Guéoula NEWS
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N°39 N°39 -- Hebdomadaire Hebdomadaire -- Chabbat Chabbat Ki Ki Tissa Tissa -- Edition Edition française française gueoulanews@gmail.com gueoulanews@gmail.com -- www.viveleroi770.com www.viveleroi770.com -- 058-4770055 058-4770055
PoUrIM
SaMeA’H
Le journal qui ouvre les yeux sur le monde et constate que la Guéoula est là, présente dans le monde, dans la nature, dans le monde des sciences, dans l’air du temps...
La Joie décuplée de Pourim 5775
Dermatologie
Anti-Tatoo
Alec Falkenham
Comme de plus en plus de personnes se font tatouer, de plus en plus regrettent de l’avoir fait (surtout lorsqu’ils se rapprochent du Judaïsme). Or le business de leur suppression est énorme, générant environ 75 millions de dollars rien qu’aux États-Unis. L’ablation par laser est la méthode la plus commune pour supprimer ces tatouages, mais un doctorant de 27 ans au Canada a mis au point une crème qui semble être une méthode plus sûre et plus douce pour se débarrasser de tatouages indésirables. Développée par Alec Falkenham, un étudiant au doctorat en pathologie à l’Université Dalhousie au Canada, la nouvelle solution de suppression est baptisée «Bisphosphonate Liposomal Tattoo Removal » ou «Suppressions de Tatouage à base de liposome bisphosphonate ». (GN) Horaires de Chabbat à Jérusalem Parachat Ki Tissa Entrée : 17h04 - Sortie : 18h17
Yé’hi Adoneinou Morénou Vérabbénou Méle’h HaMachia’h Léolam Vaèd
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Cette année, les raisons de multiplier la joie se rajoutent l’une à l’autre sans cesse. Tout d’abord, nous sommes dans le mois de Adar et nous rajoutons tous les jours de la joie pendant tout le mois. Ensuite, nous approchons de la fête de Pourim et déjà, nous nous préparons à cette fête de joie et de miracles. Puis, le Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h nous a annoncé que nous vivons actuellement la période de la Guéoula. Et enfin, l’Admour Hazaken, le fondateur de la ‘Hassidout ‘Habad et auteur du Choul’han Arou’h, a annoncé, lors de la Parachat Pekoudei et suite à la lecture dans le Sefer Torah du verset : « Quant aux mille sept cent soixante quinze (sicles), il en fit des crochets pour les colonnes, recouvrit leurs chapiteaux et les attacha (38-28) », que ce verset dit que la Guéoula viendra lors de l’année 5775. Alors, il ne nous reste plus qu’à nous imprégner de toutes ces extraordinaires occasions pour doubler, tripler… et décupler notre joie, une joie sans limites, la joie de la Guéoula qui se dévoile immédiatement ! (GB)
Une équipe dirigée par des chercheurs de l’école d’ingénieurs de l’Université Tufts (aux EtatsUnis) et de l’Université de Pavie (Italie) ont développé le premier système de tissu en trois dimensions qui reproduit la structure complexe et physiologique de la moelle osseuse humaine et généré avec succès des plaquettes humaines fonctionnelles. En utilisant une matrice en biomatériau de soie poreux, le nouveau système est capable de produire des plaquettes à usage clinique.
Les plaquettes peuvent sauver la vie ou la mettre en danger. Ces cellules nous empêchent de saigner à mort de nos blessures en permettant à notre sang de coaguler, mais elles jouent également un rôle pathologique dans des attaques et les accidents vasculaires cérébraux, l’inflammation etc. Contenus dans les os spongieux, le micro-environnement de la moelle osseuse et ses « niches » assurent la production de plaquettes et d’autres cellules sanguines. Les propriétés particulières de protéines de soie étaient essentielles pour imiter avec succès ce microenvironnement, explique David Kaplan, un chercheur de pointe sur de la soie et d’autres biomatériaux nouveaux. (BN)
La Newsletter de cette semaine est dédiée à l’élévation de l’âme de ‘Haya Ayala Bat Méïr Raphaël
La Newsletter de cette semaine est dédiée à la Refoua Shelema de Esther Bat Pnenina et la réussite de Rami Ra’hamim Saadia Ben Grazia
Recherche médicale
Une moelle osseuse en 3D
T o r a h
Dvar Mal’hout
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Extraits du discours du Rabbi de Loubavitch Méle’h HaMachia’h Chlita Parachat Tissa 5752-1992
POURIM
Un peu de culture juive
Pourim dans l’histoire
Après la destruction du premier Temple, les Juifs vivaient en exil sous la domination perse dont l’empire s’étendait sur tout le monde antique. La capitale de cet empire était Chouchane (Suse).
