Newsletter n°176

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N°176 - Chabbat Roch ‘Hodech Elloul - Parachat Rééh - Hebdomadaire - Contact : 058-4770055 - www.viveleroi770.com - viveleroi770@gmail.com Bonnes Nouvelles

Editorial

Des miracles, des merveilles et des prodiges de Guéoula Hachem se dévoile à nous en cette période de la délivrance véritable et complète et produit à chacun une réalité qui transcende la nature tout en s’habillant dans les voies de la nature. Lorsque nous ouvrons les yeux avec l’intention de nous connecter avec ce nouvel état de fait, D.ieu nous montre que chaque instant que nous vivons est relié avec la Guéoula, la délivrance finale. Photo de la semaine

Jérusalem Centre ville Oro Chel Machia’h 6, rue Yavets Itvaadout avec le Rav Noam Israël Harpaz Jeudi soir 22h00 052-3618770 Rav Doron Oren Har ‘Homa Beit Machia’h 34, rue Rav Its’hak Nissim - Itvaadout Jeudi soir 21h30 050-4147725 Rav Shlomo Yossef Tsion Beit Machia’h Arnona Cours de Tanya et Dvar Mal’hout le mardi soir à 20h15 - Cours sur Pirkei Avot, le Chabbat à 18h00 19/5 rue Chalom Yehuda 058-4770055 Minyane à Baka Le Chabbat à 10h30 1, rue Dan à Baka suivi d’un Farbrengen, Renseignements : 058-4770055 Katamon : Beit ‘Habad francophone de Katamon Rav Avraham ‘Haviv 054-4866072 Guilo : Beit ‘Habad francophone de Guilo Rav Its’hak ‘Haviv 054-4833764 Envoyez-nous vos infos communautaires les histoires de Guéoula concernant les Igueroth Kodech et toutes vos bonnes nouvelles viveleroi770@gmail.com Pour écrire au Rabbi de Loubavitch Roi Machia’h par l’intermédiaire des

Igueroth Kodech viveleroi770@gmail.com

Pour exemple, un fait qui s’est passé hier soir, chez nous au Beit Machia’h d’Arnona à Jérusalem. Aux alentours de 20h30, une dame d’un certain âge qui réside dans notre quartier est arrivée complètement bouleversée et elle nous raconte : « Ma petite fille qui a vingt ans et travaille dans une banque a disparu depuis 15h00 aujourd’hui… Je ne cesse de lui téléphoner mais elle ne répond pas, ses frères et sœurs à la maison ne l’on pas revue, ses parents sont à l’étranger, et nous craignons fort qu’il ne s’agisse d’un enlèvement D.ieu préserve… ». Nous lui avons immédiatement proposé de s’asseoir et de boire quelque chose pour la rassurer quelques peu car elle avait vraiment l’air d’être au paroxysme de l’inquiétude. Puis nous lui avons proposé d’écrire pour elle dans les Igueroth Kodech afin de bénéficier d’un conseil et d’une bénédiction de la part du Rabbi Roi Machia’h Chlita. Après avoir inscrit tous les détails de l’affaire sur une feuille, nous nous sommes lavé les mains, avons donné la Tseddaka et prononcé la déclamation sainte : « Ye’hi Adoneinou Morénou VéRabbénou HaMele’h HaMachia’h Léolam Vaèd ! » par trois fois. Puis, avons introduit la lettre dans l’un des volumes des Igueroth Kodech… La réponse parlait d’une personne qui ne voyait pas de progression dans ses études et le Rabbi Roi Machia’h Chlita lui conseillait de mettre quelques pièces avant la prière à la Tseddaka et de ce fait les choses changeraient bien vite et qu’on entendrait de bonnes nouvelles. La dame nous précisa que sa petite fille avait cessé ses études de Torah depuis près de six mois et qu’elle avait cherché du travail en attendant une proposition de mariage. Nous lui avons conseillé de dire à la jeune fille de reprendre des études au moins à temps partiel dans un séminaire et avant la prière qu’elle mette quelques pièces à la Tseddaka. Lorsque la dame eut compris qu’il ne s’agissait pas de dons qu’elle donnait certainement pour des bonnes œuvres, mais véritablement d’une décision pour l’acte quotidien de préparation à la prière, elle s’engagea sur le champ pour que sa petite fille soit retrouvée au plus vite.

