La Newsletter n°178

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N°178 - Chabbat Parachat Ki Tetsé - Hebdomadaire - Contact : 058-4770055 - www.viveleroi770.com - viveleroi770@gmail.com Bonnes Nouvelles

Editorial

Le salaire des « jours du Machia’h » Photo de la semaine

Jérusalem Oro Chel Machia’h 6, rue Yavets - Itvaadout le jeudi soir Rav Doron Oren 052-3618770 Nouveau à Baka/Talpiot Cours pour femmes le mercredi matin à 10h00 en français (petit-dèj.) PAF : 18 Sh 058-4770055 Har ‘Homa - Beit Machia’h Exclusif au Beit Machia’h Itvaadout avec le Rav Zimroni Tsik Chalia’h de Bat Yam, premier Beit ‘Habad en Terre Sainte Mercredi soir 21h30 Jeudi soir 20h30 : Cours sur Machia’h et Guéoula par le Rav Morde’haï Siboni (fr) 050-4147725 Rav Shlomo Yossef Tsion - 34, rue Rav Its’hak Nissim Beit Machia’h Arnona Cours de Tanya et Dvar Mal’hout le mardi soir à 20h15 - Cours sur Pirkei Avot, le Chabbat à 18h00 19/5 rue Chalom Yehuda 058-4770055 Minyane à Baka Le Chabbat à 10h30 1, rue Dan à Baka suivi d’un Farbrengen, 058-4770055 Katamon : Beit ‘Habad francophone de Katamon Rav Avraham ‘Haviv 054-4866072 Guilo : Beit ‘Habad francophone de Guilo Rav Its’hak ‘Haviv 054-4833764 Envoyez-nous vos infos communautaires viveleroi770@gmail.com

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Un jour, à Francfort, trois femmes se sont réunies et ont décidé de se conformer à la volonté divine quelques soient les difficultés qui pourraient en découler. Toute la communauté religieuse de Francfort fut fondée grâce à elles nous raconte le Rabbi précédent. De cela nous comprenons mieux le conseil du Rabbi Roi Machia’h Chlita : « Faites tout ce que vous pouvez pour faire venir le Machia’h concrètement ! ». Le Dvar Mal’hout de cette semaine nous détaille la façon dont le travail de notre génération doit être effectué. Car nous nous trouvons dans les «Jours du Machia’h, Yemot HaMachia’h» (Dvar Mal’hout Youd Teth Kislev 5752-1992). Or, le salaire que nous devons recevoir à la fin des temps doit se concrétiser : « Lors des jours du Machia’h (l’époque messianique) et plus particulièrement lors de la résurrection » affirme l’Admour Hazaken dans le Tanya. Nous ne parlons pas de la largesse matérielle qui doit accompagner l’accomplissement de la Torah et les Mitsvot comme le Rambam nous l’affirme dans les lois de la Techouva (Michné Torah), mais bien du début de la rétribution pour tout le travail du Peuple Juif en exil. Le Rabbi Roi Machia’h Chlita nous demande pour ouvrir le coffre dans lequel se trouve la rétribution sous forme de dévoilement de Or Ein Sof Barou’h Hou, La Lumière de l’Infini Divin béni soit-Il. Car lorsque nous accomplissons une Mitsva, nous dévoilons la divinité dans les mondes supérieurs mais aussi dans le monde matériel, ici-bas. Et la faculté de ce dévoilement et la rétribution de cette Mitsva doit, nous dit le Rabbi Roi Machia’h Chlita, entraîner une bénédiction de largesse matérielle. De plus le Dvar Mal’hout nous cite

Rachi disant que la guerre dont nous parle la Paracha est une guerre facultative, Mil’hémeth Rechout, qui doit être aussi à l’origine d’une récompense matérielle, un salaire. Et le Rabbi Roi Machia’h Chlita nous cite le Yalkout Chimeoni qui nous assure qu’en cas de guerre entre les nations, il ne nous faut en aucun cas nous effrayer car tout ce que le Saint béni accomplit, Il ne le fait que pour nous, « le temps de votre délivrance est arrivé ». C’est pour toutes ces raisons que nous devons ouvrir les yeux et voir à quel point nous sommes entrés dans

la période messianique et nous connecter tous les jours un peu plus, nous habituer à la Guéoula, en étudiant dans toutes les parties de la Torah tous les sujets la concernant mais surtout en étudiant le plus profondément possible le Dvar Mal’hout, les discours du Rabbi Roi Machia’h Chlita de 5751-5752 (1991-1992). Ainsi nous accueillons notre roi le Roi Machia’h en l’acclamant par des cris de joie, des chants et des danses de Guéoula : « Vive le Roi Machia’h Now, Mamach !!! ».

