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Formation continue en radiooncologie: mai, le mois du renouveau

Formation continue en radiooncologie: mai, le mois du renouveau … Fortbildung Radioonkologie: Alles neu macht der Mai … Katja Scherz

Nous n’étions pas au mois de mars!? Des nouveaux locaux à l’Hôpital Universitaire de Zurich, plus de sponsors et un nombre record de participants … pour nous, responsables de la commission de radiooncologie, ce 9 mars ressemblait plutôt à une journée de mai! Le thème de la formation: les tumeurs ORL. Aber wir hatten doch erst März!? Neue Räumlichkeiten im Universitätsspital Zürich, mehr Sponsoren und ein Teilnehmerrekord … für uns von der Fachstelle Radioonkologie war am 9. März etwas Mai! Das Thema der Fortbildung: Um Kopf und Kragen.

En premier lieu j’aimerais remercier toutes celles et ceux qui se sont rendus ce samedilà aux HUZ pour la formation continue en radiooncologie. Grâce à vous c’est un plaisir d’organiser une telle manifestation! Cette année, la formation continue était centrée sur l’oto-rhino-laryngologie (ORL). Une fois tout le monde arrivé et inscrit, chacun ayant bu son premier café, thé ou jus de fruit, éventuellement déjà échangé quelques mots avec des collègues puis ayant pris place dans la salle, c’est le PD Dr. med. Oliver Riesterer, médecin-chef de la division de radiooncologie de l’Hôpital d’Aarau qui a présenté le premier exposé, il traitait du thème du schéma thérapeutique/fractionnement dans le traitement des tumeurs ORL. Il y a tellement de possibilités: avec ou sans chimiothérapie concomitante, traitement une fois par jour ou bifractionné que les combinaisons semblent presque sans limites. Chaque institut a sa propre philosophie. Le concept thérapeutique dépend aussi énormément de la collaboration et du bon vouloir du patient. Dans ce domaine il y a d’énormes différences et c’est la raison pour laquelle il est bon de pouvoir personnaliser le traitement et de l’adapter à chaque patient.

1570 diagnostics neurologiques par année Ensuite les deux premiers groupes ont passé aux travaux pratiques. Un atelier en deux étapes a en effet été proposé par l’entreprise Raditec. Les participants ont été séparés en quatre groupes afi n que chacune et chacun ait la possibilité et assez de temps pour se faire tranquillement une idée sur la nouvelle génération de masques de contention et les prendre en mains. J’ai été très surprise par la technique utilisée, habituellement le masque est trempé dans l’eau mais ici on nous présente un four qui ressemble à un tiroir. Il est très peu encombrant et Als allererstes möchte ich allen Merci sagen, die an diesem Samstag den Weg ins USZ zur Radioonkologie-Fortbildung gefunden haben. Dank euch macht es Spass, sowas auf die Beine zu stellen! Bei der diesjährigen Fortbildung drehte sich alles um das Thema Oto-Rhino-Laryngologie (ORL). Nachdem alle da und registriert waren, sich den ersten Kaffee, Saft oder Tee geholt haben, vielleicht schon mit Kolleginnen oder Kollegen ein paar Worte gewechselt und danach im Saal einen Platz gefunden hatten, starteten wir mit dem Vortrag von

PD Dr. med. Oliver Riesterer,

leitender Arzt Radio-Onkolo

gie am Kantonsspital Aarau, zum Thema Schema/Fraktionierung bei ORL-Tumoren. Da gibt es ja Möglichkeiten; mit oder ohne, oder gleichzeitige Chemotherapie, bifraktionieren, oder doch nur einmal täglich. Den Kombinationsmöglichkeiten scheinen fast keine Grenzen gesetzt zu sein. Da hat jedes Institut seine eigene Philosophie. Das Therapiekonzept ist auch sehr abhängig von der Mitarbeit und Mithilfe der Patienten. Und da gibt es bekanntlich riesige Unterschiede, deshalb ist es gut, die Behandlung individuell zuschneiden zu können.

