Le Nil passe au milieu des sables en demeurant le même. Les hommes qui l’entourent disparaissent en confiant leur éternité aux monuments. Faut-il consacrer sa vie à préparer sa mort ? D’une escale à l’autre, parmi les parfums, les voix fragiles et les lumières tremblantes, initiation à l’impermanence du monde.
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