MENSUEL GRATUIT n° 176 DÉCEMBRE 2011 16e année
SPÉCIAL DANSE : THOMAS GUERRY - CAMILLE ROCAILLEUX - DOMINIQUE HERVIEU - YUVAL PICK MARYSE DELENTE - DENIS PLASSARD - THÔ ANOTHAÏ - CLARISSE VEAUX - JOSETTE BAÏZ... C u l t u re s u r b a i n e s e t d ’ a i l le u r s • G r a n d Ly o n , S a i n t - É t i e n n e , V i l le f r a n c h e / S a ô n e , R é g i o n …
l’invité du mois Mano à mano fantaisiste entre Thomas Guerry -danseur, chorégraphe et metteur en scène- et Camille Rocailleux -percussionniste, pianiste et compositeur. Depuis 10 ans, ce binôme frondeur expérimente autour du mouvement et de la danse, de la musique et du chant au sein de la compagnie Arcosm. Leur signature ? Des spectacles bouillonnants et décalés qui partent en tous sens, mélangent les genres, bouleversent les codes et obligent souvent au lâcher prise, l’un de leur credo.
Camille : Alors, Thomas, qui se lance en premier ? Thomas : Où ça ? C. : Là, dans ce nouveau défi de la carte blanche du …491 !… T. : On peut vraiment dire tout ce qu’on veut, t’es sûr ? C. : Je ne suis sûr de rien, mais c’est excitant, non ? Des espaces de liberté dans la presse, aujourd’hui, c’est plutôt rare. Il paraît qu’ils publient ce que l’on écrit sans rien censurer ! Alors commençons : pourquoi as-tu eu l’envie de travailler avec moi, il y a 10 ans, alors qu’on était encore jeunes et fringants sur les bancs du conservatoire ? T. : Parce que très vite, on a eu les mêmes envies, avec une manière bien à nous de vouloir les défendre, des goûts différents mais pas trop, tu osais dire des choses que je n’osais pas et inversement, cette curiosité et cette admiration que l’on avait l’un envers l’autre, l’un envers le domaine de l’autre… Et la manière que nous avions déjà de se mettre en marge dans ce conservatoire où il était, à l’époque, question de former des élites dans une seule discipline artistique ! Cela ne nous satisfaisait pas, nous avions envie de plus… Et toi ? C. : Moi je t’ai aimé dès le premier jour, j’ai senti cette force en toi, cette fougue. Tu étais un diamant brut. Tu as raison, toi le danseur et moi le musicien, ce n’était pas gagné d’avance. Je pense en effet qu’il y a eu une attirance immédiate et réciproque pour nos 2 langages respectifs, j’ai aimé la musicalité dans ta danse, tu as aimé ma musique et l’engagement du corps dans mon jeu d’instrumentiste, et voilà 10 ans que ça dure aujourd’hui, avec toujours cette même soif d’explorer ensemble des passerelles insolites entre différents modes d’expression. Dix ans, 4 pièces, et cela va continuer avec ce duo, charnel et explosif, que l’on prépare aujourd’hui… T. : En effet, ce duo nous est apparu à tous les deux comme une évidence. Cette future création sera une pièce charnière, dans laquelle nous avons envie de requestionner, bouleverser, approfondir notre langage, c’est une vraie nécessité de prendre ce temps-là, et nous seuls sommes les mieux placés pour l’entreprendre. Depuis la création de la compagnie, nous avons sans cesse peaufiné un vocabulaire singulier au travers de pièces toutes aussi différentes les unes des autres, avec cette griffe qui nous ressemble et ces prises de risque que nous aimons prendre dans le fond et dans la forme. Réunir des artistes interprètes talentueux d’univers différents (musiciens, danseurs, chanteurs, comédiens…) et chercher une cohabitation, un enchevêtrement possible au service d’une même pièce, d’un même propos… Ce qui me réjouit dans cette histoire, c’est que nous sommes en train de construire une vraie belle famille autour de nous, qui nous enrichit, de création en création… En effet, sur chaque projet, le choix des interprètes constitue le point de départ pour l’écriture de nos pièces, nous nous
THOMAS GUERRY & CAMILLE ROCAILLEUX inspirons de leurs fêlures, de leur sensibilité, de leur singularité, afin de construire et d’accéder à nos rêves, même les plus fous. Camille, qu’est-ce qui te fait vibrer dans ce métier ?… C. : Cette “vibration” dont tu parles, qui oscille entre léger frisson et tempête intérieure, qui me nourrit et me donne l’envie, la gourmandise de poursuivre toujours plus loin nos explorations, c’est l’ivresse que je ressens chaque fois avant la création d’un nouveau spectacle, une ivresse à la fois effrayante et tellement excitante. Au début, au stade de l’écriture, tout est possible, nos idées, nos imaginaires, nos fantasmes inavoués se croisent, dialoguent, rebondissent et parfois fusionnent pour donner doucement forme à un paysage que ni toi ni moi ne soupçonnions vraiment. C’est à chaque fois une aventure nouvelle, un voyage vertigineux dont nous avons choisi le point de départ mais qui finit toujours par nous dépasser, nous emmenant vers une destination inattendue, qui nous ressemble et nous échappe en même temps. C’est grisant ! Plus on avance, plus j’ai l’impression d’être un novice, toujours surpris par ce qu’il découvre : il n’y a pas de recettes, ce n’est jamais une science exacte et j’adore ça !… On nous demande souvent quel est le message que nous voulons faire passer dans nos spectacles. Qu’en penses-tu ? T. : Je ne sais pas si on peut parler de message, mais mon envie première est de véhiculer, faire éprouver, faire ressentir des émotions, et cela, à travers le corps et ses multiples facettes, sa théâtralité, sa musicalité… Nous pouvons partir, par exemple, de situations anodines vécues ou observées dans notre quotidien, dans lesquelles les gens peuvent se reconnaître. Ne garder que la matière musicale et gestuelle qui nous intéresse pour ensuite l’emmener aussi loin que l’on peut, dans un monde surréaliste, loufoque, parfois dérisoire et dramatique, où tous les codes, les barrières, les frontières qu’on ne cesse de s’infliger
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explosent pour nous permettre la reconnexion avec l’instinct, l’émotion, de devenir curieux à nouveau sans peur ni a priori… Ah… quel utopiste… Tous les mêmes, ces artistes !!… Mais je pense que c’est possible, le temps d’un spectacle. Je parle là du présent, de cet instant privilégié que nous partageons avec le spectateur, ce moment d’intimité. Le spectacle vivant, ici, se place comme un vrai vecteur de partage, d’échange, de questionnement qui laisse souvent des traces, des répercussions, par une image, un son, un état, une gestuelle. C’est pour cela que l’art et la culture occupent une place essentielle dans nos sociétés où nous avons moins le temps de ressentir, de prendre du recul. C. : Oui, tout est permis et nous voilà à nouveau emportés dans le tourbillon d’une nouvelle création. Un duo, écrit par et pour nous, théâtral, musical et dansé. Nous avions depuis longtemps cette envie de nous retrouver tous les deux sur scène, seuls, face à nous-mêmes. Nous voulons parler cette fois de la solitude, ou plutôt “des solitudes”, celles que l’on subit, celles que l’on choisit, celles qui nous écrasent, celles qui permettent de se reconnecter avec soi, et, pourquoi pas, avec l’autre. Cette pièce nous tient très à cœur, j’espère qu’elle sera un maillon important de la vie de la compagnie, la fin d’une décennie et l’ouverture d’une autre, l’occasion aussi pour nous de tenter de nouvelles choses, de s’aventurer plus loin encore sur les voies d’échanges que nous affectionnons tellement… Verdict : novembre 2012. Coups de cœur spectacle : Instants critiques de François Morel. Tout simplement parce que j’ai trouvé absolument géniale cette idée de mettre en scène la richesse de ces textes radiographiques, lyriques et passionnés : bravo, monsieur Morel ! Le Jardin – Le Salon – Le Sous-Sol, une trilogie de la
RÉDACTEUR EN CHEF BRUNO PIN MAQUETTE ET INFOGRAPHIE JEAN-MARC CLEYET-MARREL Tél : 04 78 39 89 27 e mail : jmcleyetmarrel@wanadoo.fr - Site : jmcleyetmarrel.free.fr SECRÉTAIRE DE RÉDACTION FRÉDÉRIQUE MATAGRIN RÉDACTION ANNE HUGUET - LAURENT ZINE - ÉTIENNE FAYE - CAROLINE FAESCH TRINA MOUNIER CORRECTION ÉLODIE CHANRION
compagnie bruxelloise Peeping Tom, qui, par son travail remarquable et sa manière exacerbée de traiter des rapports humains, du transgénérationnel, m’a fasciné. Coups de cœur cinéma : Drive de Nicolas Winding Refn. Je me suis laissé complètement embarquer par l’univers à la fois hypnotique et très esthétique de ce film, porté par le charisme éthéré d’un Ryan Gosling sublime qui va s’imposer très vite et très fort dans le paysage cinématographique américain. Solutions locales pour un désordre global de Coline Serreau, un film documentaire qui sensibilise réellement sur l’état de notre planète tout en proposant des solutions ! Il réveille les consciences, à voir absolument ! Livres de chevet : Le temps où nous chantions de Richard Powers. C’est la première fois que la lecture d’un roman me fait entendre autant de musique… J’adore ! Mr Nobody de Jaco Van Dormael, une histoire surréaliste dans laquelle nous acceptons complètement de nous perdre. Les notions d’espace-temps et de choix y sont remarquablement orchestrées. Coups de cœur musicaux : l’album Rome de Danger Mouse et Daniele Luppi. Des mélodies simples, atemporelles, des envolées orchestrales vibrantes, une musique tantôt intime et organique, tantôt cinématographique et luxuriante, belle comme une musique de film qui n’aurait plus besoin du film pour s’épanouir… Le groupe islandais Sigur Rós et sa musique planante bourrée d’images et d’émotions, une vraie source d’inspiration. Traverse, Le Grand Angle à Voiron, 10 et 11 janvier, Théâtre de Vénissieux, 3 et 4 avril, Comédie de Valence, 6 et 7 avril, Soirée Carte Blanche à Cie Arcosm, Théâtre du Vellein, 31 mars
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DOMINIQUE HERVIEU “Passer de la vitrine à la fabrique” Interview par Caroline Faesch
Pourquoi donc avoir quitté le “temple de la danse” à Paris ? À Lyon, il existe un dispositif mixte, c’est-à-dire une Biennale autour de la création artistique et une Maison de la danse, ce qui permet d’avoir les 2 rythmes : la régularité d’un travail de fond et une sorte de parenthèse d’exception culturelle qui convie les plus grands créateurs du monde, dotée à la fois d’une dimension internationale et d’une dimension créative. C’est l’idéal ! Tous ceux qui ont un théâtre rêvent d’avoir un festival, et inversement… Moi, j’ai désormais les deux. Par ailleurs, Lyon a une capacité de créativité que je sens plus souple, plus rapide, comparée à Paris, où il existe plus de lourdeur institutionnelle. Vous n’aviez pourtant pas postulé à la direction de la Maison de la danse ? La véritable histoire, c’est qu’en 2008, lorsque Guy Darmet a eu son accident cardiaque, il m’avait appelée en me disant : “J’ai trouvé mon successeur… C’est vous !” Guy Darmet connaissait très bien notre œuvre, avec José Montalvo, et nous avions également été repérés par le public lyonnais. Son argument était donc de dire : “Votre œuvre, c’est un peu à l’image de la Maison de la danse”, c’est-à-dire le métissage, l’accueil de toutes les cultures, la dimension très contemporaine, le plaisir du public. Or, en 2008, on venait de me proposer la direction du Théâtre national de Chaillot et je l’avais acceptée. Comme vous le savez, 3 ans plus tard, le jury, réuni en février 2010 pour étudier la liste des 5 candidats susceptibles de prendre la direction de la Maison de la danse de Lyon, n’est pas parvenu à se mettre d’accord sur un nom. Guy Darmet m’a alors rappelée. J’avais presque 3 années de direction de Chaillot, qui s’étaient d’ailleurs très bien passées et se soldaient par une réussite en termes de fréquentation, d’image du Théâtre, etc. Le bilan était satisfaisant, et comme ce n’était pas mon objectif de rester 10 ans à Chaillot, j’ai dit oui à Lyon. À Chaillot, vous travailliez en tandem avec José Montalvo. Désormais, vous êtes seul maître à bord de la Maison de la danse. Est-ce plus confortable, plus complexe ? À Chaillot, j’étais directrice générale, et José était directeur artistique. Ce compagnonnage avec José, cette très grande amitié qui nous lie, a véritablement structuré mon parcours. Mais, au Théâtre de Chaillot, j’assumais déjà seule les responsabilités ! Guy Darmet vous laisse “un héritage lourd mais beau”, selon vos propos. Qu’allez-vous en faire ? Il y a déjà ce grand projet de Maison de la danse 3e génération à la Confluence, prévu en 2016. Actuellement, la Maison de la danse est une vitrine, de très grande qualité internationale, mais c’est une vitrine. Il faut donc qu’elle devienne une maison de création, que des œuvres naissent sur ce plateau-là, qu’il y ait de la production, un suivi des
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©F.Delhay
La danseuse et chorégraphe Dominique Hervieu, qui dirigeait depuis juin 2008 le Théâtre de Chaillot avec José Montalvo, a donc succédé à Guy Darmet, fondateur de la Maison de la danse (1980) et de la Biennale de la danse de Lyon (1984), au 1er juillet dernier. L’héritage est lourd, mais Dominique Hervieu, ovationnée par le public lyonnais lors de la création en 2008 des 2 volets de sa dernière chorégraphie, Gershwin à la Biennale, et Porgy and Bess à l’Opéra, a le vent en poupe ! En amont du grand projet de Maison de la danse 3e génération à la Confluence, elle veut voir émerger une vraie création “made in Lyon”. Ce sera sa marque de fabrique. équipes artistiques. Nous devons passer de la vitrine à la fabrique. La force de la fabrique, c’est que l’on puisse devenir prescripteur : si des œuvres naissent à Lyon, la ville deviendra un lieu incontournable pour la danse, en termes de moyens, parce qu’il y aura de grands artistes internationaux qui produiront, et en termes de visibilité, parce qu’une première mondiale d’un très grand chorégraphe, ça marque ! Lyon est une ville moderne, il faut donc retrouver cette force créative. Et le travail avec le public ? C’est très important, c’est même un peu mon dada ! J’ai eu toujours, dans ce sens, une attention renforcée, militante, sur les plans politique et esthétique, car la jouissance des œuvres pour tous est inscrite dans la convention des Droits de l’homme. Je souhaite aller vers ceux qui sont exclus et les conduire à l’art. Cela se travaille, par la médiation, en allant dans les entreprises, les collèges, pour décomplexer le public dans son rapport à l’art. Faites-vous un lien entre cet élan et votre vocation première pour la danse ? Non. Mais ma vocation pour la danse est quelque chose d’un peu mystérieux, entre la découverte de soi et une exigence pour soi-même, dans une discipline d’expression. Avez-vous “baigné” dans la danse étant enfant ? Je n’ai pas eu de rapport particulier à l’art par ma famille. Mon père est banquier, et ma mère, professeur de comptabilité. Non, je pense que ce sont les mystères des parcours, avec la naissance soudaine d’une passion qui réclame une force de dépassement pour sa pratique. Sauf que, pour créer, cette pratique-là s’appuie sur l’imaginaire et l’introspection. Mon parcours a surtout été marqué par ma rencontre avec José Montalvo, alors que j’avais 18 ans. Il disposait d’un background de danse moderne, d’improvisation… C’est lui qui m’a initiée à ces pratiques de recherche en danse. À votre tour, avez-vous l’ambition d’initier le jeune public à la danse ? À la Maison de la danse comme à la Biennale, il y a déjà une programmation de qualité pour le jeune public. Il faudrait cependant pouvoir ouvrir celle-ci à un plus grand nombre. Malheureusement, à la Maison de la danse, tous ceux qui veulent venir ne le peuvent pas. D’où le projet de Maison de la danse 3e génération ! À côté de cela, accueillir le jeune public passe aussi par un accompagnement sur l’œuvre, que nous avions nommé “l’art d’être spectateur” à Chaillot : le but est de donner des clés, de créer un environnement sensible et réceptif autour des œuvres. Il ne s’agit pas de proposer la consommation sèche d’un spectacle, mais d’apporter aussi des références, d’expliquer les éventuels rapports de l’œuvre à la société, de décrire le croisement des arts, ou encore d’expliciter des pratiques artistiques. À Chaillot,
j’ai beaucoup travaillé ainsi et fait circuler le jeune public entre un spectacle de danse et un musée, un spectacle de danse et le cinéma, etc. Ce qui m’intéresse, c’est d’élaborer une culture générale en s’appuyant sur un mélange des arts, mais aussi de “déghettoïser” les univers culturels. C’est ce que j’avais expérimenté, par exemple, entre le hip-hop et une œuvre du Louvre… Ce qui est important, c’est de relier le sensible au savoir. Concrètement, vous allez jeter des passerelles avec les musées, l’institut Lumière ou autres ? Oui, car nous avons la chance, à Lyon, de disposer de très belles institutions dans tous les arts. À cela s’ajoute une perle : il s’agit de Numéridanse, un travail extraordinaire de captation de tous les spectacles, mené par Charles Picq, et qui a permis de créer une vidéothèque dédiée à la danse et consultable en ligne, la première du genre en France. À partir de cela nous allons créer des dossiers pédagogiques, accessibles aux scolaires, mais également à tout public. Stimuler la curiosité esthétique, c’est votre credo ? Oui. Et, comme en création artistique, j’aime beaucoup travailler sous forme de contraires, c’est-à-dire relier le populaire et la recherche, le sensible et le savoir, le réflexif et le festif. Ce qui est important, c’est de constater qu’à partir d’un point nous pouvons explorer des univers a priori contradictoires. Par exemple, d’une œuvre très populaire, immédiatement accessible, y compris dans le plaisir qu’elle procure, nous pouvons rallier des univers plus hermétiques ou exigeants, qui demandent de la concentration et de l’étude. Ces nouvelles lignes directrices vont-elles se retrouver en filigrane de la Biennale de 2012 ? Oui. La Biennale sera plus resserrée, sur 17 ou 18 jours, pour justement apporter un côté ébullition, précipité d’œuvres… Après il y aura des créations “made in Lyon”, à l’Opéra, aux Subsistances, à l’Ensatt, au TNP, au Toboggan, qui mettront leur plateau à disposition pour que des œuvres naissent. Ce qui m’intéresse, c’est de créer une grande diversité dans le programme pour que les spectateurs éprouvent une gourmandise, aient envie de tout voir. En parallèle, j’aimerais aussi proposer des rencontres, une agora sur les enjeux de l’art contemporain, une réflexion sur ce qui en fait le moteur politique, esthétique et social. Et puis il y aura, bien entendu, le grand défilé, qui gardera la marque Darmet. Pour la 1re édition, j’en cosignerai la direction artistique avec Mourad Merzouki. Le fil rouge portera-t-il aussi votre griffe ? La Biennale 2012 aura pour thème “Entre terre et ciel”. L’idée que je souhaite développer est effectivement celle du dépassement, de l’élévation collective au travers du mouvement… La 15e Biennale de la danse se tiendra du 9 au 30 septembre 2012
spécial danse
MARYSE DELENTE Interview par Laurent Zine
La compagnie de Maryse Delente se produira plusieurs fois dans la région cet hiver en reprenant 2 pièces de son répertoire : Mariana et El Canto de Despedida. Entretien avec une chorégraphe atypique qui ne mâche pas ses mots.
J’ai lu dans le programme d’un théâtre que “chacune de vos créations est une ode à la féminité” ; cette affirmation vous semble-t-elle pertinente ? Pas du tout, et j’espère que mon propos est beaucoup plus universel. On me taxe d’ailleurs souvent de “féministe” au prétexte que j’ai créé des ballets essentiellement pour des femmes, mais j’adore aussi travailler avec les garçons ! En fait, depuis mes débuts, j’aime jouer avec la dualité des genres, mettre en scène et exagérer le côté masculin des femmes et/ou le côté féminin des hommes. La pièce El Canto de Despedida, par exemple, peut être aussi bien dansée par des femmes que par des hommes, à partir du moment où ils portent de grandes robes noires… Vous délivrez néanmoins un regard pour le moins sensible sur la condition féminine ? Bien sûr, et je comprends bien que l’on pense cela de mon travail puisque je mets généralement en scène la femme ; une femme qui plus est souvent morcelée et meurtrie. Mais cette femme, par exemple telle qu’elle apparaît dans La Cloche de verre [ndlr : création de 2008] – “flottant” dans ce qui pourrait être le ventre de sa mère –, pourrait très bien être un homme. Un personnage dont il émerge une sorte de plénitude. Absolument. Plénitude dans le liquide amniotique, mais aussi dans l’infini, le rêve et le grand bleu. Et pourtant votre danse oscille souvent entre violence et tragédie ? La violence, oui, comme ce fut le cas lorsque j’ai adapté Le Sacre du printemps ; mais pas seulement la violence. Ainsi croit-on déceler dans certaines de vos œuvres comme une sorte d’éloge de la douceur, parfois même de la lenteur ? Quand bien même Guy Darmet me disait qu’il adorait ma violence, j’aime effectivement cette douceur dont vous parlez, que j’associerais volontiers à la poésie et à la beauté tout simplement. On m’a parfois reproché mon esthétisme, mais voilà, j’aime le beau et je n’ai pas envie de reproduire sur scène la seule vision du quotidien dans sa banalité. Au contraire, je voudrais que les gens qui viennent au spectacle aient l’impression de faire un voyage, et qu’ils en gardent des images. Il semblerait que l’image, justement, tienne une place prépondérante dans votre travail ? Mon objectif a toujours été de trouver une sorte d’équilibre entre l’émotion primitive que procure la danse, cette “transpiration” que le spectateur va ressentir en direct, et le souvenir en termes d’images, qui lui reviendra parfois plusieurs semaines après la représentation. Un équilibre entre le mouvement et la théâtralité.
