N°154 - Chabbat Paracha Tissa - Hebdomadaire - Contact : 050-7080871 - www.viveleroi770.com - viveleroi770@gmail.com
Bonnes Nouvelles
Editorial
Adar 5772 : La joie de Pourim jusqu’à la Guéoula Marbim BeSim’ha
Jérusalem Har ‘Homa Cours de Tanya femmes dimanche soir 20h45 Rav Avi Assouline 054-6357709 Beit Machia’h Har ‘Homa Cours et Farbrengen Rav Shlomo Yossef Tsion 050-4147725 - 34, rue Rav Its’hak Nissim Talpiot-Arnona : cours (fr) de Tanya et Dvar Mal’hout le dimanche soir à 20h00 Mardi (héb) 20h00 Tanya et Dvar Mal’hout 050-7080871 Centre-ville Beit Machia’h Keren Or ‘Hanna Cours et Itvaadout pour femmes 67, rue Yaffo Katamon : Beit ‘Habad francophone de Katamon Rav Avraham ‘Haviv 054-4866072 Guilo : Beit ‘Habad francophone de Guilo Rav Its’hak ‘Haviv 054-4833764 Beit Machia’h Mochava Guermanite : Cours pour femmes le mercredi à 17h00 au 57, rue Emek Refaïm (Sarah Partouche) 02-6510801 Annonce Travaux électricité Jérusalem et Elad 050-4106329 Pour écrire au Rabbi de Loubavitch Roi Machia’h par l’intermédiaire des
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Tissa veut dire : « élève ! ». Ce qui est d’une part le reportage d’un événement qui se passe dans une Paracha de la Torah, mais aussi un ordre : élève, ou plutôt dans le contexte actuel, relève la tête des enfants d’Israël ! Ce que l’on comprend de ce mot est que le moment est venu où chacun et chacune, membres du Peuple Juif a aujourd’hui la volonté profonde de relever la situation, relever le défi, relever le monde et son entourage en prenant sur lui de créer un fait nouveau et d’écrire un nouveau passage dans l’histoire, ainsi que dans son histoire personnelle, de prendre la bonne décision, l’initiative de changer le monde et de le faire passer définitivement d’un exil interne, vers une lueur, un rayon de sainteté, de Kedoucha, de Guéoula… Pourim ainsi que la joie du mois de Adar continue, s’amplifie et nous donne la force et l’enthousiasme d’ouvrir de nouvelles portes. En nous-mêmes et dans notre réalité. Le mois de Adar dont tous les jours se remplissent de joie et de bénédictions, mais pour les dévoiler chez nous, il nous faut manifester cette joie, il nous faut chanter et danser, partout et à tout moment, il ne nous suffit pas de savoir de manière intellectuelle et raisonnée qu’il est inscrit dans la Guémara, que c’est un moment où «l’on augmente dans la joie». De plus aujourd’hui, chaque Juif qui en prend conscience, doit faire savoir à tous et d’une manière toute à fait directe que nous voulons le Machia’h maintenant comme le dit le Rabbi Roi Machia’h Chlita luimême lors d’une allocution, mais lisez plutôt : « Il existe certains Juifs qui prétendent qu’«Ils sont très bien en exil», D.ieu nous en préserve, et pour leur compte, cette situation d’exil pourrait bien se poursuivre encore deux mille ans… Rien que de penser à cela, on est saisi d’angoisse, et à plus forte raison d’en parler ! Et
tout de même, ils ne sont touchés aucunement ! Et la raison en est que ceux qui doivent crier «Machia’h Now !» ont honte de le faire, et ce n’est pas tout, ils sont étonnés de cela et se demandent pourquoi ce cri : «Machia’h Now !». Comment peuton rester tranquille et se taire alors que la délivrance véritable et complète n’est toujours pas effective !? Est-il possible que l’on ne fasse pas trembler les mondes par la demande et le cri : «Machia’h Now !»?… Au moment de la prière, lors de la lecture du Chéma avant de dormir etc., il est clair que l’on doit s’écrier : « Chéma Israël », mais le reste du temps, on se doit de scander «Machia’h Now !»… Et ceci doit aussi s’exprimer lorsque l’on engage la conversation avec son prochain, car avant tout on doit crier