La Newsletter de cette semaine est dédiée à l’élévation de l’âme de Yossef Abitbol Ben Clara


www.viveleroi770.com L’Edit Royal - Dvar Mal’hout Résumé du discours du 14 Elloul 5751-1991 du Rabbi de Loubavitch Roi Machia’h Chlita Chabbat Parachat Tetsé

Gagner la guerre en toute sérénité Chaque Chabbat, nous lisons deux Parachiot (1), l’une lors de l’office du matin et l’autre, à celui de l’aprèsmidi. Ainsi lisons-nous ce Chabbat matin la Paracha de Ki Tetsé et nous commençons cet après-midi la Paracha de Ki Tavo qui suit immédiatement. Au-delà de leur juxtaposition dans l’ordre de la Torah, le fait que ces deux Parachiot soient lues le même Chabbat souligne d’autant plus la relation qui existe entre elles. Or, il semble de prime abord que les deux Parachiot lues ce Chabbat soient totalement opposées aussi bien dans les messages véhiculés par leurs noms respectifs que dans leurs contenus. En effet, les noms « Ki Tetsé, quand tu sortiras » et « Ki Tavo, quand tu rentreras » sont, à l’évidence, porteurs de sens totalement opposés. D’autre part, la Paracha de Ki Tetsé traite de la sortie en guerre : une situation qui, même si la guerre est finalement gagnée, est marquée par l’absence de calme et de tranquillité. En revanche, la Paracha de Ki Tavo évoque la rentrée et l’installation en terre d’Israël où le peuple vivra en parfaite sérénité, dans la réalisation du verset « Et tu te réjouiras de tous les biens que l’Eternel ton D.ieu t’aura donnés » (2). En outre, les aspects du service divin qui ressortent de ces deux Parachiot sont également profondément différents : Ki Testé, « Quand tu sortiras en guerre », évoque la sortie en guerre de l’âme juive vers le champ de bataille que constituent le monde matériel et l’exil avec comme mission et comme enjeu le raffinement du corps et du monde ; Ki Tavo, «Quand tu rentreras sur la terre», évoque le service de D.ieu du temps où les Juifs résidaient en paix sur leur terre, à l’époque du Temple. La rétribution au moment de la tâche L’antagonisme entre les deux Parachiot semble encore plus fort d’après le sens principal que l’on attribue en ce jour à la Paracha Ki Tavo : la rentrée prochaine en terre d’Israël au moment de la délivrance messianique. En effet, d’après cette lecture, nos deux Parachiot évoquent respectivement deux périodes diamétralement opposées : Ki Tetsé, celle de la tâche qui nous est impartie dans le plan divin ; Ki Tavo, celle de la réception de la rétribution pour l’accomplissement de cette tâche. Cette divergence se retrouve entre les deux chapitres de « Pirkei Avot » que nous étudions ce Chabbat : le

premier traite du service de D.ieu à travers l’étude et l’accomplissement de la Torah («Moïse reçut la Torah au Mont Sinaï... Faites de nombreux disciples»), alors que le second évoque la rétribution du service divin lors de l’ère messianique («Sache que la rétribution des Justes se fera dans les temps futurs»). Or, malgré cela, ces deux chapitres sont lus ensemble ce Chabbat, sans aucune interruption, de sorte qu’ils apparaissent comme ne faisant qu’un ! Cependant, il n’y a, en réalité, pas d’antagonisme. En effet, le fait que Ki Tavo suive Ki Tetsé à pour but de nous enseigner que la tâche qui découle de Ki Tetsé, la confrontation avec le monde matériel, doit s’effectuer dans l’esprit qui émane de Ki Tavo, dans la sérénité et la tranquillité ! Cela signifie également que, alors même que nous sommes en plein labeur dans le cadre du service divin en temps d’exil (Ki Tetsé), nous commençons déjà à goûter à la récompense divine (Ki Tavo). C’est la raison pour laquelle les Pirkei Avot nous enjoignent de « savoir », de connaître, dès à présent le salaire des Justes qui appartient aux temps futurs ! Cette idée figure déjà dans la Paracha de Ki Testé elle-même, dans le commandement de verser le salaire de l’ouvrier journalier le jour même de son travail : « Le jour même tu lui donneras son salaire » (3). Cela dépend de ce que l’on considère Pour comprendre correctement ce sujet, il est nécessaire de se pencher sur le commentaire de Rachi sur le premier verset de notre Paracha «Quand tu sortiras en guerre contre ton ennemi» (4) : «L’Écriture parle d’une guerre de conquête facultative Mil’hemet HaRéchout». Cela est, a priori, surprenant, car, comment peut-on dire que le service de D.ieu soit facultatif (Réchout) ? Il est pourtant notoire que l’homme a l’obligation de combattre son mauvais penchant et de raffiner son corps et le monde autour de lui !