On a souvent qualifié votre travail chorégraphique de danse expressionniste… Il faut bien mettre des étiquettes… Donc expressionniste, oui, pourquoi pas ; c’est le terme qui revenait souvent pour qualifier la danse de Pina Bausch, à laquelle on m’a souvent comparée, sauf qu’il n’y a qu’une seule Pina Bausch. Pourriez-vous nous présenter succinctement chacune des 2 pièces que votre compagnie va bientôt reprendre dans la région ? Ce sont 2 pièces que j’ai montées en 1989, et elles ont tracé leur chemin depuis ! 1989, c’était le début de la guerre en Yougoslavie, et à l’époque on parlait encore beaucoup des folles de Mai à Buenos Aires ; El Canto de Despedida [ndlr : Le Chant d’adieu] est ainsi un hommage à toutes ces femmes en noir, silencieuses et courageuses, prises dans les tourments de l’histoire. Concernant le ballet, tant dans l’attente que dans le mouvement, je crois qu’il y a beaucoup de violence, et voilà que l’on y revient ! Quant à Mariana, c’est une pièce qui m’a été inspirée par un ouvrage du XVIIe siècle, Lettres de la religieuse portugaise, et qui se mue en performance ne serait-ce que parce que les danseuses portent des robes baroques qui pèsent 5 kilos ! Une pièce très contemporaine et cinématographique. Quant à votre dernière création ? C’est une pièce baptisée Journal d’hiver, que nous avons jouée en avant-première à Roanne en septembre. C’est un peu un regard en arrière, relativement introspectif mais pas du tout nostalgique, et j’ai un moment pensé qu’il s’agirait de ma dernière chorégraphie, mais finalement non, je continue ! Je mets en scène dans ce Journal l’incroyable tension qui habite l’artiste au moment du processus de création et, d’un autre côté, les moments de douceur et de sérénité qui vont lui permettre d’avancer. Ce ballet, c’est vraiment ce que je vis à chaque création, et c’est donc un peu les montagnes russes… Il y a longtemps que vous n’êtes pas revenue à Vaulx-en-Velin (là où vous étiez implantée lorsque vous avez fondé votre compagnie) ? Nous y reviendrons avec un immense plaisir en résidence fin 2012 pour jouer La Cloche de verre et ce Journal d’hiver. Mariana + El Canto de Despedida Les 5 et 6 décembre au Théâtre du Vellein à Villefontaine Le 3 février au centre culturel Théo-Argence Le 9 février au Théâtre de Villefranche-sur-Saône Le 20 mars au Théâtre Astrée
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JOSETTE BAÏZ, COMPAGNIE ET GROUPE GRENADE 20 bougies, et toujours des défis !
C’était presque hier, les 18 et 19 novembre, que la compagnie – comme le groupe – Grenade de Josette Baïz, qui s’illustre par son travail avec de jeunes voire très jeunes danseurs, a sorti le grand jeu pour son 20e anniversaire. Plus de 60 danseurs ayant suivi une formation axée sur la pluralité des disciplines, du classique au hip-hop en passant par les danses ethniques, ont donné 2 programmes au Grand Théâtre de Provence et livré leur “lecture” des pièces de 7 chorégraphes. En attendant que ce spectacle, désormais en tournée, passe par Rhône-Alpes, c’est Gare centrale, une des dernières chorégraphies détonantes de Josette Baïz, qui fait l’affiche du Polaris ce mois-ci. Vous venez de fêter les 20 ans de Grenade, après une année de travail intensif. Vos impressions après coup ? On est sur un petit nuage, car ces 2 programmes étaient très différents, or l’accueil a été aussi favorable à l’un qu’à l’autre. Dans ces programmes, il y avait un tronc commun avec des pièces de Decouflé, Gallotta, Preljocaj, Maillot et Kelemenis, puis des pièces soit de Jérôme Bel, soit d’Abou Lagraa. Évidemment, nous n’avions pas de doute pour le tronc commun, d’autant que les danseurs sont des enfants – les plus jeunes ont 9 ans –, qu’il s’agit de pièces très difficiles, et que nous avions tellement travaillé que le résultat était là tant sur le plan technique que sur celui de l’expression. Mais nous étions en interrogation sur la suite : nous n’avons pas l’habitude de travailler avec Jérôme Bel et ne savions pas comment cette nouvelle danse, “antispectaculaire”, serait reçue. Jérôme Bel nous avait prévenus que cela pouvait mal passer… Or je crois que les gens ont été estomaqués. Quant au programme Abou Lagraa, il a vraiment été très bien reçu. C’était important pour Grenade de “marquer le coup” ainsi ? Je ne sais pas si c’était vraiment pour marquer le coup, mais plutôt pour relever un défi, parce que j’aime les défis. Cela fait pratiquement 30 ans que je chorégraphie, souvent toute seule. Le travail que j’ai fait avec Jean-Claude Gallotta m’a beaucoup apporté, m’a même régénérée, car j’ai été en dialogue artistique permanent avec lui. Le défi, c’était donc d’être dans une dynamique d’ouverture
© Yohanne Lamoulère
Interview par Caroline Faesch
mot[s] Mais certaines migrations, tout aussi réelles, sont plus méconnues. Les crayons en répétition, par exemple. Laissez répéter un quatuor à cordes, posez un crayon dans la pièce. Vous le verrez sauter d’un pupitre à l’autre, de façon mystérieuse et imprévisible, jusqu’à disparition complète. Hop ! Aspiré dans les limbes ! J’imagine qu’il existe un nirvana où s’entassent des centaines de milliers de crayons.
Les migrations ! Texte : Fredéric Aurier est musicien, violon Dessin : Julian Boutin est musicien, alto Ornithologiques avant tout, elles nous évoquent ces bandes d’oies, de cigognes et de grues qui partent au loin. Des milans solitaires parfois. Et des coissards balbutants, bien sûr… Qu’ont-ils à raconter, tous ces oiseaux, après tant d’air passé sous les plumes ? Quatuor Béla 2 décembre, Théâtre de Villefranche 16 décembre, Salle Molière à Lyon 26 janvier, la Rampe à Echirolles
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Et puis il y a les musiciens migrateurs. Ils ne sont pas sans attaches, bien au contraire. Mais ils naviguent, ils arpentent la musique en tous sens. Le Quatuor Béla, par exemple : patiemment formé aux gammes, aux menuets et aux sonates, il a largué ces vénérables amarres pour explorer les délires inouïs de compositeurs contemporains qui lui ont confié les concrétions sonores les plus inédites. Migrateur aussi, ce violoniste qui a quitté les ternaires trépidations des bourrées auvergnates, pour l’improvisation la plus sauvage. Contournant avec prudence les montagnes centraliennes, il cherche des vallées perdues et fertiles, pour y reproduire ce que ses pérégrinations lui ont inspiré. Les migrateurs se rencontrent parfois, les quatuors et les violoneux, les coissards balbutants et les chouettes barbaresques, les porte-mines et les crayons de couleur. Et ils en ont, des choses à se dire !…
3 mars, 24 mars et 11 mai, Scène Nationale de Chambéry 13 mars au Festival Musiques en Scène, Lyon 15 mai, Théâtre de Villefranche
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au travers de ces 2 programmes. Même si j’ai encore beaucoup envie de créer moi-même, je souhaite aussi que tous ces jeunes que nous avons formés durant des années soient confrontés à l’écriture contemporaine. Ce qui est intéressant est de voir la lecture que les enfants vont faire de ces chorégraphies. Car même si nous leur donnons des orientations, il y a forcément une relecture. On ne peut pas tout maîtriser. Les enfants s’emparent de la pièce et en font quelque chose à eux. Et c’est cela qui m’intéresse, au bout du compte. Au Polaris, le 2 décembre, Grenade présentera Gare centrale. Pourquoi pas votre programme anniversaire ? Quand une pièce sort, le temps que les programmations se mettent en place, il faut souvent une voire deux années. Gare centrale est sortie à Bourg-en-Bresse (Ain) fin 2010-début 2011, d’où sa programmation au Polaris. Et puis, cette chorégraphie est l’aboutissement du travail que j’ai fait avec les plus anciens, notamment sur des techniques comme le contact-improvisation, le contact avec le sol, que nous avons injecté dans Gare centrale. En plus, les concertos de Bach, extrêmement dynamiques, utilisés pour cette pièce viennent littéralement abreuver cette notion de folie qui caractérise les personnages de Gare centrale, et ça fonctionne très bien. Nous n’avons donc pas fini de faire tourner cette pièce… Mais les 2 programmes des 20 ans de Grenade passeront en Rhône-Alpes. Une gare centrale, 20 bougies, ce sont des moments charnières pour une compagnie ! Vers quoi et où souhaitez-vous aller désormais ? C’est déjà dans les starting-blocks ! Comme j’ai un peu participé à l’aventure Marseille-Provence 2013, capitale européenne de la culture, j’ai un projet qui s’est mis en place – de façon logique, pas pour faire un coup médiatique – avec le London Symphony Orchestra, qui est à Aix-en-Provence pour 5 ans. Nous allons monter un Roméo et Juliette dont j’ai signé la chorégraphie, avec 100 danseurs sur scène et 100 petits musiciens dans la fosse. C’est encore un défi ! Et avec la compagnie professionnelle ? Je vais continuer à ouvrir les vannes avec des professeurs invités qui nous apportent différentes choses, et travailler une création qui s’appellera sans doute Grand Hôtel et qui continuera l’idée de la Gare… Mais je ne souhaite pas en dire plus pour l’instant. Le 2 décembre au Polaris de Corbas
Chaque mois deux artistes choisissent un mot afin de vous livrer un texte court et une image autour de ce choix.
Viande Julia Lanoë est chanteuse et musicienne Un type sonne, il me demande si j’ai une télévision, c’est le contrôleur des impôts. Je dis non. Il insiste un peu, je l’invite à rentrer dans mon appartement. Un ami est assis sur le canapé en dessous d’un gros poster encadré “Fils de pute”. La télévision de grand-père est énorme, le contrôleur des impôts me repose la question en regardant l’appareil. Je nie l’évidence, et je dis : “Non, je n’ai pas de télévision, ça ce n’est pas une télévision.” Il est obligé de renoncer. Il me demande alors de signer un papier qui certifie que je ne possède pas d’appareil. Je signe. Je menace de me suicider dès que je vais mal. 6 points en moins, 550 euros. Un policier m’interpelle alors que je suis en voiture au téléphone en train de franchir une ligne blanche. Je lui ris au nez et pense que je vais faire sauter l’amende. Je lui précise par ailleurs que j’ai traversé 2 fois la ligne blanche longitudinale continue, une fois pour me garer et une fois pour repartir, tout en priant mon interlocuteur de ne pas raccrocher : “J’en ai pour 2 minutes avec la police, reste en ligne.” Ah, ah, ah !
Il y a plus de morts que de vivants. Il y a autant de façons de mourir que de morts. Il y a une façon de mourir par vivant. Cette nuit j’ai fait 3 rêves. Le premier, je m’occupais mal de ma filleule et elle manquait de se faire écraser en traversant. Le deuxième, je m’occupais mal de mes neveux et nièces et je leur donnais un jeu électronique pour être tranquille et faire de la moto. Le troisième, je sauvais une petite fille inconnue de la noyade. Je retournais très profond sous l’eau pour aller chercher ses tongs et manquais de me noyer.
MANSFIELD. TYA sera en concert 1er décembre La Bobine à Grenoble 2 décembre L'Epicerie moderne à Feyzin avec Baxter Dury
© Laurent Philippe
spécial danse
YUVAL PICK “Créer, c’est résister !” Interview par Caroline Faesch
À 41 ans, le chorégraphe Yuval Pick, ancien danseur du Ballet de l’Opéra de Lyon, a pris les rênes du Centre chorégraphique national (CCN) de Rillieux-la-Pape. À l’instar de Maguy Marin, qui, tout en quittant ce centre, y laisse une forte empreinte, Yuval Pick ne se revendique d’aucun courant spécifique. “Je trace un chemin qui m’est propre”, affirme-t-il. On le croit volontiers : l’énergie qu’il déploie au CCN depuis son arrivée témoigne d’un engagement sans faille vis-à-vis de la création et du public. Comme 1re pierre à cet édifice, il ambitionne de donner une meilleure visibilité au Centre.
Comment êtes-vous “arrivé” à la danse ? J’ai toujours dansé, même bien avant l’intégration d’une compagnie de danse à l’âge de 16 ans en Israël. Je dansais le folklorique, le disco… J’étais toujours en mouvement. Pour moi la danse a été un choix, notamment pour mieux m’exprimer. C’est ma manière de dialoguer avec le monde. Faites-vous un lien entre ce choix et votre histoire familiale ? Je suis issu d’une famille laïque israélienne simple, mais très ouverte. Personne ne m’a jamais poussé ni dirigé dans telle ou telle direction. Au contraire, on m’a toujours laissé une porte ouverte… On m’a donné la liberté ! En effet, un mec qui dansait dans les années 1980, ce n’était pas si courant que cela ! Pour moi, l’identité d’Israël a été plus forte que celle de la religion juive. La formation à la danse folklorique israélienne constitue une partie de la nouvelle identité de la diaspora juive, c’était une façon de revendiquer une autre manière d’être ensemble. Quelles sont vos priorités au CCN ? J’ai toujours rêvé de diriger un lieu de création. Créer, c’est résister à une réalité, c’est offrir des solutions pour continuer… Ici, il y a des missions assez complexes : celles des résidences et celles du travail avec les publics. Ce que j’ai envie de faire en premier, c’est de donner la possibilité au public de bien identifier ce lieu. Vous avez le sentiment qu’il manquerait de visibilité ? Oui, cela manque déjà à l’échelle de la ville. Il y a 72 nationalités ici ! Tout le monde ne désire pas forcément voir de la danse contemporaine, mais j’ai envie que les gens sachent que ce lieu existe. En novembre, nous avons organisé un 1er événement, intitulé “Bonjour !”, où le public a pu assister gratuitement à des performances et des spectacles. C’est un 1er geste d’ouverture.
Et au-delà de Rillieux ? Oui, j’aimerais aussi inverser un peu la tendance qui fait que tout se passe toujours à Lyon, et faire en sorte qu’il y ait des temps forts également à Rillieux : autour de la Biennale de la danse, et plus proche dans le temps, en mars 2012, il y aura des événements au CCN dans le cadre de Musiques en scène. Mais vous, personnellement, qu’allez-vous chercher dans cette nouvelle fonction ? D’abord, comme je travaille sur l’écriture corporelle, j’ai la nécessité d’inscrire mes projets dans la durée. Ici, c’est désormais possible. Ensuite, je suis un immigrant, et l’existence des étrangers est beaucoup liée à l’adaptation. Or, si l’on peut décoder la langue, des comportements sociaux, on ne peut pas décoder les non-dits. Dès le début, j’ai senti qu’avec mes capteurs corporels je pouvais transformer toute cette communication non verbale en mouvements, en sensations, par la danse. Pour moi, un lieu de création, c’est aussi pouvoir décortiquer les non-dits d’une société dans laquelle je n’ai pas grandi, et donc questionner un héritage sociétal. Pourquoi avoir choisi la France ? Tout le monde fait un amalgame avec la culture juive, ancienne, et la culture israélienne, très jeune. J’ai vécu dans un pays très jeune, et si j’ai senti que j’avais une attirance pour l’Europe, et la France, c’était sans doute par besoin de m’appuyer à un mur culturel plus fort que celui dont je disposais dans mon pays. Mais j’apprécie aussi les jeunes pays qui gardent une certaine fraîcheur. En Europe, on sent une certaine décadence, de la stagnation. Vous voyez donc le CCN comme une sorte de… centre de réanimation ?! La création doit apporter de la fraîcheur, donner la possibilité de porter un autre regard sur le monde pour compenser cette stagnation. Les gens sont très pessimistes : nous devons réfléchir à ce que nous pouvons proposer pour qu’ils changent de regard sur le monde. Créer, c’est résister, et résister, c’est aussi espérer !
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© Clemence Richier
spécial danse
PORTRAITS CROISÉS
PLUME EN NOVEMBRE, RE-PLUME EN DÉCEMBRE !
Par Anne Huguet
À ton image Cie Stylistik
© Pascal François
Grosse semaine hip-hop encore du côté de Bron pour le 2e acte du festival Karavel, qui coïncide avec la réouverture de l’espace Albert-Camus (avec RAF Crew, Black Blanc Beur…). Place aussi à l’émergence avec 2 jeunes chorégraphes et compagnies, fiers de présenter leurs dernières créations, fruit de leur labeur, de leur histoire et de leurs expériences. Portraits croisés entre Thô Anothaï (Anothaï Compagnie) et Clarisse Veaux (compagnie Stylistik).
