Carnet de voyage Bruxelles

VISITONS BRUXELLES...

22 OCTOBRE-28 OCTOBRE 2017

- ART & DESIGN ATONIUM MUSEUM• Tom Paturel

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- BRASSERIE & HOTEL DE BELLEVUE • Hugo Pedrosa

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- ATOMIUM• Renan Daviaud

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- MINI-EUROPE • Chadi Sleilati

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- MILLENIUM ICONOLAST MUSEUM OF ART • Tiguidanké Keita

- SERRES ROYALES DE LAEKEN • Pauline Virolleau

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- VANHARENTS ART COLLECTION • Louise Cousseau

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- BASILIQUE DE KOEKELBE • Loïc Durassier

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- SAVONNERIE HEYMANS • Laure Gombert

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- CHARLES MALIS • Malvin Boutier

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- LES ÉGOUTS DE BRUXELLES • Anne-Lise Sevignon

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- GARAGE CITROËN• Sarah Newen

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- CURO-HALL • Cédric Michel

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- PARC DE LA SENNE • Fabio Previtali

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- ABATTOIRS D’ANDERLECHT • Camille Doll

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- LES HALLES DE SCHAERBEEK • Clémence Duault

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- PARC REINE VERTE • Charles Bastide

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- DUPONT DUPOND • Gonzalo Ortiz

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- LE BOTANIQUE • Arthur Claux

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- MUSÉE DE LA BANDE DESSINÉE • Lea Carresi

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- PASSAGE DU NORD • Lou Violleau

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- BOZAR • Adi Ibrahimovic

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- « HUMANS OF BRUSSELS» • Madeline Delage

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- OLD ENGLAND • Baptiste Dolivet

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- MUSÉE MAGRITTE • Simon Grelet

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- SQUARE BRUSSELS MEETING CENTER • Ilona Touchard 19 - GALERIES ROYALES SAINT-HUBERT• Faton Duraj

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- GRAND PLACE • Lauriane Chambaud

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- PALAIS DE LA BOURSE • Vincent Cainjo

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- HALLES SAINT-GÉRY • Magdalena Romay

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- MAD BRUSSELS • Elliot Beuvelet

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- LA BELLONE • Thibaut Jacques-Sermet

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- BRONKS YOUTH THEATRE • Sergio Soto Camargo

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- ‘CHEVAL NOIR’ • Annaëlle Terrade

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- SQUARE DES URSULINES • Nicholas Sandquist

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- EXTENSION DES BRIGITTINES • Ikram Sebti

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- PLACE DU JEU DE BALLE, MAROLLES • Morgan Brisoux

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- CITÉ HELLEMANS • Axel Perraud

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- LA PORTE DE HAL • Niko Gaboriau

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- LE BLOMME-WIELS MUSEUM • Sidonie Horvais

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- HOTEL TASSEL • Alexandre Sicotte

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- MUSÉE HORTA • Marta García Graf

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- LA MAISON DE VERRE• Esther Donikian

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- VILLA EMPAIN • Wissam Bousouf

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- L’HOTEL SOLVAY • Eva Alonso

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- PLACE FLAGEY • Adrien Disson

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- MUSEUM DES SCIENCES NATURELLES • Kalil Diallo

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- PARC LEOPOLD • Romy El Boustani

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- PARLEMENT EUROPÉEN • Khalid Fares

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- MAISON DE L’HISTOIRE EUROPÉENNE • Korblé Koné

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- PARC DU CINQUANTENAIRE • Sarra Baccouche

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- EUROPA • Pauline Justin

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- BERLAYMONT BUILDING • Ieva Elizabete Brudne

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- HOTEL VAN EETVELDE • Tom Dematteis

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VISITONS BRUXELLES...

22 OCTOBRE-28 OCTOBRE 2017 UE-51.1 • La ville des possibles

Enseignants: Sabine Guth - Chérif Hanna - Michel Bazantay - Barbara Chenot - Saweta Clouet - Jacky Foucher - Mark Lyon

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ART & DESIGN ATOMIUM MUSEUM

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John Portman 1975 Place de Belgique 1,1020 Bruxelles 5.000 m²

Le musée est accessible tous les jours de 10h à 18h à l’exception du mardi.

L ’ A D A M est le nouvel espace muséal de l’Atomium. Près de 5000 m² dédiés au design et à l’art

sur le plateau du Heysel et qui abrite l’unique collection du Plasticarium. Il est implanté dans l’ancien Trade Mart, un édifice méconnu de l’architecte John Portman et qui constituait en 1975, l’un des plus vastes halls d’xposition au monde.

EXPO PERMANENTE : PLASTICARIUM

La collection s’expose sur près de 1.500 m² dans une scénographie sobre.

Cette collection est l’œuvre d’un passionné, Philippe Decelle. Fan d’objets en plastique, il a accumulé plusieurs

milliers de pièces datant de l’utopie du tout-plastique (début des années 1960) au postmodernisme en passant par le popart.

Délaissant les associations thématiques et chronologiques, la scénographie s’articule autour de 7 thèmes auxquels s’ajoute un cabinet de curiosités.

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Le nouveau projet architectural et scénographique a été conçu et réalisé par le bureau Lhoas & Lhoas Architectes qui s’est adjoint les compétences de Thierry Belenger , spécialiste du design du 20e siècle et d’Alexandra Midal historienne du design.

DES EXPOSITIONS TEMPORAIRES

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Près de 1.000 m² sont quant à eux destinés à accueillir des expositions temporaires sur l’art et le design du XXème et du XXIème siècle.

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ATOMIUM André et Jean Polak 1958 Square de l’Atomium, 1020 Bruxelles

Ouvert tous les jours de 10:00 à 18:00.

A 5 minutes à pied de la station de métro Heysel / Heizel (ligne 6)

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ORIGINE :

L’Atomium a été construit pour l’exposition universelle de 1958 qui se déroulait à Bruxelles.

FORME ET ASPECT :

C’est un édifice à mi-chemin entre la sculpture et l’architecture qui culmine à 102 m. Son acier de construction pèse 2 400 tonnes. Il est devenu, au même titre que le Manneken Pis et la Grand-Place, un symbole de la capitale de la Belgique.

Il se compose d’une charpente d’acier portant neuf sphères

reliées entre elles et revêtues, à l’origine, d’aluminium.

Les sphères ont un diamètre de 18 mètres et pèsent chacune environ 250 tonnes.

Symboliquement, l’Atomium incarne l’audace d’une époque qui a voulu confronter le destin de l’Humanité avec les découvertes scientifiques.

L’Atomium a été totalement rénové entre 2004 et 2006 pour un montant de 27 millions d’euros.

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MINI - EUROPE

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Bruparck 1989 1020 BRUXELLES 24.000 m² Ouvert tous les jours de 10h00 à 18h00 Proche station métro Houba-brugmann

minieurope.com

L’EUROPE EN Q U E L Q U E S HEURES… UNE E X P É R I E N C E UNIQUE !

Mini-Europe est avant tout une « invitation au voyage ».

Le Carillon de Big Ben, les Gondoles devant le Palais des Doges, la Grand-Place de Bruxelles, l’Acropole… un périple visuel,

sonore et animé parmi 350 monuments et animations miniatures que vous ne ferez nulle part ailleurs.

UNE FOULE D’ANIMATIONS. Laissez vous surprendre par l’éruption du Vésuve ou la chute du mur de Berlin. Encouragez le Toréador dans la Corrida de Séville,

assistez au décollage d’Ariane V, suivez le Thalys de Paris jusqu’à l’autre bout de la France et tant d’autres animations, tant pour les petits que les grands.

LE PLUS BEAU PARC MINIATURE D’EUROPE. Tous monuments reconstitués

les sont jusque

dans les moindres détails. Big Ben fait 4 m de haut. Avec ses 13m de hauteur, la tour Eiffel dépasse un immeuble de 3 étages ! Et pourtant tous les bâtiments sont à l’échelle 1/25ème.

L’hôtel de ville de Bruxelles est orné de 294 statues sculptées à la main… Le tout implanté dans un écrin de jardins miniatures d’une surface de 2,5ha.

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SERRES ROYALES DE LAEKEN

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Alphonse Balat 1874-1887 Avenue du Parc Royal 61, 1020 Bruxelles 14000 m²

Les serres peuvent être visitées que trois semaines par an (avril et mai). Vous ne pourrez donc pas les voir de l’intérieur mais n’hésitez pas à

aller voir l’extérieur Métro: 6-Stuyvenbergh Tram: 3,7-Araucaria 7,19-Centenaire Bus: 53-Serres Royales

En 1873, l’architecte Alphonse Balat conçoit pour le Roi Léopold II un complexe de serres qui complète le Château de Laeken, réalisé en style classique. Le complexe revêt l’apparence d’une ville de verre implantée dans un paysage vallonné.

Les pavillons monumentaux, les coupoles de verre, les larges galeries qui parcourent le terrain comme des rues couvertes, sont beaucoup plus qu’une anecdote sur les applications architecturales du fer et du verre

ou sur les petites serres de plantes exotiques. Ce que les Serres Royales expriment concerne l’architecture et, plus précisément, un grand programme de construction : celui du «palais de verre idéal».

Elles sont l’aboutissement des nombreux entretiens, lettres, ébauches et projets échangés entre l’architecte Alphonse Balat et le Roi Léopold II. Mais surtout, elles ont inspiré la nouvelle architecture belge de cette époque et leur rayonnement s’est propagé, avec

l’Art nouveau, à travers le monde entier.

L’EMBARCADÈRE

Construite en 1886-1887, la Serre de l’Embarcadère était destinée à accueillir les invités lorsque le Roi recevait dans le Jardin d’Hiver ou la Serre Salle à Manger.

Alphonse Balat et construit de 1874 à 1876, le Jardin d’hiver fut la première serre de l’imposante cité de verre qui allait surgir, en une trentaine d’années, dans le domaine de Laeken.

Les dimensions de cette serre ont permis la plantation de palmiers de haute tige, dont la plupart datent encore de l’époque du Roi Léopold II. Dès son achèvement, cette serre a été destinée aux réceptions

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royales.

LE JARDIN D’HIVER

par

C o n ç u l’architecte

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BASILIQUE DE KOEKELBERG

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Albert Van Huffel 1921 - 1970 1 Place de la Basilique, 1083, Ganshoren 7500 m² Eglise: 8h - 17 h Panorama: 10h - 16h Tarif panorama: 4€ par personne pour groupe de plus de 10 personnes

Métro 2 et 6, Station Simonis

La Basilique Nationale du Sacré-Cœur de Koekelberg est une église de style Art Déco, classée au patrimoine mondial de l’UNESCO. Elle est située sur les communes de Koekelberg et Ganshoren.

Elle achève la perspective du Boulevard Léopold II. En plus d’espaces de cultes, elle comporte

des musées, des espaces d’exposition et accueille des é v é n e m e n t s culturels.

UN LONG PÉRIPLE

Le projet naît à la fin du 19ème siècle lorsque le Roi Léopold II souhaitait créer un édifice religieux grandiose sur un promontoire à l’Ouest de Bruxelles.

Le premier projet

dessiné par Pierre Langerock, prévoyait un édifice de style Néogothique, inspiré de la “cathédrale idéale” de Viollet-leDuc. Après la première guerre mondiale, le coût du projet est revu à la baisse et par conséquent le style architectural.

Le nouveau projet est confié à Albert Van Huffel, architecte, en collaboration avec Paul Rome, ingénieur et Harry Elstrøm, sculpteur. Van Huffel décède en 1953, le projet est repris par Paul Rome. Les différentes parties furent consacrées au fur et à mesure.

UN ÉDIFICE PRÉCURSEUR

Le bâtiment est construit en béton armé coffré dans de la terracotta qui sert aussi de parement et de décoration.

Le plan est en croix latine. La façade Est est encadrée de deux tour assez minces et la croisée du transept est surmontée d’une coupole culminant à 93 m de haut.

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CHARLES MALIS MAMOUT 2016 38 Rue Charles Malis, Saint-Jean Molenbeek 460m² Ligne 49 & Arrêts Leroy Karrevelde

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L’objectif du concours était de transformer un ancien édifice industriel en un hôtel de ville comprenant une salle d’attente, 12 comptoirs et bureaux.

