Gueoula news n°16

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BH

N°16 - Hebdomadaire Chabbat Mévar’him ‘Hodech Elloul Parachat Rééh

Edition française

gueoulanews@gmail.com

Editorial

Rééh : Voir l’amour de D.ieu pour Israël

C’est là tout le but de la Guéoula, de nous montrer la profondeur de l’amour de D.ieu pour Israël. Dans la Aftara de cette semaine nous pouvons voir à quel point les paroles du prophète son actuelles, mais lisez plutôt.

« O, femme infortunée, battue par la tempête ! Voici, Je m’en vais asseoir les pierres de tes murs sur des rubis et les fonder sur des saphirs. Je t’installerai des fenêtres en pur cristal, des portes en escarboucles. Tout ton territoire sera empli de pierres précieuses… Personne ne t’inspirera plus la terreur, plus jamais elle ne t’atteindra. Si l’on voulait s’attaquer à toi, ce serait sans Mon appui. Qui oserait d’ailleurs s’en prendre à toi ?… Ecoutez-Moi plutôt et vous savourerez le bonheur, votre âme se délectera dans le bien être… » (et quelques versets plus haut) : « Les montagnes pourront chanceler, les collines s’ébranler, Mon amour pour toi ne chancellera pas, Mon alliance de paix avec toi ne sera pas ébranlée, parole de l’Eternel qui t’aime (Isaïe 54) ».

Après ces quelques extraits nous pouvons constater l’actualité de cette déclaration alors que la guerre continue, « la tempête du désert s’est transformée en Tsouk Eytan » et la vérité de cette prophétie annonçant que le Machia’h arrive, la Guéoula est déjà présente et que nous n’avons aujourd’hui qu’à ouvrir les yeux et voir… Le prophète de la Guéoula, le Machia’h, nous annonce : « Rééh, vois, Je place devant vous, aujourd’hui la bénédiction… » celle de la Guéoula, n’ayez pas peur, et annoncez le message autour de vous : « Le Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h annonce : le temps de votre délivrance est arrivé… Sortez et dansez dans les rues pour remercier Hachem des miracles et des prodiges qu’Il produit pour son Peuple aimé ». La joie de la Guéoula c’est maintenant, Machia’h, c’est Now ! (GB)

Sur la route d’Elloul

Dans les champs

On sait que, pendant Elloul mois de la miséricorde, le Roi se trouve dans le champ et Il accueille chacun avec bienveillance, reçoit les requêtes de tous. Dès lors, le protocole disparaît et celui qui se trouve dans le champ, qui n'est pas un lieu d'habitation, où pousse l'herbe des pâturages, soulignant la force de l'âme animale, bien plus celui qui s'identifie à Essav, « homme du champ », tous ceux-là se rendent également auprès du Rabbi. Et le Rabbi ne se met pas en colère, ne leur en veut pas de l'avoir venir en cet endroit. Bien au contraire, il leur réserve un bon accueil, avec joie qui fait disparaitre toute sévérité. Il n'est alors pas nécessaire de se bousculer. Il suffit de crier, du fond du coeur: « Père, sauve moi! ». Il faudrait être insensé pour ne pas le faire. (Discours du Rabbi, 18 Elloul 5710-1950) H or ai r es de Cha b bat Parachat Rééh - Jérusalem Entrée : 18h39 - Sortie : 19h51 Yé’hi Adoneinou Morénou Vérabbénou Méle’h HaMachia’h Léolam Vaèd

Mazal Tov, mazal tov ! Pour le mariage de Shimi et Léa Golumb le 24 Mena’hem Av 5774 à Kfar ‘Habad


T o r a h

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La bénédiction de la Délivrance aux yeux de tous…

