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Nelly Osten

C’EST SUR LE CHEMIN TRÈS PERSONNEL DU RETOUR À SOI ET L’IMPORTANCE DE DÉPASSER LES BLESSURES DU PASSÉ, QUE NELLY OSTEN DÉCOUVRE LA PUISSANCE LIBÉRATRICE DE L’HYPNOSE. CONVAINCUE PAR LA PERTINENCE DE L’OUTIL QUI EST UNE RESSOURCE NATURELLE QUI EXISTE EN NOUS, ELLE DÉCIDE QU’IL DEVIENDRA SA PORTE D’ENTRÉE POUR

ACCOMPAGNER LES AUTRES SUR LA VOIE DE LA LIBÉRATION ET DU MIEUX-ÊTRE.

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Lorsque Nelly décide de se libérer du poids de ses blessures intérieures , elle se tourne vers une Hypnothérapeute, Elisabeth Robert, aujourd’hui disparue, elle sera sa thérapeute et son premier mentor dans la découverte de cette nouvelle pratique.

« Lorsqu’Elisabeth est tombée malade, je me suis demandé comment j’allais faire sans elle, elle m’avait tant apporté et fait prendre conscience, de ce merveilleux outils qu’est l’Inconscient et qu’il fallait des Elisabeth, afin que les gens sachent à quel point ils sont beaucoup plus grands et forts qu’ils ne croient, ignorant les immenses possibilités d’auto-guérisons et de renouvellement qu’ils ont à l’intérieur d’eux, pour se libérer de choses passées inutiles, et pour de nouveau apprécier la vie et ceux qui les entourent ! »

Elle explique en effet que nous utilisons environ 5% des capacités de notre cerveau car nous n’avons besoin que de cela pour gérer notre quotidien. Cependant, quand arrivent des événements difficiles à surmonter, il n’y a plus assez de ressources dans notre conscient qui à ses limites et il est alors essentiel de savoir que 95% de nos capacités sont disponibles dans notre inconscient particulièrement puissant (...il gère entre autres, les fonctions de l’organisme comme la respiration, le système digestif et cardiaque, l’équilibre lors de la marche...) et il coordonne surtout les apprentissages et les émotions sans même y penser. L’hypnose a cela d’extraordinaire qu’elle peut nous emmener dans une sorte de bibliothèque intérieure où l’on a accès à de nouveaux outils pour évoluer et trouver de nouvelles façons de fonctionner plus écologiques pour nous dans notre vie.

Fascinée par les transformations positives qu’elle accueille dans sa propre vie, Nelly décide de se former et de faire de l’hypnose thérapeutique son outil d’accompagnement aux autres. Elle cherche la méthode la plus efficace possible et conseillée par Elisabeth, Nelly fait le choix de suivre l’enseignement de Josick, à Paris décrit dans le journal Le Point comme étant le “Maestro” de l’hypnose. Ce professeur très exigeant a la particularité d’avoir travaillé directement avec Betty Alice Erickson, la fille de Milton Erickson, père de l’hypnose Ericksonienne. On ne peut être au plus près de la source. Suite à cette formation de six mois et diplôme en poche, Nelly poursuit ses investigations et découvre, à travers un ouvrage, tous les possibilités de libération de l’hypnose régressive. Cette fois-ci encore, elle décide d’étudier auprès des plus chevronnés à l’école canadienne IIHS aux côtés de Jean Charles Chabot, qui lui même a étudié avec Dolorès Canon et le Dr Weiss Brian. Lumière est faite sur une méthode qui permet de couper les liens avec ses vies passées et dénouer certains blocages résistants. « J’ai vécu et constaté chez les personnes que j’accompagne des changements incroyables, l’hypnose spirituelle transforme la vie des gens » déclare Nelly.