peut facilement être déplacé dans n’importe quel endroit de la division si nécessaire. Les deux autres groupes ont pu profi ter de l’atelier après la pause de midi. Le KD Dr. med. Hans Rudolf Briner, médecin spécialisé en chirurgie cervico-faciale nous donne un aperçu succinct mais impressionnant des possibilités actuelles de la chirurgie tumorale dans le domaine ORL. A plusieurs reprises, des murmures ont parcouru la salle! Grâce à de nombreuses images et séquences vidéo nous avons (trop bien) pu nous imaginer à quoi ressemblaient de telles interventions. Par exemple l’intervention sur un angiome situé au centre du crâne. Deux ouvertures sont pratiquées (l’une à travers le nez et l’autre par l’oreille; cela fait indéniablement penser à un fi lm d’horreur) le point de rencontre se situe ainsi au milieu du crâne, là où se trouve la tumeur! Les images de l’état du patient avant et après l’intervention étaient fascinantes. Ce que je trouve personnellement très «beau» dans cette méthode est qu’après l’intervention le patient n’a presque pas de cicatrices visibles au niveau du visage ou du cou, ce qui dans le cas contraire aurait été un facteur de charge supplémentaire pour le patient déjà malade. Le thème de la collaboration interdisciplinaire a été clairement évoqué lors de cet exposé avant tout lorsque l’on sait que 4 % des carcinomes se situent dans la région cervico-faciale. Si l’on exprime cela en chiffres il s’agit de 1570 diagnostics neurologiques par an, dont 270 décès. L’exposé suivant était nettement moins sanglant! La Dresse phil. Regina Spiess du service zurichois d’alcoologie nous a parlé des problèmes de dépendances. Ce thème a suscité de vives discussions dans la salle: quelle consommation se situe encore dans la norme, quelles sont les boissons standard et à quelle fréquence des journées sans alcool devraient être introduites pour pouvoir prouver qu’il ne s’agit pas encore d’une dépendance? Quoi qu’il en soit, il y a environ 250 000 alcooliques en Suisse. D’ailleurs les enfants d’alcooliques présentent un risque six fois plus élevé d’être dépendants de l’alcool une fois adultes que le reste de la population – effrayant, non? Ce comportement de dépendance est aussi fortement lié à la religion. Par exemple il est interdit aux musulmans de boire de l’alcool. Nous avons également été rendus attentifs à l’impact de l’exemple dans les fi lms. Si l’on regarde un classique comme «Casablanca» on est surpris de voir que les comédiens fument et boivent de l’alcool alors que c’est beaucoup moins ou pas du tout le cas dans les fi lms plus ré1570 Neudiagnosen pro Jahr Danach waren die ersten zwei Gruppen praktisch gefordert. Die Firma Raditec hat einen Workshop mit zwei Stationen aufgebaut. Die Teilnehmenden wurden in vier Gruppen aufgeteilt, damit auch alle genug Zeit und Gelegenheit bekamen, sich in Ruhe die neuste Maskengeneration anzuschauen und mal in die Finger zu nehmen. Ich war sehr erstaunt über das Wasserbad ohne Wasser, dafür sieht der Ofen aus wie eine Schublade. Sehr platzsparend und auch gut durch die Abteilung zu fahren, falls nötig. Die anderen beiden Gruppen besuchten den Workshop in der Mittagspause. KD Dr. med. Hans Rudolf Briner, Facharzt für Hals- und Gesichtschirurgie ORL Klinik Hirslanden Zürich, gewährte uns einen kleinen, aber extrem eindrücklichen Einblick in die heutigen Möglichkeiten der Tuan wie in einem Horrorfi lm), man trifft sich in der Mitte, um zum Tumorgeschehen zu gelangen! Die Bilder vor und nach der Behandlung im Vergleich zu sehen, war faszinierend. Persönlich fi nde ich bei diesen Methoden sehr «schön», dass der Patient nachher fast keine sichtbaren Narben im Gesicht oder Halsbereich hat, die möglicherweise noch zusätzlich zur Krankheit zur Belastung werden könnten. In diesem Vortrag kam die interdisziplinäre Zusammenarbeit sehr deutlich zur Sprache, vor allem wenn man bedenkt, dass 4 % der Karzinome im HeadNeck Bereich sind. Das bedeutet in Zahlen: 1570 Neudiagnosen pro Jahr, davon 270 Todesfälle. Danach wurde es deutlich weniger blutig! Dr. phil. Regina Spiess von der Zürcher Fachstelle für Alkoholprobleme sprach über das Thema Sucht. Bei ihr wurde im Saal rege dis