De cette dernière idée découle une interrogation globale sur le sens même de la notion de rétribution pour le service divin : un ouvrier a le choix de travailler comme de ne pas travailler. Lorsqu’il travaille, il acquiert, de ce fait, un salaire. D’un autre côté, l’esclave, qui est tenu de servir son maître, n’acquiert aucun salaire. Or, c’est dans cette dernière catégorie que se trouve le Peuple Juif vis-à-vis de D.ieu, comme l’exprime le verset « Car c’est à moi que les Enfants d’Israël appartiennent comme esclaves » (5). Ainsi donc, en vertu de quoi méritons-nous une récompense pour le service divin que nous effectuons en pratiquant le Judaïsme ? La réponse à cela est contenue dans la formulation du verset « Quand tu sortiras en guerre ». En effet, lorsque l’âme descend ici-bas pour y livrer un combat contre les pulsions du corps et de l’âme animale ainsi que pour raffiner le monde matériel, elle sort de sa place véritable, de là où elle se trouvait depuis la Création, au-dessus de l’ensemble des mondes. Elle y était tellement élevée que les Sages enseignent qu’avant de créer le monde, D.ieu a consulté les « âmes des Justes », lorsqu’elles étaient unies et fondues dans l’Essence divine (6). S’il est vrai qu’aujourd’hui, quand les Enfants d’Israël se trouvent dans le monde, ils ont l’obligation de raffiner leur corps et de servir D.ieu, il n’en reste pas moins que, du point de vue de l’essence de leurs âmes, la Création tout entière fut accomplie sur la base de leur volonté et il en est de même pour leur engagement au sein de celle-ci. Ainsi, de ce point de vue là, il s’agit bien d’une « guerre facultative, Mil’hémet HaRéchout », pour laquelle les Enfants d’Israël recevront une rétribution. Qu’est-ce qu’un Juif ? La « sortie » de l’âme juive vers ce monde, exprimée par le verset « Quand tu sortiras en guerre contre ton ennemi », porte en elle deux caractéristiques essentielles. D’un côté, pour

Le Carnet : Pour la réussite de ‘Hanna Bat Mercedes, Line Bat Mercedes, Michaël Ben Mercedes, Henri ‘Haïm Ben Julia, Mena’hem Mendel Israël Ben Gabriel, David Ben Ruth, Jérémie Ben Ruth pour la famille Liraz Touval. Pour la bonne santé de Mercedès Sarah Bat Fifine, Galia Bat Alégra Leilouï Nichmat de Norbert Avraham Ben Pnina Beckouche, Yossef Ben Solika, Meyer Benchoam, Fifine Bat Habiba, Julia et Rachel Pessa'h, ‘Haya Sim’ha Bat Avraham.

