Vive le roi Machiah Now! n°347

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MACHIA’H NOW ! N°347 - CHABBAT PARACHAT KI TISSA - CHABBAT PARA CHABBAT 20 ADAR 5777 - 18/03/2017

VIVE LE ROI

Hebdomadaire - Edition française - www.viveleroi770.com viveleroi770@gmail.com - 058-4770055

Editorial

Plus de joie avec plus d’énergie… Après un Pourim de feu à Jérusalem (voir les photos en page 4), nous sommes entrés dans les magasins, au centreville pour danser et chanter avec les commerçants, en leur versant une goutte de « Le’haïm ». L’étonnement se fait jour, mais après coup, il s’avère qu’ils attendaient ça ! Puis sur notre chemin, alors que nous dansions avec le propriétaire d’un magasin, un Juif nous a regardé (tout de même heureux du spectacle), et nous a dit : « Comment ? Des danses de Adar ? Mais on est bientôt à Pessa’h ! ». On a pas essayé de lui répondre, mais, franchement, entre nous, on est bien au mois d’Adar, dans lequel, notre sainte Torah nous demande

de multiplier la joie. Ce qui signifie que chaque jour, depuis Roch ‘Hodech on doit ajouter chaque jour une dose supplémentaire de joie et chaque jour compte, ce qui fait que, surtout après Pourim, la joie doit carrément décupler et devenir un élément incontournable de notre comportement quotidien jusqu’à rire de tout, chanter sur une simple sonnerie de téléphone, danser au moindre signal ou même pour rien… Alors voilà ! C’est le mois d’Adar, c’est la Guéoula, cela donne une équation d’une simplicité élémentaire : Soyons tous au maximum de la joie, Now, Mamach ! (GB)

BH

En Adar e on multipli!!! LA JOIE

Jérusalem

La manifestation de la Sim’ha de Pourim en pleine Guéoula !

Cette année, le Rav Doron Oren (directeur du Centre Machia’h & Guéoula) a surpris les jeunes avec encore plus de force, au centre de Jérusalem, avec la musique et les danses de la Guéoula. Un orchestre enflammé a joué jusqu’à très tard pour apprendre aux jeunes les chants et danses et surtout l’unité d’Israël que l’on ressent pour la pure joie de Pourim en période de Guéoula… (GN)

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Ye’hi Adoneinou Morénou VeRabbénou Mele’h HaMachia’h Léolam Vaèd !


L’Edit Royal Dvar Mal’hout Extraits du discours du Rabbi de Loubavitch Roi Machia’h Chlita Chabbat Parachat Ki Tissa - Adar 5752-1992

Le rayonnement de gloire

La Paracha de Ki Tissa est assez singulière : elle comporte un certain nombre de sujets variés qui, mis à part le fait qu’ils s’enchaînent chronologiquement, ne semblent avoir aucun rapport entre eux. Au début, il est fait état des premières Tables de la Loi : un sujet très élevé. Vient ensuite l’épisode du bris de ces tables : une chute incommensurable. Suit alors la révélation des treize Attributs de Miséricorde : de nouveau un sujet élevé. Apparaissent enfin les secondes Tables de la Loi, foncièrement différentes des premières (notamment par le fait qu’elles sont une œuvre humaine, etc.) Néanmoins, du fait que tous ces sujets sont mentionnés dans la même Paracha, nous devons admettre qu’ils sont les éléments d’un enchaînement cohérent. On peut prouver cela en considérant le fait que les premières Tables de la Loi sont ici abondamment détaillées : « Des tables de pierre, burinées par le doigt de D.ieu. », « Des tables écrites sur les deux faces ». De fait, si les premières Tables n’étaient mentionnées qu’en tant qu’introduction à l’épisode du veau d’or qui a entraîné leur destruction, il serait déplacé d’en mentionner des qualités inédites : ce serait « remuer le couteau dans la plaie », une démarche étrangère à l’esprit de la Torah, qualifiée d’analogue à « humilier un indigent » (« loeg larach »). Ceci établit logiquement que la mention des premières Tables dans notre Paracha est un élément à part entière d’un ensemble constitué par celle-ci. Ceci est vrai également d’après Rachi qui tient que les différents sujets énumérés dans la Paracha ne suivent pas un ordre chronologique. En effet, même dans cette optique il reste nécessaire de justifier l’ordre d’apparition des sujets ainsi que la raison pour laquelle les premières Tables sont détaillées ici plutôt que dans la Paracha Michpatim qui en fait longuement mention.