Carcinome Karzinome Neuroblastome du nerf olfactif

Olfaktoriusneuroblastome Mélanome malin Maligne Melanome Lymphome Lymphome Autre Andere Radiothérapie

Radiotherapie ++ ++ ++ ++ ? Chimiothérapie – Immunothérapie Chemotherapie –Immunotherapie ++ (+) ++ ? Chirurgie Chirurgie ++ ++ ++ ? Possibilités actuelles en chirurgie tumorale de la sphère ORL Principes de base Aktuelle Möglichkeiten der Tumorchirurgie im ORL-Bereich Grundlagen

cents depuis la forte hausse des taxes sur le tabac adoptée durant la législation Clinton. C’est une bonne chose! Progrès dans la planifi cation des traitements Pause de midi! Alors, où doisje aller? L’un des groupes se rend à l’atelier de masques alors que les autres particimorchirurgie im ORL-Bereich. Da ging das eine oder andere Mal ein Raunen durch die Bänke! Dank vielen Bildern und auch Videos konnten wir uns das auch gut (zu gut) vorstellen. Zum Beispiel die Operation eines zentral gelegenen Angioms. Da werden zwei Eingänge eröffnet (einer transnasal, der andere durch das Ohr; hört sich kutiert, was noch im normalen Bereich ist, was Stand ardgetränke sind und wie oft wöchentlich man alkoholfreie Tage einlegen sollte, damit es noch nicht als Sucht gilt. Jedenfalls gibt es in der Schweiz rund 250 000 Alkoholabhängige. Kinder von Alkoholkranken haben übrigens ein sechsmal höheres Risiko, auch

pants se voient divisés en trois autres sous-groupes qui, chacun leur tour et accompagnés par une technicienne en radiologie, bénéfi cient d’une visite guidée de la division de radiothérapie des HUZ y compris le Linac guidé par IRM. Les autres peuvent aller se restaurer au cocktail dinatoire et discuter des tout ce qu’ils ont entendu durant la matinée. Une rotation est ensuite effectuée jusqu’à ce que tout le monde ait tout vu. Peu avant treize heures trente, chacun avait retrouvé sa place dans l’auditorium pour écouter les exposés de l’après-midi. Alessandro Taccogna, technicien en radiologie ES à l’Hôpital des Grisons nous montre de quelle manière les patients ORL sont installés chez eux, comment ils les immobilisent ou du moins limitent leurs mouvements au maximum. Lorsque le cale-tête standard ne convient pas, il existe des coussins individuels qui permettent de bien soutenir la région entre la tête et les épaules. Il est également possible de fabriquer un bloc à mordre individuel. Il est réalisé comme chez le dentiste sur la base d’une empreinte dentaire. Il est fi xé à la table toujours au même endroit, verticalement par rapport au patient qui prend le bloc dans la bouche ce qui défi nit la position de la tête. Cela fonctionne évidemment mieux pour les personnes qui ont encore leurs propres dents car les prothèses dentaires doivent impérativement être enlevées lors du traitement. Le défi , c’est lorsque le patient n’a «pas de cou» et plus de dents … mais nous, techniciens en radiologie aimons bien quand tout ne se déroule pas comme prévu! Voilà, maintenant que le patient est installé, la prochaine étape est la planifi cation du traitement. Oliver Weinhold et Christian Dott, tous deux techniciens en radiologie ES à l’Hôpital Universitaire de Bâle, nous montrent les différences entre la planifi cation d’hier et d’aujourd’hui et les progrès réalisés. Autrefois, tous les champs étaient défi - nis en procédant à une simulation sous radioscopie, dessinés sur le masque et la répartition de dose était mesurée grâce à un fantôme solide en matériau équivalent à l’eau (c’est là que j’ai réalisé depuis combien de temps je travaille dans ce domaine, je n’en n’ai pas seulement entendu parler, je l’ai vécu). C’est impressionnant de voir l’exactitude avec laquelle la dose peut aujourd’hui être placée là, où elle est la plus effi cace. Outre le scanner de planifi cation qui est effectué aujourd’hui pour chaque patient, l’imagerie diagnostique (IRM et PET-scan) réalisée avant le traitement joue également un rôle important. C’est aussi grâce à elle qu’il est possible de préserver des structures délicates comme la moelle épinière, les glandes parotides, les nerfs optiques etc., afi n de minimiser les possibles effets secondaires chez les pa

