BH
N°3 - Hebdomadaire Chabbat Parachat Bamidbar Qui bénit le mois de Sivan 5774
A l’approche du don de la Torah, lors de la Guéoula
Alors que le peuple juif entre dans le désert du Sinaï et se prépare à recevoir la Torah... Nous nous préparons à recevoir la Guéoula dans la joie de la Torah du Machia’h qui nous éclaire à tous dès maintenant ! GB Bio Technologie
La réalisation de la prophétie «La vision aux aveugles»
«Concrètement, il faut donc que se produise immédiatement la délivrance messianique ! Alors, les non-voyants guériront de leur infirmité et verront clairement. Ils guériront même avant tous ceux qui ont besoin d’une guérison et verront comme tout le monde. En outre, il ne sera plus nécessaire de lire lors de l’ère messianique, car le Machia’h enseignera à tous à travers la vision, de sorte que tous verront les sujets profonds de la ‘Hassidout et n’auront donc pas besoin de les lire dans des livres. (Le Rabbi de Loubavitch - Chabbat Ekev 5751-1991)»
Des scientifiques israéliens ont mis au point une technologie permettant aux personnes aveugles de naissance de voir avec l’aide d’une lentille de contact bionique.
La nouvelle technologie, développée par une équipe de l’Université Bar-Ilan, doit encore recevoir l’approbation des essais cliniques, mais sa faisabilité est actuellement testée à l’aide d’un modèle simulant la lentille bionique. La technologie se compose d’une petite caméra qui reçoit les informations visuelles de l’environnement et transmet des signaux à une lentille de contact bionique. L’objectif passe les signaux via
des électrodes à la cornée et de là, aux zones du cerveau sensoriel, générant un stimulus qui simule l’information visuelle. « Cette technologie est une bonne nouvelle pour l’humanité, en particulier afin de donner la vue aux personnes aveugles de naissance sans une intervention chirurgicale ou endommager les autres sens vitaux ou organes » a dit le professeur Zeev Zalevsky, chef du génie électrique et nano-photonique à l’Université Bar-Ilan, qui a dirigé l’équipe de recherche. Ce système, qui contourne la rétine, est destiné à ceux qui souffrent de dégénérescence rétinienne. Il se compose d’une caméra minuscule implantée dans le œil qui transmet des signaux électriques directement aux nerfs de la vue attachés à la rétine, sans passer par la rétine et de générer des stimuli visuels. La nouvelle technologie israélienne est non invasive et vise à donner la vue à l’aveugle congénital. « La nouvelle technologie tente de faire face aux problèmes des technologies déjà existantes d’yeux bioniques pour permettre même aux gens qui sont aveugles de naissance, dans lesquels la région du cerveau qui traite les informations visuelles n’est pas développée, de voir » explique Zalevsky. La lentille bionique stimule les nerfs cornéens dans la partie externe de l’œil, connectés dans le cerveau pour les zones qui traitent les informations sensorielles. La technologie consiste en une caméra minuscule avec un compresseur d’image et un amplificateur
de signal électrique situé à l’extérieur du corps du patient et peut être attaché à ses lunettes ou à un appareil cellulaire. De hautes résolutions techniques sont utilisées « pour encoder une image de nombreux pixels et la compresser en quelques pixels, » explique Zalevsky. Les informations compressées sont transmises, après être amplifiées électriquement, de l’appareil de photo sans fil à une lentille de contact bionique dans l’œil. L’objectif proposé aura quelques 10000 électrodes minuscules permettant la stimulation de la cornée. « La cornée est la partie de l’œil la plus riche en nerfs sensoriels et possède des dizaines de milliers de points sensoriels auxquels les électrodes minuscules sur la lentille peuvent se connecter » a dit Zalevsky. Les stimuli sont passés de la cornée par l’intermédiaire du système nerveux dans différentes régions du cerveau qui traitent l’information visuelle. La technologie de Bar-Ilan doit encore être approuvée pour les essais cliniques. Mais dans les derniers mois, la faisabilité du système a été testée avec réussite sur dix sujets.