Quelques secondes après avoir dit qu’elle aussi mettrait bien quelques pièces à la Tseddaka avant la prière, son téléphone sonna et l’un des frères de la jeune fille lui annonça que celle-ci allait bien et qu’on l’avait retrouvée, en bonne santé et que tout allait bien, grâce à D.ieu… Ouvrons les yeux et voyons, comme le dit le Dvar Mal’hout de cette semaine : « Rééh, regarde, Je donne aujourd’hui devant vous une bénédiction », au point où l’on voit véritablement aujourd’hui avec des yeux de

chair la bénédiction de la délivrance messianique ». Tout ces miracles et prodiges qui nous montrent clairement que notre période est bien celle de la délivrance, nous préparent à accueillir le Roi Machia’h dans la joie, l’enthousiasme, les chants et les danses. Et nous continuerons à danser et à chanter pour remercier Hachem pour cette délivrance, la délivrance véritable et complète dans le troisième Temple de manière immédiate en acclamant le Rabbi Roi Machia’h Chlita par le cri de joie : « Vive le Roi Machia’h Now, Mamach !!! ».

Les trésors de la Prophétie Mardi, la société Shefa Yamim a publié à la bourse que dans le cadre de ses recherches minéralogiques, il a été découvert une pierre précieuse du type Moissanite d’une taille de 4.1mm, la plus grosse de son espèce jamais découverte. « La qualité de ‘Haïfa, est qu’il y a là-bas la mer, qui possède une certaine profondeur et dans ces profondeurs se trouvent des pierres précieuses et des perles. Le Saint béni soit-Il a fait là une chose prodigieuse, Il les a caché dans les profondeurs de la terre ou du moins, dans les profondeurs du fleuve ». Ces phrases ont été prononcées par le Rabbi Roi Machia’h Chlita en 5748-1988 à M. Ariel Goral, le maire de ‘Haïfa à cette époque. Et ces propos ont entraîné plus tard la constitution de la société Shefa Yamim dirigée par le Rav Avi Taüb. A ce jour la plus grosse Moissanite naturelle qui a été trouvée mesure 2.2mm. Shefa Yamim a annoncé que l’on pouvait espérer découvrir des pierres de la taille de 3.5 à 4.1mm. Toute la presse économique en a parlé et a mit en valeur la prophétie du Rabbi Roi Machia’h Chlita… Source www.hageula.com


www.viveleroi770.com L’Edit Royal - Dvar Mal’hout Résumé du discours du 30 Mena’hem-Av, premier jour de Roch ‘Hodech Elloul 5751-1991 du Rabbi de Loubavitch Roi Machia’h Chlita Chabbat Parachat Rééh

Voir la Bénédiction de la Délivrance La Paracha de Rééh est toujours lue dans un temps lié au mois de Elloul : soit le Chabbat qui précède et bénit le mois de Elloul, soit - comme cette année-ci - le Chabbat Roch ‘Hodech Elloul. Cela peut apparaître surprenant, car, à première vue, non seulement la Paracha de Rééh et le mois de Elloul n’ont-ils aucun rapport entre eux, mais, au contraire, ils sont porteurs de significations opposées. En effet, dans le mois de Elloul, l’accent est mis sur l’effort de l’homme pour se rapprocher de D.ieu, le « bien-aimé », selon le verset du Cantique des Cantiques qui est l’acrostiche du mot « Elloul » : d’abord « Ani Lédodi - Je suis à mon bien-aimé », en conséquence de quoi l’homme mérite l’aide de D.ieu, «Védodi Li, mon bien-aimé est à moi (1)». À l’inverse, la Paracha de Rééh souligne l’assistance et la bénédiction divine : « Rééh Anokhi Notène Lifnékhem Hayom Berakha - Regarde, Je donne aujourd’hui devant vous une bénédiction (2)». Dans ce verset, chacun des mots exprime la qualité de la bénédiction qui émane d’En-Haut pour descendre sur le Peuple Juif. « Rééh - Regarde » exprime une intériorisation du message beaucoup plus profonde qui découle de la supériorité de la vision sur l’écoute. « Anokhi - Je » exprime un degré du Divin bien plus essentiel et élevé que lorsque D.ieu se révèle par l’autre terme pour « Je, Ani ». En effet, la lettre Khaf qui se rajoute à ce dernier pour former Anokhi représente le degré infini de Keter dont elle est l’initiale. « Notène - donne » exprime le don divin qui se fait dans la joie. « Lifnékhem - devant vous » signifie « au-dedans de vous », car l’influence divine venue d’EnHaut se révèle d’abord dans les profondeurs de l’être et ensuite seulement dans sa partie superficielle. « Hayom - aujourd’hui »,exprime le dévoilement lié à la lumière du jour ainsi que l’éternité (car «aujourd’hui» désigne chaque jour) liée au dévoilement divin d’En-Haut. « Berakha - bénédiction » désigne aussi une influence divine qui vient d’En-Haut, voire même une influence si élevée qu’elle ne peut se révéler dans notre monde de façon positive, mais seulement d’une façon qui semble être une malédiction (que D.ieu nous en préserve) comme le dit la fin du verset. Dès lors, comment peut-il exister un lien entre cette Paracha qui exprime le dévoilement divin

