DOSSIER DE PRESSE
ÉDITO
La vocation de l’Orchestre des Pays de Savoie, nourrie saison après saison d’un enthousiasme et d’une excellence intacts, a toujours été de transmettre une passion, de faire vivre une émotion, sans restriction d’époque ni de style. À tous : ceux que la musique fait vibrer comme ceux qui ne l’imaginent pas avant d’avoir été touchés par le plaisir du concert. Ce partage avec les publics est la raison d’être du travail de l’Orchestre. Pour 2017-2018, j’ai choisi d’élargir plus encore le panorama des propositions musicales en privilégiant, au fil de dix tournées de concerts sur l’ensemble du territoire régional, la diversité des univers. Cette saison, je l’ai voulue colorée par les élans romantiques de Beethoven et de Schumann, les tons subtils de Debussy et de Roussel, les voix de Mozart et de Haydn, les rythmes de Bartók et de Ligeti, les symphonies de Chostakovitch et de Tchaïkovski. Vous y retrouverez des œuvres emblématiques de l’Orchestre, d’autres moins familières que nous avons à cœur de vous faire découvrir. En trame de fond de ces paysages sonores chatoyants, la musique d’aujourd’hui tisse son fil – parce qu’on aime tous être éveillés à de nouvelles musiques et parce que la mise en perspective des œuvres d’hier avec celles d’aujourd’hui est extrêmement fructueuse : vous percevrez tout l’humour de Betsy Jolas, l’amour des voix de Thierry Escaich, la trépidation des danses de Ligeti, l’onirisme japonisant du concerto pour flûte de Christian Rivet, créé en 2018 avec Emmanuel Pahud. Cette création sera un moment phare de notre saison. II est passionnant de donner la place aux créateurs, de se faire les interprètes de leur vision du monde d’aujourd’hui, de saisir, partager et transmettre leur poésie et leur quête de sens. Cette nouvelle saison offrira à tous d’être les témoins privilégiés de belles rencontres musicales, avec des solistes de choix – la violoncelliste Anne Gastinel, les pianistes Adam Laloum et Nicholas Angelich avec qui nous entamons un cycle de concertos pour piano de Mozart, le hautboïste Gabriel Pidoux – et des partenaires hors pair – le chef Christoph Poppen, le chœur Spirito de Nicole Corti pour un concert commenté, l’Orchestre Symphonique de Mulhouse et son chef Patrick Davin pour un concert « grand format ». Et parce que nous aimons vous faire plaisir et vous émouvoir, je gage que nos concerts vous réserveront des surprises… Nicolas Chalvin, directeur musical
La carrière de Nicolas Chalvin commence au sein de grandes formations symphoniques, notamment à l’Orchestre national de Lyon et à l’Orchestre Philharmonique du Luxembourg. Riche de son expérience de musicien d’orchestre, sa rencontre avec Armin Jordan marque un tournant décisif dans sa carrière musicale et on le retrouve très vite à la direction musicale de productions lyriques et chorégraphiques au grand Théâtre de Genève, à l’Opéra de Lausanne ou encore à l’Opernhaus de Zürich. Il est l’invité régulier de phalanges orchestrales en France et à l’étranger (Orchestre Philharmonique de Radio-France, Orchestre São Carlo de Lisbonne, Orchestre Philharmonique de Strasbourg). Directeur musical de l’Orchestre des Pays de Savoie depuis 2009, Nicolas Chalvin parcourt avec aisance le répertoire pour orchestre, des premiers classiques aux œuvres les plus récentes, chérissant particulièrement la musique française. Menant l’Orchestre des Pays de Savoie sur les grandes scènes musicales, sa curiosité et sa créativité permettent à l’Orchestre des Pays de Savoie d’explorer toute la diversité du répertoire pour orchestre et de s’investir dans des projets musicaux d’envergure (Festival Berlioz à la Côte-Saint-André, Musique à la Grange au Lac à Évian…). Son goût pour la recherche de répertoires oubliés l’a amené à enregistrer plusieurs œuvres avec le label Timpani dont Reynaldo Hahn (Orchestre des Pays de Savoie, 2015) et Aucassin et Nicolette de Paul Le Flem (Orchestre des Pays de Savoie, 2011) ou encore Sophie Arnould de Gabriel Pierné (Orchestre Philharmonique du Luxembourg), opéra salué par la critique et nominé aux BBC Awards en 2008. En 2015, Nicolas Chalvin est nommé chevalier de l’Ordre des Arts et des Lettres. www.nicolaschalvin.com
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Un orchestre nouvelle génération
U
n orchestre
atypique sous la baguette d’un chef exigeant
L’Orchestre des Pays de Savoie porte en ses 23 musiciens sa différence et son excellence. « C’est un collectif, pas un ensemble », précise son chef Nicolas Chalvin : chacun y est responsable et engagé, et cette énergie individuelle définit un son, une force, une homogénéité. Mobilisés à mi-temps par l’Orchestre, les musiciens sont riches de leurs activités musicales annexes et toujours heureux de regagner leur rang comme on revient puiser à la source. Si son effectif infléchit son répertoire, il ne le limite jamais dans ses explorations de styles et d’époques. « Ce qui est important, assure Nicolas Chalvin, c’est que les musiciens vivent l’ensemble de toutes les musiques. » La musique des XXe et XXIe siècles – avec une création par saison – tient une place de choix dans le travail et les concerts de l’Orchestre, glissée aux côtés d’œuvres plus familières du public. « Cette mise en regard des œuvres du passé avec celles d’aujourd’hui est essentielle pour détrôner les habitudes de jeu », poursuit Nicolas Chalvin. Les fondamentaux restent les classiques viennois – Haydn, Mozart, Beethoven – et la musique française. « Pour la transparence, pour la sensualité, je pense qu’une grande partie de la musique s’articule autour de ces deux pôles. Plus l’apport du baroque, évidemment. Tout se rejoint dans une certaine forme d’élégance et de légèreté. » Si « tout se rejoint », c’est que le travail d’excellence mené par Nicolas Chalvin depuis 2009 avec la phalange savoyarde ne lâche rien sur la précision et le style afin que s’installe une fluidité, que s’épanouisse une maturité musicale. « On est dans le trait, dans le dessin, dans la couleur plus que dans l’empâtement », souligne le nouvel administrateur de l’Orchestre, Damien Pousset.
