Vive le Roi Machiah Now ! n°349

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MACHIA’H NOW ! N°349 - CHABBAT PARACHAT TAZRIA-METSORA CHABBAT 3 IYAR 5777 - 29/04/2017

VIVE LE ROI

Hebdomadaire - Edition française - www.viveleroi770.com viveleroi770@gmail.com - 058-4770055

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Yaacov Ye’hezkel Corda

Peintre de la Guéoula (article en page3) Editorial

Le réveil du Léviathan…

La date du 28 Nissan, fait frissonner chaque ‘hassid ‘Habad chaque année pour la simple raison que le Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h a dit à cette date : « J’ai fais ce que j’ai pu… et maintenant, à vous de faire tout ce que vous pouvez pour faire venir Machia’h de manière concrète ! ».

Aujourd’hui encore ces mots raisonnent à nos oreilles qui tintent de ce cri du cœur. Le Rabbi a dit que c’est la Guéoula, alors c’est la Guéoula et il n’y a rien à comprendre, il faut juste agir et si on met les meilleurs Téfilines, les plus Cachères au monde, et si on respecte Chabbat à 100%, mais si un Juif, dans le monde, lui, ne met pas les Téfilines, ne garde pas le Chabbat, alors ma Mitsva à moi, sera imparfaite, car nous sommes un seul peuple ! Alors si le Rabbi annonce que la Guéoula est ici présente, alors nous devrions tous vibrer à l’unisson pour que encore un Juif mette les Téfilines, pour qu’un Juif écoute un cours de Torah, c’est ça le Challenge que D.ieu a placé devant nous. Le 28 Nissan nous rappelle à l’ordre pour partir en campagne pour les Mitsvot divines, on va obtenir le dévoilement final du roi Machia’h et du troisième Temple, mais le Rabbi a bien dit : « Aucun Juif ne restera en Galout », cela signifie que lorsque un Juif accède à la Techouva, à la Torah, à la ‘Hassidout, D.ieu accède à un plaisir infini et tous les mondes bénéficient de cette lumière et nous aussi. Le message à retenir pour ce 28 Nissan, c’est que, chaque Juif, homme, femme ou enfant est essentiel et pour terminer le grand puzzle de la Guéoula, il nous faut toutes les pièces et là, le travail des émissaires du Rabbi est incontournable, sauf qu’aujourd’hui (voir le discours de la Parachat ‘Hayé Sarah 5752) chacun et chacune des enfants d’Israël est un Chalia’h, un messager du Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h, alors réveillons ce Léviathan qui est en nous pour dévoiler la délivrance véritable et complète, immédiatement Mamach, Mamach ! (GB)

Tel Aviv

Les vélos de la Guéoula !

A l’occasion du 11 Nissan, l’anniversaire du Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h, les Temimim (élèves des Yéchivot ‘Habad), ont organisé un grand défilé de vélos munis des drapeaux Machia’h en plein cœur de Tel Aviv. Les passants se sont vu proposer de mettre les Téfilines, des cartes Machia’h, des Si’hot HaGuéoula etc. Un beau cadeau d’anniversaire pour le Méle’h HaMachia’h... (HG)

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Ye’hi Adoneinou Morénou VeRabbénou Mele’h HaMachia’h Léolam Vaèd !


L’Edit Royal Dvar Mal’hout Extraits du discours du Rabbi de Loubavitch Roi Machia’h Chlita Chabbat Parachat Tazria-Metsora - 6 Iyar 5751-1991

Dans les discours précédents, nous avons établi la nécessité que chacun fasse tout ce qui est en son pouvoir pour déclencher l’avènement messianique de façon concrète. En effet, après le mois de Nissan de cette année, il est évident que le Machia’h se doit de venir immédiatement et que, dans un instant, nous pourrons déclarer que le Machia’h est d’ores et déjà venu.