Par Trina Mounier
Clarisse Veaux Thô Anothai Interprète explosif remarqué chez N’Possee, Accrorap ou A’Corps, Thô Anothaï expérimente à son tour le travail de chorégraphe et explore, avec Nuage, une nouvelle écriture tout en fluidité et délicatesse autour du corps du danseur. Sorte de parcours initiatique, ce solo habité qui alterne lenteur du mouvement et explosivité évoque aussi le déracinement. Tel ce souvenir d’une barque sur le fleuve Mékong où l’enfant s’amuse, laissant tremper ses mains dans l’eau douce de la lumière qui l’emporte loin de chez lui… Solo ? La forme la plus simple qui me correspondait le mieux pour me présenter en tant que danseur et chorégraphe. Ce solo raconte un retour en enfance, une mémoire corporelle lorsque j’ai quitté le Laos à l’âge de 4 ans. Il raconte ces fragments de souvenirs qui restent gravés à vie dans mon corps. Ça tourne autour de ça… Ce moment de déracinement. Le blanc, couleur dominante de la pièce ? Avec le blanc, qui a une signification personnelle, on peut tout imaginer. C’est assez facile pour rêver, s’évader. C’est une couleur neutre, comme le noir. Mais le blanc évoque que tout est possible, faisable, tandis que le côté noir évoque le vide, un trou. Du métier de simple interprète à celui de chorégraphe ? Après 15 ans de danse (j’ai démarré dans la rue, les quartiers, les battles… avant ma 1re pièce en 2000), j’ai eu envie d’ouvrir mon univers et de l’affirmer. De continuer dans un autre chemin. Quand je suis danseur interprète, je mets ma technique et mon interprétation au service du chorégraphe et de la pièce. Mais je donne un petit pourcentage de moi-même. Être chorégraphe, ça veut dire se donner à 100 %, être libre d’exprimer les choses comme on l’entend à tous les niveaux. La danse ? Je suis toujours en expérimentation. Le point de départ reste la danse hip-hop, car le hip-hop est pour moi une source d’inspiration et d’énergie vitale. Tout ça mélangé à la simplicité, à un certain art de vivre et à un côté nature donne une forme qui me correspond. Ce sont des mouvements hip-hop coulés, très lents, fluides. Parfois aussi très rapides, même si j’essaie de canaliser cette explosivité, de contrôler les mouvements très techniques. Il y a un côté zen… Il y a toujours cette double culture présente en moi…
© GillesAguilar
Nuage - Cie Anothaï
À ton image, pièce chorégraphique pour une danseuse et un musicien, est la 3e création de Stylistik, jeune compagnie lyonnaise créée en 2006 autour des 2 danseurs hip-hop que sont Clarisse Veaux et Abdou N’Gom (interprètes chez Malka, A’Corps ou N’Possee). Après un premier duo en 2008 (“Une carte de visite avec une pièce où l’on se mettait à nu : quelque chose d’épuré avec nos 2 corps sans décor”), ils se sont chacun offert un solo. Avec À ton image, Clarisse Veaux questionne, entre danse et art numérique, entre corps en mouvement et corps graffé, la recherche identitaire et la relation à l’autre. Solo ou duo ? Je suis la seule danseuse sur le plateau, mais nous sommes deux sur scène, en sachant que Damien [Traversaz] est musicien et interprète puisqu’il intervient avec moi par rapport au système de capture du mouvement. Il joue donc live… avec un instrument virtuel dans les mains ! Que raconte ce spectacle ? C’est un questionnement sur la recherche identitaire lorsqu’il manque une partie de son histoire et de ses origines [ndlr : Clarisse Veaux ne connaît pas son géniteur]. Comment se construit-on ? Comment imagine-t-on cette partie de nous ? Comment les autres nous influencent-ils inconsciemment sur nos origines, nous contrôlent-ils ou nous incitent-ils ? L’idée était d’utiliser ce système de capture du mouvement pour illustrer qu’à un moment dans nos vies on est influencés, contrôlés par l’extérieur. Parfois la musique me contrôle et m’influence (Damien joue alors), il y a d’autres moments où c’est moi qui décide ; c’est alors moi qui contrôle les images ou la musique. Du métier de simple interprète à celui de chorégraphe ? Ça part d’une envie de danser différemment. De créer une gestuelle qui corresponde à nos envies, nos idées. De monter sur scène pour dire les choses qui nous tiennent à cœur. On a eu envie de se tester à transformer cette gestuelle hip-hop, à y rajouter d’autres arts (art plastique dans Entre deux, art numérique dans À ton image) ; oui, de se mettre un peu en danger et de continuer de faire évoluer notre danse en la transformant et en l’enrichissant. Essence de votre art chorégraphique ? La danse hip-hop reste notre fondement. C’est une inspiration de ce qui nous entoure. Même si on casse un peu les codes tels qu’on les voit dans les battles ou dans la rue (la musique pas forcément hip-hop !). Je crois simplement que c’est de la danse. […] Il s’agit de donner du sens au mouvement sur scène. Je crois qu’on cherche à mettre en avant un propos et à le nourrir avec notre danse, mais pas forcément avec des codes. Nuage et À ton image, du 14 au 16 décembre à la Maison de la danse, dans le cadre du festival Karavel du 10 au 17 décembre
L’Atelier du peintre Et c’est une bonne nouvelle : le cirque Plume joue les prolongations jusqu’au 18 décembre, comme un cadeau de Noël pour petits et grands avant l’heure… Il faut dire que son dernier spectacle, L’Atelier du peintre, qui avait pourtant fait salle comble sous son immense chapiteau de 1 000 places depuis un mois, n’avait pas réussi à rassasier l’appétit du public de l’agglomération lyonnaise… Ce dernier est en quête des subtils ingrédients qui ont présidé à la naissance de ce “nouveau cirque” dont Bernard Kudlak peut revendiquer la paternité et qui composent l’indéfinissable magie propre au cirque Plume : émotion, légèreté, beauté, souplesse, naïveté, joie, enfance, émerveillement… Il les retrouve dans cet Atelier du peintre qui lui propose une promenade buissonnière à au sein d'un musée intérieur d’un musée intérieur où se retrouveraient comme par miracle les œuvres qui dorment dans notre inconscient collectif. On joue d’abord les voyeurs dans l’intimité de la famille royale avec les Ménines de Vélasquez, puis, de jonglage en trapèze, de pitreries drôlissimes en numéros élastiques virtuoses, on traverse des miroirs successifs : la femme nue d’Ingres descend de son tableau, la statue grecque en plâtre prend subitement vie, on entre par effraction dans un Fontana, tandis qu’une artiste en chair et en os peint ses seins de bleu… kleinien ! La leçon d’histoire de l’art n’est sans doute pas l’essentiel de ce spectacle et c’est tant mieux. C’est quand il ne se prend pas au sérieux, quand il joue avec les corps et les objets, les couleurs et les sons, que le cirque Plume nous touche le plus sûrement. Jusqu'au 18 décembre sous chapiteau, au Grand Parc de Miribel Jonage
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spécial danse
© Denis Plassard – Cie Propos
Encore quelques illusions
DENIS PLASSARD un homme pressé ? Par Anne Huguet … Pressé par l’urgence du temps qui passe (il l’avoue), pressé par les idées (elles se bousculent), pressé par les projets à porter “J’ai l’impression que ça va s’arrêter : il faut que je fasse vite”, pressé par ses envies, son insatiable curiosité et ce besoin de faire se télescoper univers et esthétiques différents pour provoquer les frottements et les rencontres artistiques. Denis Plassard est danseur et chorégraphe, c’est surtout l’un de ces passionnés toujours en mouvement perpétuel (plus de 30 créations depuis 1990). Après les battles hip-hop DéBaTailles, l’ironie loufoque Critique, un roman-photo muet Les cadavres se regardent dans le miroir ou Kafka (reprise de son duo Le Terrier), il s’attaque dans sa prochaine création avec la Cie Propos – Encore quelques illusions – au monde de la magie et ses tours. “Avec tous les rituels qui vont avec ! Plus que la magie, c’est le rapport à l’illusion, au trouble, qui me fascine. Qu’est-ce que c’est que l’illusion ? Comment passe-t-on d’une normalité à quelque chose d’extraordinaire ? détaille-t-il, enthousiaste. Ce n’est pas seulement la magie qui m’intéresse, mais c’est de jouer avec. Jouer avec les codes, les casser. Parfois on tente un truc bluffant, là on s’amuse à faire de la magie qui ne marche pas vraiment ou qui ne se passe pas comme on l’attendrait.” On y verra donc un magicien et son assistant, le duo emblématique, aux prises avec 7 tours dits de magie. “Un pour chaque principe de magie. Je les vois comme des vendeurs de cuisines, des représentants de commerce. Il y a dans la magie, pour moi, ce côté bateleurs de foire, tels ces mecs qui vendent des couteaux sur les marchés, et à l’extrême le côté mystique de la magie qui va jusqu’à la magie noire.” On y entendra aussi live un petit orchestre de poche qui viendra ponctuer les effets et souligner la performance. “Un rôle de bruitage du tour.” Il y a un 5e protagoniste sur scène, un technicien qui créera les lumières en direct. “Pas de rideau, pas de machinerie théâtrale, pas de vidéo. On montre tout, on ne cache rien. Tout est fait artisanalement sous les yeux des spectateurs. La magie, c’est aussi cela, le côté close-up, le magicien avec ses cartes devant nous qui nous embrouille. Je veux créer le trouble, le dédoublement. Qui des deux, entre l’assistant et le magicien, dirige ? Qui est qui ? Sont-ils vraiment ce qu’ils ont l’air d’être ? Tout ce jeu sur le personnage, le rôle qu’on joue.” Difficile de savoir si l’on va voir un spectacle de magie. Un spectacle de danse ? Une magie chorégraphique, résume, facétieux, Denis Plassard. “L’idée, c’est de travailler avec le mouvement. Il y a dans la magie ce rapport au mouvement : dans le cérémonial, dans les techniques de magie, dans la vitesse, dans la posture… Ce qui m’intéresse ensuite, c’est de le pousser à fond, de l’écrire
vraiment, le chorégraphier. Voir comment naît l’effet magique, le multiplier, le refaire pour l’inscrire dans une écriture chorégraphiée.” Le mouvement, toujours : obsession et passion de cet artiste inventif qui n’est jamais là où on l’attend. “Je reste danseur avant tout, même si je suis curieux de tout. Avec une gourmandise du mouvement. Y compris dans les pièces les plus théâtrales. Bizarrement, je n’ai pas une conscience de la danse en tant que telle, car c’est toujours au service de quelque chose. Je me focalise sur un principe de jeu – ici, la magie et ces 2 personnages qui font des tours – et cela entraîne la danse quelque part. Toute l’écriture du mouvement va là-dessus. De là naît, par exemple sur la lévitation, un duo de portés de danse très particulier ; il y a une sorte de marionnette qui vole et l’autre qui la porte. Cela m’amène à travailler une gestuelle précise. Sur un lien aussi très sensible entre le personnage et le mouvement. On n’est pas dans un mouvement abstrait, conceptualisé ou pensé en tant que mouvement. Le magicien ou son assistant bougent. C’est le personnage à l’intérieur du mouvement qu’on voit au-delà du mouvement en tant que mouvement.” Pas d’improvisation, mais une précision diabolique dans le geste et le détail, car ce spectacle ne supporte pas “l’approximation, parce qu’on travaille vraiment sur le fil du rasoir à plein d’endroits. D’autant plus qu’on n’est pas magiciens !” Précision, un mot qui revient souvent dans le discours du chorégraphe lyonnais, presque un leitmotiv. “Je n’aime pas que cela se voie, mais je ne peux pas faire autrement. On travaille beaucoup pour qu’il y ait même un côté presque négligent dans la façon de faire, en même temps extrêmement précise. Pour les interprètes, il y a un truc assez savoureux dans ce rapport à la précision jusqu’au moment où on la dépasse et on joue avec. La prise de risque est ailleurs chez moi. J’aime bien sauter dans le vide, aller chercher à des endroits un peu gonflés : la magie, il y a des gens qui font ça admirablement bien et qui en font leur vie. Moi, je n’ai jamais fait de magie et j’y vais à fond !” Dernière minute, il part ensuite au Brésil pour une création avec les danseurs brésiliens de Mourad Merzouki avant de s’atteler à un “chœur chorégraphié au millimètre” avec 2 comédiens, Michel Raskine et Pierre-Jean Étienne. Il rêve aussi de n’être de nouveau que simple interprète… mais il n’a pas le temps, c’est un homme pressé ! Théâtre de Vénissieux, 26 et 27 janvier, L’Embarcadère de Montceau-les-Mines, 13 mars, Théâtre Astrée à Villeurbanne, 15 mars Maison de la culture de Firminy, 3 et 5 avril + Bals au Studio Lucien, 3 décembre et 10 mars
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© Eric Bernath
spectacles vivants
UNE HISTOIRE À L’OUEST West Side Story chez Jean Lacornerie Interview par Étienne Faye
Combien de beautés recèle cette tragédie de Roméo et Juliette, cet amour fou transposé dans les rues mal famées, violentes et colorées de New York, et que révèle-t-elle, cette histoire, de l’Amérique, de la brutalité des rapports sociaux, de l’énergie incommensurable qui se libère, là-bas, de l’autre côté de l’Atlantique. Si l’on se souvient de West Side Story, le film de Jerome Robbins sorti en 1961, on a forcément des airs, signés Leonard Bernstein, des paroles d’Arthur Laurents, qui nous viennent au bord des lèvres, et aussi des images de ballets dévoreurs d’espace, de danseuses et de danseurs débordant tout ensemble de grâce et de muscle. Ce film avait alors été tiré de la comédie musicale qui se jouait à Broadway, et depuis lors les ayants droit de cette œuvre ont été sans pitié : hors de question de changer d’un pas la mise en scène et la chorégraphie de West Side Story, conservé, donc, dans un formol en forme d’or liquide. N’empêche, il existe une exception à cette règle imposée par les héritiers, et cette exception, c’est la version orchestrale du percussionniste lyonnais Gérard Lecointe, qui avait réussi à obtenir l’accord de Leonard Bernstein lui-même, avant sa mort. Jean Lacornerie nous présente, comme cadeau de Noël, ce concert exceptionnel. Rencontre avec le directeur du Théâtre de la Croix-Rousse. Comment mettre en scène West Side Story sans la danse ? Tout simplement en laissant la place au concert, et s’il y aura ballet, ce sera celui des mailloches. Je préfère d’ailleurs parler de mise en espace. Gérard Lecointe a fait une version pour percussions et piano qui a un extraordinaire pouvoir d’évocation, et mon intervention sera dans le même esprit. J’ai fait appel à un artiste 2D sorti de l’école Émile Cohl à Lyon, Étienne Guiol, pour recréer le ballet originel en dessins animés, ou plutôt évoquer l’imaginaire et le mouvement de West Side Story, mais, en fait, je me suis surtout attaché à mettre l’orchestre en scène.
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Il y a toujours une mise en scène, dans le concert classique, ou plutôt c’est un rituel. Qu’avez-vous imaginé de différent ? Je considère que la forme du concert doit pouvoir être travaillée, c’est un spectacle comme un autre, avec une présence sur scène, des lumières… J’ai conçu un gros instrumentarium central, avec, derrière, de grands rideaux de chaînes qui prennent très bien la lumière et sur lesquels nous projetterons les animations 2D. Devant, il y aura une sorte de passerelle où se positionneront les 4 chanteurs lyriques, des Solistes de Lyon-Bernard Tétu : une mezzo, une soprano, un baryton et un ténor. L’orchestre des Percussions Claviers de Lyon, avec Fabrice Boulanger au piano, ne va pas jouer la partition originale. Pouvez-vous nous parler un peu de cette version transposée par Gérard Lecointe ? Si je dis qu’il s’agit d’un orchestre de percussions, je crois que l’on ne peut douter de l’énergie qui s’en dégagera, mais j’ai envie d’ajouter qu’elles peuvent être fines, aériennes. Je pense en réalité qu’on entend vraiment la partition de Leonard Bernstein, bien sûr concentrée sur la rythmique, mais avec toute la palette de couleurs. Vous vous êtes fait une spécialité du théâtre musical. Quelle place accordez-vous à la danse, dans votre travail ? Dans le cadre de West Side Story, je n’ai tout simplement pas le droit de recréer le ballet, sinon je m’en ferais un plaisir – il me faudrait également des moyens importants. Mais je collabore souvent avec des chorégraphes, comme pour ma future création de Mesdames de la Halle, l’opérette d’Offenbach, en mai prochain. Je ne mets pas en scène des danseurs, plutôt des chanteurs-comédiens, mais j’ai besoin de ce langage. Après, je dois réaliser une sorte de compromis danse-chant, en sauvegardant le souffle des chanteurs. Du 14 au 23 décembre au Théâtre de la Croix-Rousse
DE LA POLITIQUE CULTURELLE À VILLEURBANNE Interview par Laurent Zine
Ayant choisi d’interpeller les décideurs en matière de politique culturelle, nous voici aujourd’hui à Villeurbanne, après Vaulx-en-Velin le mois dernier. Entretien avec Loïc Chabrier, adjoint aux affaires culturelles.
Puisque nous sommes à quelques jours de sa réouverture, peut-être pourriez-vous commencer par nous parler de la renaissance du TNP ? Le TNP dans sa nouvelle mouture, c’est effectivement une nouvelle aventure qui commence, initiée et menée quasiment à terme par mon prédécesseur, auquel je tiens à rendre hommage. Et si nous nous inscrivons dans la continuité historique de ce qu’a été ce théâtre depuis sa création, on peut aujourd’hui parler de renouveau ; tant concernant le projet artistique présenté par Christian Schiaretti que l’équipement en lui-même, largement modernisé et agrandi. Le nouveau TNP est ainsi à la fois le témoin de la décentralisation théâtrale impulsée au départ par Jean Vilar puis par Roger Planchon, mais aussi un formidable outil pour l’avenir de Villeurbanne, dans le cadre de la réhabilitation du quartier des Gratte-Ciel puis de sa future extension. Sachant que la dernière édition des Invites s’est également attelée à se réapproprier ce quartier, peut-on imaginer que l’action culturelle se recentre un peu (géographiquement parlant) à Villeurbanne ? Non, parce qu’il n’est pas question d’oublier les autres quartiers, dans lesquels l’action culturelle – souvent de proximité – est peut-être moins “visible” mais demeure primordiale à nos yeux. Il n’empêche que ce quartier des Gratte-Ciel est emblématique, ne serait-ce que parce qu’il concourt fortement à l’identité de la ville depuis les années 1930 ; et lorsque les Invites et la compagnie KompleXKapharnaüM en tête décident de l’investir, c’est une énième façon de démontrer que la culture a une fonction essentielle à jouer dans l’espace urbain, et qu’il s’agit même d’une véritable spécificité de la politique culturelle à Villeurbanne. Le renouveau du TNP, la 10e édition des Invites, l’École nationale de musique (ENM) qui se met sur son 31… Cette année civile (2011) semble on ne peut plus charnière pour la culture à Villeurbanne ? Certainement, et l’arrivée à terme de grands chantiers comme ceux du TNP et de l’ENM est pour nous une immense satisfaction. Il faut ensuite attendre que ces lieux atteignent leur “vitesse de croisière” pour apprécier la pertinence des investissements massifs réalisés, mais quand on sait que l’ENM, dont la réputation dépasse largement le cadre de la ville, est saturée de demandes d’inscription et que le cap des 8 000 abonnés vient d’être franchi au TNP, on ne peut être que serein… Rappelez-nous quels sont les autres équipements dédiés à la culture à Villeurbanne ! J’évoquerais d’abord les équipements municipaux comme le Rize, inauguré en 2008 : un lieu patrimonial dédié à la conservation, la mise en valeur et la transmission de la mémoire des habitants de la ville. Il y a bien sûr la Maison du livre, de l’image et du son (MLIS), qui se trouve au cœur d’un réseau de lecture publique très dense. Je rappellerais à ce propos le rôle primordial de notre “ancestral” bibliobus quant au lien social qu’il permet de tisser dans tous les secteurs de la ville. Il y a ensuite tous les autres lieux avec lesquels nous sommes partenaires via un système de conventions. Je citerais en premier les théâtres de l’Iris et de l’Astrée. Puis l’institut d’Art contemporain, pour lequel une réflexion s’est déjà engagée quant à l’espace qui lui sera nécessaire dans l’avenir, notamment pour stocker les œuvres. Les ateliers Frappaz, qui sont devenus une véritable “marque de fabrique” dans le domaine des arts de la rue ; de sorte que l’on peut dire qu’ils sont désormais à Villeurbanne ce qu’est Royal de Luxe à Nantes. Le cinéma Le Zola, qui propose chaque année nombre de festivals largement identifiés. Enfin, le Toï Toï et le CCO, 2 lieux proches du campus de la Doua. Le CCO qui, du fait qu’il soit contigu à des habitations, nous pose
