Gueoula news n°8

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N°8 - Hebdomadaire Chabbat Parachat ‘Houkat

Insérer le Guimel dans le mot Guéoula !

On peut constater que la libération de l’ancien Rabbi, des geôles soviétiques, débute le trois Tamouz. Personne ne le savait encore et les ‘hassidim étaient très inquiets. Mais en fin de compte ce jourlà, la peine capitale fut annulée et ce fut là l’origine de la libération du Rabbi.

Guimel Tamouz 5754-5774 : 20 ans

Mais on peut aussi se souvenir que le Guimel Tamouz à l’époque de Yéhochoua Bin Noun, s’est passé un grand miracle... le soleil a arrêté sa course à Guiveon (Yéhochoua 10-12). Le trois Tamouz 5754-1994, le Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h s’est voilé à nos yeux et il semblerait que le discours du 3 Tamouz 57511991 fut une préparation à cet événement, le processus de la délivrance véritable et complète a été enclenché et nous apprenons de ce discours que cela s’est passé et se passe encore aujourd’hui par étapes et selon les voies de la nature pour arriver à ce que nous comprenions que tout d’abord, chacun et chacune est un Chalia’h, un émissaire du Rabbi et qu’il a le devoir aujourd’hui et selon le discours du 28 Nissan 57511991 de faire tout ce qui est en son pouvoir pour amener la délivrance par de nouvelles initiatives parfois inédites et originales. Cette année 5774, cela fait exactement 20 ans que le voilement a eu lieu et la valeur numérique du nombre vingt est Kaf, qui est la première lettre du mot Keter (Couronne) relié à la Mal’hout, la royauté, or la Guéoula, c’est le dévoilement du Saint béni soit-Il dans le monde (Dvar Mal’hout Vayéra 5751). Le Guimel est la première lettre du mot Guilouï (dévoilement), mais aussi celle du mot Guéoula ! Que tout cela se passe dans la plus grande joie, une joie sans précédent, la joie de la Guéoula et de manière immédiate, Miyad Mamach… GB et LT

Horaires de Chabbat Parachat ‘Houkat - Jérusalem Entrée : 19h13 - Sortie : 20h30

Sur la route Jérusalem-Tel Aviv (source www.hageula.com)

Yé’hi Adoneinou Morénou Vérabbénou Méle’h HaMachia’h Léolam Vaèd


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G u é o u l a Le miracle du 3 Tamouz

Dvar Mal’hout

Extraits du discours Du Rabbi de Loubavitch Méle’h HaMachia’h Chlita Chabbat ‘Houkat 3 Tamouz 5751-1991 La libération de mon beau-père, le Rabbi, de son emprisonnement dans les prisons soviétiques en 5687 (1927) se fit par étapes : tout d’abord, le jour du trois Tamouz, sa condamnation à « l’inverse de la vie », que D.ieu nous en préserve, fut commuée en une peine de trois ans d’exil dans la ville de Kastrama. Puis, le 12 Tamouz, on lui annonça sa libération totale qui se fit concrètement le lendemain, c’est-à-dire le 13 Tamouz.

Le soleil a stoppé sa course En ce jour du trois Tamouz eut lieu, il y a de très nombreuses générations, un autre miracle : lors de la bataille que Yéhochoua livra contre les Émoréens, le soleil allait se coucher alors que la victoire n’était pas encore acquise. Voyant que la nuit donnerait à l’ennemi la possibilité de fuir, Yéhochoua implora «Soleil, arrête-toi sur Guiveon !...», «Et le soleil s’arrêta... » (1), ce qui permit aux Enfants d’Israël de gagner la bataille. Or, sachant que tous les évènements qui se sont produits à une certaine date se renouvellent chaque année à cette même date, il est évident qu’il y a un lien entre ce miracle et celui de la libération du Rabbi.