Le bâtiment existant faisait partie d’un complexe de production de cigarettes, largement détruit ces dernières années. Aujourd’hui, seulement deux volumes subsistent le long de la rue.

Chaque volume possède une structure de béton et une identité spatiale particulières, reliés par la façade ornementée de

briques et de pierre blanche.

La proposition prend avantage de l’existant pour insérer le programme dans la structure sans l’altérer. Le volume en shed devient l’entrée, rendant la fonction publique visible depuis la rue, tandis que la partie horizontale abrite les bureaux et comptoirs sur deux niveaux.

Pour montrer l’accessibilité du service public, la salle d’attente est conçue comme l’extension de la rue.

Les comptoirs sont alignés avec la structure et

offrent de la place et du stockage pour traiter efficacement les requêtes des citoyens.

Les bureaux, à

l’étage, sont liés aux comptoirs par une large circulation propice à la rencontre et aux connections visuelles créant un cadre de travail convivial. Bien que

la structure et les façade n’aient pas changé, le bâtiment a été rénové pour obtenir de bonnes performances énergétiques et un confort aux visiteurs et employés.

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GARAGE CITROËN

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M.- J. Ravazé, A. Dumont, M. Van Goethem 1933-1934 Place de l’Yser 7, 1000 Bruxelles 16.500 m² Dans les environs immédiats se trouve la station de métro Yser avec les lignes deux et six.

TRANSFORMATION DE L´INDUSTRIE EN CULTURE André Citroën, le fondateur de l´entreprise, tenait à mettre en scène ses voitures avec des bâtiments révolutionnaires et avait son service spécial, le «Service d’Architecture de la Société Citroën».

Les architectes belges Alexis Dumont et Marcel Van Goethem et l´architecte français Maurice- Jacques

Ravazé ont conçu le complexe de 16.500 m². Le bâtiment a été construit en 193334 et était l´usine automobile la plus grande et la plus moderne d’Europe avant la Seconde Guerre Mondiale.

L’architecture industrielle du bâtiment correspond à l’esprit moderniste de l’époque.

Principalement le bâtiment se compose d’acier, de verre et de béton.

L’ouverture, la transparence,

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la flexibilité, l’horizontalité, la fonctionnalité et la lumière ont joué un rôle majeur. La construction du garage a été très rapide parce que les pièces étaient préfabriquées en usine.

Le bâtiment se compose de deux volumes architecturaux.

La salle d’exposition face à la place d´Yser est composée d´une nef gigantesque et d´une façade vitrée.

Elle mesure 76 sur 17 mètres.

L e s gigantesques halls des ateliers de 13.000 m² sont situées au quai de Willebroek.

Toutes les opérations de fabrication s´effectuaient à l´intérieur du bâtiment.

Les voitures étaient y fabriquées.

Le bâtiment doit être transformé en un centre culturel, en partenariat avec le Centre Pompidou.

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PARC DE LA SENNE

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La compagnie du Paysage 2011-2016 - ...

Entre l’avenue de l’Héliport et la rue Masui Linéaire de 1,6 km Heures d’ouverture : -Du 1er mai au 30 août de 8h00 à 21h00 -Du 1er septembre au 30 septembre de 8h00 à 20h00 -Du 1er octobre au 30 mars de 8h00 à 18h00

-Du 1er avril au 30 avril de 8h00 à 19h00 Accès : Lignes Stib : 47, 58, 3, 62, 93 (arrêts : Jules De Trooz, Masui, Stephenson).

«Ce linéaire de parc situé en plein cœur du quartier Masui est aujourd’hui l’unique espace libre dont disposent les communes de Bruxelles et de Schaerbeek pour développer un espace public de référence dans ce quartier.

Cet espace « précieux » est destiné à devenir un espace de rencontre et de convivialité.

Ce projet, situé sur le lit de la rivière couverte de la Senne possède un double enjeu.

Il renforcera, par sa trame végétale actuelle l’identité du

quartier mais aussi le maillage vert régional de Bruxelles-Capitale reliant ainsi le quartier Laeken et le parc du 21 juillet.»

Pré a m b u l e

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de présentation, La compagnie du Paysage.

Ce projet semble intéressant par la relation qu’il crée entre la ville et la rivière. Couverte et refoulée, la senne refait surface. Son cours recouvert à laissé dans le tissu urbain des terrains inconstructibles, des vides, des traces.

Aujourd’hui ces vides sont réinvestis.

S’appuyant sur une forme singulière, le parc semble rendre à la ville un peu de ce qu’elle a perdu.

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LES HALLES DE SCHAERBEEK

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Gustave Hansotte 1865 22, rue Royale-Sainte-Marie, 1030 Scharbeek 3000m² De 12h00 à 13h00 et de 14h00 à 18h00 du mardi au dimanche.

Pour rejoindre la gare du Midi, ligne 2 ou 6 depuis l’arrêt

botanique (8 min).

Trams 25, 92,93 et bus 65-66 arrêt Robiano.

Les marchés couverts se développent à Bruxelles au milieu du 19e siècle.

La révolution industrielle, l ’ e x p l o s i o n démographique, un souci hygiéniste et l’instauration de nouveaux circuits commerciaux et de distribution en sont les causes principales.

En 1865, la commune de Schaerbeek construit ce premier marché; L’architecte communal Hansotte conçoit une structure de fer riveté qui attire les foules mais en 1898, l’édifice est ravagé

par un incendie qui le détruit totalement. Trois ans plus tard, en 1901, il est reconstruit à l’identique par Jaumot et Pirotte.

De nouveaux grands magasins voient le jour à Bruxelles et l’activité du marché couvert est en déclin jusqu’à être abandonné en 1920.

Jusqu’en 1960, les halles servent successivement d’entrepôt, d’atelier et de parking.

En 1971, la société coopérative accorde une option sur le terrain à une société immobilière, en vue de construire un complexe

immobilier à la place de l’ancien marché. Grâce à l’intervention de la Commission Française de la Culture de l’Agglomération bruxelloise (CCF) qui rachète le bâtiment en 1975, les halles échappent à la démolition.

Le 26 novembre 1996, les bruxellois redécouvrent à l’occasion d’une nouvelle inauguration, la magie spatiale

de la Grande Halle rutilante.

Ses volumes sans équivalent invitent aux fêtes, aux projets hors normes, aux aventures artistiques et humaines.

A côté d’une programmation traditionnelle, les Halles développent des temps atypiques sur de grands weekends et engagent des projets qui sortent du champ strict du spectacle vivant.

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PARC REINE VERTE

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Philippe Serck -ARBR architecture juin 2007 Rue Verte n°122 - Rue des palais n°42.

1060 - Schaerbeeck 5000 m² Ouvert de 8h à 20h Metro: Gare du Nord, Botanique Trams 92: SainteMarie, 25-93: Lefrancq

Restaurant ouvert de 11h30 à 16h du lundi au vendredi. Plats à partir de 5€.

Photo significative

Le parc Reine Verte est issu de la politique des contrats de quartier.

Situé dans la commune de Schaerbeek, il participe de la revitalisation de la zone entamée depuis le début des années 2000. implanté dans un cœur d’îlot très dense, l’architecte Ph. Serck a dû composer avec un terrain difficile. En effet, un dénivelé de près de 20m sépare la rue verte de la rue des palais.

Le parc propose aux promeneurs plusieurs parcours parsemés de terrasses aux

ambiances variées.

Dans l’allée centrale, l’architecte met en scène la descente vers le quartier bas en libérant la vue sur le paysage urbain.

Pour respecter une pente douce et praticable, le cheminement n’est pas rectiligne.

On découvre peu à peu, à travers les murs de gabions où s’accroche une végétation g r i m p a n t e , d i f f é r e n t e s p l a t e f o r m e s insoupçonnnées: jardins plus intimes ou terrain de sport collectif.

Depuis la rue des palais on peut accéder au

r e s t a u r a n t «Cannelle» né d’un projet d’économie sociale d’insertion.

C e t t e réalisation est un bon exemple de l’équilibre recherché par le

contrat de quartier associant au projet de transformation urbaine, un projet à dimension sociale.

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DUPONT DUPOND

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Matador 2001-2012 Angle rue Dupont et Linné 500 m²

Dans le cadre du contrat de quartier ‘Brabant’, l’administration de Schaerbeek, par son maître d’ouvrage délégué l’asbl Rénovas, a initié une reconquête

des délaissés du quartier. Abandon d’une spéculation immobilière sauvage c’est l’occasion pour le politique d’affirmer à la population que son administration prend en charge ce qui a

été affaibli.

Dans la rue Dupond à Schaerbeek ces deux petits immeubles jumeaux de logements sociaux développent une typologie particulière mise en œuvre dans la situation angulaire des îlots à refermer. Sur une des deux parcelles, une petite cour a pris l’habitude d’accueillir une lumière inespérée que le projet souhaite lui préserver. Cette attention sera à l’origine de l’invention typologique paradoxale d’articuler l’angle de l ‘îlot pas le vide tout en consolidant le coin par la matière.

Les parcelles concernées ne peuvent pas s’ouvrir sur l’intérieur des îlots concernés comme c’est souvent le cas pour les immeubles d’angle. Elles doivent alors s’ouvrir presque exclusivement sur l’espace public dans un quartier à la

réputation très difficile, celle de la prostitution avec son cortège de difficultés. Il a fallu imaginer une typologie d’appartement tout à la fois ouverte pour assurer lumière et ensoleillement et, dans le même temps, refermée sur elle-même pour garantir l’intimité requise. La mise en place d’une typologie en creux permet finalement de conférer aux appartements de belles qualités spatiales, des lumières généreuses, une intimité préservée et même de grandes terrasses bien orientées.

Si les deux immeubles se ressemblent ce n’est pas tant dans l’apparence que sur le fond. En effet, leur situation pratiquement identiques (orientation, angle, rue, etc…), permet de réitérer la typologie développée dans ses principes. La

forme quant à elle se décline aux particularités de chacune des parcelles.

Les deux immeubles se distinguent alors dans les appartements qu’ils proposent en perpétuant les qualités conquises par la typologique. Plutôt que la mise en œuvre d’un modèle c’est bien l’élaboration d’une règle architectonique qui permet de multiples déclinaisons au gré des parcelles rencontrées dans des situations similaires.

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LE BOTANIQUE

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Tilman François Suys 1829-1854 236, Rue royale 6 Ha+ sam. et dim. de 12h à 18h.

M2, M6, T92, T93, B61, le botanique

Fondée en 1826, la Société royale d’Horticulture des Pays-Bas, voyant dans la création d’un Jardin botanique une

façon de développer ses activités commerciales, finance donc en partie le projet.

Elle en oublie vite ses aspirations scientifiques des premiers temps et édite ses premiers catalogues de plantes, graines et bulbes dès 1830, quelques mois à peine après l’inauguration du Jardin.

Point d’orgue d’un parc dont les plans sont établis par l’architecte Charles-Henri Petersen, le vaste bâtiment des serres qui devait accueillir les collections d’un précédent jardin botanique fut

inauguré en 1829.

L’artistedécorateur PierreFrançois Gineste dirigea les travaux d’après des plans de l’architecte Tilman François Suys.

Respectant la structure traditionnelle des orangeries, il imagina une imposante rotonde centrale à coupole, flanquée de deux ailes terminées chacune par un pavillon légèrement en ressaut.

Aux verrières qui comblent les entrecolonnements de la rotonde et couvrent le portique délimité par cette même colonnade, s’ajoutent les serres

adossées aux ailes latérales.

Aujourd’hui, les lieux sont occupés par Le Botanique, le Centre culturel de la Communauté française.

Le parc, remplaçant ce qui n’était qu’une succession d’étangs, de petits bois, de champs et de potagers, s’organise en terrasses pour tirer parti de la déclivité de l’endroit. Il sera agrandi en 1842 et en 1854.

Après avoir proposé une programmation variée (danse, musique, théâtre, arts plastiques), il est aujourd’hui

spécialisé dans les concerts et les festivals de musique, dont le fameux Nuits Botanique, ainsi que dans les expositions d’arts plastiques et de photographies.

En plus de ses trois salles de spectacle (L’Orangerie, La Rotonde et le Witloof Bar) et de ses salles d’expositions (Le Museum et La Galerie), Le Botanique a également la possibilité d’organiser certains concerts au Cirque Royal, notamment lors des Nuits Botanique.

