Newsletter n°194

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N°194 - Chabbat Parachat Chemot - Hebdomadaire édité par le Beit Machia’h de Arnona-Talpiot 058-4770055 - viveleroi770@gmail.com - www.viveleroi770.com Bonnes Nouvelles

Editorial

Tevet 5773 : La Divine Providence

Photo de la semaine

Jérusalem Oro Chel Machia’h 6, rue Yavets Farbrengen le jeudi soir Rav Doron Oren 052-3618770

En hébreu ça se dit : la Achga’ha Pratite. C’est une notion qu’évoque le Baal Chem Tov, une dimension d’une incroyable précision de plus en plus visible pour celui qui y fait attention. En ce moment, ce qu’il se passe au niveau spirituel, c’est que chacun peut voir, même sans ouvrir les yeux bien grands que D.ieu est présent dans chaque moment de sa vie et qu’Il trace la trajectoire de nos pas d’une manière de plus en plus visible et tangible, au point que chacun de nous peut se dire : tiens, ça c’était pour moi !

Beit Machia’h Har ‘Homa Grand Farbrengen avec le Rav David Aziza à l’occasion du premier anniversaire du Beit Machia’h d’Har ‘Homa à 21h00 - 34, rue Rav Its’hak Nissim 050-4147725 Beit Machia’h Arnona Cours de Tanya et Dvar Mal’hout le mercredi soir à 20h00 - 19/5 rue Chalom Yehuda 058-4770055 Minyane ‘Habad à Baka le Chabbat à 10h30 suivi des Psoukim pour les enfants (distribution de friandises) et d’un Farbrengen 1, rue Dan à Baka synagogue «Tefila LeDavid» 058-4770055 Katamon : Beit ‘Habad francophone de Katamon Rav Avraham ‘Haviv 054-4866072 Guilo : Beit ‘Habad francophone de Guilo Rav Its’hak ‘Haviv 054-4833764

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Lors du mariage de Arié Its’hak et ‘Hanna Sarah Shishe Jeudi 14 Tévet 5773

Le Dvar Mal’hout de cette semaine nous parle de celui dont c’est bientôt la Hilloula, à savoir le Rambam lui-même qui était le Nassi de sa génération, et même, selon son fils Rabbi Abraham, le Machia’h de sa génération. Le 20 Tevet, nous allons tous vivre ce moment et il sera présent avec nous pour réclamer avec nous la Guéoula Haamitite VeHachéléma. Mais il faut surtout poser la grande question qui brûle sur les lèvres de tous ceux qui en ont connaissance : «Pourquoi le Rabbi de Loubavitch Roi Machia’h Chlita nous a t-il demandé instamment d’étudier le livre du Rambam tous les jours de notre vie ?»… Quel rapport entre le Rambam et ce qu’un ‘hassid se doit d’étudier principalement ? Un ‘hassid, en général, étudie la ‘Hassidout, et c’est bien là ce qui fait sa particularité. Alors pourquoi le Rambam ? En fait, il faut savoir que le Rambam a été cité dans le livre du Tanya, car il disait que « D.ieu est la Science, Celui qui sait… », de plus, les Sages de la Kabbale furent d’accords avec lui. Ce qui veut dire que le Rambam est aussi à l’origine de la ‘Hassidout car fondamentalement mystique de par ses ouvrages. Mais concrètement, ce n’est pas la raison pour laquelle le Rabbi Roi Machia’h Chlita nous a attaché avec son étude du Michné Torah. Mais plutôt parce qu’il traite des lois en vigueur dans le Temple, et surtout parce qu’il décrit clairement les lois qui font d’un roi de la maison de

20 Tévet Hilloula du Rambam

David le Machia’h lui-même. C’est donc grâce à lui que nous pouvons clairement identifier le Roi Machia’h de manière législative, et en effet, selon ces critères, il s’agit bien du Rabbi de Loubavitch… c’est lui, le Roi Machia’h ! Le Dvar Mal’hout Chemot nous demande de nous renforcer dans cette étude et d’inciter toutes nos connaissances à en faire de même, étudier le Rambam pour renforcer l’unité du Peuple Juif. Que ce soit le Sefer HaMitsvot (étude qui décrit chaque Mitsva de la Torah) ou le Michné Torah pour ceux qui le peuvent, un chapitre ou trois chapitres par jour. Le Rambam a vécu 70 ans nous dit le Rabbi Roi Machia’h Chlita. De plus, il était le dirigeant de la communauté d’Egypte. Le nom du Rambam comporte les initiales du verset : «Rabot Moftaï BeEretez Mitsraïm, nombreux sont Mes prodiges en terre d’Egypte (Parachat Bo)».