d’En-Haut avec le mois de Elloul dont le sujet est l’effort de l’homme ici-bas ? On peut a priori justifier cela par le fait que le mois de Elloul doit constituer un bilan du service divin de l’homme envers D.ieu, pas seulement dans l’effort qui est fait « d’en bas », mais aussi de l’effort dans la révélation des forces de son âme, qui est un travail que l’homme effectue « d’en haut ». Ce point a été développé dans le discours précédent (de la Paracha Ekev) et il y a été expliqué que le premier jour de Roch ‘Hodech est lié avec le bilan du service divin qui se fait « de haut en bas ». C’est la raison pour laquelle il tombe un Chabbat, car en ce jour on n’a pas affaire avec le monde, mais avec son âme à travers l’étude de la Torah et la prière (et cela pénètre également la Mitsva de consommer les repas du Chabbat, qui sont élevés spirituellement par rapport aux repas de la semaine). Il est donc justifié que ce Chabbat soit celui de la Paracha de Rééh qui évoque le dévoilement divin «d’En-Haut». L’hiver débute en Av Cependant, il semble plus logique de dire que Rééh est liée aussi avec le service divin qui se fait « de bas en haut » (bien qu’elle soit lue pendant les mois d’été dans lesquels le service de D.ieu est essentiellement « de haut en bas »), pour les raisons suivantes : 1. Bien qu’elle soit toujours lue pendant le mois de Av, elle est toujours liée à Elloul dans lequel le service divin se fait principalement « d’en bas », soit en le bénissant,

bas », dont l’homme est à l’initiative et qu’il accomplit avec ses propres forces ?

A’hanassat Sefer Torah à la synagogue du Tsema’h Tseddek à Jérusalem

soit en faisant partie de Roch ‘Hodech Elloul. 2. Le mois de Av lui-même est lié au mois de Tichri (auquel Elloul est une préparation). En effet, on commence à se souhaiter «Ktiva Ve’hatima Tova», d’être inscrit et scellé pour le bien dans le livre de la vie, à partir du quinze Av. D’autre part, les lettres du mot Aryeh, le lion (qui est la constellation dominante - le « Mazal » du mois de Av), sont les initiales de Elloul (Alef), Roch Hachana (Rech), Yom Hakipourim (Youd), Hochaana Rabba (Hé), les étapes principales du mois de Tichri. 3. La conclusion de la Paracha de Rééh traite des lois relatives à la fête de Souccot qui, comme tous les évènements des mois de l’hiver, relève du service divin qui se fait «d’en bas». Ainsi, la question reste posée : qu’est-ce qui relie la Paracha de Rééh avec le service divin « d’en

Le Carnet : Pour la réussite de ‘Hanna Bat Mercedes, Line Bat Mercedes, Michaël Ben Mercedes, Henri ‘Haïm Ben Julia, Mena’hem Mendel Israël Ben Gabriel, David Ben Ruth, Jérémie Ben Ruth pour la famille Liraz Touval. Pour la bonne santé de Galia Bat Alégra Leilouï Nichmat de Norbert Avraham Ben Pnina Beckouche, Yossef Ben Solika, Meyer Benchoam, Fifine Bat Habiba, Julia et Rachel Pessa'h, ‘Haya Sim’ha Bat Avraham.