Le thème de la Délivrance messianique apparaît clairement dans notre Paracha. La Paracha Tazria, tout d’abord, débute par les mots : « Une femme qui concevra et enfantera un enfant mâle ». Dans les Prophètes, la Délivrance est comparée à une naissance. S’agissant de la naissance d’un enfant mâle, cela symbolise une Délivrance qui ne sera plus jamais suivie par l’exil. Cela fait également directement référence à la venue du Machia’h dont les sources kabbalistiques établissent que l’âme proviendra d’une sphère extrêmement élevée appelée « le monde du masculin ». Ainsi, ce verset tout entier est annonciateur de la Délivrance : « Une femme qui concevra » désigne le peuple d’Israël – l’ « épouse » de D.ieu – tel qu’il se trouve en exil, accomplissant la Torah et les Mitsvot sans en voir les conséquences directes, ce qui ne sera possible que lors de l’ère messianique, lorsque « elle enfantera un enfant mâle ». La Paracha Metsora, ensuite, est directement liée avec le thème messianique : le Talmud (Sanhédrine 98b) relate que le Machia’h est appelé « le Metsora (“lépreux” au sens biblique) de la maison de Rabbi ». Dans l’épisode où Rabbi Yéhochoua ben Lévi demande au prophète Élie où se trouve le Machia’h, celui-ci lui répond qu’il est lépreux et se trouve parmi un groupe de lépreux affligés de souffrances. Le Machia’h est ainsi désigné car il se trouve en exil et qu’il ressent la douleur et l’affliction liées à une telle condition. Cependant, la Paracha Metsora relate le « jour de la purification » du Metsora, ce qui, s’agissant du Machia’h, évoque le moment où celui-ci se révèle et délivre le peuple Juif. Ceci étant établi, un certain nombre de questions apparaissent : 1/ Si « Tazria » symbolise l’enfantement de la Délivrance et que « Metsora » évoque précisément l’exil, comment est-il possible de les associer en une seule Paracha, « Tazria-Metsora » ? 2/ Si le degré de « Tazria », celui de la Délivrance éternelle, est atteint, comment peut-il être suivi par une situation relevant de « Metsora », l’exil ? 3/ Le contenu général de la Paracha Tazria (qui symbolise la Délivrance) est constitué des lois relatives aux plaies lépreuses impures (« Tsaraat »), alors que la Paracha Metsora (qui symbolise l’exil) relate le processus de purification de cette impureté. L’inverse aurait pourtant été plus logique : que la Paracha liée à la Délivrance parle de la purification et que celle liée à l’exil soit consacrée à l’impureté. 4/ Pourquoi le Machia’h, qui sera le libérateur du peuple juif de son exil matériel et spirituel, est-il