A l’époque du miracle de Pourim le roi Assuérus régnait sur cet empire. Mordékhaï, le dirigeant spirituel des Juifs en exil, travaillait à la cour du roi. Le roi, ayant répudié sa femme Vachti qui lui avait désobéi, choisit Esther, la cousine de Mordékhaï, pour devenir la reine de son royaume. Les Juifs péchèrent envers D.ieu en prenant part aux festins organisés par le roi à l’occasion de son intronisation. D.ieu les punit par l’intermédiaire d’Haman, premier ministre du roi. Haman nourrissait une haine féroce contre Morde’haï qui refusait de se prosterner devant lui. Haman, descendant d’Amalek et antisémite notoire, proposa au roi d’appliquer un décret d’extermination contre tous les Juifs de son royaume. Le roi accepta. Le funeste décret qui devait prendre effet le 13 du mois d’Adar, fut envoyé à toutes les provinces du royaume. A son annonce, les Juifs affligés implorèrent l’Eternel et se repentirent sincèrement. D.ieu envoya alors le salut à Son peuple par l’intermédiaire de la reine Esther. Celle-ci, à l’annonce de la nouvelle, décréta un jeûne de trois jours pour tous les Juifs de la capitale. Gagnant les faveurs du roi, elle réussit tout-à-fait miraculeusement à mettre Haman en disgrâce, jusqu’à obtenir qu’il soit pendu, à l’endroit même où celui-ci projetait d’exécuter Morde’haï. Morde’haï, placé au poste de premier ministre, fit envoyer à toutes les provinces du royaume une ordonnance royale selon laquelle les Juifs du royaume étaient en droit, le jour venu, de se défendre contre leurs ennemis et de les éliminer. Le 13 Adar qui devait être un jour terrible pour le peuple juif, se transforma en jour de joie. La terreur était semée parmi les ennemis du peuple juif. Tous les notables du royaume prêtèrent main forte aux Juifs, et beaucoup de non-Juifs manifestèrent leur désir de se convertir au judaïsme. Dans tout le royaume 75 000 antisémites furent exterminés. Le lendemain, le 14 Adar, les Juifs débarrassés de leurs ennemis, célébrèrent un jour de fête : Pourim. A Chouchane, le 13 Adar, les dix fils d’Haman furent tués ainsi que de nombreux ennemis. Esther obtint du roi que, dans la capitale, les Juifs puissent continuer à disposer de leurs ennemis le lendemain (le 14 Adar) comme ils l’avaient fait la veille, et que les dix fils d’Haman soient pendus. Le 15 Adar, les Juifs de Chouchane célébrèrent un jour de fête : Chouchane Pourim. Morde’haï et les Sages de la génération consignèrent dans une « Méguila » (rouleau de parchemin) l’histoire de ce grand miracle ainsi que les mitsvot (commandements) qui devront être observées en souvenir de ce miracle. A la demande d’Esther ce rouleau fut intégré dans la série des Écritures Saintes. La « Méguila Esther » figure ainsi parmi les 24 livres sacrés de la Torah (« Tana’h »). Ainsi fut instituée par nos Sages cette fête nommée Pourim (qui signifie « Sorts » en perse), en raison du sort jeté par Haman pour choisir une date (le 13 Adar) pour anéantir le peuple Juif. Ce jour fut donc transformé, grâce à l’attachement inconditionnel des Juifs à la Torah, en l’occasion d’introduire une fête supplémentaire à notre calendrier. La fête de Pourim compte parmi les sept mitsvot dites « De Rabbanane ».