certains problèmes en termes de diffusion qu’il nous faudra résoudre à court terme ; sachant que sa place dans ce quartier n’est absolument pas remise en question. Sans oublier le Transbordeur, avec lequel je pense que nous allons collaborer de plus en plus à l’avenir. Puisque vous parlez des soucis du CCO, qui a depuis longtemps concouru à la promotion des “cultures et musiques alternatives”, comme le fit en son temps le Pez Ner (1996-2002)… pensez-vous qu’il y a de la place à Villeurbanne pour un tel projet ? Honnêtement, oui, et nous sommes souvent questionnés sur le sujet… Les cultures alternatives ou émergentes, pour reprendre un terme plus “institutionnel”, ont vocation à exister au cœur de Villeurbanne. La difficulté réside dans le fait de trouver un espace digne de ce nom et suffisamment adapté par rapport au voisinage… Mais il existe sûrement des lieux, du type friche postindustrielle, qui pourront se prêter à ce genre de pratique culturelle. Quelle est la philosophie de votre politique culturelle ? La culture est un vecteur du dynamisme de la ville. Nous avons ainsi massivement investi ces dernières années, afin de pérenniser ce qui a été entrepris à Villeurbanne depuis des décennies. Nous sommes pour le moins convaincus que l’on ne doit surtout pas faire l’impasse sur la culture en période de crise économique. La culture est un investissement sur l’avenir, elle génère des emplois (et je n’ai pas peur de parler d’économie culturelle), elle constitue un marqueur très fort d’identification de la cité, et elle façonne admirablement du lien social. Et nous avons toujours le souci à Villeurbanne d’accompagner les actions culturelles en y faisant participer le plus possible les habitants de la cité. La “culture pour tous” est donc un élément important de cette politique. Comment favorise-t-on la démocratisation de l’accès à la culture (inscrite au Panthéon de la République depuis Malraux) ? Nous avons par exemple fait baisser sensiblement les tarifs de l’abonnement au réseau de lecture publique (à toutes les médiathèques) : gratuit pour les moins de 26 ans et 10€ pour les autres. Une politique tarifaire qui a depuis largement porté ses fruits, et notoirement pendant l’été. Pour celles et ceux qui ne prennent pas de vacances, la culture et plus spécialement la lecture sont ainsi de véritables occasions de s’évader. Quelle est la part du budget de la culture dans celui de la ville ? 20 %. Quand la moyenne nationale est de 9 %… Disons qu’un effort particulier a effectivement été réalisé à Villeurbanne. Quels sont les futurs grands chantiers de la politique culturelle à Villeurbanne ? Le budget de la ville, ce n’est pas non plus le tonneau des Danaïdes… Cela pour dire que suite à l’inauguration du nouveau TNP, nous allons un peu ralentir les investissements. Il n’empêche que nous avons encore quelques projets ! Dans le cadre du réseau de lecture publique, le prêt aux collectivités (écoles, etc.) sera ainsi doté de ses propres locaux (rue Émile-Bouvier) au début de l’année 2012. Nous prévoyons aussi la rénovation totale de la MJC, ainsi que celle du centre Léo-Lagrange. Il y aura également l’implantation (et l’agrandissement !) du cinéma Le Zola dans la future ZAC des Gratte-Ciel. Et puis, à l’horizon de la fin de notre mandat, la création de la halle des Cultures urbaines le long du cours Léon-Blum, à côté de la future salle de l’Asvel. Quoi que ce soit à ajouter ? Nous avons encore beaucoup d’idées, mais nous les proposerons aux Villeurbannais justement au moment de solliciter un prochain mandat. DÉCEMBRE 2011
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© Christian Ganet
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LES CLAIRS-OBSCURS DE CHRISTIAN SCHIARETTI Ruy Blas au TNP Par Étienne Faye
Pendant que se pressent encore les spectateurs dans les escaliers, qu’ils cherchent leur place, leur fauteuil rouge, confortable, neuf, je détaille la salle. La nouvelle salle du TNP, le Théâtre Roger-Planchon, a gardé l’esthétique et la disposition de l’ancien Théâtre de la Cité. Pas de balcon, de loge, de paradis. Je ne suis pas dépaysé, je suis juste mieux installé, et, comme promis par le directeur des lieux, le TNP fait son effet. Je me prépare déjà au lever de rideau, avec gourmandise. Au plaisir aussi de retrouver le verbe de Hugo et une grande mise en scène, spectaculaire, comme sait les créer Christian Schiaretti. Pour Ruy Blas, le proscenium a été allongé de quelques mètres, la scène vient presque à toucher les premiers fauteuils. Devant brillent la boîte du souffleur et les bougeoirs propres aux théâtres d’avant l’électricité. Très vite, la lumière baisse, le silence se fait, le rideau s’ouvre sur une scène profonde et sombre, un personnage marche d’un pas rapide. Il ouvre une porte dans un mur et dans la lumière surgit le sinistre Salluste. Les murs comme le sol sont recouverts d’une faïence gigantesque où domine un bleu de Chine et que le temps semble avoir défraîchie, tels ces décors que l’on découvre sous les couches de papier peint, ou ceux qui apparaissent après le passage des bulldozers. L’impression
d’être entré dans une machine à remonter le temps se confirme avec les costumes espagnols, superbes, de Salluste, de Ruy Blas, de la reine, et de tous les personnages qui vont apparaître. Robin Renucci, dans le rôle de don Salluste, est assez impressionnant, il ressemble aux mauvais seigneurs méphitiques de nos films d’enfance, et son cousin don César, joué par Jérôme Kircher, se révélera un assez irrésistible comique. Nicolas Gonzales, de la troupe du TNP, joue quant à lui un Ruy Blas tantôt niais, tantôt d’une haute lucidité, parfois un peu déclamatoire, au point qu’on croit encore entrer dans une machine à remonter le temps, et d’autres fois superbe de douleur, de sincérité, habité par la langue. Et quelle langue ! Celle de Victor Hugo, c’est tout dire. D’une effrayante subtilité, le style de la pièce est… théâtral, autant que faire se peut, recelant tant de ruptures de ton, de possibilité de jeu, que les comédiens s’en saisissent avec une visible jouissance. “Le vers hugolien est à son meilleur”, répète à l’envi Christian Schiaretti, et il est vrai qu’à l’entendre prononcé, plus encore qu’à le lire, il coule, s’installe, musical, comme l’alexandrin qu’il est, fort à l’hémistiche, mais sans s’annoncer, sans ostentation. Que dire. C’est du génie qui nous vient du XIXe siècle et qui nous éblouit maintenant. D’ailleurs, pour renforcer cette impression, il y a un parfum d’actualité, dans Ruy Blas, qui nous oblige à reconsidérer notre histoire immédiate à l’aune de l’histoire de l’Europe. Comment ne pas être saisi par cette absence du roi, pendant que les “vendeurs”, ainsi désignés par Hugo, s’emparent du pays et de ses ressources, comment ne pas entendre dans l’exclamation magnifique de cynisme de don Salluste qui prétend “guérir” Ruy Blas “du pathos”, alors que celui-ci ne faisait que défendre des idées d’honnêteté et de justice sociale, des enjeux on ne peut plus contemporains ? Ruy Blas est le valet de don Salluste, qui, lui, cherche à se venger de la reine. Il ordonne au laquais de prendre l’identité de don César, qu’il fait enlever car décidément impossible à contrôler, pour s’approcher de la reine et la séduire. Ce qui fonctionne à merveille, puisque l’homme du peuple affublé de ce masque devient même le premier ministre du conseil du roi. Au pouvoir, il prononce des discours prometteurs, il déloge les voleurs à la tête de l’État, et la reine est de plus en plus folle de lui. Mais don Salluste est son maître, il le tient dans sa main. C’est à une grande aventure madrilène que Christian Schiaretti nous convie. L’espace du plateau est immense, et le jeu s’enrichit sans cesse d’une géométrie que le metteur en scène maîtrise à merveille. Ici une fenêtre, là une porte soudain s’ouvrent, dans le fond, et surgit un personnage comme d’un tableau de Vélasquez, dans les clairs-obscurs du tableau des Ménines, ou bien un cadre doré enferme une somptuaire représentation de la Vierge, tandis que s’avance sur le mur du fond, à la faveur d’un coucher de soleil, l’ombre d’un balcon de fer forgé, comme ceux qui ornent l’ensemble des fenêtres de la capitale espagnole. Les lames menacent, sortent, ici ou là, mais ne trempent que peu dans les corps. La violence sourd, s’impose en chacun, avant le dénouement, d’une rare brutalité, inexorable. Il n’y a pas de paradis, au TNP. Jusqu’au 11 décembre au TNP
CLAIRE RENGADE REVIENT SOUS TERRE Les Terriens © Sergio Grazia
Par Étienne Faye
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Le titre pourrait paraître ambitieux, Les Terriens, mais c’est une sorte de constat, nous, les humains, sommes destinés à la terre, et même six pieds dessous. C’est donc sous la surface que Claire Rengade a imaginé Les Terriens, sous-titré Assurez-vous que vous faites totalement autre chose. Il s’agit d’un récit fantastique, dont le décor ressemble trait pour trait à un accélérateur de particules, une grosse machine à fabriquer du temps, et dans laquelle chaque humain aurait une tâche précise, mais sans avoir la moindre idée de l’ensemble, ni du but poursuivi. Claire Rengade nous confie s’être inspirée directement du CERN (Organisation européenne pour la recherche nucléaire, qui tient son acronyme de son ancien nom, le Conseil européen pour la recherche nucléaire), qu’elle a pu visiter longuement, dont elle a pu interroger les scientifiques ou les techniciens : “Nous avons voulu faire une sorte de biopsie de ce monde particulier, dit-elle, un monde qui possède son vocabulaire propre” et qui, pour une néophyte comme elle, était déjà un langage de science-fiction. “Au CERN, les dimensions sont irreprésentables, le cerveau tombe s’il essaie, nous explique la metteuse en scène. Ce que j’ai appris de cette part du réel qui m’était étrangère, je l’ai traduit avec ma sensibilité, mes mots d’auteur.” Claire Rengade, qui revendique “un geste simple”, a donc fait appel à sa poésie, à son sens de l’absurde, et à l’humour, pour marier son art avec la science, mais, affirme-t-elle, “avec le même sens de l’humour que le scientifique lorsqu’il décide de construire une machine qui n’existe pas !” Le centre de recherche fondamentale installé à la frontière franco-suisse
est un des plus pointus du monde, on y fait des expériences sur l’infiniment petit, on y enregistre des vitesses de déplacement de neutrinos ou de bosons qui pourraient remettre en cause la relativité générale d’Einstein, les particules s’y heurtent, interagissent… “Le temps échappe à la définition scientifique, on parle plutôt d’espace-temps”, explique l’autrice, mais cette machine qu’elle imagine fabrique du “temps c’est de l’argent”. Et cette notion, le spectateur la comprendra aisément car elle est, à l’évidence, souvent inscrite dans son quotidien. “Alors j’ai voulu qu’un de ceux qui font fonctionner la machine tombe amoureux.” Comme il fallait s’y attendre, la machine se grippe, et le grain de sable tant espéré, bien entendu, c’est l’amour. Comment le sentiment amoureux échappe à la machine, et ce que la fusion des êtres implique dans l’organisation du monde, c’est ce que Les Terriens devrait avoir l’ambition de révéler aux spectateurs. “Dans la bonne humeur, surtout”, et en musique. Car il faut ajouter que ce spectacle n’est pas tout à fait du théâtre, ni un concert, ni un spectacle de danse, puisque la compagnie Théâtre Craie a voulu faire la fusion aussi des genres, “des sens et des dimensions”, avec la partition musicale de Radoslaw Klukowski et la présence sur scène du quatuor Slash/Gordon. Mais comme toujours, en allant voir un spectacle du Théâtre Craie, on voudra éprouver ce plaisir du verbe ciselé, fort, engagé, de Claire Rengade. Du 1er au 5 décembre au Nouveau Théâtre du 8e (NTH8) Du 17 au 19 janvier au Théâtre de Vienne
spectacles vivants ©Kurt Weill Foundation
KURT WEILL DANS LA LUMIÈRE Philippe Delaigue à Vénissieux Interview par Étienne Faye
Bientôt la nuit
L’ancien directeur de la Comédie de Valence, Philippe Delaigue, aujourd’hui fidèle croix-roussien, présente Bientôt la nuit, au Théâtre de Vénissieux. Ses mises en scène alternent entre les spectacles musicaux, comme Bientôt la nuit, et les pièces de théâtre plus classiques, tel À l’ombre, qu’il présentera en janvier au Théâtre des Célestins. Les 2 pièces peuvent d’ailleurs être présentées ensemble, en diptyque, puisque l’une, nous explique le metteur en scène, découle de l’autre. Il s’agit en effet d’abord d’une commande faite à Pauline Sales sur l’entourage de Bertolt Brecht, dont on sait assez peu l’importance du premier cercle de ses amis, composé de femmes talentueuses, utilisées comme des “négresses” et qui étaient aussi ses maîtresses, du philosophe Walter Benjamin, du musicien Kurt Weill… C’est en travaillant sur ce spectacle que l’idée est venue de donner à entendre la musique de Kurt Weill. Quelques échanges avec Philippe Delaigue.
Comment se présente Bientôt la nuit ? Est-ce une comédie musicale, un opéra… ? Rien de tout cela. Il s’agit d’un tour de chant de Sylvain Stawsky, le comédien de la Fédération, qui s’est associé avec Philippe Gordiani, le sonorisateur de la compagnie, depuis longtemps, et qui est aussi un musicien exceptionnel de jazz expérimental. J’ai simplement voulu les accompagner, d’abord sur une forme très simple, guitare et voix, qui peut tourner partout, et puis dans ce spectacle plus scénographié, avec une bande-son. Philippe Gordiani a transposé pour la guitare les partitions colossales de Kurt Weill, et j’ai cherché quant à moi à retracer, plutôt à souligner, à travers les chansons du compositeur, sa biographie. Communiste, Kurt Weill fut donc un compagnon de Bertolt Brecht, pour lequel il composa L’Opéra de quat’sous, puis il dut s’exiler après l’arrivée de Hitler. Il se réfugia d’abord en France, à Paris, en 1934-1935, puis aux États-Unis, où il devint un des grands compositeurs de Broadway. Je me sens beaucoup d’affinité avec ce genre d’artiste qui ne fait pas de distinction entre musiques populaire et élitiste. Il écrit des partitions complexes que les musiciens aiment, et des airs que les auditeurs reprennent dans la rue. À l’instar de Jean Vilar pour le théâtre, une musique élitaire pour tous ! Vous mettez beaucoup en scène la musique. Qu’est-ce qui motive ce désir ? J’ai fait de la musique, et j’éprouve beaucoup d’amour pour cet art, et beaucoup d’admiration pour ceux qui le pratiquent, leur virtuosité, cette rapidité à se saisir d’une
partition ou d’un instrument. Contrairement au théâtre, c’est une discipline pure. L’intérêt que je peux trouver à marier ainsi la musique avec le théâtre ? Je dirais que c’est d’abord cette ambition de croiser les publics, et c’est ce qui avait très bien fonctionné avec le Quatuor Debussy et Le Bonheur des uns, qu’on avait joué, par exemple, à la Croix-Rousse. Je crois que ce n’est pas la même façon de s’adresser au public ; il s’agit de donner accès à la musique par l’image, c’est un moyen que le théâtre donne à la musique de se laisser découvrir. Est-ce que le mariage de la musique et du théâtre, ce n’est pas d’abord la danse ? Je reste un metteur en scène de théâtre et j’ai le sentiment que la danse est assez éloignée, finalement, de mon art. En revanche, la musique me semble occuper des territoires plus proches. Même si la coexistence, sur scène, entre musiciens et comédiens est lourde, il faut les gérer selon des économies différentes : le musicien a-t-il besoin de sa partition et donc d’éclairage, est-ce qu’il peut bouger… ? Il y a aussi la place de l’un et de l’autre. Comment gérez-vous cela ? En l’occurrence, dans Bientôt la nuit, c’est un tour de chant, avec un peu d’images et de la parole autour. Mais, en effet, il faut toujours interroger le sens que l’on donne à la présence de la musique. Doit-elle être illustrative, voire décorative, ou en lien organique avec le théâtre ? Les deux doivent-ils se répondre ou s’organiser en commun ? En tout cas, la mécanique entre les deux doit me permettre de trouver des chemins de création originaux, de multiplier mes chances d’ouvrir les consciences. Bientôt la nuit, les 15 et 16 décembre au Théâtre de Vénissieux À l’ombre, du 17 au 27 janvier aux Célestins
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musique ■
concerts express ■ À leur manière décalée et inclassable, ces 2 iconoclastes dans le paysage musical français osent les chemins de traverse et les fantaisies lunaires. Ex-signature de Talitres, François and The Atlas Mountains signe déjà un 4e opus sur le label anglais Domino (The Kills, Anna Calvi…) et confirme son goût pour une musique aventureuse et sans entraves, tantôt en anglais, tantôt en français, balade enjôleuse entre poésie, pop onirique et folk aquatique. Pseudo bizarre, mais le Prince Miiaou (+ Le Fil, 21 janvier) avance sûre de son fait, forte de ses obsessions ravageuses et de ses angoisses métaphysiques. Guitare en bandoulière et voix forte, Maud-Élisa Mandeau lâche les chiens dans un magma sonore nourri de cordes, guitares acérées, cris et respirations.
© ©Fre?de?ric Stucin/M.Y.O.P
© Christine Grosjean
Par Anne Huguet
30 ans déjà pour la plus vieille salle de l’agglomération lyonnaise ! Le Clacson (ex-Musiques à l’ouest ou Rock Échange) continue de défendre une certaine idée du concert : “C’est important de ne pas devenir des revendeurs de spectacles mais de continuer à faire vivre un lieu de vie, de partage, d’émotion artistique. Avoir de l’exigence artistiquement, professionnellement, mais aussi dans le lien que nous tissons entre les groupes, le public et l’organisation. C’est le petit plus d’une salle, ce quelque chose invisible qui fait que les gens s’y sentent bien”, rappelle Marion Bornaz, “tenancière” programmatrice de la chaleureuse salle voûtée d’Oullins. “Nous ne soutenons pas des esthétiques mais des manières de faire, de penser la musique, de la diffuser. Quand on fait Michel Cloup de Diabologum ou Thee Oh Sees, on ne peut pas dire que tout ceci ait grand-chose à voir. Pourtant, personne ne reste insensible devant ce genre de groupes. On aime ou on déteste, mais il se passe quelque chose sur scène, parce que ce sont des artistes qui portent, dans leur musique et leur histoire, quelque chose de particulier.” Dont acte avec une programmation passionnée (quelque 30 dates par an) de coups de cœur et d’expériences sonores à vivre qui font la part belle à l’esthétique rock, mais aiment surprendre et faire réagir avec des artistes en marge. Bonne nouvelle, d’ailleurs, le Clacson travaille avec le Marché-Gare et l’Épicerie moderne au projet d’une SMAC éclatée sur l’agglomération lyonnaise. Plus joyeusement, à ne pas louper dès décembre, l’ovni en provenance de Montréal : le quatuor déjanté de Duchess Says fait du bruit et des distorsions et joue avec furie des claviers. Après avoir officié du côté de la perruche (si, si, si, avec leur 1er album Anthologie des 3 perchoirs), les voilà barrés dans les célébrations païennes avec la mystérieuse Church of Budgerigars, toujours autour du culte de la perruche ! Moog rock disent-ils, électro-punk c’est sûr avec refrains hystériques, claviers dansants et une tension palpable de tous les instants. En 10 psaumes survoltés, les Canadiens envoient la sauce, leur égérie ACD (Annie-Claude Deschênes) ne détestant pas pousser la performance dans les extrêmes. Punk attitude for ever.
François and The Atlas Mountains Affiche trance plutôt pointue pour cette nouvelle After/Before Électrochoc des Abattoirs, puisque concoctée par les activistes grenoblois de Hadra. Une affiche haute en couleurs et en sons servie par quelques pointures du genre, on s’en doute, avec rythmiques hypnotiques et sonorités ethno-tribales au menu. Ce ne sont pas moins de 9 artistes et DJ qui vous mèneront jusqu’au bout de la nuit, dont l’électron libre Shotu et sa trance planante, les ambiances trance Goa du Maroco-Grenoblois DJ Driss, l’ovni électro-acoustique d’ambient world Secret Vibes, la pulsation psychotique des Israéliens de Psysex ou encore le duo de Poitiers Mazal, qui allie électro planante et chants traditionnels séfarades. Les Abattoirs, 10 décembre
Debout sur le Zinc
Transbordeur, 9 décembre
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Claire Diterzi
ROSA LA ROUGE Par Laurent Zine
Espace Jean-Carmet, 9 décembre
Après M ou K, voici L, nouvelle égérie de la chanson à textes. L, alias Raphaële Lannadère, a une voix douce, presque feutrée, du genre à caresser les mots, à faire rouler les syllabes et tourbillonner les lettres avec un phrasé suave. Cette auteure-compositrice-interprète est très fière de son 1er album intemporel, Initiale, sorti il y a quelques mois chez Tôt ou Tard. Sons raffinés, mélodies délicates qui convoquent batteries trip-hop, cordes entêtantes, voire même des guitares presque électriques, et textes pénétrants qui chantent l’amour sous toutes ses coutures sont autant de pistes pour découvrir l’univers singulier, tout à la fois dépouillé et luxuriant de cette fille un peu surannée qui avoue “tout faire pour convoquer la grâce”. Recommandée par Brigitte Fontaine et Jacques Higelin, pour ne rien gâcher ! Train-Théâtre, 13 décembre, Théâtre du Vellein, 14 décembre, Cave à musique, 16 décembre, L’Aqueduc, 4 février
Happy Birthday le Clacson !, 3 décembre + Duchess Says, 6 décembre
Après un intermède musical pour enfants et un album live, Debout sur le Zinc remet le couvert avec un 6e opus studio (La Fuite en avant) dans la lignée de ce qu’on lui connaît : des chansons à boire et à danser avec accordéon, tambour et banjo qui célèbrent toujours une chanson française festive traversée de valses, tangos et javas, de musiques yiddish et irlandaises, de sonorités électriques et de bons mots. Groupe de scène avant tout, les revoilà sur le pied de guerre pour faire tourner leurs instruments, chanter à 3 voix, haranguer le chaland et distiller leurs vibrations positives. Avec Oldelaf et Emzel Café.
Cirque des Mirages “Une descente orphique”, dixit le poète-philosophe Yanowski, également chanteur-bonimenteur inquiétant de cet incroyable duo qu’est le Cirque des Mirages. Depuis plus de 10 ans, ces deux-là explorent la face sombre du monde avec un cabaret-théâtre expressionniste et fantasmagorique qui nous plonge dans les bas-fonds de la Mitteleuropa des années 1930. On y croise d’étranges personnages peu rassurants, prostituées en goguette, écrivains ratés, aristos déglingués et autres individus louches en bout de course. Yanowski, avec sa face blême et ses mains monstrueuses, chante ou déclame d’une voix troublante des textes grinçants tandis que l’autre, Parker, fait des gammes et tient les partitions. Bienvenue dans un entre-deux étrange, tout à la fois hallucinatoire, subversif et plein de poésie. Expérience.
