Les chemins du plâtre nous montrent où on est pour savoir où on va.

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Les visages en bois qu'on voyait, maintenant sont des chemins en plâtre. Des empreintes qui se craquellent en narrations, celles qui on vécut avant nous, les mémoires qu'on se fait chaque fois qu'on fait l'amour, ce sont des nouvelles routes pour arriver à nos coeurs et les nouvelles terminaisons de nos rhizomatiques touches. La fenêtre c'est notre allié et ton regard si nostalgique rend tout très dramatique. Les goutes glissent sur la vitre, la lumière des éclaires et de la Lune peignent ton visage inmaculer. Nous avons décidé de créer d'autres chemins ensemble maintenant que nos visages sont bien encrés dans nos yeux, l'histoire on la connait par coeur, elle ne cesse de se répéter pourtant, mais la nôtre ne connait pas de fin encore parce que on lui en as pas mis une. Elle se laisse faire comme les chemins anarchiques de l'eau qui se filtre sans dieu ni maître sous les fissures de ce mur qui nous protege de dehors. C'est encore entre nos mains toute cette matière qui composent les je t'aimes et toutes ces fuites de temps qui s'achevent dans nos bisous. Les cassures du plafond nous dévoilent un tas d'options qu'on ne connaissait pas avant. On peux voir la vérité de nos ciments, la vérité de que rien n'est perenne même pas se plafond, ni ses murs, ni ses portes, ni fênetres, ni se sol, tout cette architecture n'était certainement pas là et ne le serais plus demain. Nous non plus est cela en nous empeche pas de nous aimer et de nous laisser aller par le temps, les caresses, les tendresses et les milles possibilités que pourrait prendre cette histoire. Peut être que le plafond se fendras sur nous un soir ou peut être on le retrouveras à terre, d'où il en devait pas se quitter.


Tu es devenu très réaliste soudain en me disant que l'amour ce n'est pas pour toujours, comme si tu devais rendre plus tragique le moment avec cette pluie, la sueur et nos larmes. Comme si la chute était inevitable. Si on aurais garder le silence pour toujours mon amour, tu n'aurais jamais su pourquoi. L'eau mouille et moi je t'aime, mais on le sait déjà. Cependant tu es très présente dans cette idée là, de vouloir te rappeller que tout a une fin, alors c'est comme se rencontrer à nouveau, comme si tout les jours on devrait s'oublier et tout les jours on se retrouverais encore une fois. Une maison se construit et se defait, une maison est où le coeur se trouve et le mien se retrouve avec toi. On est deux corps qui sont nos maison sous une maison essayant de construire une autre, un foyer d'amour duquel faire germiner les plus belles lueurs pour en faire toute une vie. Hélas nos chemins indiquent d'autres buts, moins tragiques que la chair. Toute une vie, on se chercheras quelque part et l'amour ne seras plus pour toujours mais un retour, un constant retour à soi, à toi, à nous. On a décider d'enmeler nos destins et on est maitresses de notre propre fin, début et milieu. Soyons le milieu de nulle part, l'aboutissement d'une fin et le début d'une aventure. Maintenant qu'on se connait on ne se laisseras pas aller comme les fissures de ce plafond, tout les jours y en auras une nouvelle sans qu'on se rende compte, ce n'est pas la structure qui s'affaisse, ni la matière qui se fragilise mais le soleil et le ciel qui s'ouvrent chemin. On essayeras de se retrouver dans ses endroits dans lequel l'intimité avait un goût a fer et plutôt salé. Un gout a solidité, a construction, a architecture, a structure, a quelque chose de concret qui n'est pas celle de nos corps, ni de nos coeurs, mais de nos rêves, les promesses et les avenirs pour lesquels on s'apprête quand on se prends de la main.


On y réfléchit à concrétiser mais facilement tout s'éclate et mil morceaux deviennent difficiles mais amusant à récoler. Ce n'est pas grâve, n'est ce pas? Si on doit recommencer, personne nous as appris a aimer, c'est facile de se tromper et de ce pardonner. Apprendre c'est un processus, un travail pour ce connaitre soi avec les autres. Tenter les matières, formes, positions et façons de traiter l'espace qui nous enrobe. Nous sommes devenus des corps qui collisionnent, se détruisent et s'enveniment de l'affect que nous créons ensemble, nos mots sont les molecules qui adherent cette matière à sa rigidité qu'est devenu notre réalité, celle qu'on voit quand on se réveil ensemble le matin. Je garde le plafond avec mes yeux pour qu'il ne s'effondre pas sur nos Æspirations; crée par le doute de notre stoïcisme on ne sait pas quel chemin nous convient. On n'as jamais su par où mais on sait avec qui et pourquoi. Le but n'est pas d'aller mais dans faire le chemin, d'avancer, de crée une histoire. La nôtre elle a déjà des qui et des pourquoi, il faut qu'on construise le comment avec nos mains, le quand il est déjà maintenant, là. On réfléchit trop sur les devenirs de cette histoire, l'encre se sèche et la poussière retrouve ces endroits. J'aimerais retrouver le soleil sous tes rides de visage et le ciel dans les lignes qui s'écarlatent sur tes mains Tu sais, je ne fais pas confiance au concept de l'amour romanesque qui te séduit autant qu'il t'intoxique et pour lequel tu prends tous le temps du monde. Nous sommes juste deux femmes qui s'aiment avec des plafonds dans les yeux et pleins d'ambition sous les bras. On fait attention au plafond, qu'il ne s'effondre pas, oh mon dieu, te perdre aussi tôt, je ne pourrais pas. Je ne fais pas confiance aux choses que je n'ai pas vu de mes yeux et sentis de mon coeur avec mes mains.


Ce plafond semble nous proteger mais telle chimère, le bleu du ciel j'aimerais retrouver comme je retrouve le noir de tes yeux avant de tomber

dans

le

someil

profond.

La confiance c'est installé dans la façon dans laquelle on s'adresse l'amour, maintenant que tu sais que je t'aime, tout un temps s'étale devant nous. Pourquoi on ne s'aimerait pas autre part que sous ce plafond fendillé qui m'angoisse autant. Maintenant que je connais le visage avec lequel je voudrais vieillir je ne voudrais surtout pas te perdre de vue, surtout pas à cause de doutes et de peurs autres que celles auxquelles on n'as pas répondut. Le plafond répond pas à mes questions, mais quand je te regarde, je sais que je n'ai plus besoin de mots que tout est dit sous un ouvrir et fermer des yeux, dans le battement de mon coeur et dans la caresse qui comble sur ma peau. Ussont nous jusqu'a qu'il n'y rester plus de temps pour en revenir à la case de départ puisque on l'auras tout consommer ensemble. Prenont tous les chemins, voir où on arrive pour savoir où on en est, pour rencontrer des nouveaux pourquoi à ceux qui sont déjà là. _ll__ étaient déjà _ou_ là.


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