G u é o u l a
Un rayonnement de Gloire
Au début (de la Paracha), il est fait état des premières Tables de la Loi : un sujet très élevé. Vient ensuite l’épisode du bris de ces tables : une chute incommensurable. Suit alors la révélation des treize Attributs de Miséricorde : de nouveau un sujet élevé. Apparaissent enfin les secondes Tables de la Loi, foncièrement différentes des premières (notamment par le fait qu’elles sont une œuvre humaine, etc.). Néanmoins, du fait que tous ces sujets sont mentionnés dans la même Paracha, nous devons admettre qu’ils sont les éléments d’un enchaînement cohérent. Il est cependant difficile de comprendre comment, en les considérant comme les étapes d’un même processus, on peut mettre sur un même plan le don des premières Tables émanant de D.ieu Lui-même et l’adoration du veau d’or qui constitua une faute terrible. L’explication de cela est qu’il devrait normalement être pour les Juifs foncièrement impossible de transgresser la volonté divine, car celle-ci est leur volonté profonde. Si D.ieu a rendu la faute possible, c’est un effet de Sa grande bonté, afin que les Juifs puissent parvenir à cette grande élévation qui ne vient qu’après la chute. Ainsi, celle-ci n’est que temporaire et transitoire, comme l’exprime le verset « Pour un court instant Je t’ai délaissée » (1). Ce n’est qu’une déchéance superficielle et en apparence seulement, dont l’unique objet est l’élévation qui s’ensuivra et qui sera éternelle et illimitée ! Plus encore, il y aura alors une succession infinie d’élévations, comme le dit le verset « Ils iront de force en force pour paraître devant D.ieu à Sion » (2). Telle fut la nature de la faute du veau d’or ; l’unique raison de cet événement fut l’élévation qui le suivit et qui s’illustra par le don des deuxièmes Tables. C’est la raison pour laquelle les trois étapes apparaissent dans une Paracha dont le nom est « Tissa - Tu élèveras » car elles ont toutes pour objet de mener à une élévation : celle des premières Tables, celle du dévoilement de la gloire divine à Moïse (consécutive à la faute du veau d’or) et celle des secondes Tables. On peut donc diviser la Paracha en trois étapes : 1/ « Ki Tissa Ete Roch - Quand tu élèveras la tête », la « tête », le « Aleph » de toute chose, 2/ la faute du veau d’or, et 3/ la conclusion de la Paracha par le don des deuxièmes Tables. C’est pour cette raison que les trois fêtes de pèlerinage sont mentionnées à la fin de la Paracha, car elles font également allusion à ces trois étapes : Pessa’h, la « fête du printemps » et la première des fêtes, est liée à un grand dévoilement divin. Chavouot, la deuxième fête, relève plus du travail de l’homme. Enfin Souccot, « la fête de la récolte », liée à la conclusion de la mission du Peuple Juif et le rassemblement (« la récolte ») de tous les Juifs lors de la Délivrance messianique. (1/ Isaïe 54.7 - 2/ Téhilim 84.8)
à un ami au minimum pendant la journée de Pourim. Il convient que les hommes envoient aux hommes et les femmes aux femmes. Cet envoi doit être fait par l'intermédiaire d'une troisième personne.
Les quatre Mitsvot de Pourim
Ecouter la Méguila d’Esther Mercredi soir 4 et Jeudi 5 mars - (Pour Jérusalem et autres villes entourées de murailles (du temps de Josué) Jeudi 5 et Vendredi 6 mars) Pour vivre les évènements miraculeux de Pourim, nous écoutons la lecture de la Méguila (le livre d'Esther) une première fois mercredi soir et, une seconde fois, jeudi 5 mars pendant la journée. A Jérusalem, nous écouterons la Méguila le Jeudi soir et le Vendredi matin. Lorsque le nom d'Haman (suivi d’un adjectif) est cité, nous faisons tourner les crécelles et tapons du pied pour effacer son souvenir.
Donner la Tseddaka (Charité) A Pourim, se souvenir des pauvres fait l'objet d'une Mitsva particulière. Il faut donner la charité à au moins deux pauvres (plus, de préférence), pendant la journée de Pourim. La Mitsva est mieux accomplie lorsqu'on donne directement aux pauvres. Dans le cas où l’on ne trouve pas de pauvre, on peut mettre au moins quelques pièces dans des boites de Tseddaka.
