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Lumières du Chabbath
DEVARIM
5 & 6 Mena’hem-Av 5777 Entrée : 21h16 - Sortie : 22h30
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L’Hebdomadaire qui remet les pendules à l’heure ... de la Délivrance
Du 27/07 au 03/08/2017
Le Chabbath précédant le 9 Av est appelé «Chabbath ‘Hazon», par référence au début de la Haftara (la lecture tirée des Prophètes, qui suit celle de la Torah), et qui commence par les mots «‘Hazon Yéchayahou» (Vision de Yéchayahou)…
A la portée de tous éanmoins, et compte tenu de la grande précision qui caractérise les coutumes du Judaïsme, il est difficile de se contenter de cette explication quant à la raison de cette appellation, même si l’on n’en connaissait pas d’autres pendant des millénaires. Il a fallu en effet attendre les dernières générations de l’exil, alors que se profilait à l’horizon de l’Histoire juive la période ultime de l’exil, pour que soit enfin révélée, par l’un des maîtres de la ‘Hassidouth, l’origine de ce nom. Cette explication, donnée par Rabbi Lévi-Yits’hak de Berditchev, révèle qu’en ce Chabbath, qui précède l’anniversaire de la destruction des deux Temples de Jérusalem, un phénomène se produit, qui porte le nom de «vision», parce que chaque Juif perçoit, au fond de sa conscience, la vision du Troisième Temple reconstruit, comme un avant-goût de cette réalisation prochaine et éternelle. Pour qui connaît la précision des paroles des maîtres de la ‘Hassidouth, et plus encore celle des Rabbis de ‘Habad, connus pour la rigueur de leurs analyses, qui ont répété et véhiculé le propos du Rabbi de Berditchev, il ne s’agit pas là d’une allégorie. Nous essayerons donc de comprendre en quoi consiste ce phénomène de la vision du Troisième Temple, offert à chaque Juif le Chabbath qui précède l’anniversaire de la destruction.
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Vision et audition
Ce qui définit le sens visuel et le distingue de tous les autres moyens d’information sur la réalité est avant tout son caractère global (tout est perçu en un regard), ainsi que son caractère direct et instantané. Par rapport à l’objet perçu, le contact est total et ne permet pas
l’installation de doutes, ce qui affaiblit l’exercice du sens critique pour l’observateur. Par conséquent, la vision d’un événement générera un fort sentiment de vérité, et c’est aussi ce qui explique l’utilisation par les pouvoirs de l’outil visuel, dans le but évident de diriger l’opinion publique. En revanche, le canal didactique pour enseigner la vérité aux hommes, la Torah, utilise habituellement l’outil auditif, que ce soit par la lecture des textes qu’il faut ensuite traduire
rituels, de l’âme – alors que le monde matériel et ses manifestations s’offrent à son regard sans la moindre distance. Toute autre est la vision prophétique, connaissance directe qui s’apparente à une vision physique, parce qu’elle ne génère aucun doute et «attache» littéralement l’observateur à l’objet perçu. Mais ce mode de perception, comme l’explique le Rambam, n’est rendu possible qu’à des hommes préparés par une discipline personnelle, en un mot les prophètes. Or, c’est cette connaissance de la vérité qui, selon les prophéties bibliques, caractérisera l’époque de la Délivrance, où l’on n’aura pas besoin de livres pour connaître l’E-ternel, ni de maîtres humains, car «tous Me connaîtront, du plus petit au plus grand».