G u é o u l a

Dvar Mal’hout

Extraits du discours Du Rabbi de Loubavitch Méle’h HaMachia’h Chlita Chabbat Rééh 30 Mena’hem-Av 5751-1991 La Paracha de Rééh est toujours lue dans un temps lié au mois de Elloul : soit le Chabbat qui précède et bénit le mois de Elloul, soit - comme cette année-ci - le Chabbat Roch ‘Hodech Elloul. Cela peut apparaître surprenant, car, à première vue, non seulement la Paracha de Rééh et le mois de Elloul n’ont-ils aucun rapport entre eux, mais, au contraire, ils sont porteurs de significations opposées. En effet, dans le mois de Elloul, l’accent est mis sur l’effort de l’homme pour se rapprocher de D.ieu, le « bien-aimé », selon le verset du Cantique des Cantiques qui est l’acrostiche du mot « Elloul » : d’abord « Ani Lédodi - Je suis à mon bien-aimé », en conséquence de quoi l’homme mérite l’aide de D.ieu, «Védodi Li, mon bien-aimé est à moi (1)». À l’inverse, la Paracha de Rééh souligne l’assistance et la bénédiction divine : « Rééh Anokhi Notène Lifnékhem Hayom Berakha - Regarde, Je donne aujourd’hui devant vous une bénédiction (2)».

Dans ce verset, chacun des mots exprime la qualité de la bénédiction qui émane d’En-Haut pour descendre sur le Peuple Juif. « Rééh - Regarde » exprime une intériorisation du message beaucoup plus profonde qui découle de la supériorité de la vision sur l’écoute. « Anokhi - Je » exprime un degré du Divin bien plus essentiel et élevé que lorsque D.ieu se révèle par l’autre terme pour « Je, Ani ». En effet, la lettre Khaf qui se rajoute à ce dernier pour former Anokhi représente le degré infini de Keter dont elle est l’initiale. « Notène - donne » exprime le don divin qui se fait dans la joie. « Lifnékhem - devant vous » signifie « au-dedans de vous », car l’influence divine venue d’En-Haut se révèle d’abord dans les profondeurs de l’être et ensuite seulement dans sa partie superficielle. « Hayom - aujourd’hui », exprime le dévoilement lié à la lumière du jour ainsi que l’éternité (car « aujourd’hui » désigne chaque jour) liée au dévoilement divin d’EnHaut. « Berakha - bénédiction » désigne aussi une influence divine qui vient d’En-Haut, voire même une influence si élevée qu’elle ne peut se révéler dans notre monde de façon positive, mais seulement d’une façon qui semble être une malédiction (que D.ieu nous en préserve) comme le dit la fin du verset.

Dès lors, comment peut-il exister un lien entre cette Paracha qui exprime le dévoilement divin d’En-Haut avec le mois de Elloul dont le sujet est l’effort de l’homme ici-bas ? On peut a priori justifier cela par le fait que le mois de Elloul doit constituer un bilan du service divin de l’homme envers D.ieu, pas seulement dans l’effort qui est fait « d’en bas », mais aussi de l’effort dans la révélation des forces de son âme, qui est un travail que l’homme effectue « d’en haut ». Ce point a été développé dans le discours précédent (de la Paracha Ekev) et il y a été expliqué que le premier jour de Roch ‘Hodech est lié avec le bilan du service divin qui se fait « de haut en bas ». C’est la raison pour laquelle il tombe un Chabbat, car en ce jour on n’a pas affaire avec le monde, mais avec son âme à travers l’étude de la Torah et la prière (et cela pénètre également la Mitsva de consommer les repas du Chabbat, qui sont élevés spirituellement par rapport aux repas de la semaine). Il est donc justifié que ce Chabbat soit celui de la Paracha de Rééh qui évoque le dévoilement divin « d’En-Haut ». Sortir des limites, de l’exil Le nom « Elloul » possède plusieurs acrostiches. Le premier représente la Torah : « Et celui qui n’a pas dressé d’embûches et D.ieu l’a amené sous sa main, Je te fixerai un endroit où il puisse se réfugier » (3). Ce verset parle en effet des « villes de refuge » qui évoquent la Torah, car celle-ci est un « refuge » spirituel qui préserve du mauvais penchant. Le second représente la prière : « Je suis à mon bien-aimé et mon bien-aimé est à moi , qui fait paître son troupeau parmi les roses », car il évoque l’attachement de l’homme à son Créateur à travers la prière. Le troisième représente les bonnes actions (« Guémilout ‘Hassadim ») : «En faire des jours de festin et une occasion d’envoyer des présents l’un à l’autre et des dons aux pauvres» (4). Ces trois piliers du service divin doivent se faire, comme nous l’avons dit, de façon qui dépasse les limites, comme cela apparaît dans le quatrième acrostiche qui représente la Téchouva (le retour à D.ieu) : « L’Éternel ton D.ieu circoncira ton cœur et le cœur de ta descendance, afin que tu aimes l’Éternel ton D.ieu de tout ton cœur et de toute ton âme, pour que tu vives. » (5), verset qui évoque la