affronter le monde et parvenir à le raffiner à l’intérieur même de sa dimension matérielle, il est nécessaire que l’âme descende ici-bas et se revêtît du corps afin que, présente au sein de la matérialité, elle puisse combattre directement le mal et sanctifier le monde. Tel est le sens des mots «en guerre contre ton ennemi». D’un autre côté, pour que l’homme puisse sanctifier le monde et en faire un lieu digne de la révélation de l’Essence du Créateur, béni soit-Il, il est nécessaire que l’origine céleste du Juif, la source de son âme unie à l’Essence divine, soit perceptible ici même, dans ce monde. Tel est le message porté par les mots « Quand tu sortiras ». Ainsi, tout Juif, quel qu’il soit, ne peut se séparer de D.ieu, car il ressent au fond de lui son âme divine qui est unie à son Créateur. Ceci est également présent dans la Paracha de Ki Tavo : d’un côté, on exige de l’âme qu’elle rentre à l’intérieur du monde matériel («Quand tu rentreras sur la terre»), et, d’un autre côté, c’est précisément ainsi que le Juif réussit à sanctifier et à raffiner la terre pour en faire « la terre d’Israël », une terre sainte, au point que cette terre matérielle devienne digne d’être le lieu de résidence éternel des Enfants d’Israël «Tu en prendras possession et tu t’y établiras» (7). Et, du fait de leur union avec l’Essence divine, ils élèvent ainsi la terre, le monde matériel, au niveau d’être une résidence pour l’Essence divine. Une guerre livrée dans la tranquillité Telle est ainsi la finalité de la descente de l’âme divine ici-bas : transformer le monde pour en faire une demeure digne de l’Essence divine. Et la rétribution pour l’accomplissement de cette tâche sera, en conséquence, la grande révélation divine qui caractérisera l’avènement messianique en vertu du principe selon lequel « la récompense pour une Mitsva est de la même nature que la Mitsva elle-même ». La révélation divine dont les Enfants d’Israël jouiront à l’ère messianique sera le salaire pour le service divin qu’ils auront effectué en temps d’exil. Cependant, comme nous l’avons dit précédemment, le paiement du salaire doit se


www.viveleroi770.com faire le jour même de l’accomplissement du travail. C’est la raison pour laquelle chacune des Mitsvot que nous accomplissons actuellement donne lieu à la pénétration d’une grande lumière divine dans ce monde qui permet à l’individu d’accéder à une « délivrance personnelle ». Seul le dévoilement direct de cette lumière dans le monde matériel manque et aura lieu lors de la délivrance messianique. Et puisque chaque Juif a la capacité d’amener la délivrance, (comme l’enseigne Maïmonide lorsqu’il écrit que n’importe quelle Mistva peut déclencher la délivrance pour le monde entier), il y a donc aussi aujourd’hui pour chaque Juif la récompense qui appartient aux temps messianiques, et il ne lui reste qu’à la dévoiler à travers l’ajout d’une bonne action. Et puisque, avant de créer le monde, D.ieu était seul et remplissait l’espace dans lequel se fit la création et que, lorsque l’âme descend aujourd’hui ici-bas, elle doit se souvenir de son origine, qu’elle est une parcelle du Divin venue d’En-Haut, et de sa mission qui est d’amener à la révélation de la divinité dans ce monde matériel, ainsi, avant même qu’elle se mette à la tâche, elle mérite déjà de ressentir ce qui sera le salaire aux temps messianiques : le dévoilement divin qui s’opère dans l’âme dès le début de son service divin. C’est pourquoi la Torah fait suivre à la Paracha de Ki Tetsé celle de Ki Tavo. Pour nous enseigner que, même lorsque l’on se trouve en situation de guerre contre le corps et ses pulsions animales, il faut savoir qu’il n’y a pas à s’émouvoir de cela et que, au contraire, il nous est possible de mener ce combat dans le calme et la sérénité en se rappelant quelle fut la situation du monde avant la création et quelle sera celle qu’il connaîtra lors de la rédemption : un monde de divinité. Ainsi, il n’y a pas lieu de craindre le monde. A travers le service divin en son sein, nous ne pouvons qu’atteindre de nouveaux sommets, y compris au cours même de ce labeur, jusqu’à même atteindre des degrés qui dépassent et transcendent totalement le monde. Outre cela, cette tâche doit s’effectuer dans une parfaite tranquillité, à savoir sans problèmes ni perturbations d’ordre spirituel ou matériel, ainsi que dans la largesse matérielle, aussi bien comme moyen de mener à bien sa mission dans le monde que comme la perception du salaire pour celle-ci qui, comme nous l’avons dit, doit intervenir le jour même du travail effectué. Elloul : le mois de la délivrance L’association de l’octroi de la rétribution et de la sérénité avec la continuation de la tâche est liée avec le mois de Elloul, dans lequel nous nous trouvons. Ce mois est celui du bilan lors

duquel nous identifions ce qui nous reste à accomplir de la tâche impartie à l’année écoulée afin de l’achever et de se préparer à la nouvelle année. Il y a donc, à l’intérieur de ce seul mois, la récompense pour le service de l’année écoulée et le début du service de l’année nouvelle.