appelé « Metsora », un nom qui n’évoque que a une situation exempte de lumière : l’obscurité de l’exil. Néanmoins, dans la mesure où il s’agit l’exil et l’affliction ? de lumière divine, cette situation de déchéance n’est que superficielle. La solution est donc de réLa « Tsaraat » : un degré élevé Pour répondre à cela, il est d’abord nécessaire véler que la nature profonde du monde de l’exil d’expliquer ce que sont les plaies dites (de façon est en réalité la Délivrance, la lumière divine. erronée) « lépreuses », désignée dans la Torah C’est à travers le service divin en temps d’exil que nous pouvons révéler cette lumière (qui est en sous le nom de « Tsaraat ». La ‘Hassidout enseigne que la Tsaraat frappe uni- elle-même au-delà de toute révélation) ici-bas. quement un homme dont le comportement est La royauté du Machia’h est investie d’une grande parfait et dont toutes les facultés mentales et puissance. Les Sages enseignent en effet que l’orémotionnelles sont mobilisées exclusivement au dre du roi ne saurait être entravé par quoi que ce service du bien, mais chez qui subsiste encore un soit, quitte, comme ils l’expriment, à « déraciner une montagne » qui tenterait d’empêcher la votrès léger défaut qui reste à corriger. lonté du roi de s’accomplir. Dans l’essence des choses, rien ne devrait s’opposer au roi car la naLa voie de la pureté Ces deux interprétations, selon lesquelles les tion tout entière est suspendue à sa volonté. Ainsi plaies de Tsaraat représentent, d’une part, une en est-il du Machia’h : puisque rien ne saurait imperfection minime et, d’autre part, une lu- s’opposer à lui, alors même s’il semble y avoir une mière divine élevée sont en fait liées l’une à l’au- situation d’exil qui s’oppose à lui, ce n’est qu’une tre. Lorsque, pour quelque raison que ce soit, opposition superficielle qui disparaîtra en révécette haute lumière divine connaît une chute spi- lant que la véritable nature de l’exil est, comme rituelle au point d’aller alimenter les énergies né- nous l’avons dit, d’être une haute lumière digatives des forces du mal, le mal qui en résulte est vine : Mal’hout. seulement superficiel. Dès lors, pour corriger cela, il suffit de dévoiler la véritable nature divine Etudier les sujets relatifs à la Délivrance Tout ceci constitue une préparation et un avantde ces plaies. goût de ce que le Machia’h enseignera lors de l’ère messianique. Le fait de rajouter dans cette étude D’où vient la Tsaraat ? Si les forces du mal peuvent tirer une certaine vi- amènera la Délivrance. Tous doivent participer à talité de la lumière divine véhiculée par ces plaies, cette étude : aussi bien ceux dont l’étude est l’occ’est parce que cette lumière est si élevée qu’elle cupation principale que ceux qui ont une autre ne peut descendre s’établir dans les « Kélim », les occupation professionnelle doivent rajouter dans « réceptacles » prévus pour la recevoir. Elle l’étude de la Torah (en particulier) dans les sujets « brise » alors ces réceptacles, et est alors récu- relatifs à la Délivrance et au Machia’h. Il est oppérée par les forces négatives. Dans le comporte- portun d’organiser des cours collectifs auxquels ment humain, cela signifie que cette lumière participeront au moins dix hommes, car l’étude divine suscite l’élan de l’âme pour s’élever vers publique ajoute à la joie et à l’impatience quant à son Créateur et s’unir à Lui en se fondant dans le la venue du Machia’h, en plus du fait que divin (mouvement appelé « Ratso »). Cependant, « lorsque dix hommes étudient ensemble, la préde cette aspiration peut découler un renforce- sence divine réside parmi eux ». ment des forces négatives : on voit, en effet, qu’une prière fervente peut parfois être suivie La conséquence d’une colère ou une rancœur – ce qu’à D.ieu ne Le principal est que tout cela amène concrèteplaise – envers quelqu’un qui ne se comporte pas ment le Machia’h. Alors il y aura ce Chabbat la naissance et le dévoilement du Machia’h, et l’on comme il se doit. La solution à cela est de s’humilier totalement de- proclamera dans le monde entier « Voici le roi vant D.ieu, comme un serviteur qui se tient im- Machia’h qui arrive ! » et voici mon beau-père, le passible devant le roi (mouvement appelé Rabbi précédent (car tous les Tsaddikim ressus« Chouv »). Dans cet esprit, un homme renfor- citeront alors), voici tous les Rebbeïm et les Tsadcera son étude de la Torah et sa pratique des dikim de toutes les générations, accompagnés de Mitsvot et en viendra à accomplir sa mission ici- Moché et Aharon. Et, avec l’ensemble du peuple juif, nous seront portés par les nuages vers la bas comme il convient. terre d’Israël, à Jérusalem, au Beth Hamikdache, le temple et dans le Saint des Saints, comme cela La nature de l’exil : la Tsaraat Le schéma que nous venons de décrire s’applique est relaté dans la Paracha A’harei concernant également à l’exil et à la délivrance. L’exil est ca- Aharon. Sauf que lors de la Guéoula, tous les ractérisé par un voile sur le divin. Les miracles Juifs pourront pénétrer à tout moment dans le qui étaient quotidiennement visibles à l’époque Saint des Saints. Et l’essentiel est que cela se du Temple ne sont plus et le peuple juif est plongé passe immédiatement, de façon à ce que nous dans l’obscurité spirituelle. Cette situation trouve puissions tous remercier et bénir D.ieu pour le sa source dans un niveau extrêmement élevé de dévoilement du Machia’h, « Chéhé’hyanou vé« lumière divine », qui dépasse et transcende kyémanou véhiguyanou lizmane hazé – même la notion de « lumière ». C’est cette source Qui nous a fait vivre, nous a sustenté et « au-delà de la lumière » qui donne lieu, ici-bas, nous a amené à ce moment-ci ! ».