Horaires de Chabbat Parachat Bamidbar - Jérusalem Entrée : 18h59 - Sortie : 20h15 Yé’hi Adoneinou Morénou Vérabbénou Méle’h HaMachia’h Léolam Vaèd
T o r a h
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G u é o u l a
Dvar Mal’hout Extraits du discours Du Rabbi
de Loubavitch
Méle’h HaMachia’h Chlita Chabbat Bamidbar 5751-1991
Le lien entre le Chabbat et Chavouot*
La raison profonde de ce lien est la suivante : la définition du Chabbat est d’être le jour du repos et l’objet du don de la Torah fut également d’introduire le repos dans le monde.
Le monde, en effet, fut créé de façon à être perpétuellement sujet aux changements : en premier lieu les changements liés au temps [aussi bien du point de vue du temps universel (succession des jours, enchaînement du passé-présent-avenir) que de celui des changements et bouleversements que connaît individuellement chaque créature], mais aussi dans l’espace ; les différences qui existent d’un lieu à l’autre et qui exigent de voyager et de s’adapter à chaque endroit, ce qui est l’inverse du repos. Quand la Création fut achevée, le premier Chabbat, il fut soudain perceptible, malgré la grande diversité qui la caractérise, que celleci répondait à une intention unique de la part du Créateur. Et lorsqu’il est apparent que toutes les créatures de la Création, aussi différentes puissent-elles être, participent d’une seule et unique finalité, cela introduit le repos dans toute la Création.
[Ceci est d’ailleurs visible dans le Chabbat qui est relié au repos aussi bien dans le temps que dans l’espace : il est en effet connu que le Chabbat constitue un degré qui est « audessus du temps », qui transcende le temps. C’est ainsi qu’il est suivi d’un nouveau cycle hebdomadaire qui recommence au début (dimanche, puis lundi, etc.). En effet, les jours qui suivent le Chabbat ne sont pas la continuation de la semaine précédente, car le Chabbat constitue une élévation au-delà du temps. Concernant l’espace, il est interdit de sortir du T’houm Chabbat, la limite sabbatique (et la permission d’aller à sa guise à l’intérieur de cette limite est due au fait que ce territoire est considérée comme l’endroit inhérent à la per-
sonne et n’occasionne donc pas en soi de perturbation du repos).] Ainsi, le repos est atteint lorsque dans tous les détails de la Création se révèle la raison de leur existence. Ceci se produit le Chabbat et, de façon optimale, lors du Don de la Torah, car cet événement constitua l’objectif pour lequel le monde avait été créé. C’est à ce moment que cet objectif fut ressenti dans le monde entier, engendrant un état de repos véritable. Et ceci est également perceptible dans la nature humaine : quelqu’un qui ne trouve pas de sens ou de but à sa vie est perturbé et ne connaît pas de repos. La tranquillité de l’âme et le repos du corps dépendent de la perception que l’on a de la raison de son existence. Et lorsque ceci est atteint, cela apporte du repos à l’univers entier.
L’enseignement pratique Chaque année, les Juifs doivent recevoir de nouveau la Torah comme s’ils la recevaient pour la première fois (« Les paroles de la Torah doivent être pour toi toujours nouvelles ») de façon à ce que ceci soit bien compris et intégré dans leurs esprits. Et ceci conduit chaque Juif à effectuer un renouveau dans son service de D.ieu, y compris dans son étude de la Torah, aussi bien dans la quantité que dans la qualité. Aussi bien dans les études générales - celle des Pirkei Avot durant tous les Chabbats de l’été, en approfondissant au minimum une Michna, l’étude du ‘Hitat (‘Houmach, Téhilim, Tanya) et du Rambam quotidiens, que dans les études particulières que chacun se fixe selon ses capacités. De même, un ajout dans la publication et la diffusion sous forme imprimée de ‘Hidouchei Torah, de commentaires personnels sur la Torah et le Talmud. Chacun a, en effet, un devoir de contribuer à cela, car chaque Juif possède sa part dans la Torah. En outre, ce sujet est particulièrement important dans notre génération, car, bien qu’il faille être prudent lorsqu’il s’agit de faire des ‘Hidouchim, le dépérissement spirituel progressif des générations impose que l’on recherche tous les moyens possibles pour amplifier l’étude de la Torah. Or, il est visible que la pu-
blication de ‘Hidouchim engendre une augmentation de l’étude de la Torah, aussi bien chez celui qui les produit que dans son entourage et chez tous ceux à qui les ‘Hidouchim parviendront - « envier les Sages augmente la sagesse ».