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MUSÉE DE LA BANDE DESSINÉE 13 Victor Horta 1906 20,Rue des Sables 4200 m² Ouvert tous les jours de 10 à 18 heures.

Scolaires(12-25 ans): € 5,00

Centre Belge de la Bande Dessinée

Initialement, le musée était un grand magasin textile appartenant à Charles Waucquez, un riche grossiste en textile. Il a demandé à Victor Horta de lui construire des magasins qui sont ‘’Les Magasins Wa u c q u e z ’ ’ , construits en 1906.

La façade du bâtiment, construite par rapport à un axe central, a des

allures de palais baroque. L’intérieur est un véritable squelette d’acier qui découvre un hall aux dimensions spectaculaires autour duquel s’articulent les espaces destinés à la vente. En face de l’entrée se dresse un grand lampadaire central ainsi qu’un escalier m o n u m e n t a l en pierre.

La toiture presque entièrement vitrée et le vide central sous verrière produisent une profusion de lumière.

L a construction de la jonction Nord-midi a profondément influencé le destin des Magasins, où en 1970 ils ont fini par mettre la clef sous la porte.

En 1984 le bâtiment délabré est acheté par la Régie des Bâtiments de l’Etat dans l’optique d’y voir naître un Centre Belge de la BD.

La rénovation était dirigé par l’architecte Pierre Van Aasche. Il n’était pas question pour lui

de reconstituer des éléments disparus « à la manière d’Horta ». Délibérément, il plaça des éléments contemporains appliques l u m i n e u s e s , passerelle, etc.- là où cela s’avérait indispensable, mettant ainsi davantage encore en valeur l’œuvre de Victor Horta.

Enfin ce temple de l’art nouveau dédié au neuvième art a ouvert en 1989.

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PASSAGE DU NORD

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Henri Rieck 1881-1882 Rue Neuve 40, 1000 Bruxelles, Belgique 5000 m² Ouvert du Lundi au Samedi de 8h00 à 20h00.

Accès par : métro (lignes 1 et 5 – station

de Brouckère), bus 29, 38, 46, 47, 63, 66, 71, 86, 88 ; trams lignes 3, 4, 32, 33

LA PETITE HISTOIRE

Dès 1881, débute la construction du Passage du Nord, sous la direction de la Société Anonyme du Musée et Passage du Nord et de l’architecte H. Rieck.

La galerie est inaugurée en février 1882.

La Gazette du 26 mai 1881 annonçait l’établissement, entre la rue Neuve et le Boulevard du Nord, aujourd’hui Boulevard Adolphe Max, d’un passage contenant 32 magasins et un musée.

Ce musée se composa de salles suivantes : salle de concert, salle des industries, salle des inventions modernes, salle artistique, salle des curiosités, salle des antiquités, salle d’expériences de chimie et de physique, salle de conférences, salle des jeux d’adresse, théâtre bébé et un buffet.

Pour la petite histoire, le droit d’entrée à ce musée était de 1 franc.

LE COIN DES ARCHIS

Liaison vitrée entre deux rues commerçantes fréquentées, le Passage du Nord est construit sur six niveaux avec une longueur de 70 mètres de long sur 6 de large et totalise un peu plus de 5.000 m². La Galerie proprement dite a été conçue dans un goût éclectique typique du 19ème siècle.

L’intérieur de la galerie est rehaussé de la présence de 32 caryatides, œuvres du sculpteur Joseph Bertheux.

Ces statues reprennent en fait quatre fois la même série de 8 statues. La variété des poses et des attributs indiquent des allégories modernes : l’industrie métallurgique, le Commerce, la Marine, l’Astronomie, voisinant avec l’Architecture, la Sculpture, la Peinture, et les Arts Décoratifs.

A ces 32 statues situées sur les façades intérieures, deux statues représentant des enfants, dues au sculpteur Desenfants, sont placées des deux côtés de la passerelle.

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BOZAR - PALAIS DES BEAUXARTS Victor Horta 1919-1928 Rue Ravenstein 23 37 000 m2 Mardi - dimanche : 10:00 — 18:00

Jeudi :

10:00 — 21:00

Arrêt Parc ou Gare Centrale

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BOZAR est l’œuvre de l’architecte Victor Horta. Il devait être imaginé comme le premier centre pour les arts en Europe.

Immense mais discret, prestigieux mais ouvert à tout le monde. Le centre a ouvert en 1928.

Victor Horta (18611947), célèbre pour ses œuvres de style moderniste a adoptée ici un style Art Déco géométrique.

Son travail est caractérisé par sa recherche sur la lumière et sur l’harmonisation de l’architecture, de la décoration et du mobilier dans son ensemble.

Le site avait une superficie de 8000 mètres carrés avec une différence de niveau entre les deux rues.

La singularité du projet réside dans son adaptation aux différents arts qui y seraient accueillis avec pour objectif un partage, une unité et de la cohérence.

Il devait également servir de toile de fond aux différentes formes d’art et de leur donner les meilleures conditions pour y être exposées.

Enfin, il y avait le défi culturel, l’art doit être accessible à tous, en évitant

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l’élitisme mais sans sacrifier les plus hauts standards.

Le

BOZAR est un ensemble en harmonie composé de trois salles de concert, d’un espace d’exposition et de salles de conférence.

Le programme a 4.200 m2 d’espace d’exposition et 33 000 m² d’espace

de conférence.

L’agencement des espaces est réalisé grâce au plan d’étage ouvert, mis en place grâce à une armature de poutrelles d’acier et de l’utilisation du béton armé.

Les pièces sont caractérisées par la lumière naturelle qui traverse le plafond de verre.

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«HUMANS OF BRUSSELS»

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BRUZZ du 11/03/2017 jusqu’au 29/10/2017 4 rue Royale 1000 Brussels Ouverture: lundi à vendredi: de 9h30 à 17h30 samedi et dimanche: de 10h à 18h Tarifs: Adulte: Etudiant:

4€ 1€

Accès Metro: 1256 Bus 27 38 71 95 Tram 92 93 Train Bruxelles-Central

«Humans of Brussels» est une exposition de photos qui va à la rencontre des habitants de Bruxelles.

A la manière de «Humans of New York», le célèbre blog du photographe Brandon Stanton, les journalistes du quotidien néerlandais BRUZZ sont allés interpeller les passants bruxellois avec une question toute

simple au départ : «Est ce que je peux prendre votre portrait s’il vous plaît ?». En réalité, cette photo n’est qu’un prétexte pour ouvrir la discussion à leur histoire.

de ces portraits accompagné de leur récit sonore.

potrait de bruxellois

Cette exposition esquisse donc un portrait subjectif de la ville à travers ses habitants.

L’exposition s’organise en deux partis : une longue boîte ouverte au sol, contenant une collection d’histoires illustrées des portraits, et une présentation murale

A deux pas de ces rencontres virtuelles, ne ratez pas la maquette interactive de Bruxelles présentée dans l’exposition permanente du musée.

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OLD ENGLAND (MUSÉE DES INSTRUMENTS DE MUSIQUE) Paul Saintenoy 1899 Rue Montagne de la Cour 2 Horaires : mardi - vendredi : 09h30-17h00 samedi, dimanche et jours fériés : 10h00-17h00

Tramway : lignes 92 et 93, arrêt Royale

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Construit en 1899, l’ancien magasin Old England est l’œuvre de l’architecte Paul Saintenoy.

Ses locaux sont occupé depuis 2008 par le Musée des Instruments de Musique de Bruxelles (MIM).

d’inspiration végétale.

Avec une tourelle au sommet et une marquise en façade travaillées comme de véritables bijoux, Saintenoy a su y exploiter toutes les qualités de légèreté et de courbure du fer forgé.

Situé au cœur du Mont des Arts, le bâtiment constitue l’un des plus beaux exemples d’architecture de type Art Nouveau à Bruxelles.

Construit en fonte et fer forgé, il comporte également des frises de faïences et de nombreux détails décoratifs

La rénovation du bâtiment a commencé en 1989 et a duré plus de dix ans, car il était en très mauvais état.

Pour des raisons d ’ é c o n o m i e d’entretien et d’incompréhension de l’Art Nouveau, ses ferronneries et éléments décoratifs avaient été ôtés

ou obstrués. Il a fallu les remplacer, les restaurer et faire également un travail important de recherches car les documents montrant l ’ a p p a r e n c e originelle du bâtiment étaient rares.

Grâce à ces travaux, l’Old England a aujourd’hui retrouvé toute sa superbe (un prix a même récompensé la restauration des façades).

L’entrée, le vestiaire et la distribution entre les différentes salles d’exposition du musée se fait dans ce bâtiment de

l’Old England. Cela explique en partie que la majorité des visiteurs l’identifie au MIM.

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MUSÉE MAGRITTE

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Architecte Inconnu Fin XVIIIème siècle 3 Rue de la Régence 2 500 m² Ouvert du mardi au dimanche de 10h à 17h. En nocturne le mercredi jusqu’à 20h.

2€ en tarif étudiant

Tram : Lignes 51, arrêt Cimetière Jette.

Bus : Lignes 49, arrêt Cimetière Jette.

94 de 53 de

Le Musée Magritte Museum, situé au cœur de Bruxelles, rassemble la plus importante collection au monde de l’artiste belge René Magritte : 230 œuvres et archives y sont présentées.

L ’ e s p a c e m u l t i d i s c i p l i n a i re réunit à la fois des tableaux, des gouaches, des dessins, des sculptures, des objets peints, mais aussi des affiches publicitaires, des partitions de musique, des photographies et des films. Le Musée contient également

la collection la plus importante de la période « vache » de l’artiste.

L’accrochage du Musée Magritte Museum est conçu de manière dynamique : les œuvres exposées dans les 2.500 m² du lieu changent régulièrement grâce aux collectionneurs privés et aux

i n s t i t u t i o n s publiques qui prêtent au musée des œuvres à long terme. La richesse des collections des Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique permet de créer de nombreux dialogues avec d’autres artistes.

Le Musée Magritte Museum a déjà remporté huit nominations et récompenses.

Chaque année, plus de 300.000 visiteurs venus du monde entier y découvrent la vie et l’œuvre de René Magritte.

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SQUARE BRUSSELS MEETING CENTER A2RC Architects 2007-2009 Rue Mont des Arts, 1000 Brussel 52 000 m² Ouvert du lundi au vendredi de 8h30 à 18h30.

Proche de la Gare Centrale.

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U n e p r o p o s i t i o n architecturale audacieuse offre à la ville une nouvelle visibilité à l’ancien «Palais des Congrès» au moyen d’un emblème poétique incarné par le cube en verre qui constitue l’entrée principale du SQUARE, Brussels Meeting Centre. Sa structure en forme de treillis et une esthétique basée sur la transparence et la lumière, évoque irrésistiblement l’architecture paysagère et valorise le Mont des Arts.

Cette monumentalité, douce et poétique,

dialogue avec l’image du jardin.

Présente et en même temps se fond dans le paysage architectural environnant, elle change de pertinence à mesure que la lumière et l’heure changent. Le cube soigneusement articulé contient des escaliers suspendus en forme de ruban et

des passerelles qui relient les différents niveaux d’accès au complexe et réussit à accroître l’efficacité de l’ensemble.

La réorganisation exploite pleinement la lumière naturelle dans un bâtiment où la majorité des espaces sont souterrains. Square constitue donc un joyau technologique attrayant au cœur du Quartier des

Arts et entame la transformation d’un site historique important par le respect de son histoire et son ambition d’avenir.

L’emblème poétique du cube devient le symbole urbain d’un nouveau site de communication avec le monde.

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GALERIES ROYALES SAINTHUBERT

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Jean-Pierre Cluysenaar Inaugurées en 1847 Rue du Marché-aux-Herbes, 1190 Bruxelles Ouvert du Lundi au Vendredi 24h/24h Tram : Ligne 4 arrêt Bourse.

Bus : Ligne 71 arrêt Assaut

Métro : Lignes 1A et 1B arrêt De Brouckere

Les galeries royales sont un passage commercial au centre de Bruxelles. Un passage commercial de luxe, recouvert d’arcades vitrées.

L’ensemble se composent de trois galeries qui rendent hommage à la famille royale : les galeries de la Reine, les galeries du Roi et les galeries des Princes (qui relie la Galerie du Roi à la rue des Dominicains).