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Bénédiction de guérison pour la bonne personne

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Comme de nombreux jeunes de son âge, Elicha Gabriel Pavlovsky a grandi à Dniepropetrovsk en Ukraine sans bien cerner le sens du Judaïsme, hormis le fait que sa famille et lui sont Juifs.

Puis se développèrent les activités du mouvement ‘Habad dans cette ville par le biais des Chlou’him, les émissaires qui sentaient un mérite bien particulier à agir dans la ville où le Rabbi Roi Machia’h Chlita a passé son enfance. De nombreuses étincelles s’éveillèrent de ce fait et parmi elles, celle d’Elicha Gabriel. Pas-à-pas, le jeune homme cherchait le chemin du Judaïsme alors que certains signes le suivaient dès l’enfance afin de l’aiguiller sur la voie de la Torah et des Mitsvot. Dès le départ, lui fut annoncé le problème qu’il devrait surmonter ; sa relation avec une nonJuive qu’il envisageait d’épouser prochainement. « Un Juif ne se marie qu’avec une Juive », lui fut-il expliqué lors de cours sur le Judaïsme. On lui conta le courage de nombreux Juifs qui luttèrent pour préserver la chaîne de Judéité au fil des générations jusqu’à présent. Au début de son chemin, il lui semblait que l’on pouvait trouver à ce problème une solution avec grande facilité : « On lui fera subir un processus de conversion accéléré, et on se mariera dès qu’elle aura son certificat de Judéité », pensaitil inconscient de la problématique que pose ce genre de conversions. Cependant, lorsqu’il évoqua cette idée face à son amie « conversionmariage ou séparation », celle-ci demanda un

Art de la Guéoula

délais de réflexion. « J’ai une idée - l’étonna soudain Elicha – nous pouvons écrire au Rabbi Roi Machia’h Chlita, ici et maintenant, et lui demander conseil sur ce que tu dois faire ». Il lui décrivit la puissance des Igueroth Kodech qu’il avait vu dans le cadre de ses études de ‘Hassidout. Puis ils s’installèrent et posèrent leur question sur papier, et introduisirent la lettre dans l’un des volumes des Igueroth Kodech. La réponse parlait d’une bénédiction de prompte guérison pour son épouse. Lors d’une réunion ‘hassidique, un Farbrengen qui eut lieu dernièrement, Elicha Gabriel raconta son histoire : « Je ne comprenais pas vraiment le sens, je me suis dit qu’il s’agissait peut-être d’une guérison spirituelle, donc une bénédiction pour le processus de conversion ». Mais très peu de temps après, la jeune fille décida de rompre le lien avec lui de manière surprenante. Elle lui expliqua que lors d’un voyage de quelques jours avec sa mère, elle en arriva à la conclusion que toute cette relation n’évolue pas de manière positive et qu’elle devrait y mettre un terme… Les mois passèrent et Elicha Gabriel évoluait de mieux en mieux dans son Judaïsme. Son apparence avec le temps se dessinait comme celle d’un véritable ‘Hassid. L’un de ses amis lui proposa un parti, et cette fois-ci, tout se passa pour le mieux et un mariage fut le couronnement heu-

Peintre et ‘Hassid

Yaacov Ye’hezkel Corda, peintre, illustrateur, sculpteur, écrivain et conférencier, est un artiste né en Corse. Autodidacte, il débute dans le dessin publicitaire, la bande dessinée, et écrit pour le théâtre, où sa première pièce obtient un grand succès alors qu’il n’a que 16 ans.

