Vive le roi Machiah Now ! n°358

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MACHIA’H NOW ! N°358 - CHABBAT PARACHAT MATOT-MASSEI 27 TAMOUZ 5777 - 21/07/2017 - Chabbat Mevar’him

VIVE LE ROI

Hebdomadaire - Edition française - www.viveleroi770.com viveleroi770@gmail.com - 058-4770055

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Nouvelle Yéchiva à Jérusalem (voir p.4) Editorial

Le (journal) n°358 a valeur numérique « Machia’h » !

Et c’est un drôle de signe car il se trouve que le mois dans lequel on va entrer se nomme « Mena’hem-Av », autrement dit le nom du Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h est inclus dans ce mois qui vient et qui nous montre d’une part le soleil dans toute sa force car ce mois est prévu pour être un mois de fêtes, de Guéoula de révélation du troisième Temple, et d’autre part, la révélation du Méle’h HaMachia’h immédiatement !

Cette semaine, la première semaine des trois semaines, a été marquée par un grand rassemblement mémorable à Tibériade auquel ont participé un bon millier de ‘hassidim, émissaires du Méle’h HaMachia’h. Pendant ce Chabbat, le Rav Zalman Nautik de Jérusalem a fait un discours extraordinaire. Il a expliqué sur la base du discours ‘hassidique de Rabbi Hillel MiParitch « Au sujet des trois semaines de deuil et des sept semaines de consolation », une parabole sous la forme d’une histoire… Il s’agit d’un Rav, d’un maître, mais pas juste d’un maître normal, moyen, ni même d’un bon maître, il s’agit ici d’un maître excellent, ou plutôt, disons d’un maître exceptionnel. Un maître qui connaît pratiquement tout sur tout. Or, ce maître a des élèves dont le niveau est vraiment très bas, proche de la nullité. Ces élèves, ne sont même pas

considérés comme stupides, mais encore pire que cela… Mais, mais… Tellement notre maître en question est grand et superbement doté d’intelligence, qu’il est le seul au monde capable de descendre au niveau des élèves. Comment ? Grâce à des exemples, des images, des paraboles. Un jour, le maître voit ostensiblement que les élèves, malgré tout ses efforts n’écoutent même pas le cours. Qu’il se met d’un coup, le lendemain matin, a faire le cours sur le même thème, mais à son niveau à lui. Autant dire que personne ne comprend un traître mot de ce qu’il énonce ! Résultat : tous les élèves prennent la fuite et se dispersent dans la nature. Mais le maître regrette finalement son acte et envoie un fin psychologue qui transmet un message aux élèves : « Revenez, demain matin au cours et je vous dirais quoi faire ». Le lendemain, tous les élèves sont de retour dans la salle de classe et le psychologue prend la parole : « Chers amis, le maître ne compte pas baisser le niveau de son cours, par contre, il enjoint à chacun de vous à, chaque jour, noter un mot dans votre cahier, chaque jour le mot que vous aurez compris. Au bout de trois semaines, vous regarderez tous les mots dans votre cahier et vous verrez qu’ils forment des phrases qui ont un sens. Et là, vous serez vraiment très contents de vous. » Dans son discours, Rabbi Hillel de Paritch explique que le maître n’est autre que le Saint béni soit-Il et que les élèves nous représentent à nous. Pendant les trois semaines, Hachem nous donne les plus hautes lumières mais après, pendant les sept semaines, nous décryptons Son langage et là est notre consolation, notre bonheur. Lors de la délivrance, nous verrons à quel point Hachem nous aime, nous adore au point que chacun de nous dira que grand est notre mérite d’avoir fait semblant de comprendre Sa Torah expliquée par le fin psychologue qu’est le Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h. (GB)

Ye’hi Adoneinou Morénou VeRabbénou Mele’h HaMachia’h Léolam Vaèd !