De plus, la force du Rambam est de simplifier toute une discussion de Guémara en une loi de quelques lignes. Et, à la fin de son ouvrage, il nous enseigne que le Roi Machia’h va venir et que le service du Temple reprendra activement et donc, en étudiant ces ouvrages, nous nous préparons à nous y rendre. Dans le Michné Torah, le Rambam nous apprend aussi comment être un bon Juif, en bonne santé et surtout, qu’en ajoutant «une Mitsva» (une bonne pensée, une bonne parole ou une bonne action, dit le Dvar Mal’hout), nous pouvons tous ou plutôt, chacun de nous faire pencher la balance dans laquelle repose le monde entier et amener la délivrance véritable et complète. Et aujourd’hui, et c’est ce qui compte, que chacun de nous fasse un effort et rajoute quelque chose pour D.ieu, pour faire plaisir à Hachem et au Rabbi de Loubavitch Roi Machia’h Chlita et nous pouvons dès à présent ouvrir les yeux et voir que tout est là, prédisposé pour la Guéoula véritable et complète. Et tous s’écrient : « Vive le Roi Machia’h Maintenant ! Mamach »… Allumage des Bougies Chabbat Parachat Chemot

Jérusalem Entrée : 16h13 Sortie : 17h29


www.viveleroi770.com L’Edit Royal - Dvar Mal’hout Résumé du discours de Chabbat Parachat Chemot Chabbat 21 Tévet 5752-1992 du Rabbi de Loubavitch Roi Machia’h Chlita

De l’exil à la vie éternelle 24 Tévet 5773

Commentant le verset « Et voici les noms des enfants d’Israël venus en Égypte », le Midrach Rabba explique que la mention des noms des tribus d’Israël au moment de leur descente en Égypte est due au fait que ces noms sont liés avec la délivrance du Peuple Juif. Ce Midrach est a priori surprenant. En effet, la délivrance d’Égypte n’est pas mentionnée dans cette Paracha, ni même dans la suivante, mais seulement dans la Paracha Bo. Pourquoi la Torah mentionne-t-elle donc les noms des tribus en liaison avec la délivrance ici, dans la Paracha de Chémot qui a pour thème la descente en Egypte ? Un autre Midrach (1) enseigne que la mention de ces noms dans cette Paracha indique que les Enfants d’Israël n’avaient pas changé leurs noms au cours de cet exil, ce qui leur a valu d’être plus tard délivrés. Ce Midrach paraît plus logique que le précédent, car, d’après lui, la mention des noms vient donner la raison de la délivrance qui interviendra par la suite. Le premier Midrach, en revanche, précise que ces noms expriment déjà la délivrance. En outre, ce Midrach explique que la mention du nom de Yossef fait référence à la délivrance messianique, au sujet de laquelle il est écrit « Yossif Hachem Chénite Yado, D.ieu étendra de nouveau Sa main (2) ». Il nous faut dès lors comprendre le lien qui relie la descente en Egypte relatée dans notre Paracha et la délivrance messianique, ainsi que l’enseignement qu’il convient d’en tirer pour notre service de D.ieu aujourd’hui. En réalité, la descente en Egypte a constitué l’une des étapes du processus de la délivrance. Ce ne fut une descente qu’en apparence, alors qu’intrinsèquement, cela constitua le point de départ de la délivrance d’Egypte et de la délivrance messianique finale. C’est la raison pour laquelle le Midrach affirme que ces noms sont mentionnés ici en référence à la délivrance. Tel est en outre notre rôle en tant que Juifs aujourd’hui : faire apparaître, au sein même de l’exil, la délivrance messianique. Rabbi Eléazar Ben Azaria La Michna citée dans la Haggada de Pessa’h relate que le jour où Rabbi Éleazar Ben Azaryah fut nommé Nassi (chef du Sanhédrine), il déclara : « Je suis comme âgé de soixante-dix ans, mais je n’ai pas eu le mérite de démontrer que la sortie d’Égypte doit être mentionnée la nuit, jusqu’à ce que Ben Zoma déduise (aujourd’hui) du verset « Afin que tu te rappelles le jour de ta sortie du pays