«Machia’h Now !». Et crier au point ou son prochain aussi se mettra à crier «Machia’h Now !». A priori, on pourrait avancer un argument : Est-il possible que lorsque l’on doit rapprocher quelqu’un, on doit se comporter en gentleman et tout d’abord dire bonjour, puis lui demander comment il va et dans le langage du pays «How do you do ?», puis comment vont sa femme, ses enfants, comment vont les affaires, ce qu’il a réalisé et quels sont ses projets etc. ce n’est qu’à ce moment-là que l’on doit lui parler des bases du Judaïsme, jusqu’à en arriver à notre époque… Mais commencer par lui crier «Machia’h Now !», quel comportement bizarre ! Puis on se dit «les paroles des Sages se prononcent dans la sérénité», avec calme et réflexion, «sur la pointe des pieds», puis on se dira, quel peut-être l’impression que l’autre aura de nous par le cri : «Machia’h Now !». Mais en fait, c’est le contraire qui est vrai : Un homme tout à fait normal, qui s’exprime normalement etc. et soudain, il se met à scander : «Machia’h Now !»… C’est justement ce comportement-là qui réveillera chez son prochain la profondeur qui est en lui, car en vérité, son âme aussi crie : « Machia’h Now ! » (Discours de Chabbat Paracha Tsav 5745-1985). Nous réaliserons tout ceci dans la joie de Adar, mais surtout dans la joie de la Guéoula HaAmitite VeHachéléma, dans laquelle nous accueillons le Rabbi de Loubavitch Roi Machia’h de manière immédiate dans les chants, les danses et bien entendu avec le cri de ralliement au Roi Machia’h : « Vive le Roi Machia’h Now, Mamach ! »…
www.viveleroi770.com L’Edit Royal - Dvar Mal’hout Résumé du discours du Rabbi de Loubavitch Roi Machia’h Chlita Chabbat Parachat Tissa 5752-1992
Le rayonnement de gloire La Paracha de Ki Tissa est assez singulière : elle comporte un certain nombre de sujets variés qui, mis à part le fait qu’ils s’enchaînent chronologiquement, ne semblent avoir aucun rapport entre eux. Au début, il est fait état des premières Tables de la Loi : un sujet très élevé. Vient ensuite l’épisode du bris de ces tables : une chute incommensurable. Suit alors la révélation des treize Attributs de Miséricorde : de nouveau un sujet élevé. Apparaissent enfin les deuxièmes Tables de la Loi, foncièrement différentes des premières (notamment par le fait qu’elles sont une œuvre humaine, etc.) Néanmoins, du fait que tous ces sujets sont mentionnés dans la même Paracha, nous devons admettre qu’ils sont les éléments d’un enchaînement cohérent. On peut prouver cela en considérant le fait que les premières Tables de la Loi sont ici abondamment détaillées : « Des tables de pierre, burinées par le doigt de D.ieu. », « Des tables écrites sur les deux faces ». De fait, si les premières Tables n’étaient mentionnées qu’en tant qu’introduction à l’épisode du veau d’or qui a entraîné leur destruction, il serait déplacé d’en mentionner des qualités inédites : ce serait « remuer le couteau dans la plaie », une démarche étrangère à l’esprit de la Torah, qualifiée d’analogue à « humilier un indigent » («loeg larach»). Ceci établit logiquement que la mention des premières Tables dans notre Paracha est un élément à part entière d’un ensemble constitué par celle-ci. Ceci est vrai également d’après Rachi qui tient que les différents sujets énumérés dans la Paracha ne suivent pas un ordre chronologique. En effet, même dans cette optique il reste nécessaire de justifier l’ordre d’apparition des sujets ainsi que la raison pour laquelle les premières Tables sont détaillées ici plutôt que dans la Paracha Michpatim qui en fait longuement mention. D’autres questions suscitées par la structure de notre Paracha doivent être élucidées : 1. Quel lien y a-t-il entre la faute du veau d’or et les Tables de la Loi d’une part et les Trois Fêtes de pèlerinage mentionnées à la fin de la Paracha d’autre part? 2. Quel est le lien entre le nom de la Paracha « Ki Tissa » qui fait référence au don du demi-sicle d’argent (le ma’hatsit hachekel) avec la suite de celle-ci qui est centrée autour du thème des Tables de la Loi ? 3. Le terme « Ki Tissa » évoque la notion d’élévation. Étant le nom de la Paracha, il doit normalement caractériser l’ensemble de celle-ci. Or on y trouve l’épisode du veau d’or qui fut la plus grande déchéance du peuple juif ! 