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Un orchestre itinérant proche des publics Ce travail subtil, reconnu et combiné avec l’extrême flexibilité des musiciens, non affiliés à une unique salle de concert, a permis à l’Orchestre de s’ancrer efficacement sur l’ensemble du territoire savoyard. « Cette souplesse est une quête permanente, il faut sortir de sa zone de confort, confie Nicolas Chalvin. Être attractif et donner au public l’envie de revenir au concert. » Chacun est conscient de ces enjeux, qui s’ajoutent à la volonté de partager avec le plus grand nombre. Rayonnant sur l’ensemble de la région – 95 % de ses concerts –, l’Orchestre a noué une vraie relation de proximité en allant au-devant des publics, dans les principaux festivals comme dans des lieux moins attendus, dans les écoles comme dans les entreprises. « Chaque concert conduit le public dans un univers. Nous sommes là pour accompagner le plaisir, la pédagogie, la connaissance, et faire naître une émotion », conclut Nicolas Chalvin. Un orchestre trentenaire en plein devenir Cet accompagnement ne se fera pas, aujourd’hui et demain, sans une régénération de la transmission et du financement. Créé en 1984, l’Orchestre affiche en 2017 un réel rajeunissement de ses rangs, unit ses forces musicales et institutionnelles pour envisager l’avenir dans une dynamique nouvelle : associer plus étroitement secteurs public et privé, imaginer des formats de concerts innovants, développer plus encore le rôle de l’Orchestre auprès de toutes les générations, déployer tous ses atouts fédérateurs… « Il y a un travail de désenclavement à poursuivre, pense Damien Pousset, pour aller au-delà des codes. »
Si l’Orchestre des Pays de Savoie parvient à financer à hauteur de 25 % ses activités par ses tournées, il doit faire face aux défis économiques des entreprises culturelles d’aujourd’hui et aux mutations de nos pratiques culturelles. Depuis quelques saisons, il s’est résolument engagé dans le renouveau de son schéma économique en s’ouvrant de nouvelles portes, notamment vers l’entreprise. Il a initié le Club Amadeus – 22 entreprises mécènes en 2017 – de façon à compléter les subsides publics et à augmenter la marge artistique de son budget. Le mécénat n’est pas son seul lien avec le secteur privé : il souhaite créer des liens d’échange significatifs pour que la musique entre dans l’entreprise au même titre qu’il l’a fait entrer à l’école. Damien Pousset vient de prendre ses fonctions à l’administration de l’Orchestre. « La fragmentation, la mobilité et la discontinuité bouleversent nos repères traditionnels. Cela influe sur la façon dont nous devons faire cheminer le projet artistique et économique de l’Orchestre. » Cela passe par la mise en place de stratégies mettant en conformité l’action de l’Orchestre avec la société actuelle et offrant des propositions musicales inédites déclinées du concert traditionnel, dans un modèle économique cohérent. « Dans une même journée, nous pouvons montrer différents visages de l’Orchestre, qui sont autant d’expériences à vivre. Je crois beaucoup en la notion d’expérience vécue par le public. Nous devons porter notre action fondamentale – qui est de jouer de la musique classique – par ce type de stratégies.» Les actions de sensibilisation sont également étendues, favorisant les échanges conviviaux et les manifestations interdisciplinaires. L’Orchestre voit son avenir dans l’invention de nouveaux modes – de partage, de financement, de diffusion, de transmission – sans rien renier de l’héritage qui lui a donné sa réputation.