d’Égypte tous les jours de ta vie (3) » que si les jours de ta vie fait référence aux jours, le terme tous vient inclure les nuits. Les Sages, eux, enseignent que l’expression « les jours de ta vie » fait référence à ce monde-ci et que le terme « tous » vient inclure les temps messianiques (4) ». Il est intéressant d’étudier le lien qui existe entre cet enseignement et celui qui l’a rapporté, Rabbi Eleazar Ben Azaryah, la période dans laquelle il fut prononcé, lorsque celui-ci fut Nassi et l’âge mentionné dans la Michna, soixante-dix ans. Ceci nous est enseigné par une lecture plus profonde de cette Michna. Celle-ci vient en effet préciser à quel moment il est nécessaire de sortir d’Egypte d’un point de vue spirituel, c’est-à-dire dépasser les limitations imposées par la condition corporelle afin de mieux s’attacher à D.ieu. Si en période de « jour », c’est-àdire lorsque règne une grande clarté spirituelle, il est évident qu’il faut en profiter pour sortir d’Egypte et s’élever dans sa relation avec D.ieu, Ben Zoma vient ajouter que cette démarche doit aussi avoir lieu en temps de nuit, lorsque règne l’obscurité de l’exil. L’enseignement des Sages va encore plus loin : même aux temps messianiques, lorsque la délivrance sera totale et absolue, la sortie d’Égypte sera encore mentionnée, bien qu’elle ne fut qu’une délivrance partielle, car elle constitue l’origine et le point de départ du concept même de délivrance, y compris de la délivrance messianique. En outre, la sortie d’Égypte présente l’atout d’avoir été le théâtre de la soumission du mal alors que la délivrance messianique verra sa disparition totale. De même, si lors des temps messianiques la délivrance finale et la révélation de l’Infini divin constitueront l’essentiel, on continuera néanmoins à évoquer la sortie d’Egypte pour souligner que la délivrance messianique était recelée même par des situations marquées par les limitations, telles que l’exil, et qu’elle est donc indissociable de ces périodes de l’Histoire. La sortie d’Égypte fut une délivrance incomplète alors que la délivrance messianique sera absolue. L’enseignement des Sages révèle que la mention de la

sortie d’Égypte aujourd’hui contient en soi les temps messianiques : même aujourd’hui, en temps d’exil, nous devons évoquer et ainsi amener les temps messianiques. Le rôle du Nassi, le Prince Nous pouvons maintenant comprendre pourquoi cette Michna fut dite précisément le jour où Rabbi Éleazar Ben Azaryah fut nommé Nassi. Le rôle du Nassi au sein du Peuple Juif est en effet de relier tous les jours de la vie de chaque Juif, y compris les situations d’exil (de nuit), avec la délivrance (la sortie d’Égypte, des limitations de toutes sortes) en général et la délivrance messianique en particulier (la délivrance absolue, qui ne sera plus suivie d’exil). Il doit faire en sorte que chaque Juif soit en mesure de s’élever au dessus de son exil pour se tenir dans un état de délivrance messianique. C’est pour cela que, lorsqu’il fut nommé Nassi, Rabbi Éleazar Ben Azaryah établit que la sortie d’Égypte soit mentionnée la nuit (en situation d’exil) et qu’il faut amener les temps messianiques. C’est aussi la raison pour laquelle il était « comme âgé de soixante-dix ans ». Il n’avait en réalité que dix-huit ans, mais, pour l’honneur de sa fonction de Nassi, dix huit rangées de poils blancs poussèrent miraculeusement à sa barbe durant la nuit et il eut alors l’apparence de quelqu’un d’âgé de soixante-dix ans, car tel est le temps qu’il est nécessaire afin de raffiner les sept Midoth (attributs émotionnels) de son âme animale, siège du mauvais penchant pour atteindre la vision du divin. En effet, 70 est la valeur numérique de la lettre hébraïque «Ayin», qui signifie «œil», ce qui fait allusion au fait que le raffinement de l’âme pendant soixante-dix ans permet d’accéder à une révélation du divin qualifiée de vision. C’est pour cela qu’il dût au préalable atteindre ce niveau pour devenir Nassi et que grâce à lui il soit révélé que même dans un temps d’exil et de nuit, il est possible de sortir d’Egypte et même de parvenir à la délivrance absolue. Cette capacité est contenue en allusion dans son nom «E-l–azar Ben Azar–Yah», qui signifie qu’il reçoit l’aide («Azar») de D.ieu (dont «É-l» et «Y-ah»

Le Carnet : Pour la réussite de ‘Hanna Bat Mercedès, Line Bat Mercedès, Michaël Ben Mercedès, Henri ‘Haïm Ben Julia, Mena’hem Mendel Israël Ben Gabriel, Noa Bat Menou’ha Ra’hel et Perla Bra’ha Bat Menou’ha Ra’hel pour la famille Liraz Touval Pour la bonne santé de Mercedès Sarah Bat Fifine Réfoua immédiate Leilouï Nichmat de Norbert Avraham Ben Pnina Beckouche, Yossef Ben Solika, Meyer Benchoam, Fifine Bat Habiba, Julia et Rachel Pessa'h, ‘Haya Sim’ha Bat Avraham, Yossef Abitbol Ben Clara, ‘Hanna Bat Ra’hel et Ruth Sarah Isska Bat Gabi.

