Le Courrier de la Gueoula n°907

Page 1

v"c

lumières du chabbath

BALAK

13 & 14 Tamouz 5777 Entrée : 21h37 - Sortie : 22h58

907

L’Hebdomadaire qui remet les pendules à l’heure ... de la Délivrance

Du 06 au 13/07/2017

En ce mois de Tamouz, deux anniversaires mémorables nous sollicitent, dont les caractères sont pourtant aux antipodes l’un de l’autre…

Le Remède, antérieur à la Plaie plus ancien commémore la première brèche dans les murailles de Jérusalem par les armées romaines, le 17 de ce mois, ce qui donne lieu à un jeûne institué par les Sages. Deux millénaires plus tard, les 12 et 13 Tamouz 5687 (1927), le sixième Rabbi de Loubavitch, le dirigeant spirituel incontesté des Juifs en Union Soviétique, sortait de détention, miraculeusement acquitté d’une accusation prononcée à son encontre par les plus hautes autorités politiques de ce pays, pour son activité consistant à développer la pratique du Judaïsme, au mépris du caractère matérialiste athée de l’idéologie imposée par le Pouvoir. Cette libération, ainsi que l’attitude à conserver face à toutes les épreuves pour en venir à bout, furent présentée par le Rabbi lui-même, dans une lettre aux communautés, comme le privilège de chaque Juif, même le plus simple: «Ce n’est pas moi seulement que D-ieu a libéré ce jour… mais également toute personne qui est simplement désignée comme juive». Il fit savoir, par la même occasion, que l’on devait désormais considérer les 12 et 13 Tamouz comme des jours de fête et de joie.

Le

Le sens profond des événements

Nous savons qu’un jour important confère son caractère au mois entier dans lequel il tombe, à l’exemple de Pessa’h, de Pourim ou d’autres fêtes. Il est par conséquent permis de se demander comment se définit actuellement le caractère du mois de Tamouz, alors qu’il est marqué par deux événements apparemment contradictoires, ayant généré respectivement un jour de jeûne et un jour de joie.

Dans ses magistrales Si’hoth (allocutions), le Rabbi, roi Machia’h, pose cette question et la résout de la manière suivante: «En réalité», explique t-il en substance, «les événements qui aboutirent à l’institution des jours rigoureux étaient des circonstances que la Providence nous envoyait pour nous conduire à la Délivrance ultime. Mais, et précisément pour

cette raison, la pulsion au mal qui est en chacun, et qui est l’antithèse de tout progrès, s’en mêla et nous fit commettre des actes indésirables qui causèrent notre ruine. Malgré ces dénouements tragiques, le caractère bon et élevé de ces circonstances demeura ce qu’il était, bien que caché sous une apparence négative. Ce qui explique la promesse prophétique (Zé’kharia 8, 19) disant que «le jeûne du quatrième mois, celui du cinqième mois… seront changés pour la Maison de Yéhouda, en allégresse, en joie et en jours de fête», puisque c’est ce caractère de joie et de fête, toujours présent, qui sera alors révélé. C’est dans cet esprit que la révélation progressive des sources de la Torah (la ‘Hassidouth) fit surgir, à l’orée de l’époque messianique, le sens profond et caché de tous ces événements, annulant peu à peu leur apparence négative et répressive, pour les

conduire à leur révélation totale, lors de la Délivrance. Certes, il était évident pour les Sages des générations passées, que le jeûne n’était pas un but en soi, pas plus que les pleurs et les lamentations, et que le principal était le retour à D-ieu, la réparation et par conséquent, la joie future. Cependant le caractère négatif constituait le présent, même si l’on pouvait autrefois anticiper en pensée la révélation future, mais cette révélation d’un remède antérieur à l’exil ne devint effective qu’aux époques tardives, actuelles, au même rythme que que «la révélation des secrets de la Torah jusqu’à l’extérieur», qui est la clé de la Délivrance. Enfin, le Rabbi explique que même si le remède existait avant la plaie, il nous faut le révéler concrètement au monde pour le rendre opérationnel.