Techouva qui aura lieu lors de la délivrance messianique. Cela apparaît d’autant plus dans le cinquième acrostiche qui représente la délivrance : « Alors, Moïse chanta, ainsi que les enfants d’Israël, l’hymne suivant à l’Éternel. Ils dirent : Je veux chanter à l’Éternel ... (6) », verset qui évoque également le cantique qui sera chanté lors de la délivrance future, quand nous pourrons accomplir le service de D.ieu à la perfection et sans limites. Le dernier acrostiche, qui évoque un service de D.ieu parfait, a encore plus de résonance cette année-ci (5751 - 1991, Ndt) et à la date actuelle. En plus du fait que nous avons achevé notre tâche et que nous nous tenons prêts pour la délivrance, nous sommes en l’an 5751, dont l’acrostiche est « ce sera une année où Je lui montrerai des merveilles » et nous avons déjà vu de nombreux miracles et merveilles. Nous avons vu notamment la chute du « rideau de fer » qui a permis aux Juifs de Russie de sortir de là-bas. Nous avons vu comment les émissaires (du Rabbi, Ndt) ont tenu leur congrès dans la capitale de la Russie, dont le but est de renforcer la diffusion de la ‘Hassidout dans le monde entier. Et après que onze mois aient passé dans cette année et que nous nous tenons au mois de Elloul, le mois du bilan, la conclusion du bilan est : « Ad mataï ! », jusqu’à quand ! Comment est-il possible que le Machia’h ne soit pas encore venu ? Comment est-il possible que l’on ne voie pas (« Rééh ») encore le Machia’h ?! En particulier sachant que nous sommes Chabbat, qui est lié avec la délivrance, car celle-ci sera « le jour qui sera entièrement Chabbat », et Roch ‘Hodech, le jour de la nouvelle lune, qui est lié avec la délivrance du Peuple Juif qui sera délivré de nouveau, et dans la Paracha de Rééh qui est liée avec la vision de la délivrance et dont la Haftara évoque, elle aussi, la délivrance : « Réjouissez-vous avec Jérusalem et soyez dans l’allégresse à causse d’elle... » (7). Ainsi, il est clair que la délivrance doit arriver. Notes 1/ Cantique des cantiques 6.3 - 2/ Deutéronome 11.26 - 3/ Exode 26.13 - 4/ Esther 9.22 5/ Deutéronome 30.6 - 6/ Bechala’h 15.1 - 7/ Isaïe 66.10


H i s t o i r e s Kiddouch à ‘Han Younes

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G u é o u l a

Dans les discours du Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h, est soulignée l’importance de remercier Hachem pour les miracles qu’Il nous produit car cela accélère le processus de la délivrance véritable et complète.