b. la création du monde et c. la perfection de la création à l’ère messianique. Dans les termes de la Kabbalah, cela s’exprime ainsi : a. Au début il n’y avait rien d’autre qu’une Lumière Infinie (Or ein sof), b. puis D.ieu contracta Sa Lumière et ne laissa filtrer dans la Création qu’une Lumière limitée (Tsimtsoum), c. afin que la révélation divine dans toute sa plénitude puisse se faire dans ce monde matémalement caractériser l’ensemble de celle-ci. riel. Or on y trouve l’épisode du veau d’or qui fut la plus grande déchéance du Peuple Juif ! 4. Pourquoi le « rayonnement de gloire » fut-il Trois étapes conféré à Moïse précisément lors du don des Dans la mesure où le monde a été créé selon la deuxièmes Tables, sachant que Moïse avait volonté divine exprimée dans la Torah, il est lodéjà été exposé à la révélation divine lors du gique de retrouver dans celle-ci cette même structure en trois parties : don des premières Tables ? A. la Torah débute par « Béréchit » (« Au commencement »), ce qui souligne que le monde a Toute la Création été créé pour la Torah qui est appelée « RéPour répondre à toutes ces interrogations, il est nécessaire de rappeler que chaque Paracha de chit » (un principe premier). B. La Torah relate la Torah renferme un principe original (un ‘Hi- ensuite l’ensemble des évènements et des comdouch) que l’on ne trouve dans aucune autre mandements, dont l’objet est de raffiner le Paracha. La Paracha Ki Tissa est unique en ce monde. C. La Torah se conclut par la vision acqu’il est possible d’y voir toute la Création, tous cordée par D.ieu à Moïse « jusqu’au dernier les aspects de l’Œuvre divine. S’il est vrai que jour », la vision de la délivrance messianique. les Sages ont déclaré concernant la Torah « Tourne et retourne-la en tout sens, car tout y Cette structure se retrouve dans les « Pirkei est contenu » (1), c’est-à-dire qu’il est possible, Avot ». A. le début par « Moïse reçut la Torah en méditant profondément, de retrouver dans au Sinaï » : La Torah. B. « Et il l’a transmise à tout sujet de la Torah l’ensemble de la Création, Josué » : la transmission de la Torah de génécela reste quelque chose d’extrêmement labo- ration en génération. C. La conclusion des Pirrieux. À l’inverse, dans la Paracha Ki Tissa, c’est kei Avot : « L’Eternel régnera à tout une chose clairement perceptible, même par jamais », c’est-à-dire la pleine réalisation du une approche superficielle. but de la création du monde dans la Délivrance Le Saint bénit soit-Il a fixé que toute chose soit messianique. composée de trois parties : son commence- Et tout ceci apparaît également dans notre Pament, sa « tête » et son idée maîtresse ; son mi- racha, car le processus de la transmission des lieu, c’est-à-dire la chose en elle-même ; sa Tables de la Loi se décompose également en fin qui est sa finalité et sa plénitude. trois étapes : A. Les premières Tables, façonLa réalité universelle suit ce même schéma : nées par D.ieu Lui-même. B. Le bris des preA. la Torah : l’origine et le commencement de mières Tables, suite à la faute du veau d’or, qui toute chose et l’objectif de la création du symbolise la descente dans le monde pour le monde, raffiner et le purifier, car le but de toute desB. la création du monde et le travail de l’homme cente est l’élévation qui s’ensuit. C. Les seafin de l’amener à sa finalité, condes Tables : les enfants d’Israël se C. la conclusion et la perfection de toute l’exisrepentent, Moïse remonte sur le mont Sinaï et tence dans la délivrance messianique. revient avec les secondes Tables. Les deuxièmes Tables furent façonnées par Ces trois étapes sont représentées par les trois Moïse et non par D.ieu. Mais, après la dépremières lettres de l’alphabet hébraïque : Le chéance dramatique liée au veau d’or et à la « Aleph » du premier mot des Dix Commandements « Anokhi » qui représente la Torah ; Le destruction des premières Tables, il se devait « Beth » de « Béréchit » : « Au commencement, d’apparaître une qualité encore supérieure à la D.ieu créa le ciel et la terre », représentant situation qui prévalait auparavant : c’est ainsi l’évolution du monde ; et le « Guimel » de qu’en même temps que les secondes Tables, « Guéoula », la Délivrance messianique. Le Moïse reçut la Torah orale.