Jean-Pierre Cluysenaar a créé un lieu qui est devenu un lien entre les différentes fonctions de la ville : espaces culturels, habitats, commerces, bureaux, restaurants et cafés s’y côtoient depuis plus de 150 ans.

Ce passage devait remplir deux fonctions: soulager la circulation, créer de nouveaux locaux commerciaux que les passants pourraient visiter à pied sec et sans être dérangés par la circulation et, d’autre part, attirer des visiteurs à Bruxelles grâce à son programme varié.

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Aujourd’hui encore, les Galeries de la Reine, du Roi et des Princes sont animées par 6 millions de passants par an. Le passage est tout à la fois un microcosme, un lieu de mémoire et de création, où passé, présent et futur se mêlent inextricablement.

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GRAND-PLACE

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1697 et restauration XIXème siècle 1000 Bruxelles

La Grand-Place est un lieu emblématique de la ville de Bruxelles, situé en plein cœur du pentagone.

Classée sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO, son architecture est remarquable.

HISTOIRE Xème siècle : marché à ciel ouvert - Lieu de commerce majeur XIIIème siècle : Construction de 3 halles - aux viandes, au pain et aux draps XIVème et XVème siècles : forme de place Dégagement de l’espace public, construction de l’hôtel de ville, l’ancienne halle au pain devient la Maison du Roi, apparition des maisons en bois de riches négociants et des corporations.

1: Hôtel de ville 2: Corporation des merciers - Le Renard 3: Corporation des bateliers - Le Cornet 4: Corporation des ébénistes - Le Sac

1695 : Bombardement de la place à l’exception de l’hôtel de ville.

1697 : Reconstruction en pierres XVIIIÈME SIÈCLE : DESTRUCTION XIXème siècle : Campagne de restauration, reconstruction suivant les plans de 1697.

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7 6 5: Maison du Roi 6:Maison des ducs de Barbant 7: Corporation des brasseurs - L’arbre d’or

Emergence

de deux

visions de la société

Conservatrice, aucun de pouvoir central fort mais un tissu d’associations.

M o d e r n e , organisation autour d’un pouvoir central fort.

Donc deux urbanismes différents : Pa r t i c u l a r i s m e , chaque maison est unique, sur un parcellaire long et étroit – la façade est le reflet des occupants. Il provoque une ville alors verticale et variée.

Moderne, montrer

la solidarité au sein de l’élite, ne plus être différent de son voisin. Il provoque une ville horizontale et uniforme.

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visions identifiables sur la Grand-

Place : confrontation Est/Ouest A l’Ouest : Le Sac, Le Cornet, Le Renard – Architecte A. Pastorana

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A l’Est : La Maison des Ducs du Brabant, une même façade rassemble en réalité sept maisons.

Architecte G. De Bruyn 0

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PALAIS DE LA BOURSE

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Léon Suys 1868-1873 Place de la Bourse 3-1000 Bruxelles

Tram : Ligne 4 arrêt Bourse.

Bus : Ligne 47 arrêt De Brouckere Métro : Lignes 1A et 1B arrêt De Brouckere ou Bourse

Aujourd’hui, Euronext Brussels est logée dans l’un des plus beaux palais de bourse du monde.

Le bâtiment a brillamment passé

l’épreuve du temps et reste l’un des bâtiments les plus emblématiques de la ville de Bruxelles.

L’histoire de la Bourse de Bruxelles débute en effet en 1873.

LES RACINES DE LA BOURSE

C’est à l’architecte Léon Suys qui reçoit la mission de réaliser le Palais de la Bourse de la capitale.

En construisant la nouvelle bourse au cœur même de la ville, les autorités municipales de Bruxelles entendaient redynamiser les activités économiques du centre.

Ce projet s’inscrivait d’ailleurs

dans un vaste programme de modernisation du noyau urbain. Le Palais de la Bourse avait vocation à devenir le cœur battant de Bruxelles. Le bâtiment est érigé en style néopalladien, à l’exemple du célèbre architecte de la Renaissance, Andrea Palladio.

Ce style était très en vogue dans les bâtiments publics construits au XIXe siècle. Il se caractérise notamment par le recours à des éléments de l’architecture antique, comme les piliers corinthiens, la coupole, le fronton,

l’apparence d’un temple, etc.

O n retrouve d’ailleurs cette inspiration sur le plan de la Bourse qui a la forme d’une croix latine.

En 1989, les autorités de la bourse ont mis fin à ce système pour s’inscrire dans le mouvement de modernisation des marchés financiers.

Bruxelles a choisi un système décentralisé

Le 24 janvier

1989, la Bourse de Bruxelles lançait le CATS, le premier système électronique Boursière.

Dès ce moment, la Bourse perdait son rôle de lieu de rencontre de l’ensemble des agents.

Aujourd’hui, l’animation y est heureusement toujours présente grâce aux nombreux événements qui y sont organisés.

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HALLES SAINT-GÉRY

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Adolphe Vanderheggen 1882 Place Saint-Géry 1, 1000 Bruxelles, Belgique +2000 m² Les Halles de Saint Géry sont ouvertes 7j/7j de 10h00 à minuit.

Les expositions sont accessibles jusqu’à 18h00. Nocturne en mezzanine le jeudi jusqu’à 22h.

Accès libre et gratuit.

Comment se rendre ?

Métro 1-5 (De Brouckère) - Trams 3-4 (Bourse)

- Bus 48-86-95 (Bourse)

Les Halles Saint-Géry constituent un Agora iconoclaste au cœur historique de Bruxelles.

E s p a c e d’expositions et de manifestations, les Halles développent une programmation hybride constituée: d’expositions,de rencontres, de conférences,de performances,de concerts…

Elles incarnent l’un des symboles majeurs de la Région de Bruxelles-Capitale.

En outre, portées par la volonté de dynamiser la vision du Patrimoine, les Halles invitent à devenir les témoins des audaces passées et à vivre l’expérience de l’histoire en train

de se faire et ce au bénéfice de visiteurs nationaux comme internationaux.

HISTOIRE Œuvre de l’architecte Adolphe Va n d e rh e g g e n , le bâtiment est inauguré en 1882, à l’emplacement de l’ancienne église Saint Géry. Le bâtiment de style néo-renaissance flamande est un remarquable exemple architectural de la conception de halles.

L’intérieur, qui inclut l’ancienne fontaine, comportait quatre rangées de doubles étals de pierre bleue.

La structure de l’édifice est métallique.

Malgré un classement du bâtiment en 1987 et

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plusieurs tentatives de réaffectation commerciales ou culturelles sans lendemain, il faut plus de vingt ans pour que les halles bénéficient d’une réhabilitation définitive.

et à la qualité de vie de ses habitants.

Le quartier SaintGéry revitalisé, est aujourd’hui un des endroits de la capitale où le nombre de tables en terrasse au mètre carré est le plus élevé.

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EXPOSITIONS

Depuis 1999 les Halles Saint-Géry sont occupées par un centre d’information consacré au patrimoine bruxellois

Les Halles ont une exposition p e r m a n e n t e sur l’histoire et construction de la ville de Bruxelles et sont toujours à la quête du «Spécimen Bruxelles» , pluriculturel.

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MAD BRUSSELS

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V+ & ROTOR 2017 Place du Nouveau Marché aux Grains 10, 1000 Bruxelles, Belgique 3000 m² Accessible en bus arrêt 300817 avec les lignes : 86 - 127 126 - 128 - N16

Il y a 32 ans, fermait le Design center dans les galeries Ravenstein, en face de Bozar à Bruxelles. Depuis, il avait été évoqué la nécessité de retrouver un lieu équivalent qui ferait la promotion de la Mode et du Design à Bruxelles, points forts de ses industries créatives.

Le 20 avril 2017 la maison de la mode et du design ouvrait ses portes

C’est le travail du bureau d’architecture V+ (« Vers plus de bienêtre »), associé au bureau Rotor.

Ils ont choisi de garder l’essentiel des trois bâtiments anciens qui se trouvaient sur le terrain, malgré leur aspect hétéroclite et

labyrinthique (3000 m2 en tout), Ils gardent les différences de niveaux, le côté « puzzle », mais ont travaillé à articuler les espaces, à créer des « porosités » et à faciliter la circulation.

Ils ont créé d’abord, au rez-de-chaussée, un grand espace ouvert allant d’une façade (Marché aux Grains) à l’autre (Rempart des moines), y « creusant » au centre, une grande salle et utilisant les espaces interstitiels entre les anciennes maisons pour créer des sources de lumière.

Ce niveau sera l’espace public pour les expos, séminaires, conférences.

Les bureaux et salles de réunion sont aux étages.

Tous les murs sont blancs mais les architectes ont sélectionné toutes sortes de blanc, sur des textures différentes.

Ils ont conservé les originalités du bâtiment comme sa très curieuse cage d’ascenseur en briques, une belle et vaste terrasse, un escalier extérieur qui devient une vraie

sculpture.

Alexandra Lambert : « Le design et la mode peuvent être l’ADN de Bruxelles ».

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LA BELLONE

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Jean Cosyn Achevée en 1697 46 rue de Flandre, 10000 Bruxelles Accueille jusqu’à 200 personnes La maison de La Bellone est ouverte de 9h à 17h le lundi et mardi, et de 9h à 19h le mercredi, jeudi et vendredi.

On peut y accéder très aisément en descendant à l’arrêt de métro Sainte Catherine ou à l’arret de bus Dansaert.

HISTOIRE Cette maison située derrière le n° 46 de la rue de Flandre, est un reste de l’ancien domaine des sœurs de Jéricho.

Cette demeure faisant partie de ce monastère fut mise à la disposition d’Olympe Mancini, ou y fut construite par elle, pour abriter discrètement son exil bruxellois. Nièce de Mazarin et mère du prince Eugène de Savoie elle fit somptueusement décorer le frontispice de motifs célébrant la victoire de Zenta (1697) remportée par son fils Eugène de Savoie contre les Turcs.

LA VERRIÈRE

Dans les années 1990, elle a été étendue et rénovée sous la houlette des architectes Jacqueline et Emile L a u f e r-To re n h a j m avant que la cour intérieure ne soit couverte d’une verrière par Olivier Noterman (1995).

Celle-ci donne une autre dimension à l’espace.

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LA MAISON SPECTACLE

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Par un hasard de l’histoire, cette maison qui fut habitée par Olympe Mancini, personnage h a u t e m e n t r o m a n e s q u e et théâtral, est devenue la « Maison du Spectacle » consacrée aux arts de la scène.

Elle abrite depuis

1980 plusieurs associations de théâtre, de danse et de multimédia, ainsi qu’une bibliothèque et un centre de documentation consacrés aux arts du spectacle. Elle offre également un cadre à des manifestations ponctuelles, des rencontres et des expositions.

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BRONKS YOUTH THEATRE MDMA 2009 Bisschopsstraat 9, 1000, Bruxelles 3500m² Accès : MardiVendredi (13h30 17h). Métro 1 ou 5 (Sainte-Catherine)/

tram 51 (Porte de Flandre)/tram 88 (Dansaert).

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Le Bronks Youth Theatre se compose de deux salles, deux vides entre lesquels un axe central de circulation est situé.

L’escalier a la forme d’une double hélice avec des portes battantes (revêtues de miroirs) placées sur chaque palier intermédiaire.

MDMA appelle ça le septum. Il régule l’utilisation des salles d’une myriade de façons. MDMA a tenté de faire en sorte que les halls flottent et s’élèvent dans la lumière. En dehors des escaliers, la circulation «autour», consiste en grande partie en rampes. Ils donnent

un sentiment détachement l’horizontale, l’horizon.

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En regardant à travers le grand verre dans la façade avant, on est confronté à un niveau du sol qui est élevé d’un mètre jusqu’au niveau de la scène. Une inclinaison dans la façade arrière est répercutée à travers la salle principale de théâtre pour accomplir une atmosphère acoustique saine.

La façade est une membrane, un plan que l’on franchit. Ainsi, la façade assemble des facettes répétées à l’intérieur.

A l’intérieur c’est une multitude de surprises.

Porte après porte, avion après avion, un autre espace se déroule, créant l’illusion d’un grand bâtiment. Pendant la saison des festivals, plusieurs pièces peuvent être jouées simultanément.

