pas endormie. Surprise, j’ai retrouvé Alexandra ! Elle m’a raconté la vérité, elle aussi était une espionne. Nous avons entendu des bruits de corde. C’était le voleur. Je lui ai dit : « plus un geste, sinon j’appelle la police ». Nous avons sorti nos pistolets mais le voleur s’est enfui.

La nuit d’après, nous sommes retournées au musée car nous savions qu’il allait revenir. Gagné ! Il était là et nous l’avons attrapé. Nous lui avons sauté dessus et ligoté.

Chapitre 4 : Les amies Nous avons appelé la police et nous leur avons dit que le voleur avait volé les tortues en or et plein d’autres choses. Une voiture de police a emporté le voleur.

Je suis retournée à Paris pour aller voir John et lui dire que j’avais réussi ma mission.

J’ai invité Alexandra à Paris pour aller au restaurant. Elle aussi, elle m’a invitée chez elle dans sa grande maison avec piscine. Nous sommes devenues amies.

Brigitte et Frodon

par Anja

Brigitte et frodon Chapitre 1 J’avais 7 ans quand j’ai appris à construire des cabanes dans les arbres. Je m’appelle Brigitte. Je suis fille unique. Mes parents se disputent tout le temps, ça m’énerve et ça me rend en colère. Je pense qu’ils vont bientôt divorcer. Le jour de mon anniversaire, mes parents ont même oublié de me donner des cadeaux.

Ils travaillent beaucoup trop. Je ne vois presque jamais ma maman pour me faire des câlins.

Chapitre 2 Un jour, mes parents ont décidé de me confier à ma cousine Dorsley. Elle habitait à côté d’une forêt. Au début j’étais triste d’avoir quitté mes parents mais le temps a passé et je me suis habituée à ma nouvelle maison.

C’était comme si j’étais en vacances chez ma cousine. Je téléphonais à mes parents six fois par semaine. Je n’étais pas seule chez ma tante. Elle avait un fils qui s’appelait Frodon. Au début, il ne voulait jamais jouer avec moi.

Je ne comprenais pas pourquoi. Plusieurs fois j’ai essayé de lui parler, de lui proposer de jouer avec moi. Sans résultat. Il préférait dessiner dans son coin ou jouer tout seul dans la forêt. Bizarre.

Chapitre 3 Mais un jour, pendant que je jouais dans la forêt et j’essayais de faire un arc en bois, Frodon s’est approché de moi. Il me regardait bizarrement pour savoir ce que je faisais. Je crois qu’il était intéressé par mon arc. Il s’est mis enfin à me parler : – Je je je m’appepelle Frefredondon. J’aij’ai 7 ans ans ans et et dedemimi.

– Moi c’est Brigitte et j’ai 7 ans et demi comme toi.

Je commençais à comprendre pourquoi il ne voulait pas jouer avec moi. Il était très timide et il bégayait. Je lui ai proposé gentiment :

« Tu viens, on va grimper dans les arbres Frodon. » Il m’a répondu : « J’a jaririveve jeje vaisvais prendre mesmes zaffaires. » Quelques minutes plus tard, Frodon est revenu avec un marteau, des clous et de la ficelle. « Viviviens onon vava faire uune cacababane ! » Il m’a tendu des clous, un marteau et de la ficelle. Il m’a appris à construire ma première cabane.

Chapitre 4 Trois semaines plus tard, mes parents sont venus me chercher. Ils étaient tout heureux de me revoir. Ils m’ont annoncé que ça allait mieux entre eux et qu’ils n’allaient pas divorcer. Nous sommes rentrés chez nous.

Depuis que je suis retournée chez moi, Frodon vient me voir quelques jours pendant les vacances.

Le monde des dragons

par Constantin, Simon et Gaspar

le monde des dragons Chapitre 1 : la rencontre J’avais neuf ans quand l’aventure m’appela. Je m’appelle Maxime. Avec mon frère jumeau Max nous étions en vacances en Espagne. Nous sommes partis à la plage. Nous avons beaucoup joué dans le sable à construire des tunnels, des châteaux. Nous nous sommes éloignés de plus en plus de nos serviettes et de nos parents.

Nous avons vu une grotte près de la plage. J’ai dit : « Allons voir la grande grotte ». « D’accord » a répondu mon frère. « J’ai pris la lampe de poche ».

Nous avons couru jusqu’à la grotte. Il faisait très froid et très sombre. Il y avait beaucoup de bruits bizarres. Nous nous enfoncions de plus en plus dans la grotte. Tout à coup, le sol s’est mis à trembler. Il y avait une grosse ombre.

Horreur, c’était un dragon ! « Qu’est ce qu’on fait ? » a hurlé Max. On était là, plantés comme des piquets. « Des hommes ! » a crié le dragon.

– Bonjour, ai-je répondu très timidement.

– Fuyons, m’a chuchoté Max. – Non ! Je veux faire sa connaissance !

– Comment vous appelez-vous ? a dit le dragon.

– Je m’appelle Maxime et mon frère Max. – Acceptez-vous de m’aider car je suis perdu?

– Oui, j’ai dit.

– T’es fou ! a dit Max. – Vous allez m’aider à retourner dans monde.

Chapitre 2 : le vol Max n’en revenait pas que j’accepte si facilement. « Alors montez sur mon dos, je m’appelle Léon. » On est monté sur son dos, il y avait plein d’écailles lisses.

Léon s’est envolé dans les airs. Nous avons indiqué à Léon où se trouvait le Nord.

Au bout d’un moment, Max a dit : – J’ai envie de vomir.

– Il faudra atterrir près du château dans la forêt, nous a informé le dragon.

Nous avons atterri. J’ai demandé à Max : – Tu as pris de la nourriture ?