D’autres questions suscitées par la structure de notre Paracha doivent être élucidées : 1. Quel lien y a-t-il entre la faute du veau d’or et les Tables de la Loi d’une part et les Trois Fêtes de pèlerinage mentionnées à la fin de la Paracha d’autre part ? 2. Quel est le lien entre le nom de la Paracha « Ki Tissa » qui fait référence au don du demisicle d’argent (le Ma’hatsit Hachekel) avec la suite de celle-ci qui est centrée autour du thème des Tables de la Loi ? monde en lui-même est aussi structuré de cette 3. Le terme « Ki Tissa » évoque la notion d’éléfaçon : a. la volonté divine de créer le monde, Notes : 1/ Avot 5 - 2/ Isaïe 54.7 - 3/ Téhilim 84.8 vation. Étant le nom de la Paracha, il doit nor4/ Isaïe 1.26


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r e d e G u La Joie abolit les limites

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Cela fait 14 ans que le Rav Mi’khaël Kadelbourg travaille à la diffusion du Judaïsme au sein des Festivals, ces grands rassemblements de la jeunesse organisés à travers le pays d’Israël…

Pour des milliers de jeunes, ces Festivals, dont l’objet est totalement ludique, sont une occasion unique d’avoir un contact – pour certains d’entre eux, c’est même la première fois – avec la Torah, les Commandements et l’annonce de la Délivrance prochaine. «C’est un peu avant le septième jour de Pessa’h, l’an dernier», raconte le Rav Kadelbourg, «que nous apprîmes que l’équipe organisatrice ne nous autorisait pas à installer un Beth-‘Habad sur le périmètre du Festival. Nous avons donc écrit au Rabbi, roi Machia’h, que la seule possibilité qui nous restait était de monter le Beth ‘Habad à l’extérieur des limites du Festival (ce qui n’était pas exempt de difficultés, les limites en question étant le bord de mer, puisque les festivals se tenaient toujours sur les plages). La réponse nous parvint à l’ouverture des «Igueroth-Kodech», en page 253 du volume 8 : «Au sujet de vos bonnes initiatives en matière de diffusion de la Torah et du Judaïsme… et chaque juif n’est-il pas l’émissaire de D-ieu… on peut comprendre que l’accomplissement de cette mission rencontre plusieurs obstacles venant de la nature du monde…, mais le conseil avisé venant de nos Maîtres réside dans le fait que «la joie abolit les limites». Nous y vîmes l’indication de ne pas céder malgré les difficultés, et l’assurance que tout finirait par s’arranger. Et nous nous mîmes en route… Arrivés sur la côte à la tombée de la nuit, nous constatâmes que le miracle commençait à se manifester. La police avait en effet déplacé le