La Joie véritable

C’est pourquoi la Providence Divine fit intervenir le miracle de la libération du Rabbi Précédent cinq jours avant la date du 17 Tamouz – le remède avant la plaie – donnant ainsi au peuple juif une fête qui est un avant-goût de la joie du futur. On fera, dans cet esprit, la preuve de la présence déjà effective de cette joie en organisant pendant la période «rigoureuse» des conclusions d’un traité du Talmud, ce qui donnera alors la possibilité légitime de festoyer, et en étudiant les lois de la construction du Temple, étude qui confère le même mérite que si on l’édifiait concrètement, et procure également la joie. Ce qui nous conduira à la joie véritable et complète qui nous envahira lorsque ces jours de jeûne seront transformés en jours d’allégresse et de fêtes. Dans l’immédiat présent!


BALAK

Le sommeil du lion

D e l a To r a h d u M a c h i a ’ h

Dans les interprétations de nos Sages sur la Sidra, il est dit que les trois privilèges dont Israël était gratifié dans le désert étaient dus à Aharon, Myriam et Moché… ur le verset «Il se couche, se repose comme un lion, et comme ce lion, qui oserait le réveiller?» (Balak 24-9), le Midrach interprète qu’il s’agit de la période s’étendant entre le règne du roi Tsidekiahou et le roi Machia’h. Car c’est sous le règne de Tsidekiahou que débuta la destruction du Temple et que s’ensuivit l’exil, et même après le retour de la captivité de Babylone et la construction du Second Temple, l’exil ne disparut pas tout-à-fait, car «cinq objets sacrés manquaient dans le Second Sanctuaire», et il ne s’agissait donc pas d’une Délivrance totale. Cette période, qui s’étend alors jusqu’à l’avènement du roi Machia’h, est désignée par les mots «il se couche, se repose…», car de nombreux commentateurs comparent l’exil à un sommeil. On pourrait alors penser que l’exil s’est emparé non seulement du corps mais aussi de l’âme d’Israël, ainsi que des sujets concernant la Torah et les Mitzvoth qui s’adressent à l’âme. C’est à cela que le verset réplique, en exposant que ce «sommeil» n’est pas une perte totale de conscience, mais une limitation personnelle, comme venant d’une personne qui se limiterait volontairement. Car on parle ici d’un lion, un animal puissant, et l’on emploie (la 2eme fois) le mot «Lavi», qui désigne une espèce de lion encore plus puissant que le «Ari». Cela signifie que même pendant la période où «il se couche, se repose», le pouvoir des nations ne peut dominer Israël, car celui-ci est comparable au lion, et «qui oserait le réveiller » fait allusion à D-ieu, qui, souvent, est désigné allusivement par le mot «Mi » (qui), comme dans «Qui a révélé ce secret à Mes enfants?» (Traité Chabbath 88-a) ou «Qui pourrait faire en sorte qu’ils aient le cœur à Me craindre?» (Devarim 5-26). Ici, c’est «Mi» (D-ieu) qui, seul, «oserait le réveiller», le faire sortir de l’exil, et jusqu’à ce moment, personne, parmi les humains, n’aura de véritable pouvoir pour dominer ce «lion». Ce n’est que contraint par la Parole Divine qu’il en vient à se coucher, dans une situation d’exil. Par conséquent, lorsqu’il s’agit de la Torah et des Mitzvoth, dont la source est l’Expression Divine, l’exil n’a aucune place.

S

Un miracle contemporain

Cependant, à cause de l’accoutumance à l’exil et de la cécité qui s’ensuit sur les véritables priorités, nous finissons par ne plus distinguer les miracles, qui pourtant, continuent d’opérer («Nous ne voyons plus nos signes». 2