– Oui, des sandwichs et des tartines de miel.

– Il faudra que vous dormiez le jour, a déclaré le dragon.

– Pourquoi ? a demandé Max. – Parce que les dragons dorment le jour et volent la nuit.

Au lever du soleil, nous nous sommes posés pour dormir près d’un château en ruine, en haut d’un arbre.

Chapitre 3 : le dragon doré Sous le château en ruine vivait un dragon doré beaucoup plus grand que Léon.

– Cireur de cuirasse viens-ici ! a tonné une grosse voix.

– Oui maître, a répondu un nain.

Tout à coup, un aigle géant aux yeux rouges est arrivé avec un nain sur le dos.

– J’ai des nouvelles, maître, a crié le nain.

– Lesquelles ? a demandé le dragon doré.

– J’ai vu un petit dragon en haut d’un arbre avec deux enfants.

– Où vont-ils ? a hurlé le dragon doré en se léchant les babines.

– Je ne sais pas.

En haut de l’arbre, Léon dormait mais pas nous.

– Je n’ai pas envie de dormir, a ronchonné Max. Nous avons senti un tremblement. Léon s’est réveillé en sursaut et nous avons vu arrivé un grand dragon doré qui faisait 20 mètres.

Léon a crié : « vite montez sur mon dos pour nous échapper ! » Nous nous sommes envolés mais l’aigle géant nous barrait le passage. Le dragon doré a craché du feu et nous l’avons évité de justesse.

Léon a dit : – Vous avez une lampe de poche ?

– Oui, ai-je répondu.

– Allumez-la et visez les yeux du dragon doré.

J’ai visé les yeux du dragon qui remuait la tête. Aveuglé, le dragon doré est reparti. Léon a lancé des flammes sur les ailes du dragon qui est tombé dans le vide et a produit une énorme explosion. L’aigle et le nain se sont enfuis.

Après cette terrible bagarre, Léon nous a ramené sur la plage et il est retourné dans son monde. Nos parents très inquiets, étaient très contents de nous retrouver. À suivre

La valise magique

par Djoar et Nessrine

La valise magique J’avais douze ans quand l’aventure m’appela. Je m’appelle Lucie.

Ma mère voulait me faire réciter ma poésie et je ne voulais pas. J’ai couru dans le couloir et mon père m’a bousculée et j’ai cassé le vase qui avait le plus de valeur.

Mon père m’a grondée et ma mère m’a punie et envoyée dans ma chambre.

J’étais déçue et en colère. J’ai décidé de faire une fugue. C’était dangereux mais je n’avais pas le choix. Alors je me suis enfuie par la fenêtre.

Une fois dehors, j’ai couru jusqu’au parc d’Amity. J’ai trébuché et je suis tombée.

Une fille est venue et elle m’a demandé :

– Tu t’es fait mal ?

– Non ça va, ça va ! Je saigne un peu au genou.

– Tiens un pansement.

Nous nous sommes assises sur un banc près du lac. Je lui ai demandé : – Comment tu t’appelles ?

– Je m’appelle Yasmine.

– Et moi je m’appelle Lucie.

– Tu veux être ma copine ?

– D’accord.

– Yes !

Yasmine m’a demandé : – Si on allait jouer chez moi ?

Nous sommes allées chez elle pour jouer au Monopoly. Yasmine a gagné.

J’ai demandé à la mère de Yasmine si je pouvais dormir chez eux. Sa mère a téléphoné à mes parents pour leur demander si je pouvais dormir une nuit.

Ils ont accepté. Je suis remontée dans la chambre de Yasmine. Elle m’a dit qu’elle voulait me montrer quelque chose. Elle a sorti une valise bizarre avec beaucoup de dessins représentés dessus.

J’ai dit : – Elle est bizarre cette valise ?

– Oui elle est magique, mais c’est un secret, ne le dis à personne.

– D’accord, à quoi elle sert ?

– Elle sert à faire apparaître des objets.

– C’est génial, je voudrais un vase pour remplacer celui que j’ai cassé.

– Dessine-le sur une feuille et mets-la dans la valise.

J’ai dessiné le vase le mieux possible et j’ai mis la feuille dans la valise.

J’ai ouvert la valise et j’ai trouvé le vase en bon état.

Nous avons mangé un bon repas et nous sommes allées dormir.

Le lendemain je suis repartie à la maison. Mes parents étaient fous de joie de me retrouver mais en même temps en colère car j’avais fait une fugue.

J’ai donné le vase à mes parents et ils m’ont demandé : – Où as-tu trouvé ce vase ?

– C’est ma copine me l’a donné.

Depuis cette histoire, je vais souvent au parc d’Amity pour retrouver Yasmine ma nouvelle amie.

Slipo l’extraterrestre

par Eliott

Slipo l’extraterrestre Partie 1 Quand j’avais huit ans, il m’arrivait déjà des choses bizarres. Je vais vous en raconter une.

Je suis rentré de l’école. En rentrant dans ma chambre, j’ai vu un extraterrestre qui jouait à un jeu vidéo sur mon lit. Il était petit avec des gros yeux ronds et deux antennes sur la tête. Il avait des poils verts sur le corps. C’était une espèce de grosse boule. Il me regardait sans rien dire et puis il s’est mis à parler : « cokammentka tuka akappelleka ? » À mon tour de le regarder.

Je me suis dit qu’il fallait lui donner un nom. Slipo ferait bien l’affaire. Slipo a recommencé à parler. Je ne comprenais rien.

Venait-il d’une autre planète ? Que voulait-il me dire ?

