Vive le roi machiah n°371 Paracha Vayetse 5778

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MACHIA’H NOW ! N°371 - CHABBAT PARACHAT VAYETSE 7 KISLEV 5778 - 25/11/2017

VIVE LE ROI

Hebdomadaire - Edition française - www.viveleroi770.com viveleroi770@gmail.com - 058-4770055

Actuel

Rendez-vous aujourd’hui au Troisième Temple ! Le Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h dit dans le Dvar Mal’hout de cette semaine : « Il est donc clair que nous nous trouvons aujourd’hui dans une situation où le corps physique et le monde matériel ont été raffinés au point de pouvoir recevoir toutes les lumières et les sujets spirituels, ce qui inclut la lumière du Machia’h, la lumière de la Délivrance, jusqu’à la révélation de l’Essence Divine qui se révélera dans l’essence du Machia’h et, à travers cela, dans l’essence de chaque Juif. »

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Pause... On est obligé de faire une pause et de réfléchir à cette énorme scoop du Dvar Mal’hout, qui ne laisse aucune équivoque en ce qui concerne le futur proche de chaque Juif. Il est aujourd’hui de notoriété publique que le travail des « Birourim » est terminé, le Rabbi l’a annoncé à maintes reprises, mais est-ce que l’on se rend bien compte que le Juif participe de l’Essence Divine ??? En d’autres termes, nous sommes, chacun de nous, une parcelle d’Hachem, c’est fou non !? On devrait, chaque matin, au réveil se dire : « Mais oui, tu es le meilleur, Hachem t’a choisi à toi, tu es juste... divin ! ». Et la Guéoula c’est quoi ? C’est la révélation de tout cela aux yeux de tous car le mot Guéoula vient du mot « Guilouy, révélation »... Alors un grand bonjour à tous, tous les fils et filles d’Hachem, Enfants d’Israël ! On se retrouve immédiatement au Troisième Temple sans délais à Jérusalem ! (Gabriel Beckouche)

Ye’hi Adoneinou Morénou VeRabbénou Mele’h HaMachia’h Léolam Vaèd !


L’Edit Royal Dvar Mal’hout Extraits du discours du Rabbi de Loubavitch Roi Machia’h Chlita Ouvrir les yeux et voir la Guéoula

Chabbat Parachat Vayetsé - 9 Kislev 5752-1991

Il existe une singularité propre à l’Admour Haemtsayi (Rabbi Dov Ber de Loubavitch, le second Rabbi de ‘Habad): l’anniversaire de sa naissance et celui de sa Hilloula tombent en effet le même jour, le 9 Kislev.

De plus, la fête qui célèbre sa libération des geôles tsaristes tombe le lendemain, le 10 Kislev. Or, sachant que tous les évènements du calendrier juif sont intrinsèquement liés avec les parachiot qui sont lues les Chabbat des périodes durant lesquelles ils surviennent, il est évident qu’il existe une relation entre l’Admour Haemtsayi et les Parachiot « Vayétsé » et « Vayichla’h » que nous lisons ce Chabbat 9 Kislev (5752 1991, Ndt) à l’office de Cha’harit et à celui de Min’ha. De cette relation découlent des enseignements notamment dans un sujet lié à notre génération et à la période actuelle, la Délivrance messianique. Nous avons en effet rappelé à plusieurs reprises récemment que la tâche du Peuple Juif en exil est dorénavant achevée et qu’il ne nous reste plus qu’à accueillir le Machia’h concrètement.