Parmi les premières unités qui sont entrées dans la bande de Gaza, dans le cadre de l’attaque au sol, étaient présentes certaines unités de parachutistes. C’était le jeudi, veille du 20 Tamouz. « Le lendemain, nous relate Ishay Bentsion de Kiriat Arba, officier dirigeant l’une de ces unités, c’était vendredi, la veille du premier Chabbat, qu’avait lieu la première opération sur le terrain que nous avons effectué en profondeur. D’autres unités se sont jointes à elle par la suite. Le vendredi suivant, nous devions attaquer le village de ‘Han Younes par l’est. Nous avons été informés que des groupes terroristes du ‘Hamas s’y trouvaient. En peu de temps, notre équipe était organisée et j’avais même pris du vin car nous devrions bien faire le Kiddouch quelque part. J’ai pris une seconde bouteille de vin « qui sait, peut-être qu’il aura des invités supplémentaires se rajoutant à l’improviste ». Non loin de là, une autre unité dirigée par mon ami Nadav était à son poste. Avant de partir au combat nous nous avons fait une partie du chemin ensemble. Il y avait une bonne ambiance entre nous bien que je sois pratiquant alors que Nadav se définissait comme « non-croyant ». Cependant nous discutions à bâton rompu sur le sujet de « Celui qui nous regarde d’en-haut et nous protège », mais Nadav restait ferme sur ses positions. Puis le moment vint de prendre la route pour le combat et moi, je priais pour notre réussite et pour que D.ieu protège nos soldats. Plus nous nous rapprochions du point de mire de notre mission et plus la tension se faisait palpable. Nous avions conscience de la difficulté de cette opération. Quelques minutes passèrent et soudain, ils ouvrirent le feu dans la direction de l’unité de Nadav. Il se trouve que ces terroristes (que leur nom soit effacé) nous avaient réservé un accueil des plus soignés. Dans la radio, je pouvais entendre les rapports de Nadav, entrecoupés par des explosions, puis le feu fut ouvert sur nous et commença alors la « grande fiesta ». Nous naviguions entre les bâtisses tout en tirant, le combat dura un long moment et se termina par la réussite de notre mission

et par de nombreuses victimes du côté terroriste. Chez nous, grâce à D.ieu, pas de victimes. Nous sommes entré dans l’un des bâtiments vide, nous préparant à y séjourner. Je jetais un coup d’œil à ma montre et constatais qu’il était temps de faire le Kiddouch de vendredi soir. Pendant que j’improvisais une table de Chabbat, Nadav prit contact-radio. « Ishaï, écoute, tu ne vas pas croire le miracle que je viens de vivre », j’étais réellement étonné de l’entendre tenir un tel discours « Après qu’ils aient commencé à ouvrir le feu dans notre direction, trois grenades ont atterris à mes pieds. L’une à ma droite, une autre à ma gauche et une juste devant moi… En vérité, je n’ai aucune explication logique à ce qu’il s’est passé par la suite ! Les grenades ont explosé toutes les trois et je n’ai pas eu une seule égratignure. Nous avons répondu immédiatement par un tir renforcé et nous avons réussi grâce à

D.ieu à nous en sortir et avons tué huit terroristes. Pour l’instant, je suis dans l’une des maisons que nous avons conquis et, alors que je commençais à m’organiser pour passer la nuit, et d’un coup, je commence à comprendre et je me dis : « Ecoute, il y a quelqu’un qui nous protège. Autrement, comment expliquer que trois grenades aient explosé à quelques centimètres de moi et, grâce à D.ieu, je n’ai même pas eu une seule égratignure ». J’ai donc décidé que puisque ce soir c’est Chabbat, et à la base militaire, ils font toujours le Kiddouch, alors moi aussi, ce soir je veux faire Kiddouch ! Avec mon unité. Tu as du vin ? J’ai vu que tu t’es préparé avant de partir en mission et que tu as amené avec toi du vin. Attends moi, j’arrive ! ». Le Kiddouch que nous avons fait ce Chabbat avec Nadav dans cette maison « désinfectée » à ‘Han Younes, il ne l’oubliera jamais. (Traduit de la Si’hat HaGuéoula)