Festival d’une dizaine de mètres en amont du bord de mer, de telle sorte qu’une bande de terrain était à présent disponible pour y aménager notre Beth ‘Habad. Ne subsistait que le problème de l’alimentation en électricité, indispensable pour les réfrigérateurs, les plaques de cuisson et les projecteurs. Nous avons donc monté la tente du Beth-‘Habad non loin du restaurant, ayant remarqué un passage pratiqué dans la cloison par lequel le personnel entrait et sortait, et espérant bénéficier du courant que nous fournirait ce restaurant. Une conversation avec le gérant du restaurant me révéla qu’il nourrissait une grande sympathie à notre égard, et il promit même qu’il parlerait en notre faveur au directeur de la manifestation. Mais le lendemain, il nous apprit que ce dernier n’était pas aussi bien disposé que lui. D’ailleurs, lorsque je tentai de l’appeler et de le faire changer d’avis, il me réitéra son refus. Un peu plus tard, des ouvriers vinrent, sur son ordre, refermer l’ouverture dans la cloison, ce qui rendit plus problématique l’espoir que je nourrissais. Mais je me souvins à ce moment de la réponse du Rabbi, roi Machia’h : «…plusieurs obstacles venant de la nature du monde…mais le conseil avisé de nos Maîtres réside dans le fait que «la joie abolit les limites». Aussi, nous nous efforçâmes d’accomplir cette directive. C’est à cet instant précis que le gérant du restaurant passa près de nous. Je m’adressai à lui de nouveau, lui demandant de bien vouloir participer à cette grande bonne action que nous ac-

Machia’h & Guéoula

Dans la lumière de Moché

Il est cependant difficile de comprendre comment, en les considérant comme les étapes d’un même processus, on peut mettre sur un même plan le don des premières Tables émanant de D.ieu Lui-même et l’adoration du veau d’or qui constitua une faute terrible. L’explication de cela est qu’il devrait normalement être pour les Juifs foncièrement impossible de transgresser la volonté divine, car celle-ci est leur volonté profonde. Si D.ieu a rendu la faute possible, c’est un effet de Sa grande bonté, afin que les Juifs puissent parvenir à cette grande élévation qui ne vient qu’après la chute. Ainsi, celle-ci n’est que temporaire et transitoire, comme l’exprime le verset « Pour un court instant Je t’ai délaissée » (2)... Plus encore, il y aura alors une succession infinie d’élévations, comme le dit le verset « Ils iront de force en force pour paraître devant D.ieu à Sion » (3). Telle fut la nature de la faute du veau d’or ; l’unique raison de cet événement fut l’élévation qui le suivit et qui s’illustra par le don des deuxièmes Tables. C’est la raison pour laquelle les trois étapes apparaissent dans une Paracha dont le nom est « Tissa - Tu élèveras » car elles ont toutes pour objet de mener à une élévation : celle des premières Tables, celle du dévoilement de la gloire divine à Moïse (consécutive à la faute du veau d’or) et celle des secondes Tables. On peut donc diviser la Paracha en trois étapes : 1/ « Ki Tissa Ete Roch Quand tu élèveras la tête », la « tête », le « Aleph » de toute chose, 2/ la faute du veau d’or, et 3/ la conclusion de la Paracha par le don des deuxièmes Tables. On comprend maintenant pourquoi Moïse mérita le rayonnement de gloire sur son visage suite au don des deuxièmes Tables et non après le don des premières. L’élévation qui suivit la faute du veau d’or fut beaucoup plus forte et plus profonde que celle des premières Tables, permettant chez Moïse, qui reçut ces deuxièmes Tables, la révélation d’un niveau de lumière divine émanant de l’essence de la Sagesse divine. Toutefois, dans la mesure où la grandeur des deuxièmes Tables découlait de la