200 ans Hilloula de l’Admour Hazaken

sont des noms saints) pour sortir d’Egypte même en temps d’exil. Le Talmud (5) relate que le jour où Rabbi Eleazar Ben Azaryah fut nommé Nassi on renvoya le gardien de la maison d’étude et il fut donné à tous les élèves la permission de rentrer. En effet, le Nassi précédent, Rabbane Gamliel, avait interdit aux élèves qui n’étaient pas au summum de l’intégrité de venir dans la maison d’étude et Rabbi Eleazar ben Azaryah permit de rentrer à tout ceux qui le souhaitaient. Rabbane Gamliel était en effet à un niveau comparable à celui des temps messianiques, dans lequel le mal n’avait pas de place. Rabbi Eleazar Ben Azaryah, en revanche, voulut que même dans la situation qui prévaut aujourd’hui, alors que le mal est présent dans le monde, il soit possible d’atteindre un degré de délivrance complète. Rabbane Gamliel se rangea lui-même à cette idée et, lorsqu’il fut rétabli plus tard dans sa fonction de Nassi, il n’empêcha plus quiconque de pénétrer dans la maison d’étude. Même lorsque l’on descend en exil Cet enseignement, selon lequel il nous incombe de faire pénétrer la sortie d’Egypte et la délivrance messianique même en temps d’exil, apparaît également au début du traité Bera’hot (au début du chapitre qui se conclut par l’enseignement de Rabbi Eleazar Ben Azaryah mentionné plus haut) ainsi qu’à la conclusion du Talmud. Le traité Bera’hot, premier traité du Talmud, débute par « A partir de quand lit-on le Chéma le soir ? », ce qui enseigne que même le soir, dans la nuit de l’exil, il nous faut « lire le Chéma », c’est-à-dire permettre à nos âmes de se lier à D.ieu et de sortir des limitations imposées par le corps, sortir d’Egypte. Le Talmud (Nidda) termine par «Celui qui étudie des Hala’hot, des lois quotidiennement est assuré d’avoir part au monde futur», ce qui enseigne que même actuellement, en temps d’exil, il est possible d’accéder à une situation de délivrance, le monde futur. Et la dernière Michna (Ouktsine) mentionne le verset «D.ieu donne de la force à Son peuple, D.ieu bénit Son peuple avec la paix (6)», ce qui enseigne qu’aujourd’hui déjà nous recevons la force qui nous permet d’accéder à la paix véritable qui caractérisera l’ère messianique. Nous pouvons dès lors comprendre les paroles du Midrach selon lesquelles les noms des tribus d’Israël sont mentionnés


www.viveleroi770.com à leur descente en Egypte «en référence à la délivrance d’Israël» car il faut être conscients au moment où l’on entame l’exil que, non seulement celui-ci mène à la délivrance, mais qu’il est une partie de la délivrance elle-même ! Rabbi Moché Ben Maïmon Cette idée est liée avec la date de la veille de ce Chabbat (en 5752-1992, Ndt) : le 20 Tévet, anniversaire de la disparition du Rambam, Maïmonide. Le Rambam était le Rav, le chef spirituel de la Communauté Juive d’Egypte. Il se rendit célèbre essentiellement à travers son œuvre magistrale, le Michné Torah qui rassemble toutes les lois de la Torah, y compris celles relatives au Machia’h. Il entretint une riche correspondance avec des communautés reculées, auxquelles il apporta vitalité et espoir. Il est clair que la vie du Rambam constitue un modèle d’une vie de «délivrance» au sein même de l’obscurité de l’exil de l’Égypte comme on peut le voir au sujet de son nom : RamBaM, dont les initiales forment le verset : « Rabot Moftaï Beeretz Mitsraïm, nombreux sont Mes prodiges en terre d’Egypte (7) ». De plus, il est à noter que le Rambam a vécu 70 ans, ce qui montre chez lui la perfection qui est à rapprocher de « Je suis aujourd’hui comme âgé de soixantedix ans » comme nous l’avons vu au sujet de Rabbi Eléazar Ben Azaria. Révéler la réalité On a rappelé de nombreuses fois les paroles de mon beau-père, le Rabbi (précédent, Ndt), Nassi de notre génération, selon lesquelles, au-delà du fait que «toutes les échéances ont été dépassées», les Enfants d’Israël ont fait Téchouva et ont tout achevé, y compris « le polissage des boutons » et il faut seulement que D.ieu ouvre les yeux des Juifs afin que ceux-ci voient que la délivrance est déjà présente, et que l’on est déjà assis devant une table dressée, pour le repas du Léviathan et du Chor Habar, et tout ce qui s’en suit. Si au moment où nos ancêtres entrèrent en Egypte ils avaient conscience qu’il s’agissait d’une étape du processus de la «délivrance d’Israël» et si le rôle de chaque Juif au fil des âges fut de faire pénétrer la délivrance à l’intérieur des situations d’exil, à plus forte raison après l’abondance de toutes nos actions au cours de l’exil, après celles de Rabbi Eleazar Ben Azaryah à son époque, après celles du Rambam à son époque et de tous les Tsaddikim du Peuple Juif de toutes les générations jusqu’à, dans ces dernières générations, le travail de nos Rabbis et princes de la lignée de David de la tribu de Yéhouda, ce qui inclut l’action de mon beau-père, le Rabbi au cours des soixante-dix ans de sa vie icibas (5640-5710 – 1880-1950), à plus forte raison à l’heure actuelle, après que nous avons tout achevé, y a t-il la promesse absolue de la Torah qu’il y aura assurément « Tous les jours de ta vie… pour amener les temps messianiques ».