Sphère et labyrinthe à la fois. À la base d’un plan tout à fait simple MDMA a essayé de fusionner le labyrinthe avec

des boucles de circulation.

MDMA ont été aidés par les hauteurs variables des espaces requis. Finalement, personne ne se perd en chemin, comme si la «recherche», aidée par la curiosité s’étendait dans une onde de lumière, de vues et d’air. C’est comme si on ne se déplaçait pas dans un cadre clos.

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LOGEMENTS-ATELIERS POUR ARTISTES : ‘CHEVAL NOIR’

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L’Escaut-Gigogne 2003-2010 Rue du Cheval Noir 17, 1080 Molenbeek Rénovation: 3300m² Construction: 752m² Métro : 1 et 5 -Comte de Flandre Tram : 51 - Porte de Flandre 82 - Triangle

Situées sur la rive gauche du canal, les anciennes brasseries Hallemans font partie des friches qui témoignent de l’histoire du «petit Manchester belge».

La rue du Cheval Noir est une des plus anciennes Molenbeek.

L’ancien bâtiment industriel conserve des signes de son ancienne activité, comme la touraille au 3ème étage de l’aile ouest et la cheminée

dans la cour.

Le programme est la réalisation de 31 logements pour artistes intégrant un espace de travail libre grâce à une grande modularité.

L’implantation et les formes de la construction nouvelle sont étudiées de manière à offrir le maximum de lumière aux logements malgré la grande densité d’occupation du

terrain.

Tous les espaces de distribution communs sont extérieurs, en relation avec la cour, et sont conçus pour permettre les échanges. Cette idée est accentuée par une traversée de la parcelle de la rue vers la place Brunfaut, le complexe joue ainsi un rôle de charnière dans le quartier.

Cheval Noir est le 2ème complexe du genre à Bruxelles

après les ateliers Mommen du XIXs.

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BRASSERIE & HOTEL DE BELLEVUE

Sebastian Moreno ( A2M) aout 2012 Quai du Hainaut 39-41 Bruxelles 150 chambres 1000 m² de salle de séminaire Bureaux & centre de formation ouvert 24h/24, situé à proximité de la station de métro Saint Guidon

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BRASSERIE BELLEVUE La Brasserie Belle-Vue est une brasserie située à Molenbeck Saint Jean en Belgique.

Elle est la plus importante brasserie de Bruxelles.

En 2005, les activités de la Brasserie Bellevue, installées le long du canal depuis 1916, sont déplacées vers Louvain. Quatre ans plus tard, un groupe d’investisseurs privés (Nelson Canal) et la Commune de Molenbeek rachètent le site.

HOTEL BELLEVUE

Il s’agit de déployer un projet innovateur associant rénovation urbaine, mise en valeur du patrimoine industriel et historique, performances énergétiques de pointe, insertion socioprofessionnelle.

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Le projet témoigne de la permanence et du changement. Il associe des éléments contemporains à de la rénovation de l’ancien paquebot de brique.

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MILLENNIUM ICONOLAST MUSEUM OF ART

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Florence et Michel De Launoit...

Ouverture en mars 2016 Quai du Hainaut 41, 1080 Molenbeek Saint-Jean 1.300 m² Ouverture du musée Prix réduit: 7,50 de 10h à 18h: euros Du mercredi au Tram: 51, arrêt Porte dimanche. de Ninove.

Tarifs: 2 min à pieds de Général: 9,50 euros l’auberge.

Situé en plein coeur du quartier Molenbeek, le MIMA vient s’installé à l’intérieur des anciennes brasseries Bellevue.

tel que le skateboard, les tatouages, le stylisme ou encore, les manifestations urbaines des graffitis et du street art.

Dédié à la culture 2.0, le musée s’intéresse aux cultures musicales (punk-rock, électro, hip-hop ou folk), mais également, au graphisme, aux arts plastiques, aux influences artistiques dans le cinéma. Il met aussi en avant, des disciplines sportives

Le MIMA, qui occupe 1300m² se répartie sur 4 étages.

La visite se débute par un plongeon dans le monde des jeux vidéos.

Les trois premiers étages renferment une collection permanente ainsi que des expositions temporaires.

(A terme le musée

devrait compter une quarantaine d’oeuvres prêtées par une association de mécènes.)

Le quatrième étage est l’espace consacré aux conférences et aux différents ateliers.

La visite se termine alors sur le toit offrant une vue panoramique sur le canal de Bruxelles.

Parallèlement à la collection permanente, le MIMA organisera par ailleurs deux expositions par an.

Ces expositions

présenteront des artistes internationaux reconnus mais également le travail de studios d’artistes installés dans le quartier et à Bruxelles.

Pour son ouverture, le musée à p r o g r a m m é l’exposition CITY LIGHTS, avec de grands artistes emblèmes de l’art 2.0 tel que Maya Hayuk, Swoon et Momo.

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VANHARENTS ART COLLECTION 30 Bâtiment industriel de 1926 réhabilité par Robbrecht & Daem en 2005 29, rue Anneessens 1000 Bruxelles 3500 m² La visite de la galerie se fait uniquement sur réservation et aura lieu le vendredi 22 octobre à 10h.

UNE COLLECTION PRIVÉE

La collection Vanhaerents est une collection familiale d’art contemporain, qui s’enrichit régulièrement de nouvelles œuvres d’artistes en vogue : Andy Warhol, Jeff Koons, Murakami, Boltanski... autant d’artistes des années 70 à aujourd’hui qui figurent dans la collection et qui sont présentés au public dans le cadre d’expositions temporaires.

DANS UN BÂTIMENT INDUSTRIEL

Robbrecht & Daem ont réhabilité cet ancien bâtiment industriel et y ont ajouté une extension en 2005. Le bâtiment d’origine date de 1926. La structure

en béton laisse place à de grandes pièces lumineuses dont une mezzanine et un espace de projet avec une voûte de béton en coquille. Les architectes ont conçu la galerie de façon à placer « l’art au centre ».

MAN IN THE MIRROR Des tableaux, sculptures et installations utilisant des miroirs ou des matériaux réfléchissants y sont présentés. Ces oeuvres invitent à la réflexion et à l’introspection.

MANY SUNS AND WORLDS

L’artiste et architecte Tomas Saraceno présente une partie de son projet « Cloud Cities ».

Il y expose son regard sur l’urbanisation, la mobilité,

l’écologie grâce à des technologies de pointe. Sa vision utopique et futuriste d’une ville modulaire et volante peut être associée aux œuvres d’architectes radicaux des années 50 et 60 tels que Buckminster Fuller. Dans ce projet, cette vision futuriste prend forme par des pratiques de construction durables et émancipatrices. Il puise son inspiration dans ses recherches sur la structure des toiles d’araignées, les nuages, les bulles de savon.

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SAVONNERIE HEYMANS MDW Architecture 2005-2011 Rue d’Anderlecht 139-147 6,500 m² Porte d’Anderlecht (tram 51 & 82 / bus T82) Buanderie (bus 46 et N13)

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Le projet prend place sur le site de l’ancienne usine de savon Heymans. Compte tenu de sa location, en plein coeur de Bruxelles, le projet se doit de proposer une haute densité.

Enclavé, il cherche alors à faire du vide une véritable matière première, colonne vertébrale autour de laquelle il se structure. En plus d’organiser la distribution intérieure, le vide devient l’outil d’interaction avec l’extérieur : en effet, plusieurs espaces partagés sont proposés ; ils sont la première pierre de

la dimension sociale du projet.

UN ÉCHO À LA DIVERSITÉ DE BRUXELLES

En créant des logements sociaux, allant des studios à des T6, en passant par des lofts, duplex et maisonettes, un véritable «village» de 42 logements est créé. Il inclue également une crèche, un café et des espaces extérieurs.

Cette variété fait écho à la diversité des personnes vivant au coeur même de Bruxelles.Plusieurs liens sont ainsi tissés entre le projet et le quartier.

ENTRE RÉNOVATION ET CONSTRUCTION

La variété des logements s’insère dans une variété de bâtiments, notamment due à l’insertion du projet dans cette ancienne usine. L’ancien a été, dans la mesure

du possible, rénové et intégré, à l’image de la chemiée devenue élément de ventilation du garage souterrain.

Le projet n’est cependant pas tourné vers la passé, puisqu’il intègre fortement le concept de développement durable, ce qui rend l’un des bâtiments passifs.

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LES ÉGOUTS DE BRUXELLES

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Fin du XIXe siècle Pavillon d’Octroi - Porte d’Andelrecht 1000 Bruxelles Galeries de plus de 300m Horaires : Du mardi au samedi de 10h à 17h Fermé le dimanche et le lundi et les 1/1, 1/5, 1/11 et 25/12.

Accessibilité : Tram 51 et 82 Bus 46 (Porte d’Anderlecht)

LES ÉGOUTS DANS L’HISTOIRE DE LA VILLE

C’est au 17e siècle, qu’un réseau d’égouts se développe à Bruxelles.

Cependant, certains habitants se débarrassent encore leurs immondices dans la Senne, qui zigzague dans le centre.

Les travaux d’assainissement de la Senne s’imposent comme la plus grande entreprise de

génie civil du XIXe siècle bruxellois.

Ils permettent la restructuration complète du bas de la ville ; ruelles et impasses insalubres vont faire place à de larges boulevards haussmanniens apportant air et lumière.

Le réseau d’égouts de la Ville de Bruxelles s’est progressivement étendu. De 45 km en 1847, il passe à 110 km en 1878. Il en compte aujourd’hui plus de 350 !

Les égouts recueillent à la fois les eaux pluviales et les eaux usées provenant des

habitations et de l’activité humaine.

Sur le territoire de Bruxelles-Ville, environ 200 000m2 d’eaux usées sont charriées quotidiennement dans les égouts.

La consommation moyenne en eau s’élève à près de 130 litres par jour et par personne.

Le musée des égouts montre aussi les conditions difficiles des travailleurs. En cas d’orage, quelques minutes suffisent pour mettre les égouts sous pression, ne laissant que très peu de temps aux hommes

pour remonter à la surface. Et pourtant, des ouvriers circulent quotidiennement dans ces entrailles urbaines.

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Voir la ville par ses souterrains permet d’avoir une nouvelle perspective d’approche du tissu urbain.

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CURO-HALL

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Georges Hansotte 1888 Rue Ropsy Chaudron 7, 1070 Anderlecht, Belgique Fermé le samedi et le dimanche, ouvert de 7h30 à 22H les autres jours de la semaine.

Le 24 septembre 1888, la Commune d’Anderlecht inaugure une nouvelle école. Le

bâtiment, construit avec des matériaux de grande qualité, est conçu comme beaucoup d’écoles du 19ème siècle avec un grand hall et une galerie où s’ouvrent les classes. Le cahier des charges précise l’emploi de briques dites de Boom, la pierre bleue tirée des meilleurs bancs

de Soignies ou d’Ecaussines, les moëllons venant des carrières de Feluy ou de Rhisnes.

Pour en dresser les plans c’est Georges Hansotte qui a été désigné.

Renommé pour ces constructions publiques, on doit également à cet architecte entre autre l’église Saint-

Servais, les Halles de Schaerbeek, la clinique De Page.

Au fil des ans, l’école change plusieurs fois de nom et différents types d’enseignements y sont proposés. Si en 1927 on recensait 291 élèves dans l’école, 70 ans plus tard, c’est faute d’inscription que l’école, devenue entre temps une école d’enseignement technique, doit fermer ses portes.

En 109 ans, ce sont des milliers d’élèves qui y ont suivi l’enseignement de centaines de professeurs.

Rebaptisé Curo-

Hall en 1997, le site est attribué au milieu associatif et de nombreuses associations socio -culturelles y coexistent en occupant des locaux à l’année ou sur réservation. Le lieu, de par ses vastes dimensions sert aussi d’espaces festifs ou à diverses activités c o m m u n a l e s comme les élections, le soutien au Tax-on-web.

Chaque jour, plus de 100 personnes y exercent leurs activités, leurs formations ou leurs loisirs.

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ABATTOIRS D’ANDERLECHT

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Emile Tirou 1888-1890 Rue Ropsy Chaudron, Anderlecht 75000 m² Horaires du marché : vendredi, samedi et dimanche de 7h à 14h Métro : arrêt Clémenceau ou arrêt Delacroix

«Les abattoirs, pour de nombreux Bruxellois, c’est avant tout un marché, une a m b i a n c e inégalable, une expérience totale au milieu de la foule, des odeurs, des étals colorés, des cris de marchands augmentés du brouhaha de la foule venue s’approvisionner comme chaque

semaine» Les abattoirs sont, depuis leur début, l’espace de sociabilité du quartier Cureghem.