L’hypnothérapie aide à surmonter angoisses, peurs, phobies, à se libérer de certaines addictions, apaiser des conflits intérieurs, harmoniser les relations affectives, aide à cesser certains comportements en sortant de schémas répétitifs, en dépassant des blocages inconscients, à diminuer des douleurs physiques… Le champ d’action de cette discipline est presque infini. Hypnothérapeute depuis cinq ans, cette amoureuse du genre humain se définit seulement comme un chef d’orchestre qui nous aide à retrouver nos partitions égarées, à remettre les notes à la bonne place afin que nous puissions rejouer notre propre mélodie oubliée pour que la vie sonne enfin juste.

Nelly Osten - Hypnose Ericksonienne et Hypnose spirituelle

2, Impasse des Noyers - Hameau de Travoisy 21200 Ruffey-lès-Beaune

Tel. 07 58 40 80 60

Mail : nelly@hypnovies.com www.hypnovies.com

RDV sur https://rdv.terapiz.com/ hypnotherapeute/ruffey-les-beaune/nelly-osten

L’art de vivre à la dijonnaise vient d’être mis en lumière par le célèbre magazine Times qui classe Dijon comme « le havre de vie des gourmets » parmi les 50 meilleurs endroits au monde en 2023. Saluant la culture gastronomique de la Cité des Ducs de Bourgogne, ce palmarès révèle sa qualité de vie et ses atouts commerciaux, que nous relate Nadjoua Belhadef, Adjointe au maire de Dijon en charge du commerce et de l'artisanat.

Que pensez-vous de ce beau coup de projecteur sur la ville de Dijon qualifiée comme le « havre des gourmets » ?

Je suis assez fière de ce classement qui est le résultat de la politique volontariste menée par François Rebsamen et qui a conduit à la transformation de la Ville de Dijon. En plus de cette mention dans le

Times, d’autres médias tels que CNN ont relaté le dynamisme de la Ville. Dans la même veine, le Guide Vert Michelin nous a octroyé une étoile verte récompensant les initiatives éco-responsables mises en place par un établissement, traduisant un engagement fort en faveur de la gastronomie durable. Nous sommes ravis pour la Ville mais également pour l’ensemble de nos partenaires économiques qui font la richesse de Dijon. Ces forces vives travaillent au quotidien à nos côtés pour accueillir les Dijonnais et les touristes en proposant une offre de qualité. La gastronomie est une réelle fierté d’autant plus que le « repas gastronomique des Français » a été classé comme patrimoine culturel immatériel de l'humanité par l'UNESCO. Cette pratique sociale salue notre façon de vivre épicurienne qui sied bien à Dijon. Nous avons la chance d’avoir une grande diversité d’établissements avec des offres de qualité allant de la brasserie au chefs étoilés en passant par les salons de thé, restaurants traditionnels. C’est assez gratifiant d’autant plus que nos chefs sont faiseurs à nos côtés en proposant des événements tels que des master classes pour faire découvrir notre gastronomie, les brunchs des Halles de juin à septembre. Cette identité gastronomique reconnue a permis un accroissement du nombre de touristes.

Est-ce que l’attractivité de la Ville se reflète également dans les autres secteurs commerçants et artisanaux ?

La ville de Dijon possède une très grande surface commerciale diverse et variée avec 3 000 commerces dont 1 500 en centreville, avec un taux de vacance très bas de 5 %, soit plus de deux fois moins que celui des autres villes de même taille (12 %). Parmi ces 3 000 commerces, 23,04 % concernent les métiers de l’hôtellerie et de la restauration, 25 % de services, 12,5 % de commerces alimentaires et 4 % équipements à la personne. Autant de chiffres qui reflètent parfaitement bien la richesse et le dynamisme de la ville. Certes, le commerce et l’artisanat ont une part non négligeable dans l’attractivité de la ville mais l’offre culturelle est importante également. Dijon est une ville de culture avec son Musée des Beaux-Arts rénové avec 180 000 visiteurs accueillis depuis janvier, l’Opéra et sa programmation riche et variée, la Cité Internationale de la gastronomie et du vin et 850 000 visiteurs en un an… Tout cet ensemble d’équipements font la renommée du territoire afin de prétendre que les touristes restent à Dijon avec des retombées économiques sur l’hôtellerie et la restauration.