Psaumes 74-9). A cause de l’obscurité de l’exil, l’erreur s’installe, qui nous fait croire que «le monde se conduit de lui-même». Le monde (‘Olam) est désigné par un mot étymologiquement proche de «Elem » (voilement,obscurité), et l’on pourrait croire que ce monde a un véritable pouvoir sur le «lion qui se repose». C’est à ce sujet qu’interviennent parfois des miracles et prodiges évidents, qui rappellent que même pendant l’exil, «il n’y a rien d’autre que Lui». Et l’un de ces miracles, qui se produisit à une époque proche de la nôtre, est celui des 12-13 Tamouz, la libération de mon maître et beau-père, le Rabbi précédent. Or, ces jours de libération inaugurent une période nouvelle dans l’œuvre de propager la Torah et de fortifier le Judaïsme, y comprises les sources les plus profondes de la Torah, «jusqu’à l’extérieur», les confins du monde. Cette nouveauté consiste en un accroissement exponentiel du service divin, une progression sans fin, un débordement hors des barrières de ce que l’on faisait précédemment, au point que la nouvelle expansion est considérée comme une «délivrance» par rapport à la situation précédente… Comme nous le voyons dans la célèbre lettre que le héros du jour envoya aux communautés après sa libération : «…en ce jour, l’on sait maintenant d’une façon évidente à tous, que la grande œuvre que j’accomplis pour répandre la Torah et fortifier la foi, est désormais autorisée par la loi du pays…». Et cette libération du «Nassi» de la génération, qui équivaut au peuple entier (Rachi sur ‘Houkath 21-21) a un effet direct, non seulement sur ses disciples…mais également sur tous les hommes de la génération…, comme le Rabbi l’écrit luimême : «…ce n’est pas moi seulement que D-ieu a libéré ce 12 Tamouz, mais tous ceux qui chérissent notre Torah, gardent ses Commandements…et même ceux qui portent simplement le nom (d’individus) d’Israël». Cette délivrance porte le même nom que la Délivrance prochaine de tout le peuple, parce que l’accroissement du service, consistant à répandre la Torah, hâte l’arrivée de la Délivrance véritable et complète…En particulier, la réparation de la cause de l’exil, qui était un manque évident dans l’amour du prochain, annulera cette cause, et du même coup son effet. C’est ainsi qu’«ils seront immédiatement délivrés»…Le sommeil Immédiatement! (Si’hoth du 12 Tamouz 5716 et du Chabbath 14 Tamouz 5747)


La Guéoula en Questions

Sur le Seuil de la Délivrance

ès le début du conflit consécutif à l’invasion du Koweit par les troupes irakiennes, et au sein de la panique engendrée par la crainte d’une généralisation de ce conflit, une voix différente s’était fait entendre, celle du rabbi de loubavich. citant le Midrach «Yalkout chimoni», qui avait prophétisé la révélation du Machia’h lorsqu’un conflit exactement identique à celui-là éclaterait, le rabbi entreprit d’apaiser les esprits, en montrant aux habitants du Pays d’israël qu’ils n’avaient rien à craindre, et il commença surtout à annoncer et à faire connaître l’imminence de la délivrance

D

le rabbi verse «de l’essence sur le feu » (suite du témoignage du Rav Shapira) Il est opportun de rappeler que les semaines que nous vivions alors étaient comme un «avant-goût» de l’époque du Machia’h. Même les propos légers échangés par les «bourgeoises» au téléphone étaient différents de tout ce qu’ils avaient pu être précédemment. On peut dire que, peu ou prou, personne n’avait à l’esprit d’échanger des idées superficielles, car tous étaient principalement absorbés à attendre impatiemment la révélation du Rabbi pour chaque instant. Et je ne parle pas ici de ‘hassidim légendaires («Maskilim, Ovedim») ou de maîtres en ‘Hassidouth, ou de dirigeants de Yéchivoth, mais d’hommes simples, de ‘hassidim «du rang», tous étaient littéralement dans «l’époque du Machia’h». Le témoignage du Rav Na’hchon vient confirmer ce qui avait été dit précédemment (n°905) : «Au cours de la Si’ha, qui traitait de «Pessa’h Chéni», le Rabbi entreprit de parler de l’Ouverture de la Mer, et il mit l’accent sur le fait qu’il fut nécessaire, pour «appeler» ce miracle, de faire preuve de «MessirouthNéfech» (don de soi, abnégation), en l’occurrence celui d’un Prince d’Israël qui sauta le premier dans la mer, Na’hchon, fils d’Aminadav. C’est pourquoi, dit le Midrach, on l’appela «Na’hchon», car il avait sauté le premier dans la vague (en hébreu «Na’hchol»). Son sacrifice montra l’exemple à tous les enfants d’Israël, qui le suivirent dans la mer. Quant à moi, je vis là un message d’encouragement, me disant que face à toutes les difficultés, internes et externes, le Rabbi m’insufflait des forces pour être ce «Na’hchon» et pour sauter dans la mer. Dans cette Si’ha, le Rabbi exprima très fortement l’idée qu’un Juif doit réclamer la Délivrance. Aussi, comme une conséquence naturelle et spontanée, après cette Si’ha, nous entreprîmes d’entonner le chant de «Ye’hi Adonénou»…