4. Pourquoi le « rayonnement de gloire » fut-il conféré à Moïse précisément lors du don des deuxièmes Tables, sachant que Moïse avait déjà été exposé à la révélation divine lors du don des premières Tables ? Le monde entier dans une Paracha Pour répondre à toutes ces interrogations, il est nécessaire de rappeler que chaque Paracha de la Torah renferme un principe original (un ‘hidouch) que l’on ne trouve dans aucune autre Paracha. La Paracha Ki Tissa est unique en ce qu’il est possible d’y voir toute la Création, tous les aspects de l’Œuvre divine. S’il est vrai que les Sages ont déclaré concernant la Torah« Tourne et retournela en tout sens, car tout y est contenu » (Avot 5), c’est-à-dire qu’il est possible, en méditant profondément, de retrouver dans tout sujet de la Torah l’ensemble de la Création, cela reste quelque chose d’extrêmement laborieux. À l’inverse, dans la Paracha Ki Tissa, c’est une chose clairement perceptible, même par une approche superficielle. Le Saint bénit soit-Il a fixé que toute chose soit composée de trois parties : son commencement, sa « tête » et son idée maîtresse ; son milieu, c’est-à-dire la chose en elle-même ; sa fin qui est sa finalité et sa plénitude. La réalité universelle suit ce même schéma : A. la Torah : l’origine et le commencement de toute chose et l’objectif de la création du monde, B. la création du monde et le travail de l’homme afin de l’amener à sa finalité, C. la conclusion et la perfection de toute l’existence dans la délivrance messianique. Ces trois étapes sont représentées par les trois premières lettres de l’alphabet hébraïque : Le « Aleph » du premier mot des Dix Commandements «Anokhi» qui représente la Torah ; Le « Beth » de « Béréchit » : « Au commencement, D.ieu créa le ciel et la terre », représentant l’évolution du monde ; et le « Guimel » de « Guéoulah », la Délivrance messianique. Le monde en lui-même est aussi structuré de cette façon : a. la volonté divine de créer le monde, b. la création du monde et c. la perfection de la création à
l’ère messianique. Dans les termes de la Kabbalah, cela s’exprime ainsi : a. Au début il n’y avait rien d’autre qu’une Lumière Infinie (Or ein sof), b. puis D.ieu contracta Sa Lumière et ne laissa filtrer dans la Création qu’une Lumière limitée (Tsimtsoum), c. afin que la révélation divine dans toute sa plénitude puisse se faire dans ce monde matériel. Trois étapes Dans la mesure où le monde a été créé selon la volonté divine exprimée dans la Torah, il est logique de retrouver dans celle-ci cette même structure en trois parties : A. la Torah débute par « Béréchit » (« Au commencement »), ce qui souligne que le monde a été créé pour la Torah qui est appelée « Réchit » (un principe premier). B. La Torah relate ensuite l’ensemble des évènements et des commandements, dont l’objet est de raffiner le monde. C. La Torah se conclut par la vision accordée par D.ieu à Moïse « jusqu’au dernier jour », la vision de la délivrance messianique. Cette structure se retrouve dans les « Pirkei Avot ». A. le début par « Moïse reçut la Torah au Sinaï » : La Torah. B. « Et il l’a transmise à Josué » : la transmission de la Torah de génération en génération. C. La conclusion des Pirkei Avot : « L’Éternel régnera à tout jamais », c’est-à-dire la pleine réalisation du but de la création du monde dans la Délivrance messianique. Et tout ceci apparaît également dans notre Paracha, car le processus de la transmission des Tables de la Loi se décompose également en trois étapes: A. Les premières Tables, façonnées par D.ieu Lui-même. B. Le bris des premières Tables, suite à la faute du veau d’or, qui symbolise la descente dans le monde pour le raffiner et le purifier, car le but de toute descente est l’élévation qui s’ensuit. C. Les deuxièmes Tables : les enfants d’Israël se repentent, Moïse remonte sur le mont Sinaï et revient avec les deuxièmes Tables. Les deuxièmes Tables furent façonnées par Moïse et non par D.ieu. Mais, après la déchéance dramatique liée au veau d’or et à la destruction des premières Tables, il se devait d’apparaître une qualité encore supérieure à la situation qui prévalait auparavant : c’est ainsi qu’en même temps que les secondes Tables, Moïse reçut la Torah orale. Il est cependant difficile de comprendre comment, en les considérant comme les étapes d’un même processus, on peut mettre sur un même plan le don des premières Tables émanant de D.ieu Lui-même et l’adoration du veau d’or qui constitua une faute terrible. L’explication de cela est qu’il devrait normalement être pour les Juifs foncièrement impossible de transgresser la volonté divine, car celle-ci est leur volonté profonde. Si D.ieu a rendu la faute possible, c’est un effet de Sa grande bonté, afin que les Juifs puissent parvenir à cette grande élévation qui ne vient qu’après la chute.