Le Michté, le festin de la fête (Jeudi ou Vendredi pour Jérusalem) Comme pour toutes les fêtes, nous célébrons Pourim avec un repas spécial. Toute la famille et les amis se réunissent pour se réjouir dans l’esprit de la fête. Le repas commence avant la nuit. A Jérusalem, il faudra prendre son repas dans l’après-midi (à cause des préparatifs et de l’allumage des bougies du Chabbat). Toutes ces Mitsvot seront accomplies L’envoi de cadeaux dans la plus grande joie de Pourim sans A Pourim, nous soulignons l'importance de oublier que nous vivons la période de la l'unité et de l'amitié entre les Juifs en enGuéoula qui, elle-même s’exprime par voyant des cadeaux composés d'aliments une joie illimitée. La joie de Pourim, cette à des amis, il faut envoyer un cadeau année, aura pour but de dévoiler le Macomposé d'au moins deux sortes d'alichia’h et nous prendrons, par conséments prêts à être consommés (par exem- quent, le festin de la fête dans le Beit ple des gâteaux, des fruits, des boissons) HaMikdach, le troisième Temple…
H i s t o i r e s
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Le mal partira en fumée !
« De mon côté, » me raconte Mme Riki Taharani de ‘Holone, « tout a commencé il y a deux mois, alors que j’étais en visite médicale au centre Assouta à Tel-Aviv. Le médecin qui examinait les résultats de mes examens avait l’air soucieux. « Il y a un développement inquiétant dans l’une des artères. Il serait bon que vous fassiez un examen MRI de la tête ». Une semaine était passée après cet examen, et je reçus un appel téléphonique par lequel on me demandait de me rendre en urgence au centre médical d’Assouta. Le visage marqué du médecin me montrait clairement que le cas n’était pas si simple. « J’ai vu les résultats, vous devriez voir un spécialiste ». C’est ainsi que je rencontrai le Professeur Moché Adani, Chef de Service à Tel-Hachomer, qui me dit que lors du MRI, il était possible de distinguer quelque chose d’irrégulier. « Il semblerait qu’il s’agisse d’une tumeur. La question est de savoir s’il s’agit d’une tumeur bénigne ou le contraire. En tout état de cause, il faudra faire une opération du cerveau ». A la fin de l’entretient, il me dirigea vers le Docteur Tsvi Cohen, neuro-chirurgien à Tel-Hachomer ; il avait joint son diagnostic de découverte d’une tumeur, et l’obligation d’opérer. En préparation, il me fut demandé de faire un examen CT. On s’imagine bien les pensées qui me trottaient dans la tête. Je pleurais sans cesse. Ma mère me conseilla de me joindre à un cours de ‘Hassidout qui se tenait au domicile de la famille Tsour à ‘Holone, et là-bas j’écrivis au Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h pour demander sa bénédiction. La réponse indiquait clairement que je bénéficierai de miracles grandioses. On m’expliqua que je pouvais être rassurée. Ainsi, le résultat du CT était encourageant, mais n’avait pas changé le diagnostic. Mon rendezvous fut fixé quelques jours plus tard, le 28 Mena’hem Av au centre Assouta. Je tremblais de tout mon corps. Je n’arrivais pas à concevoir une opération du cerveau. A ce moment-là, je me rendis avec ma mère chez le Rav Zimroni Tsik, responsable du Beth-‘Habad de Bat-Yam. Là, j’écrivis de nouveau et demandai une guérison complète. Je répétai par trois fois « Ye’hi Adonénou » et je reçus une réponse dans le volume 1 à la page 185 ; on pouvait y lire : « Et pour cette nouvelle année qui arrive pour le bien, je vous souhaite une bonne et douce année, et bientôt, le mal partira en fumée et l’année commencera avec toutes ses bénédictions et vous rentrerez chez vous en bonne santé ». Les mots « vous rentrerez chez vous en bonne santé » m’étaient bien destinés. Le dimanche 28 Mena’hem Av, j’arrivai au centre médical. Je subis les préparatifs et me tenais prête à me rendre en salle d’opération. Et voici qu’à 14h15 arriva le chirurgien qui devait m’opérer. Il m’annonça son intention de me faire passer à nouveau un examen MRI… Lors de mon entrée en salle d’examen, je portai sous mon bras un ‘Hitat et murmurai quelques prières. A la suite de l’examen le chirurgien vient me trouver en me disant : « Nous pouvons apercevoir clairement un changement, quelque chose n’est pas clair. Pour l’instant vous ne pouvez être opérée. Dans deux heures, vous subirez une
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Rav Zimroni Tsik, directeur de la Si’hat Haguéoula