Créés en 1890 pour remplacer les abattoirs de la rue des Bouchers, ils ont su résister à la désindustrialisation de la ville en adaptant leurs activités. La grande halle d’une superficie de 10000 m², qui marque le

site, était destinée à l’origine au marché aux bestiaux. Elle est aujourd’hui utilisée par le marché, du vendredi au dimanche, où se retrouve les habitants d’Anderlecht et de tout Bruxelles.

On y trouve une incroyable diversité de produits comme un échantillon

de cette ville cosmopolite. La halle aux viandes crée encore le lien direct entre l’abattage, le conditionnement et la vente. La fonction nourricière du quartier entre production et consommation, enracinée au cœur de ville, apporte un autre regard pour lire Bruxelles.

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SQUARE DES URSULINES

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Collectif BRUSK / Recyclart 2005 Square des Ursulines 1675 m² Quartier des Marolles, A l’angle des rues Ursulinenstraat et Kapellestraat (Rue de la Chapelle).

Proximité Gare de la Chapelle, arrêt de bus Cesar de Paepe et Chapelle.

Autrefois un espace vert nonutilisé, un espace residuel de la jonction de la Gare de la Chapelle situé entre la rue des Ursulines et l’église de la Chapelle, est aujourd’hui une piste adaptée à la pratique de la planche à roulettes.

région un skatepark.

Un concours est lancé auprès d’étudiants en école d’architecture.

Les skaters transmettent leur savoir-faire aux plus jeunes via des initiations gratuites.

Divers événements

culturels s’y o r g a n i s e n t également. De plus, une fois par an, petits et grands, se retrouvent en musique lors de la fête annuelle qu’accueille

Le Collectif Brusk bénéficie de la structure logistique de Skateboaders asbl et fonctionne avant tout grâce à l’énergi de tous les bénévoles qui s’y investissent.

Nos soutiens :

En 2003, le collectif BRUSK, représentants de la scène skateboardistique b r u x e l l o i s e demande à la

Skateboarders asbl reçoit depuis quatre ans des subsides de la Région Bruxelles Capitale (IBGE-BIM) pour l’organisation de diverses activités tout au lo de l’année sur le square des Ursulines.

Nous bénéficions aussi d’un sponsoring annuel des marques Carhartt et Vans depuis deux ans, et Consolidated depuis cinq ans (via Transind S.A.).

désormais le parc.

En outre, chaque année, la fresque qui décore les installations est renouvelée suite à un appel à projet lancé par Brusk aux graffeurs, street

artistes ou peintres et inaugurée lors de la fête des Ursulines.

Le square est devenu un lieu phare de la culture urbaine bruxelloise, un espace bien conçu, qui malgré la spécificité des pratiques qui s’y déroulent parvient à être un espace mixte et plaisant à visiter pour tous.

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EXTENSION DES BRIGITTINES

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SUMPROJECT 2008 Les Brigittines, Petite rue des Brigittines 1000 Bruxelles 530 m² Bus > 48, 27 (Chapelle), 34, 95 (Sablon) Tram > 92, 93 (Sablon), 3, 4 (Anneessens)

Métro > 1, 5 (Gare centrale)

Le projet des Brigittines est issu de la volonté de la Ville de Bruxelles de transformer le quartier autour de la gare de la Chapelle en pôle culturel.

Utilisée comme forum culturel dès 1976, la Chapelle devient, en 1997, le lieu central de l’asbl Les Brigittines, Centre d’Art contemporain du Mouvement de la Ville de Bruxelles.

En 2001, la Ville lança un concours international pour l’extension du Centre, en vue de répondre aux besoins, fonctionnels et artistiques, croissants de ses

occupants.

L a u r é a t du concours, en association avec l’architecte italien Andrea Bruno, Sum a opté pour le maintien tel quel de la chapelle existante, classée comme monument, en tant que salle de spectacle polyvalente. Toutes les fonctions logistiques ont été intégrées dans un nouvel immeuble contemporain p r é s e n t a n t exactement la même volumétrie que la chapelle existante. La liaison entre les deux volumes forme un élément crucial du

projet : trait d’union entre deux époques, elle se veut à la fois subtile et lisible.

Entièrement vitrée, elle accueille un escalier monumental et un ascenseur. Elle instaure le dialogue entre la chapelle baroque du XVIIe siècle et l’extension contemporaine du XXIe siècle.

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Ainsi l’acier corten renvoie aux briques rouges de façade et le revêtement en inox ainsi que les parties vitrées forment des réminiscences des bandeaux décoratifs et des ornements en pierre blanche.

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PLACE DU JEU DE BALLE, MAROLLES

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Commune de Bruxelles Dessinée en 1853 Cœur des marolles 8750 m²

Marché aux puces ouvert tout les jours de 6h a 14h

Accessible facilement depuis les arrêts de tram et bus «jeu de balle»

HISTORIQUE DU SITE

La place du jeu de balle ou «le vieux marché» se situe sur la parcelle qu’occupait jusqu’en 1854 L’usine de locomotive du Renard.

Cette usine, qui a produit notamment les premières locomotives du continent, fit faillite face à la concurrence et fut démolie. Cet espace libéré à proximité du cœur de la ville est un potentiel pour la ville qui décide de dédier cet espace à la pratique de la balle pelote, sport en vogue a l’époque. Il ne faudra qu’une vingtaine

d’années avant que la municipalité décide d’y faire déplacer le vieux marché qui occupait alors la place Anneessens. Il était alors mal perçu dans les beaux quartiers, mais ne va pas tarder a forger le quartier dans lequel il s’installe.

BÂTIMENTS ENVIRONNANTS

L’église de l’immaculée est un bâtiment de style néo-roman en brique construit au moment du réaménagement de la place en 1854.

Nous pouvons aussi observer un

caserne de l’état major d’un style éclectique datant de la même époque, mais ces deux bâtiments sont visible depuis la place. L’élément peut être le plus intéressant est l’abri anti-aérien caché sous la place, il est découvert par un explorateur urbain il y a quelques années alors que la municipalité tentait de masquer son existence.

ENGAGEMENTS POPULAIRES

La découverte de cet abris a permis de stopper le projet de parking souterrain sous la place. Mais ce n’est pas la première fois que le marché est en péril cependant il a toujours su résister.

Par exemple en 1999 afin de contrer un projet il est mis en place un système qui permettait aux habitant d’acheter pour 100 francs belges un pavé de la place et ainsi conserver sont caractère unique et financer la lutte contre ce projet. Cet espace s’est peu a peu transformé en lieu de résistance civique unissant les habitants du quartier.

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CITÉ HELLEMANS

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Émile Hellemans 1915 Rue Pieremans, aux Marolles

Arrêt de bus Jeu de Balles ou Porte des Halles et en métro à l’arrêt Porte des Halles

Situé entre la place du jeu de Balles et le Palais de Justice

CONTEXTE HISTORIQUE

Au XIXème siècle, une bonne part de la ville est constitué d’un enchevêtrement de ruelles tortueuses, d’impasses et de cours qui ont au fil du temps occupé tout l’espace disponible, des anciennes terres agricoles aux jardins des anciennes maisons bourgeoises.

La conception de la Cité Hellemans est résolument nouvelle.

Elle rompt avec les grands travaux de transformation urbains du XIXème siècle dont la conséquence était l’expulsion massive des classes populaires au profit de classes plus aisées. Il s’agit ici de substituer un nouveau type

d’habitation aux îlots insalubres sans exclure les plus démunis. Les bâtiments sont pensés pour permettre une vie plus digne et plus

décente.

ARCHITECTURE

C’est entre 1912 et 1915 qu’Émile

Hellemans construit cet ensemble de 272 logements répartis en 7 barres, bien éclairées et desservies par de larges allées piétonnes. Dans la même logique, chaque palier ne dessert que 2 logements, et ceci afin d’éviter la promiscuité.

En terme d’architecture, l’ensemble est monumental, émaillé de détails Art Nouveau, comme les fers forgés, les briques polychromes ou l’appareillage de pierre. Des passages en arcades coupent perpendiculairement les sept bâtiments de manière à les relier.

La Cité a bénéficié d’une cure de rénovation en 2006.

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LA PORTE DE HAL 1381 Rénovée par Henri Beyaert 150, Boulevard du Midi, Bruxelles 1060, Belgique Ouvert tous les jours sauf le lundi, de 9:30/10:00 à 17:00 Métro : porte de Hal

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Cette porte est le dernier vestige de la seconde enceinte médiévale de la ville de Bruxelles.

Sa fonction militaire prend fin en 1564.

L’enceinte qui comportait sept tours fut détruite entre 1818 et 1840 pour permettre la construction des boulevards de la «petite ceinture».

La porte de Hal a servi successivement de grenier, de dépôt de mendicité, de prison et de dépôt d’archives, avant d’être transformée en musée à partir de 1847.

TRANSFORMATIONS DU XIXE SIÈCLE

En 1830 au moment de l’accession à l’indépendance de la Belgique, les travaux de démolition des ruines de la seconde enceinte atteignent la porte de Hal. Bien qu’il soit question de la détruire, le nouveau gouvernement

décide finalement de l’épargner, la Belgique naissante étant en recherche de symboles et témoignages de son passé. En 1860, il est décidé de procéder à la rénovation de la tour et à son aménagement définitif en musée par Henri Beyaert, entre 1868 et 1871.

Sans préoccupation d’authenticité, on la transforme en une sorte de château néogothique à l’intérieur comme en façade, plus conforme à l’image romantique que l’on se fait à cette époque du Moyen Âge. On y ajoute des fenêtres ogivales,

des tourelles, un chemin de ronde et de nouveaux créneaux.

On redessine la façade côté ville avec une tour circulaire qui contient un escalier monumental en colimaçon.

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LE BLOMME - WIELS MUSEUM

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Adrien Blomme - Art & Build 1930 - 2005 Avenue Van Volxem 354

Mardi au dimanche : 11.00 - 18.00 Nocturnes: chaque 1er et 3ème mercredi du mois jusqu’à 21h00

Tram: 82 – 97, arrêt Wiels Bus: 49 – 50, arrêt Wiels

Le Blomme est un ancien bâtiment de la brasserie Wielemans construit en 1930 et nommé après son architecte Adrien Blomme, aujourd’hui converti en Centre d’Art Contemporain.

Les Wielemans était une famille de brasseurs qui développa son commerce à partir de 1862. A partir de ce temps l’entreprise prend de l’ampleur comme sa brasserie qui comprend de plus en plus de bâtiment.

C’est donc en 1930 que la famille fait appel à Adrien Blomme

pour construire ce qu’on appellera la « Tour Wielemans ».

Au rez-de-chaussée s’installait une grande salle de brassage avec huit cuves qui était, à l’époque de sa construction, la plus grande salle de brassage d’Europe.

Le bâtiment Blomme devient un repère dans la ville de Bruxelles et la vitrine de l’entreprise familiale. Elle était un bâtiment rationnel entièrement construit en béton armé et qui témoignait des progrès de l’industrie du bâtiment.

Elle

se conformait aux techniques les plus modernes, tout en tenant compte de principes esthétiques: symétrie, clarté et dimensions harmonieuses.

En 1980, suite à la seconde guerre mondiale, les Wielemans connaissent un déclin de leur commerce et procèdent à une liquidation de leur propriétés. En 1988, la brasserie est classé par le Service des Monuments et des Sites pour faire face au démantèlement du patrimoine. Par la

suite de nombreux projets sont mis en place pour l’avenir du site mais ils ne seront jamais entrepris.

En 2001, une procédure d’expropriation est mise en place et la Région de Bruxelles devient le propriétaire de l’ancienne salle des machines et du bâtiment Blomme.

Le projet du Centre d’Art Contemporain émerge en 2002 qui ouvra en 2007 après une restauration et un réaménagement par l’agence Art&Build.

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HÔTEL TASSEL

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Victor Horta 1892-1893 6 rue Paul-Émile Janson, Bruxelles 1224 m2

L ’ h ô t e l Tassel est une maison de maître construite de 1892 à 1893 par Victor Horta à Bruxelles

en Belgique pour son ami Émile Tassel, professeur à l’Université libre de Bruxelles.