www.viveleroi770.com Ainsi, celle-ci n’est que temporaire et transitoire, comme l’exprime le verset « Pour un court instant Je t’ai délaissée. »(Isaïe 54, 7). Ce n’est qu’une déchéance superficielle et en apparence seulement, dont l’unique objet est l’élévation qui s’ensuivra et qui sera éternelle et illimitée ! Plus encore, il y aura alors une succession infinie d’élévations, comme le dit le verset « Ils iront de force en force pour paraître devant D.ieu à Sion » (Téhilim 84, 8) Telle fut la nature de la faute du veau d’or : l’unique raison de cet événement fut l’élévation qui le suivit et qui s’illustra par le don des deuxièmes Tables. C’est la raison pour laquelle les trois étapes apparaissent dans une Paracha dont le nom est « Tissa - Tu élèveras » car elles ont toutes pour objet de mener à une élévation : celle des premières Tables, celle du dévoilement de la gloire divine à Moïse (consécutive à la faute du veau d’or) et celle des deuxièmes Tables. On peut donc diviser la Paracha en trois étapes : A. « Ki tissa ète roch Quand tu élèveras la tête » : la « tête », le « aleph » de toute chose, B. la faute du veau d’or, et C. la conclusion de la Paracha par le don des deuxièmes Tables. C’est pour cette raison que les trois fêtes de pèlerinage sont mentionnées à la fin de la Paracha, car elles font également allusion à ces trois étapes : Pessa’h, la « fête du printemps » et la première des fêtes, est liée à un grand dévoilement divin. Chavouot, la deuxième fête, relève plus du travail de l’homme. Enfin Souccot, « la fête de la récolte », liée à la conclusion de la mission du peuple juif et le rassemblement (« la récolte ») de tous les Juifs lors de la Délivrance messianique. Le rayonnement de gloire On comprend maintenant pourquoi Moïse mérita le rayonnement de gloire sur son visage suite au don des deuxièmes Tables et non après le don des premières : l’élévation qui suivit la faute du veau d’or fut beaucoup plus forte et plus profonde que celle des premières Tables, permettant chez Moïse, qui reçut ces deuxièmes Tables, la révélation d’un niveau de lumière divine émanant de l’essence de la Sagesse divine. Toutefois, dans la mesure où la grandeur des deuxièmes Tables découlait de la descente dans le monde, il fut nécessaire que Moïse porte un masque sur son visage pour atténuer cette lumière et qu’elle puisse ainsi être intégrée ici-bas afin que le travail de raffinement de la Création puisse se poursuivre. Cependant, aux moments où il transmettait aux Enfants d’Israël les injonctions divines, il n’y avait nul besoin de masque et ces derniers pouvaient voir le rayonnement de gloire. Et par leur travail de raffinement du monde, les Juifs l’amèneront à pouvoir soutenir le rayonnement de gloire qui se révélera dans toute son intensité lors de la Délivrance messianique. Foi et abnégation De tout cela découle un enseignement à l’adresse de chaque Juif : Chaque Juif doit savoir qu’il a la force d’accomplir tout ce qui est nécessaire, de « Aleph » jusqu’à « Tav ». Et ceci s’exprime en premier lieu dans sa vie quotidienne. Dès qu’il se réveille le matin, il dit la prière de « Modé ani » à travers laquelle il reconnaît D.ieu, s’annule devant Lui et s’unit à Lui au point où sa première expression est « Modé - reconnaissant » et seulement dans un deuxième temps exprime-t-il sa propre existence : « ani - je suis ». Cela constitue le « Aleph » de sa journée. « Beth » : au cours de la journée, il s’affaire au contact du monde, il travaille honnêtement et sanctifie le monde. « Guimel » : arrivent la conclusion et le bilan de son labeur lors de la prière de Arvit et