L’Edit Royal Dvar Mal’hout Extraits du discours du Rabbi de Loubavitch Roi Machia’h Chlita A la rencontre de l’autre

Chabbat Parachat Matot-Massei 5751-1991

Avant-propos Le Rabbi, roi Machia’h Chlita, appelle chacun à vivre dans l’esprit de la Guéoula, de la délivrance. Il indique aussi ce que cela implique au niveau des relations sociales. Il se réfère à une phrase des Pirkéi Avot (les Maximes de nos pères) qui énonce la nécessité d’aimer toutes les créatures. Or, la terminologie utilisée ici est tout à fait surprenante. En effet, l’hébreu connaît de nombreux termes pour désigner l’homme, par exemple : Adam, Ich, Guéver, Enoch. Chacun d’entre eux correspond à un degré différent d’accomplissement spirituel. Ainsi, Adam s’applique à celui qui a développé sa dimension intellectuelle, tandis que Ich décrit l’homme qui a affiné l’aspect émotionnel de sa personnalité… Quelle est donc la portée de ce texte de la Michna qui nous enjoint d’être « l’un des disciples d’Aharon, aimant la paix et recherchant la paix, aimant les créatures et les rapprochant de la Torah » ? L’Admour Hazaken, premier Rabbi de ‘Habad répond à cette question : « Même ceux qui sont loin de la Torah de D.ieu et de Son service, et qui sont, de ce fait, désignés simplement par le terme de « Créatures » indiquant par là que le fait d’être des créatures de D.ieu est leur unique vertu ». Le Rabbi dit à leur sujet qu’ « il faut les attirer (à la Torah) par des cordes tressées d’amour (1) ». Nous garderons en tête cet enseignement avec toutes ses implications, c’est-à-dire que nous avons le devoir d’aimer chaque Juif, quel que soit son degré d’imperfection ou même notre degré d’imperfection. Ainsi, nous aurons de cette manière, un avantgoût de cet amour ultime qui pénétrera notre peuple, à l’ère de la Guéoula, de la délivrance véritable et complète. Puissions nous assister à son dévoilement de la manière la plus immédiate. S’élever au dessus de l’égocentrisme Concluant sa description de l’ère messianique, le Rambam (Maïmonide) écrit : « En ce temps-là, il n’y aura plus de famine, ni de guerre, plus de jalousie ni de rivalité (2) ». Les Juifs, et plus généralement le monde, établiront des liens d’amour et d’unité. La conscience de l’unicité de D.ieu pénétrera toute existence, ce qui induira une conception de la notion d’unité plus haute et plus profonde que ce qu’il est possible aujourd’hui d’envisager.

En effet, aujourd’hui, ce concept se résume à l’idée de lier entre eux des hommes de natures différentes. De même que les divers membres du corps fonctionnent ensemble en tant qu’éléments d’un organisme unique, ainsi, l’unité peut être établie entre des individus différents (3). Cependant un tel lien n’élève pas totalement l’homme au-dessus de sa propre existence. Au contraire, c’est précisément la conscience de son individualité qu’il revient de mettre en œuvre pour s’unir à son prochain.

Ainsi, il appartient à chaque Juif d’imiter la conduite d’Aharon et d’aller à la rencontre de l’autre avec amour. Le pluriel utilisé dans cet enseignement, « sois l’un des disciples d’Aharon », nous indique qu’il nous importe de prendre conscience qu’il existe d’autres disciples. Ce qui signifie que le chemin que nous avons choisi pour établir l’amour et l’unité dans le peuple Juif, n’est pas la seule voie existante. Goûter à la Guéoula, à la Rédemption… Ainsi qu’il a été dit, ce message est tout particulièrement d’actualité, car nous devons nous habituer à cet esprit de Guéoula. Nous avons souvent expliqué (8) que l’amour de son frère Juif, est une excellente préparation à l’ère messianique. Dans la mesure où la cause de l’exil fut principalement la haine gratuite (9), de répandre l’amour parmi notre peuple en éliminera la cause. Par voie de conséquence, l’exil disparaîtra. Toutefois, à présent, nous avons achevé tout l’œuvre spirituelle nécessaire à la venue du Machia’h, du Messie, au point que, pour emprunter l’expression du précédent Rabbi, le Rabbi Yossef Yits’hak, « nous avons déjà fait briller les boutons (10) ».