L’annulation de la destruction
mentalement en raisonnements ou en images pensées, ou par l’enseignement oral reçu d’un maître. Les informations sont traitées dans le centre cérébral de la «Binah» (l’analyse) qui s’apparente à l’information auditive. Ceci afin de ne pas porter atteinte au sens critique de l’homme, qui doit parvenir par ses propres moyens à la certitude qu’«il n’y a rien d’autre que D-ieu», toutes les autres appréciations de la réalité n’étant que des corollaires de celleci. Par conséquent, il n’y a rien d’étonnant à ce que l’humain puisse être assailli de doutes portant sur les sujets qu’il n’a pas vus – l’existence du Créateur, celle des mondes spi-
Un avant-goût de ce mode de connaissance fut révélé par le Baal-ChemTov et transmis à ses disciples, les maîtres de la ‘Hassidouth. Celle-ci procure une véritable vision de la Torah, parce qu’elle réveille le centre de la «‘Ho’khmah», la faculté conceptuelle, et elle est désormais offerte à chacun. C’est une Torah en trois dimensions, une dégustation de la Torah du Machia’h, cet «enseignement nouveau qui sortira de Moi», que nous avons le devoir de connaître, comme ces plats préparés pour le Chabbath que nous avons coutume de goûter le vendredi après-midi pour accomplir ce même concept. Et cela explique que le Troisième Temple soit offert précisément à notre vision, même si celle-ci n’est pour le moment qu’intérieure, pour nous informer que le remède visuel, la présence du Temple reconstruit, est déjà présent, avant l’anniversaire de la destruction, annulant celle-ci a priori !
DEVARIM
Jusqu’au Jour Ultime
D e l a To r a h d u M a c h i a ’ h
Le Talmud (Meguila 31-2) enseigne que la dernière partie du Pentateuque (le Livre de Devarim) a été directement émise par la bouche de Moché. Ce à quoi les Tossefoth ajoutent : «…et par inspiration prophétique». différence entre le dernier Livre et les quatre qui le précèdent réside dans la forme de transmission: dans les quatre premiers Livres de la Torah. Moché recevait les Injonctions Divines et les transmettait comme un simple messager, alors que pour Devarim, il paraissait enseigner de lui-même, ceci venant de l’imprégnation de la «Che’khinah» dans ses structures mentales au point de «parler par sa gorge».
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On peut expliquer la nécessité d’une telle transmission («par la bouche de Moché») par le fait que le Livre de Devarim s’adressait à la génération qui allait entrer en Eretz-Israël: l’entrée du Peuple Juif dans une vie structurée et sédentaire donnait le départ d’une nouvelle forme d’«Avoda» (service), qui consistait en une élévation et un affinage des éléments et occupations matérielles qui accaparent l’homme à partir de ce moment. C’est ce «revêtement» dans la matérialité des choses qui empêche de recevoir l’Influx Divin de manière directe, semblable à celle dont bénéficiait la génération du désert, car celle-ci n’était pas confrontée aux contingences matérielles et pouvait percevoir cette lumière Divine sans intermédiaire. Ce processus s’accroît à chaque génération : moins grande est l’envergure spirituelle de celle-ci, plus nombreux doivent être les moyens d’expression et intermédiaires à travers lesquels la Parole de D-ieu parvient au peuple.
Plus intense doit être la lumière
On peut appliquer ce principe à la Torah elle-même : non seulement le livre de Devarim n’est pas inférieur aux quatre qui le précèdent, mais la Volonté Divine y réside au contraire plus clairement. En l’occurrence, c’est l’exécution des directives contenues dans ce Livre (qui concernent la conduite à tenir en arrivant dans le Pays), qui permet le dévoilement de cette Volonté Divine. En effet, nous avons noté que ce Livre explicitait les Livres précédents et résolvait pour nous certaines de leurs difficultés. Cette faculté provient d’un niveau certainement très élevé, puisqu’il parvient à procurer la clarté aux plans les plus bas. Par conséquent, ceci s’appliquera également aux découvertes et mesures rabbiniques de tous les temps : plus bas est le niveau de l’époque, plus élevée et intense doit être la lumière condensée dans les mesures et interprétations des Sages de cette époque, et ce n’est que par l’obéissance à ces mesures qu’on provoquera le dévoilement total prédit par nos prophètes. Ceci est sous-entendu dans l’une des dernières phrases du Livre de Devarim «..jusqu’à la mer ultime», ce qui est interprété (à cause de la similitude de Yam: mer, et Yom: jour) par: «jusqu’au Jour ultime» (Rachi sur Devarim 34-2). La parole de D-ieu lorsqu’elle est revêtue et transmise par Moché – ainsi que par «les extensions de Moché en chaque génération», jusqu’aux directives et enseignements des guides des générations les plus ultérieures – a le pouvoir de provoquer le dévoilement du «Jour ultime», l’ère messianique.