Kora’h et ‘Houkat Ce sujet est également lié à la paracha de Kora’h. Les noms des deux parachiot, « Kora’h » et « ‘Houkat » sont composées tous deux des lettres du mot « ‘hok », sauf que dans Kora’h il y a l’ajout d’un rech, et dans ‘Houkat, l’ajout d’un Tav. Le mot « ‘hok », « un décret divin », désigne ce qui dépasse l’entendement humain. Si Kora’h contient ce terme, c’est pour nous enseigner qu’il avait perçu la grandeur de la révélation messianique qui transcendera l’entendement humain. Son erreur fut cependant ce qui est exprimé par la lettre « rech ». En effet, le rech exprime la pauvreté (rach signifie « indigent » en hébreu), car dans l’optique de Kora’h, cette grande révélation et la pensée et le discours qui en résultaient ne descendaient pas jusqu’à l’action concrète. Il n’y avait là que deux lignes directionnelles, comme dans la forme du «rech », la ligne de droite et la ligne supérieure qui symbolisent la pensée et la parole, mais il manquait la ligne de gauche qui représente l’action. En revanche, « ‘Houkat » évoque la perfection, car le sujet transcendant de « ‘hok » descend s’accomplir dans l’action, ce qui est symbolisé dans la lettre « tav » qui contient les trois lignes, reliées entre elles, et terminées par un petit point qui représente le sujet du « bitoul », de l’effacement de soi devant D.ieu. C’est ainsi que peut s’effectuer le sujet de « ‘Houkat », la « loi de la

Torah » qui est gravée (gravure se disant « ‘hakika ») de façon éternelle. Nous voyons ainsi comment le sujet transcendant de « ‘hok » pénètre tous les autres degrés de l’existence (contrairement à « Kora’h »), ce qui est exprimé par la lettre « tav », la dernière des vingtdeux lettres de l’alphabet hébraïque, qui contient de ce fait toutes les étapes qui existent. Et cela se fait alors que la pensée, la parole et l’action (représentées par les trois lignes) sont reliées entre elles sans aucune interruption, à l’image de l’association du miracle avec la nature (c’est-à-dire l’union de ce qui est au-delà des mondes avec les mondes eux-mêmes). Agir dans les limites de la nature D’après ce qui précède, on comprend pourquoi le miracle qui vit le soleil se figer dans la bataille de Yéhochoua fut lié aux lois de la nature. En effet, la finalité du miracle, comme nous l’avons dit, n’est pas de s’extraire de la nature, mais, au contraire, d’agir en son sein. Ainsi, le miracle ne vint pas repousser toutes les limites naturelles, mais seulement permettre aux Enfants d’Israël de se battre de façon naturelle. Et donc, d’après cela, il est logique d’avancer que le miracle se fit à l’intérieur du cadre naturel, c’està-dire qu’il agit sur le mouvement de l’ensemble des astres, qui connurent, dès lors, un cours nouveau. On voit ici, de nouveau, l’association de ce qui dépasse la nature avec la nature elle-même : ce changement intervint, il est vrai, de façon miraculeuse, mais il devint ensuite un paramètre de la nature. Telle est également l’explication du miracle du trois et des douze et treize Tamouz. Il y eut effectivement, là aussi, l’association du miracle et de la nature : le véritable miracle par lequel les autorités soviétiques acceptèrent de libérer le Rabbi, se déroula à l’intérieur des voies naturelles, en fonction

Que diront le monde et les nations ?!

de leurs modalités de fonctionnement administratif habituelles. Et cette délivrance eut lieu par étapes, car il fallut que le régime, qui était alors dans toute sa force, arrive « naturellement » à la conclusion qu’il était obligé d’abord de commuer la peine capitale en peine d’exil, puis de libérer le Rabbi définitivement. Ceci constitua l’amorce du changement qui conduisit ce même régime, des années plus tard, à libérer tous les Juifs de ce pays. Le monde est déjà prêt ! Et cela est particulièrement visible dans les années récentes, dans lesquelles nous voyons des miracles dans le monde, qui s’habillent dans les voies naturelles. Comme ce fut le cas lors de la sortie d’Égypte, lorsqu’on en vint au moment où les Enfants d’Israël « dépouillèrent l’Égypte » de ses richesses, cela commença de façon miraculeuse, puis s’habilla dans les voies de la nature lorsque les Egyptiens forcèrent les Israélites à prendre plus que ce qu’ils leur avaient demandé. Chacun doit donc prendre à cœur de rajouter dans la diffusion du Judaïsme en général et des sources de la ‘Hassidout avec enthousiasme et la conscience claire que le monde lui-même aidera les Juifs dans leur tâche. Et qu’immédiatement cela amène la véritable et complète délivrance, accompagnée du sacrifice de la dixième vache rousse que pratiquera le Roi Machia’h en se révélant promptement. Alors, nous nous rendrons tous, jeunes gens et vieillards, avec nos fils et nos filles, en terre sainte, dans Jérusalem la ville sainte et dans le troisième Temple, et le plus important : que ce soit immédiatement !