L’unité transcendante réalisée, à l’inverse, par l’ère messianique, élèvera chacun audessus des horizons limités de son identité personnelle, « car le monde sera plein de la connaissance de D.ieu comme les eaux recouvrent le fond de l’océan (4) ». Ce verset que le Rambam cite en conclusion des lois des rois, utilise une telle comparaison pour exprimer un concept précis : une multitude de créatures très diverses habite l’océan, pourtant, nous percevons celui-ci comme une seule entité sans porter attention aux créatures individuelles qui le peuplent. De manière similaire, aux temps messianiques, les hommes perdront la conscience de leur entité séparée car ils seront immergés dans la connaissance de D.ieu. L’unité établie alors entre les individus sera donc de nature Nous pouvons donc penser que la cause de beaucoup plus haute et plus accomplie. l’exil a également été éliminée. Actuellement, l’amour pour notre frère Juif, doit L’approche du Bitoul (l’abnégation) être mis en valeur comme un avant-goût de Pourtant, à notre niveau, il est possible l’ère messianique. d’anticiper la mise en pratique de ces idées En vivant dans l’esprit de la Guéoula, en dans notre comportement au quotidien. Et nous habituant à ce mode de pensée, le nous devons être conscients que nous nous mode pensée de Guéoula, et, plus précisétenons au seuil de la Délivrance. Il est donc ment à un comportement de Guéoula (de à notre portée d’avoir un avant-goût de gentillesse et de bonnes actions - Ndt), nous cette conscience spirituelle que nous attein- hâterons la Délivrance totale et définitive de drons à ce moment-là. la façon la plus rapide. Et c’est dans ce contexte qu’il convient d’analyser un enseignement des Pirkei Avot Notes (5) : « soit l’un des disciples d’Aharon, ai- 1- Tanya Ch.32 mant la paix et recherchant la paix, aimant 2- Lois des rois 12.5 les créatures et les rapprochant de la 3- Likoutei Torah - Parachat Nitsavim 87a Torah ». Il est particulièrement significatif 4- Isaïe 11.9 que, contrairement à de nombreux autres 5- 1.12 enseignements de ce texte, celui-ci soit 6- BaMidbar 20.29 donné sous forme de commandement et 7- Midrach Kalla Rabbati 3 non pas, simplement, de recommandation. 8- Likoutei Si’hot vol.12 p138 De plus, cette injonction s’adresse à chaque 9- Yoma 9b Juif. La Torah déclare (6) que la disparition 10- Lors d’un discours prononcé par l’and’Aharon fut pleurée par l’ensemble du peu- cien Rabbi, lors de la fête de Sim’hat Torah ple, aussi bien par les hommes que par les en 5689-1928, compara la venue du Mafemmes, car chacun appréciait les patients chia’h à la situation d’une armée se prépaefforts qu’il déployait pour répandre par- rant pour la revue finale et à qui, tous tout, dans tous les foyers et auprès de tous, préparatifs achevés, il ne reste qu’à faire « briller les boutons » des uniformes. la paix et l’harmonie (7).


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Un Miracle aux Philippines

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Le Rav Mi’khaël Lasry est bien connu en Israël pour ses conférences exceptionnelles sur tous les thèmes du Judaïsme, émaillées d’anecdotes qui mettent de bonne humeur ses auditeurs…

Au cours de l’émission de radio qu’il anime sur «Kol Bé-Rama», il a récemment raconté son voyage au Maroc, et il a littéralement fasciné ses auditeurs avec une anecdote qu’il entendit de l’un des émissaires du Rabbi, roi Machia’h, dans ce pays. Celui-ci relata à son intention des faits concernant l’émissaire du Rabbi à Manille, capitale des Philippines, Rav Yossi Lévy : «L’histoire est arrivée», commence le narrateur, «peu avant la Fête de Soukoth, l’an dernier. Un appel téléphonique en provenance d’Israël pour le Rav Lévy… Au bout de la ligne, un homme se présente et déclare qu’il est le père d’un jeune homme, qui, à sa connaissance, se trouve aux Philippines, mais dont on n’a plus de nouvelles depuis assez longtemps. La famille est très inquiète pour son sort : «Il n’a pas d’argent sur lui, comment peut-il survivre ? De plus, son état de santé a peut-être conduit à une hospitalisation?». Le dernier lieu d’où il a appelé sa famille se situe très loin de Manille, et ceux-ci supplient Rav Yossi de tout mettre en œuvre pour retrouver le jeune homme. La description qu’en fait le père permet à Rav Yossi de confirmer que son fils est bien passé par le Beth-‘Habad, mais cela date d’il y a longtemps, mais à partir de là, il n’a pas le moindre indice pour les aider. Il pense en lui-même que cela équivaut à chercher une aiguille dans un tas de foin : ce pays est composé de milliers d’îles, dont la population avoisine les cent millions d’âmes! Devant l’ur-