nouvelle radio ». Le miracle commençait à se réaliser. A 17h45 après le nouvel examen, j’entendis s’élever la voix des infirmières qui criaient joyeuses : « Annulé, annulé »… Sur le moment je ne comprenais rien. Et c’est alors que vint me trouver le chirurgien au comble de l’excitation : « l’opération est annulée, la tumeur s’est évanouie et a disparue. C’est véritablement un miracle. Vous n’avez rien, vous pouvez rentrer chez vous ». Le lendemain, j’annonçai au Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h que sa bénédiction s’était réalisée : « Vous rentrerez chez vous en pleine santé ». La réponse dans les Iguéroth Kodech parlait de Machia’h & Guéoula
Un niveau de lumière divine
On comprend maintenant pourquoi Moïse mérita le rayonnement de gloire sur son visage suite au don des deuxièmes Tables et non après le don des premières. L’élévation qui suivit la faute du veau d’or fut beaucoup plus forte et plus profonde que celle des premières Tables, permettant chez Moïse, qui reçut ces deuxièmes Tables, la révélation d’un niveau de lumière divine émanant de l’essence de la Sagesse divine. Toutefois, dans la mesure où la grandeur des deuxièmes Tables découlait de la descente dans le monde, il fut nécessaire que Moïse porte un masque sur son visage pour atténuer cette lumière et qu’elle puisse ainsi être intégrée ici-bas afin que le travail de raffinement de la Création puisse se poursuivre. Cependant, aux moments où il transmettait aux Enfants d’Israël les injonctions divines, il n’y avait nul besoin de masque et ces derniers pouvaient voir le rayonnement de gloire. Et par leur travail de raffinement du monde, les Juifs l’amèneront à pouvoir soutenir le rayonnement de gloire qui se révélera dans toute son intensité lors de la Délivrance messianique.
Foi et abnégation De tout cela découle un enseignement à l’adresse de chaque Juif. Chaque Juif doit savoir qu’il a la force d’accomplir tout ce qui est nécessaire, de « Aleph » jusqu’à « Tav ». Et ceci s’exprime en premier lieu dans sa vie quotidienne. Dès qu’il se réveille le matin, il dit
la fête de la libération du 19 Kislev. Le Rav Zimroni n’expliqua qu’il s’agissait clairement d’une invitation à organiser un repas de remerciement afin de diffuser le miracle. Le dimanche de la semaine suivante, au domicile de la famille Taharani fut organisé un repas de remerciement et de louanges à D.ieu avec la participation de la Rabbanit Tsik. Des dizaines d’amies de Riki participèrent et il leur fut conté le miracle de la source même de celle qui l’avait vécu, et chacune prit sur elle une bonne décision pour activer le dévoilement de la délivrance véritable et complète. (Traduit de la Si’hat Haguéoula) la prière de « Modé ani » à travers laquelle il reconnaît D.ieu, s’annule devant Lui et s’unit à Lui au point où sa première expression est « Modé - reconnaissant » et seulement dans un deuxième temps exprime-t-il sa propre existence : « Ani - je suis ». Ceci constitue le « Aleph » de sa journée. « Beth », au cours de la journée, il s’affaire au contact du monde, il travaille honnêtement et sanctifie le monde. « Guimel », arrivent la conclusion et le bilan de son labeur lors de la prière de Arvit et de la lecture du Chéma qui précède le coucher. La vie tout entière suit aussi cette répartition : d’abord le début de sa mission dans la vie, puis le milieu de sa mission et la conclusion de celle-ci dans la perfection, en particulier dans notre génération où l’accent est mis sur la nécessité de conclure le travail et d’amener concrètement la Délivrance messianique ! Cette force vient à chaque Juif de Moïse et du « Moïse » de chaque génération par lequel il peut recevoir la lumière du rayonnement de gloire. Plus encore, chaque Juif possède son propre rayonnement de gloire de par l’étincelle de Moïse qu’il a en lui. C’est encore plus perceptible chez les chefs de toutes les générations, jusqu’à mon beau-père, le Rabbi, comme préparation au temps où D.ieu rétablira « Tes juges comme autrefois, tes conseillers, comme à l’origine » (4), en premier lieu desquels sera le roi Machia’h. Puisse D.ieu vouloir que, en ce mois d’Adar (...) nous méritions la Délivrance messianique qui s’ajoutera à celle de Pourim et à celle de Pessa’h, immédiatement. (Dvar Mal’hout)
L ’ è r e Communication
Un langage universel
Au fil du temps, la vie humaine a nécessité un impératif : celui de communiquer. Et il est si fort que les personnes non seulement parlent à d’autres, mais aussi à leurs animaux domestiques, leurs plantes et leurs ordinateurs. Contrairement aux animaux et aux plantes, les ordinateurs pourraient un jour en faire de même.