an dieser Sucht zu erkranken – erschreckend, oder?! Auch ist das ganze Suchtverhalten sehr religionsabhängig. So ist es Muslimen verboten, Alkohol zu trinken. Der Vorbildeffekt in Filmen wurde uns wieder bewusst gemacht. Was in den Klassikern wie z.B. «Casablanca» getrunken und geraucht wurde – sowas kommt in den neuen Filmen viel weniger oder gar nicht mehr vor, da die Tabakindustrie seit der Amtszeit von Bill Clinton stark zur Kasse gebeten wird. Richtig so!

Fortschritte der Therapieplanung Mittagspause! So, wo muss ich hin? Eine Gruppe beginnt mit dem Maskenworkshop, die andere wird nochmals in drei Untergruppen geteilt und durfte mit je einer Radiologiefachfrau des USZ eine Führung durch ihre Klinik inkl. Besichtigung des MR-Linac machen. Und die Restlichen durften sich dem knurrenden Magen widmen und schon mal beim Stehlunch das Gehörte diskutieren. Danach wurde rotiert, bis alle Alles gesehen hatten. Kurz vor halb zwei Uhr galt es wieder auf den Plätzen zu sein, um die Nachmittagsvorträge zu hören. Alessandro Taccogna, dipl. Radiologiefachmann HF im Kantonsspital Graubünden, zeigte uns, wie die ORL-Patienten bei ihnen gelagert werden, um die Bewegungsmöglichkeiten unter der Therapie zu verun möglichen resp. so klein wie möglich zu halten. Wenn die Standardkopfschalen nicht passen, gibt es ein individuelles Kissen, um den Übergang von Kopf-HalsSchultern gut zu stützen. Genauso besteht die Möglichkeit, einen individuellen Beissblock zu machen. Da wird, wie beim Zahnarzt, ein Gebissabdruck erstellt, der senkrecht über dem Patienten immer an der gleichen Stelle am Tisch fi xiert wird, er nimmt ihn in den Mund und somit ist die Kopfhaltung fi x defi niert. Funktioniert natürlich besser bei Leuten, die noch eigene Zähne haben, da Zahnprothesen für die Bestrahlung grundsätzlich entfernt werden. Zur Herausforderung wird es, wenn der Patient «keinen» Hals und auch keine Zähne hat … aber wir Radiologiefachpersonen lieben es ja, wenn nicht alles nach Standard läuft! So, die Lagerung ist defi niert, der nächste Schritt ist nun die Therapieplanung. Oliver Weinhold und Christian Dott, beide dipl. Radiologiefachmänner HF am Universitätsspital Basel, zeigten uns die Fortschritte der Therapieplanung von gestern zu heute. Früher wurden noch alle Bestrahlungsfelder an einem Simulator durchleuchtet und auf die Maske aufgezeichnet und mittels eines Wasserphantoms die Dosisverteilung berechnet (tja, da wurde mir wieder bewusst, wie lange ich schon in diesem Bereich arbeite; ich kenne das nicht nur aus Erzählungen). Es ist schon sehr eindrücklich, wie die Dosis heute genau dort platziert werden kann, wo sie hin muss. Neben dem Planungs-CT, welches heute bei jedem Patienten durchgeführt wird, spielt sicher auch die diagnostische Bildgebung vor der Therapieplanung eine wichtige Rolle (MRI und PET-CT). Auch dank ihnen können heikle Strukturen wie z.B. Rückenmark, Parotis, Sehnerv etc. exakt ausgespart werden, und so mögliche Nebenwirkungen für den Patienten zu minimieren. Zum Glück fi ndet auch auf diesem Gebiet eine stetige Weiterentwicklung statt; es bleibt somit ein spannendes Thema, das noch lange nicht abgeschlossen ist. Eines der neueren Beispiele durften wir ja über Mittag besichtigen: den MR-Linac im Universitätsspital Zürich!