Rav Mi’khaël Lasry

gence du problème, il décide d’écrire au Rabbi, roi Machia’h, par le canal des «Igueroth-Kodech», afin de solliciter sa sainte Béra’kha pour retrouver le jeune homme, et son avis éclairé sur le lieu par lequel commencer les recherches. La réponse mentionne «de bonnes nouvelles», et fait clairement référence à une activité «à l’endroit où vous vous trouvez». Cette claire réponse inspire le Rav Lévy à entreprendre les recherches sur place, dans la ville de Manille, et non comme la famille le voulait, à partir de la ville lointaine où ils avaient reçu son dernier appel. Il rappelle le père et lui demande de lui envoyer la photo du jeune homme. Lorsque celle-ci lui parvient par la voie électronique, il en tire une grande quantité d’impressions, et il demande à chaque familier du Beth ‘Habad de les afficher dans tous les lieux d’accueil (foyers, hôtels, auberges de jeunesse) où peuvent se trouver des Israéliens. Peut-être l’un d’entre eux pourra t-il communiquer un bout de piste actualisée. Parallèlement, Rav Yossi se rend au siège de la

Machia’h & Guéoula La suite des événements

Il est connu que les fêtes qui jalonnent l’année juive ont toujours une relation avec les parachiot des semaines dans lesquelles elles tombent. Or, la plupart du temps, les parachiot des trois semaines sont Matot, Massei et Devarim. Et lorsque Matot et Massei sont jointes, le premier Chabbat alors est celui de la paracha Pin’has. Et la paracha qui précède, Balak, ne tombe jamais à l’intérieur des trois semaines, mais seulement de rares fois le premier jour de cette période, le 17 Tamouz, dont le jeûne est alors repoussé au lendemain, comme nous l’avons vu. La raison profonde à cela est que, bien que les deux parachiot Balak et Pin’has fassent référence à la Délivrance, il y a une différence entre elles : la Délivrance qui apparaît dans Pin’has, lue au sein même des trois semaines, intervient comme une réparation et une guérison à l’exil qui s’exprime ces jours-là. Par contre, la Délivrance qui apparaît dans la paracha de Balak qui, étant plus élevée que les jours d’affliction des trois semaines, les précède, ne souligne pas la réparation et la sortie de l’exil, mais fait référence à la Délivrance messianique dans sa plénitude, comme sujet en soi, auquel il conviendrait d’aspirer quand bien même il n’y aurait aucun exil. Cela s’exprime dans les termes mêmes de la référence à la Rédemption qui apparaît dans notre paracha : contrairement à la paracha de Nitsavim où la Délivrance est présentée comme la solution à l’exil (« Alors l’Éternel ton D.ieu reviendra avec tes captifs »), la paracha de Balak ne fait aucune mention de l’exil. Bien au contraire, il y est fait référence aux élévations que connaîtra le peuple d’Israël, qui s’élèvera de degré en degré jusqu’à atteindre celui de la Rédemption : « Ce peuple, il vit solitaire, il ne se confondra pas avec les nations », « Voyez ce peuple se lève comme une lionne... », etc., jusqu’à la prophétie relative au Machia’h : « Je le vois, mais ce n’est pas encore l’heure, je le distingue, mais il n’est pas proche ; une étoile a jailli de Ya’akov et un sceptre se dressera d’Israël... ». Et ainsi, dans l’annonce de la Délivrance qui figure dans cette paracha, la Torah fait aussi mention de la sortie d’Égypte : « D.ieu les a fait sortir d’Égypte », comme il est écrit « Comme aux jours de ta sortie d’Égypte, Je lui ferai