©Emmanuel Bacquet
Duchess Says
© L-Perstowsky
Marché-Gare, 1er décembre
Incarner la pasionaria Rosa Luxembourg au théâtre n’est sûrement pas une mince affaire. Chanteuse pour le moins audacieuse et auteur-compositeur multicartes, Claire Diterzi a relevé le défi dans une rocambolesque épopée musicale justement baptisée Rosa la Rouge et joliment mise en scène par Marcial Di Fonzo Bo. Ce spectacle qui mixe allègrement “chanson, théâtre, vidéo, danse et performance” est ainsi une évocation libre et passionnée de la courte mais ô combien intense trajectoire de Rosa Luxembourg, emblématique dirigeante communiste, révolutionnaire et pacifiste, assassinée par quelques sbires d’extrême droite en 1919. Rosa la Rouge, figure intemporelle de la femme libérée bien avant l’heure de l’émancipation et bien avant que la politique n’abandonne toute idée de transformation radicale de la société. Tour à tour grave et légère, naviguant dans le passé pour mieux revenir au présent, Claire Diterzi semble à l’aise dans ce costume d’aventurière exaltée, largement affranchie et parfois survitaminée, qui interpelle forcément sans que l’on sache vraiment s’il faut en rire ou en pleurer. Le pari était osé, le résultat est surprenant. Et le moins que l’on puisse dire est que Claire Diterzi y a vraiment mis du sien, jusqu’au bout des ongles, pour personnifier à sa façon une Rosa la Rouge dont la mission entamée au début XXe est sûrement loin d’être achevée. Rosa la Rouge, les 15 et 16 décembre au centre culturel Théo-Argence
agenda Pour janvier, envoyez vos infos avant le 10 décembre à 491@wanadoo.fr et ah491@wanadoo.fr
JEUDI 1ER DÉCEMBRE B-REAL (CYPRESS HILL) - PSYCHO REALM Transbordeur à 20h. 27,5€ CHARLES AZNAVOUR Halle Tony Garnier à 20h30. 100€ - 60€ LYNDA LEMAY Bourse du Travail à 20h30. 43€ - 38€ AEREA NEGROT - DJ PEEL - KAIS - MIIMO vs LOFTI Marquise à 21h. 8€ - 5€ DJ TATIE CHARBY - Sirius à 22h. Gratuit GILLES POIZAT - JEANNE ADDED - Sonic à 21h LE PRINCE MIAOU FRANÇOIS AND THE ATLAS MOUNTAINS Marché Gare à 20h. 12€ - 8€ ALAIN BEDARD «AUGUSTE» QUARTET Périscope à 21h. 12€ - 8€ NURSES - Kraspek Myzik à 20h30. 7€ - 5€ JEAN GUIDONI À Thou Bout d’Chant à 20h30. 12€ - 8€ ANTONIN - DJ NEEK’O Ninkasi Sans-Souci à 20h30. Gratuit LOW - L’ÉTRANGLEUSE Épicerie Moderne à 20h30. 14€ - 10€ FLORENT MARCHET - CLOTILDE COURAU Théâtre de Bourg-en-Bresse à 20h30. 22€ - 10€ VENDREDI 2 DÉCEMBRE ABA SHANTI - ROOTIKAL WARRIAH SOUND SYSTEM - MANKIND HI-FI La Ficelle Lyon 4e à 20h. 10€ LIXÈS ORCHESTRA - Périscope à 21h. 8€ - 6€ CAMEL ARIOUI - KARABEN Salle Léo Ferré à 20h30. 12€ - 9€ CHARLIE TANGO Salle des Rancy à 20h30. 12€ - 9€ BIG BAND DE MUSIQUE DE L’AIR Auditorium de Lyon à 12h30 et 15h. 10€ PORN - OPERATION OF THE SUN - 16H30 AUX INDES Marquise à 19h30. Gratuit JUN MATSUOKA - Marquise à 23h. Gratuit CHARLES AZNAVOUR Halle Tony Garnier à 20h30. 100€ - 60€
APPLAUSE - TACHKA - TATIE CHARBY Ninkasi Kafé à 21h. Gratuit M’A-T-IL DY - Kraspek Myzik à 20h30. 7€ - 5€ JEAN GUIDONI À Thou Bout d’Chant à 20h30. 12€ - 8€ INLAKESH - Théâtre Le Fou à 21h. 9€ - 7€ SNAKE FUZZ MOAN Ninkasi Croix-Rousse à 20h. Gratuit GuitareS : JOËL FAVREAU Espace Tonkin à 20h30. 18€ - 8€ BRICE ET SA PUTE - POIL Toï Toï Le Zinc à 20h30. 5€ DJ NEEK’O - Ninkasi Sans-Souci à 20h30. Gratuit MANSFIELD TYA - BAXTER DURY Épicerie Moderne à 20h30. 13€ - 9€ OLIVIER KER OURIO QUARTET feat. EMMANUEL BEX / ANDRÉ CECCARELLI Théâtre de Vénissieux à 20h30. 18€ - 11€ WILKO JOHNSON - MISTER JOHNSON & THE WILD DOGS Abattoirs à 20h30. 15€ - 13€ GILBERT LAFFAILLE - JEANNE GARAUD Vox Bourg-en-Bresse à 21h. 15€ - 12€, 04 74 21 04 55 FLORENT MARCHET - CLOTILDE COURAU Théâtre de Bourg-en-Bresse à 20h30. 22€ - 10€ ZAZIE Le Scarabbée à Roanne à 20h30. 55€ - 45€ BLITZ THE AMBASSADOR - MILK COFFEE & SUGAR Le Fil à 20h30. 10€ CHRISTOPHER MURRAY TRIO Chok Théâtre à 20h30. 10€ - 7€ GUILLAUME GRAND Salle Jeanne d’Arc à 20h30. 24,7€ SAMEDI 3 DÉCEMBRE THE PACK A.D. - THE DREAM OF SMOKING RABBIT Kraspek Myzik à 20h30. 7€ - 5€ JEAN GUIDONI À Thou Bout d’Chant à 20h30. 12€ - 8€ BYE BYE DUBAÏ invite… Théâtre Le Fou à 21h. 9€ - 7€ ISABELLE BAZIN SOLA - Agend’Arts à 20h. 7€ -3€
SARAH MIKOWSKI - 6e Continent à 21h. 5€ - 3€ BARCELLA - Salle des Rancy à 20h30. 12€ - 9€ DJ PHILGOOD - Marquise à 23h. Gratuit DJ JAMES STEWART - ELECTROSEX Sirius à 22h. Gratuit HONEY FOR PETZI - Sonic à 21h FESTEN - Périscope à 21h. 10€ - 6€ MAGGY SMISS - MAURICE LACHANCE Ninkasi Kafé à 21h. Gratuit DJ DIÉGO & BAL TANGO Club 48 Lyon 8e 21h30/2h. 15€ - 12€, 06 49 24 32 20 AMIR JOHN HADDAD Espace Tonkin à 20h30. 22€ - 18€ FEMI KUTI AND THE POSITIVE FORCE Transbordeur à 20h30. 29€ DJ NEEK’O - Ninkasi Sans-Souci à 20h30. Gratuit 30 ANS : INDY ALL STAR BAND PROJECT POWERSOLO + BOOM ! Clacson à 20h30. 6€ à gratuit COOKIE DINGLER - JEAN-PIERRE MADER IMAGES etc. - Scarabbée Roanne à 20h30. 39,5€ WATER LILY - SOLANGE LAFRANGE PLASTIC FM etc. - Le Fil dès 22h. 15€ - 8€ AUCAN - PICORE - LaPéniche à 21h. 6,5€ - 3€ A STATE OF MIND - PRIMATE Moulin de Brainans à 21h. 14€ - 10€ DIMANCHE 4 DÉCEMBRE ISABELLE BAZIN SOLA - Agend’Arts à 18h. 7€ -3€ TREMPLIN DÉCOUVERTE À Thou Bout d’Chant à 20h30. 2€ DJ EL CHE Y SUS AMIGOS - Sirius à 17h. 5€ POWERSOLO - DR UNK Cave à Musique à 19h. 5€ - 2€ SLY APOLLINAIRE - Ninkasi Opéra à 20h. Gratuit OCTÂVE LA CROÛTE - LABORATOIRE INÉDIT DU CIVIL CCO à 17h. Prix libre LUNDI 5 DÉCEMBRE LISA EKDAHL - Transbordeur à 20h. 38,5€ DECAPITATED - ABORTED - CYANIDE SERENITY etc. Salle du Kao à 19h. 25€ - 20€
MARDI 6 DÉCEMBRE 100 MONKEYS - Transbordeur à 20h. 23€ SOIRÉE ZIC ZAC - À Thou Bout d’Chant à 20h30. 3€ DUCHESS SAYS - TRIVIALE BEAUTÉ Clacson à 20h30. 12€ - 8€ JESS TRIO - Maison du Peuple à 19h30. Gratuit TARTINE REVERDY - Briscope à 19h30. 10€ - 7€ MERCREDI 7 DÉCEMBRE HYSTERY CALL - DOBERMAN [CREW] PEPPER NOSTER etc. Marché Gare à 20h. 1 jouet neuf PAT JORDACHE - Kraspek Myzik à 20h30. 7€ - 5€ BOULEVARD DES AIRS - Salle du Kao à 20h30. 18€ DIDIER WAMPAS Transbordeur à 20h30. 25€ - 22€ LIZA MANILI - DONKEY SHOT - Sirius à 20h30. Gratuit MOTTO - Sonic à 21h KLEZMER GOY’S BAND Théâtre de Bourg-en-Bresse à 12h15. Gratuit JEUDI 8 DÉCEMBRE THE BLACK LIPS - ACID BABY JESUS Salle du Kao à 20h30. 20€ - 17€ DUAL SHOCK - RATBEAT - ASCO Marquise 23h/4h. 5€ DJ JAMES STEWART - Sirius à 22h. Gratuit FOREST FIRE - Sonic à 21h JACK MONO BLUES Montana Lyon 1er à 21h. Sur réserv. 04 78 28 54 06 LOUIS BERTIGNAC - Transbordeur à 20h30. 34€ THOMAS DUTRONC Théâtre de Villefranche à 20h30. 30€ LA FOUINE - SULTAN - Le Fil à 20h. 27€ - 23€ VENDREDI 9 DÉCEMBRE DEBOUT SUR LE ZINC - OLDELAF - EMZEL CAFÉ Transbordeur à 20h. 24€ - 19€ DJ NEEK’O - Ninkasi Sans-Souci à 20h30. Gratuit LADS IN VERTIGO feat. THE SOCKS - TANGO & CASH Ninkasi Kafé à 21h. Gratuit PATRICK FIORI Halle Tony Garnier à 20h30. 44€ - 37€
GANGPOL UND MIT - HAPPY CHURCH EASTER BOOTY MIX - Périscope à 21h. 9€ - 7€ CHYLORAMA - DJ GASTON - Sirius à 22h. Gratuit DJ PHILGOOD - Marquise à 23h. Gratuit COPYLEFT - Sonic à 21h ZION HIGH FOUNDATION & GANJU meet FRIENDS Boulevardier 21h/5h. 5€ WU LYF - LES MARQUISES - APES & HORSES Épicerie Moderne à 20h30. 17€ - 13€ LES 2MOIZELLES DE LA CHORALE MUNICIPALE DE ST-BENÊT LA CHIPOTTE Aqueduc à 20h30. Gratuit sur réserv. NICOLAS JULES - NOAH LAGOUTTE Orangerie - Reyrieux à 20h30. 10€ - 6€ LE CIRQUE DES MIRAGES Espace Jean Carmet à 2030. 16€ - 8,5€ JEAN-JACQUES MILTEAU TRIO Auditorium de Villefranche à 20h30. 20€ - 17€, 04 74 60 31 95 FINALE DÉCOUVERTES RHÔNES-ALPES PRINTEMPS DE BOURGES 2012 Tannerie à 21h. Gratuit SANSÉVÉRINO - Train-Théâtre à 20h30. 20€ FINALE BUZZ BOOSTER avec JPG LINSO - MOONS etc. - Le Fil à 20h30. Gratuit SAMEDI 10 DÉCEMBRE SCÈNES OUVERTES - Kraspek Myzik à 20h. 2€ DOBA - Périscope à 21h. Gratuit DJ PHILGOOD - DJ CARIE - Sirius à 22h. Gratuit JUN MATSUOKA - Marquise à 23h. Gratuit ANJA SCHNEIDER - RULE - HERVÉ AK Salle du Kao 23h30/6h. 15€ - 12€ MAGGY SMISS - MAURICE LACHANCE Ninkasi Kafé à 21h. Gratuit DJ NEEK’O - Ninkasi Sans-Souci à 20h30. Gratuit After/Before Electrochoc 6.5 : LIQUID ROSS PSYSEX - ADÈLE - LAKAY - MAZAL - SECRET VIBES SHOTU etc. - Abattoirs 21h/5h. 18€ - 15€ SAMMY DECOSTER - GELKOM Laboratoire Vienne à 20h. 6€ LAO EXPERIMENT - OÏBARA - THE ARCHITECT Le Fil à 21h. Gratuit
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agenda
KUMBAYA MY LEGS Caveau du Chien à 3 Pattes à 21h. 11€ - 5€ AKALÉ WUBÉ - GLÜCK Crescent Jazz Club à 21h. 15€ FINALE DÉCOUVERTES RHÔNES-ALPES PRINTEMPS DE BOURGES 2012 Tannerie à 21h. Gratuit DIMANCHE 11 DÉCEMBRE PATRICE KALLA & YANNICK BENHAMED Agend’Arts à 18h. 7€ -3€ CHRISTOPHE RIGAUD - Ninkasi Opéra à 21h. Gratuit DJ EL CHE Y SUS AMIGOS - Sirius à 17h. 5€ CŒUR DE PIRATE - Transbordeur à 19h. 27,5€ NO ONE IS INNOCENT - GOLDEN ZIP - WHIST22 MJC Ô Totem à 20h. 17€ - 13€ Jazz en scène : AMNÉSIAC QUARTET - SHIREI TRIO TRIBUTE TO RADIOHEAD - Le Fil à 18h. 12€ - 10€ LUNDI 12 DÉCEMBRE SHAKA PONK - APPLE JELLY Transbordeur à 19h. 28€ - 25€ ROCCA - DJ P - Marquise à 21h. 15€ MARDI 13 DÉCEMBRE GENTLE ART OF MAKING NOISE CHRISTOPHE RIGAUD - Marquise à 20h. Prix libre ROMAIN LATELTIN À Thou Bout d’Chant à 20h30. 12€ - 8€ AARON - NADEAH - Transbordeur à 20h. 30€ - 25€ L - BASTIEN LALLEMANT Train-Théâtre à 20h30. 17,5€ - 14€ MERCREDI 14 DÉCEMBRE JAIME SALAZAR Amphithéâtre Opéra de Lyon à 12h30. Gratuit ROSEWOOD CHILD - Sirius à 22h. Gratuit NATTY COOL - SOUL STÉRÉO - ROOTS SYNDICATE Marquise à 23h. 5€, filles gratuit L - Théâtre du Vellein à 20h30. 17€ - 12€ JEUDI 15 DÉCEMBRE BIGRE ! - Périscope à 21h. 10€ - 6€ TANGRAM - MIRABO - MADAME OLGA Marché Gare à 20h30. 10€ - 8€ POINT.BLANK - HABSTRAKT - M3T4 - SHYN DEPHAS8 - Marquise à 23h. Gratuit DJ CONNASSE - Sirius à 22h. Gratuit BLACK BURNE - Sonic à 21h KEREN ANN - DORIAND Transbordeur à 20h30. 30€ THE BEATLESS - DJ NEEK’O Ninkasi Sans-Souci à 20h30. Gratuit JORIS - Ninkasi Opéra à 21h. Gratuit APPLE JELLY - MIA APRIL Kraspek Myzik à 20h30. 7€ - 5€ BERNARD JOYET À Thou Bout d’Chant à 20h30. 12€ - 8€ DAISY LAMBERT - Abattoirs à 20h30. Gratuit EASY METHOD - Tannerie à 19h. Gratuit TÊTES RAIDES Ainterexpo Bourg-en-Bresse à 20h30. 26€ - 19€ VENDREDI 16 DÉCEMBRE JAIME SALAZAR Amphithéâtre Opéra de Lyon à 12h30. Gratuit RICCARDO DEL FRA & SES INVITÉS Amphithéâtre Opéra de Lyon à 20h30. 16€ - 10€ HILYLE & SEONE - HIGHLY SEEN HARMONY OF JAH - RUDIE JACOB Boulevardier à 21h. 6€ BERNARD JOYET À Thou Bout d’Chant à 20h30. 12€ - 8€ DJ ABITBOL BLIND TEST - Kraspek Myzik à 20h. 2€ HUGO CLARENCE - Ninkasi Croix-Rousse à 20h. Gratuit FORRÓ DE REBECCA - Périscope à 21h. 10€ - 6€ FREAKISTAN - ELECTROSEX - Sirius à 22h. Gratuit DJ BOOLIMIX & FRIENDS - Marquise à 23h. Gratuit BASS FREAKDOGZ - Sonic à 21h TATA MILOUDA & TARIK CHAOUACH 6e Continent à 21h. 5€ - 3€ ELISA DO BRASIL - MISSILL - NEKOCHAN - TOFIE Salle du Kao 23h/5h. 20€ - 15€ M.POKORA - Transbordeur à 20h. 37€ DJ NEEK’O - Ninkasi Sans-Souci à 20h30. Gratuit SOIRÉE EMERGENCES avec COLLECTIF D’TENDUS
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DE LA MARMITTE - MJC Jean Cocteau à 20h30. 3€ NO MAD ? - L’ÉMIGRANT Abattoirs à 20h30. 12€ - 9€ WITLOOF OF BAY Théâtre du Vellein à 20h30. 17€ - 12€ L - BASTIEN LALLEMANT Cave à Musique à 21h. 13€ - 9€ MELISSA NKONDA - Salle Jeanne d’Arc à 20h30. 22€ - 19,7€, 04 77 20 04 86 LA MINE DE RIEN - IMBERT IMBERT Train-Théâtre à 20h30. 15,5€ - 13,5€ WILKO JOHNSON - CASANEGRA Moulin de Brainans à 21h. 15€ - 10€ SAMEDI 17 DÉCEMBRE CHLORINE FREE - BOOSTER ECHOPLEX Périscope à 21h. 10€ - 6€ RICCARDO DEL FRA & SES INVITÉS Amphithéâtre Opéra de Lyon à 20h30. 16€ - 10€ BERNARD JOYET À Thou Bout d’Chant à 20h30. 12€ - 8€ JEMY «SENS AMERS» - MARCO POLIO Agend’Arts à 20h. 7€ -3€ JUN MATSUOKA - Marquise à 23h. Gratuit TATIE CHARBY - DJ CARIE - Sirius à 22h. Gratuit SNIPER - Salle du Kao à 20h. 21€ MAGGY SMISS - MAURICE LACHANCE Ninkasi Kafé à 21h. Gratuit SINSÉMILIA - Transbordeur à 20h. 26€ - 23€ BAL FOLK - CCO à 20h30. 4€ DJ NEEK’O - Ninkasi Sans-Souci à 20h30. Gratuit BRICO JARDIN Théâtre de Villefranche à 15h. 13,5€ - 10€ IN DEATH’S EMBRACE - INSIDE DOWN 11 LOUDER etc. - Cave à Musique à 21h. 7€ - 3€ MARC THOMAS - Crescent Jazz Club à 21h. 10€ TWO TONE CLUB - UPSESSIONS THE MOON INVADERS - LaPéniche à 21h. 10€ - 6,5€ DIMANCHE 18 DÉCEMBRE JEMY «SENS AMERS» - BOUTCHOU Agend’Arts à 18h. 7€ -3€ PAULIE THE RAPTOR - Ninkasi Opéra à 20h. Gratuit DJ SOPHIE & ROBERTO Club 48 Lyon 8e à 20h. 8€ - 5€, 06 49 24 32 20 MERCREDI 21 DÉCEMBRE GOLTRAIGE - Agend’Arts à 20h. 7€ -3€ LITTLE BIG DJÜ - Ninkasi Kafé à 21h. Gratuit DAOUD - Ninkasi Croix-Rousse à 20h. Gratuit LAURENT GARNIER - P.MOORE - Plateforme à 22h. DONKEY SHOT - Sirius à 22h. Gratuit JEUDI 22 DÉCEMBRE DJ JAMES STEWART - Sirius à 22h. Gratuit GOLTRAIGE - Agend’Arts à 20h. 7€ -3€ PETER ALEXANDRE - Ninkasi Opéra à 21h. Gratuit FOX ALLEN - DJ NEEK’O Ninkasi Sans-Souci à 20h30. Gratuit VENDREDI 23 DÉCEMBRE GOLTRAIGE - Agend’Arts à 20h. 7€ -3€ DJ HARRY COVER - DJ GASTON Sirius à 22h. Gratuit DJ BOOLIMIX - Marquise à 23h. Gratuit DJ NEEK’O - Ninkasi Sans-Souci à 20h30. Gratuit LES RAVES AGÉES DU BULBE - BARSON BUD’S THE BLANDEST etc.. - Moulin de Brainans à 21h. 8€ SAMEDI 24 DÉCEMBRE TATIE CHARBY - DJ STÉPHANE? Sirius à 22h. Gratuit MR DAY - Marquise à 23h. Gratuit MARDI 27 DÉCEMBRE DOXORPHAN - Ninkasi Kafé à 21h. Gratuit MERCREDI 28 DÉCEMBRE JOSÉ NEVÈS - Sirius à 22h. Gratuit JEUDI 29 DÉCEMBRE DJ STÉPHANE? - Sirius à 22h. Gratuit VENDREDI 30 DÉCEMBRE FREAKISTAN - ELECTROSEX - Sirius à 22h. Gratuit THE MOBSTERZ - Ninkasi Kafé à 21h. Gratuit DJ NEEK’O - Ninkasi Sans-Souci à 20h30. Gratuit SAMEDI 31 DÉCEMBRE LA BICHE - MIIMO - MR EDDY - FLASHART Marquise à 23h. 10€ BOOST - DJ GASTON - Sirius à 22h. Gratuit RÉVEILLON avec XAVIER LACOUTURE À Thou Bout d’Chant à 21h30. 50€
CLASSIQUE JEUDI 1ER DECEMBRE ONL, dir. Ludwig Wicki - Musiques d’Hollywood Auditorium de Lyon à 20h. 36€ à 8€ ONL / BIG BAND DE LA MUSIQUE DE L’AIR / JAMES TOCCO, dir. Leonard Slatkin Gershwin, Ellington, Bernstein etc. Auditorium de Lyon à 20h. 46€ à 8€ MUSIQUE ANCIENNE, CNSMD Lyon Salle Varèse à 20h30. Gratuit VENDREDI 2 DÉCEMBRE JB MATHULIN - Schubert, Liszt, Chopin Amphithéâtre Opéra de Lyon à 12h30. Gratuit MUSIQUE DE CHAMBRE, CNSMD Lyon Salle Varèse à 20h30. Gratuit LE PARLEMENT DE MUSIQUE ARTE DEI SONATORI & MAÎTRISE DE BRETAGNE, dir. Martin Gester - Hændel Chapelle de La Trinité à 20h. 70€ - 30€ FABRICE JÜNGER - Jodlowski, Kahn, Bothen Espace Robert Martin, Lyon 2e à 12h30. Sur réserv. 04 78 85 66 65 LE CONCERT DE L’HOSTEL DIEU, dir. Franck Emmanuel Comte Chants de Noël populaires du XVIIe Église St-Pierre Chanel - Rillieux-la-Pape à 20h30.