Wechselwirkungen der Bestrahlung Leider machen die Bestrahlungen nicht nur im Tumor

tients. Dans ce domaine aussi on observe un développement constant; de ce fait, cela reste un thème captivant qui n’a pas fi ni de nous étonner. L’un des exemples les plus récents est d’ailleurs le Linac guidé par IRM de l’Hôpital Universitaire de Zurich que nous avons eu la chance de voir durant la pause de midi!

Réactions dues au traitement de radiothérapie Malheureusement, le traitement de radiothérapie n’engendre pas seulement des dommages au niveau de la tumeur mais également dans les tissus sains avoisinants. Susanne Sester infi rmière et experte en soins en radiooncologie à l’Hôpital de l’Ile à Berne, nous explique la complexité du traitement de la peau et des muqueuses chez les patientes / patients ORL. Chaque institut a ses propres normes de soins et utilise différents produits pour les bains de bouche, les soins de la peau etc. Néanmoins certaines procédures sont certainement valables pour toutes les personnes concernées. Il est ainsi recommandé de n’utiliser aucun maquillage, parfum ou aftershave sur les zones irradiées, il est par contre permis de se doucher ou de se laver avec un savon non parfumé au pH neutre. Il est également recommandé de porter des vêtements en tissu doux (comme la soie) et d’éviter les cols trop étroits. Selon l’état de la peau, on peut utiliser des crèmes avec des effets différents, également sous forme compresses. Une bonne hygiène bucco-dentaire contribue à une meilleure tolérance du traitement de radiothérapie. Nous recommandons un dentifrice au fl uor, une brosse à dents souple et l’utilisation d’une gouttière pour une fl uoration effi cace des dents ainsi que plusieurs bains de bouche quotidiens avec de l’eau froide ou du thé froid non sucré. Malheureusement les réactions comme le manque d’appétit, la fatigue, la candidose, la mucite buccale, la rhinite et la diminution de la fonction des glandes salivaires qui entraîne une sécheresse de la bouche ne peuvent être évitées. Le sens du goût peut également diminuer (revient 2-3 mois après la fi n du traitement), ce qui n’aide naturellement pas vraiment nos patients à garder leur poids. De plus il leur est conseillé de ne pas trop saler ou épicer leurs repas. En général ils devraient manger des repas plutôt trop tendres avec beaucoup de sauce mais pas trop chauds. Les patients reçoivent des conseils en nutrition durant toute la période de leur traitement ce qui n’est pas toujours apprécié par toutes les personnes concernées mais qui est justement très important. L’objectif est très clair: maintenir ou rétablir le bien-être du patient tout en atténuant les symptômes car un arrêt ou une interruption du traitement réduit considérablement les chances de guérison! Il est presque 15 heures. L’auditorium est vide et rangé, la lumière et les ordinateurs éteints et la clé de la salle remise au responsable. Nous estimons que tout s’est bien déroulé et nous réjouissons déjà pour l’année prochaine: le samedi 21 mars 2020, avec un nouveau thème «Puzzle»! N’oubliez pas d’inscrire la date dans votre agenda! Fabienne Zurkirchen, Monika Varain-Nesseler,, Oliver Weinhold, Janine Gurtner et moimême aurions besoin de votre soutien. Pour pouvoir vous informer sans engagement des activités de la commission de radiooncologie prenez contact avec Fabienne Zurkirchen (fabienne.zurkirchen@ksw.ch).