Il m’a montré une forme ronde sur le toit de l’immeuble voisin : c’était son vaisseau spatial. Slipo a commencé à clignoter en changeant de couleur. Il sautait partout dans ma chambre. Il s’est mis à toucher mes petits soldats... Et ils ont pris vie !!! Ils ont sauté par la fenêtre en parachute.

Je les ai suivis dans la rue en courant pour échapper à Slipo. J’ai trébuché. Je suis revenu à la maison. Slipo s’était calmé. Il était redevenu vert. Mes parents sont rentrés alors j’ai vite caché Slipo dans le placard.

Partie 2

Le lendemain matin, j’ai entendu un « dzzzzzzzzzzzzz », j’ai ouvert les yeux.

J’ai vu Slipo par la fenêtre. Il était en train d’essayer de réparer son vaisseau spatial avec des outils bizarres.

Il s’est mis à chanter : « Quandka leka sokaleilka s’éteindraka, lalalaka,, nouska rigoleronska, nouska chanteronska. » Je me suis rendu compte que sa langue était facile. J’ai traduit : « quand le soleil s’éteindra lalala, nous rigolerons, nous chanterons. »

J’ai fait signe à Slipo de descendre dans la rue.

Je suis descendu avec ma batmobile en playmobil dans les mains. Il l’a touchée.

Elle s’est mise à grandir et nous sommes montés dedans. J’ai fait voler la batmobile ! Nous avons fait le tour du monde en une heure ! Après ce chouette voyage, nous sommes revenus à la maison.

Partie 3 Mes parents étaient en train d’écouter la radio. Quand ils ont vu Slipo, ils ont pris peur. Ils m’ont dit de le renvoyer chez lui tout de suite. Slipo s’est mis en colère et a craché un liquide super acide qui a troué le mur de la cuisine. Puis Slipo m’a donné un traducteur universel et son numéro de téléphone. Ensuite il est remonté dans son vaisseau spatial. Il m’a dit au revoir et il est parti. Je me suis demandé si nous pourrions nous revoir dans le futur.

Une rencontre en Égypte

par SalomĂŠ et Emma

Une rencontre en égypte C’est dans ma treizième année que je suis partie en vacances avec ma mère en Egypte. Je m’appelle Mariam et j’adore voyager. Ma mère m’a demandé : – Tu sais qu’on doit partir demain en vacances en Egypte ?

J’ai répondu : – Oui maman, ne t’inquiète pas, j’ai déjà préparé mon sac, enfin ma valise !

J’étais très contente d’aller en Egypte. Depuis toute petite, je rêvais d’aller en Egypte.

Nous sommes allées à l’aéroport. Dans l’avion, j’avais très mal au ventre alors maman m’a donné de l’argent pour demander un sandwich. Le voyage a duré longtemps, j’étais impatiente d’arriver. Nous sommes allées dans l’hôtel, c’était comme une villa ! Magnifique ! Après avoir rangé mes affaires, j’ai dit à ma mère : – Maman, je vais aller me promener !

– Attends, t’as pris ton téléphone portable ? On ne sait jamais, si tu te perds ?

– Oui maman, ne t’inquiète pas !

– Tu as pris ton portefeuille ? Au cas où tu aurais une petite faim !

– Oui maman, j’ai treize ans ! Je ne suis plus petite !!!

Alors je suis partie dans le centre commercial. J’avais très envie de me faire une amie. J’ai vu une fille égyptienne, enfin je crois. Elle était assise sur un banc. Elle me semblait gentille. Je lui ai dit : – Bonjour …. Hello…

La fille m’a regardé bizarrement. J’ai continué : – Holla ... Buongiorno, mince, c’est de l’italien !

J’ai regardé dans mon dictionnaire : « Sabah el reir ! »

Alors j’ai fait des gestes. Après, elle aussi m’a fait un signe de main et elle m’a dit : – Ouna lia sia.

Comme une folle, j’ai répété : – Ounia sia ri a !

J’ai souri puis elle a rigolé. J’avais peut-être mal prononcé. Je me suis sentie ridicule.

Après j’ai dit : – Moi Mariam et toi, quel est ton prénom ?

Je ne savais pas comment dire, je perdais mes mots.

Puis elle m’a dit : -Isi, al….

Elle a mis sa main devant sa bouche. Et moi je l’ai regardée bizarrement.

Elle m’a demandé : – You tiliphine see ?

Je ne savais pas ce qu’elle voulait dire. Je crois qu’elle voulait mon numéro de téléphone. J’ai répondu : « 06 84 66 70 25 ».

Puis j’ai dit : – Gazi you tiliphine see ?

Isi m’a dit : – 07 90 69 24 21 ok !

Il fallait que je rentre avant que ma mère ne s’inquiète. Alors, je suis rentrée à l’hôtel.

Un peu plus tard, j’ai composé son numéro.

-Ho Isi !

Elle m’a répondu : – Salut Mariam, je dois te dire, je t’ai fait marcher. Je suis vraiment désolée mais je parle français.

– Quoi ! Je me suis ridiculisée pour rien, ça ne fait rien, je te pardonne.

– Merci. Je voulais te demander si tu étais d’accord pour passer du temps ensemble, pour mieux nous connaître ?

– Oui ok, on se rejoint au parc d’attraction à 11h ?

– D’accord.

Une heure après, j’ai rejoint Isi au parc d’attraction. Nous avons fait du train fantôme. Isi a eu très peur, comme moi, parce qu’on entendait des cris. Nous avons vu un monsieur avec une hache !!! Nous sommes sorties et il était déjà tard, il fallait retourner à l’hôtel.

Les jours suivants, avec Isi, nous avons visité les pyramides. Isi était en Egypte chez sa tante.