Notes 1/ Josué 10, 12-13 - 2/ voir Rambam, Lois sur les Fondements de la Torah, chap. 3 - 3/ Nombres 17, 18-20 - 4/ Nombres 17, 23 - 5/ Pirkei Avot, à la fin du 6ème chap. 6/ « dilitani », dans le Psaume 30 - 7/ Téhilim 102, 1 - 8/ Deutéronome 15, 18 - 9/ Proverbes 5, 16

Un Juif pourrait se poser cette question : « Quand bien même j’accomplirais parfaitement mon service de D.ieu jusqu’à atteindre le niveau où toute mon existence n’est que « répandre » le divin, à quoi cela servirait-il puisque nous sommes « le moins nombreux parmi les peuples » et que le monde alentour est empli de soixante-dix nations qui sont incomparablement plus nombreuses que la seule brebis ». Formulé autrement : « Que diront le monde et les nations d’un Juif qui « diffuse les sources à l’extérieur », en particulier quand il œuvre pour rapprocher la délivrance messianique. Ils ne comprennent même pas ce que cela signifie ! Et bien qu’il s’agisse d’un service de D.ieu très élevé, ne doit-on pas pourtant prendre le monde en considération ? ». Lorsqu’un Juif mènera correctement à bien sa mission, en transcendant toute limitation et en s’investissant dans une démarche qui se déploie dans l’ordre naturel du monde, il verra comment le monde, la nature du monde et les peuples du monde l’aideront dans sa tâche.


H i s t o i r e s Un rêve avec le Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h

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G u é o u l a

Il est possible de débattre sur l’importance des rêves, sur leur signification et si l’on doit y accorder un crédit ou pas ? Les opinions sont bien divergentes sur le sujet. « Mais il existe un domaine - nous explique le Rav Zalman Nautik, conseiller spirituel à la Yéchiva ‘Habad de Richone LeTsion – un type de rêve qui n’entre dans aucune catégorie classique, ce sont les rêves avec le Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h…

Un tel rêve est une expérience irremplaçable et elle n’est pas le fruit des pensées de la journée. Ce genre de rêve est d’une réalité véritable et il doit être pris au sérieux. Il y a quelques semaines de cela, j’en faisais l’expérience par l’histoire que me raconta un ami, un ‘hassid qui avait fait un rêve de ce type… C’était à la veille de la fête de Chavouot, cette année. Alors que je me dirigeais vers le stand de Téfilines afin de participer aux « Mivtsaïm » (aider des Juifs à poser les Téfilines), dans la rue Ben Yehouda dans le centre de Jérusalem, je rencontrais un ami, l’un des importants ‘hassidim ‘Habad de la ville. Pendant notre entretien, j’évoquais sa famille : « J’ai entendu que ces dernières années, elle s’est agrandie Barou’h Hachem ». Cet ami me confirma qu’en effet, sa famille s’était agrandie Barou’h Hachem, il sourit et entreprit de me raconter que tout cela commençait par un rêve avec le Rabbi. Il y a quelques années de cela, alors qu’ils n’y avait que huit enfants, qu’ils aient longue vie, dans la famille, les parents auraient bien voulu que d’autres enfants viennent bénir cette famille, mais c’était apparemment impossible, et pendant une longue période il n’y eu point d’autre enfant. En présence d’une telle réalité, il écrivit une lettre dans laquelle il implorait la bénédiction du Rabbi pour d’autres naissances. Quelques jours passèrent après sa demande écrite de bénédiction. Or une nuit, il rêva qu’il se tenait dans la queue à attendre son tour pour recevoir un dollar de la main du Rabbi, un dimanche. Alors qu’il se tenait parmi la foule qui attendait, il se demanda s’il devait formuler sa demande de bénédiction pour des enfants par la parole ou si la pensée suffisait à cela. Le Rabbi lirait cette pensée et accorderait bien sa bénédiction. Au

dernier moment, il décida de prononcer sa bénédiction et ainsi fit-il. La réponse du Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h fut : « Bénédiction et réussite pour des enfants. Vous aurez des enfants, mais ne manquez pas de venir ici pour les fêtes de Tichri ». Mon ami se réveilla de son rêve, impressionné au plus haut point et il raconta ce rêve à son épouse avec grande émotion, y compris la directive d’être chez le Rabbi en Tichri. Bien que cette idée n’était pas très compréhensible car il avait l’habitude de voyager chaque année pour les fêtes chez le Rabbi… Puis vint le mois de Tichri. Mon ami Bio Technologie