Une saison 2017-2018 toute en perspective La saison 2017-2018 brille par la diversité des univers qu’elle propose, traversés par le flux continu de la musique d’aujourd’hui. « Chaque concert est une histoire dans l’Histoire, explique Nicolas Chalvin. Beethoven va s’ouvrir sur quelque chose d’universel tandis que Schumann va exprimer
des tourments intérieurs. Debussy traduit d’autres couleurs, d’autres paysages sonores, une autre sensibilité. Ce sont toutes ces résonances qui nous construisent. Il y a aussi l’expérience contemporaine. » Et d’ajouter sur cette mise en perspective extrêmement enrichissante, tant pour l’Orchestre que pour les publics : « Auparavant, les règles de composition étaient fixes et connues de tous ; aujourd’hui, elles sont singulières, ce sont des axes de travail, des voix qu’il est intéressant d’entendre et de mettre en regard avec celles d’hier. » La « voix » de Christian Rivet, à qui l’Orchestre a passé commande d’une œuvre en partenariat avec la MC2 Grenoble et l’Espace Malraux-scène nationale de Chambéry et de la Savoie, résonnera en janvier et en juin 2018. Il s’agit d’un concerto pour flûte et orchestre de chambre composé pour le soliste Emmanuel Pahud et l’effectif de l’Orchestre des Pays de Savoie, qui tire son titre d’une phrase de Rilke, Quelque part dans l’inachevé. « Ce n’est pas un concerto au sens où on l’entend habituellement, c’est très onirique, confie le compositeur. J’ai composé dans le style pour lequel le peuple japonais utilise l’expression « mono no aware » (la poignante mélancolie des choses) après avoir capturé numériquement les images sonores de lieux-dits situés au cœur de l’archipel nippon. J’ai poli, transformé, transposé puis transcris ces “pierres de Jade” ; j’ai créé des unités, des segments, des lignes lisses et fracturées pour y déceler des figures, des ailleurs presque invisibles… Une Cité imaginaire. »
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UNE SAISON EN TOURNÉE Samedi 30 septembre, 21h Prieuré, CHIRENS (38) Vendredi 6 octobre VILLE-LA-GRAND (74) + élèves au concert 14h30 Mardi 17 octobre, 19h Église Sainte Bernadette, ANNECY (74) Saison du CRR d’Annecy date à conf. Campus en musique, LE-BOURGET-DU-LAC (73)
FOLKLORE ! CONCERT DÉCOUVERTE
LIGETI Régi magyar társas táncok (old hungarian ballroom danses) GRIEG Suite Holberg opus 40 HAAS Étude pour orchestre BARTÓK Danses roumaines Œuvre participative pour public et orchestre (concours de création musicale 2017)
Les compositeurs du début du XXe siècle ont puisé dans les chants et danses populaires au début de l’ethnomusicologie. L’inspiration venue des villages apporte une nouvelle authenticité à l’élan nationaliste de la fin du XIXe siècle et nourrit la modernité de compositeurs. La pièce d’Edvard Grieg, écrite d’abord au piano en hommage à un écrivain régionaliste, s’inscrit plutôt dans un mouvement de redécouverte du style baroque. Béla Bartók fut la grande figure musicale qui donna ses lettres de noblesses à l’ethnomusicologie en parcourant avec Kodály la Transylvanie à l’écoute de mélodies populaires. Des premiers enregistrements étonnants côtoient ces transcriptions musicales qu’orchestrent volontiers les compositeurs. Les danses roumaines existent ainsi dans de nombreuses versions, faisant se succéder en quelques minutes rythmes et couleurs très variées. En 1949, au début de sa carrière, c’est un format très similaire que choisit György Ligeti pour ses Régi magyar társas táncok (old hungarian ballroom danses). Pavel Haas, compositeur tchèque, fut l’élève de Janáček. Il composa une musique inspirée par la bohème, seules quelques pièces obtenant à ces yeux la qualité nécessaire pour obtenir un numéro d’opus. La pièce pour cordes garde ainsi le titre d’étude et reflète ses dernières années tragiques à Terezín. Après-guerre, la notion d’art populaire fera davantage référence au cinéma ou à la musique de variété et c’est assez récemment que ressurgit l’idée de pièces qui convoquent des thèmes qui « parlent » à l’imaginaire commun du public ou qui favorisent la participation de ce dernier au concert. C’est dans cet esprit qu’un concours pour une œuvre participative a été lancé par l’Orchestre des Pays de Savoie et l’Orchestre d’Auvergne avec un thème qui « met en musique » des valeurs universelles à découvrir en création dès la rentrée 2017/18. Avec le soutien de Musique Nouvelle en Liberté.
Mardi 3 octobre, 20h La Rampe, ECHIROLLES (38)
Nicole Corti, direction Spirito
Dimanche 4 février, 15h Auditorium, LYON (69)
L’Orchestre des Pays de Savoie et l’ensemble Spirito sont réunis sous la direction de Nicole Corti dans un programme d’œuvres vocales sacrées dédiées à la Vierge Marie. En regard des Motets de Mozart, on découvrira le subtilement « planant » Alleluias pro omni tempore du compositeur organiste Thierry Escaich, créé en 2010. Cependant le plus étonnant sera peut-être l’émouvant et gracieux Stabat Mater de Joseph Haydn, quasiment inconnu et absent des programmes jusqu’à sa récente exécution par l’ensemble Spirito. Un oubli tenace est le sort plutôt injuste de la majorité des œuvres vocales de Haydn (sauf ses deux grands oratorios, une ou deux messes et autant d’opéras, rarissimes à la scène) dont le catalogue est pourtant abondant. Saluer l’art sublime de Mozart avec une sincère admiration comme il le fit causa un tort durable à Haydn - pris au mot par la postérité !