Pourquoi est-ce important ? La qualité inhérente au fait que le jour du décès coïncide avec celui de la naissance nous est enseignée par le Talmud qui commente ainsi les paroles de Moïse le jour de son départ de ce monde « Je suis aujourd’hui âgé de cent vingt ans » (1) : « Qu’à voulu dire Moïse par ‘aujourd’hui’ ? : ‘aujourd’hui mes jours et mes années sont complètes’. Ceci t’enseigne que le Saint béni soit-Il complète les années des Tsaddikim de jour en jour et de mois en mois, comme il est dit ‘Je comblerai la mesure de tes jours’ (2) » (3). On peut cependant se demander en quoi ceci représente une quelconque qualité. En effet, la véritable élévation d’un Tsaddik est d’ordre spirituel et ne dépend pas du nombre précis d’années qu’il est amené à vivre corporellement. Nous constatons d’ailleurs que la plupart des Tsaddikim n’ont pas quitté ce monde le jour de leur anniversaire. La réponse à cela est que le service divin du Tsaddik atteint sa plénitude lorsque sa perfection spirituelle transparaît dans la perfection d’ordre matériel du nombre de ses années. Cela indique qu’il a su raffiner sa propre matérialité au point où celle-ci n’est rien d’autre que le prolongement de sa spiritualité. En effet, le monde est composé d’espace et de temps et l’année contient en elle tous les changements du temps (en hébreu, « Chana – année » découle de « Chinouï – changement »), la plénitude des années exprime donc la plénitude matérielle. Cette plénitude s’est exprimée chez les Patriarches qui naquirent et décédèrent tous durant le mois de Nissan, chez Moïse qui naquit

et quitta ce monde le 7 Adar, et chez l’Admour Haemtsayi, le « Moïse » de sa génération. [En vérité, l’enseignement du Talmud selon lequel D.ieu « complète les années des Tsaddikim » implique que cela est ainsi spirituellement pour tous les Tsaddikim, même ceux qui n’ont pas quitté ce monde le jour de leur anniversaire (et ceci de deux façons possibles : soit parce qu’en un nombre réduit de jours il ont achevé la tâche impartie à leur dernière année, soit parce qu’ils ont reçu des jours supplémentaires audelà du nombre parfait de leurs années). Néanmoins, cette perfection est d’autant plus grande quand elle est révélée matériellement lorsqu’un Tsaddik quitte ce monde le jour où il est né.]

Pourquoi en dehors de la Terre d’Israël ? En lisant la Torah, nous constatons que le récit de la vie de Yaakov se trouve principalement dans cette Paracha, Vayetsé, et dans la Paracha de Vayichla’h, lorsque Yaakov est en dehors de la Terre Sainte, alors que la Paracha de Toledoth, dont les évènements s’y déroulent, parle peu de Yaakov. Or, ceci est étonnant. Pourquoi la Torah insiste-t-elle sur les problèmes que Yaakov, qui fut « l’élu parmi les Patriarches » (4), eut avec les méchants Essav et Lavan ? Il eut a priori été préférable de mentionner le service divin qu’il accomplit en Terre Sainte, comme cela est d’ailleurs relaté pour Avraham et Its’hak. La réponse à cela est que, à travers le récit du voyage de Yaakov à ‘Harane et de ses rencontres avec Lavan et Essav, la Torah nous enseigne le comportement que nous devons adopter dans notre relation avec le monde. Cette histoire qui est la première dans la Torah à décrire la confrontation des Patriarches avec le monde vient enseigner que le but de chaque Juif est d’agir dans le monde et donne les étapes de la