Pour autant, nous ne méconnaissons pas les difficultés que rencontrent certains secteurs que ce soient dans la recherche de personnels ou encore le coût de l’énergie et des matières premières. Nous allons à leur rencontre et nous sommes à leurs côtés comme lors du Covid avec l’octroi d’une aide directe non remboursable de 2,5 millions d’euros ou plus récemment auprès de nos artisans boulangers grâce à une aide à la Jeune Chambre Economique pour l’accompagnement technique des dossiers.

Pouvez-vous nous relater le travail d’accompagnement de votre service et les aides apportées aux porteurs de projet  ?  Comment « vendez-vous » l’image de Dijon à l’extérieur ?

Le service Commerce et artisanat de la Ville de Dijon dont je remercie l’engagement des agents gère l’ensemble des demandes d’installation (enseigne, terrasse, licence, vente au déballage, marché ambulant, marché dont les Halles…).

Il octroie des subventions aux associations commerçantes pour financer leurs animations. Il développe des activités telles que Garçon la note qui plaît beaucoup (35 concerts), les Jeudis dijonnais un festival musical avec des concerts sur différentes places de la ville, Place en Musique le dimanche pour accompagner les commerces ouverts le dimanche…

Nous restons à l’écoute des porteurs de projet et leur prodiguons conseils et aides. Nous avons créé un guichet unique qui est un facilitateur de démarches avec une seule adresse, un seul numéro de téléphone, une même plate-forme pour des demandes d’autorisations de travaux, d’enseignes, de terrasses, de licences…

Nous vendons Dijon comme une ville agréable à vivre que ce soit pour attirer les marques ou des habitants et nous faisons en sorte qu’ils s’y épanouissent. Dijon est la seule ville du Grand Est à voir le nombre de ses habitants augmenter grâce à ses équipements et ses structures qui donnent envie de s’installer, aux activités que l’on peut pratiquer mais aussi dans l’offre de logements puisque la Ville a une politique active mais raisonnée de construction écologique, le tout pour une ville agréable, économique, écologique et sociale.

La Cité internationale de la gastronomie et des vins vient de souffler sa première bougie. Avez-vous de nouveaux projets qui vont poursuivre la transformation de Dijon ?

Dijon est une ville en ébullition constante depuis 2001. Elle accompagne la rénovation du centre Dauphine portée par un promoteur privé. Ce magnifique projet s’inscrit dans la politique d’attractivité commerciale et touristique de la ville et de valorisation patrimoniale du centre historique de Dijon, en lien avec le classement Unesco. Les surfaces commerciales représenteront près de 4 000 m2, et il y aura 5 500 m2 de bureaux multi-preneurs dont l’arrivée d’Urgo, groupe qui réaffirme son ancrage au cœur de Dijon. Il est prévu sur les toits un restaurant panoramique avec terrasse.

En lien avec la Chambre d’Agriculture, nous allons créer un label « Fait maison », véritable certification des établissements proposant du fait maison en circuit-court dans l’objectif de promouvoir la qualité de nos producteurs locaux que nous soutenons par ailleurs avec le marché des producteurs locaux en centre-ville et déployé dans les quartiers tels qu’à Montchapet. La ville porte également la réhabilitation complète de la base nautique, la rénovation du camping du Lac Kir qui sera requalifié en quatre étoiles avec la volonté de développer des logements atypiques. L'Organisation internationale de la vigne et du vin (OIV) a choisi Dijon pour accueillir son futur siège dans l’hôtel particulier Bouchu d'Esterno. En attendant la réalisation des travaux, l’OIV est présente à la Cité internationale de la gastronomie et du vin. Cette installation va impliquer des flux importants de personnels, touristes, congrétistes… autant de retombées pour le commerce dijonnais. Dijon a également été choisie pour accueillir une partie des collections du Muséum national d’Histoire naturelle, parmi 38 villes candidates. Autant de projets qui rendent les Dijonnais fiers de leur ville belle, propre, dynamique et écologique… À chaque fois que la Ville s’implique dans un projet, cela va dans le sens de l’intérêt des Dijonnais et de ses partenaires locaux.

Jeannette Monarchi

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