Le soir, je suis allée dans mon lit et j’ai repensé à tout ce que j’avais fait pendant les vacances. Je ne suis restée qu’avec Isi mais c’était trop bien. J’ai même des photos d’elle avec moi. Elle est devenue ma nouvelle meilleure amie. Nous avions échangé nos adresses.

Le lendemain matin, je suis allée voir Isi mais elle n’était plus là. J’étais trop énervée, en même temps j’étais triste, je pleurais.

J’étais en colère et j’ai décidé de l’appeler mais son téléphone ne répondait pas.

Nos vacances étaient terminées. Avec ma mère, nous sommes rentrées.

J’étais triste de n’avoir pas pu dire au revoir à Isi mais en rentrant à Paris une lettre m’attendait : « Bonjour Mariam, désolée je suis retournée en Géorgie rapidement. J’ai un nouveau petit frère qui s’appelle Lazaré. Il est bien mignon. Ne t’inquiète pas, nous resterons meilleures amies pour la vie !!!! Écris-moi vite ! » J’étais très contente de recevoir des nouvelles d’Isi. Moi aussi je lui ai écrit : « Salut Isi, merci de m’avoir écrit.

Je vais bien. J’espère que tu pourras venir me rendre visite.

J’espère qu’on restera meilleures amies pour la vie ! »

Le coquillage rose

par Gracia et Sara

Le coquillage rose C’est dans ma neuvième année que j’ai rencontré une fille qui est devenue depuis ma meilleure amie. Je m’appelle Elsa et je suis allée en vacances au Portugal avec mes parents. Le matin, j’allais souvent faire du shopping avec ma maman et l’après-midi j’allais à la plage.

Un après-midi, je ramassais des coquillages sur la plage. Tout à coup, j’ai voulu prendre un coquillage rose et une fille a voulu ramasser le même que moi.

J’ai dit :

– Oh, pardon mais je l’ai trouvé avant !

– Tiens prends-le.

Je me suis présentée : – Bonjour je m’appelle Elsa et toi ?

– Moi je m’appelle Anaïs.

– Je suis en CE2 et toi ?

– Moi aussi je suis en CE2, c’est drôle !

– Tu viens d’où ?

– Je viens de Villeurbanne.

– Moi aussi c’est drôle !

– Allons jouer ensemble.

Nous sommes devenues amies.

Ensemble nous avons fait du shopping, nous avons dansé la samba sur la plage, nous avons mangé des glaces...

À la fin des vacances nous avons fabriqué deux colliers d’amitié. Nous avons cassé le coquillage rose trouvé au début des vacances en deux parties. Nous avons enfilé le bout de coquillage dans une chaîne. Nous avons chacune gardé ce morceau de coquillage autour du cou : souvenir de notre amitié.

Les vacances se sont terminées trop vite. Anaïs est rentrée chez elle et moi je suis retournée à Villeurbanne. Dommage nous n’avions pas échangé nos adresses.

Trois ans après ces vacances inoubliables, je suis rentrée en 6ème au collège.

Devinez qui j’ai retrouvé ? Anaïs, elle avait toujours le collier d’amitié. Nous étions folles de joie de nous retrouver.

Puis nous sommes allés au cours de mathématiques.

Drôle d’anniversaire

par Hanaé et Nihel

drôle d’anniversaire Chapitre 1 J’avais 10 ans, presque 11. C’était le premier avril, le jour de mon anniversaire. Je voulais avoir des cadeaux mais pas des farces ni des poissons d’avril. Je suis allée voir ma mère qui était dans le jardin en train de discuter avec une amie : – Maman, maman !

– Oui, ma chérie ?

– Quels cadeaux allez-vous m’offrir ?

Elle ne m’écoutait pas vraiment, elle parlait à sa copine. Fâchée, je suis allée voir ma grande sœur qui était en train de regarder la télé dans le salon.

– Douha, tu n’aurais pas oublié quelque chose de spécial aujourd’hui ?

– Non, mais laisse-moi regarder la télé tranquille !

Même Douha avait oublié mon anniversaire.

Je suis allée dans ma chambre, énervée et triste. Je ne savais plus quoi faire. J’ai pris mon journal intime pour écrire ma colère.

Chapitre 2 Au bout d’une heure, mon père est venu me proposer d’aller au parc.

Mon père s’est installé sur un banc pour lire son livre.

Moi j’étais assise sur la balançoire et je jouais avec mon téléphone au jeu candy crush saga pour passer le temps.

J’ai vu une fille blonde avec des yeux bleus qui tournait autour de moi. Elle voulait voir mon jeu. Je lui ai dit : – Bonjour ! Je m’appelle Karima.

– Je m’appelle Sophie. Tu joues à quoi ?

Je lui ai montré mon téléphone. Je lui ai raconté que tout le monde avait oublié mon anniversaire. Elle a essayé de me remonter le moral. On a joué à loup touche-touche. On a mangé une glace. Puis mon père m’a dit que c’était l’heure de rentrer.

Chapitre 3 Je suis arrivée à la maison j’ai sonné plein de fois.

La porte s’est ouverte toute seule et j’ai crié : « ah !!!!!!!!!! »

Tout le monde a sauté sur moi. Toute ma famille était là, ils avaient décoré le salon. Ma mère a fait un gâteau à 14 étages.

Elle était forte en cuisine. Le gâteau était tout rose avec des coquillages, des paillettes dorées et des papillons et plein de chantilly.

On l’a mangé et on s’est régalé. On a mis ma chanson préférée de Bruno Mars et on a dansé. C’était vraiment le plus grand des cadeaux.

On est tous partis au cinéma on a regardé les nouveaux héros.

Je me souviendrai longtemps de cet anniversaire surprise.