Entre 1892 et 1894 né à Bruxelles, un mouvement européen pour le renouvellement des arts appliqués, qui devint plus tard connue sous le nom de style Art Nouveau, Neige Kunst, Stile Liberty, Jugendstil ou Art Nouveau.

La maison Tassel est considéré comme le premier ouvrage de ce mouvement dans l’architecture.

Révolutionnaire à la fois artistique et technique, est l’un des monuments anciens de l’histoire architecturale.

Il est le produit d’une

époque et un pays caractérisé par le progrès économique de la bourgeoisie, de solides traditions artisanales et une industrialisation de large.

Le travail implique un examen complet de l’organisation spatiale et un dialogue continu entre la flexibilité du fer et de la dureté de la pierre. Pour la première fois dans une maison, nous explorons les possibilités de fer comme matériau de construction et d’ornement.

Mais le style et les motifs ne sont pas

développés sur la base de nouvelles constructions en fonte, mais en l’adaptant à la langue officielle nouvelle qui vient d’autres sources et spatialement étendus. L’utilisation du fer comme moyen de structures et d’expression, a été inspiré par le génie travaille

Eiffel qui a abouti en 1889 à la Tour Eiffel, et les théories et illustrations réalisées par Violletle-Duc Entretiens sur l ‘ 1872 architecture.

En 2000, il a été déclaré patrimoine mondial par l’UNESCO en compagnie de trois autres bâtiments de l’architecte.

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MUSÉE HORTA

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Víctor Horta 1898-1901 25, Rue Américaine 260 m² Horaires: Mardis à dimanches de 14.00h à 17.30h

Site web: hortamuseum.be

Bus: ligne 54 Trinité

Metro: Janson lignes 81, 92 et 97

Le Musée Horta est établi dans la maison p e r s o n n e l l e et l’atelier de l’architecte Victor Horta (1861-1947).

Construits entre 1898 et 1901 à Saint-Gilles, les deux bâtiments qui composent le musée ont chacun leur propre individualité, bien qu’ils sont connectés à l’intérieur. Ils sont caractéristiques de l’Art Nouveau.

ART NOUVEAU

C’est un m o u v e m e n t artistique de la fin du XIXe et du début du XXe siècle qui s’appuie sur l’esthétique des lignes courbes en transfigurant l’objet tantôt produit par un artisan, tantôt par l’industrie.

C e mouvement dont Victor Horta est une grande icône refuse l’imitation des styles du passé dans le but de développer un art correspondant à la sensibilité et au mode de vie d’une société précise.

Musée Le Musée Horta est composé des archives personnelles de l’architecte.

Il incorpore aussi des plâtres d’Horta, de ses sculpteurs et une collection de phototypies.

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LA MAISON DE VERRE

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Paul Amaury Michel 1935 69, Rue Jules Lejeune, Uccle Nombres de m² La maison est accessible en prenant le bus 137 direction Dilbeek Alsemberg d e s t i n a t i o n

A L S E M B E R G WINDERICKXPLEIN (19 min), et en descendant à l’arrêt ELSENE PATTON.

En 1935, au retour d’une visite chez Le Corbusier, l’architecte PaulAmaury Michel fait construire à Bruxelles une maison de type expérimental : la Maison de verre.

Cette maison apparait comme une surprise dans son environnement urbain d’un tout autre style, avec ses deux façades en verre et pavés de verre, dont celle arrière rappelle celle de la maison de verre de Pierre Charrot à Paris. On

peut observer un travail important sur la lumière avec de grands vitrages sur la façade avant qui inondent de lumière les pièces de séjour, et des briques de verre à l’arrière qui créent des espaces introvertis au niveau des c h a m b r e s .

Construite en plein essor du

m o u v e m e n t moderne, et largement inspirée de certaines productions du Corbusier comme la Villa Savoie, cette maison r a s s e m b l e les 5 points fondamentaux établis par ce dernier qui sont la fenêtre en longueur, la façade

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libre, le plan libre, le toit terrasse et les pilotis.

C l a s s é e monument en 1998, la maison de verre s’est dégradée très rapidement et a fait l’objet d’une restauration en 2002.

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VILLA EMPAIN

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Michel Polak 1931 Avenue Franklin Roosevelt, 67 B – 1050 Bruxelles 3500 m² Ouvert tous les jours, sauf le lundi.

De 11h à 18h.

Dernière entrée 17h15.

Accès par tram: Tram 25 – Tram 94 (arrêt Solbosch) Accès par bus: Bus 71 (arrêt Université Libre de Bruxelles)

HISTOIRE

La Villa Empain est érigée en 1932 par une famille d’industriels belges. C’est une villa de style Art Déco réalisée par l’architecte suisse Michel Polak. En 1940, elle est occupée par les nazis puis devient le siège de l’ambassade soviétique à Bruxelles avant d’être changé en squat. Aujourd’hui, la Fondation Boghossian y présente des expositions d’art contemporain.

Elle est rénové en 2007.

L’ARCHITECTURE DU LIEU

La villa est monumentale, avec quatre façades de granit poli, elle possède un jardin avec piscine entourée d’une pergola.

On y trouve une conciergerie mais aussi une salle de bain particulière, tout en mosaïque bleue.

LA SALLE DE BAIN

Un petit bureau est dédié au

baron Louis Empain.

La villa est caractéristique du mouvement Art Déco avec un usage moderne des matériaux : intérieurs en marbres, bois précieux et feronneries et des façades en marbre poli et bronze doré.

Par ailleurs, le système de verrière permet une diffusion agréable de la lumière.

Au niveau du plan on remarque une grande lisibilité qui va de pair avec la symétrie et l’utilisation de lignes épurés.

Cette rigueur

et simplicité du plan entre en contraste fort avec la mise en œuvre de matériaux luxueux.

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L’HÔTEL SOLVAY

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Victor Horta Date de construction 224 Avenue Louise 360 m² Visites réservation.

Tram: Bailli lignes 81, 93, 94

sur

Site web: www.hotelsolvay.be Bus: Bailli lignes 54

Inscrit au Patrimoine mondial par l’UNESCO, L’hôtel Solvay est unanimement reconnu comme l’oeuvre majeure de l’architecte Victor Horta.

En 1894, Armand Solvay, enthousiasmé par l’Art Nouveau confie à Victor Horta la réalisation de sa maison familiale Avenue Louise, à Bruxelles.

VICTOR HORTA ET L’ART NOUVEAU

H o r t a , a r c h i t e c t e révolutionnaire, rompant avec les traditions architecturales, repense chaque problème en fonction du progrès technique

que ce soit en matière d’utilisation de l’espace, de matériaux, de chauffage, d’aération ou d’éclairage.

Horta va bénéficier d’un budget illimité pour réaliser cette maison. Du plan au choix des marbres, du mobilier à la lustrerie et aux tapis, tout a été conçu par Horta.

LA FAÇADE

Sur la façade deux bow-windows symétriques, s’élèvent sur deux étages et sont surmontés de balcons. La façade est constituée de verre, de fer et de pierre naturelle, les matériaux favoris d’Horta.

continu sur quasiment toute la surface de la maison.

Un second escalier permet d’atteindre les étages supérieurs, où se trouvent les chambres et salles d’eau.

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L’INTERIEUR

À l’intérieur, un premier escalier, muni d’une balustrade tourbillonnante en métal doré, conduit du rez-de-chaussée au bel-étage où se trouvent les espaces de réception, qui sont séparés les uns des autres par des cloisons vitrées qui peuvent s’ouvrir pour créer un énorme espace

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véritable feu d’artifice visuel. Victor Horta a utilisé des matériaux nobles et précieux.

La gamme des tons rouge-orange renforce encore l’atmosphère de luxe et de confort.

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PLACE FLAGEY

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D+A / Latz and partner 1930 - 2003 (rénovation) Ixelles 16500 m²

La place est desservie par les transports en commun : tramway 81 et bus 38, 59, 60, 71 et 366. Elle

dispose aussi d’une station de vélos partagés, appelée Villo

La place Flagey n’est pas seulement l’une

des plus grandes places de la région de Bruxelles : c’est aussi un projet symbolique de réaménagement de l’espace public dans la capitale européenne.

En effet, il n’était à l’origine prévu que de simples travaux de construction d’un bassin d’orage sous la place. Mais le

collectif Le Flagey s’est emparé de l’occasion en 2003 pour organiser un concours d’architecture ensuite repris par les médias, forçant la municipalité, réputée pour sa faible implication dans la fabrication de la ville, à réaliser un vrai projet urbain.

Sur les 46 candidats, dont De Geyter et 51N4E entre autres, c’est l’équipe D +A Latz and Partner qui l’a emporté avec un projet minimaliste

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qui augmente au maximum la surface libre de la place, offrant un espace « négociable par essence, [avec] une infinité de possibilité ». Les architectes p a y s a g i s t e s témoignent : « Nous voulions concevoir une place extrêmement simple, minimaliste, dotée de la plus grande superficie possible. La place bénéficie d’une ouverture radicale

et maximale jusqu’aux façades.

Les autres projets font le contraire : leurs auteurs plantent des arbres, enclavent la place dans toutes sortes de constructions, ou la divise en diverses fonctions. »

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MUSÉUM DES SCIENCES NATURELLES

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Charles-Émile Janlet 31 mars 1846 Rue Vautier 29, Bruxelles 1000, Belgique OUVERT : M a r d i -Ve n d r e d i 9h30-16h45.

Samedi-Dimanche 10h00-18h00.

Entrée: Entrée 7 euros

Bus : Lignes 34,80 arrêt Muséum Métro : Ligne 1 arrêt Maelbeek ou Ligne 2 arrêt Trône

HISTORIQUE:

Le Musée royal d’Histoire naturelle de Belgique, créé par un arrêté royal du 31 mars 1846, n’est autre au départ que le rachat par l’État belge du Musée de la Ville de Bruxelles de 1802, Entre 1889 et 1891, le Muséum s’installe dans un ancien couvent situé sur les

hauteurs du parc. Le bâtiment devenant rapidement trop étroit, le directeur de l’époque, Édouard Dupont, confie à l’architecte CharlesÉmile Janlet la construction d’une nouvelle aile sud. Les travaux débutent en 1898 et se terminent en octobre 1905.

Le muséum des sciences naturelles est un vaste musée

d’Histoire naturelle complet et très bien fait. Sa rénovation récente n’a fait que mettre en valeur les collections qu’offre ce lieu aux visiteurs. Star du muséum, la galerie des dinosaures, qui est la plus grande d’Europe.

Autre exclusivité, une collection d’iguanodons unique au monde.

Ces dinosaures

assez populaires font partie des ornithischiens, c’està-dire des dinosaures caractérisés par un bassin semblable à celui d’un oiseau.

Les iguanodons présentés sont authentiques, ils ont été découverts près de Mons en 1883.

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PARC LÉOPOLD

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Jean-Jules Linden - Alphonse Balat 1851 Vallée de Maelbeek 64.300 m² Ouvert tous les jours de 7h00 à 21h00

Metro 1 - 5 Maelbeek/Schuman

Patrimoine classé bruxelles.be

Bus 21 - 27 - 59 Parc Léopold

ESPACE VERT ET BIODIVERSITÉ

En plein cœur du quartier européen, le parc Léopold s’impose comme espace de liaison et de détente dans un environnement très urbanisé.

A l’emplacement du parc Léopold se trouvait autrefois le domaine d’Eggevoort dont une tour subsiste encore aujourd’hui.

PATRIMOINE

L’endroit comprend divers

b â t i m e n t s patrimoiniaux: • Les aubettes de la grille d’entrée • La Tour d’Eggevoort • L ’ I n s t i t u t d’anatomie • La Bibliothèque Solvay • L’Ecole de commerce • L’Institut de physiologie • L’Institut Georges Eastman • L’Institut Louis Pasteur

d’eau, foulques, oies d’Egypte.

Près d’une cinquantaine d’arbres du parc Léopold figurent sur la liste des arbres remarquables de la Région bruxelloise : des marronniers, des frênes, des érables sycomores, des cyprès chauves de Louisiane, et une platane d’Orient.