Guéoula

Transmettre le message autour de nous

Il faut diffuser partout le service divin qui découle des cinq acrostiches du mois de Elloul, en particulier du cinquième qui représente la délivrance et qui doit pénétrer tous les autres aspects du service de D.ieu (notamment à travers l’étude des sujets relatifs à la délivrance et au Temple). Et concrètement : Il faut annoncer en tous lieux, par des paroles qui viennent du cœur, que D.ieu dit (à travers Ses serviteurs les prophètes) à chaque Juif : « Regarde, Je donne aujourd’hui devant vous une bénédiction », au point où l’on voit véritablement aujourd’hui avec des yeux de chair la bénédiction de la délivrance messianique. Cette proclamation doit émaner de tous, même de ceux qui prétendent qu’ils n’ont pas encore intégré et assimilé la chose, car, même dans ce cas, ils ont une foi parfaite et peuvent (et doivent) donc diffuser cela à autrui, à commencer par leur entourage, puis à tous les Juifs auxquels ils peuvent parvenir, et cela même aidera à ce qu’ils intègrent ce message comme il se doit. Puisse D.ieu vouloir que, par le mérite de ces paroles au sujet de la délivrance, celle-ci se fasse concrètement, en particulier lorsque nous allons relier cela avec le fait de dire « Lé’haïm ! » dans un Farbrenguen (réunion ‘hassidique) ici, dans la synagogue, la maison d’étude et de bonnes actions de mon beau-père, le Rabbi (précédent, Ndt) : «Lé’haïm ! Lé’haim Vélivrakha !» (« A la vie ! A la vie et à la bénédiction ! »). Puissions-nous tous mériter toutes les bénédictions, en particulier celle d’être inscrits et scellés pour une bonne et douce année, et a fortiori la bénédiction de la délivrance complète par notre juste Machia’h, et toute l’assemblée répondra « Amen » et « plus grand est celui qui répond Amen que celui qui bénit ». Amen, Ken Yéhi Ratsone. (Dvar Mal’hout Rééh)


L ’ è r e

Médical

Une pâte réparatrice

Les fractures nécessitent souvent des opérations longues avec un risque d’infection non négligeable. Une équipe britannique de l’université de Nottingham a remporté en décembre dernier un prix d’innovation médicale pour son invention : une pâte pour réparer les os fêlés.

La pâte, de la texture du dentifrice, est injectée à l’endroit de la fracture et se solidifie au bout de 15 minutes. Sa structure poreuse permet ensuite à l’os naturel de se régénérer. Elle serait utilisable dans les cas de lésions osseuses importantes, avec plusieurs fractures ou des morceaux isolés.Le professeur Kevin Shakesheff, vient de monter sa start-up nommée Re-

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genTec, prévoit une mise sur le marché aux Etats-Unis pour très bientôt. Régénérescence des cellules, des tissus, des os, rajeunissement de la peau, des muscles et toutes les sciences qui se mélangent pour donner un tableau du monde qui arrive, du futur qui se mêle au présent et nous donne en temps réel le visage de l’ère nouvelle qui accélère le passage, le pont entre exil et délivrance et dès maintenant nous pouvons réaliser que le monde n’est plus simplement prêt pour la Guéoula, mais que le processus de dévoilement la volonté de D.ieu à notre sujet est de nous élever, nous faire grandir, et de nous enseigner dans les meilleures conditions la « Torah ‘Hadacha Mi Iti Tetsé, la nouvelle Torah qui sortira de Moi ». A commencer par les nouveaux discours du Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h qui nous dispensera en direct l’enseignement nouveau venant du Saint béni soit-Il lors de la délivrance véritable et complète immédiatement… (GN)

High-Tech

Scribble : le stylo de la Guéoula

Une start-up a créé le stylo connecté avec une quantité de couleurs quasiment illimitée. Et pour cause, il suffit de pointer ce stylo high-tech sur n'importe quelle couleur de son environnement pour qu'il l'enregistre et la réutilise sur du papier. Bienvenue dans le futur !