La différence de notre génération Et il est évident qu’il n’y a besoin d’aucune interruption, ce qu’à D.ieu ne plaise, entre « tous les jours de ta vie » et « les temps messianiques » comme ce fut le cas pour les Juifs de toutes les époques qui ont vécu avant cette génération-ci, mais «tous les jours de la vie» de chaque Juif, une vie matérielle, l’âme étant revêtue dans le corps, incluent en eux «les temps messianiques» sans interruption, car la délivrance intervient immédiatement, en cet instant et en ce lieu même si c’est une situation de nuit, de descente en Egypte, de sorte que le dernier instant de l’exil devient le premier instant de la délivrance. Et des «jours de ta vie» dans ce moment-ci et en cet endroit-ci (quand bien même est-on plus âgé que soixante-dix ans), on passe immédiatement en toute intégrité à la suite des «jours de ta vie» dans l’ère messianique et à la vie éternelle qui prévaudra alors. Concrètement La tâche qui incombe aux Juifs aujourd’hui est «d’amener les temps messianiques», de révéler enfin immédiatement et concrètement que la situation de descente en Egypte dans l’exil est en fait une situation de délivrance d’Israël, par le fait que l’on se prépare soi-même et que l’on prépare les autres aux temps messianiques. Ce qui inclut aussi, en relation avec la Hilloula du Rambam, que l’on renforce son étude du Michné Torah du Rambam, notamment en rejoignant le cercle de ceux qui étudient trois chapitres par jour, ou un chapitre, ou le Sefer Hamitsvot, et en particulier, dans le Michné Torah luimême, l’étude des deux derniers chapitres consacrés aux lois relatives au Machia’h. Que D.ieu fasse que la simple prise de décision en ce sens nous vaille déjà la rétribution : l’accomplissement des paroles du Rambam à la fin de son livre, car, dès lors que nous possédons déjà «un roi de la lignée de David, qui étudie la Torah et pratique les Mitsvot comme le faisait son aïeul David… qui poussera tout le Peuple Juif à emprunter la voie de la Torah et de la renforcer, qui livrera les guerres de D.ieu» qui est alors «présumé être le Machia’h», qu’il soit dès à présent «Machia’h avec certitude» par le fait qu’«il aura réussi et aura construit le Temple en son endroit et rassemblé les exilés d’Israël… Il ordonnera le monde entier pour servir D.ieu de concert…». Jusqu’à ce que, comme conclut le Rambam, «La connaissance de D.ieu remplira le monde comme les eaux recouvrent les fonds marins (8)». Notes 1/ Vayikra Rabba 32.5 - 2/ Isaïe 11.11 3/ Deutéronome 16.3 - 4/ Bera’hot 12b - 5/ Traité Bera’hot 28a - 6/ Psaumes 29.11 - 7/ Bo 11.9 - 8/ Isaïe 11, 9

Récit

La prophétie se dévoile dans les Igueroth Kodech « Le Rabbi me souhaite une longue vie et de bonnes années ? Pourquoi ? M’étonnais je… ». C’est ainsi que le Rav Tsvi Weiss de Tel Tsion, petit village des faubourgs de Jérusalem, commence son histoire. A la fin de sa journée d’enseignant au Collel Tséma’h Tsedek (situé dans la vieille ville de Jérusalem), le Rav Tsvi Weiss préparait un cours sur la pureté familiale qu’il devait donner le soir même à la synagogue de Tel Tsion. Dès qu’il eut terminé, il s’apprêta à écrire au Rabbi, au sujet de sa nomination à un poste qu’il aurait déjà du recevoir, mais qui pour diverses raisons avait sans cesse été repoussée jusqu’alors. Quelques uns de ses amis, très réservés voire sceptiques, quant à la pratique des Igueroth Kodech, étaient présents quand il reçut cette réponse, qui à priori n’avait aucun rapport avec le sujet évoqué dans la lettre, qu’il avait glissée entre les pages d’un des volumes de la correspondance du Rabbi Roi Machia’h Chlita. Tous s’étonnèrent de la réponse. Quel rapport pouvait il bien y avoir entre l’obtention d’un emploi et une bénédiction de longévité ? Le soir même, chacun comprit qu’il s’agissait en fait d’une véritable prophétie… « Ce mercredi 9 Tamouz 5762 (2002), je suis sorti comme d’habitude du Collel, à 18h30. De la vieille ville, j’ai pris un autobus qui m’a conduit jusqu’à la sortie de la ville, à la Guivat Hatsarfatit, d’où je devais prendre un autre bus qui me déposerait chez moi. A cet endroit, il y a un grand terre plein réservé aux autos stoppeurs, j’attendis donc entre la station de bus et cet emplacement, avec l’espoir d’arrêter une voiture du village qui m’amènerait directement à la synagogue, où je devais donner mon cours. J’essayais d’identifier un véhicule ou un visage, parmi le flot incessant que charrie cette artère très fréquentée, quand soudain j’entendis le terrible vacarme d’une explosion… L’énorme « Boum » résonnait encore à mes oreilles, que j’étais déjà au sol, projeté par le souffle de la déflagration. J’ai immédiatement ressenti une violente douleur à l’épaule droite, alors qu’une étrange faiblesse s’insinuait dans tout mon corps. J’ai tout de suite réalisé que nous étions victimes d’un attentat. Bien que choqué et vacillant, je me fis violence pour tenter de m’éloigner le plus rapidement possible des lieux du drame. Je ne pus faire que quelques pas avant que mon corps ne se dérobe. Je retombais presque évanoui à quelques centimètres seulement de l’endroit d’où je venais de me relever. Quelques minutes après, les secours arrivés sur place s’occupaient de moi. Aux questions qu’ils me posèrent, je répondis que je souffrais terriblement du bras et de l’épaule, et que j’avais très soif. C’est à ce moment que je m’aperçus de la