de la lecture du Chéma qui précède le coucher. La vie tout entière suit aussi cette répartition : d’abord le début de sa mission dans la vie, puis le milieu de sa mission et la conclusion de celle-ci dans la perfection, en particulier dans notre génération où l’accent est mis sur la nécessité de conclure le travail et d’amener concrètement la Délivrance messianique ! Cette force vient à chaque Juif de Moïse et du « Moïse » de chaque génération grâce à qui il peut recevoir la lumière du rayonnement de gloire. Plus encore : chaque Juif possède son propre rayonnement de gloire de par l’étincelle de Moïse qu’il a en lui. C’est encore plus perceptible chez les chefs de toutes les générations, jusqu’à mon beau-père, le Rabbi, comme préparation au temps où D.ieu rétablira « Tes juges comme autrefois, tes conseillers, comme à l’origine» (Isaïe 1, 26), en premier lieu desquels sera le Roi Machia’h. Puisse D.ieu vouloir que, en ce mois d’Adar, alors que nous avons déjà célébré la fête de Pourim Katan et Chouchane Pourim Katan, nous méritions la Délivrance messianique qui s’ajoutera à celle de Pourim et à celle de Pessa’h, immédiatement.
Histoire
En écrivant au Rabbi Roi Machia’h… On vit des miracles ! Pendant cinquante années de son règne, le Rabbi de Loubavitch Roi Machia’h a écrit des centaines de milliers de lettres en réponse à telle ou telle personne, parmi ces correspondances, on peut trouver : Des conseils de grande sagesse, des directives et bénédictions, des sujets de guérison du corps et de l’âme. A de multiples reprises, les médecins et autres experts furent stupéfaits devant les miracles que le Rabbi produisait sous leurs yeux. Mme Mina, qui habite dans le quartier de « Chikma » à Tsfat, avait la coutume d’écrire au Rabbi Roi Machia’h, elle a reçu à de nombreuses reprises des lettres du Rabbi à son attention. Depuis le 3 Tamouz, elle a pris l’habitude d’écrire au Rabbi par l’intermédiaire des Igueroth Kodech et d’y trouver des réponses précises. Or, l’un de ses fils ne prenant pas l’affaire au sérieux, se riait de tout cela jusqu’au jour où il écrivit lui-même au Rabbi de manière tout à fait insolente : «Je ne crois pas en cette pratique…» et d’autres mots effrontés et ainsi, alors que toute la famille était réunie autour de lui, il dit : «Maintenant nous allons voir ce que le Rabbi a à répondre à cela!». Il ouvrit le livre et commença à lire: « Fais attention à ce que tu dis… car un œil voit et une oreille entend… et l’on doit faire attention à ne pas choquer le fils d’un roi de chair et de sang et à plus forte raison le Roi des rois, le Saint béni soit-Il». Lorsqu’il vit ceci, il trembla de tout son corps et toute la famille fut ébahie. Immédiatement, il regretta ses actes et écrivit au Rabbi de la manière suivante : « Je n’écris pas avec affront, ni mépris, mais j’ai appris de différentes personnes qui ne pensent pas que tout ce sujet est véridique… C’est pourquoi je demande au Rabbi une voie pour renforcer ma foi, avec respect, et sans arrogance… ». Lorsqu’il ouvrit le livre une seconde fois, il reçut la réponse suivante : « Afin de renforcer la foi, il faut s’approfondir et étudier la ‘Hassidout… l’intériorité de la Torah… et ceci renforcera la foi ». Il est inutile de préciser que depuis ce jour, sa vision du Rabbi changea totalement. Joie et liberté « Je suis terriblement désolé » dit le médecin qui officiait à l’hôpital Rambam, « Toute l’équipe médicale est unanime, il faut accélérer l’accouchement, de toutes manières, votre bébé mourra dans quelques jours à cause du manque de liquide amniotique, il ne pourra se développer sans les eaux… ».