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L’enseignement pour nous
La lecture du Livre de Devarim commençant toujours le Chabbath précédent Ticha-Beav (ou ce jour-même s’il tombe un Chabbath), sa relation avec le caractère de cette période se comprendra de la manière suivante : le «Tséma’h-Tsedek» (3ème Rabbi de ‘Habad) explique que les Chabbath de la période des trois semaines d’affliction sont considérés comme «un remède dont l’application précèderait la maladie», ne permettant pas à cette dernière de se manifester. En effet, les transgressions, qui sont à l’origine de cette application (c’est à cause des fautes d’Israël que le Temple a été détruit) proviennent de la faute initiale – le péché de l’Arbre de la Connaissance. Or la misère et l’obscurité ne s’installèrent dans le monde qu’à l’issue du premier Chabbath, celui-ci les excluant par son caractère supérieur. De la même manière qu’à la première fois, aucune empreinte consécutive à des transgressions ne peut atteindre le Chabbath, pas même le deuil résultant de la destruction du Temple. C’est pourquoi aucun signe de deuil ou de restriction n’est permis pendant les Chabbath de cette période. (Choul’han Arou’kh, Ora’h-‘Haïm 552). L’enseignement du Tséma’h-Tsédek indique que non seulement la destruction et le deuil n’atteignent pas le Chabbath – comme vu plus haut – mais que ces Chabbatoth ont été placés là («un remède avant la maladie»), pour transformer cette période et par-là l’exil lui-même, jusqu’à dévoiler la véritable raison d’être de l’exil: être un mobile à la Délivrance totale, du fait du surcroît de lumière qui surgit de la transformation des ténèbres du mensonge en clarté de vérité. C’est-à-dire qu’il faut puiser l’inspiration à l’atmosphère de ces Chabbatoth pour instaurer «le jour qui ne sera que Chabbath pour l’éternité». Selon le principe voulant que tous les faits prennent leur source dans la Torah, on entreprend la lecture du livre de Devarim le Chabbath précédent Ticha-Beav: celui-ci débute par des paroles sévères pour fustiger les écarts de conduite d’Israël, mais ce n’est qu’apparent, car l’obéissance aux enseignements de ce Livre conduit au «Jour Ultime», celui de la Délivrance définitive, sous la conduite prochaine de notre légitime Machia’h. (Si’hoth du Chabbath Vaéra 5712 et du Chabbath Mattoth-Massei 5717)
La Guéoula en Questions
Sur le Seuil de la Délivrance
ès le début du conflit consécutif à l’invasion du Koweit par les troupes irakiennes, et au sein de la panique engendrée par la crainte d’une généralisation de ce conflit, une voix différente s’était fait entendre, celle du Rabbi de Loubavich. Citant le Midrach «Yalkout Chimoni», qui avait prophétisé la révélation du Machia’h lorsqu’un conflit exactement identique à celui-là éclaterait, le Rabbi entreprit d’apaiser les esprits, en montrant aux habitants du Pays d’Israël qu’ils n’avaient rien à craindre, et il commença surtout à annoncer et à faire connaître l’imminence de la Délivrance
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Deux jeunes hommes se rencontrent sur Kingston Avenue, et parlent du Machia’h (souvenirs du Rav Herzl) «L’atmosphère était électrique pendant toute cette période. Le public était entré dans une situation d’attente impatiente d’une éventualité qui pouvait arriver à chaque instant. Cette situation différait beaucoup de celle qui avait régné précédemment, où dominait la tension, par manque de repères quant à ce qui se mettait en place… A présent, et plus se précisait cette image, plus le public manifestait son impatience de la révélation du Rabbi, qui allait se produire incessamment. Ce pouvait même être une question d’heures, de jours, au maximum de semaines, mais cela faisait partie du présent! Tous vivaient au sein du même sentiment. On pouvait croiser deux jeunes gens, qui venaient de se rencontrer sur Kingston Avenue, et qui discutaient du Machia’h, c’était même une chose banale