perte de mon téléphone portable, dont l’utilité est vitale en de tels moments. Très rapidement, on m’allongea sur un brancard, pour me conduire à une ambulance. Ce court trajet ne fit qu’amplifier les douleurs que je ressentais. Les ambulanciers m’apprirent que j’étais considéré comme un blessé léger, « Vous avez dû vous fracturer la clavicule. C’est un miracle que vous soyez vivant ». Tout en demandant à être conduit le plus rapidement possible à l’hôpital, afin de me soulager des douleurs que j’endurais, je pensais que grâce à D.ieu, c’était déjà un miracle en soi de n’être que légèrement blessé. Je ne me doutais pas que j’allais vivre de plus grands miracles encore… Quand je suis arrivé à l’hôpital Hadassa Har Hatsofim, les médecins, avant de s’occuper de mon épaule, voulurent tout d’abord vérifier si j’avais été touché par des éclats dus à l’explosion. Il s’avéra quelques instants après, que j’étais truffé de fragments et éclats de toute sorte, j’en avais dans la tête, dans le dos, dans le bras et dans les jambes. Dès qu’ils eurent soigné les plaies les plus urgentes, les médecins me firent alors passer une radio C.T (Computed Tomography) qui révéla que mon gros intestin, lui aussi, avait été touché par un éclat. Je fus emmené d’urgence en salle d’opérations… Les résultats du C.T témoignaient euxmêmes du miracle dont j’étais l’objet. Une quinzaine d’éclats avaient pénétré mon corps. L’un deux s’était arrêté à quelques millimètres du cerveau ! Malgré le nombre important d’éclats qui avait pénétré mon dos, certains plus profondément que d’autres, aucun n’avait touché la colonne vertébrale, et ne nécessitait donc pas de traitement particulier. Un fragment avait même traversé mon genou de part en part, sans que l’os ne soit touché… Malgré tout, nous ne savions encore rien de la réelle gravité de mon état, que les médecins continuaient de qualifier de « satisfaisant ». » A neuf heures du soir, un peu plus de deux heures seulement après l’attentat, le Rav Weiss rentrait au bloc opératoire. Quand sa famille, qui venait d’être prévenue, arriva à l’hôpital, il était déjà sous anesthésie entre les mains des chirurgiens. Son beau-frère, le Rav Shlomo Margaliot, qui était à son domicile s’empressa d’écrire au Rabbi Roi Machia’h Chlita. La réponse qu’il reçut rassura tout le monde: « Avec l’aide de D.ieu, demain… lorsque je me rendrai près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi, je mentionnerai votre nom, ainsi que celui de votre épouse et des