Ne pas avoir peur de la délivrance Parallèlement à la poursuite de la collecte des signatures sur des listes d’ «Acceptation de la Royauté», les rumeurs continuaient à se propager à travers le monde, disant que le Rabbi n’était pas content de ce que nous faisions. Les choses en étaient arrivées au point que des émissaires importants, aussi bien en Israël qu’en Europe, écrivaient au Rabbi, exprimant leurs craintes pour l’avenir des activités de ‘Habad qu’ils dirigeaient. Lors du Farbrenguen du Chabbath «A’harei-Kédochim», le Rabbi traita visiblement de ce sujet, lorsqu’il déclara: «La réponse existe pour tous ceux qui s’étonnent et s’effrayent de ce que l’on propage, à savoir que chaque Juif doit œuvrer pour que la Délivrance arrive immédiatement. Et comme ces hommes sont des esprits «ouverts», ils expriment ouvertement leurs craintes. «Lorsque Machia’h arrivera, immédiatement, que deviendront», demandent-ils, «toutes les activités qu’ils ont établies et construites en exil? Les affaires qu’ils ont mises sur pied, les biens qu’ils ont amassés, les amis et connaissances – aussi bien juifs que non-Juifs – avec lesquels ils se sont liés (surtout les dirigeants communautaires)? La réponse à leur faire est qu’il n’y a pas lieu de s’effrayer, car la Délivrance n’implique pas une fin de «l’ordre du monde», c’est-à-dire les choses positives qu’ils ont édifiées (en conformité avec la Torah) dans l’exil.Au contraire, la Délivrance inclut tous les bons éléments de la «Gola», de telle sorte qu’ils accèdent à une dimension de «Guéoula» (leur perfection intrinsèque et véritable), par le fait que se révélera le «Alef» - la lettre qui différencie «Guéoula» de «Gola» - et qui désigne allusivement le «Alouf», le Maître du monde. Car c’est l’intention et la finalité véritables de toutes les œuvres que l’on a réalisées pendant l’exil, toutes ayant pour objet la révélation de la Gloire de D-ieu. C’est pourquoi il n’y a pas lieu de s’inquiéter pour les activités (même celles de caractère profane) que l’on a réalisées (en conformité avec la Torah) pendant l’exil. Au contraire, la directive indique à tout responsable d’une affaire de chercher des voies pour révéler, au sein de ses activités, commerciales ou autres, la «Gloire» du Créateur, et d’utiliser de telles exploitations, ainsi que ses biens et ses relations d’affaires, pour accroître et développer la Torah et les Mitzvoth». J’ajoute qu’au cours de ce «Farbrenguen», le Rabbi s’était tourné plusieurs fois dans notre direction, nous encourageant de gestes rapides et énergiques de ses saints bras. En particulier lorsque l’auditoire chantait «Sissou Vé-Sim’hou BéSim’hath Haguéoula» (Réjouissez-vous et exultez dans la joie de la Délivrance), chant auquel le Rabbi avait fait allusion dans sa Si’ha (à suivre) 3