Miyad Et grâce à tout cela, nous parviendrons bientôt au repos dans toute sa perfection, lors de l’ère messianique, dénommée « le jour qui sera entièrement Chabbat et repos pour la vie éternelle », quand disparaîtra l’exil des Enfants d’Israël (qui est l’inverse du repos). Et tout ceci de façon immédiate, ce qui se dit Miyad, mot constitué des initiales de Moché, Israël (le Baal Chem Tov) et David, les trois bergers du peuple juif liés à la fête de Chavouot. Et le roi Machia’h viendra nous délivrer et nous lui dirons tous « Que la paix soit sur vous », « sur vous » au pluriel, car il inclut toutes les âmes de tous les Juifs de la génération de la Délivrance, et il répondra à chacun en particulier « Que sur vous soit la paix », (« sur vous » au pluriel, car il saluera l’ensemble des bonnes actions de chaque Juif) et «Que sur vous soit la paix» à tout le peuple juif dans son ensemble. Et l’essentiel est que ceci soit immédiat, Miyad.
* En 5751-1991 Chavouot tombait Chabbat
Le cinquantième degré
On retrouve cela dans ce qui a constitué la préparation des Enfants d’Israël au Don de la Torah : le compte du Omer. Après avoir compté chaque degré, ce qui fut un service divin marqué par le changement et le déplacement, il arrivèrent au cinquantième jour, celui de la révélation du Don de la Torah, mais simultanément il reçurent le dévoilement de tout l’enchaînement des mondes, matériellement et spirituellement, et tout était pénétré d’un même sentiment, le « retour à l’Unique ». (Dvar Mal’hout Bamidbar)
H i s t o i r e s Du lait de France
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G u é o u l a
Le ‘hassid est comparé à la vache. De la même façon qu’une vache donne du lait, un ‘hassid donne de la ‘Hassidout. C’est à dire qu’il diffuse les grandes lignes de l’enseignement de la ‘Hassidout autour de lui. Ces propos apparaissaient dans une lettre du Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h qui était lue par le Rav Mena’hem Volika. Il saisissait parfaitement le sens que ce message avait pour lui, personnellement. Et cela lui donna l’occasion d’être encore plus désemparé face à la situation dans laquelle il se trouvait. Le Rav Mena’hem édite des Si’hot (discours) du Rabbi traduites en français. Il s’oriente surtout vers les derniers discours prononcés par le Rabbi (de l’été 5751-1991 à l’hiver 5752-91/92). Ces discours nous décrivent de manière extraordinaire l’époque dans laquelle nous vivons, à la veille de la délivrance finale et nous enseignent comment passer de cette veille et entrer enfin de plain-pied dans la Guéoula. Déjà ont été imprimés dix-huit fascicules de qualité à des milliers d’exemplaires. Une grande diffusion qui demande d’immenses budgets. Or, le Rav Volika sentait bien qu’il avait exploité ses dernières cartes et il n’arrivait plus à trouver un donateur sérieux qui prendrait sur lui la tache de l’impression. Il ne lui restait plus un centime en poche pour une nouvelle diffusion. Il avait écrit une lettre au Rabbi et l’avait introduit dans un volume des « Igueroth Kodech ». Les « Igueroth Kodech » sont une série de volumes contenant des milliers de lettres du Rabbi sur tous les thèmes de la vie. Sur la base des paroles du Rabbi luimême, les ‘hassidim ont l’habitude de soumettre leurs questions et leurs demandes de bénédiction au Rabbi par l’intermédiaire de ses livres. On écrit une lettre, on l’introduit entre les pages du livre, et la bénédiction intervient par ce biais. Pour la majeure partie des cas, on peut trouver dans les pages où se trouvait la lettre, une réponse du Rabbi sur le sujet abordé. Le Rav Mena’hem espérait grandement trouver entre les pages, au moins en allusion, une espèce de consentement à cette trêve. Au lieu de cela, il reçut la parabole de la vache…
Quelques semaines passèrent pendant lesquelles le Rav Volika n’avait plus imprimé de fascicules supplémentaires. Malgré toute sa bonne volonté, il n’avait aucune possibilité concrète d’éditer quoi que ce soit. Un soir, le Rav Mena’hem participa à un cours avec des amis. A la fin du cours, ses amis l’incitèrent à revenir à son projet initial d’édition : « c’est un grand mérite de diffuser les sources de la ‘Hassidout de manière aussi large ». « Un mérite, un mérite ! », leur répondit le Rav Volika ironique. « L’un d’entre vous peut-il me signer un chèque pour ce mérite ? ». La question resta suspendue dans les airs, sans réponse. Avant que ne se disperse l’assemblée, ils écrivirent un compterendu du cours au Rabbi comme la tradition le voulait. Puis, ils placèrent la lettre dans les « Igueroth Kodech ». Ils trouvèrent dans les pages ouvertes trois lettres qui parlaient de diffusion des sources. Dans l’une d’elles, le Rabbi écrivait qu’il envoyait à son correspondant un chèque en participation au frais. Tous les présents avaient bien compris que cette lettre s’adressait particulièrement au Rav Volika. « Le Rabbi vous promet une participation aux frais d’impression ! » lui lança l’un des présents. « Le Rabbi trouvera la voie pour vous remettre cet argent », dit un autre.