DÉCEMBRE 2011
10€ - 8€, 04 37 85 01 50 LES PETITS CHANTEURS DE ST-MARC , dir. Nicolas Porte CC Jean Moulin à Mions à 20h30. 12€ - 9€, 04 72 23 26 10 QUATUOR BÉLA Théâtre de Villefranche à 12h15. 13,5€ - 10€ SAMEDI 3 DÉCEMBRE ONL / BIG BAND DE LA MUSIQUE DE L’AIR / JAMES TOCCO, dir. Leonard Slatkin Gershwin, Ellington, Bernstein etc. Auditorium de Lyon à 18h. 46€ à 8€ DIMANCHE 4 DÉCEMBRE MUSICIENS DE L’ORCHESTRE DE L’OPÉRA DE LYON Strauss, Lehár, Tsurusaki etc. Opéra de Lyon à 11h30. 21€ - 10€ YVES CASTAGNET & MUSICIENS DE L’ONL Bach, Vivaldi, Friedrich Auditorium de Lyon à 11h. 16€ à 8€ LOÏC MALLIÉ & CHORALE DE SOUCIEU-EN-JARREST, dir. F. Plassard Église de Soucieu-en-Jarrest à 16h30. Gratuit, 04 78 05 29 96 MATTHEW JONES & MICHAEL HAMPTON Schubert, Prokofiev Église ND de la Paix, Mâcon à 17h. 20€, gratuit -18 ans, 03 85 35 61 38 ORCHESTRE DU CNSMD LYON, dir. Peter Csaba Wagner, Mahler Espace des Arts à 17h. 22€ - 8€ LUNDI 5 DÉCEMBRE VENICE BAROQUE ORCHESTRA & PATRICIA PETITBON, dir. Andrea Marcon Scarlatti, Vivaldi, Stradella etc. Chapelle de La Trinité à 20h. 110€ - 40€ ORCHESTRE DU CNSMD LYON, dir. Peter Csaba Wagner, Mahler Auditorium de Lyon à 20h. 16€ - 8€ MARDI 6 DÉCEMBRE THOMAS PELLERIN - Vivaldi, Merulo, Gabrieli Amphithéâtre Darasse à 20h30. Gratuit QUATUOR DEBUSSY - Bizet, Verdi, Puccini Théâtre de Vienne à 20h30. 20€ - 10€ MERCREDI 7 DÉCEMBRE CNSMD LYON & CRR PARIS, dir. Jean Tubéry Gabrieli Salle Varèse à 20h30. Gratuit ENSEMBLE INFINITY & JEAN-PIERRE DROUET Kagel, Aperghis, Globokar Loft Gœthe Institut à 20h. Gratuit sur réserv. 04 72 07 37 00 JEUDI 8 DÉCEMBRE TRIO BARBARESQUE - Ciconia, Landini … Salle Varèse à 20h30. Gratuit ONL & SIR JAMES GALWAY, dir. Leonard Slatkin Carter, Barber, Corigliano Auditorium de Lyon à 20h. 46€ à 8€ LA CHAMBRE PHILHARMONIQUE, dir. Emmanuel Krivine - Beethoven, Schumann Théâtre du Vellein à 20h30. 28€ - 20€ VENDREDI 9 DÉCEMBRE CNSMD LYON - Mendelssohn, Chopin, Rossini etc. Salle Varèse à 18h et 20h30. Gratuit SAMEDI 10 DÉCEMBRE ONL & SIR JAMES GALWAY, dir. Leonard Slatkin Carter, Barber, Corigliano Auditorium de Lyon à 18h. 46€ à 8€ CHŒUR D’ORATORIO - BERNARD TÉTU - Kodaly Ferme du Vinatier à 14h30 et 20h. Gratuit DIMANCHE 11 DÉCEMBRE MAÎTRISE DE L’OPÉRA DE LYON & GRÉGORY KIRCHE, dir. Karine Locatelli - Chants de Noël Église St-Bonaventure à 16h. 16€ - 10€, 0826 305 325 CHŒUR D’ORATORIO - BERNARD TÉTU - Kodaly Ferme du Vinatier à 10h et 14h30. Gratuit MARDI 13 DÉCEMBRE CONCERTO KÖLN - BAROCK ORCHESTER, dir Markus Hoffman Hændel, Telemann, Corelli, Vivaldi Salle Molière à 20h. 35€ à 5€, 04 78 38 09 09 MUSIQUE DE CHAMBRE, CNSMD Lyon ENS Lyon 7e à 12h30. Gratuit MERCREDI 14 DÉCEMBRE ROGER MURARO - Liszt, Schumann, Berlioz Salle Molière à 20h30. 36€ - 18€, 04 78 47 87 56 MUSIQUE DE CHAMBRE, CNSMD Lyon Salle Varèse à 20h30. Gratuit JEUDI 15 DÉCEMBRE DÉPARTEMENT MUSIQUE ANCIENNE CNSMD LYON, dir. Chiara Banchini - Haydn Salle Varèse à 20h30. 12€ ONL / CHŒUR BAROQUE D’AMSTERDAM, dir. Ton Koopman - Bach Auditorium de Lyon à 20h. 46€ à 8€ LES NOUVEAUX CARACTÈRES, dir. Sébastien d’Hérin - Purcell Chapelle de la Trinité à 20h. 60€ - 45€ ORCHESTRE SYMPHONIQUE DE LYON I, dir. Boris Kupfer Théâtre Astrée à 20h30. Gratuit CHŒURS ENM VILLEURBANNE, dir. Leslie Peeters - Britten, Holst Église Nativité - Villeurbanne à 20h30. Gratuit, 04 78 68 98 27 VENDREDI 16 DÉCEMBRE LES NOUVEAUX CARACTÈRES, dir. Sébastien d’Hérin - Purcell Chapelle de laTrinité à 20h. 60€ - 45€ QUATUOR BÉLA & JEAN-FRANÇOIS VROD invitent JEAN-PIERRE DROUET/ NOÉMI BOUTIN etc. Salle Molière à 20h30. 10€ - 5€, 06 89 52 81 48 ONL / CHŒUR BAROQUE D’AMSTERDAM, dir. Ton Koopman - Bach
Auditorium de Lyon à 20h. 46€ à 8€ SAMEDI 17 DÉCEMBRE ONL / CHŒUR BAROQUE D’AMSTERDAM, dir. Ton Koopman - Bach Auditorium de Lyon à 18h. 46€ à 8€ CONCERTO KÖLN-BAROCK ORCHESTER, dir Markus Hoffman - Hændel, Telemann, Corelli, Vivaldi Chapelle de la Trinité à 20h. 35€ à 5€ CORDES EN CALADE, dir. Alain Brunier Purcell, Ravel, Telemann Auditorium de Villefranche à 20h30. 16€ - 13€, 04 74 60 31 95 DIMANCHE 18 DÉCEMBRE MAÎTRISE DE L’OPÉRA DE LYON & GRÉGORY KIRCHE, dir. Karine Locatelli - Chants de Noël Église St-Bonaventure à 16h. 16€ - 10€, 0826 305 325 ENSEMBLE IL DELIRIO FANTASTICO, dir. Vincent Bernhardt - Bach Eglise réformée des Terreaux à 17h. 15€ - 5€, 04 74 42 35 70 CORDES EN CALADE, dir. Alain Brunier Purcell, Ravel, Telemann Auditorium de Villefranche à 17h. 16€ - 13€, 04 74 60 31 95 MERCREDI 21 DÉCEMBRE ONL & RUTH KILLIUS, dir. Thomas Zehetmair Mozart, Schubert, Haydn Auditorium de Lyon à 20h. 36€ à 8€ JEUDI 22 DÉCEMBRE ONL & RUTH KILLIUS, dir. Thomas Zehetmair Mozart, Schubert, Haydn Auditorium de Lyon à 20h. 36€ à 8€ JEUDI 29 DÉCEMBRE ONL / GIULIANO CARMIGNOLA / EMMANUELLE DE NEGRI, dir. Ottavio Dantone Bach, Vivaldi, Tartini Auditorium de Lyon à 20h. 46€ à 8€ VENDREDI 30 DÉCEMBRE ONL / G. CARMIGNOLA / E. DE NEGRI, dir. O. Dantone - Bach, Vivaldi, Tartini Auditorium de Lyon à 20h. 46€ à 8€ SAMEDI 31 DÉCEMBRE ONL / G. CARMIGNOLA / E. DE NEGRI, dir. O. Dantone - Bach, Vivaldi, Tartini Auditorium de Lyon à 18h. 56€ à 13€ DIMANCHE 1ER JANVIER NL / G. CARMIGNOLA / E. DE NEGRI, dir. O. Dantone - Bach, Vivaldi, Tartini Auditorium de Lyon à 16h. 56€ à 13€
OPÉRA / OPÉRETTE OPÉRA DE LYON Place de la Comédie - Lyon 1er - 0826 305 325 LA VIE PARISIENNE d’Offenbach, Orchestre et Chœurs de l’Opéra de Lyon, dir. Gérard Korsten MS : Laurent Pelly Jusqu’au 8 déc à 19h30, di. à 16h. 92€ - 10€ LE BARON TZIGANE + LA CHAUVE-SOURIS + UNE NUIT À VENISE de Strauss, Orchestre de l’Opéra de Lyon, dir. Leopold Hager 31 déc et 1er jan à 20h30, di. à 16h. 85€ - 13€
SPECTACLES MUSICAUX THÉÂTRE DES MARRONNIERS 7, rue des Marronniers - Lyon 2e - 04 78 37 98 17 REGARDE-MOI, Ensemble Boréades & Solistes d’Emelthée, dir. Marie-Laure Teissèdre Conception, MS : Pierre-Alain Four 12 au 18 déc à 20h30, lu. à 19h. 15€ - 11€ IL ÉTAIT UNE VOIX … IL ÉTAIT UNE VIGNE…, Ensemble Boréades & Solistes d’Emelthée, dir. ML Teissèdre - Textes : Colette, Bruyas, Aulas, Grange etc. - MS : Yves Pignard 21 au 23 déc à 17h et 20h30. 15€ - 11€ BOURSE DU TRAVAIL 205, place Guichard - Lyon 3e SOY DE CUBA, dir. Rembert Egues Conception : Alain Ammar 6 déc à 20h30. 46,5€ - 29,5€ THÉÂTRE DE LA CROIX-ROUSSE Place Joannès Ambre - Lyon 4e - 04 72 07 49 49 WEST SIDE STORY de Bernstein, Les Solistes de Lyon-Bernard Tétu / Les Percussions Claviers de Lyon / Fabrice Boulanger, dir. Gérard Lecointe MS : Jean Lacornerie 14 au 23 déc à 20h, di. à 15h. 25€ - 10€ + Soirée Le Club autour de Florence Pelly 16 et 17 déc à 22h. 10€ HALLE TONY GARNIER 20, place A. Perrin - Lyon 7e - 04 72 76 85 85 CARMINA BURANA de Carl Off, Orchestre, Chœur & Ballet de l’Opéra National d’Ukraine-Lviv, dir. Grigori Penteleïtchouk (160 artistes) 5 déc à 20h30. 68€ - 20€ AMPHITHÉÂTRE/SALLE 3000 Cité Internationale - 50, quai Ch. de Gaulle - Lyon 6e LA VOIX DES AUTRES, Véronic DiCaire 3 déc à 20h30. 38€ CNSMD Salle Varèse - 3, quai Chauveau - Lyon 9e 04 72 19 26 61 VENISE RECHERCHÉE, VENISE RETROUVÉE Maîtrise de l’Opéra, dir. Karine Locatelli & Classes de Chœurs et chant, dir. Nicole Corti & Ensemble Instrumental + Département Danse Monteverdi, Britten 13 déc à 20h30. Gratuit IREP SCÈNES THÉÂTRE 4, rue Paul Péchoux - Villeurbanne - 04 78 53 04 06 PARCE QUE BOURVIL, Cie BAM MS : Patricia Montorier 8 au 10 déc à 20h30. 10€ - 5€ TCHÂBANI
11 déc à 15h et 19h. 10€ - 5€ THÉÂTRE ASTRÉE Campus de la Doua - 6, av. G. Berger Villeurbanne - 04 72 44 79 45 EX-PANG SOUNDPAINTING 1er déc à 20h30. 12€ - 6€ DEUX TEMPS, TROIS MOUVEMENT, Gérard Maimone & Co 13 déc à 20h30. Gratuit SI ON MARCHAIT … Ravel, Cochereau, Eben, Camboulas etc. 9 déc à 20h30. Gratuit L’AQUEDUC 1, chemin de la Liasse - Dardilly - 04 78 35 98 03 PATRICE KALLA « Contes & Soul » 18 déc à 16h30. 11€ - 5€ CENTRE CULTUREL THÉO ARGENCE Pl. Ferdinand Buisson - St-Priest - 04 78 20 02 50 ROSA LA ROUGE Conception, MS : Claire Diterzi, Marcel Di Fonzo Bo 15 et 16 déc à 20h30, je. à 19h30. 18€ - 11€ Scène Ouverte au CML / ZIC ZAC 16 déc à 18h30 LE TOBOGGAN 14, av. Jean Macé - Décines - 04 72 93 30 14 CONTES DE LA TERRE DU CIEL BLEU, GMVL Conception, mus : Bernard Fort 9 déc à 19h30. 12€ - 6€ MAISON DE LA RENCONTRE 21, rue E. Aynard - Écully - 04 78 33 64 33 PETROUCHKA d’après Stravinsky, Le Piano Ambulant MS : André Fornier 3 déc à 17h. 10€ - 8€ LE BRISCOPE Parc de l’Hôtel de Ville - Brignais - 04 78 05 31 13 PIERRE ET LE LOUP de Prokofiev + CARNAVAL DES ANIMAUX, Orchestre de l’EM de Brignais, dir. JP Prajoux & SMAÏN 2 déc à 20h30. 25€ - 10€ THÉÂTRE DE BOURG-EN-BRESSE 11, pl. Grenette - Bourg-en-Bresse - 04 74 50 40 00 LE DÉSÉQUILIBRISTE, Jean Guidoni MS : Néry-Kên 6 au 9 déc à 20h30, me. à 14h30. 22€ - 10€ MÂCON SCÈNE NATIONALE 1511, av. Ch. de Gaulle - Mâcon - 03 85 22 82 99 KARAOKÉ !, Les Cris de Paris, dir. Geoffroy Jourdain - MS : Benjamin Lazar 16 déc à 12h30. 5€ ESPACE ÉPHÉMÈRE / SALLE JEAN DASTÉ Pl. du Général Valluy - Rive-de-Gier - 04 77 83 07 32 FRÉHEL À LA DÉRIVE - MS : Alain Besset 10 déc à 15h et 20h30. 12€ - 10€
HUMOUR SALLE RAMEAU 29, rue de la Martinière - Lyon 1er CRISE DE FOI, Sophia Aram 9 déc à 20h30. 32€ - 29€ JÉRÔME COMMANDEUR SE FAIT DISCRET 10 déc à 20h30. 26€ THE YOUNG MAN SHOW, Kev Adam 17 déc à 20h30. 27€ SELLIG - Épisode III 31déc à 18h. 35€ - 25€, Résa/04 78 27 96 99 PLEIN PHARE de Jacques Chambon, Jordan Tapenas/Jonathan Chiche 31 déc à 20h. 35€ - 25€, Résa/04 78 27 96 99 TA GUEULE, Jacques Chambon/Dominic Palandri 31 déc à 22h. 35€ - 25€, Résa/04 78 27 96 99 THÉÂTRE LE FOU 2, rue Fernand Rey - Lyon 1er - 0954 09 23 93 SCHYZOZ’DIRE… ET SCHYZOZ’FAIRE me. à 20h30. 7€ BOURSE DU TRAVAIL 205, place Guichard - Lyon 3e ET PAS UNE RIDE, Michèle Bernier 18 déc à 18h. 42€ - 38€ ESPACE GERSON 1, place Gerson - Lyon 5e - 04 78 27 96 99 DÉCOUVERTE JEUNES TALENTS Ts lu. à 20h30. 15€ - 11€ BAZAR, Et Compagnie ma. à 20h30. 15€ - 11€ TOUT EST BON DANS LE COSSON, Arnaud Cosson Jusqu’au 30 déc à 20h30, sa. à 20h et 22h. 15€ - 11€ SKETCH UP, Shirley Souagnon 9 déc à 20h30. 15€ - 11€ KHALIDSCOPE, Khalid Akhazane 31 déc à 18h, 20h et 22h. 35€ - 25€ AUDITORIUM LUMIÈRE Cité des Congrès - Cité Internationale 50, quai Ch. de Gaulle - Lyon 6e - 04 78 27 96 99 ANNE NATURELLEMENT, Anne Roumanoff 10 déc à 20h30. 41€ - 39€ SALLE VICTOR HUGO 33, rue Bossuet - Lyon 6e - 01 48 65 97 90 MONSIEUR FRAIZE, Marc Fraize 31 déc à 18h. 32€ LE CROISEUR 4, rue Croix Barret - Lyon 7e - 04 72 71 42 26 CABARET BURLESQUE 21 déc à 20h30. 10€ - 3€ THÉÂTRE LULU SUR LA COLLINE 60, rue Victor Lagrange - Lyon 7e - 04 72 98 36 28 LE CLAN DES DIVORCÉES d’Alil Vardar Jusqu’au 2 juin, ma. au ve. à 20h + sa. à 20h et 21h30. 21€ - 15€ COUSCOUS AUX LARDONS de Farid Omri Jusqu’au 30 déc, ma. au ve. à 21h30, sa. à 18h. 21€ - 15€ LE CLAN DES DIVORCÉES + COUSCOUS AUX LARDONS
agenda Ensemble Boréades et Chœur Emélthée
Une échappée entre Bach et Rothko
regardE-MOI 12 au 18 décembre Réservations 04 78 37 98 17
Théâtre des Marronniers www.theatre-des-marronniers.com
24 déc et 31 déc à 17h+19h. 30€, 42€ le 31/12 ACTE 2 THÉÂTRE 32, quai Arloing - Lyon 9e - 04 78 83 21 71 CÉLINE DE LA TENTATION, Céline Davitti 23 au 31 déc à 20h, 24/12 à 21h, 31/12 à 20h30 et 21h30. 25€ - 12€ IREP SCÈNES THÉÂTRE 4, rue Paul Péchoux - Villeurbanne - 04 78 53 04 06 PATCH & SMATCH D’IMPRO, La B.I.O. (Bande d’Improvisation Originale) 16 et 17 déc à 20h30. 10€ - 5€ TRANSBORDEUR 3, bd. Stalingrad - Villeurbanne - 04 78 93 08 33 FAITES ENTRER FABRICE EBOUÉ 14 déc à 20h30. 28€ - 26€ LE NEUTRINO Hôtel de Ville - Place du Gal de Gaulle - Genas 04 72 47 11 69 PRISE DE TÊTE de Pascal Carbon, Les Jumoristes - Le grand Patrick et le P’tit Pascal 13 déc à 20h30. 15,3€ - 8,2€ LE SÉMAPHORE, THÉÂTRE D’IRIGNY CC Champvillard - Rue de Boutan - Irigny 04 72 30 47 90 CHAMBRE D’HÔTES OU LA VIE DÉJANTÉE DES ROGNOLES, Gérard Rinaldi & Sylvie Loeillet 1er au 3 déc à 20h30. 28€ - 14€ THÉÂTRE DE VIENNE 4, rue Chantelouve - Vienne - 04 74 85 00 05 JUNGLES, Patrice Thibaud 8 et 9 déc à 2h30, je. à 19h30. 20€ - 10€ CAVE À MUSIQUE 119, rue Boullay - Mâcon - 03 85 21 96 69 SAISON HEIN, Alex Ramirès 9 déc à 20h. 9€ - 5€ SALLE JEANNE D’ARC 16, rue Jean-Claude Tissot - St-Étienne 04 77 20 04 86 FAITES ENTRER FABRICE EBOUÉ 15 déc à 20h30. 28€ ZENITH SAINT-ÉTIENNE Rue Scheurer Kestner - St-Étienne - 04 77 20 04 86 Anthony Kavanagh FAIT SON COMING OUT 15 déc à 20h30. 37,5€ - 34,5€
ARTS DU CIRQUE ARTS DE LA RUE LES SUBSISTANCES 8 bis, quai St-Vincent - Lyon 1er - 04 78 39 10 02 LE GDRA - NOUR Conception, MS : Christophe Rulhes 2 au 7 déc à 20h. 13€ - 6€ CÉLESTINS, THÉÂTRE DE LYON 4, rue Charles Dullin - Lyon 2e - 04 72 77 4000 CHOUF OUCHOUF, Groupe Acrobatique de Tanger Conception, MS : Zimmermann & De Perrot 6 au 31 déc à 20h, di. à 16h. 34€ - 10€ THÉÂTRE DE LA RENAISSANCE 7, rue Orsel - Oullins - 04 72 39 74 91 DEUX HOMMES JONGLAIENT DANS LEUR TÊTE Conception : Jérôme Thomas, Roland Auzet 16 et 17 déc à 20h + ve. à 16h. 20€ - 12€ SOUS CHAPITEAU Plein air - Grand Parc de Miribel Jonage 04 72 93 30 14 L’ATELIER DU PEINTRE, Cirque Plume Conception, MS : Bernard Kudlak Mus, dir. : Robert Miny Jusqu’au 4 déc. à 20h30, je. à 19h30, sa. di. à 15h Prolongation jusqu'au 18 déc. 9, 10, 11, 16, 17 et 18 à 20h30, di. à 15h. 29€ - 18€ SOUS YOURTE Le Polaris - Av. de Corbetta - Corbas - 04 72 51 45 55 THÉ PERCHÉ, Cie Prise de Pied MS : Johan Lescop - Dir. art : Saïlen Rose, Benoît Héliot 10 et 11 déc à 18h, di. à 14h et 17h. 14€ - 7€ THÉÂTRE DE L’ATRIUM 35 av. du 8 Mai - Tassin - 04 78 34 70 07 KOLOK, Cie Milo et Olivia Conception : Olivia Ferraris, Milo Scotton 17 déc à 17h30. 15€ - 8€ LE SÉMAPHORE, THÉÂTRE D’IRIGNY CC Champvillard - Rue de Boutan - Irigny 04 72 30 47 90 CIRQUE BLEU DU VIETNAM [Cirque Officiel de la ville d’Hô Chin Minh] Chor : Phan Thi Hong Chan 16 au 20 déc à 20h30, di. à 15h. 18€ - 9€ ESPACE CULTUREL SAINT- GENIS-LAVAL 8, rue des Écoles - St-Genis-Laval - 04 78 86 82 28 LA CRÈCHE À MOTEUR, Cie Opus Conception : Pascal Rome