Un an plus tard, son dossier est accepté pour travailler dans le dessin animé pour l’équipe française de Disney à Montreuil mais il n’a pas la majorité requise. L’année d’après, par ennui, il fait son service militaire à Canjuers, dans les gorges du Verdon, là il pratique la pyrogravure et reçoit le diplôme de « peintre officiel de l’armée Française » pour laquelle il peint des copies géantes des tableaux de Gauguin et dirige une équipe de peintres sur les thèmes de Tahiti. Ensuite, il se rend en Italie, s’attarde au musée des Offices de Florence et se spécialise dans les techniques de la fresque Italienne de la Renaissance et les recherches graphiques de Léonard de Vinci. De retour en Corse, il écrit et dessine pour le théâtre, apprend le chant, anime des émissions de radio et commence à enseigner la peinture à de nombreux élèves. Il multiplie les expos, s’initie à la sculpture et obtient bientôt « la grande Finale, dans les deux catégories de peinture et sculpture » du 1er Grand Prix International de peinture et sculpture de la Corse. En plein succès, cet artiste insulaire monte en Israël et consacre sa vie à la connaissance de la Torah. Il voit une photo du Rabbi de Loubavitch et s’attache à ce maître et à sa philosophie. Pour posséder le niveau re-

reux de cette rencontre, le couple fonda sa maison sur les bases de la Torah et des Mitsvot. Quelques jours après le mariage, le jeune marié décida de passer à son ancienne demeure pour y prendre ses affaires, et parmi elles, une bonne pile de dizaines de lettres qui furent écrites au fil du temps au Rabbi Roi Machia’h Chlita. « Regarde – dit-il en montrant les lettres – voici l’exemple d’une des lettres que j’ai écrite il y a quelques temps ». En disant cela, il en sortit une et c’était justement la lettre qu’il avait écrite à l’époque et la réponse qui y était jointe en photocopie contenait la bénédiction de prompte guérison pour son épouse. « Je lui ai raconté tout cette histoire et soudainement, elle me demanda de lui lire la date figurant sur la demande que j’avais écrite ». « Laisse-moi voir, s’il te plaît, la date qui figure sur ta lettre » demanda t-elle, puis elle murmura quelques mots : « Ce n’est pas possible… il parle de moi !… ». « Imagine-toi, c’est exactement ce jour-là que ma vie fut sauvée ! J’ai été hospitalisée ce jour-là, j’étais entre la vie et le contraire de celle-ci, un jour que je n’oublierais jamais, j’ai été sauvée par un médecin Juif qui a trouvé pour moi un traitement révolutionnaire, très rare, qui m’a sauvé la vie… ». « Il y a bien un prophète en Israël ! ». (Traduit de la Si’hat HaGuéoula)

quis, il abandonne pendant trois ans la peinture, étudie la Kabbala jour et nuit et continue encore dix ans en « mission spéciale pour la diffusion de la ‘Hassidout auprès des Kabbalistes » . Ses maîtres lui demandent d’enseigner d’abord la Kabbala puis selon les ordonnances du Rabbi il reprend la peinture et devient conférencier en ‘Hassidout dans sa branche intellectuelle en travaillant parallèlement avec les galeries de peinture de Jérusalem et crée une association pour la diffusion de ses livres d’étude, romans et pièces de théâtre. Bientôt, il élabore de nouvelles techniques de peinture sur toile qui visent à regrouper son expérience dans le graphisme et la peinture à l’huile, réunissant les tendances de ses études classiques et d’une expression moderne. Enfin, il élargit la diffusion des sources de la ‘Hassidout ‘Habad par la mise en ligne de ses cours sur YouTube, visionnés aujourd’hui par des milliers de personnes à travers le monde. Pour tous renseignements sur ses œuvres et ses livres : +972509167707


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Hilloula de Yeochoua Bin Noun

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Jeudi soir dernier, à Kfar El Heres, des milliers de participants à la Hilloula de Yeochoua Bin Noun se sont connectés au Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h à Kfar El ‘Heres, par le biais des Igueroth Kodech. (HG)

Seder de Pessa’h aux Philippines : 1500 Juifs présents ! Dans quatre grandes villes des Sedarim de Pessa’h on été organisés cette année aux Philippines. Les émissaires du Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h qui ont relevé le défi sont le Rav Yossef Its’hak Lévi de Manille, le Rav Chmouel Yossef Louzoun de Clark, le Rav Nir Donnenfeld de Cebu et le Rav Yossef Its’hak Marom pour l’Archipel de Palawan. (HG)