réalisation de cette tâche : « Vayétsé Yaakov miBéer Chéva, et Yaakov sortit de Béer Chéva » (5) fait référence à la sortie de l’âme de sa source céleste, appelé « Béer Chéva » (la Séfira de « Binah » qui est la « source » (« Béer») des sept (« Chéva ») Attributs divins du monde de Atsilout). « Vayélekh ‘Haranah – et il alla à ‘Harane » (Ibid.) désigne la descente de l’âme dans un monde si bas qu’il suscite la colère (‘Harone Af ) de D.ieu. Et, malgré cela et contre toute attente, c’est précisément à ‘Harane que Yaakov édifia sa famille, les douze tribus saintes. L’explication de cela est que Yaakov révéla, à travers l’accomplissement de la Torah et des Mitsvot, la lumière de son âme avec laquelle il raffina et sanctifia son corps et son environnement. C’est ce à quoi font allusion les mots « il alla à ‘Harane » : c’est précisément à ‘Harane qu’il alla en s’élevant progressivement toujours plus haut. En outre, ce n’est pas uniquement son âme qui connut une élévation, mais ‘Harane elle-même qui fut également raffinée et sanctifiée à travers lui (c’est pourquoi il est écrit « Vayéle’h ‘Haranah » pour « il alla à ‘Harane» et non l’expression équivalente « Vayéle’h lé’Harane », car «Vayéle’h ‘Haranah » sous-entend grammaticalement que c’est «‘Haranah » qui « alla »). D’autre part, le mot « ‘Haranah » enseigne que Yaakov révéla au sein de ‘Harane la force divine qui la porte à l’existence : la lettre « Hé » du nom de D.ieu par laquelle le monde est créé (6). La Torah relate ensuite que, sur le chemin de ‘Harane, le soleil se coucha et que Yaakov s’étendit pour dormir, en ayant au préalable disposé autour de sa tête des pierres pour se protéger des animaux malfaisants. Ainsi en est-il pour chaque Juif. Lorsque son âme descend ici-bas, dans le monde (en hébreu « Olame », de la racine de « Elem, occultation »), elle subit l’occultation de la présence divine (« le soleil se couche »), et cela le pousse à s’étendre pour dormir, à connaître une chute si importante que sa tête et ses pieds se retrouvent au même niveau, au point où il doit même s’inquiéter de toutes sortes d’animaux malfaisants (les forces du mal qui règnent dans ce bas monde) qui cherchent à porter atteinte à son âme. Cependant, c’est précisément cette descente qui lui permet de connaître ensuite une élévation jusqu’à un niveau supérieur à celui qu’avait son âme auparavant, comme nous allons l’expliquer plus loin. Notes : 1/ Deutéronome 31, 2 - 2/ Exode 23, 26 - 3/ Talmud Roch Hachana 11a ; Sota 13b ; Kidouchine 38a - 4/ Midrache Béréchit Rabba § 76 ; Zohar III 119b - 5/ Genèse 28, 10 - 6/ Talmud Mena’hot 29b - 7/ Genèse 28, 16 - 8/ Genèse 28, 12 9/ Talmud ‘Houline 91b - 10/ Midrache Tan’houma (Bober), Vayétsé § 4, et autres - 11/ Tanya chap. 36 - 12/ Isaïe 40, 5 13/ ‘Habacouc 2, 11 - 14/ Talmud Taanit 26b - 15/ dans le traité Sanhédrine, dans les Midrachim et dans d’autres sources - 16/ Genèse 36, 1 - 17/ Zohar III, 34b - 18/ Talmud Berakhot 3a - 19/ Commentaire du Barténora sur Ruth ; Responsa du ‘Hatam Sofer ‘Hochen Michpat vol. 6, chap. 98 ; Sdé ‘Hemed, Péat Hasadé, maarékhet haaleph § 70, et autres - 20/ Deutéronome 29, 3 - 21/ Daniel 7, 13 ; Sanhédrine 98a - 22/ Talmud Yoma 54b


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La révélation des secrets enfouis