L’aventure des Piraninj

par Jalel et Achille

L’aventure des piraninj Chapitre 1 J’avais quatorze ans quand l’aventure m’appela. Je suis un pirate, je m’appelle Adan. Je voyage dans le monde, en bateau, avec mes amis qui s’appellent Edouard et Oscar.

Un jour, nous sommes allés en Californie, c’était l’été. Nous nous sommes baladés dans la forêt. Un moment, je suis tombé dans une crevasse. J’y ai trouvé une bouteille avec une carte à l’intérieur.

J’ai appelé Edouard et Oscar et ils sont arrivés immédiatement. Nous avons déplié la carte. Elle indiquait où étaient cachées les armes suprêmes.

Il y avait une arme cachée dans un volcan, c’est le sabre de feu, mais le Minauteur de feu la protégeait.

Il y en avait une autre appelée : les deux chouriquennes de glace placée sur le mont Everest. Elle était gardée par le Chimamoute.

Et la dernière était cachée sur une montagne de foudre : les nounjacous de foudre. Zeus protégeait cette arme.

Chapitre 2 – Vous êtes prêts à partir en voyage à la chasse aux armes suprêmes ? a demandé Edouard.

– Regardez ! Sur la carte est écrit que ces armes ont des pouvoirs spéciaux et qu’elles serviront à vaincre le chef des méchants, appelé Garmadon, ainsi que son armée de soldats avec leur armure enchantée, a dit Oscar.

– On commence par le sabre de feu ? ai-je demandé.

Nous sommes allés jusqu’au volcan indiqué sur la carte. Une fois arrivés, nous avons grimpé très lentement.

– Attention au Minauteur de feu ! a dit Edouard.

– Je vois le sabre de feu, il est près du cratère.

– Attention Adan au Minauteur de feu ! a hurlé Oscar.

– Je suis toujours en vie ! J’ai le sabre de feu ! ai-je crié.

– Pousse le Minauteur dans le volcan ! a dit Edouard.

Chapitre 3 Nous avons continué notre voyage pour nous rendre sur le mont Everest.

Edouard a dit : - Venez, on va chercher les chouriquennes de glace.

J’ai crié : – Attention au Chimamoute.

– D’accord, ont répondu mes deux amis.

– Venez, j’ai trouvé l’entrée de la grotte, a dit Oscar.

Il a continué : – Je vois les chouriquennes de glace.

J’ai hurlé : – Prends-les Oscar, je m’occupe du Chimamout ! Hé Ho, Chimamout viens par ici !

Nous avons bouché l’entrée de la grotte. Nous avons réussi à prendre deux des trois armes suprêmes. Il restait à trouver les nounjacous de foudre.

Chapitre 4 Nous sommes partis sur la montagne de foudre. Zeus nous barrait le chemin.

Oscar s’est avancé le premier.

– Attention à sa foudre Oscar ! a crié Edouard.

Oscar a lancé les chouriquennes de glace sur Zeus sans savoir ce que cela allait faire. Un bouclier de glace est apparu.

Nous avons escaladé le sommet de la montagne pour prendre les nounjacous. Ils étaient drôlement légers.

Nous avions réussi notre aventure. Fatigués nous sommes rentrés dans notre bateau.

Chapitre 5 Il fallait affronter Garmadon.

– Je sais où se trouve la base des méchants, a dit Edouard.

J’ai répondu : – Allons-y vite.

Nous avons attaqué son armée. Le combat a été sans pitié. Avec mes deux amis, nous avions chacun une arme suprême.

– Glace ! a crié Oscar.

– Feu ! a crié Edouard.

Et moi : – Foudre !

A nous trois, nous avons vaincu Garmadon. Nous sommes devenus des héros.

Ma nouvelle vie Ă Barcelone

par LĂŠo, Kircho et Valentin

ma nouvelle vie à barcelone Chapitre 1 J’avais neuf ans quand l’aventure m’appela. Je m’appelle Tiago Béatrix. Mon petit frère s’appelle Timi. Je venais d’emménager à Barcelone. J’étais triste car j’avais quitté tous mes copains. Ils étaient restés en Argentine. Nous avions changé de pays à cause du travail de mon papa. Avec Timi, je jouais souvent au foot dans le jardin parce que j’adorais ça, c’était mon sport préféré.

Chapitre 2 Pour que je puisse me faire des amis, ma maman m’avait inscrit au club de foot de Barcelone. Pour mon premier jour au club, je me suis préparé. J’ai mis mes protège-tibias puis mes chaussettes. J’ai enfilé mon short, mon maillot et mes chaussures de foot avec crampons. J’avais le trac. Quand je suis arrivé, j’ai couru sur le stade. L’entraineur a sorti un ballon puis il a dit de faire 3 tours de terrain en courant. Je ne connaissais personne. Nous avons fait des matchs 5 contre 5.

L’entraineur nous a dit : « assez pour aujourd’hui les enfants » et nous sommes rentrés chez nous. A mon retour, Timi m’a dit : – Alors, ça s’est bien passé ton cour ?

– Oui mais je me suis fait mal au genou.

Ma maman m’a demandé : – Est-ce que tu as trouvé des amis ?

J’ai répondu : – Non pas encore.

Chapitre 3 Le lendemain, c’était mon deuxième jour d’entrainement. Je me suis levé et j’ai pris mon petit-déjeuner et je suis parti.

– Bonjour les enfants ! a dit l’entraineur. Aujourd’hui vous allez vous mettre à deux pour faire des passes et des jongles.

J’avais peur de me retrouver tout seul.

Soudain une personne m’a dit : – Bonjour je m’appelle Lorenzo et toi ? Veux-tu t’entrainer avec moi ?

J’ai bégayé : – D’accord.