www.viveleroi770.com suite membres de votre famille, comme vous me l’avez demandé, pour que vous soyez bénis et pour que vous ayez une bonne et longue vie… Je conclurai en émettant le vœu que D.ieu vous accorde, ainsi qu’à votre épouse, une longue vie et de bonnes années, une immense satisfaction, juive et ‘hassidique, de tous les membres de votre famille et de vousmêmes… ». Le Rav Margaliot, appela immédiatement sa sœur, la rabbanite Bera’ha Weiss afin de lui lire la réponse. C’est au tour de cette dernière de nous relater la suite des événements, juste après qu’elle ait pris connaissance des bénédictions du Rabbi. « L’appréhension et la stupeur qui me submergèrent quand les médecins m’apprirent que Tsvi était blessé, se volatilisèrent dès que mon frère me transmis la réponse du Rabbi. Nous étions coutumiers de ce phénomène et, j’avais la certitude que les bénédictions du Rabbi se réaliseraient pleinement et rapidement. A mon arrivée à l’hôpital, je trouvais déjà sur place les parents et les frères de mon mari, très affectés et inquiets pour lui ; il n’avait pas encore atteint l’âge de trente ans ». L’opération venait à peine de commencer, que les médecins découvraient qu’une artère principale s’était rompue. Le bas ventre du blessé était inondé par son sang qui ne cessa de couler pendant plus de deux heures ! Un des médecins sortit alors du bloc opératoire pour annoncer qu’en fait, l’état du Rav Weiss était bien plus grave que prévu, ce qui assomma encore un peu plus la famille. « Nous essayons de juguler l’artère qui a rompue, mais sans succès pour l’instant ». Les chirurgiens étaient loin de se montrer optimistes. « Nous allons tout tenter pour juguler cette artère et soigner la déchirure du gros intestin, mais sachez qu’il ne s’agit là que du début d’un long parcours. Vous devez vous attendre à de longs mois de convalescence et à une difficile rééducation, dans le cas où je l’espère, l’intervention réussisse ». Conclut l’un des chirurgiens, avant de disparaître rapidement derrière la porte de la salle d’opérations. La petite salle d’attente, située en face du bloc opératoire, résonna alors des versets de Téhilim récités par la famille bouleversée, qui paradoxalement restait sereine et confiante dans la réponse reçue du Rabbi par les Igueroth Kodech. Pendant ce temps, l’équipe médicale en salle d’opérations, menait un combat de tous les instants pour sauver la vie du jeune rabbin. Devant leur impuissance à stopper l’hémorragie, les chirurgiens firent alors venir d’urgence un des responsables du service de chirurgie de l’hôpital Hadassa Ein Kerem, le docteur Anar, spécialiste en artériologie. Même pour ce spécialiste, la tache se montra particulièrement ardue. Il du faire preuves de toutes ses compétence pour réussir à arrêter l’hémorragie et suturer l’artère problématique. Ce n’est qu’alors, que les membres de l’équipe qui se débattaient depuis des heures en salle d’opération, poussèrent un « Ouf » de soulagement, la vie de leur patient n’était plus menacée. Malgré toutes ces complications, l’intervention se termina dans les délais prévus. Les médecins avaient estimé que l’opération devait durer au minimum huit heures, précisant que les effets de l’anesthésie ne s’estomperaient qu’après vingt-quatre heures; l’opéré devant être placé sous assistance respiratoire pendant quelques jours. Les médecins sortirent en sueur et épuisés du bloc opératoire. « C’est un miracle ! », dirent ils presque tous en chœur. « Il a perdu soixante-quinze pour cent de son sang. Nous avons du lui injecter seize portions de sang ! Malgré la quantité de sang qu’il a perdu et sa déchirure à l’intestin, il n’a quasiment subi aucun dommage, ce qui relève presque de l’anecdote par rapport au fait de rester en vie après avoir perdu une telle quantité de sang. Il ne nous reste qu’à espérer que l’énorme volume

de sang transfusé soit bien assimilé par l’organisme, sans générer de rejet ou d’autres complications ». L’opération terminée, le Rav Weiss fut placé en soins intensifs. Les docteurs affichaient un optimisme prudent. Le beau-frère, le Rav Margaliot, voulant tenir informé le Rabbi du développement de la situation, écrivit une nouvelle lettre qu’il glissa entre les pages d’un volume d’Igueroth Kodech. A nouveau les réponses étaient extraordinaires. La première lettre se terminait par les mots « une proche guérison », alors que la deuxième était adressée à un certain David, qui est également un des prénoms du Rav Weiss… Cinq heures seulement après être sorti de la salle d’opérations, le Rav Weiss ouvrait les yeux. Après l’avoir

ausculté méthodiquement, les médecins (interloqués par le fait que les effets d’une anesthésie censés durer vingt-quatre heures au minimum, aient pu s’estomper aussi rapidement) coupèrent l’assistance respiratoire devenue superflue, tout en prenant soin de mettre en garde la famille: « Préparez vous à une longue convalescence et à une rééducation qui durera plusieurs mois». Le Rav Weiss nous raconte comment s’est passé son réveil. « Quand j’ai repris conscience, j’ai ressenti une terrible douleur au niveau du bas ventre. Mon épaule, ayant été immobilisée, ne me faisait presque plus souffrir. Hormis les douleurs, c’étaient surtout les sombres prévisions des médecins concernant ma convalescence, qui m’inquiétaient le plus; mais le simple fait de penser aux réponses du Rabbi, suffisait à me rassurer. Soudain, je me mis à frissonner ! Je venais juste de me rappeler la réponse que j’avais reçue quelques heures à peine avant l’attentat. Je fus alors convaincu de sortir de cet hôpital dans les plus brefs délais, complètement rétabli par le mérite des bénédictions du Rabbi ». Une nouvelle lettre fut rédigée, par les membres de la famille du Rav Weiss, annonçant au Rabbi de bonnes nouvelles du « miraculé », qui avait repris conscience et avait même commencé à s’entretenir avec ses proches venus lui rendre visite. La réponse cette fois ci, était datée (rappelons que l’attentat avait eu lieu la veille du 9 Tamouz): « A l’occasion de la fête de la libération du 12-13 Tamouz, celle de mon beau-père, le Rabbi et de « tous ceux qui se consacrent à la diffusion de la Torah », selon l’expression de mon beaupère, le Rabbi, j’émets le vœu que la bénédiction qu’il a accordée se réalisera pleinement. D.ieu ouvrira Ses trésors et accordera à tous ceux qui chérissent la Torah, l’étudient, l’enseignent publiquement, parmi tous nos frères, les enfants d’Israël, la vie et la bénédiction, en abondance, au-delà de toutes les limites… ».