Commencer comme il convient Pour répondre à cela, il est nécessaire de rappeler en préambule que le service divin qui est attendu au mois de Elloul n’est pas «de bas en haut» ou «de haut en bas», mais la fusion de ces deux mouvements en un seul (ce point a été développé dans le discours de la Paracha Ekev). En effet, le service divin «d’en bas» a l’avantage de provenir de l’homme lui-même, mais il est, de ce fait, nécessairement limité et sa portée est donc également limitée. L’assistance divine qui se révèle «d’en haut» a l’avantage d’être bien au-delà des limitations humaines, mais elle ne correspond justement pas aux efforts investis par l’homme. Il s’agit d’un «cadeau» de D.ieu. Ce que l’homme doit faire au mois de Elloul, c’est de servir D.ieu de ses propres forces, « d’en bas » (« Ani lédodi - Je suis à mon bienaimé »), mais d’une façon qui le place au-delà de toute limite et le résultat sera en conséquence. C’est ce à quoi les mots « (mon bienaimé est) à moi » font allusion. Cependant, pour pouvoir réaliser cela, l’homme doit se tenir à un niveau très élevé, au-delà de toute limite ! C’est la raison pour laquelle on lit la Paracha de Rééh avant le mois de Elloul en tant que préparation à ce service de D.ieu. Il y est dit à l’homme «Regarde», comprends, sois conscient du fait que «Je donne aujourd’hui devant vous une bénédiction». La conscience de recevoir dans son âme le dévoilement du degré de Anokhi, l’Essence du Créateur, permet au Juif de servir D.ieu «d’en bas» de façon illimitée.


www.viveleroi770.com Cela commence par le Chabbat La capacité d’un Juif de servir D.ieu au-delà de toute limite est soulignée lorsque Roch ‘Hodech Elloul tombe un Chabbat. Le jour du Chabbat, comme on le sait, est exclusivement consacré à l’étude et à la prière, ce qui place le Juif au dessus du monde et de ses limites. Ainsi, lorsque le mois de Elloul débute un Chabbat (en particulier lorsqu’il s’agit du premier jour de Roch ‘Hodech), le mois tout entier en est marqué et devient de ce fait «Chabbatique», au-delà des limites. En effet, lorsque le premier jour de Roch ‘Hodech tombe un Chabbat, cela agit sur le second jour et lui confère également ce caractère «Chabbatique», et il en est de même pour les autres jours du mois. On voit que lorsque Roch ‘Hodech tombe un Chabbat, c’est la dimension du Chabbat qui prévaut. En effet, l’ordre de la prière est celui du Chabbat et ce n’est que dans la amida que l’on mentionne Roch ‘Hodech. Dans le Birkat Hamazone (action de grâce après le repas), le Chabbat est mentionné avant le Roch ‘Hodech. Dans les bénédictions qui suivent la lecture de la Haftara, on mentionne le Chabbat et pas le Roch ‘Hodech et ce, bien que la Haftara toute entière ne traite que du Roch ‘Hodech ! La raison à cela est que le Roch ‘Hodech, marquant le phénomène naturel du renouvellement de la lune, est lié quelque peu aux limitations du monde. Ainsi souligne-ton en premier lieu le Chabbat, pour exprimer le fait que le Juif se trouve en premier chef au-delà des limites du monde (Chabbat) et qu’il fait ensuite pénétrer cette dimension infinie à l’intérieur du monde (Roch ‘Hodech). Sortir des limites de l’exil Le nom « Elloul » possède plusieurs acrostiches : Le premier représente la Torah : «Et celui qui n’a pas dressé d’embûches et D.ieu l’a amené sous sa main, Je te fixerai un endroit où il puisse se réfugier» (3). Ce verset parle en effet des «villes de refuge» qui évoquent la Torah, car celle-ci est un «refuge» spirituel qui préserve du mauvais penchant. Le second représente la prière : «Je suis à mon bien-aimé et mon bien-aimé est à moi , qui fait paître son troupeau parmi les roses», car il évoque l’attachement de l’homme à son Créateur à travers la prière. Le troisième représente les bonnes actions («Guémilout ‘Hassadim»):