STABAT MATER FEMME ET DIVINE
MOZART Motet «Sancta Maria, mater Dei» K273 ESCAICH Alleluias pro omni tempore MOZART Motet « Regina coeli » K217, extraits HAYDN Stabat mater en sol mineur Hob. XXa:1
Vendredi 13 octobre, 14h30 Salle Ninon Vallin, MONTALIEU-VERCIEU (38) **Programme sans soliste
Samedi 14 octobre 2017, 20h
Grange au Lac, EVIAN (74) Saison Musique à la Grange au Lac en partenariat avec la Maison des Arts du Léman et l’Evian Resort
PRIMA LA MUSICA ADAM LALOUM : 23E CONCERTO DE MOZART MOZART* Concerto pour piano n°23 en la majeur K 488 STRAUSS Prélude de Cappricio opus 85 HAYDN Symphonie n°89 en fa majeur
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Nicolas Chalvin, direction
* Œuvre jouée uniquement à Évian **Œuvre complémentaire et œuvre participative pour public et orchestre- Uniquement lors des séances scolaires (en cours de diffusion)
Vendredi 24 novembre, 20h30 Centre des Congrès, AIX-LES-BAINS (73) Dans le cadre de la saison hors les murs de l’Espace Malraux, scène nationale de Chambéry et de la Savoie Samedi 25 novembre, 20h30 Bonlieu Scène nationale, ANNECY (74)
BEETHOVEN, SCHUMANN LES GRANDS ÉLANS ROMANTIQUES JOLAS Well Met Suite SCHUMANN Concerto pour violoncelle et orchestre en la mineur opus 129 BEETHOVEN Symphonie n° 7 en la majeur opus 92
Nicolas Chalvin, direction Anne Gastinel, violoncelle Deux pièces majeures du « Grand répertoire » figurent au programme. La 7e Symphonie de Beethoven, créée en 1813, fut tellement appréciée de l’auditoire que son 2e mouvement fut bissé ! L’élan rythmique dionysiaque qui l’habite dès la grande introduction initiale est absolument irrésistible et revient constamment avec vigueur, véhémence ou subtilité au fil des quatre mouvements, où se développe un art mélodique magistral. Le Concerto pour violoncelle que Schumann écrivit lors de son arrivée à Düsseldorf en 1850 lui permit de renouer avec l’instrument étudié dans sa jeunesse. Le compositeur sut lui transmettre l’expression de ses pensées musicales mais, habité par ses tourments, révisa l’œuvre tant et plus jusqu’à la fin de sa vie. Le concert s’ouvrira avec la musique subtile d’intimité et d’humour de Betsy Jolas Well Met Suite (créée à l’été 2016 à l’occasion de son 90e anniversaire), 3e version d’une pièce de 1973, qu’elle décrit comme « une mise en musique des manières d’être au travail des musiciens : comment ils cherchent un terrain d’entente (Well Met) pour « monter » l’œuvre qui les réunit ». Pédagogue passionnée telle ses maîtres Darius Milhaud et Olivier Messiaen, la compositrice franco-américaine a su échapper aux écoles et chapelles, rester indépendante mais fidèle à ses héritages (Monteverdi, Schumann, Debussy), et suivre sa voie personnelle. Avec le soutien de Musique Nouvelle en Liberté. Dans le cadre de la 9e édition d’Orchestres en fête ! du 24 au 26 novembre 2017
Avec le soutien de Musique Nouvelle en Liberté. Spirito est subventionné par le ministère de la Culture et de la Communication (Drac Auvergne-Rhône-Alpes), la Région Auvergne-Rhône-Alpes, la Ville de Lyon et la Métropole de Lyon ; et soutenu par la Sacem, la Spedidam, l’Adami et le FCM. Mécénat musical Société générale est le mécène principal de Spirito. Le groupe Caisse des dépôts est mécène des activités de formation de Spirito. Spirito est membre de la Fevis, du Profedim, de Futurs composés et du Bureau Export.
Nicolas Chalvin, direction Adam Laloum, piano Nicolas Chalvin a choisi Adam Laloum pour lancer la première étape d’un cycle des concertos pour piano de Mozart. On ne peut évoquer Mozart sans penser à sa virtuosité, sa précocité et son génie au piano, qui ont tant émerveillé le public en son temps. Ses concertos pour piano nous restent comme des sommets du genre dont on ne se lasse pas. C’est le cas du sublime « Adagio » du 23e concerto, tellement connu, qui invite à une rêverie mélancolique tandis que le reste de l’œuvre est gai et souriant. Nicolas Chalvin a choisi la jeunesse et le talent pour interpréter Mozart, avec un soliste à peine trentenaire qui cumule déjà prix prestigieux et références avec des orchestres et des chefs reconnus dans le monde entier (Berlin, St Petersbourg, …). Écrite un an après ce concerto, la Symphonie n°89 d’Haydn, autre maître du genre (si prolifique !), correspond au répertoire de prédilection que l’Orchestre des Pays de Savoie défend avec passion. La précision de la direction de Nicolas Chalvin rend toute la finesse et les nuances de cette musique emblématique du style classique. Entre ces deux maîtres, le programme de concert proposé laisse entendre le « Prélude» pour cordes de Capriccio. Composé par Richard Strauss en pleine deuxième guerre mondiale en ouverture de son dernier opéra, cette œuvre est emplie d’une grande élégance, assez pensive.