qui n’avait rien d’exceptionnel. On sait que l’Admour Haêmtsaï (le deuxième Chef de ‘Habad) souhaitait ardemment que s’instaure une ère où deux ‘hassidim, qui se rencontreraient dans la rue, se mettraient à parler de «Yi’houda Ilaa» (une perspective métaphysique se référant à l’Absolu). Eh bien, on en était venu à quelque chose de semblable au sujet du Machia’h. Rien d’autre ne passionnait la communauté, et tous, même les plus simples, le vivaient intensément. On sentait qu’il s’agissait d’un événement actuel, même si, à l’écoute des Si’hoth, on comprenait que cela dépendait de nous. Le Rabbi l’avait fait entendre dans les tout premiers instants de cette période, mais un certain nombre de gens n’avaient pas bien compris ce message, ou bien essayaient de s’en libérer, préférant l’idée que «le Rabbi doit amener Machia’h» ou «c’est le Rabbi qui doit tout faire». Mais le Rabbi parlait clairement, disant que cela dépendait de nous, ce qui entraîna le public à bouger malgré tout, et à commencer à agir. A cette époque circulaient des listes d’«acceptation de la royauté» (initiées par Rav David Na’hchon), et, bien entendu, parmi les 250 premières signatures, se trouvaient des ‘hassidim fréquentant le 770. Lorsqu’on fit entrer ces listes chez le Rabbi, celui-ci fit connaître une réponse encourageante, de telle sorte que l’idée commença à se répandre, et tous finirent par comprendre que quelque chose d’histo-
rique était en train de se passer. Quelque chose du genre de «l’acceptation de la Nessiyouth» (lorsque le Rabbi, répondant aux milliers de demandes pressantes en 5711-1951, accepta de diriger l’ensemble de la génération), et même quelque chose de plus grand, puisqu’il était question de la fin de l’exil. Aussi, l’affaire connut une accélération au sein de toutes les activités entreprises à ce moment, et les élèves de la Yéchivah, les «’Hayalei-Beth-David» (soldats de la Maison de David) y prirent une place de premier plan. En même temps, régnait une grande joie, du fait que nous avions le privilège et le mérite d’assister à la révélation du Machia’h et à la fin de l’exil. Un sentiment qui plongeait toute la communauté (et les étudiants du 770 en particulier) dans un état de joie intense. Des hommes dansaient, d’autres faisaient des galipettes, à l’idée que Machia’h était présent sur place. Certes, il y avait également des moments d’attente et de foi ardente, comme lorsque le Rabbi encourageait le chant «Ye’hi», mais, dans ma mémoire, s’est gravée pour toujours cette atmosphère authentique qui régnait à ce moment, alors que le public tout entier vivait avec le Machia’h et attendait la révélation du Rabbi pour chaque minute. Les mois qui suivirent s’inscrivirent dans cette même ligne d’ambiance extraordinaire, qui ne faisait que s’embraser de jour en jour, autant du côté du Rabbi qui continuait de nous faire progresser vers la Délivrance, que de celui des ‘hassidim, engagés dans un processus d’activités ininterrompues
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Votre influence s’exerce là où vous êtes Ils ont vécu ce Miracle
Le canal pour se lier au Rabbi, roi Machia’h, à travers les «Igueroth-Kodech», les volumes de correspondance qu’il a fait éditer dans ce but, est maintenant universellement connu… Il suffit d’en être témoin pour confirmer l’action permanente du Rabbi dans les domaines où on le sollicite. Rav Raphaël Corcos, responsable des «Tanks de Mitzvoth» dans la région d’«Emek Ayalon», à l’est de Ramleh, raconte l’une de ces expériences édifiantes, vécues il y a quelques mois : «Un jour où j’avais garé le Tank à proximité de l’échangeur de Latrun, près du Musée «Yad Léchirion», pour faire bénéficier de la Mitzvah des Téfiline les militaires de la base toute proche, je vis s’arrêter une voiture, occupée par un couple d’allure orthodoxe. Ils voulaient que je leur indique la route qui menait au parc d’attraction «Mini-Israël». Une conversation s’engagea, au