«En faire des jours de festin et une occasion d’envoyer des présents l’un à l’autre et des dons aux pauvres» (4). Ces trois piliers du service divin doivent se faire, comme nous l’avons dit, de façon qui dépasse les limites, comme cela apparaît dans le quatrième acrostiche qui représente la Téchouva (le retour à D.ieu) : « L’Éternel ton D.ieu circoncira ton cœur et le cœur de ta descendance, afin que tu aimes l’Éternel ton D.ieu de tout ton cœur et de toute ton âme, pour que tu vives. » (5), verset qui évoque la Téchouva qui aura lieu lors de la délivrance messianique. Cela apparaît d’autant plus dans le cinquième acrostiche qui représente la délivrance : «Alors, Moïse chanta, ainsi que les enfants d’Israël, l’hymne suivant à l’Éternel. Ils dirent : Je veux chanter à l’Éternel ... (6)», verset qui évoque également le cantique qui sera chanté lors de la délivrance future, quand nous pourrons accomplir le service de D.ieu à la perfection et sans limites. Le dernier acrostiche, qui évoque un service de D.ieu parfait, a encore plus de résonance cette année-ci (5751 - 1991, Ndt) et à la date actuelle. En plus du fait que nous avons achevé notre tâche et que nous nous tenons prêts pour la délivrance, nous sommes en l’an 5751, dont l’acrostiche est «ce sera une année où Je lui montrerai des merveilles» et nous avons déjà vu de nombreux miracles et merveilles. Nous avons vu notamment la chute du «rideau de fer» qui a permis aux Juifs de Russie de sortir de là-bas. Nous avons vu comment les émis-

saires (du Rabbi, Ndt) ont tenu leur congrès dans la capitale de la Russie, dont le but est de renforcer la diffusion de la ‘Hassidout dans le monde entier. Et après que onze mois aient passé dans cette année et que nous nous tenons au mois de Elloul, le mois du bilan, la conclusion du bilan est: «Ad mataï !», jusqu’à quand ! Comment est-il possible que le Machia’h ne soit pas encore venu? Comment est-il possible que l’on ne voie pas (« Rééh ») encore le Machia’h ?! En particulier sachant que nous sommes Chabbat, qui est lié avec la délivrance, car celle-ci sera «le jour qui sera entièrement Chabbat», et Roch ‘Hodech, le jour de la nouvelle lune, qui est lié avec la délivrance du Peuple Juif qui sera délivré de nouveau, et dans la Paracha de Rééh qui est liée avec la vision de la délivrance et dont la Haftara évoque, elle aussi, la délivrance : «Réjouissezvous avec Jérusalem et soyez dans l’allégresse à causse d’elle... » (7). Ainsi, il est clair que la délivrance doit arriver. Que faire ? Il faut diffuser partout le service divin qui découle des cinq acrostiches du mois de Elloul, en particulier du cinquième qui représente la délivrance et qui doit pénétrer tous les autres aspects du service de D.ieu (notamment à travers l’étude des sujets relatifs à la délivrance et au Temple). Et concrètement : Il faut annoncer en tous lieux, par des paroles qui viennent du cœur, que D.ieu dit (à travers Ses serviteurs les prophètes) à chaque Juif :