Rachel vit soudain tout noir, elle était déjà dans le sixième mois de sa grossesse et ce coup l’atteint sans prévenir. Elle sortit complètement groggy de l’hôpital sans savoir ce qu’elle devait faire dans l’instant. Ce n’est que lorsqu’elle s’approcha de son domicile à Acco, elle eut l’idée d’aller trouver des amis de ‘Habad, la famille Frank, qui vivait aussi à Acco. Arrivée à leur domicile, ils lui expliquèrent comment écrire au Rabbi Roi Machia’h. Rachel prit sur elle d’allumer les bougies de Chabbat et de donner la Tseddaka. Puis, elle ouvrit le livre des « Igueroth Kodech » et vit la réponse suivante : « Et à l’occasion de la fête de Pessa’h, la fête de la liberté, je lui souhaite d’être libérée de tous les soucis matériels et spirituels ». Encouragée par la réponse du Rabbi, elle attendit la concrétisation de la prophétie, cependant, toute cette période fut pleine d’une tension insoutenable : tous les examens ne montraient aucune évolution, et les médecins ne cessaient de la harceler en disant qu’elle mettait sa vie et celle du bébé en danger, mais, soutenue par la famille Frank, elle ne prêtait à ces menaces aucune importance. Quelques semaines plus tard, elle fut conviée à une séance d’échographie. Le médecin répéta l’examen par deux fois, puis trois jusqu’au moment, où, stupéfait, il se tourna vers le mari de Rachel en disant : «Etes-vous bien sûr que c’est votre femme ? Je ne puis tout simplement pas en croire mes yeux ! Tout va bien, le liquide est en quantité idéale, aucune trace de carence, incroyable !». Ce ne fut que lorsque lui fut rapportée la demande de bénédiction au Rabbi, qu’il commença à comprendre… Un prophète en Israël de Rav ‘Herouti
Gueoula Machia’h dans la presse Il est un adage bien connu de nos Rebbéim selon lequel, lorsque Machia’h viendra, tous les journaux en parleront. En fait, cela a été publié récemment dans les journaux de façon claire, et il faut espérer qu’ils continueront à le faire bien plus encore et alors « Voyez! notre juste Machia’h arrive! et sur-le-champ, nous dirons « Il est déjà arrivé! ». Chabbat Parachat Nitsavim 5751
Actuel
www.viveleroi770.com Faire suivre le message par email Ce matin, j’ai reçu un email qui, en résumé, me proposait de gagner des sommes d’argent, si je le faisais suivre à un grand nombre de personnes.
Une équipe de journalistes de la CNN enregistraient la distribution des dollars. Après un certain temps, le Rabbi Roi Machia’h Chlita se tourna vers eux, en leur donnant un dollar. Le Rabbi leur dit : « Ceci est pour la charité ». Un journaliste demanda : « Avez-vous un message à transmettre au monde concernant la venue de Machia’h? » Le Rabbi répondit : «Cela a été imprimé dans la presse de tous les pays. Si vous voulez le répéter, faites-le en ces termes : Machia’h est prêt à se dévoiler maintenant. Il ne tient qu’à nous de faire une action supplémentaire dans les actes de charité et de générosité». Le journaliste demanda : « Les hommes doivent donc faire des actes de charité et de générosité pour qu’il vienne? ». Le Rabbi répondit : « Au moins un peu plus qu’auparavant, et Machia’h viendra immédiatement! ». 12 ‘Hechvan 5752
Ouvrir les yeux Nos Sages ont décrit la Rédemption comme une grande fête. En guise d’analogie, nous dirons que la table est déjà dressée et que nous sommes assis à table avec Machia’h. Tout ce qu’il nous reste à faire, c’est d’ouvrir les yeux. Nos Sages affirment que Machia’h attend avec impatience de se dévoiler. Dans les générations précédentes, cependant, sa venue a été retardée par le fait que les Juifs n’avaient encore terminé la mission que l’on attendait d’eux. Or, maintenant, cette mission a été accomplie; plus rien ne manque. La seule chose qui manque encore c’est qu’un Juif ouvre les yeux et qu’il voie que tout est déjà prêt pour la Rédemption. Chabbat Parachat Vayétsé 5752