Contact: Katja Scherz Technicienne en radiologie ES Hôpital de l’Ile, Berne, Clinique de radiooncologie katja.scherz@bluewin.ch Wechselwirkungen, sondern auch im gesunden umliegenden Gewebe. Wie komplex die Haut- und Schleimhautpfl ege bei ORL-Patienten/ -Patientinnen ist, sagte uns Susanne Sester, Pfl egefachfrau und Pfl egeexpertin Fachbereich Radio-Onkologie am Inselspital Bern. Die Pfl egestandards sind von Institut zu Institut verschieden, wie auch die verwendeten Produkte zur Mundspülung, Hautpfl ege usw. Doch gewisse Richtlinien gelten sicherlich für alle Betroffenen. So wird empfohlen, im Strahlenfeld kein Makeup, Parfüm oder Aftershave zu verwenden, jedoch ist das Duschen und Waschen mit einer pH-neutralen, unparfümierten und milden Seife erlaubt. Empfohlen wird das Tragen von weichen Materialien (wie Seide) und keine zu engen Hemdkragen. Je nach Zustand der Haut werden dann verschieden wirkende Salben auch in Form von Umschlägen verwendet. Eine gute Mundhygiene trägt zu einer besser verträglichen Radiotherapie bei. Hierbei wir eine fl uoridhaltige Zahnpasta, eine weiche Zahnbürste und das Tragen der Zahnschiene mit Fluor und das mehrmals tägliche Spülen der Mundhöhle mit kaltem Wasser oder kaltem ungesüssten Tee empfohlen. Leider lassen sich Reaktionen wie Appetitlosigkeit, Müdigkeit, Soorbefall, Mukositis, Rhinitis, Abnahme der Speicheldrüsenfunktion, was eine Mundtrockenheit zur Folge hat, nicht vermeiden. Auch der Geschmacksinn wird vermindert (kommt nach 2-3 Monaten nach Bestrahlungsende wieder), was natürlich unseren Patienten nicht wirklich hilft, ihr Gewicht zu behalten. Beim Essen wird ihnen geraten, die Speisen nicht zu stark zu würzen oder zu salzen. Generell wird eher zu weicher Kost mit viel Sauce und nicht zu heissem Essen geraten. Die Ernährungsberatung ist die ständige Begleitung während der Strahlentherapie, was nicht von allen Betroffenen immer gleich geschätzt wird, aber eben sehr wichtig ist. Ziel ist ganz klar, das Wohlbefi nden des Patienten durch die Linderung der Symptome zu erhalten oder wiederherzustellen, denn ein Therapieaboder -unterbruch vermindert doch die Heilungschancen erheblich!

Kurz nach 15 Uhr. Der Hörsaal war leer und aufgeräumt, die Computer waren runtergefahren, das Licht war gelöscht und der Schlüssel ist abgegeben. Aus unserer Sicht hat alles geklappt und wir freuen uns schon auf euch im nächsten Jahr: Samstag, 21. März 2020 zum Thema «Puzzle»! Unbedingt in der Agenda notieren! Fabienne Zurkirchen, Monika Varain-Nesseler, Oliver Weinhold, Janine Gurtner und ich würden uns über Unterstützung freuen. Für einen unverbindlichen Einblick in die Fach stelle Radio-Onkologie meldet euch bitte bei Fabienne Zurkirchen (fabienne.zurkirchen@ksw.ch).

Kontakt: Katja Scherz Dipl. Radiologiefachfrau HF Inselspital Bern, Klinik für Radio-Onkologie katja.scherz@insel.ch

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