«Regarde, Je donne aujourd’hui devant vous une bénédiction», au point où l’on voit véritablement aujourd’hui avec des yeux de chair la bénédiction de la délivrance messianique. Cette proclamation doit émaner de tous, même de ceux qui prétendent qu’ils n’ont pas encore intégré et assimilé la chose, car, même dans ce cas, ils ont une foi parfaite et peuvent (et doivent) donc diffuser cela à autrui, à commencer par leur entourage, puis à tous les Juifs auxquels ils peuvent parvenir, et cela même aidera à ce qu’ils intègrent ce message comme il se doit. Puisse D.ieu vouloir que, par le mérite de ces paroles au sujet de la délivrance, celle-ci se fasse concrètement, en particulier lorsque nous allons relier cela avec le fait de dire «Lé’haïm !» dans un Farbrenguen (réunion ‘hassidique) ici, dans la synagogue, la maison d’étude et de bonnes actions de mon beau-père, le Rabbi (précédent, Ndt) : «Lé’haïm ! Lé’haim Vélivrakha !» («A la vie ! A la vie et à la bénédiction !»). Puissions-nous tous mériter toutes les bénédictions, en particulier celle d’être inscrits et scellés pour une bonne et douce année, et a fortiori la bénédiction de la délivrance complète par notre juste Machia’h, et toute l’assemblée répondra «Amen» et «plus grand est celui qui répond Amen que celui qui bénit». Amen, Ken Yéhi Ratsone. Notes 1/ Cantique des cantiques 6.3 2/ Deutéronome 11.26 3/ Exode 26.13 4/ Esther 9.22 5/ Deutéronome 30.6 6/ Bechala’h 15.1 7/ Isaïe 66.10


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Une guérison proche et complète…

Un champs en Israël Lors de l’allocution de la Parachat Vayéchev, le Rabbi Roi Machia’h Chlita a annoncé que le fait de raconter les miracles et les prodiges que D.ieu fait à notre encontre rapproche la délivrance.

C’est dans cet esprit que Chimon Partouche nous raconte : « Alors que j’avais environ sept ans, pendant Chabbat, j’ai fait un rêve qui, en fait, avait plutôt l’allure d’un cauchemar dans lequel je courrais certainement pour fuir quelque chose. Quand soudain l’ambiance effrayante du rêve changea pour laisser place à un sentiment d’apaisement alors que je me trouvais sur un pont, j’aperçu le Rabbi de Loubavitch qui se tenait sur le côté. Il me regardait sans parler et son regard m’apaisa. Je m’approchais alors de lui comme pour me réfugier. Il me tendit une sorte de carte de visite sur laquelle était inscrit le nom de ma tante Evelyne Uzan en lettres d’or. La beauté de cette carte me frappa au point où je m’en rappelais clairement à mon réveil. Le matin, je racontais à mon père les détails de mon rêve et il me dit que puisque nous étions invités au repas de Chabbat midi dans une famille de ‘hassidim Loubavitch, nous pourrons leur demander conseil. Alors que je m’amusais avec les enfants de la famille Bellaïche, mon père me demanda de le suivre au salon pour parler avec le chef de famille de mon rêve. Celui-ci nous conseilla d’ouvrir les Igueroth Kodech à ce sujet. Ce que nous fîmes immédiatement en nous lavant les mains au préalable. La lettre parlait d’un champ qui était en Terre Sainte au sujet duquel nous rencontrions certaines difficultés. Le Rabbi nous donna des directives à suivre afin de régler cette histoire à notre avantage. Pour ma part je ne vit aucun rapport avec ce qui m’était connu à l’époque. Mais le visage de mon père avait changé et il dit : « C’est incroyable, ma sœur Evelyne possède en gérance le terrain de mon père se trouvant en Israël et justement elle rencontre exactement les problèmes cités par le Rabbi ». Après ce Chabbat, mon père fit parvenir à ma tante une copie de la lettre. Celle-ci fut bien surprise d’y voir le problème qu’elle rencontrait mais surtout elle y trouva des solution qu’elle put mettre en application et en effet, tout rentra dans l’ordre, grâce à D.ieu. ». Allumage des Bougies Chabbat Parachat Rééh Jérusalem Entrée : 18h45 Sortie : 19h58