Lundi 18 décembre, 20h Espace culturel la Traverse, LE BOURGETDU-LAC (73) + élèves au concert 14h30 Jeudi 21 décembre, 12h (hor. à conf.) Campus en musique, ANNECY (74) Jeudi 21 décembre, 19h (hor. à conf.) Église, BONNEVILLE (74)
AIR DE FÊTES UN PROGRAMME A PARTAGER EN FAMILLE CONCERT DÉCOUVERTE
Nicolas Chalvin, direction L’Orchestre des Pays de Savoie a la chance de jouer un répertoire de compositeur qui ont puisé dans les traditions (Grieg), le folklore (Ligeti, Bartók), les thèmes de l’enfance (Britten) pour imaginer des pièces festives et la musique de demain. La musique est bien sûr un ingrédient indispensable à la fête avec des airs connus de chacun de la Suite Holberg et des Danses roumaines. Point de fête non plus sans émotion et la Simple Symphony de Britten est un condensé d’humeurs espiègles, sans détours avec ses quatre miniatures à l’expression sentimentale, charmeuse ou très enlevée. Cette énergie se retrouve chez Bartók et Ligeti, l’un jeune étudiant, l’autre aventurier du phonographe, qui s’inspirent des parfums klezmorim chassés dans les musiques de bal de leurs aînés. Et pour célébrer cette fin de l’année de la meilleure des manières, l’Orchestre des Pays de Savoie vous propose une œuvre surprise et de chanter le soir du concert sur une œuvre composée tout spécialement pour le public !
LIGETI Régi magyar társas táncok (old hungarian ballroom danses) GRIEG Suite Holberg opus 40 BRITTEN Simple Symphony BARTÓK Danses roumaines Œuvre participative pour public et orchestre + œuvre surprise
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Jeudi 11 janvier, 19h30 MC2, GRENOBLE (38)
Nicolas Chalvin, direction Emmanuel Pahud, flûte
samedi 13 janvier 2018, 21h Théâtre Charles Dullin, CHAMBÉRY (73)
Ces musiques du XXe et du XXIe siècle, inspirées de poèmes, déploient l’éventail chatoyant des rêves, de l’infini. Sous la direction de Nicolas Chalvin, Emmanuel Pahud et l’Orchestre des Pays de Savoie convoquent la magie debussyste du « Prélude à l’après-midi d’un faune » d’inspiration mallarméenne, avant la création mondiale d’une œuvre de Christian Rivet, dédiée à son complice et partenaire musical de longue date. Le Japon, son art mesuré du peu, du moins et du silence, de la trace et du souffle, ses Haïku, l’ont fortement inspiré. Ce thème du songe ne peut trouver meilleure conclusion qu’un chef d’œuvre nocturne interprété à Chambéry et Lyon. La Nuit transfigurée qu’Arnold Schönberg composa pour sextuor à 25 ans sur un poème de Richard Dehmel, est un chefd’œuvre de l’ultime romantisme. L’extraordinaire maîtrise dans l’expression des émotions, parallèlement au passage des ténèbres vers l’aurore, en fit rapidement une œuvre célèbre (malgré le scandale de la création), dont Schönberg réalisa l’arrangement pour orchestre. Pour le concert de création à la MC2 Grenoble, c’est le thème d’Eros et Thanatos qui sert de fil conducteur au concert qui s’achèvera avec la Symphonie de chambre opus 73a, dans la version de Rudolf Barshaï. Cette orchestration du Troisième quatuor de Chostakovitch, chef-d’œuvre d’influence beethovenienne rapidement censuré, respire l’émotion et l’énergie que le compositeur souhaite donner à sa musique de chambre au sortir de la guerre, à l’opposé des grandes célébrations triomphales de la victoire. Avec le soutien de Musique Nouvelle en Liberté. L’œuvre de Christian Rivet est une co-commande de l’Orchestre des Pays de Savoie, de la MC2 Grenoble, de l’Espace Malraux-scène nationale de Chambéry et de la Savoie et de la Maison des Arts du Léman.