Le nouveau programme « Communication with Computers » a pour objectif de développer une technologie pour transformer les ordinateurs en bons communicateurs. Bien que cela puisse paraitre simple, la communication implique plusieurs processus coordonnés. L’orateur exprime des idées en mots, l’auditeur extrait les idées de mots et, surtout, les deux reposent sur le contexte afin d’affiner les significations possibles d’un langage ambigu. Tous ces processus sont un défi pour les machines. « La communication humaine est tellement naturelle
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que nous ne remarquons pas tout le travail que cela représente », a déclaré Paul Cohen, gestionnaire de programme. « Mais essayez de communiquer pendant que vous faites autre chose et vous vous rendrez vite compte à quel point cela est exigeant ». Parler est un don divin. Le livre du Tanya explique longuement le processus de la parole qui provient de la pensée et celle-ci des lettres se trouvant dans l’âme. La Nechama (l’âme) est en perpétuelle communication avec D.ieu, elle donne la possibilité à l’homme de tourner les yeux vers le ciel et de remercier Hachem pour tout le bien qu’Il nous octroie. Lorsque l’homme parle avec D.ieu c’est ce que l’on appelle « la prière », mais lorsque D.ieu parle à l’homme, il s’agit de prophétie. Lors de la Guéoula, il est dit que tout le peuple Juif prophétisera et par ce biais, chacun de nous aura la possibilité d’étudier, seul à seul avec Hachem, Lui-même. Nous étudierons la « Nouvelle Torah qui émanera de Moi », celle-là même qui nous sera transmise par le roi Machia’h, lors de la Guéoula immédiate. (BN-GN)
Gastronomie
Art culinaire en 3D
Bien que nous ayons vu une augmentation des possibilités d’utilisation de la fabrication additive pour diverses créations culinaires, la majorité des matières comestibles a été quelque peu limitée en raison de la consistance nécessaire pour extruder efficacement la nourriture. Visant à manipuler un matériau autrement «ennuyeux», l’amateur en impression 3D, Luis Rodriguez Alcalde, de Barcelone, a passé les dernières années à développer de nouvelles façons de personnaliser l’expérience du manger – et un grand nombre de ces expériences sont issues de l’intersection entre prototypage rapide et nourriture. Dans un récent projet Instructables, Luis décompose le processus de création de formes personnalisées imprimées en 3D à l’aide de houmous coloré. (HT) Petites Annonces
Cours de Torah Vous désirez participer à la construction d’un Mikvé au centre-ville à Jérusalem? Une lotterie est organisée à cette occasion et le premier prix est un dollar du Rabbi! (Participation 100Sh) 054-5731430 Exclusif ! Le livre du Dvar Mal’hout (discours du Rabbi Chlita MHM 1991-1992) en fran-
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New ! Cours en français Le jeudi soir à 20h30. Farbrengen et cours sur le Dvar Mal’hout au 1, rue Uruguay à Kiryat Yuval, 2ème étage appart.19. Par le Rav Gabriel Beckouche 053-6234177 Beit Machia’h à Har ‘Homa Rav Shlomo Yossef Tsion. Cours tous les jours. Jeudi Farbrengen
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Pour plus d’infos, contactez : Menou’ha Ra’hel Beckouche au
058-4770055 gueoulanews@gmail.com
Nouveau ! Le mercredi 20h30, cours (fr) de Tanya pour les femmes par Mme ‘Haya Sarah Benchimol. 17 Re’hov Hamamtsi à Har ‘Homa. 054-7150646
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La Newsletter de cette semaine est dédiée à l’élévation de l’âme de Norbert Avraham Ben Gavriel et Julie Pnina
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Transports
Le vélomobile Raht Racer