Ce système inédit fera en fera rêver plus d'un. Terminé les palettes de pastels et les crayons pour les amateurs de dessins ! Équipé d'un capteur, d'une mémoire interne d'un giga et de la technologie bluetooth, ce stylo peut contenir près de 100 000 couleurs à la fois et en capter 16 millions en tout. Une fois la couleur désirée prélevée dans son environnement, un mélangeur d'encre se charge de la créer, aussi simple que ça ! Sa date de sortie reste encore inconnue, le projet devrait être lancé sur le site internet américain Kickstarter d'ici peu. Un stylo qui écrit dans les couleurs de la Guéoula... (GN) Petites Annonces Cours de Torah Jérusalem Beit Machia’h du centre ville 8, rue Yaavets. En français le Jeudi à 14h00 pour femmes le potentiel extraordinaire du Juif 054-5731430

Baka Chabbat : Minyane ‘Habad à 10h30 suivi de

Farbrengen et Min’ha. Synagogue Tefila LeDavid - 1, rue Dan

Exclusif ! Le livre du Dvar Mal’hout (discours du Rabbi Chlita MHM 1991-1992) en français est enfin disponible... 054-9204694

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Le journal «Guéoula News» est édité par l’association «Vive Le Roi Machia’h». Directrice de la publication : Menou’ha Ra’hel Beckouche - Graphisme-Journalisme : Gabriel Beckouche Secrétariat : Léa Bensimon - Correspondant à Paris : ‘Haïm Benchoam 0177127044 - Site Internet: www.viveleroi770.com - Email : gueoulanews@gmail.com - Tél. 058-4770055 ou 0177501175

G u é o u l a Bio-Agriculture

Plantes éternelles

Aujourd’hui 70% des grandes cultures nécessitent de ressemer des graines chaque année : ce sont des plantes « annuelles ». Or, selon les auteurs d’un article paru dans le magazine Science en juin 2010, les plantes vivaces (qui repoussent naturellement chaque année) nécessitent cinq fois moins d’eau et 35 fois moins d’engrais que les cultures classiques pour pousser. Leur objectif est donc de transformer les semences classiques (le blé notamment) par transgénèse. « Ce serait la plus grande avancée de l’agriculture depuis 10 000 ans », s’enthousiasment les auteurs de l’article. Les signes se multiplient aujourd’hui dans tous les domaines sciences, médecine et même agriculture pour nous montrer l’imminence de la période pendant laquelle nous accéderons à la vie éternelle, en bonne santé… et dans la joie de la Guéoula. (JDN)

Des arbres lampadaires

L'éclairage public représenterait 8% de la consommation électrique mondiale. Des étudiants de l'Université de Cambridge (Royaume-Uni) ont imaginé le remplacement des lampadaires par... des arbres lumineux. Ils ont réussi à introduire dans le génome d'une cellule un gène issu de la luciole ou d'une bactérie sous-marine, capable de restituer de la lumière. D'après leurs calculs, un arbre ne consommerait ainsi que 0,02% de l'énergie qu'il absorbe par photosynthèse pour émettre suffisamment de lumière afin d'éclairer une rue. Le projet a remporté le premier prix de la compétition IGEM 2010, qui récompense les meilleures innovations en génie génétique. (GN)

Igueroth Kodech

Pour consulter les Igueroth Kodech et vivre les miracles de la Guéoula

058-4770055 L E

C A R N E T

Pour la réussite de : De nos soldats qu’Hachem les protège ‘Hanna Bat Mercedès, Line Bat Mercedès, Michaël Ben Mercedès, Henri ‘Haïm Ben Julia, Perla Bra’ha Bat Menou’ha Ra’hel, Noa Sarah Bat Menou’ha Ra’hel, la famille Liraz Touval, Gary Chlomo Ben Tserouya, David Ben Tserouya Pour la bonne santé de : Mercedès Bat Fifine, Moché Ben Fifine, et Morde’haï Tsvi Ben Ra’hel Leilouï Nichmat de : Norbert Avraham Ben Pnina, Yossef Ben Solika, Meyer Benchoam, Fifine Bat Habiba, Yossef Abitbol Ben Clara et Ayala Bat Méïr.


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