Autour du concert à 17h : Récital du duo Pahud-Rivet, programme : Histoire du Tango pour flûte et guitare d’Astor Piazzolla, Bach, Rivet, Shankar. Saison de l’Espace Malraux, scène nationale de Chambéry et de la Savoie
Dimanche 10 juin, 16h Auditorium, LYON (69)
SONGES
VISIONS DE RÊVES, POÈMES D’ESPACE AVEC EMMANUEL PAHUD DEBUSSY Prélude à l’après-midi d’un faune, arr. de Yoel Gamzou sur un texte de Mallarmé RIVET Création Quelque part dans l’inachevé SCHÖNBERG La Nuit transfigurée (uniquement à Chambéry et Lyon) CHOSTAKOVITCH Symphonie de Chambre opus 73 (uniquement à Grenoble)
mardi 30 janvier, 19h Église Sainte Bernadette, ANNECY (74) + élèves au concert, 14h30 date à conf. ALBY SUR CHÉRAN (74) vendredi 9 février, 20h Le Majestic, CHAMONIX (74) + élèves au concert, 14h30
À LA FRANÇAISE CONCERTO POUR HAUTBOIS CONCERT DÉCOUVERTE DEBUSSY Six épigraphes antiques, version pour orchestre à cordes LECLAIR Concerto pour hautbois n°3 opus 7 ROUSSEL Sinfonietta opus 52 YUN Tapis pour cordes RAMEAU Air des sauvages tiré des Indes galantes
Le programme du concert est en lui-même à la fois une présentation des différents aspects de la musique française, de Rameau à nos jours, mais également, telle que s’est souvent aussi définie : la musique française comme un hymne au voyage. Jean Baptiste Leclair (1697-1724), né à Lyon, fera ainsi sa carrière entre l’Italie, la Hollande et Paris. Son concerto pour hautbois sera interprété par Gabriel Pidoux, Prix du public du dernier concours international « BE the ONE » de Ljubljana, organisé dans le cadre du réseau européen « ONE is more ». Albert Roussel qui fut élève de Vincent d’Indy a commencé pour sa part une carrière de marin. Sa Sinfonietta, écrite en 1934, propose de façon ramassée des couleurs pour les cordes qui gardent l’influence de Claude Debussy dont on célèbre en 2018 le centenaire de la disparition. Ce pilier de l’école française, nourrit d’influences de différents horizons compose en 1914, Six épigraphes antiques, six tableaux de quelques minutes, écrits à l’origine pour piano à quatre mains. Ils symbolisent - par leur titre même - un des projets du compositeur, une synthèse un peu hors du temps, à l’opposé de l’école allemande de l’époque. Isang Yun (1917-1995), né en Corée puis installé à Berlin sera l’un des grands compositeurs du XXe siècle, comme Toru Takemitsu, qui effectuera en pionnier une synthèse des influences de l’Asie et du langage savant européen, souvent à l’aide de fines trames sonores dont relève Tapis, composé pour cordes en 1987. Pour clore ce concert, l’Air des sauvages de Rameau, autre père théoricien de l’école française nous ramène tout à la fois à l’évocation de l’ailleurs et les sons d’un air familier connu de tous… Pour les concerts en Haute-Savoie, un orchestre des élèves de conservatoires, parrainé par l’Orchestre des Pays de Savoie et en partenariat avec le Conseil départemental de la Haute-Savoie jouera en lever de rideau. Avec le soutien de Musique Nouvelle en Liberté.
Mardi 20 mars, 20h
Nicolas Chalvin, direction Nicholas Angelich, piano
Jeudi 22 mars, 20h30
Nicolas Chalvin et l’Orchestre des Pays de Savoie amorcent le cycle des concertos pour piano de Mozart par le dernier, créé début 1791 par Mozart lui-même. Le soliste en sera Nicholas Angelich - révélé par ses admirables interprétations des grands concertos romantiques. Deux œuvres empreintes d’une subtile mélancolie encadrent ce Concerto n°27 prodigieux d’ambigüité entre larmes, rêves et sourires. En ouverture, le Ländler élégiaque de Wolfgang Rihm déploie somptueusement les sonorités des cordes, illustrant l’art de ce compositeur prolifique (400 œuvres !). L’altiste et quartettiste d’exception Rudolf Barshaï fonda le premier orchestre de chambre d’URSS qu’il dirigea brillamment jusqu’à son émigration. Il réalisa pour son ensemble de remarquables transcriptions - notamment des quatuors de son proche ami Chostakovitch, telle la Symphonie de chambre opus 73a qui conclut le programme, décuplant même les qualités du Troisième quatuor.
Grand Angle, VOIRON (38) Scène nationale d’Albi, ALBI (81) Samedi 24 mars, 20h
Grange au Lac, ÉVIAN (74) Saison Musique à la Grange au Lac en partenariat avec la Maison des Arts du Léman et l’Evian Resort Mardi 27 mars, 20h30
Bonlieu Scène nationale, ANNECY (74)
NOSTALGIE
NICHOLAS ANGELICH : 27E CONCERTO DE MOZART
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Nicolas Chalvin, direction Gabriel Pidoux, hautbois
RIHM Ländler MOZART Concerto n°27 en si bémol majeur K 595 CHOSTAKOVITCH Symphonie de chambre opus 73a, version de Rudolph Barshaï
Avec le soutien de Musique Nouvelle en Liberté.
Samedi 28 avril, 17h Théâtre Charles Dullin, CHAMBÉRY (73)
Saison de l’Espace Malraux, scène nationale de Chambéry et de la Savoie
Jeudi 3 mai, 20h30 Auditorium, SEYNOD (74) + élèves au concert 14h30
PRÉLUDE À LA NUIT
CORDES POÉTIQUES ET BALADES ENCHANTERESSES SCHOECK Sommernacht, Intermezzo pastorales pour orchestre à cordes MOZART Petite musique de nuit K525 WIDMANN Ikarishe Klage für 10 Streicher SUK Sérénade opus 6
Christoph Poppen, direction Nicolas Chalvin confie la direction de l’Orchestre des Pays de Savoie à Christoph Poppen, éminent violoniste et chef, lors d’une soirée évocatrice du ciel nocturne… L’intermezzo pastoral d’Othmar Schoeck capture prodigieusement la poésie de Gottfried Keller : sa Sommernacht est toute bruissante de chants et de murmures, parfumée d’odeurs, constellée d’étoiles. Chef-d’œuvre d’élégance, Une Petite Musique de nuit de Mozart exerce un charme irrésistible qui en fait une des œuvres les plus populaires du répertoire. La seconde partie du programme permettra de découvrir une œuvre pour cordes de Jörg Widmann (compositeur, clarinettiste virtuose et chef d’orchestre), inspirée elle aussi d’un poème. Ikarische Klage (Les Plaintes d’un Icare de Charles Baudelaire), évoque l’espace et l’air immatériel, et utilise toutes les ressources des instruments, mimant des sons électroniques. La mélodieuse Sérénade de Joseph Suk, l’une de ses premières œuvres, conclura le concert. Avec le soutien de Musique Nouvelle en Liberté.