Masculin, féminin :
La bénéfique séparation
Si seulement, se dit le Rav Volika, si seulement je pouvais découvrir cette voie. A peine une minute plus tard, une personne entra dans la salle de cours, se tourna vers l’un des participants et lui donna une enveloppe. « C’est très bien que je t’ai trouvé » dit-il sur un ton d’excuse. « Je n’ai pas pu transmettre le chèque de banque à la personne en question ». Après la sortie de cet homme, celui qui reçut l’enveloppe se tourna vers le Rav Volika et lui dit : « Vous avez gagné ! ». Le Rav Volika le regarda stupéfait et le vit sortir de sa poche un chéquier et y remplir une somme de plusieurs milliers de Chékels pour la prochaine édition. La première réaction du Rav Volika fut… de se lever et de danser. Il ne croyait pas ses yeux de voir à quelle vitesse s’était accomplie la promesse et la bénédiction du Rabbi. Mais tout ceci n’était pas suffisant car il manquait toujours une somme pour payer les dettes passées. Un autre participant au cours transmit au Rav Volika les coordonnées d’un Juif français aisé, qui aime le Rabbi, « il voudra certainement faire un don », espéra t-il à voix haute. A dire vrai, le Rav Mena’hem connaissait cet homme et maintenait un lien avec lui. Il avait voulu introduire le Rav Volika dans ses affaires, mais une réponse claire du Rabbi avait empêché le Rav
Une étude auprès de 54 étudiantes surdouées a été publiée récemment dans le « Psychological Journal of Education ». Elle relève deux phénomènes principaux : d’une part, les résultats des étudiantes qui ont passé leur examen en mathématique dans un cadre exclusivement féminin dépassent les résultats de celles qui ont passé leur examen dans une salle mixte. D’autre part, les femmes qui étudient dans les écoles supérieures sont contraintes à lutter contre des préjugés émettant l’idée que leurs capacités mentales sont inférieures à celles des hommes « la menace stéréotypée » qui entraîne inexorablement
Volika d’accepter cette proposition. Maintenant, le Rav Mena’hem appela cet homme avec une proposition inverse ; de le faire participer, lui, un Juif aisé, aux « affaires » du Rav Volika. « Nous imprimons actuellement un discours du Rabbi qui parle de la révolution spirituelle qui se passa, il y a peu, dans l’Etat français. Prenez pour vous ce grand mérite ! ». « Inutile de m’en dire plus », l’interrompit son interlocuteur. « J’étais moi-même dans la maison d’étude du Rabbi lorsqu’il prononça ce discours. J’ai même eu le mérite de dire au Rabbi « Le’haïm » à cette occasion ». A ce moment-là, cet homme donna une bonne somme pour financer l’impression. De plus, il mit le Rav Mena’hem en contact avec quelques donateurs supplémentaires. Ainsi, fut tracé le chemin pour les discours en français qui monta sur la voie royale. Le Rav Volika conclut son histoire par un épisode original : « Quelques jours après la suite miraculeuse de dons, je gagnais à une loterie un merveilleux tableau représentant le Rabbi distribuant des verres de vodka pour la bénédiction. Je sentais que par cette image le Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h me versait un verre, me souhaitant « Le’haïm » et me transmettait les forces pour poursuivre ce travail Kodech »… (Traduit de Haguéoula)
une baisse dans les résultats des étudiantes, sans aucun rapport avec leur véritable quotien intellectuel. Conclusion de l’étude : A l’université il serait bien plus profitable de constituer des classes séparées. Les résultats seront estimables non seulement du côté des études mais aussi au niveau psychologique des étudiants et étudiantes ; le calme, la sérénité l’entraide sociale sont caractéristiques de l’étude entre femmes ou entre hommes. L’expérience de 2000 ans d’études en cadres séparés a prouvé la réussite des élèves (dans l’étude de la Torah principalement) même lors de leur développement, de leur vie de couple, leur vie parentale, professionnelle et dans leur mode de vie en général. (Citizen)
L ’ è r e
Medecine
Fini les injections d’insuline !