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La diffusion du Judaïsme et la participation du public le plus large aux Mitzvoth constituent aujourd’hui des objectifs vitaux. Celles-ci possèdent une efficience encore plus forte lorsqu’elles sont accomplies au «770», la Maison d’Etude du Rabbi, roi Machia’h… C’est Sarit ‘Hadach, l’une des principales responsables de ces activités dans la Synagogue des femmes, au 770, qui raconte : «Ici, les miracles et circonstances prodigieuses ne cessent de se dérouler sous nos yeux, au point que l’on n’a pas le temps de les référencer. L’un des vecteurs principaux de ces prodiges est constitué par les demandes écrites à l’intention du Rabbi, roi Machia’h, par le canal des «Igueroth-Kodech», que les visiteuses et invitées du monde entier rédigent pendant leur séjour. Pour une partie non négligeable d’entre elles, c’est la première fois, et cela m’occupe souvent pendant de longues heures. L’an dernier, quelques jours avant le 22 Chevat (la date où se tiennent les Assises Mondiales des Emissaires féminines du Rabbi), une importante délégation arriva de France, composée de femmes et de jeunes filles. L’une des femmes s’adressa à moi, me demandant de la guider pour écrire au Rabbi, roi Machia’h, au moyen des «Igueroth-Kodech», les volumes contenant les réponses du Rabbi. Elle était accompagnée d’une fillette de 10 ans, qu’elle me présenta comme sa fille. Elle me déclara que cet acte d’écrire au Rabbi serait pour elle quelque chose de nouveau, bien qu’elle en eût entendu parler. Je lui indiquai donc les pro-

cédures de préparation, l’acte de se laver les mains, celui de donner quelques pièces à la Tsédaka, et celui de prendre sur soi une bonne résolution en matière de Judaïsme. Puis elle écrivit sa lettre et l’introduisit dans l’un des volumes, après avoir clamé «Yéhi Adonénou…». Je lus la réponse, qui consistait en la directive de se renforcer en Torah et dans la pratique des Mitzvoth, ainsi que de scolariser sa fille dans un établissement juif. Je la questionnai à ce sujet et elle me répondit par la négative, et je remarquai que ses yeux s’embuaient en me répondant: «Le père de l’enfant n’est pas juif, aussi ne voulais-je pas causer à celui-ci des conflits supplémentaires en l’envoyant dans une école juive. Mais vous allez être étonnée», ajouta t-elle, «de savoir que mon mari, bien que non-juif, aurait voulu

que sa fille étudie dans une école juive». «Etes-vous certaine qu’il n’est pas juif?» lui demandai-je soudain. «Je vous pose cette question parce que la réponse du Rabbi s’adresse à un couple juif, et qu’il leur demande d’envoyer leur fille dans une école juive». La Béra’kha du Rabbi formulait le vœu que cette femme et son mari élèvent leur fille pour la Torah, la ‘houpa et les bonnes actions. Et j’ajoutai, quant à moi, que la tournure de la lettre me prêtait à penser que son mari était juif. Mon conseil était donc qu’ils devaient vérifier ce fait de manière fondamentale. Elle me révéla alors qu’ils avaient effectivement fait des recherches, par le passé, sur la judéité du mari, mais que, comme ses parents étaient des immigrants de Russie et qu’il ne possédait pas de documents à ce sujet, ils n’avaient pas poursuivi leurs recherches, et aucune preuve n’avait été établie. Les conséquences ultérieures de mon conseil me parvinrent il y a peu de temps, par le canal de la fille de l’émissaire ‘Habad de la localité où résidait le couple, lorsqu’elle vint au «770»: «Peu de temps après le retour en France de cette femme et de sa fille, elle exposa le sujet à son époux, lui proposant de vérifier une fois encore ses probabilités de judéité. suite page 4