marque l’anniversaire du mariage de mon beau-père, le Rabbi (précédent, Ndt), et le mercredi précédant, le 11 Elloul, fut l’anniversaire du mariage de son père, le Rabbi Rachab, et son lendemain, le dimanche 15 Elloul, sera l’anniversaire de l’ouverture de la Yéchiva « Tom’hei Tmimim ».

Le salaire s’exprime également dans les lettres hébraïques du mot «Elloul» qui sont les initiales des mots du verset «Ani Lédodi, Védodi Li, Je suis à mon bien-aimé et mon bien-aimé est à moi» (8). Le simple fait de pouvoir s’attacher à D.ieu (Le bien-aimé), est en soi la plus grande récompense : le mariage des Enfants d’Israël avec le Saint béni soit-Il lors de la délivrance messianique, lorsque s’élèvera, «Tinassé» la royauté du Machia’h. Tout ceci est lié avec l’année actuelle, 5751 (1991, Ndt), qui en hébreu forme le mot «Tinassé», liée aussi bien au fait que la royauté du Machia’h «s’élèvera», qu’au mariage, «Nissouïne», (de la même racine grammaticale) de D.ieu et du peuple d’Israël. Ainsi, le mois de Elloul de l’année 5751 est le moment le plus propice pour la délivrance, aujourd’hui même, car « Le jour même tu lui donneras son salaire » !

Tout est lié à la délivrance messianique Tout mariage Juif est lié dans son essence au mariage qui aura lieu lors de la l’ère messianique entre D.ieu et le Peuple Juif. A plus forte raison lorsqu’il s’agit du mariage d’un chef, « Nassi » de la génération en général et d’un Rabbi de ‘Habad en particulier. L’ouverture de la Yéchiva est aussi liée à la délivrance, car le programme de « Tom’hei Tmimim » exige que l’étude de la ‘Hassidout, la partie profonde de la Torah, se fasse dans la même rigueur intellectuelle que l’étude du Talmud, comme ce sera le cas lors de l’ère messianique, lorsque, selon les termes de Maïmonide, «tous les Juifs seront de grands sages et connaîtront les choses cachées» (conclusion du Michné Torah du Rambam). En outre, la mission impartie aux élèves de cette Yéchiva, les «Tmimim», par son fondateur est d’être des «soldats de la maison de David, Hayaleï Beit David» qui combattront la situation dans laquelle on a «bafoué les traces de Ton Machia’h» (11), combat aujourd’hui terminé, et amèneront la délivrance.

Au sein du mois de Elloul lui-même, nous sommes le 14ème jour du mois qui est : a/ la veille du quinzième jour lors duquel la Lune est pleine, ce qui fait allusion à la plénitude que connaîtront les Enfants d’Israël (qui sont comparés à la lune) lors de l’ère messianique, et b/ trente jours avant la fête de Souccot, « le temps de notre joie », qui porte en elle la plénitude du service divin du peuple juif: « Israël se réjouit de son Créateur » (9), ainsi que l’octroi du salaire de la part de D.ieu : «D.ieu se réjouit de Ses créatures» (10). Notre génération est celle de la délivrance Dans notre génération, des dimensions nouvelles se sont rajoutées à la date du Chabbat 14 Elloul. En effet, la veille de ce Chabbat, le 13 Elloul,