Beta-O2 Technologies a développé une technologie qui pourrait considérablement faciliter la vie des patients diabétiques.
Il s’agit d’un pancréas bio-artificiel implantable ; le ßO2. Il a été conçu comme un traitement pour les patients insulino-dépendants, soit les diabétiques de type I et ceux d’un sous-groupe de type II. Ces deux catégories regroupent près de 30 millions de personnes dans le monde. De type I ou II, le diabète traduit une élévation anormale du taux de glucose dans le sang. Cette anomalie est due à l’incapacité de l’organisme de métaboliser correctement le glucose, nécessitant de l’insuline (naturellement insuffisante ou mal utilisée) pour le transport du glucose dans les cellules. Le traitement actuel de ce type de diabète est lourd, désagréable, sans être optimal. Le dispositif ßO2 est implanté sous la peau lors d’une opération rapide et peu invasive. L’appareil réunit des îlots de Langerhans contenant eux-mêmes des cellules produisant de l’insuline, qui sont oxygénés et nourris de façon continue grâce à la technologie exclusive de Beta-O2. Ces îlots de Langerhans sécrètent le taux d’insuline
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nécessaire au maintien d’une glycémie normale dans le corps du patient, tandis que les cellules sont protégées contre le système immunitaire par des membranes couvrant le dispositif. Cette nouvelle technologie permettra aux patients diabétiques insulino-dépendants de pouvoir vivre avec un taux de glucose correct, sans contrôle glycémique intensif ni injections d’insuline. Le diabète est une maladie grave qui, sans traitement approprié, peut être à l’origine de maladies cardiaques, de la cécité, de l’insuffisance rénale, voire d’amputations. Les scientifiques ont longtemps essayé de recréer le processus naturel de production d’insuline, envisageant la transplantation d’îlots comme un remède au diabète. Mais à ce jour, les défis complexes de l’oxygénation continue et le rejet immunitaire de l’organe transplanté n’ont pas été relevés. Beta-O2 a, en quelque sorte, contourné ces problèmes avec le ßO2. Beta-O2 est actuellement engagé dans des études précliniques et devrait entamer les essais cliniques dans un avenir proche. La société a déjà réussi à ajuster la glycémie des rats diabétiques à un taux de glucose normal, après implantation sous-cutanée de l’appareil. Shani Benoualid
High Tech
Le capteur moléculaire né en Israël
Consumer Physics vient d’annoncer la commercialisation imminente, pour 149 dollars, d’un objet totalement révolutionnaire, le premier capteur moléculaire miniature (spectroscope) permettant d’analyser de façon instantanée la composition chimique de tout ce qui se trouve autour de vous, aliments, plantes, médicaments, liquides,…
L’appareil est dénommé SCiO et vient de faire l’objet d’une campagne de financement qui a rencontré un succès fulgurant et atteint son objectif initial en 24 heures. L’utilisation du SCiO donne l’impression de participer à une expérience de ScienceFiction. Il suffit par exemple de disposer le capteur contre un morceau de fro-
mage pour savoir combien de calories il contient, son poids, sa quantité de graisses, de protéines ou de glucides. Concernant l’alimentation les usages sont illimités et vont de l’analyse de la qualité d’une huile de cuisson à l’analyse du taux d’alcool ou la présence d’une drogue dans un liquide, mais l’éventail des objets analysés va bien au-delà des aliments car il est possible de vérifier la composition d’un médicament ou de contrôler le taux d’humidité d’une plante tout en étant averti quand celleci n’est pas suffisamment irriguée. Les résultats de ces analyses sont immédiatement accessibles sur smartphone via une application destinée. Jusqu’à présent, les spectromètres utilisés pour la spectroscopie proche infra-