Police, et il fait état, devant le responsable du poste, de ses craintes pour la vie du jeune homme. Il lui confie la photo du disparu, et lui demande d’indiquer à tous les policiers et unités de patrouille de vérifier dans tous les lieux d’accueil, même ceux où l’on ne trouve aucun Israélien. Le gradé l’assure de sa pleine collaboration, et Rav Yossi peut à présent commencer à organiser la Fête qui s’annonce : préparer une grande Soukah, les «quatre Espèces», la livraison et la cuisson des plats pour le repas communautaire, ainsi qu’une liste de tout le nécessaire. C’est peu avant le début de la Fête qu’un policier arrive au Beth-‘Habad et informe qu’on a trouvé un «sans domicile», correspondant à la photo du disparu, et dans un état de santé assez dégradé. Le Rav Lévy se hâte de se rendre au poste, et il confirme qu’il s’agit bien du jeune homme. Ce dernier est alors conduit pour recevoir des soins d’urgence, et le Rav en informe alors la famille, qui ne trouve pas de mots pour le remercier. Dès le lendemain de la Fête, deux frères du jeune homme arrivent sur place pour ramener l’infortuné chez lui. A cette occasion, ils offrent au Beth-‘Habad un repos de reconnaissance, auquel participent tous les fidèles du lieu, et au cours duquel l’un des frères déclare, exprimant une intense émotion, que l’on peut se rendre compte à quel point le Rabbi, roi Machia’h, est pleinement vivant ! (Tiré du Courrier de la Guéoula)

voir des prodiges », ce qui signifie que la Délivrance est présentée comme la suite et l’achèvement de la sortie d’Égypte (c’est-à-dire qu’elle aurait dû se faire même sans les exils successifs qui ont eu lieu entre temps). Ceci corrobore l’enseignement qui est donné au sujet du verset « Voici les étapes (au pluriel) des enfants d’Israël, depuis qu’ils furent sortis du pays d’Égypte » (début de la paracha Massei) : il aurait, a priori, dû être écrit « Voici l’étape (au singulier) des enfants d’Israël », car la sortie d’Égypte en elle-même ne constitua qu’une seule étape, la première, parmi celles que les Enfants d’Israël firent dans le désert. La raison de cette formulation est que toutes les étapes, jusqu’à la toute dernière qui fait allusion à la Délivrance messianique, sont en réalité la continuité directe de la sortie d’Égypte. Elles constituent les degrés successifs de l’élévation qui mène à la Délivrance qui sera le parachèvement de la sortie d’Égypte.

Le côté positif des trois semaines Cela est encore plus perceptible dans notre génération, car elle est marquée par un « ‘Hidouch », un élément nouveau : si de tout temps, le mois de Tamouz fut évocateur de malheurs, dans notre génération, ce mois a été marqué par la révélation d’un sujet de joie et de délivrance que fut la libération de mon beau-père le Rabbi, Nassi (chef) de notre génération, le 12 et 13 Tamouz. Cette libération constitua une délivrance pour l’ensemble du peuple juif, comme il l’écrivit lui-même dans sa célèbre lettre: « Ce n’est pas uniquement moi que D.ieu à délivré le 12 Tamouz, mais tous ceux qui aiment notre sainte Torah, ceux qui observent les Mitsvot, et également toute personne à qui s’applique le nom d’Israël », en particulier quand on sait qu’à partir de cette libération commença l’étape finale de la « diffusion des sources de la ‘Hassidout à l’extérieur », où celle-ci atteint sa plénitude et qui constitue la toute dernière préparation à la Délivrance. La raison de l’apparition de cet « élément nouveau » dans notre génération est que, d’après tous les signes donnés par nos Sages, nous sommes actuellement au seuil de la venue du Machia’h et ainsi, même quand arrive le temps de la commémoration de la destruction du Temple et de l’exil, l’accent est mis sur le côté positif, le bien profond qui s’y trouve : la préparation à la Délivrance. (Dvar Mal’hout Balak)


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La Newsletter de cette semaine est dédiée à l’élévation de l’âme de Norbert Avraham Ben Gavriel et Pnina Le journal « Vive le roi Machia’h, Now ! » est un hebdomadaire édité par l’association « Vive le roi Machia’h », loi 1901 (Paris) – Directrice de la publication, Menou’ha Ra’hel Beckouche – Rédacteur en chef et graphisme, Gabriel Beckouche Diffusion à Jérusalem, centre Machia’h & Guéoula Diffusion à Nathanya, Rav Its’hak Pachter.

Horaires de Chabbat ________________

Chabbat Matot-Massei Jérusalem : 19h07 - Sortie : 20h23 Tel Aviv : 19h24 - Sortie : 20h25 ‘Haïfa : 19h19 - Sortie : 20h26


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