les 1er / 2 juin, 20h La Filature, MULHOUSE (68)
Nicolas Chalvin & Patrick Davin, direction Orchestre des Pays de Savoie & Orchestre Symphonique de Mulhouse
dimanche 3 juin, 17h Théâtre du Jorat, MÉZIÈRES (Suisse)
Le succès rencontré par la tournée de l’Orchestre des Pays de Savoie et de l’Orchestre Symphonique de Mulhouse ne pouvait rester sans suite ! Leur seconde tournée les réunira dans un programme 100% russe – alliant deux indiscutables génies et deux œuvres liées à une étape cruciale de leur existence. Chez Dimitri Chostakovitch, l’œuvre symphonique, plus officielle et extravertie semble s’opposer à l’art intériorisé du quatuor, reflets des affres de la guerre ou difficultés des proches qui l’entourent. A la fin de la guerre, en 1945, avec le 3e quatuor - dont l’orchestre joue la version de chambre (Symphonie opus 73a) dans le programme Nostalgie - et la 9e Symphonie, ce rapport semble s’inverser et Chostakovitch, dans la plus modeste de ses 15 symphonies s’ingénie à ne pas écrire la grande célébration attendue et réserve sa sève contrapuntique au quatuor Beethoven. Nulle surprise que les mânes classiques de Haydn et de Mozart accompagnent cette période charnière, soucieuse de de rendre hommage aux petites gens plus qu’aux héros de la victoire. Davantage dans la grande tradition romantique du thème du « destin », la 6e Symphonie de Piotr Ilitch Tchaïkovski, dite « Pathétique », allait se révéler véritablement testamentaire, puisque le compositeur mourut peu après en avoir dirigé la création. Enchâssé par deux Adagio, le discours dévoile l’âme terriblement tourmentée du compositeur, dans un langage absolument maîtrisé, au pouvoir hypnotique, développant un « charme » au sens magique du terme.
ÂMES RUSSES
GRAND FORMAT AVEC L’ORCHESTRE SYMPHONIQUE DE MULHOUSE CHOSTAKOVITCH Symphonie n°9 en mi b majeur opus 70 TCHAÏKOVSKI Symphonie n°6 en si mineur « Pathétique » opus 74
MUSIQUE DE CHAMBRE
Mercredi 21 mars, 12h Campus en musique, LAUSANNE (Suisse)
PRINTEMPS OLYMPIQUE ! SEXTUOR À CORDES L’Olimpiade : VIVALDI Olimpiade ouverture 1734 / MOZART Nocturne KV 549 sur un thème de l’Olimpiade de Metastasio Tour du monde : IM (Corée) Winter / MONTGOMERY Strum Montagne : BLOCH In the mountains / DELALE Hommage à Samaras - titre provisoire (création 2018) Les médaillés : WEINZWEIG Extraits du Quatuor n°2 / SUK Méditation sur le choral de Wenceslas opus 35a Le printemps : BRAHMS Extraits du Sextuor opus 18
Œuvres pour sextuor à cordes (2 violons, 2 altos, 2 violoncelles) par les solistes de l’Orchestre des Pays de Savoie Concert de musique de chambre sur le thème de la musique, de la montagne, de l’hiver et de l’olympisme à l’occasion de la XXIIIe olympiade d’hiver à Pyeong Chang en février 2018. Hormis la figure anecdotique du violoncelliste, alpiniste et skieur Maurice Baquet, amis de Doisneau, la musique classique est peu associée à l’Univers des Jeux Olympiques d’hiver. A travers ce programme de musique de chambre, les musiciens proposent une immersion dans le thème baroque de l’Olimpiade, travaillé par Metastasio et à ce titre traité par de nombreux compositeurs. Fidèle à l’esprit olympique, cosmopolite, le programme nous emmène jusqu’en Corée avec une mélodie qui s’inspire des lieux mêmes où se déroule la 23e olympiade 2018. Vient ensuite le thème de l’hiver avec une pièce d’Ernest Bloch composée en Savoie et une création d’Edouard Delale sur le thème des disciplines olympiques. La suite du concert présente des pièces classiques d’auteurs récompensés lors des premières olympiades et qui souhaitaient donner une place aux arts - le plus connu de ces lauréats étant Joseph Suk. Ce concert de printemps s’achève sur l’un des chefs-d’œuvre écrit pour cet effectif de musique de chambre : le premier sextuor de Johannes Brahms composé en 1860. Ce programme fait l’objet d’actions culturelles (collèges, université) notamment en Pays de Savoie au cours de la saison 2017/18.