rouge étaient très onéreux (plusieurs dizaines de milliers d’euros) et volumineux. Le tour de force des chercheurs israéliens est d’être parvenu à simplifier la technologie grâce à plusieurs algorithmes inédits et à miniaturiser l’objet. La réussite de ce projet et l’intelligence du concept du spectroscope de poche sont le fruit de la qualité de l’équipe israélienne de recherche. Ces derniers jours, les acteurs de la presse internationale se sont enthousiasmés pour le SCiO. Dror Sharon, le PDG de Consumer Physics; a expliqué que dans un futur proche les possibilités analytiques du SCiO seraient encore élargies afin de mesurer les propriétés moléculaires des cosmétiques, pierres précieuses, et des vêtements.Israël Valley
G u é o u l a Sécurité
L’avion invisible
L’avion américain F177 « Night Hawk » plus connu du public sous le nom de « Furtif ». Il se caractérise par capacité à se faufiler hors de portée de tout instrument électronique comme les radars et tout ce qui y ressemble.
Le journal des archives scientifiques qui paraît aux Etats-Unis a publié récemment que les bases de ce projet ont été prises d’un autre projet américain top secret et dont le nom de code n’est autre que « Le Juif (Yehudi) ». Ce projet a vu le jour en 1943 sous l’égide du Ministère de la Défense Américain, deux ans avant la fin de la seconde guerre mondiale. Le principal problème que les ingénieurs du « Juif » ont rencontré était l’invention d’un avion qui « voit mais qui est invisible ». La solution qui fut conseillée était d’équiper l’avion de puissants projecteurs qui seraient installés sur les ailes dont la lumière se confondrait avec celle du ciel. L’idée fut adoptée et concrétisée et la distance de découverte de l’avion baissa de manière drastique, de 15km à trois. Récemment, fut dévoilée l’identité de l’auteur de cette brillante idée. L’ancienne directrice du projet « Yehudi » a déclaré à un Chalia’h ‘Habad de Miami, le Rav Chalom Lipsker, que celui qui a conduit le projet était un conseiller du nom de Mena’hem Mendel Shneerson. Une rapide enquête montra qu’il s’agissait bien du Rabbi de Loubavitch avant son accession à la direction du mouvement ‘Habad. Il avait mis son génie au service de l’armée américaine. Maintenant nous savons que le projet fut dénommé « Yehudi » au nom de l’origine du Rabbi directeur de la conception de l’avion « Furtif », mais ce n’est pas tout. Il y a près de vingt cinq ans de cela, le Rabbi a appelé le peuple Juif à ouvrir les yeux afin de voir que la délivrance, la Guéoula se tient à l’entrée. A l’image de cet avion, la délivrance est là, mais elle n’est visible que pour celui qui veut bien la voir… (Citizen)
Igueroth Kodech
Pour consulter les Igueroth Kodech et vivre les miracles de la Guéoula
058-4770055
LE CARNET
Pour la réussite de : ‘Hanna Bat Mercedès, Line Bat Mercedès, Michaël Ben Mercedès, Henri ‘Haïm Ben Julia, Perla Bra’ha Bat Menou’ha Ra’hel, Noa Sarah Bat Menou’ha Ra’hel, la famille Liraz Touval, Gary Chlomo Ben Tserouya, David Ben Tserouya Pour la bonne santé de : Mercedès Bat Fifine, Moché Ben Fifine, ‘Haya Ayala Bat Zahava Jacqueline et Morde’haï Tsvi Ben Ra’hel Leilouï Nichmat de : Norbert Avraham Ben Pnina, Yossef Ben Solika, Meyer Benchoam, Fifine Bat Habiba, Yossef Abitbol Ben Clara, Ruth Sarah Isska Bat Gabi, Julia Bat Elie, Rachel Bat Elie et Ra’hamim Ben Raphaël Si vous désirez paraître dans notre carnet contactez nous au : 058-4770055