Concrètement Il nous faut aujourd’hui faire savoir en tous lieux que : 1. Nous nous tenons à la conclusion de notre tâche exprimée par le verset «Quand tu sortiras en guerre contre ton ennemi» et au début de la période de la rétribution, le salaire des Justes exprimée par le verset «Quand tu rentreras sur la terre... Tu en prendras possession et tu t’y établiras». Ainsi, notre service actuel doit être conforme à cet esprit au travers, notamment, de l’étude des sujets relatifs au Machia’h, à la délivrance et au Temple, dans la sérénité et la joie, ainsi que la tenue de Farbrenguens, réunions ‘Hassidiques joyeuses, en relation également avec la joie liée au mariage. 2. La mission particulière de «Tom’hei Tmimim» est d’être des «lumières qui éclairent» dans le monde entier et chaque foyer juif doit être à l’image de cette Yéchiva, à travers l’étude de la ‘Hassidout en plus de l’étude de la Torah en général. 3. Il est nécessaire d’organiser une campagne pour procurer à tous les nécessiteux trente jours avant la fête de quoi passer dignement la fête de Souccot afin qu’ils puissent s’y préparer dans la sérénité, et, avant cela, se préoccuper de leurs besoins pour la fête de Roch Hachana. Que la volonté du Saint béni soit-Il soit que, grâce aux bonnes décisions qui sont prises dans ce qui précède, nous méritions qu’Il donne à chacun et chacune du Peuple Juif tout ce dont il ou elle a besoin, en particulier ce qu’il y a de plus important : la délivrance véritable à travers la venue du Machia’h de manière immédiate. Notes 1/ Sections du Pentateuque 2/ Deutéronome 26, 11 3/ Deutéronome 24, 15 4/ Deutéronome 21, 10 5/ Lévitique 25, 55 6/ Midrache Béréchit Rabbah 8, 7 7/ Deutéronome 26, 1 8/ Cantique des cantiques, 6, 3 9/ Psaumes 149, 2 10/ Psaumes 104, 31 11/ Psaumes 89, 52


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Les actualités de la Guéoula

Hier (mercredi 11 Elloul), a eu lieu le congrès Machia’h et Guéoula à Or Yehuda organisé par le Beit ‘Habad de Bat Yam et à sa tête, le Rav Zimroni Tsik. Une journée véritablement des temps futurs avec abondance matérielle et spirituelle, une journée d’information, dans tous les domaines, reliée à l’époque nouvelle, celle de l’ère messianique que nous vivons actuellement…

De gauche à droite : Rav Zimroni Tsik, Rav Chmouel Haparsti, Rav Arié Lévy, Rav Noam Israël Harpaz, Rav Avi Taüb, Rav Shlomo Tsion Tout d’abord, le Rav Noam Israël Harpaz a ouvert la journée d’étude par un exposé sur les temps nouveaux et la vision des nations du monde sur la divinité qui se fait jour. Ensuite nous avons assisté à une magnifique conférence du Rav Chimon Vissendler sur la célèbre suite de discours Aïne Beit du Rabbi Rachab, et sa conception de la délivrance. Il nous a révélé que l’époque messianique est celle où se dévoile l’Essence divine dans les limites du monde matérielle, un niveau de divinité plus élevé que celui que connaissaient nos ancêtres lors du premier et du second Temple. Sur le voilement du Roi Machia’h, il a dit qu’au moment où le Machia’h se connecte avec « Stima DeKol Stimine (ce qui, chez D.ieu représente les niveaux les plus secrets) », il devient lui-même entièrement Elokout, divinité et c’est la raison pour laquelle il n’est plus visible aux yeux des créatures terrestres. Ensuite, au sujet de la Sim’ha, la joie, celle-ci touche l’intériorité de l’âme et dévoile l’Essence divine provoquant ainsi la vision de ce qui est divin. Puis le Rav Lévi Its’hak Guinsburg, le célèbre Machpia (guide spirituel) de Kfar ‘Habad à raconté l’histoire du mariage de sa fille, récit qui du début à la fin est guidé par les Igueroth Kodech d’une manière éclatante. Pendant un copieux repas, le Rav Chlomo Chmida, dont c’était l’anniversaire, a expliqué l’importance de la diffusion des sources grâce aux fascicules qui se distribuent au public qui renforcent et réjouissent le Peuple Juif. Le Rav Chlomo Tsion, émissaire du Roi Machia’h d’Har ‘Homa à Jérusalem, a ensuite prit la parole pour nous raconter l’historique de la fondation du Beit Machia’h d’Har ‘Homa qui, grâce aux activités du couple Tsion avec les enfants le Chabbat et les cours sur Machia’h et Guéoula qui sont donnés le jeudi soir par le Rav Morde’haï Siboni en français, Har ‘Homa, le mont de la muraille s’est transformé en Har Ho’hma, le mont de la sagesse ! Le Rav Arié Lévy, émissaire du Roi Machia’h à Baka et directeur de la Yéchiva Ouparatsta Katamon, nous a ensuite entraîné dans un voyage virtuel chez le Roi Machia’h au 770 en passant par toutes les étapes que vit un Juif, un ‘hassid se rendant chez le Rabbi Roi Machia’h Chlita pour les fêtes du mois de Tichri, après un tel discours, tout le public était enflammé par le désir de se rendre cette année au 770, à New York… Allumage des Bougies Chabbat Parachat Ki Tetsé Jérusalem Entrée : 18h24 Sortie : 19h40