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CALENDRIER DES CONCERTS
AVRIL 2018 SEPTEMBRE 2017
Samedi 30 sept. / 21H
Prieuré, CHIRENS (38)
La Rampe, ECHIROLLES (38)
Théâtre Charles Dullin, CHAMBÉRY (73)
Jeudi 3 mai / 20H30 + élèves au concert 14H30
Auditorium, SEYNOD (74)
FOLKLORE !
OCTOBRE 2017 Mardi 3 oct. / 20H
Samedi 28 avril / 17H
STABAT MATER
Ven. 6 oct./ hor.à conf. + élèves au concert 14H30
VILLE-LA-GRAND (74)
FOLKLORE !
Ven. 13 oct./ 14H30 séance scolaire uniquement
Salle Ninon Vallin, MONTALIEU-VERCIEU (38)
PRIMA LA MUSICA
Samedi 14 oct./ 20H
Grange au Lac, EVIAN (74)
PRIMA LA MUSICA
mardi 17 oct./ 19H
Église Sainte Bernadette, ANNECY (74)
FOLKLORE !
date à conf. / 12H
Campus en musique, LE-BOURGET-DU-LAC (74)
FOLKLORE !
MAI 2018
PRÉLUDE À LA NUIT
PRÉLUDE À LA NUIT
JUIN 2018 er
Vendredi 1 juin / 20H
La Filature, MULHOUSE (68)
ÂMES RUSSES
Samedi 2 juin / 20H
La Filature, MULHOUSE (68)
ÂMES RUSSES
Dimanche 3 juin / 17H
Théâtre du Jorat, MÉZIÈRES (Suisse)
ÂMES RUSSES
Dimanche 10 juin / 16H
Auditorium, LYON (69)
SONGES
NOVEMBRE 2017 Vendredi 24 nov. / 20H30
Centre des Congrès, AIX-LES-BAINS (73)
BEETHOVEN, SCHUMANN
Samedi 25 nov. / 20H30
Bonlieu Scène nationale, ANNECY (74)
BEETHOVEN, SCHUMANN
DÉCEMBRE2017 Lundi 18 dec. / 20H + élèves au concert 14H30
Espace culturel la Traverse, LE BOURGET-DU-LAC (73)
AIR DE FÊTES
Jeudi 21 dec. / 12H (à conf.)
Campus en musique, ANNECY (74)
AIR DE FÊTES
Jeudi 21 dec. / 19H (à conf.)
église, BONNEVILLE (74)
AIR DE FÊTES
JANVIER 2018 jeudi 11 janv. / 19H30
MC2, Grenoble (38)
SONGES
Samedi 13 janv. / 17H & 21H
Théâtre Charles Dullin, CHAMBÉRY (73)
RÉCITAL & SONGES
Mardi 30 janv. / 19H + élèves au concert 14H30
Église Sainte Bernadette, ANNECY (74)
À LA FRANÇAISE
FEVRIER 2018 dimanche 4 fev. / 15H
Auditorium, LYON (69)
STABAT MATER
date à confirmer
ALBY SUR CHÉRAN (74)
À LA FRANÇAISE
Vendredi 9 fev. / 20H + élèves au concert 14H30
Le Majestic, CHAMONIX (74)
À LA FRANÇAISE
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• Violons 1 : Nathalie Geoffray-Canavesio (solo), Marie-Noëlle Aninat, Nathalie Retsin, Claire-Hélène Schirrer-Gary, Johan Veron, Frédéric Piat • Violons 2 : Madoka Sakitsu (solo), Marie-Edith Renaud, Anne Bertrand • Altos : Marco Nirta (solo), François Jeandet, Vanessa Borghi, Jean-Philippe Morel • Violoncelles : Noé NATORP (solo), Nicolas Fritot • Contrebasses : Philippe Guingouain (solo) • Hautbois : NN (solo), Hugues Lachaize • Cors : NN (solo), Richard Oyarzun
PARTENAIRES MARS 2018
Mardi 20 mars / 20H
LES MUSICIENS DE L’ORCHESTRE
Grand Angle, VOIRON (38)
NOSTALGIE
Mercredi 21 mars /12H
École polytechnique, LAUSSANNE (SUISSE)
PRINTEMPS OLYMPIQUE
Jeudi 22 mars /20H30
Scène nationale d’Albi, ALBI (81)
NOSTALGIE
Samedi 24 mars / 20H
Grange au Lac, ÉVIAN (74)
NOSTALGIE
Mardi 27 mars / 20H30
Bonlieu Scène nationale, ANNECY (74)
NOSTALGIE
Vendredi 30 mars / (à conf.) + élèves au concert 14H30
CLUSES (74)
CONCERT DÉCOUVERTE
L’Orchestre des Pays de Savoie est soutenu par le Conseil Savoie Mont Blanc, le Ministère de la Culture et de la Communication (DRAC Auvergne-Rhône-Alpes), la Région Auvergne-Rhône-Alpes, le Département de l’Isère et par son club d’entreprises mécènes Amadeus.
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