Puis l’entrainement a continué. Nous avons fait connaissance. J’étais content, j’avais enfin trouvé un ami. Je suis rentré à la maison et j’ai invité Lorenzo à venir jouer dans mon jardin.

Chapitre 4 Le grand jour du tournoi est arrivé.

Nous sommes entrés dans les vestiaires. L’entraineur nous a donné les maillots.

J’ai retourné mon maillot : c’était le numéro 10 ! Sur le stade, j’ai demandé à Lorenzo son numéro. Il m’a dit qu’il était le numéro 9. Nous avons commencé le match. Au bout de 12 minutes de jeu, le score était toujours : 0 à 0.

Lorenzo m’a fait la passe.

Puis j’ai couru, j’ai driblé et j’ai marqué. L’arbitre a sifflé l’arrêt du match. L’équipe Atletico Madrid était déçue. Mais nous, nous étions contents. Nous avons gagné le tournoi. Lionel Messi nous a remis la coupe. C’était le plus beau jour de ma vie !

Le voyage Ă Londres

par MacĂŠo et Pierre

le voyage à londres J’avais neuf ans quand l’aventure m’appela. Je m’appelle Paul. J’habite en Allemagne. Mon père est allemand et ma mère française. Je suis parti en colonie de vacances à Londres, dans le quartier d’Abbey Street, pour apprendre l’anglais.

Il y avait des enfants de différents pays d’Europe. Je n’étais pas content d’être en colonie mais mes parents l’avaient voulu. J’étais énervé, je suis resté trois jours à ne rien dire. Et les autres enfants pensaient que j’étais muet.

Nous avons fait de l’escalade, du tennis et de l’athlétisme. J’étais toujours tout seul, je n’avais pas de copain. J’étais triste. Mes parents me manquaient. Je n’aimais pas ma chambre.

Un jour, nous nous sommes promenés dans un grand parc. Le parc s’appelait : Burgers park. Il pleuvait, il faisait froid. Je suis tombé dans une flaque de boue.

Un garçon m’a relevé. J’étais plein de boue. Nous avons vite couru pour rejoindre les autres.

Sur le chemin, j’ai fait sa connaissance. Il m’a dit : « je m’appelle Swann et je viens de Paris » et je lui ai répondu : « Guten tag, je m’appelle Paul ». Nous sommes devenus amis.

Ensemble, nous avons créé une bande secrète. Nous avons inventé un code : 56 – 40– 832– 94– 116– 191– 1 320– 208– 37.

Avec Swann nous avons construit une cabane dans la forêt à côté de la colonie.

Un soir nous sommes partis camper. Swann et moi, nous n’étions pas dans la même tente. J’avais un pot de colle vide dans ma poche.

J’ai mis un message secret dedans et j’ai donné le pot à Swann pendant le repas.

Sur le message était écrit : « RDV ce soir à 23h à la cabane secrète. » A 23 heures avec ma lampe de poche, je suis allé à la cabane secrète. Swann n’était pas là. J’ai attendu une heure avant que Swann n’arrive.

Puis nous avons cueilli des pommes pour les cacher dans le coffre que j’avais trouvé par terre et que j’avais mis dans notre cabane.

Le lendemain après-midi, des enfants ont voulu aller dans notre cabane et nous les avons bombardés de pommes. Nous avons bien rigolé. Au début du séjour je n’étais pas content mais à la fin je n’avais plus envie de partir.

Swann était devenu un mon meilleur ami.

Après deux semaines en Angleterre, je suis retourné en Allemagne. Swann m’avait donné son adresse mail. Nous avons échangé des messages. Je lui ai proposé de faire une colonie de vacances en Allemagne avec moi l’été suivant.

La nuit de l’horreur

par Maroin

la nuit de l’horreur J’avais neuf ans quand j’ai connu ma plus grande peur. C’était le jour d’Halloween.

J’étais avec mon ami François, tout allait bien. Je récoltais des bonbons en frappant à toutes les portes. Un peu plus loin, j’ai aperçu une maison noire entourée de sapins. Je pensais pourtant avoir fait toutes les maisons du quartier.

J’ai essayé d’ouvrir la grille mais elle s’est ouverte toute seule. Je me suis avancé et François tremblait de peur.

Dans le jardin nous entendions des bruits. Nous les avons suivis puis nous sommes arrivés vers une sorte de labyrinthe fait en buisson qui était devant le manoir. Il y avait du brouillard. Nous avons parcouru le labyrinthe qui menait à la maison.

La porte s’est ouverte toute seule. Nous sommes entrés, il y avait des meubles recouverts de bâches anti poussière. Il y avait une armure avec une hache grise.

Nous voulions nous enfuir mais la porte s’est refermée. François avait peur et moi aussi. Nous avons entendu un bruit et nous l’avons suivi. Nous sommes arrivés dans la cuisine avec des ustensiles de cuisine accrochés au plafond : des fouets, des couteaux… et tout le tralala. A côté d’une grande table, horreur, il y avait un ogre tout vert qui avait une armure comme un chevalier. Nous avons couru dans la chambre. Il y avait des vampires.

Le bruit continuait, comme des coups de marteau. Il semblait venir de la cave.

Avec courage, nous avons descendu l’escalier et là… en bas nous avons vu un humain vivant ! Un monsieur était en train de bricoler.

– Bonjour monsieur ! ai-je dit timidement.

– Ah des enfants, mais qui êtes-vous ?

– Nous sommes venus vous demander des bonbons. Aujourd’hui c’est Halloween.

– Eh bien, je n’ai pas de bonbon.

– Mais pourquoi il y a un vampire dans la chambre et un ogre dans la cuisine ?

– Je m’occupe de faire les décors de films d’horreur.

Le prochain s’appelle la nuit de l’horreur. Regardez, je suis en train de fabriquer une sorcière. Comment vous vous appelez ? Moi je m’appelle Coco.