la Délivrance de façon à ce que cela ouvre le cœur, les yeux et les oreilles, et que l’on comprenne, voit et ressente concrètement dans la matérialité du monde la Délivrance, et d’étudier la Torah du Machia’h (la partie profonde de la Torah) avec un niveau de « vision », car tout ceci est Si tout ce qui précède a toujours été valable pour les Juifs de toutes les accessible, il suffit d’ouvrir les yeux et on verra cela ! générations, à plus forte raison est-ce pertinent aujourd’hui, alors que d’après les signes donnés par nos Sages (15) nous nous trouvons déjà Concrètement concrètement à l’étape de la Délivrance. Comme nous l’avons dit à plu- En plus de cela, il faut organiser des Farbrengens (célébrations ‘hassisieurs reprises, nous avons terminé tous les « Birourim, étapes du raffi- diques) à l’occasion du 10 Kislev, fête de la libération de l’Admour nement du monde », y compris celui de « Essav qui est Edom » (16), Haemtsayi, y étudier de sa Torah, y prendre de bonnes résolutions, comme nous le voyons aujourd’hui chez des peuples qui descendent de parmi lesquelles d’organiser des Farbrengens à l’occasion du 19 Kislev Essav et qui se comportent comme des « royaumes de bonté ». Il est dans chaque recoin du monde où se trouvent des Juifs. donc clair que nous nous trouvons aujourd’hui dans une situation où le De la même manière, il faut organiser des Farbrengens à d’autres dates corps physique et le monde matériel ont été raffinés au point de pouvoir liées à la ‘Hassidout, et à ‘Hanouccah – selon la tradition des Rabbis de recevoir toutes les lumières et les sujets spirituels, ce qui inclut la lumière ‘Habad – faire des fêtes à l’intention des membres de sa famille et disdu Machia’h (17), la lumière de la Délivrance, jusqu’à la révélation de tribuer de « l’argent de ‘Hanouccah » en particulier aux enfants, garçons l’Essence Divine qui se révélera dans l’essence du Machia’h et, à travers et filles. Car, en accomplissant cette coutume, avec la diffusion qui cela, dans l’essence de chaque Juif. convient et le don en abondance, on augmente d’autant son attachement Et la seule chose qui manque est qu’un Juif ouvre les yeux cor- à nos Rébbeïm, ce qui augmente la force de faire pénétrer leur Torah, rectement, et il verra comment tout est prêt pour la Déli- leurs instructions et leurs coutumes dans la vie quotidienne de chacun. vrance ! Il y a déjà la « table dressée », il y a déjà le « Grand Buffle », le Ce qui inclut la coutume juive qui se répand et s’amplifie ces Léviathan et le « vin gardé » et les Juifs se trouvent déjà autour de la derniers temps d’étudier les sujets liés à la Délivrance et au table, « la table de leur Père » (18), (le Roi des rois, le Saint béni soit-Il), Machia’h pour se préparer et préparer les autres au dévoileavec le Machia’h, comme il est écrit dans les livres (19) qu’il y a dans ment de la Délivrance messianique, comme nous l’avons dit. chaque génération un homme qui est apte à être le Machia’h, et dans Que D.ieu veuille donc que, par le mérite des bonnes résolutions dans notre génération mon beau-père, le Rabbi ; et quarante ans après le dé- tous ces sujets, il y ait immédiatement la Délivrance véritable et part de ce monde de mon beau-père le Rabbi, il y a déjà aussi « un cœur complète et nous irons tous « sur les nuages du ciel » (21), avec pour comprendre, des yeux pour voir et des oreilles pour entendre » le fruit de notre service divin ainsi qu’avec nos biens matériels, avec les (20). Il faut seulement maintenant ouvrir le «cœur pour com- synagogues et les maisons personnelles, vers notre Terre Sainte, à Jéruprendre», ouvrir les «yeux pour voir» et ouvrir les «oreilles salem la ville sainte, sur la montagne sainte dans le troisième Tempour entendre» et, de la même manière, exploiter tous les 248 mem- ple, dans le Saint des Saints où se trouve la « pierre de fondation » bres et les 365 nerfs de son corps physique, pour étudier la profondeur à partir de laquelle le monde entier fut créé (22). Et l’essentiel est de la Torah telle qu’elle a été révélée dans la ‘Hassidout et pour accomplir que cela soit immédiatement. (Dvar Mal’hout) les instructions des Rébbeïm, ce qui inclut d’étudier les sujets relatifs à