La participation de chacun et chacune Une femme vint voir le Rabbi et lui dit: «Rabbi, depuis des années on compte sur vous pour amener Machia’h. Que se passe t-il maintenant ? C’est une trop grande responsabilité pour nous. Nous voulons que vous ameniez Machia’h!» Le Rabbi répondit: « Si cela est impossible pour le Peuple Juif tout entier, comment cela serait-il possible pour moi? Je ne suis qu’une seule personne, et vous... » Le Rabbi se désigna du doigt et dit: « Si je suis un Rabbi, alors j’ai dit clairement que tout le Peuple Juif doit participer, y compris vousmême et cette personne (il montra du doigt les gens autour de lui) et cette personne aussi »... La femme répliqua: « Il n’empêche que l’on compte sur vous pour amener Machia’h ». Le Rabbi : « Si vous comptez sur moi en tant que Rabbi, alors vous avez déjà reçu une réponse claire. Cela doit se faire par vous (le Rabbi désigna à nouveau les gens autour de lui), et vous et vous »… 30 Nissan 5751 Allumage des Bougies de Chabbat Parachat Tissa Jérusalem Entrée : 17h07 Sortie : 18h19
Cela m’a rappelé un discours du Rabbi Roi Machia’h Chlita, dans lequel il racontait qu’une femme était venue le voir en lui disant qu’elle était apeurée parce qu’elle avait reçu une lettre dans laquelle on l’avertissait de toutes sortes de choses, si jamais elle refusait de faire suivre ce courrier à dix autres personnes. Bien entendu, le Rabbi lui a dit qu’elle ne devait pas s’effrayer et d’oublier au plus vite toute cette histoire et bien au contraire, de se concentrer sur son service de D.ieu. Puis le Rabbi dans ce même discours s’est posé la question. Alors qu’on sait bien par l’enseignement du Baal Chem Tov, que tout est dirigé par la main de D.ieu et que rien n’est dû au hasard. Comment pouvait-on utiliser une telle histoire pour le service de D.ieu ? La réponse est la suivante : De la même façon que l’on peut envoyer des lettres pour effrayer des gens, on peut envoyer des lettres pour réconforter ces mêmes personnes. Comment ? En leur annonçant la bonne nouvelle de la venue imminente du Machia’h, et comment traduire cela concrètement ? Le but de toute la création Dans le discours de la Paracha ‘Hayé Sarah 5752-1992, le Rabbi dit en substance : « Que peut-on tirer de l’envoi d’Eliezer (esclave d’Abraham) pour chercher une épouse pour Its’hak ? Qu’un homme peut en déléguer un
autre pour l’organisation d’un mariage, c’est à dire comme la ‘Hassidout l’explique unir le « Mah » au « Ban » (l’unification de l’âme au corps) représenté par l’union de Its’hak et de Rivka. Le but de la création du monde est de construire une résidence pour D.ieu ici-même, c’est aussi une union de la divinité et de la matière. Comment cela peut-il s’accomplir ? En déléguant tous les Juifs eux-mêmes, pour annoncer la délivrance immédiate et complète autour d’eux. C’est exactement ce que D.ieu attend de nous, que l’on aille vers un autre Juif délégué par le Moché Rabbénou de notre génération, le chef de la génération. Et que nous leur annoncions que ce qu’il reste à faire aujourd’hui, c’est d’accueillir le roi Machia’h et de faire suivre cette bonne nouvelle autour de nous. Voilà, mon message est de vous demander de faire suivre ce message parmi vos proches, amis, connaissances par email, facebook, par tous les moyens que la technologie de cette époque messianique nous offre… et que chacun s’engage à le faire suivre à son tour au plus grand nombre de gens possible. Cela rapprochera sans aucun doutes notre délivrance à tous par l’intermédiaire de notre juste, notre roi, notre maître, le Rabbi de Loubavitch, le Machia’h. (Avraham A., lecteur)
Le Carnet : Refoua Chéléma, Bonne santé pour Ben Chalom Reuven Ben Daniéla Adina ainsi que pour Raphaël Ouriel Ben Drora, Mina Guila Bat ‘Hanna et Adiel Ben Bra’ha. Leilouï Nichmat de Norbert Avraham Ben Pnina Beckouche, Meyer Benchoam, Fifine Bat Habiba, Julia et Rachel Pessa'h, Rav Chalom Kalmenson, Meïr Ben Messaoud, ‘Haya Sim’ha Bat Avraham Haddad, Rabbanite Sarah Zohara Bat Bra’ha, Haya Clara Bat Chmouel