– Je m’appelle Martin et lui c’est François. Nous avons eu vraiment peur en rentrant dans cette maison !

– Est-ce que vous voulez venir regarder le tournage du film ?

– Bien sûr mais nos parents doivent être d’accord.

– Rendez-vous demain à 11 heures devant la maison.

Je suis rentré chez moi avec François.

– Maman est-ce que…

– Mais où étais-tu ? Tu as vu l’heure ?

– J’ai ramassé des bonbons avec François et il y avait plus de maisons que prévu.

Est-ce que François peut dormir ce soir ?

– D’accord mais pas de bazar.

Le jour du tournage, nous avons retrouvé Coco.

Il nous a demandé : – Les deux enfants qui devaient faire le film sont malades ? Pouvez-vous les remplacer ?

– D’accord.

Nous avons passé deux semaines à faire le film. Nos parents étaient fiers de nous.

Je me souviendrai toujours de cette aventure.

Les dĂŠcouvertes de Jadina

par Mina

les découvertes de jadina Chapitre 1 Mon histoire se passe à Londres en 2014. Je m’appelle Jadina. J’ai les cheveux roux, les yeux marron et les lèvres très rouges. Ma peau est mate. J’ai 13 ans et j’aime la mode et la nature.

C’est la rentrée, c’est mon premier jour au collège. Je ne connais personne. Mes amis de l’école primaire ne sont pas venus dans ce collège. A la récréation, des enfants se moquent de moi car j’ai des cheveux roux. Ils m’appellent : « Jadina la carotte ». Je me retrouve toute seule à chaque récréation.

Chapitre 2 Un matin, je pleurais. Une fille est venue vers moi et m’a dit : – J’aime bien tes cheveux roux, c’est naturel ? Tu as fait une teinture ?

J’ai répondu : – C’est naturel, les autres n’aiment pas ma couleur. Ils ont les cheveux bruns ou blonds.

– Moi je m’appelle Blanche, veux-tu être mon amie ?

– Bien sur, ça serait un plaisir d’être ton amie. Moi je m’appelle Jadina. Tu es aussi en 6ème comme moi?

– J’ai sauté une classe, je suis en 5ème. Les autres disent que j’ai la peau trop blanche.

Chapitre 3 Maintenant j’ai une nouvelle amie, elle s’appelle Blanche, elle a les cheveux bruns, les yeux bleus et la peau très blanche.

Les mercredis, Blanche et moi, nous allons nous promener dans les bois. Un mercredi, nous avons vu un cheval sauvage. Il était affolé et paraissait blessé.

Il était coincé dans une branche. Nous avons essayé de le décoincer pour le soigner et le ramener à l’écurie du collège. Nous y sommes arrivées. Nous l’avons ramené et nous lui avons mis un bandage à la patte arrière droite. Le cheval très content a henni. Blanche m’a demandé : – Tu parles le langage des chevaux ?

Je lui ai répondu : – Oui mais c’est un secret.

Ainsi avec Blanche nous avons apprivoisé ce cheval. Il est devenu notre ami.

Voyage en AlgĂŠrie

par Sarah K

voyage en algérie Chapitre 1 J’avais 20 ans quand l’aventure m’appela.

Je m’appelle Rose. Je suis bronzée et j’ai les yeux verts, les cheveux marron. J’ai une sœur et deux frères. J’ai des copines qui s’appellent Solène et Amaëlle. Je suis à la fac. Au mois d’avril, je suis partie en Algérie pour apprendre l’arabe. À Alger, je partageais un studio avec Solen et Amaëlle.

Je me suis promenée dans le souk. J’ai vu des fruits, des légumes, des épices, des jolis tissus. Je me suis arrêtée pour manger un tacos. J’ai continué à me balader. Je voulais acheter 3 colliers identiques pour Solen, Amaëlle et moi. J’ai croisé mes deux copines qui devaient partir travailler. J’ai continué mon chemin et j’ai trouvé les colliers que je voulais.

Je suis rentrée au studio et le soir je leur ai donné leur cadeau.

Solène m’a donné un sac à main et Amaëlle m’a donné une place de cinéma et des boucles d’oreilles. Nous sommes meilleures amies depuis le collège alors nous avons fêté notre anniversaire de meilleures amies. Nous avons mangé un gâteau à la fraise.

Chapitre 2 Le jour suivant, je voulais aller à la piscine mais en chemin je me suis perdue.

J’ai pris mon portable pour avoir une carte mais je n’avais plus de batterie.

Quelqu’un m’a poussé et mon portable s’est cassé. J’étais fâchée. Un garçon est venu me voir. Il m’a dit : – Tu es nouvelle ici ?

Je lui ai dit que non et que je faisais des études en Algérie.

Je lui ai demandé : – Comment tu t’appelles ?

– Je m’appelle Ilyes et toi ?

– Je m’appelle Rose.

– Où vas-tu ?

– Je vais à la piscine mais je me suis perdue.

– Tu veux que je t’emmène à la piscine ?

– Oui avec plaisir.

Il m’a emmené dans une superbe piscine. Il m’a dit : « tu es belle ! » et il m’a donné son numéro de téléphone : 06 42 33 15 16.

Chapitre trois Le lendemain, avec le téléphone de Solène, je l’ai appelé pour aller au cinéma.

J’ai mis ma robe rouge avec des talons et mes nouvelles boucles d’oreilles. J’ai pris le sac qu’Amaëlle m’avait offert et la place de cinéma. Mes copines m’ont demandé où j’allais. Je leur ai dit que je m’étais perdue et que j’avais rencontré un joli garçon appelé Ilyes. Avec Ilyes, nous avons vu les nouveaux héros au cinéma. J’avais passé une super soirée.