complissions, en nous fournissant le courant électrique dont nous avions besoin. A la fin de l’entretien, il accepta ma demande de bonne grâce. Dès lors, commença une course contre la montre, pour brancher tous les câbles d’alimentation au restaurant. Au sein de toute cette activité, arriva un groupe composé de tous les décideurs en matière de sécurité, accompagnés du directeur du Festival, qui venaient inspecter la sécurité du site. Ils stoppèrent devant le restaurant, et le représentant de la police exigea que l’on pratique une ouverture conséquente dans la cloison. La direction du Festival tenta d’expliquer qu’existait non loin de là une autre ouverture. Mais le policier resta fermement sur sa position : il fallait icimême une issue, sans quoi il ne donnerait pas l’autorisation de fonctionnement. En une demiheure, une porte confortable avait été aménagée, juste en face du Beth-‘Habad! C’est par cette porte que des centaines de jeunes passèrent pour écouter le Kiddouch et participer au repas d’entrée du septième jour de Pessa’h, pour entendre les cours de ‘Hassidouth qui se poursuivirent toute la nuit. Puis, le lendemain, ils s’associèrent aux prières de la Fête, jusqu’au «repas du Machia’h» (à la fin de Pessa’h). Et tous, à l’entrée comme à la sortie, passaient devant la photo géante du Rabbi, roi Machia’h, qui nous avait assuré, dès le début, que «la joie abolit les limites»… (Tiré du Courrier de la Guéoula)

descente dans le monde, il fut nécessaire que Moïse porte un masque sur son visage pour atténuer cette lumière et qu’elle puisse ainsi être intégrée ici-bas afin que le travail de raffinement de la Création puisse se poursuivre. Cependant, aux moments où il transmettait aux Enfants d’Israël les injonctions divines, il n’y avait nul besoin de masque et ces derniers pouvaient voir le rayonnement de gloire. Et par leur travail de raffinement du monde, les Juifs l’amèneront à pouvoir soutenir le rayonnement de gloire qui se révélera dans toute son intensité lors de la Délivrance messianique. Chaque Juif doit savoir qu’il a la force d’accomplir tout ce qui est nécessaire, de « Aleph » jusqu’à « Tav ». Et ceci s’exprime en premier lieu dans sa vie quotidienne. Dès qu’il se réveille le matin, il dit la prière de « Modé ani » à travers laquelle il reconnaît D.ieu, s’annule devant Lui et s’unit à Lui au point où sa première expression est « Modé - reconnaissant » et seulement dans un deuxième temps exprime-t-il sa propre existence : « Ani - je suis ». Ceci constitue le « Aleph » de sa journée. « Beth », au cours de la journée, il s’affaire au contact du monde, il travaille honnêtement et sanctifie le monde. « Guimel », arrivent la conclusion et le bilan de son labeur lors de la prière de Arvit et de la lecture du Chéma qui précède le coucher. La vie tout entière suit aussi cette répartition : d’abord le début de sa mission dans la vie, puis le milieu de sa mission et la conclusion de celle-ci dans la perfection, en particulier dans notre génération où l’accent est mis sur la nécessité de conclure le travail et d’amener concrètement la Délivrance messianique ! Cette force vient à chaque Juif de Moïse et du « Moïse » de chaque génération par lequel il peut recevoir la lumière du rayonnement de gloire. Plus encore, chaque Juif possède son propre rayonnement de gloire de par l’étincelle de Moïse qu’il a en lui. C’est encore plus perceptible chez les chefs de toutes les générations, jusqu’à mon beau-père, le Rabbi, comme préparation au temps où D.ieu rétablira « Tes juges comme autrefois, tes conseillers, comme à l’origine » (4), en premier lieu desquels sera le roi Machia’h. Puisse D.ieu vouloir que, en ce mois d’Adar, alors que nous avons déjà célébré la fête de Pourim Katan et Chouchane Pourim Katan, nous méritions la Délivrance messianique qui s’ajoutera à celle de Pourim et à celle de Pessa’h, immédiatement. (Dvar Mal’hout)