cours de laquelle ils exprimèrent leur admiration pour l’œuvre que nous accomplissions. «Est-ce que vous avez des volumes de «Igueroth-Kodech» à bord de ce Tank?», me demanda soudain le mari. «Absolument», leur répondis-je, «et vous pouvez monter dans le Tank et écrire vousmêmes». Ils garèrent leur véhicule et montèrent: «Je veux vous raconter de quoi il s’agit», expliqua le mari, «afin que vous nous guidiez quant à la manière de rédiger notre lettre. Et voici ce qu’il me raconta. Ce couple résidait à Nétivoth (dans le sud du pays). Il y a quelque temps, la femme envisagea la possibilité de déménager pour venir habiter à Jérusalem. Ils firent donc le voyage et trouvèrent un bon appartement dans cette ville. Ils arrivèrent même à un accord satisfaisant sur le prix demandé. Tout était donc pour le mieux, lorsque, sur la route du retour, ils sentirent tous deux, de manière inexpliquée, une crainte quant au bien-fondé de ce choix, et c’est pourquoi ils se réjouissaient grandement de pouvoir consulter le Rabbi, roi Machia’h. Je les mis en garde sur le sérieux avec lequel il fallait questionner et tenir compte de la réponse, et ils exprimèrent leur accord, après quoi ils s’assirent pour rédiger leur lettre. Ils clamèrent «Ye’hi Adonénou…», et introduisirent la lettre dans le volume 16, qui s’ouvrit aux pages 228-229 (lettre 6004). Dès les premières lignes de la réponse, une stupéfaction totale se peignit sur leurs visages. Qu’on en juge plutôt : «…Et vous me demandez mon opinion à ce sujet. A savoir continuer ainsi ou s’efforcer d’aller habiter dans la grande ville, où se trouvent de nombreuses personnes craignant D-ieu» «C’était exactement la question», déclara le mari, «aller habiter Jérusalem, cette grande ville avec de nombreux habitants craignant D-ieu». Nous poursuivîmes notre lecture : «Puisque la Providence Divine vous a donné le mérite que votre voix soit entendue, que votre influence soit ressentie là où vous habitez… alors, non seulement ne devez-vous pas partir de là, mais vous y attacher au contraire encore plus, et chercher toutes sortes de tactiques, de ruses et de voies pour utiliser pleinement l’influence que vous avez». La réponse était extrêmement claire : il lui fallait rester sur place,
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particulièrement parce qu’il avait la possibilité d’y exercer son influence. On pouvait aisément se rendre compte que le couple ne s’attendait pas à une réponse aussi évidente. Lorsque je demandai au mari quelle était son activité, il s’avéra qu’il oeuvrait effectivement avec les jeunes de la ville pour les fortifier dans le Judaïsme, dans l’étude de la Torah et la pratique des Mitzvoth. Le Rabbi, roi Machia’h, continuait de mettre en lumière l’importance de son travail : «Car, à notre époque et surtout pour notre génération, c’est une question de survie concrète, pas seulement l’acte de sauver des âmes pour l’autre monde, mais de sauver des vies en ce monde…» La fin de la lettre était vraiment émouvante, particulièrement au sujet de sa femme, qui avait été à l’origine de cette initiative-: «J’ai bon espoir que ces lignes quantitativement peu nombreuses seront suffisantes…, et que vous trouverez également les mots adéquats et éloquents pour éclaircir ce sujet à l’intention de votre épouse». Cela impliquait que non seulement sa femme consente au contenu du message, concernant son œuvre de renforcement du Judaïsme dans leur localité, avec dévouement et don de soi, mais qu’elle s’y associe également… en l’augmentant et en l’illuminant». L’expression de leur visage était plus qu’éloquente: «C’est de la pure divinité», articulèrent-ils.
SUITE À DES DIFFICULTÉS DE TRÉSORERIE souhaite de ses amis et fidèles un geste de solidarité pour lui permettre de poursuivre sa mission de propager le message du Rabbi, roi Machiah’, sur l’imminence de la Délivrance Chèques à l’ordre de Chaarei Binah 7 rue Monte Cristo 75020 Paris