Sur l’autre page on pouvait lire: « Je ne sais pas où vous serez les 12-13 Tamouz et je vous joins donc le fascicule édité à cette occasion. A n’en pas douter, il vous intéressera beaucoup. Avec ma bénédiction pour que vous connaissiez le calme de l’esprit, et par conséquent le calme physique ». « Je lisais la lettre, sans pouvoir m’arrêter de pleurer », se souvient le Rav Weiss. « Cette lettre m’était directement adressée, comme l’atteste ce passage, « tous ceux qui se consacrent à la diffusion de la Torah ». L’attentat m’avait frappé alors que j’étais justement en chemin pour donner un cours. Le Rabbi parlait expliquait également combien ces jours, les 12 et 13 Tamouz, jours de Délivrance, étaient favorables. Une telle abondance de bénédictions me comblait de joie… Dans la deuxième lettre le Rabbi précisait: « Je ne sais pas où vous serez les 12-13 Tamouz… ». Le dimanche 13 Tamouz, les docteurs décidaient de me transférer des soins intensifs à un service normal. De plus, alors que le matin les médecins m’avaient parlé d’une longue rééducation, le soir même, ils m’annonçaient que vu l’évolution de mon état, aucune rééducation ne serait nécessaire ! Je ne cessais de lire et relire cette phrase du Rabbi: « D.ieu ouvrira Ses trésors et accordera à tous ceux qui chérissent la Torah, l’étudient, l’enseignent publiquement, parmi tous nos frères, les enfants d’Israël, la vie et la bénédiction, en abondance, au-delà de toutes les limites… ». Le Rav Weiss ne se contente pas de recevoir les bénédictions du Rabbi, il applique également ses directives. Dans l’une des lettres, le Rabbi écrivait qu’il joignait un fascicule édité à l’occasion du 12 et 13 Tamouz, qui selon les termes de la missive: « A n’en pas douter, il vous intéressera beaucoup ». Les membres de la famille du Rav Weiss, n’avaient pas manqué de lui fournir le livret en question. Le Chabbat suivant l’opération, le Rav Weiss, entouré de ses proches, participa aux repas chabbatiques organisés par l’hôpital pour les malades et leurs familles. Au cours de ces repas, il raconta aux convives rassemblés, comment les bénédictions du Rabbi lui avaient sauvé la vie. En fin d’après midi, lors du troisième repas de Chabbat, à l’heure ou selon la tradition le dévoilement divin est le plus intense, il récita même une partie du discours ‘hassidique (qu’il avait trouvé le temps d’apprendre par cœur) mentionné par le Rabbi dans sa lettre. Quinze jours venaient à peine de s’écouler depuis le terrible attentat, que le Rav Weiss sortait déjà de l’hôpital, pour entamer une période de convalescence dans une maison de repos, suivant ainsi les recommandations des médecins. Après seulement trois semaines de villégiature, il rentra chez lui complètement rétabli. Au cours de cette période de repos, c’est avec un enthousiasme communicatif, que le Rav Weiss faisait un récit détaillé, à chacun de ses visiteurs, de la succession de miracles qu’il venait de vivre et des réponses extraordinaires qu’il avait reçues du Rabbi. Il montrait même, à celui qui en faisait la demande, la lettre que l’hôpital lui avait remis lors de sa sortie, dont nous ne rapportons ici que quelques lignes. « Un corps étranger a pénétré le dos au niveau de la colonne vertébrale : état satisfaisant. Un corps étranger a pénétré le crâne : aucune altération du cerveau et de ses fonctions. Un corps étranger a traversé le genou, y formant un excavation d’environ deux centimètres et demi de diamètre: la rotule est intacte, le genou fonctionne normalement ». Existe-t-il de meilleur résumé à cette incroyable histoire, que cette déclaration d’un des chirurgiens qui a assisté à l’opération, a adressé au détour d’un couloir au Rav Weiss: « C’est la première fois de ma vie que je vois un miracle marcher !… ». Tiré du livre de Rav Yossi Haddad «Les Merveilles du Machia’h»


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