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Nathanya : Un impressionnant rassemblement d’enfant A l’initiative du Rav Eleazar Perets, Chalia’h à Nathanya, a eu lieu pour Pourim 5777 une foule de spectacles organisés à l’attention des enfants de Nathanya qui sont arrivés en masse pour célébrer un Pourim très animé à la Maison de la Culture. (CI)

Merkaz Machia’h & Guéoula : Le Rav Zimroni enflamme la foule à l’occasion de la réunion ‘hassidique, le Farbrenguen de Pourim… Lundi soir, au Centre Machia’h & Guéoula du 8 rue Yaavetz à Jérusalem (centre-ville) une foule compacte et venue entendre le Chalia’h de Bat Yam (éditeur de la Sih’at HaGuéoula), le Rav Zimroni Tsik, qui a raconté d’extraordinaires histoires des miracles actuels et les chants et danses se sont poursuivis tard dans la nuit. (GN)

Pourim à Jérusalem : La galerie de photos…

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Consultez par email les

Igueroth Kodech viveleroi770@gmail.com Petites Annonces

Jérusalem Cours de Torah en français Centre ville de Jérusalem au Merkaz Machia’h & Guéoula. 8, rue Yaavets. Cours pour les non-Juifs par le Rav Gabriel Beckouche sur les sept lois Noa’hides. Mardi à 13h30. Infos 053-2770419

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Nathanya Mardi, matinée d’étude : Dvar Mal’hout avec Anaël Corda, psychologie Juive avec Danielle Pougatch Jeudi matin de 10h00 à 11h30, cours sur les discours (Emche’h Aïne Beth) par le Rav Yaacov Corda. Pour plus d’infos : 050-9157707 Cours pour femmes à Nathanya Par Michèle Zis : Sur le Tanya, la ‘Hassidout ‘Habad et les discours du Rabbi (Machia’h & Guéoula) Infos : 054-7687709

Pour un partenariat avec la Newsletter de la Guéoula, Rav Its’hak Pachter au 050-9122770 L E

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Pour la réussite de: ‘Hanna Bat Mercedès Sarah, Line Bat Mercedès Sarah, Michaël Ben Mercedès Sarah, Henri ‘Haïm Ben Julia, Perla Bra’ha Bat Menou’ha Ra’hel, Noa Sarah Bat Menou’ha Ra’hel, la famille Liraz Touval. Pour la bonne santé de: Sivan Bat Sarah Hadassa Leilouï Nichmat de: Julia Bat Elie, Meyer Benchoam, Fifine Bat Habiba, Ayala ‘Haya Bat Méïr Raphaël, Serouya Beya Bat Myriam, Moché Maurice Ben Yossef et Fifine, Sylvia Hassiba Bat Nissim et Yona Ben Sarah

La Newsletter de la Guéoula est dédiée à l’élévation de l’âme pure et généreuse de Mme Rakhel Boigeol Bat Nedjma Korava Zal

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VIVE LE ROI MACHIA’H NOW !

En prévision de la diffusion nationale du 11 Nissan 5777, souhaitez un bon anniversaire au Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h ! Contactez-nous par email à

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La Newsletter de cette semaine est dédiée à l’élévation de l’âme de Norbert Avraham Ben Gavriel et Pnina Le journal « Vive le roi Machia’h, Now ! » est un hebdomadaire édité par l’association « Vive le roi Machia’h », loi 1901 (Paris) – Directrice de la publication, Menou’ha Ra’hel Beckouche – Rédacteur en chef et graphisme, Gabriel Beckouche Diffusion à Jérusalem, centre Machia’h & Guéoula Diffusion à Nathanya, Rav Its’hak Pachter.

Horaires de Chabbat ________________

Chabbat Ki Tissa - Chabbat Para : Jérusalem : 17h13 - Sortie : 18h25 Tel Aviv : 17h29 - Sortie : 18h27 ‘Haïfa : 17h22 - Sortie : 18h26


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