Reality as souche Accepter la réalité telle qu’elle est. Martyr of her own becomings. De ce qu ’elle fut, de ce qu ’elle est, de ce qu’elle seras. Et que va-t-elle fear ? Mais le tout, qui l’accueille épouvantable de son être dans la joie d ’une fortune veine. Elle se coupe de son passé car elle rêve de tant de demains. Elle est convalescente pour ce qui est de devenir car inconnu pour elle, elle est ce que d’elle deviendras. Viens sans juger, car de raisons sont faites telle tortures. Aux alentours, tout reste inavouable car on ne peut vivre dans telle gémir. Elle demeurant dans son mal-être, puisqu’elle n’ose habiter d’autres corps que celui qui la fait. Intense est la douleur de ces larmes qui ensemencent le sol d’un joyeux aveux. Elle larme tout ces perles qui ce glissent vers cette autre corps sur lequel elle gît et doucement s’évacue de l’étai qui tant d’ages l’as soutenue. Transiter en scissure aspirant à se trouver des nouvelles boutures desquelles sortir heureuse. Mais elle n’est que this reality as such. Cette réalité de souche qu’elle afflige de poids mentale l ’empêchant vers le ciel qui pourtant devrait la rendre légère. Mais de sa moelle, elle en peut s ’en quitter car c ’est avec celle-ci qu ’elle s’érige si noble tronc pour tenir ces aubiers. Creux de sa vie, elle est racine. Et elle ne se laisseras abattre par le vent, mais le poids de ses propres sentences qui l ’enfoncent bien au-delà de ce que l’œil peut voir. Dans un monde impénétrable et rêche, que l’enfer n’as connu le nom et du quel on ne peut échapper si de lumière elle est étranger. Angoisse, celle de ces feuilles qui personne est venu prendre en prière mais en collection. Et le ciel se geindre de son destin, puisqu’on ne trouva de foi, puisque nulle pouvait prévoir, qu’une entité de telle présence allait un jour s’abattre de soi. Se croire implacable pourtant on le voit d’ici perdu dans la sylve. Toute cette désolation pour se prouver de fermeté fière et capable d’advenir à l’importe quel adversité mais la sienne, qui aurait pu croire que de soi étaient fabriqué ces malheurs ? Suppure, so pure. La sève qui ne la lasse de son organisme et l ’égorge de sa liberté. Seule un feu la consommeras de son affliction avant de tomber sans que personne ne sache quel bruit lui aurais fallut à telle acre pour son mutisme. Je t’adresse des mots en silence pour que tu ne tombes du ciel pour que tu te relèves de la terre pour étai ce qui as entre toi et moi
Seule toi connaît la force qui te bats Seule moi je connais la douceur qui me vaincs