Machia’h & Guéoula La Délivrance ici-bas en ce monde


G U suite de l’histoire en page 3

Celui-ci voulut comprendre ce qui motivait cette volonté de recherche, et elle lui raconta sa lettre, écrite au «770», et la réponse du Rabbi, qui laissait apparaître qu’il était juif. Ils s’adressèrent donc au Tribunal Rabbinique, lui demandant une vérification intégrale, et le Tribunal accepta de se livrer à cette recherche. Or, après maintes démarches, discussions et débats, ils finirent par découvrir que cet homme était on ne peut plus juif!!». «Vous pouvez vous imaginer», conclut notre interlocutrice», à quel point il est important d’accorder toute son attention aux réponses précises du Rabbi, roi Machia’h, dans les «Igueroth-Kodech». Voilà un cas où il avait béni ce couple pour qu’ils élèvent ensemble leur fille dans la voie de la Torah, pour la ‘Houpa et les bonnes actions. Et tout cela s’est vérifié dans tous les détails!». (Tiré du Courrier de la Guéoula)

Le Mivtsa « Chaarei Tseddek » : une Guéoula en marche...

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Un Rassemblement exceptionnel à Kfar ‘Habad

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Samedi soir dernier, à l’occasion de Roch ‘Hodech Kislev, un « Kinous Hachelou’him (Rassemblement des émissaires) » a eu lieu pour les émissaires de Terre Sainte qui n’ont pu se rendre à New-York. Cet événement a été organisé par le Rav Lior Malka et a porté principalement sur le thème du Kiddouch Lévana. Le Rav Lior a montré une vidéo sur la dernière célébration publique de « Sanctification de la Lune » qu’il a lui-même mis en place. On a ressenti le faste d’un véritable mariage... A ce propos, le prochain Kiddouch Lévana aura lieu avec l’aide de D.ieu à la sortie de ce Chabbat 7 Kislev, alors... à nous de jouer ! (GN)

L’équipe de Guéoula News est sortie, ce mardi aussi, pour sa visite aux malades à l’hôpital Chaarei Tseddek à Jérusalem. Cette campagne se joue sur trois niveaux : Visite aux malades et demandes de bénédiction dans les Igueroth Kodech, (pose des Téfilines) mais aussi diffusion des 7 Mitsvot des Bné Noa’h en arabe. Et sur ces trois points cette semaine encore, nous avons pu observer des merveilles de la Guéoula. Tout d’abord, cette visite remonte singulièrement le moral des gens qui sont en état de détresse et même parfois seuls et à ce propos, nous avons rencontré un jeune australien, souffrant d’une infection, qui venait de monter en Terre Sainte et avait réellement besoin de parler à quelqu’un et lorsqu’il a vu qu’on s’adressait à lui dans sa langue et qu’on l’invitait à la Yéchiva, il a été réellement touché. D’autres Juifs qui ont reçut avec joie la Si’hat HaGuéoula, ou, pour les francophones, le journal « Vive le Roi Machia’h Now ! ». Ensuite, pour ce qui est des Igueroth Kodech, une série de guérisons miraculeuses s’est produite, et ce, depuis un mois, dès le début de cette campagne... Comme le cas d’un certain David qui souffrait d’une maladie des reins que les médecins n’arrivaient pas à diagnostiquer. On a donc écrit au Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h et deux jours plus tard, on a appris qu’il allait beaucoup mieux et sortirait de l’hôpital dans les heures qui suivent. Et d’autres cas impressionnants à écouter dans les prochains Farbrenguens (en vidéo Bli Neder). Et pour terminer, il y a les 7 Mitsvot des Enfants de Noé en langue arabe. Et c’est littéralement incroyable. Ces personnes accueillent avec une joie non dissimulée ce fascicule qui leur explique, dans leur langue, les Mitsvot qu’ils doivent accomplir selon la Torah de Moché Rabbénou afin d’être attaché au D.ieu d’Israël. C’est littéralement un choc pour ces