Si aux quatre coins du monde, se déroulent des miracles et des prodiges par l’entremise du Rabbi Roi Machia’h Chlita, il est évident que ceux qui se dérouleront dans sa propre synagogue et maison d’étude au 770 de la rue Eastern Parkway à New York, Brooklyn, seront d’autant plus spectaculaires… Mme Sarit ‘Hadach nous raconte l’un de ces miracles qui s’est produit lors de ses activités qui consiste à assister les visiteuses pour écrire dans les Igueroth Kodech à la Ezrat Nachim (section féminine) du 770. « Il y a quelque temps, une amie est entrée dans la Ezrat Nachim totalement bouleversée, Mme Myriam Goudman. Elle se dirigea vers moi et me demanda d’écrire au Rabbi Roi Machia’h Chlita afin de recevoir une bénédiction urgente pour Mme Isska. Celle-ci se trouvait dans un état critique à l’hôpital de Porto Rico dans les îles Caraïbes. Je connaissais Mme Isska à l’époque où celle-ci vivait dans le quartier du Roi à Crownheights. Nous nous étions rencontrées récemment à New York, elle était venu pour une récolte de dons en vue de la construction d’un Mikvé à Porto Rico. Il s’avéra que Mme Isska fut prise d’une quinte de toux qui s’amplifia à tel point que par la suite, celle-ci s’évanouit. Puis, elle fut transportée en urgence à l’hôpital. Sur place, les médecins l’examinèrent sans trouver aucune piste menant vers la guérison. Néanmoins, ils décidèrent de la garder sous surveillance. Mais sa situation se dégradait de jour en jour jusqu’à ce qu’elle entre dans un coma profond. Les tentatives de réveil se soldèrent par un échec. A ce stade, les médecins se mirent à préparer la famille à la pire des éventualités… Par la suite il fut découvert que l’un des médicaments qu’on lui administra à l’hôpital eût sur elle un effet désastreux. Deux semaines se passèrent depuis lors et une amie à Williamsburg lui avait même réservé une place au cimetière… Les médecins avaient déjà décrété que la situation de Mme Isska était sans espoir et voulaient la débrancher des appareils respiratoires. Toute sa famille et son entourage avaient pratiquement tous perdu espoir et avaient déjà accepté le conseil des médecins de la déconnecter de toute assistance respiratoire. Ce fut à ce moment-là que Mme Goudman vint me trouver afin écrire dans les Igueroth Kodech pour Mme Isska. La réponse que je reçevais se trouve dans le volume 22 à la page 314-315, et contenait de bon-

nes nouvelles en nombre : « Que le traitement médical soit un succès pour une bonne et proche guérison ». Dans la suite de la lettre, on pouvait lire : « On suivra le conseil de deux médecins spécialistes, et l’on connaîtra la réussite ». Mon amie Mme Goudman était au comble de l’émotion suite à cette réponse et décida d’envoyer à la famille de Mme Isska, une copie de la réponse. Elle fit pression sur la famille afin de trouver un médecin supplémentaire et de placer sa confiance en le Saint béni soit-Il afin que la guérison soit complète et effectivement proche. Dès qu’ils reçurent la lettre, la famille demanda aux médecins de ne pas débrancher la patiente des appareils. Puis ils demandèrent consultation à un spécialiste supplémentaire. Celui-ci ne se conforma pas au diagnostic des médecins précédents, mais lui fit subir des électrochocs. Après quelques essais infructueux, les médecins demandèrent à ce spécialiste de cesser ses tentatives car ils ne pensaient pas que cela pouvait aider. Mais quelque chose lui souffla de ne pas abandonner. Le lendemain, il reproduisit quelques tentatives, mais contrairement à la veille, il y eut quelques réactions… L’électrocardiogramme fut beaucoup plus encourageant. Les paupières commencèrent à ciller. Le retournement de situation était impressionnant. Dès le moment où elle commença à réagir, tout commença à évoluer très rapidement et elle put sortir de l’hôpital complètement rétablie comme l’avait annoncé le Rabbi Roi Machia’h Chlita dans les Igueroth Kodech, pour une proche et complète guérison. Traduit de la Si’hat HaGuéoula

Je prends sur moi une bonne décision pour amener le Machia’h Prénom : ................................. Nom : .......................... Prénom de la mère :................. Téléphone : .................. Email......................... Adresse : .............................................. Bonne décision ............................................................................................................... Demande de bénédiction : .............................................................................................. Nous introduirons ce coupon dans le livre des correspondances saintes du Rabbi de Loubavitch Roi Machia’h, les célèbres Igueroth Kodech. A retourner à : Beit Machia’h Talpiot/Arnona , 19/5, rue Chalom Yehuda - 93426 Jérusalem


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