Comme un don, non comme un prêt Ils ont vécu ce Miracle

Le moyen de se connecter au Rabbi, roi Machia’h, par le canal des «Igueroth-Kodech» est de plus en plus pratiqué, et chaque réponse reçue révèle son caractère miraculeux…. anecdote qui va suivre fut relatée par le Rav Yossi Kleiman, émissaire du Rabbi, roi Machia’h, à Chicago (Etats-Unis), au cours de son séjour récent en Israël, à l’occasion du grand rassemblement pour la Délivrance et le Machia’h, à Bat-Yam, le 3 Tamouz dernier. «Il y a environ cinq ans», raconte t-il, «nous avons fait la connaissance d’un couple, dans le cadre de nos activités pour les Israéliens, auxquelles est consacré notre Beth-Machi’ah. Ce couple, marié depuis deux ans, n’avait pas encore été béni par une naissance… A partir de ce moment, ils furent les invités assidus de chaque Chabbath, se rapprochèrent du Rabbi, roi Machia’h, se fortifièrent dans leur pratique de la Torah et des Mitzvoth, et eurent l’immense privilège de trois naissances à leur foyer, celles de deux filles et d’un garçon, D-ieu en soit loué. Ils prirent ainsi la saine habitude de consulter le Rabbi pour chaque décision importante dans leur vie, sollicitant son accord et sa Béra’kha. Les faits qui nous intéressent remontent à l’année dernière. Leur situation économique était assez difficile, et le mari décida de tenter l’aventure de trouver du travailen Arizona (un Etat du Sud). Après avoir fait part de sa décision au Rabbi, par l’intermédiaire d’une lettre dans les «Igueroth-Kodech », et après avoir reçu sa Béra’kha, il partit pour ce pays, où il trouva un poste dans une fabrique de portails automatiques de parkings. Dans un premier temps, il restait trois semaines sur son lieu de travail, puis revenait passer la quatrième avec sa famille à Chicago. Au bout d’un certain nombre de semaines, et ayant constaté qu’il connaissait une réussite appréciable dans ce travail, il résolut de faire venir sa famille en Arizona. Il écrivit donc au Rabbi et sollicita une Béra’kha pour y transplanter sa résidence, mais, à sa grande surprise, la réponse du Rabbi ne faisait aucune référence à ce déménagement. Lorsqu’il m’en fit part, je lui répondis que cela dépendait de la manière dont il avait écrit : «As-tu mentionné l’opinion de ton épouse, du fait qu’elle consent ou non à changer de lieu d’habitation ? As-tu écrit qu’au cours de ton séjour là-bas, tu as fait des recherches pour localiser un lieu de prières proche de ta future habitation, ainsi que d’autres avantages pour la pratique du Judaïsme et de la ‘Hassidouth ? » Il me répondit par la négative, aussi lui donnai-je le conseil d’écrire de nouveau en mentionnant ces données, ce qu’il me promit de faire. A peine une semaine plus tard, je reçois son message, me répercutant la réponse du Rabbi, roi Machia’h, et détaillant l’évolution saisissante de sa situation : Depuis le début de son engagement en Arizona, il était resté en relation permanente avec sa famille et celle de sa femme, qui se trouvaient en Eretz-Israël. Dans ses échanges d’informations, il leur avait raconté ses efforts d’implantation en Arizona, et leur avait demandé avec retenue s’ils pouvaient l’aider financièrement à trouver un logement et à y emménager. Il insistait sur le fait qu’il ne sollicitait qu’un prêt, et qu’il les rembourserait dès que possible. Ce même jour, il avait écrit au Rabbi sur le fait de partir avec sa famille, et il avait reçu une réponse, par le canal des Igueroth-Kodech. Cette réponse s’adressait à un homme qui s’était plaint de ce que

L’

4

son gendre refusait son aide financière, qu’il lui avait offerte pour emménager dans un nouveau logement. Le Rabbi lui répondait de transmettre à son gendre qu’il devait accepter parce que cette somme entrait dans les subventions que l’On alloue à l’homme lors du Jugement annuel de Roch-Hachana. Or, le prodige saisissant fut que ce même jour, presque en même temps que cette réponse, il reçut un appel de son beau-père l’informant de ce qu’il lui envoyait la somme de 6000 Dollars pour contribuer à leur entrée dans un nouveau logement ! Et qui précisait qu’il ne s’agissait pas d’une avance mais d’un don ! Ce qui permit à cette famille de partir pour leur nouveau lieu de résidence, et de connaître la réussite, D-ieu en soit loué.

A TOUS NOS LECTEURS

En vue de l’Achèvement et de l’Inauguration prochaine

d’un Séfer-Torah

Le Centre d’Etudes HADAR HATORAH

lance une participation pour l’acquisition de l’écriture d’une colonne

(SÉGOULA POUR LA RÉUSSITE ET LA GUÉRISON) Pour tous reneignements : 06 19 86 47 97 - 06 48 33 66 59

Suite à deS difficultéS de tréSorerie souhaite de ses amis et fidèles un geste de solidarité pour lui permettre de poursuivre sa mission de propager le message du Rabbi, roi Machiah’, sur l’imminence de la Délivrance Chèques à l’ordre de Chaarei Binah 7 rue Monte Cristo 75020 Paris


Turn static files into dynamic content formats.

Create a flipbook
Issuu converts static files into: digital portfolios, online yearbooks, online catalogs, digital photo albums and more. Sign up and create your flipbook.