Avec leurs coquilles lisses fournissant à la fois une protection contre les éléments et un avantage aérodynamique sur les bicyclettes, les vélomobiles à propulsion humaine proposent une alternative intéressante par rapport aux voitures. Malheureusement, ils ne peuvent pas aller aussi vite que les voitures, ce qui signifie qu’ils doivent souvent rouler sur le côté de la route. Mais un inventeur basé à Minneapolis, Rich Kronfield veut changer cela, avec son Raht Racer. Il s’agit d’un vélomobile à assistance électrique qui amplifie la puissance de pédalage du cycliste, lui permettant de se déplacer aussi vite que les voitures autour de lui. A plein régime, le mode accélérateur avec l’amplification peut monter à 160 km/h. (GN) Innovant
Robinets à miel
Une nouvelle invention par deux apiculteurs australiens semble être en mesure de récupérer le miel directement à partir d’une ruche sans ouvrir le couvercle ou déranger les abeilles à l’intérieur. Quand un robinet a été fixé à un cadre de flux ou du nid d’abeilles spécifiquement développé quand la ruche est ouverte, les cellules formées par les abeilles sont séparées et légèrement ouvertes à l’intérieur du nid, ce qui permet ainsi aux canaux de se former et qui permet au miel de s’écouler vers le bas dans une cuve étanche puis hors de la ruche directement dans des pots de collecte. Pendant tout ce temps, les abeilles ne sont pratiquement pas perturbées sur la surface du cadre. (BN) Santé
Citron et gingembre en infusion
Cette boisson hivernale est excellente pour stimuler le système immunitaire, elle a des pouvoirs anti-inflammatoires et détoxifiants grâce au gingembre et au curcuma. Cette recette permet de stimuler le système immunitaire, elle est très efficace pour soigner un rhume, un mal de gorge, une toux, des allergies saisonnières, la fatigue, les douleurs chroniques. Recette de l’infusion : 1 cuillère à café de racine fraîche de curcuma râpée ou 1/2 cuillère à café de curcuma en poudre, 1 cuillère à café de racine fraîche de gingembre râpée ou 1/2 cuillère à café de gingembre en poudre, 2 tours de poivre noir, le jus d’1/2 citron, 2 cuillères à café de miel, 1 tasse et demi d’eau filtrée. Mélangez le curcuma, le gingembre et l’eau dans une casserole à feu moyen. Laissez mijoter pendant 5 à 10 minutes, l’eau ne doit pas bouillir. Filtrez et versez dans une tasse. Ajoutez le jus de citron et le miel et mélangez. Lorsque vous râpez la racine de curcuma, attention à protéger vos mains car cela peut laisser des taches jaunes. (SN)
Dvar Méle’h - Paroles du roi
La Joie Céleste
Je mentionnerai tout cela près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi. Et un ajout à la confiance en D.ieu, à la joie véritable, ici-bas, renforcera tout cela, là-haut, conformément à l’enseignement du saint Zohar, à la Parachat Tetsavé, page 184b, qui dit : « Viens voir : Celui qui, ici-bas, à un visage lumineux, obtient l’illumination d’en-haut. La joie d’un homme attire sur lui la Joie Céleste »… Le Zohar explique que, quand un homme se réjouit, « son visage brille » et dès lors, « on l’éclaire d’en-haut. Ainsi, la joie de l’homme attire sur lui la Joie Céleste ». Il est une Mitsva de diffuser ces propos. (Réponses du Rabbi) L E
C A R N E T
Pour la réussite de : ‘Hanna Bat Mercedès, Line Bat Mercedès, Michaël Ben Mercedès, Henri ‘Haïm Ben Julia, Perla Bra’ha Bat Menou’ha Ra’hel, Noa Sarah Bat Menou’ha Ra’hel, la famille Liraz Touval, David Ben Tserouya. Pour la bonne santé de : Mercedès Bat Fifine, Esther Bat Pnina Leilouï Nichmat de : Julia Bat Elie, Meyer Benchoam, Fifine Bat Habiba, Ayala ‘Haya Bat Méïr Raphaël et Shaoul Yossef Ben Yehouda