9 au 11 déc à 20h30, di. à 17h. 15€ - 9€ THÉÂTRE DU VELLEIN Av. du Driève - Villefontaine - 04 74 80 71 85 LÀNG TÔI [MON VILLAGE], Nouveau Cirque du Vietnam MS : Le Tuan Anh - Mus : Nhat Ly Nguyen Jusqu’au 1er déc à 20h30. 17€ - 12€ HORS LES MURS THÉÂTRE DE GIVORS Rue Jean Ligonnet - Givors - 04 72 24 25 50 RÊVE DHUBERT, Cie des Quidams MS : JB Duperray, Nikola Martin 8 déc à 18h. Gratuit THÉÂTRE DE VILLEFRANCHE Place de la Sous-Préfecture - Villefranche 04 74 68 02 89 LANG TOI [MON VILLAGE], Nouveau Cirque Vietnamien MS : Le Tuan Anh - Mus : Nhat Ly Nguyen 5 et 6 déc à 20h30. 26,5€ - 17€ MÂCON SCÈNE NATIONALE 1511, av. Ch. de Gaulle - Mâcon - 03 85 22 82 99 LE CARRÉ CURIEUX, Cie Carré Curieux, cirque vivant ! MS : Philippe Bande Weghe 10 déc à 20h30. 23€ - 5€ THÉÂTRE DES PÉNITENTS Pl. des Pénitents - Montbrison - 04 77 96 39 16 CALL ME MARIA Conception, MS : Adrian Schvartzstein, Sergi Estebanell 2 déc à 20h30. 20€ - 17€ BUNO, Cie Aruspice MS : Bruno Robert 7 déc à 15h30. 10€ - 8,5€ ALBERTINE SARRAZIN DE L’AUTRE CÔTÉ DU CHRONOMÈTRE - MS : Isabelle Caubère 9 déc à 20h30. 17€ - 14,5€ BP ZOOM 13 déc à 20h30. 18€ - 15,3€ DES MARCHES, Cie VireVolt Conception : Aurélie et Martin Cuvelier 16 déc à 20h30. 17€ - 14,5€ L’ABATTOIR 52, quai St-Cosme - Chalon/Saône - 03 85 90 94 70 Quartier de Lune d’Hiver - 8 et 9 déc KOMPLEX KAPHARNAÜM - BAZAR PALACE LA ROUL’HOT 9 déc dès 19h. Gratuit L'ARC, SCÈNE NATIONALE LE CREUSOT Esplanade François Mitterrand - Le Creusot 03 85 55 13 11 COULISSES, Cie Sacékripa 15 déc à 20h30. 20€ - 15€
THÉÂTRE / CONTES MARRIONNETTES SPECTACLES CROISÉS AMPHITHÉÂTRE DE L’OPÉRA Place de la Comédie - Lyon 1er - 0826 305 325 LES RÉVEILLÉS DE LA LUNE, Cie Beline & Grande Bande des Cornemuses de Lyon 10 déc à 23h. 5€ ESPACE 44 44, rue Burdeau - Lyon 1er - 04 78 39 79 71 MÉDÉE de Dario Fo / Franca Rame, Cie les Licornes Zébrées - MS : Katia Charalambous Jusqu’au 4 déc à 20h30, di. à 16h. 15€ - 10€ RADIATIONS DURABLES [IL ÉTAIT UNE FOIS DANS L’EST] de Barjavel et Svetlana Alexievich, Cie Les Divers Gens MS collective - Dir. : Brice Lagenèbre 6 au 17 déc à 20h30, di à 16h. 15€ - 10€ ALICE AU PAYS DES MERVEILLES, Intrigant’s Cy - MS : Alexandre Dufaux 19 au 31 déc à 14h30 et 16h30 (+24, 31/12 à 15h). 12€ - 8€ L’ÉTOILE ROYALE 17, rue Royale - Lyon 1er - 04 78 39 21 68 BESAME MUCHO de Michel Heim, Cie Soleluna MS : Giorgio Carpintieri Jusqu’au 31 déc, me. au sa. à 20h30, di. à 17h30. 15€ - 8€ LES CLOCHARDS CÉLESTES 51, rue des Tables Claudiennes - Lyon 1er 04 78 28 34 43 LA VIEILLE de Daniil Harms, Cie La Nouvelle Fabrique - MS : Colin Rey Jusqu’au 3 déc à 20h, di. à 17h. 14€ - 7€ LE PARAVENT DE L’EMPEREUR, Cie Ekangha MS : Laurence Longin 10 au 31 déc à 20h, lu. à 19h, di. à 17h (24+31/12 à 17h). 14€ - 7€ THÉÂTRE DE L’INTERVALLE 21, rue Royale - Lyon 1er - 04 78 76 11 96 DRÔLES D’HISTOIRES d’après Jacques Prévert MS : Jean-François Moulin Jusqu’au 4 déc à 20h30, me. je. à 19h30, di. à 16h30. 14€ - 10€ PEEPSHOW DANS LES ALPES de Markus Köbeli, Cie de la Dame Étrange - MS : Brice Notin 14 au 18 déc à 20h30, me. je. à 19h30, di. à 16h30. 14€ - 10€ THÉÂTRE INSTANT T 35, rue Imbert Colomès - Lyon 1er - 04 78 39 45 83 UN BOURGEOIS GENTILHOMME d’après Molière MS : Claude Monteil Jusqu’au 31 déc à 20h30. 10€, 25€ le 31/12 THÉÂTRE LE FOU 2, rue Fernand Rey - Lyon 1er - 0954 09 23 93 LES 7 JOURS DE SIMON LABROSSE de Carole Fréchette, Cie Essentiel Ephémère MS : Renaud Rocher 15 et 16 déc à 20h30+ 31 déc à 20h et 22h. 13€ - 9€, 25€ le 31/12 THÉÂTRE DES MARRONNIERS 7, rue des Marronniers - Lyon 2e - 04 78 37 98 17 LE TIREUR OCCIDENTAL de William Pellier, Cie le Fil - MS : Steven Fafournoux Jusqu’au 4 déc à 20h30, lu. à 19h, di. à 17h. 15€ - 11€
CÉLESTINS, THÉÂTRE DE LYON 4, rue Charles Dullin - Lyon 2e - 04 72 77 4000 VOYAGEURS IMMOBILES de Philippe Genty MS : Philippe Genty, Mary Underwood Jusqu’au 2 déc à 20h, di. à 16h. 34€ - 10€ ANDROMAQUE + BÉRÉNICE + PHÈDRE de Racine MS : Jean-Marc Avocat 2 déc à 15h, 18h30 et 22h. Gratuit + Projection «Un baiser avec la langue» de JC Chuzeville ÇA VA ? [COMBIEN DE ÇA VA FAUDRAIT-IL POUR QUE ÇA AILLE VRAIMENT] de JC Grumberg MS : Alain Bert, Christian Taponard 6, 7, 10, 11 et 13 déc à 20h30, di. à 16h30. 20€ - 11€ VERTICALE DE FUREUR de Stéphanie Marchais MS : Michel Pruner 8, 9, 14, 15 et 16 déc à 20h30. 20€ - 11€ THÉÂTRE DE LA CROIX-ROUSSE Place Joannès Ambre - Lyon 4e - 04 72 07 49 49 LA BARBE BLEUE d’après Perrault Texte & MS : Jean-Michel Rabeux Jusqu’au 3 déc à 20h + me. à 15h. 16€ - 10€ AGEND’ARTS 4, rue Belfort - Lyon 4e UN ENFANT MORT SUR LE TROTTOIR de Guy Foissy 16 déc à 20h. 7€ - 3€ THÉÂTRE DES MARRIONNETTES GUIGNOL DE LYON 2, rue Louis Carrand - Lyon 5e - 04 78 28 92 57 DR GUIGNOL & MR GOGNEL, Cie des Zonzons 7, 14, 19 + 20 au 31 déc à 15h ou 16h15. 7,5€ - 5€ GUIGNOL, UN CONTE DE NOËL, Cie des Zonzons 4 au 31 déc, me. sa. di. & tlj vacances. 7,5€ - 5€ LE PETIT CHAPERON CHINOIS de Marie Sellier / Catherine Louis 8 et 9 déc 18h/22h TOURS ET DÉROURS, Cie Émilie Valantin MS : Émilie Valantin 10 déc à 17h. 16€ - 5€ GUIGNOL DANS LES PRESSES ! 16 et 17 déc à 20h. 16€ - 8€ THÉÂTRE DU POINT DU JOUR 7, rue des Aqueducs - Lyon 5e - 04 78 15 01 80 3 Jours avec Joël Jouanneau AD VITAM / Joël Jouanneau 2 déc à 20h30. 20€ - 10€ LE NAUFRAGÉ d’après Thomas Bernhard MS : Joël Jouanneau 3 déc à 20h30. 20€ - 10€ 2 films de Joël Jouanneau : MINETTI de Thomas Bernhard + LES ENFANTS TANNER de Joël Jouanneau 4 déc à 16h. 20€ - 10€ RÉVOLUTION - Dir. : Olivier Rey 12 au 14 déc à 19h30, ma. à 20h30. 20€ - 10€ L’ÉLYSÉE 14, rue Basse Combalot - Lyon 7e - 04 78 58 88 25 L’HAMBLETTE de Giovanni Testori, Cie La Nouvelle Fabrique - MS : Giampaolo Gotti 15 au 22 déc à 19h30. 12€ - 10€ LE CROISEUR 4, rue Croix Barret - Lyon 7e - 04 72 71 42 26 LIBERTÉ À BRÊME de Fassbinder, Cie Dinoponera - MS : Mathias Moritz 6 au 9 déc à 20h30. 10€ - 3€ NTH8/NOUVEAU THÉÂTRE DU 8E 22, rue cdt Pégout - Lyon 8e - 04 78 78 33 30 LES TERRIENS (Assurez-vous que vous faites totalement autre chose), Théâtre Craie Texte & MS : Claire Rengade 1er au 5 déc à 20h, sa. di. à 17h. 100€ à 0€ DESIERTO BAJO ESCENOGRAFIA LUNAR, CUT MS : Alberto Villareal 12 au 14 déc à 20h. 100€ à 0€ LE CIEL DANS LA PEAU d’Edgar Chias MS : Nicole Mersey 13 et 14 déc à 20h. 100€ à 0€ ACTE 2 THÉÂTRE 32, quai Arloing - Lyon 9e - 04 78 83 21 71 TOKYO NOTES de Oritza Hirata MS : Olivier Maurin 6 au 16 déc à 20h30, di. à 16h. 10€ - 8€ EDGARD ET SA BONNE, Cie Studio Acte 2 MS : Hervé Deschamps 21 au 30 déc, ma. me. à 20h, je. ve. à 21h30. 14€ - 12€ + 24/12 à 19h30, 31/12 à 19h. 30€ TNG 23, rue de Bourgogne - Lyon 9e - 04 72 53 15 15 LES AVENTURES DE SINDBAD LE MARIN d’Agathe Mélinand, Théâtre National de Toulouse Midi-Pyrénées - MS : Laurent Pelly 15 au 18 déc à 20h, di. à 16h. 17€ - 9€ PROJET PHILTRE avec Et Compagnie 16 et 17 déc à 19h. 5€ AUX ÉCHAPPÉES BELLES 65/73, rue du Bourbonnais - Lyon 9e 04 78 64 84 98 PATRICE KALLA & SES MUSICIENS (Contes & soul) 9 déc à 20h30. 13€ - 10€ THÉÂTRE DE L’IRIS 331, av. de Préssensé - Villeurbanne 04 78 68 86 49 AMPHITRYON de Molière, Cie de l’Iris MS : Béatrice Avoine, Didier Vidal 1er au 17 déc à 20h, di. à 16h. 14€ - 11€ + 30 et 31 déc à 20h. 25€ TNP 8, pl. Lazare-Goujon - Villeurbanne - 04 78 03 30 00 RUY BLAS de Victor Hugo - MS : Christian Schiaretti Jusqu’au 11 déc à 19h30, di. à 16h. 23€ - 13€ LES BONNES de Genet, Cie Sirènes MS : Jacques Vincey Jusqu’au 10 déc à 20h, di. à 16h. 23€ - 13€ QU’EST-CE QUE LE TEMPS ? (LIVRE XI DES CONFESSIONS DE SAINT AUGUSTIN) MS : Denis Guénoun 1er au 23 déc à 20h, di. à 16h. 23€ - 13€
FARCES ET COMÉDIES DE MOLIÈRE MS : Christian Schiaretti LES PRÉCIEUSES RIDICULES 17 au 23 déc à 20h, di. à 16h. 23€ - 13€ L’ÉTOURDI OU LE CONTRETEMPS 27 au 30 déc à 20h. 23€ - 13€ SOUS CHAPITEAU Hors Les Murs Toboggan - Décines - 04 72 93 30 14 GILLES ET BÉRÉNICE d’après Racine, Cie Attention Fragile Conception, MS : Gilles Cailleau Jusqu’au 3 déc à 20h. 20€ - 8€ THÉÂTRE DE LA RENAISSANCE 7, rue Orsel - Oullins - 04 72 39 74 91 QUARTIER LOINTAIN de Jirô Taniguchi MS : Dorian Rossel Jusqu’au 1er déc à 20h. 20€ - 12€ LE BANQUET DE LA SAINTE-CÉCILE Texte, MS : Jean-Pierre Bodin 12 au 14 déc à 20h30. 20€ - 12€ ET VIAN ! À NOUS TROIS ! d’après Boris Vian 13 déc à 19h. 20€ - 12€ LE CABARET DES RAILS (Dir. : Roland Auzet) 12 et 14 déc à 19h. Gratuit THÉÂTRE DE VÉNISSIEUX 8, bld Laurent Gérin - Vénissieux - 04 72 90 86 68 BABA, Cie Mirelaridaine Conception, cuisine, MS : Delphine Bailleul 7 déc à 15h. 11€ - 8€ BIENTÔT LA NUIT d’après Kurt Weill, La Fédération MS : Philippe Delaigue 15 et 16 déc à 20h. 18€ - 11€ CENTRE CULTUREL THÉO ARGENCE Pl. Ferdinand Buisson - St-Priest - 04 78 20 02 50 UN ENDROIT OÚ ALLER, Cie Travelling Théâtre Texte & MS : Gilles Granouillet 1er et 2 déc, je. à 19h30, ve. à 20h30. 18€ - 11€ ORIPEAUX, Atelier Bonnetaille Création & MS : Charlotte Pareja 7 déc à 16h. 8€ - 6,5€ LE TOBOGGAN 14, av. Jean Macé - Décines - 04 72 93 30 14 SUR LE CHEMIN D’ANTIGONE, L’Agence des Voyages Imaginaires Textes : Bauchau, Sophocle, Anouilh, Brecht, Cocteau MS : Philippe Car 13 déc à 20h30. 20€ - 8€ + « Le carnet de Voyage » - 14 déc à 19h. Gratuit LE BOURGEOIS GENTILHOMME d’après Molière, L’Agence des Voyages Imaginaires MS : Philippe Car 16 déc à 20h30. 20€ - 8€ ESPACE BAUDELAIRE 83, av. de l’Europe - Rillieux-la-Pape 04 37 85 01 50 HAMLET. L’HISTOIRE DE…. d’après Shakespeare, Cie La Fille du Pêcheur MS : Franck Taponard 13 au 15 déc à 20h30. Gratuit MJC JEAN COCTEAU 23, rue du 8 Mai 1945 - St-Priest - 06 69 05 38 64 VIH… VÉRITÉ INCOMPRÉHENSIBLE HUMAINEMENT, Cie de Théâtre l’Entracte - MS : Daniel Vial 2 et 3 déc à 20h30. 10€ - 4€ MJC LOUIS ARAGON Place Gaillard Romanet - Bron - 04 78 26 87 25 L’HISTOIRE DES OURS PANDA d’après Matéi Visniec, Cie Mangez-Moi MS : Émilie Joumard 15 déc à 20h30. 5€ - 3€ À L’OUEST RIEN DE NOUVEAU, Cie du Deuxième Âtre 16 déc à 21h. Gratuit THÉÂTRE JEAN MARAIS 53, rue Carnot - St-Fons - 04 78 67 68 29 UN CHACAL, DES CHAMOTS ?, Nième Cie Conception, MS : Claire Truche 2 déc à 20h30. 13€ - 10€ THÉÂTRE DE L’ATRIUM 35 av. du 8 Mai - Tassin - 04 78 34 70 07 ÉCLATS DE VIE, Jacques Weber Textes : Artaud, Brecht, Boulgakov, La Fontaine, Molière, Musset, Rimbaud, Vian etc. 9 déc à 20h30. 28€ - 15€ THÉÂTRE DE VILLEFRANCHE Place de la Sous-Préfecture - Villefranche 04 74 68 02 89 LE SUICIDÉ de Nicolaï Erdmann, Cie Pipo MS : Patrick Pineau Collabo artistique : Anne Soisson 12 et 13 déc à 20h30. 26,5€ - 17€ THÉÂTRE DE BOURG-EN-BRESSE 11, pl. Grenette - Bourg-en-Bresse - 04 74 50 40 00 À MON ÂGE JE ME CACHE ENCORE POUR FUMER de Rayhana - MS : Fabian Chappuis 13 et 14 déc à 20h30, me. à 19h. 22€ - 10€ MÂCON SCÈNE NATIONALE 1511, av. Ch. de Gaulle - Mâcon - 03 85 22 82 99 TARTUFFE de Molière MS : Éric Lacascade 6 déc à 19h30. 23€ - 13€ ESPACE DES ARTS 5 bis, av. Nicéphore Niepce - Chalon/Saône 03 85 42 52 12 SOUS LA GLACE de Falk Richter MS : Andrea Novicov 1er et 2 déc à 20h. 20€ - 8€ LE MAÎTRE DE MARRIONNETTES, Théâtre National des Marionnettes du Vietnam MS : Dominique Pitoiset 13 au 17 déc à 20h + me. à 14h. 22€ - 8€ THÉÂTRE DE VIENNE 4, rue Chantelouve - Vienne - 04 74 85 00 05 L’ADOPTÉE de Joël Jouanneau, Lardenois & Cie MS : Dominique Lardenois Salle de Gémens à Estrablin, 14 déc à 18h. 9€ - 7€
DÉCEMBRE 2011
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agenda L'ARC, SCÈNE NATIONALE LE CREUSOT Esplanade F. Mitterrand - Le Creusot - 03 85 55 13 11 RÉALITÉ NON ORDINAIRE, Scorpène MS : Serge Dupuy 1er déc à 20h30. 20€ - 15€ LA REINE DES NEIGES d’après Andersen MS : Jean Lacornerie 9 déc à 19h30. 10€ LA MAGIE DES IMAGES, Cie Piccoli Principi Texte, MS : Alessandro Libertini 13 et 14 déc à 19h30, me. à 14h30. 10€ THÉÂTRE JEAN VILAR Hors Les Murs Théâtre Jean Vilar - Hôtel de Ville Bourgoin-Jallieu - 04 74 28 05 73 MOLIÈRE DANS TOUS SES ÉTATS, Les Goulus MS : Jean-Luc Prévost 11 et 12 déc à 17h, lu. à 20h30. 16€ - 8€ SALLE DE L’ISLE Av. du Bourg - Isle d’Abeau - 04 74 80 71 85 LA REINE DES NEIGES d’après Andersen, Cie Ecuador - MS : Jean Lacornerie 14 déc à 18h30. 8€ - 6€ THÉÂTRE DE GIVORS 2, rue Puits Ollier - Givors - 04 72 24 25 50 QUAND M'EMBRASSERAS-TU ? de Mahmoud Darwich, Cie Brozzoni MS : Claude Brozzoni 16 déc à 20h30. 13€ - 8€ THÉÂTRE LE BEL IMAGE Pl. Charles Huguenel - Valence - 04 75 78 41 70 EN QUÊTE DE BONHEUR - MS : Arnaud Meunier Comédie Itinérante 07+26 + Agglo, jusqu’au 13 déc à 20h UN SOIR, UNE VILLE… de Daniel Keene MS : Didier Bezace 1er et 2 déc à 20h. 21€ - 12€ 22H13 - Texte & MS : Pierrick Sorin 16 et 17 déc à 20h. 21€ - 12€ CENTRE CULTUREL LE SOU 19, rue Romain Rolland - La Talaudière 04 77 53 03 37 BEAUCOUP DE BRUIT POUR RIEN d’après Shakespeare - MS : Philippe Person 3 déc à 20h30. 15€ - 9€ COMEDIE DE ST-ÉTIENNE La Comédie de St-Étienne, Le Fil, Le Méliès, etc. - St-Étienne - 04 77 25 14 14. Festival Backstage : 1973 - MS : Massimo Furlan JE PENSE COMME UNE FILLE ENLÈVE SA ROBE Conception : Perrine Valli KKQQ, 2b Cy - Conception : François Gremaud... 5 au 17 déc à 20h. 15€ - 8€ THÉÂTRE LE VERSO 61, rue de la Richelandière - St-Étienne 04 77 47 01 31 LA NUIT D’ALTHUSSER de Simon Jallade, Cie Françoise Maimone - MS : Françoise Maimone 1er et 2 déc à 20h30 - 12€ - 8€ DÉDALE ET ICARE de Dario Fo, Cie Lalalachamade 8 et 9 déc à 20h30. 12€ - 8€ LOUP d’après Marcel Aymé, Collectif Hoi MS : Cécile vernet 16 déc à 19h30. 10€ - 5€
LECTURES / RENCONTRES CONFÉRENCES CARRÉ 30 12, rue Pizay - Lyon 1er - 04 78 39 74 61 Cafés Poétiques [Jean-Luc Gonin / Marion Prévost] 6 et 20 déc à 20h. 8€ - 5€ CLAUDE BESSON «Les Évangiles de Maître François» 9 et 10 déc à 20h. 8€ - 5€ THÉÂTRE LES ATELIERS 3, rue Petit David - Lyon 2e - 04 78 37 46 30 FACE À FACE France-Italie (Lectures mises en jeu) 1er au 3 déc à 19h et 20h30. 20€ à 6€ PROGRAMME d’Éric Arlix /Nicolas Lespagnol-Rizzi 1er déc à 19h et 19h45 FEMME NON RÉÉDUCABLE, MÉMORANDUM THÉÂTRAL SUR ANNA POLITKOVSKAÏA de Stéfano Massini - MS : Michaël Serre 1er déc à 20h30 SWEET SUMMER SWEAT de Laurent Contamin MS : Ghislaine Drahy 2 déc à 19h CAMILLO OLIVETTI, AUX RACINES D’UN RÊVE de Laura Curino/Gabriele Vacis MS : Gilles Chavassieux 2 déc à 20h30 NEUF PETITES FILLES (PUSH & PULL) de Sandrine Roche - MS : Simon Delétang 3 déc à 19h MA… LAMOREE ? d’Antonio Tarantino MS : Antonella Amirante 3 déc à 20h30 + Table-ronde «Les Nouvelles Dramaturgies italiennes» - 3 déc à 10h + «Des lectures pour quoi faire ?» 3 déc à 14h30 Soirée d’Auteurs avec CHRISTOPHE TARKOS 15 déc à 19h THÉÂTRE DE LA CROIX-ROUSSE Place Joannès Ambre - Lyon 4e - 04 72 07 49 49 Quand le peuple se cherche : Unité et Identités GUILLAUME LE BLANC / DOMINIQUE REYNIÉ / ROB RIEMEN - 5 déc à 20h30. 5€ à gratuit VILLA GILLET 25, rue Chazière - Lyon 4e - 04 78 27 02 48 ALAN FURST - Rencontre avec l’un des maîtres américains du roman d’espionnage 11 déc à 19h30. Gratuit sur réserv. Un voyage au cœur de l’Europe en guerre MATHIAS ÉNARD en dialogue avec SANDRINE TREINER 13 déc à 16h30. 3€ su réserv.