A la Cité de l’Education Sinaï, une soirée spécial 28 Nissan

Les ‘hassidim ‘Habad de Paris se sont mobilisés pour une grande soirée d’éveil de dimanche soir. Le micro a été partagé entre les Rabbanim Pewzner, Kalmenson et Te’htel. Puis a eu lieu une grande réunion ‘hassidique. (CI)

Les Iles Andaman accueillent Machia’h

Un nouveau Beit ‘Habad s’est ouvert dans les Iles Andaman situées dans l’Océan indien. Signalons, qu’apparemment c’est la seconde fois qu’est célébré un Seder de Pessa’h en ces lieux paradisiaques... (HG)

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Petites Annonces

Jérusalem Cours de Torah en français Centre ville de Jérusalem au Merkaz Machia’h & Guéoula. 8, rue Yaavets. Cours pour les non-Juifs par le Rav Gabriel Beckouche sur les sept lois Noa’hides. Mardi à 13h30. Infos 053-2770419

Beit Machia’h à Har ‘Homa pour les jeunes Cours tous les jours en hébreu. Taharat HaMichpa’ha pour les femmes. 4, Re’hov Chmouel Méïr. Infos : 054-4449770 Nathanya Mardi, matinée d’étude : Dvar Mal’hout avec Anaël Corda, psychologie Juive avec Danielle Pougatch Jeudi matin de 10h00 à 11h30, cours sur les discours (Emche’h Aïne Beth) par le Rav Yaacov Corda. Pour plus d’infos : 050-9157707 Cours pour femmes à Nathanya Par Michèle Zis : Sur le Tanya, la ‘Hassidout ‘Habad et les discours du Rabbi (Machia’h & Guéoula) Infos : 054-7687709

Pour un partenariat avec la Newsletter de la Guéoula, Rav Its’hak Pachter au 050-9122770 La Newsletter de cette semaine souhaite un joyeux anniversaire à Henri ‘Haïm Ben Julia Benchoam

La Newsletter de la Guéoula est dédiée à la prompte de guérison de Esther Bat Sol et de bonnes nouvelles L E

C A R N E T

Pour la réussite de: ‘Hanna Bat Mercedès Sarah, Line Bat Mercedès Sarah, Michaël Ben Mercedès Sarah, Henri ‘Haïm Ben Julia, Perla Bra’ha Bat Menou’ha Ra’hel, Noa Sarah Bat Menou’ha Ra’hel, la famille Liraz Touval. Pour la bonne santé de: Sivan Bat Sarah Hadassa Leilouï Nichmat de: Julia Bat Elie, Meyer Benchoam, Fifine Bat Habiba, Ayala ‘Haya Bat Méïr Raphaël, Serouya Beya Bat Myriam, Moché Maurice Ben Yossef et Fifine, Sylvia Hassiba Bat Nissim et Yona Ben Sarah

La Newsletter de la Guéoula est dédiée à l’élévation de l’âme pure et généreuse de Rav Morde’haï Mena’hem Mendel Deutch Zal

La Newsletter de cette semaine est dédiée à l’élévation de l’âme de Norbert Avraham Ben Gavriel et Pnina Le journal « Vive le roi Machia’h, Now ! » est un hebdomadaire édité par l’association « Vive le roi Machia’h », loi 1901 (Paris) – Directrice de la publication, Menou’ha Ra’hel Beckouche – Rédacteur en chef et graphisme, Gabriel Beckouche Diffusion à Jérusalem, centre Machia’h & Guéoula Diffusion à Nathanya, Rav Its’hak Pachter.

Consultez par email les

Igueroth Kodech viveleroi770@gmail.com Horaires de Chabbat ________________

Chabbat Tazria-Metsora Jérusalem : 18h41 - Sortie : 19h56 Tel Aviv : 18h58 - Sortie : 19h58 ‘Haïfa : 18h52 - Sortie : 19h59


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