Puis nous avons eu droit à la conférence et diaporama du Rav Avishaï Ifergan, ancien officier de l’armée pendant la guerre du Golf. Il nous a relaté sur vingt ans la première et seconde guerres du Golf avec tous les miracles et prophéties du Rabbi Roi Machia’h Chlita à échelle planétaire et bien sûr pour le Peuple Juif en Terre Sainte (qui est la plus sûre de toutes les terres). Il nous a aussi décrit les révolutions dans le monde arabe et cataclysmes naturels qui sont des signes évidents du processus de la rédemption. Ensuite, l’avocat Amnon Amar a décrit la concrétisation des propos du Rabbi Roi Machia’h Chlita dans le Dvar Mal’hout de la Parachat Choftim au sein des tribunaux et l’histoire d’un juge dont la spécialité et de trouver des compromis entre les deux parties, nous vivons donc une période où les juges deviennent des conseillers… Le Rav Chmouel Hapartsi, émissaire du Roi Machia’h dans le sud de Tel Aviv a prit la parole pour nous raconter son travail de publication et d’édition de flyers et de posters à l’attention des soudanais qui sont installés de fait dans son quartier, une aventure comique qui n’a pas fait l’effet escompté sur la bonne population, mais au contraire sur les Juifs de Tel Aviv !… Après la découverte du plus gros diamant de type Moissanite, le Rav Avi Taüb directeur de la société Shefa Yamim, nous a décrit l’effet de Kidouch

Hachem (sanctification du Nom divin) dans la presse internationale car la photo du Rabbi Roi Machia’h était publiée partout avec le titre « La prophétie du Rabbi de Loubavitch se réalise après vint ans ». Et enfin, le meilleur nous était gardé pour la fin, le Rav Zimroni Tsik, organisateur de cette magnifique journée de Guéoula, a prit la parole en reprenant l’image du roi qui est dans les champs en nous décrivant notre époque actuelle, disant que le roi, c’est le Rabbi Roi Machia’h Chlita qui vit à Brooklyn et reçoit pendant plus de cinquante ans les Juifs de tous bords mais le but n’était bien entendu pas de rester indéfiniment dans les champs mais surtout de rentrer en ville, au palais royal avec à sa suite le peuple entier et aujourd’hui nous sommes tous en direction du palais, lors du dévoilement de la délivrance actuelle. Il nous a confié qu’il avait écrit au Rabbi Roi Machia’h Chlita en ce qui concerne l’attaque d’Israël contre l’Iran et la réponse était de ne s’inquiéter de rien et de continuer notre travail qui est d’être dans la joie des réunions ‘hassidiques, d’étudier et de diffuser les sources ! « Nous n’avons rien d’autre à faire », conclutil, « ce n’est pas notre travail, c’est celui du Rabbi Roi Machia’h Chlita ! ».

Roch Hachana 5773 Les prières de Roch Hachana seront tenues à la Yéchiva Ouparatsta au 13, rue Hare’havim à Talpiot (derrière le Kanyon Hadar) Renseignements et inscriptions 058-4770055 Soyez tous inscrits et scellés pour une bonne et douce année 5773

Je prends sur moi une bonne décision pour amener le Machia’h Prénom : ................................. Nom : .......................... Prénom de la mère :................. Téléphone : .................. Email......................... Adresse : .............................................. Bonne décision ............................................................................................................... Demande de bénédiction : .............................................................................................. Nous introduirons ce coupon dans le livre des correspondances saintes du Rabbi de Loubavitch Roi Machia’h, les célèbres Igueroth Kodech. A retourner à : Beit Machia’h Talpiot/Arnona , 19/5, rue Chalom Yehuda - 93426 Jérusalem


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