Chapitre 4 Le jour suivant, je suis allée travailler. Mon professeur m’a dit que le stage se finissait bientôt. Avant de retourner en France, je suis allée chez Ilyes. J’ai frappé chez lui. Il m’a ouvert la porte. Nous avons parlé, mangé et à la fin il m’a demandé : « veux-tu devenir ma petite amie ? » Je lui ai dit oui.

Quatre ans plus tard, il est venu habiter en France et on s’est mariés. Nous avons eu un petit garçon : Malek.

Le trésor caché au Brésil

par Sidi Omar

le trésor caché au brésil Chapitre 1 J’avais 9 ans quand l’aventure m’appela.

Avec ma sœur Elisa et mon chien Max, nous sommes allés à la bibliothèque comme tous les mercredis. Nous adorons les livres d’aventure. Nous avons lu un livre qui parlait d’un trésor caché au fond d’une grotte dans la forêt au Brésil.

Une carte expliquait où se trouvait le trésor. Nous avons demandé à nos parents si nous pouvions partir à sa recherche. Ils étaient d’accord.

Chapitre 2 Nous sommes partis au Brésil en avion avec mon oncle qui est pilote. L’avion est tombé dans la forêt pas très loin de l’endroit où se trouvait le trésor. Mon oncle a réussi à atterrir sans s’écraser. Nous étions perdus mais grâce à la carte nous avons réussi à nous repérer. Nous avons marché pendant une heure. Nous avons vu une grotte. Dedans, il faisait noir. Nous avons pris une allumette. Nous avons trouvé le trésor. Il était sous les pattes d’un jaguar. Nous avons essayé de le prendre.

Le jaguar s’est réveillé et il s’est bagarré avec Max. Pendant que le jaguar se bagarrait avec mon chien, j’ai pris le trésor. Il fallait une clé pour ouvrir le coffre.

Nous sommes sortis de la grotte.

Nous avons essayé de trouver la clé. La carte indiquait un arbre à côté de la

grotte. Nous avons cherché dans l’arbre, sous les feuilles.

Il y avait un serpent sur l’arbre. Nous avons pris la clé pendant que Max a bloqué le serpent.

Chapitre 3 Nous sommes partis rejoindre l’avion. Nous sommes tombés dans la boue. Il pleuvait. Nous avions la carte pour retrouver l’avion. Nous avons vu une petite hélice qui dépassait et nous avons avancé dans la forêt. Nous avons retrouvé notre tonton qui faisait du yoga.

Chapitre 4 Nous sommes rentrés à Lyon avec le trésor. Dans le trésor, il y avait des pièces d’or, des colliers et des bagues en or. Il y avait aussi des diamants. Nos parents étaient fiers de nous.

Ils nous ont dit que nous ne pouvions pas garder un tel trésor alors nous sommes allés le donner au musée des Confluences. Comme récompense, les responsables du musée nous ont donné 100 000 d’euros.

Nous avons partagé la récompense : 50 000 euros pour ma sœur et 50 000 pour moi. Nous les avons mis dans notre tirelire. Nous avons vécu heureux très longtemps.

La vengeance de Robotron

par Wassin, Ramy et Younes

la vengeance de robotron Chapitre 1 J’avais vingt ans quand l’aventure m’appela. Je m’appelle ROBOTRON, et j’ai été fabriqué en 49 002. J’habite sur la planète Robotik. Je suis à moitié humain et à moitié robot. J’étudie dans une école militaire. Le chef a donné des yeux laser, des fusils laser et des réacteurs à tous les étudiants.

Mon père qui s’appelle Destructor a été désactivé pendant la dixième guerre mondiale par un des robots anglais. On les appelle « les écrabouillés du circuit ».

Ce sont nos ennemis. Notre pire ennemi c’est Dévastator. C’est lui qui a désactivé mon père.

Ma mère s’appelle Robota. Elle travaille dans un magasin de vaisseaux et c’est la patronne.

Chapitre 2 Depuis un mois, avec mes amis de l’école militaire, j’ai créé une bande pour tuer Dévastator. Nous avons rassemblé des vaisseaux de guerre, des fusils, des pistolets laser, et des réservoirs d’eau pour brouiller leurs câbles. Nous nous sommes entrainés nuit et jour pour préparer une grande attaque contre Dévastator.

Chapitre 3 C’était le jour de la guerre, tout le monde criait : « on va les exploser ! ».

Moi j’ai dit : « bot bip dop chica top ». Je traduis : « je veux exploser les écrabouillés du circuit ! ». Avec ma bande, nous avons pris toutes les armes de notre réserve. On a pris les vaisseaux de guerre, les fusils, les pistolets laser. Mes amis et moi sommes allés sur le champ de guerre. J’ai vu Dévastator. J’ai crié : « À l’attaque ! ». Nous l’avons encerclé, attrapé puis nous l’avons désactivé.

Chapitre 4 Nous sommes allés en Angleterre pour retrouver mon père et le réactiver. Sans se faire repérer par les gardes, je l’ai retrouvé dans une cellule et je l’ai emporté dans une valise. Je suis vite sorti et j’ai réactivé mon père. J’ai rebranché les câbles. Nous nous sommes tous embrassés. Nous avons eu une récompense : c’était des nouvelles armes et des boulons en or.

16 classes primaires ont lu, rencontré et écrit avec : Sophie Chérer, Aurélien Loncke, Marie-Aude Murail, Claire Ubac Retrouvez les histoires intégrales sur www.villagillet.net

Assises Internationales du Roman

www.atelierpoisson.ch / photo © Adrénaline élastique

Avec les Éditions Célestines : http://petits livres.free.fr