se rendit à New York comme chaque année. Quelques mois passèrent et la bonne nouvelle intervint, son épouse était enceinte Barou’h Hachem ! Or la date de l’accouchement était prévue ni plus ni moins pour le mois de Tichri prochain… Que faire ? Partir chez le Rabbi ou pas ? Laisser son épouse toute seule ? Non, vraiment pas. Alors que faire ? En fin de compte il fut décidé qu’il partirait pour quelques jours et reviendrait, juste pour accomplir la demande du Rabbi. Et ainsi, il partit pour Roch Hachana et revint le 8 Tichri. Et juste à la sortie de Yom HaKippourim, son épouse accoucha en un bon et

Lunettes pour aveugle

Dans notre série d’articles visant à désigner les non-voyants comme les premiers infirmes à guérir de leur handicap lors de la Guéoula, une information nous est parvenue nous annonçant que des chercheurs israéliens du Technion de Haïfa viennent de proposer une nouvelle approche pour redonner la vision à des personnes aveugles. Cette méthode s’applique aux personnes souffrant d’une maladie dégénérative de la rétine externe, l’une des causes majeures de perte de vue dans le monde occidental.

Pour comprendre l’origine des maladies dégénératives de la rétine externe et le traitement proposé, il faut garder à l’esprit les bases de l’anatomie de la rétine. De manière très schématique, la rétine est composée de trois couches de cellules. La couche externe est constituée de photorécepteurs et permet de convertir, grâce à la présence de canaux ioniques dont l’ouverture est contrôlée par l’intensité lumineuse, l’information visuelle en signaux électriques. La couche interne est formée par les cellules ganglionnaires qui transmettent l’information captée par la rétine au cerveau. Entre ces deux couches de cellules se trouvent les cellules bipolaires qui connectent photorécepteurs et cellules ganglionnaires. Pour information, d’autres types cellulaires

heureux moment. L’année d’après, son épouse fut de nouveau enceinte grâce à D.ieu, et de nouveau, la date de l’accouchement fut prévu pour… le mois de Tichri ! De nouveau on hésita et on décida de faire comme l’année dernière et il revint à temps. Sa femme accoucha à la sortie de Sim’hat Torah… pour les secondes Akafotes. L’année suivante, de nouveau son épouse fut enceinte Barou’h Hachem et elle accoucha, mais pas dans le mois de Tichri… Un rêve avec le Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h possède décidément une véritable réalité ! » (Traduit de la Si’hat HaGuéoula n°1001)

tels que cellules amacrines et cellules horizontales se trouvent également dans la rétine et permettent aux cellules provenant d’une même couche de communiquer. L’idée donc est d’utiliser des projections holographiques, ce qui permet non seulement d’activer simultanément un large nombre de neurones, mais également d’atteindre une haute résolution spatiale et temporelle.

Des lunettes qui redonnent la vue Cette « photostimulation holographique » engendre une activité cellulaire similaire à celle d’une rétine intacte et pourrait donc permettre à ces personnes aveugles de retrouver la vision. Les chercheurs israéliens envisagent la possibilité de construire des lunettes équipées de caméra(s) miniature(s) transmettant l’image en temps réel à de petits projecteurs holographiques situés sur les branches des lunettes. « Restaurer la vision perdue à un niveau basique de fonctionnalités est devenu récemment possible grâce à une insertion chirurgicale invasive d’implants électroniques artificiels qui stimulent les cellules rétiniennes survivantes [...], explique Shay Choham. Notre approche est différente et vise à stimuler les cellules rétiniennes survivantes sans avoir à recourir à des implants dans la rétine, et pourrait finalement rendre la chirurgie et les implants inutiles ». SA


L ’ è r e

Sciences

Comment, pourquoi, c’est qui, c’est quoi ?