gens qui ne s’attendent pas du tout à recevoir ce fascicule. Par exemple, une grande famille au chevet de son malade a reçu la carte de visite avec les 7 Mitsvot et on pu voir le père de famille scander chaque Mitsva comme nous on scande les 12 Psoukim aux enfants. Une autre fois, on a eu un homme qui a pris sur lui de diffuser autour de lui les 7 Mitsvot avec l’enthousiasme d’un vrai Chalia’h... Et encore plein d’autres histoires totalement inattendues. Alors voilà, nous, l’équipe de ce journal que vous lisez chaque semaine, on vous encourage à tous à prendre cette campagne en cours de route et à nous téléphoner pour recevoir des fascicules et quelques conseils pour entrer, mais réellement y entrer, dans la dimension de la Délivrance véritable et complète ! Infos : 058-4770055 (Gabriel et Menou’ha Ra’hel Beckouche)

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Petites Annonces

Jérusalem Cours de Torah en français Centre ville de Jérusalem au Merkaz Machia’h & Guéoula. 8, rue Yaavets. Cours en français du dimanche au jeudi sur le Tanya à 9h15 (hommes) et à 14h00 Séminaire sur le Dvar Mal’hout (femmes) par le Rav Gabriel Beckouche - Infos 053-2770419

Beit Machia’h à Har ‘Homa pour les jeunes Nouveau local : 2, Re’hov Eliahou Koren (6ème étage). Cours tous les jours en hébreu. Taharat HaMichpa’ha pour les femmes. Minyan pour les jeunes le Chabbat à 10h00 Infos : 054-4449770 Nathanya Jeudi à 17h00 : cours sur les discours du Rabbi Rachab (Emche’h Aïne Beth) et le Dvar Mal’hout par le Rav Yaacov Corda. Pour plus d’infos : 050-9157707

Cours pour femmes à Nathanya Par Michèle Zis : Sur le Tanya, la ‘Hassidout ‘Habad et les discours du Rabbi (Machia’h & Guéoula) Infos : 054-7687709

Pour un partenariat avec la Newsletter de la Guéoula, Rav Its’hak Pachter au 050-9122770 L E

C A R N E T

Pour la réussite de: ‘Hanna Bat Mercedès Sarah, Line Bat Mercedès Sarah, Michaël Ben Mercedès Sarah, Henri ‘Haïm Ben Julia, Perla Bra’ha Bat Menou’ha Ra’hel, Noa Sarah Bat Menou’ha Ra’hel, la famille Liraz Touval. Pour la bonne santé de: Sivan Bat Sarah Hadassa Leilouï Nichmat de: Julia Bat Elie, Meyer Benchoam, Fifine Bat Habiba, Ayala ‘Haya Bat Méïr Raphaël, Serouya Beya Bat Myriam, Moché Maurice Ben Yossef et Fifine, Sylvia Hassiba Bat Nissim et Yona Ben Sarah

La Newsletter de cette semaine est dédiée à l’élévation de l’âme de Norbert Avraham Ben Gavriel et Pnina Le journal « Vive le roi Machia’h, Now ! » est un hebdomadaire édité par l’association « Vive le roi Machia’h », loi 1901 (Paris) – Directrice de la publication, Menou’ha Ra’hel Beckouche – Rédacteur en chef et graphisme, Gabriel Beckouche Diffusion à Jérusalem, centre Machia’h & Guéoula Diffusion à Nathanya, Rav Its’hak Pachter.

Horaires de Chabbat ________________

Chabbat Vayetsé Jérusalem : 16h00 - Sortie : 17h14 Tel Aviv : 16h16 - Sortie : 17h16 ‘Haïfa : 16h07 - Sortie : 17h13

Consultez par email les Igueroth Kodech Et vivez les miracles et merveilles de la Guéoula viveleroi770@gmail.com


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