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FAUNE ET FLORE

L ’ é t a n g attire une avifaune typique des plans d’eau : canards colverts, hérons cendrés, poules

PARLEMENT EUROPÉEN

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Atelier espace léopold 1989-1995 60, rue Wiertz - B-1047 Bruxelles Surface : D3 ,D4, D5 : 200.000 m2 passerelle : 42.860 m2 Horaires de visite : à 10h et 15h du lundi au jeudi. À 10h uniquement vendredi.

Bus : Ligne 38 arrêt Luxembourg

Ligne 80 Museum

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Métro : Lignes 1A et 1B arrêt Parc Léopold

Construit derrière la Gare Léopold à Bruxelles, le bâtiment du Parlement européen fut inauguré en 1993. Il est baptisé en 1999 .

Le bâtiment accueille des fonctionnaires des 27 pays de l’union européen Le Parlement est un grand édifice de style moderne/ contemporain. Il y a le bâtiment principal et autour de lui on trouve deux passerelles circulaires.

Les lieux sont bien sûr très vaste, et les entrées multiples. Sur les quatre bâtiments qui composent l’espace Léopold, siège bruxellois du parlement européen.

1. Le bâtiment Paul Henri Spaak, qui porte le nom du père wallon de l’Europe, inauguré en 1993 et qui abrite l’hémicycle, gigantesque bâtiment de verre et d’acier.

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Le bâtiment Alberto Spinelli, Longue barre fonctionnaliste inaugurée en 1998, il accueille la principale institution permanente du parlement à Bruxelles, à savoir les commissions.

Bâtiments Willy Brandt et Jozsef Antall - Bruxelles

LE PROJET D4-D5 :

77.000 m2 comprenant un parking public de 190 places, 400 bureaux, 5 salles

de conférence avec chacune 28 cabines d’interprétation, 2 restaurants, un espace polyvalent socio-culturel, futur centre du visiteur, un centre audiovisuel et de presse et une élégante passerelle de liaison entre les bâtiments et le bâtiment Altiero Spinelli.

Il fait partie du projet global d’aménagement et d’urbanisation du site de la gare du Quartier Léopold et des terrains limitrophes intitulé “Espace Bruxelles Europe”

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MAISON DE L’HISTOIRE EUROPÉENNE JSWD Architekten 2017 133 Rue Belliard 8000 m² Horaires : lundi : 13h00-18h00 mardi-vendredi : 09h00-18h00 samedi, dimanche

et jours fériés : 10h00-18h00

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L’idée de créer une Maison de l’histoire européenne est lancée le 13 février 2007 par le président du Parlement européen, HansGert Pöttering dans son discours d’investiture au Parlement. L’un des grands objectifs de la Maison de l’histoire européenne est de « permettre aux Européens de toutes les générations d’approfondir la connaissance qu’ils ont de leur histoire et, ce faisant, de contribuer à mieux faire comprendre l’évolution de l’Europe, aujourd’hui et demain ».

En octobre 2008, un comité d’experts dirigés par le professeur Hans Walter Hütter, président de la Maison de l’histoire de la République fédérale allemande, remet un rapport intitulé «lignes directrices pour une Maison de l’Histoire européenne», qui établit le concept général et le contenu du projet et trace les grandes lignes du dispositif institutionnel.

La Maison de l’Histoire Européenne a été inaugurée le 6 mai 2017. Son originalité réside dans son souci

d’offrir un panorama transnational de l’histoire e u r o p é e n n e contemporaine, en tenant compte de la diversité des nations et des peuples qui les composent, de leurs langues, cultures ou encore de leurs coutumes et de la multiplicité de ses interprétations et perceptions.

La Maison a pour but de permettre à un large public de comprendre l’histoire récente en la replaçant dans le contexte des siècles précédents, qui ont façonné nos idées et nos valeurs. Elle entend ainsi faciliter les débats sur

l’Europe et l’Union européenne.

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PARC DU CINQUANTENAIRE

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Léopold II, Victor Besme et Gédéon Bordiau 1880 1000 Bruxelles, Belgique 30 ha Le parc est toujours ouvert. Les musées : ma-ve : 9:30-17:00 sa-di : 10:00-17:00 Accès: métro lignes 1 et 5

Arrêt Schuman ou Merode bus 22, 27, 80 - arrêt Gaulois ; 61 - arrêt Merode tram 81 arrêt Merode

Projet de palais pour l’Exposition nationale de 1880, dessiné par Gédéon Bordiau, élévation vers la ville.

Nouvellement indépendante et en plein essor économique et industriel, Bruxelles se renouvelle. Le roi Léopold II, rejoint par la bourgeoisie dirigeante, a la volonté de doter Bruxelles d’inf rast ruct ure s, de parcs et de m o n u m e n t s prestigieux dignes d’une capitale.

C’est ainsi que sur un ancien champ de manœuvre militaire, le parc du Cinquantenaire

fut aménagé par Léopold II et Victor Besme à l’occasion du cinquantième anniversaire du royaume de Belgique, en 1880.

On fit alors construire deux ailes, reliées plus tard entre elles par des arcades.

Ces deux ailes possédaient deux grandes rosaces vitrées, dont il ne reste qu’un exemplaire, sur le côté gauche. Les arcades, longues de 30 mètres, sont surmontées

d’un quadrige représentant « Le Brabant élevant le drapeau national ». Aux pieds de l’arc, huit statues représentent

Arcade du Cinquantenaire, le Brabant hissant le drapeau national, par Thomas Vinçotte et Jules Lagae (photo 2007).

des allégories de provinces. Le Cinquantenaire accueille ainsi a u j o u r d ’ h u i plusieurs musées de premier plan. Le plus important est le musée d’Art et d’Histoire, souvent

appelé « musée du Cinquantenaire », qui occupe l’aile Sud du complexe architectural.

Il possède une collection d’une très grande richesse.

Les deux autres musées du Cinquantenaire, sont le musée de l’Armée (aile et halle Nord), qui présente l’histoire militaire belge et Autoworld (halle Sud), qui constitue l’une des principales c o l l e c t i o n s d’automobiles au monde.

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EUROPA

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Samyn and Partners 2004-2017 Rue de la Loi 175, 1048 Bruxelles, Belgique 70 646 m2 Arrêts: Bruxelles Schuman Maelbeek

L’Europa est un bâtiment consacré aux réunions auxquelles participent les États membres de

l’Union Européenne.

Il accueille depuis début 2017 les réunions du Conseil européen et la plupart des sessions du Conseil, ainsi que les sommets de l’UE avec les pays tiers.

«Philippe Samyn and partners», et une partie restaurée, le bloc A du Résidence palace, un complexe de style Art Déco conçu par l’architecte Michel Polak en 1922 qui est en partie classé.

Situé au cœur du quartier européen, le bâtiment Europa allie modernité et patrimoine h i s t o r i q u e .

Il combine une partie nouvelle, une structure inédite à forme de lanterne conçue par l’agence

A u nord et à l’est, la façade extérieure du bâtiment est composée d’un patchwork de 3 750 châssis en bois restaurés, provenant de chantiers de rénovation/ démolition de la quasi totalité des

États membres.

Le bâtiment a été édifié dans le respect des principes du développement durable.

Il est équipé de dispositifs modernes pour la gestion de l’éclairage, du taux d’humidité et de la température.

Il comprend également des éléments «verts» comme des panneaux solaires ou un système de collecte des eaux de pluie pour l’alimentation des installations sanitaires.

«Dans un bâtiment en verre, une urne géante est lovée dans un écrin de bois.»

À l’intérieur, selon les interprétations, une « lanterne », une « amphore », un « œuf renversé » ou une « pomme de terre » abrite les salles de réunion.

Plafonds et tapis arborent une mosaïque de couleurs chatoyantes.

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BERLAYMONT BUILDING

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Lucien De Vestel 1963-1969 200 Wetstraat/Rue de la Loi 240,500 m²

Utiliser les transports en commun pour vous rendre au centre des visiteurs.

L’arrêt le plus proche est Schuman et

peut être atteint en métro et en bus. En sortant de la station de métro, suivez les indications pour la sortie Berlaymont.

Au cœur de l’Europe, aucune discussion sur l’architecture belge ne serait complète sans le détail de l’infâme bâtiment du Berlaymont à Bruxelles, siège de la Commission européenne.

Une fois surnommé «Berlaymonster», le bâtiment a été construit en 1969, a souffert de l’évacuation de l’amiante, suivie de nombreux retards et des problèmes de reconstruction dans le but de transformer le site. L’architecte d’origine était Lucien De Vestel, un enthousiaste m o d e r n i s t e

préfabriqué, avec l’aide de Jean Gilson, et André et Jean Polak.

L’immeuble Berlaymont dispose d’une architecture particulière en forme de croix et de spécificités techniques et organisationnelles particulières.

On peut citer la taille importante des salles de réunion, de réception, des couloirs, l’existence de grands patios, etc. Les surfaces mentionnées cidessus ne peuvent par conséquent pas être comparées à des surfaces de même vocation dans

d’autres immeubles.

Le style adopté est délibérément simple et fonctionnel.

Les bureaux sont organisés selon un module de 1,2 m de large. Un bureau type individuel comprend deux modules de façade. En fonction de l’architecture de l’immeuble et selon l’emplacement d’un bureau (dans une aile ou au centre), la profondeur de celuici varie de 6 m à 6,60 m (distance mesurée de la cloison couloir au vitrage de la fenêtre).

A p r è s treize années douloureuses, le résultat fut un chef-

d’œuvre moderne en métal et en verre, avec des designs futuristes et spatiaux qui restent aussi intéressants et intéressants a u j o u r d ’ h u i qu’ils l’étaient lors du premier dévoilement.

Les travaux de rénovation ont été réalisés par les architectes Pierre Lallemand, Steven Beckers et Wilfried Van Campenhout.

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HOTEL VAN EETVELDE Victor Horta 1898 Avenue Palmerston 4, 1000 Bruxelles

A 5 minutes du métro Maelbeek ou 2 minutes de l’arrêt de bus Waterloo Wilson

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HISTORIQUE

L’Hôtel van Eetvelde, bâti à partir de 1895, est une maison de maître bruxelloise de style Art nouveau conçue par l’architecte belge Victor Horta en trois phases à l’angle du square Marie-Louise et de l’avenue Palmerston.

La maison principale a été construite en 1895 au no 4 sur une parcelle de neuf mètres de large.

Edmond van Eetvelde fait construire en 1899 par Horta l’immeuble de coin

en vue d’agrandir son habitation.

Une partie de cet immeuble avec entrée privative au no 2 est mise en location.

En 1901, Horta élève une annexe à l’habitation principale d’une largeur de quatre mètres au no 6, accessible depuis le no 4 ou par son garage.

Le décor de la façade est très sobre, même si les motifs en mosaïque se compliquent vers le haut, comme pour annoncer celui de la balustrade du balcon supérieur.

Les linteaux droits des portesfenêtres du dernier étage supportent directement la corniche, rythmée par de nombreuses consoles.

Horta utilise une structure m é t a l l i q u e imposante qu’il déploie soit pour supporter les étages en léger ressaut (les consoles), soit pour encadrer les fenêtres par des montants verticaux et des linteaux légèrement arqués. La structure porteuse lui permet de largement ouvrir dans cette façade, elle, non porteuse.

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Square Marie Louise

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QUELQUES ÉVÉNEMENTS...

- Toute la semaine

- Lundi 23 Octobre

- Exposition Panorama et A tribute to Componibili

‣ ADAM - Exposition Magritte - Atomium meets Surrealism

‣ Atomium - Exposition Baudelaire - Bruxelles

‣ Musée de la Ville de Bruxelles

‣ Mardi - Dimanche: 10h - 17h - Exposition sur Robert Doisneau

‣ Musée d’Ixelles

‣ 9h30 - 17h

‣ 5€ - Festival des libertés : vous propose des films, concerts, débats et conférences, toute la semaine. Si vous êtes intéressé, allez sur le site : www.festivaldeslibertes.be

• 16h

- Séance publique du Conseil Communal

- Hôtel de ville de Bruxelles • 18h

- Conférence: La créativité des ponts

- Bibliothèque de Laeken - Jeudi 26 Octobre • 17h - 22h

- Nocturne des musées bruxellois

- Musée d’Art spontané

- Maison Autrique

- Musée schaerbeekois de la

Bière

- Train World

- Le Botanique