Dans une enquête effectuée en 2008, les chercheurs ont découvert que lorsque la curiosité s’éveille, « s’allument » dans le cerveau des zones qui sont appelées les atomes de base. Ces zones correspondent aux zones de satisfaction cérébrale qui dominent la volonté d’acquérir et procurent l’expérience du plaisir lorsque l’objet convoité est obtenu. De même pour ce qui est de la curiosité, lorsque le point d’interrogation qu’à éveillé la curiosité a reçu une réponse satisfaisante. Le problème est résolu. Le mystère est éventé. Alors, notre cerveau met en éveil les zones liées au plaisir et c’est alors que nous trouvons le calme…

La curiosité a toujours été le moteur qui a poussé la race humaine en avant. La curiosité d’Eve nous a coûté le renvoi du Jardin d’Eden mais celle d’Abraham notre père, le premier Juif, l’a entraîné dans une quête du divin. La curiosité de Moché Rabbénou l’a emmené vers le buisson ardent. Celle de Myriam a sauvé le judaïsme de Moché et a permis en fin de compte la sortie d’Egypte. Jusqu’à ce jour, le plus grand événement annuel Juif ; le Seder de Pessa’h est basé sur quatre questions sensées éveiller l’esprit curieux de l’enfant au vu d’une situation inhabituelle lors d’un repas peu commun… Depuis Newton, les savants s’enthousiasmaient déjà pour tout ce qui a trait à la curiosité scientifique. Albert Einstein a écrit en 1921 : « En fait je n’ai aucun don véritable, je suis tout simplement un curieux passionné ». Aujourd’hui, de grands efforts sont in-

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vestis dans le développement d’une didactique qui ne se contenterait pas d’inculquer à l’élève des théorèmes et des données techniques, mais qui entraînerait le cerveau à l’éveil de la curiosité. Ainsi, une étude beaucoup plus basée sur la recherche personnelle serait de mise. Ce que les chercheurs ne prennent pas en compte, c’est que même si l’on découvre tous les jours l’extraordinaire système cérébral qui se trouve dans nos têtes, le cerveau n’est qu’un vêtement (instrument d’expression) de l’âme, et celle qui décide de ce qui va réellement éveiller notre curiosité et pas autre chose, c’est l’âme. C’est pourquoi il est important de lui donner accès aux connaissances dont elle a besoin. Lors de toute l’histoire humaine, nous sommes témoins de la même énorme question qui occupe la majorité des hommes dans le monde. La plupart des gens savent qu’un jour viendra le Machia’h et à sa suite, une délivrance extraordinaire. Et ce qu’ils voudraient vraiment savoir se résume en deux points : a) Quand viendra le Machia’h b) Qui est-il ? En fin de compte, ce que nous pouvons conclure sur ce sujet, est que celui qui saura répondre à ces questions sera tout simplement la personne curieuse, curieuse de vérité. Il pourra alors chercher, enquêter, et il trouvera la réponse par lui-même ! Toutes ces données se trouvent dans les livres de Torah, comme le dit le Rambam : « Tous les livres sont pleins de ce sujet ». Il est conseillé d’étudier les discours du Rabbi de Loubavitch Méle’h HaMachia’h, et plus particulièrement, ceux des années 5751-5752 (1991-92). Les réponses s’y trouvent là, clairement détaillées. (Traduit de HaGuéoula n°730)

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LE CARNET

Pour la réussite de : ‘Hanna Bat Mercedès, Line Bat Mercedès, Michaël Ben Mercedès, Henri ‘Haïm Ben Julia, Perla Bra’ha Bat Menou’ha Ra’hel, Noa Sarah Bat Menou’ha Ra’hel, la famille Liraz Touval, Gary Chlomo Ben Tserouya, David Ben Tserouya Pour la bonne santé de : Mercedès Bat Fifine, Moché Ben Fifine, ‘Haya Ayala Bat Zahava Jacqueline et Morde’haï Tsvi Ben Ra’hel Leilouï Nichmat de : Norbert Avraham Ben Pnina, Yossef Ben Solika, Meyer Benchoam, Fifine Bat Habiba, Yossef Abitbol Ben Clara, Ruth Sarah Isska Bat Gabi, Julia Bat Elie, Rachel Bat Elie et Ra’hamim Ben Raphaël. Pour paraître dans notre carnet : 058-4770055

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Le journal «Guéoula News» est édité par l’association «Vive Le Roi Machia’h». Directrice de la publication : Menou’ha Ra’hel Beckouche - Graphisme : Gabriel Beckouche Secrétariat : Léa Bensimon - Correspondant à Paris : ‘Haïm Benchoam 0177121044 - Site : www.viveleroi770.com - Email : viveleroi770@gmail.com - Tél. 058-4770055


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