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MUSÉE GALLO-ROMAIN 17, rue Cléberg - Lyon 5e - 04 72 38 49 30 La place de la médecine grecque dans le monde romain 15 déc à 19h. Gratuit MUSÉES GADAGNE 1, place du Petit Collège - Lyon 5e - 04 78 42 03 61 Au plaisir du chocolat. 10 déc à 14h30. Gratuit Art Sciences et Société L’alimentation à travers les âges. 14 déc à 14h30. 4€ GRÉGORY CUILLERON, cuisinier et chroniqueur familial 17 déc à 12h30. Avec billet d’entrée CAFÉTÉRIA DU CROUS Campus de la Doua - Bât. Astrée - 6, av. G. Berger Villeurbanne - 04 72 44 79 45 L’individualisme est-il une individualisation nécessaire ou participe-t’il à une désagrégation du monde ? - 12 déc à 18h30. Gratuit LE RIZE 23/25, rue Valentin-Haüy - Villeurbanne 04 37 57 17 17 1er décembre 31 : journée de lutte contre la Syphilis 1er déc à 19h Inculture 1 - Conférence gesticulée de F. Lepage 15 déc à 19h. Sur réserv. M.L.I.S. 247, crs E. Zola - Villeurbanne - 04 78 68 04 04 Écrivain : livrez-vous ! : MARGUERITE ABOUET 2 déc à 18h. Gratut MÉDIATHÈQUE / ESPACE BAUDELAIRE 83, av. de l’Europe - Rillieux-la-Pape 04 37 85 01 50 DIDIER ROUGEYRON - Les phobies 3 déc à 16h CENTRE CULTUREL THÉO ARGENCE Pl. Ferdinand Buisson - St-Priest - 04 78 20 02 50 Les rendez-vous de la Fabrique de Théâtre #2 5 déc à 18h30 et 20h30. Gratuit MUSÉE ARCHÉOLOGIQUE Route Départementale 502 - St-Romain-en-Gal 04 74 53 74 01 Bonaparte et l’Égyptomanie - 1er déc à 20h. Gratuit
Pôle Pik - 04 78 21 48 74 Carte Blanche à Banlieues d’Europe [Autour de la danse hip-hop en Europe] 14 déc 10h/16h Maison de la Danse À TON IMAGE, Cie Stylistik Chor : Clarisse Veaux, Abdou N’Gom + NUAGE, Anothaï Compagnie - Chor : Thô Anothaï 14 au 16 déc à 19h, me. à 20h. 10€ CCO APÉRO DANSÉ avec Cie Black Blanc Beur 6 déc à 18h30 AMPHITHÉÂTRE DE L’OPÉRA Place de la Comédie - Lyon 1er - 0826 305 325 SI LA LUNE S’ARRÊTE, OÚ IRONS-NOUS CHANTER LA NUIT ? Création : Évelyne Girardon 3 et 10 déc à 20h30. 16€ - 10€ OPÉRA NATIONAL DE LYON Place de la Comédie - Lyon 1er - 0826 305 325 THIS PART IN DARKNESS + SARABANDE + WHO CARES ?, Ballet de l’Opéra de Lyon Chor : Benjamin Millepied / Georges Balanchine 17 au 23 déc à 20h30, di. à 16h. 46€ - 15€ LE CROISEUR 4, rue Croix Barret - Lyon 7e - 04 72 71 42 26 RUMEURS, Cie Chimères - Chor : Habiba Chergui 2 déc à 20h30. 10€ - 3€ SALLE RAVIER 7, rue Ravier - Lyon 7e - 04 37 28 98 71 SOIRÉE DANSE 6e CONTINENT 17 déc à 20h. 3€
MÂCON SCÈNE NATIONALE 1511, av. Ch. de Gaulle - Mâcon - 03 85 22 82 99 REVIVAL avec PUDIQUE ACIDE/EXTASIS Chor : Mathilde Monnier / Jean-François Duroure + WELCOME TO PARADISE - Chor. : Joëlle Bouvier / Régis Obadia 1er déc à 19h30. 23€ - 13€ + Débat autour «La re-création des œuvres chorégraphiques (répertoire, patrimoine, transmission)» - 1er déc ESPACE DES ARTS 5 bis, av. Nicéphore Niepce - Chalon/Saône 03 85 42 52 12 NOUVELLE ŒUVRE, La Human Steps Chor : Édouard Lock 6 déc à 20h. 22€ - 8€ L'ARC, SCÈNE NATIONALE LE CREUSOT Esplanade François Mitterrand - Le Creusot 03 85 55 13 11 SECONDA - Chor : Ambra Senatore 6 déc à 20h30. 20€ - 15€ LE BEL IMAGE Pl. Charles Huguenel - Valence - 04 75 78 41 70 INFLUENCES, Thierry Collet - MS : Michel Cerda 7 au 9 déc à 20h. 21€ - 12€ TRAIN-THÉÂTRE 1, rue Aragon - Portes-lès-Valence - 04 75 57 14 55 LES S’TAZUNIS, Cie Alexandra N’Possee Chor : Abdennour Belalit 3 déc à 15h et 20h30. 13,5€ - 10€
STUDIO LUCIEN 9, rue du professeur Morat - Lyon 8e 04 78 03 94 82 BAL CHORÉGRAPHIÉ avec DENIS PLASSARD & DUO ART DEKO 3 déc à 20h30. Sur réserv. MAISON DE LA DANSE 8, av. Jean Mermoz - Lyon 8e - 04 72 78 18 00 CSÁRDÁS ! LE TANGO DE L’EST, Honvéd Dance Theatre - chor : Zoltán Zsuráfszky Jusqu’au 6 déc à 20h30, me. à 19h30, sa. à 15h et di. à 17h. 45€ - 35€ TAP DOGS - Création & chor : Dein Perry 13 au 23 déc à 20h30, me. à 19h30, di. à 15h et 20h. 40€ - 30€ + Projection Les claquettes, quel pied ! de Riou/Pouchain (07) - 13 au 23 déc THÉÂTRE ASTRÉE Campus de la Doua - 6, av. G. Berger Villeurbanne - 04 72 44 79 45 20 Ans de la section Danse-Etudes de l’INSA Lyon Spectacles, débats performances.. 5 et 6 déc à 19h30. Gratuit K, Association Ça + VOL DANSÉ, Association Ça Chor : Hervé Diasnas + COLLECTIF PULX - Chor : Elsa Decaduin etc. 5 déc à 19h30 VOL DANSÉ, Association Ça - Chor : Hervé Diasnas + LA MEUTE - Conception : Nadia Vadori Gauthier 6 déc à 19h30 LE TOBOGGAN 14, av. Jean Macé - Décines - 04 72 93 30 14 CIAO BELLA - Chor : Herman Diephuis 1er et 2 déc à 20h30. 24€ - 8€ DÉSIRS, Ballet de Lorraine Chor : Hafiz Dhaou / Aïcha M‘Barek, Boyzee Cekwana, Salia Sanou / Seydou Boro 6 déc à 20H30. 24€ - 8€ LE POLARIS Av. de Corbetta - Corbas - 04 72 51 45 55 GARE CENTRALE, Cie Grenade - Chor : Josette Baïz 2 déc à 20h30. 14€ - 8€ + Apéro-conte avec ANNIE GALLAY dès 19h30 PÔLE PIK 2, rue Paul Pic - Bron - 04 78 21 48 74 04 72 14 63 40 TABLAO, La Cueva De Los Flamenco Danse : Marion Darbas 16 déc à 20h30. 13€ - 10€ MJC JEAN COCTEAU 23, rue du 8 Mai 1945 - St-Priest - 04 78 20 07 89 NUIT DU CAIRE, Cie Baladi & Beyrouthin Khalil 10 déc à 20h30. 10€ - 4€ LE BRISCOPE Parc de l’Hôtel de Ville - Brignais - 04 78 05 31 13 PARADOXES II, Laurent Beretta - Chor : Cécile Médour 16 déc à 20h30. 20€ - 13€ THÉÂTRE DU VELLEIN Av. du Driève - Villefontaine - 04 74 80 71 85 EL CANTO DE DESPEDIDA + MARIANA, Cie Maryse Delente Chor : Maryse Delente 5 et 6 déc à 20h30. 21€ - 15€
XI BIENNALE DE LYON www.biennaledelyon.com Une terrible beauté est née Jusqu’au 31 déc, me. au ve. 11h/18h, sa. di. 11h/19h. 12€ - 6€, pass/19€ - 12€ 75 artistes invités, 4 lieux La Sucrière (Les Docks, 47-49, quai Rambaud, Lyon 2e) Musée d'Art Contemporain de Lyon (Cité Internationale, 81 quai Charles de Gaulle, Lyon 6e) Fondation Bullukian (26, place Bellecour, Lyon 2e) Usine T.A.S.E. (14, rue du Textile, Vaulx-en-Velin) KHALIL JOREIGE & JOANA HADJITHOMAS ERICK BELTRÁN - ALBERTO GIACOMETTI FRANCOIS BUCHER - BERNARDO ORTIZ JOSÉ ALEJANDRO RESTREPO - GABRIEL SIERRA etc. + VEDUTA (en 5 actes) - Le «Cube Blanc» à Décines Christian Lhopital à Décines / Marina De Caro à Villeurbanne / La Voix Off (concours de nouvelles) TNP, 13 déc à 20h / Le procès de l’Art contemporain (2 déc à 18h) + Résonance (100 lieux, 180 expos et rendez-vous) ARCHIPEL 21, pl. des Terreaux - Lyon 1er - 04 78 30 61 04 PART DREAM 17 déc au 26 fév, ma. au di. 13h/19h. Gratuit L’ATELIER DU CROQUE-MOT 122, Montée de la Grande Côte - Lyon 1er GIL MANCONI 1er au 31 déc, tlj 14h/19h BF 15 11, quai de la Pêcherie - Lyon 1er - 04 78 28 66 63 ÉRIC HATTAN Jusqu’au 21 jan, me. au sa. 14h/19h GALERIE FRANÇOISE BESSON 10, rue de Crimée - Lyon 1er - 06 07 37 45 32 DANIEL CLARKE 3 déc au 21 jan, me. au sa. 14h30/19h AMRP 35, rue Burdeau - Lyon 1er - 0950 45 85 75 06 72 53 70 34 BOVAGNET - GAZIER - METZGER - SERMONAT STOCARD 10 déc au 28 jan, me. au sa. 15h/19h GALERIE FRANÇOISE SOUCHAUD 35, rue Burdeau - Lyon 1er - 06 87 95 17 98 CHRISTINE TROUILLET 10 déc au 28 jan, me. au ve. 15h/19h, sa. 14h30/19h30 GALERIE LE RÉVERBÈRE 38, rue Burdeau - Lyon 1er - 04 72 00 06 72 KLEIN + 10 COLLECTIONNEURS Jusqu’au 31 déc, me. au sa. 14h/19h GALERIE NÉON 41, rue Burdeau - Lyon 1er - 04 78 39 55 15 PHÉNOMÈNES Jusqu’au 17 déc, me. au sa. 14h/19h LE BLEU DU CIEL 48, rue Burdeau - Lyon 1er - 04 72 07 84 31 TOM WOOD Jusqu'au 31 déc, me. au sa. 15h/19h
CINÉMA DOC EN COURTS, FESTIVAL DU JEUNE CINÉMA DOCUMENTAIRE #11 Musée des Moulages - 3, rue Rachais - Lyon 3e Panorama du jeune cinéma documentaire «Édition spéciale», rencontres pros, workshops, master class etc. Jusqu’au 3 déc, je. dès 14h, ve. sa. dès 10h MJC DU VIEUX LYON SALLE LÉO FERRÉ 5, place Saint Jean - Lyon 5e - 04 78 42 48 71 ÉCRAN OUVERT avec Collectif Item 9 déc à 20h. Gratuit MUSÉES GADAGNE 1, pl. du Petit Collège - Lyon 5e - 04 37 23 60 45 RATATOUILLE de Brad Bird (07) 23 déc à 15h. 3€ CHARLIE ET LA CHOCOLATERIE de Tim Burton (05) 30 déc à 15h. 3€ PUPILLES ET PAPILLES avec l’ARFI (ciné-concert) Buster Keaton, Roscoe Arbuckle, Jan Svankmajer 16 déc à 20h30. 10€ - 8€, sur réserv. AUDITORIUM DE LYON 149, rue Garibaldi - Lyon 3e - 04 78 95 95 95 CHANG de Cooper & Schoedsack, BARON SAMEDI & COLLECTIF ARFI (ciné-concert) 11 et 13 déc, di. à 14h et 17h, ma. à 19h. 16€ - 8€ THÉÂTRE JEAN MARAIS 53 rue Carnot - St-Fons - 04 78 67 68 29 DUEL de Steven Spielberg, ANTIQUARKS (ciné-concert) 9 déc à 20h30. 13€ - 6€ THÉÂTRE ASTRÉE Campus de la Doua - 6, av. G. Berger Villeurbanne - 04 72 44 79 45 SHUTTLER ISLAND de Martin Scorsese 3 nov à 20h. Gratuit PLANÉTARIUM DE VAULX-EN-VELIN Pl. de la Nation - Vaulx-en-Velin - 04 78 79 50 12 LES VISITES GUIDÉES DU CIEL (films d’astronomie) Réouverture 17 déc, tlj 11h, 14h et 15h30. 6,5€ - 4€
DANSE FESTIVAL KARAVEL (5E) Pôle Pik Espace A. Camus à Bron + Maison de la Danse, CND, CCO etc. 04 72 14 63 40 - www.polepik.fr 10 au 17 déc. 16€ - 9€, pass/44€ - 28€ Spect. hip-hop + ateliers, stages, master-classes, rencontres (Carte blanche à Banlieues d’Europe, 14/12), débats, Marathon de la Danse, bal final, battles, slam Instantané, etc. Espace Albert Camus - 04 72 14 63 40 CHRONIQUES DU PÉRIMÈTRE, Cie Black Blanc Beur - Chor : Christine Coudun + NYA (2e Partie), Ballet Contemporain d’Alger Chor : Abou Lagra - 10 déc à 20h30 DANSE AVE LES MOTS - Chor : Kadia Faraux + DUTCH SOUL SUPLLY - Chor : Henry O’Tawiah + UNITY - Dir. Tashan + CRAZY ALLIANCE - MS : Spiro Dhimoila + ILLICITE CREW + FIGURE DE STYLE 13 déc à 20h30 RAF CTY’Z, RAF Crew + MURMURES, Cie Malka Chor : Bouba Landrille Tchouda - 15 déc à 20h30 EL DIN - Chor : Hervé Koubi + DES BRANCHÉS, Cie C’Mouvoir Chor : Céline Lefèvre + KONEXION, Cie Wanted Posse & Cie Indigeneus Dance Academy - 17 déc à 20h30
DÉCEMBRE 2011
EXPOSITIONS E
GALERIE HENRI CHARTIER 35, rue Leynaud - Lyon 1er - 04 72 44 02 58 [Josef Ciesla - Stéphane Guénier - Lionel Pratt Jean Raine etc... 3 déc au 15 jan, ma. au sa. 10h/19h30 GALERIE PHOTOSTAGE 1, rue Camille Jordan - Lyon 1er - 0952 50 96 81 JULIE DE WAROQUIER Jusqu’au 31 déc, ma. au ve. 10h/18h GALERIE REGARD SUD 1/3, rue des Pierres Plantées - Lyon 1er 04 78 27 44 67 NABIL BOUTROS Jusqu’au 3 jan, ma. au sa. 14h/19h MAPRA 9, rue Paul Chenavard - Lyon 1er - 04 78 29 53 13 AMANDINE ZAÏDI / ALINE ROBIN Jusqu’au 3 déc, ma. au sa. 14h30/18h30 + me. je. ve. 10h/12h30 MU, ATELIER GRAPHIQUE 3, rue Camille Jordan - Lyon 1er - 04 72 98 21 11 HÉLOÏSE AVEC UN H CAMILLE DOLLADILLE Jusqu’au 6 déc, me. au ve. 14h/18h MUSÉE DES BEAUX-ARTS 20, pl. des Terreaux - Lyon 1er - 04 72 10 17 40 ANTOINE DE GALBERT (carte blanche) Ainsi soit-il Jusqu’au 2 jan, me. au lu. 10h/18h, ve. 10h30/18h. 7€ - 4€ L’ATELIER D’ÉTIENNE MARTIN MARCEL MICHAUD, LE POIDS DU MONDE Jusqu’au 23 jan, me. au lu. 10h/18h, ve. 10h30/18h. 7€ - 4€ FNAC BELLECOUR 85, rue de la République - Lyon 2e - 04 72 40 49 49 ANASTASIA TAYLOR-LIND Siberian Supermodels & Women of the Cossack Jusqu’au 31 déc, lu. au sa. 10h/19h30 LES ARCHIVES MUNICIPALES DE LYON 18, rue Dugas-Montbel - Lyon 2e - 04 78 92 32 50 L’UNIVERSITÉ DANS LA VILLE «Aujourd’hui - Demain - Hier» Jusqu’au 25 fév, ma. au sa. 13h/18h 50 ANS DE PRESSE ALTERNATIVE À LYON ET DANS SA RÉGION Jusqu’au 25 fév, lu. 11h/17h, ma. au sa. 8h30/18h, sa. 13h/18h LE PLATEAU - HÔTEL DE RÉGION 1, Esplanade François Mitterrand - Lyon 2e 04 26 73 40 00 LES ENFANTS TERRIBLES [lowbrow et pop surréalisme] Jusqu’au 31 déc, ma. au ve. 11h/18h, sa. di 11h/19h MUSÉE DES TISSUS ET DES ARTS DÉCORATIFS 34, rue de la Charité - Lyon 2e - 04 78 38 42 02 ICÔNE DE MODE Jusqu’au 25 mars, ma. au di. 10h/17h30 sf jrs fériés. 10€ - 5,5€ ANTHROPOMETRIA Mode et Science / Naoki Takizawa Jusqu’au 8 jan, ma. au di. 10h/17h30 sf jrs fériés. 10€ - 5,5€ TISSE TOUJOURS, TON ÉTOFFE EST MON DRAPEAU ! Jusqu’au 22 jan, ma. au di. 10h/17h30 sf jrs fériés. 10€ - 5,5€ MUSÉE DE L’IMPRIMERIE 13, rue de la Poulaillerie - Lyon 2e - 04 78 37 65 98 TOUT LE MONDE CONNAIT ROGER EXCOFFON Jusqu’au 19 fév, me. au di. 9h30/12h - 14h/18h. 6€ - 3€ ATELIER VINCENT GIRARD 235, rue Vendôme - Lyon 2e VINCENT GIRARD - KARIM SIDIMOUSSA JOËL CUBAS Jusqu’au 13 déc, me. au sa. 14h/19h BIBLIOTHÈQUE DE LA PART-DIEU 30, bd Vivier-Merle - Lyon 3e - 04 78 62 18 00 LES SUDRE, UNE FAMILLE DE PHOTOGRAPHES Jusqu’au 21 jan, ma. au ve. 10h/19h, sa. 10h/18h MUSÉE DES MOULAGES 3, rue Rachais - Lyon 3e - 04 72 84 81 12 BRUNO THÉRY - Entre le mur et l’affiche Jusqu’au 17 déc, ma. au sa/ 14h/18h GALERIE IUFM CONFLUENCE(S) 5, rue Anselme - Lyon 4e - 04 72 07 30 74 HOMMAGE À CHRISTIAN CALLIGAROT 43 artistes à la galerie Jusqu’au 13 jan, lu. au ve. 9h/18h, sa. 14h30/18h GALERIE VRAIS RÊVES 6 rue Dumenge - Lyon 4e - 04 78 30 65 42 40 ARTISTES, 500 PHOTOGRAPHIES Jusqu’au 24 déc, me. au sa. 15h/19h LA BRÈCHE, ESPACE D’ART 5, place St-Jean - Lyon 5e - 04 78 42 48 71 CHARBEY - Discours de Bayeux Jusqu’au 17 déc, ma. au ve. 10h/12h-14h/21h, lu. 14h/21h, sa. 9h/12h-14h/19h MUSÉE GALLO-ROMAIN 17, rue Cléberg - Lyon 5e - 04 72 38 49 30 COLLECTIONS PERMANENTES Plus de cinq siècles de découvertes Ma. au di. 10h/18h. 4€ à gratuit (je.) LA MÉDECINE À L’ÉPOQUE ROMAINE Jusqu’au 22 av, ma. au di. 10h/18h. 4€ à gratuit + Parcours commenté 4, 8, 11, 22, 29 déc à 15h (+2€) + Carte blanche au C.A.L.A. - 11 déc + Lectures JULIE TARNAT / Cie Ubris 21, 22, 28 et 29 déc à 14h30
agenda MUSÉES GADAGNE 1, pl. du Petit Collège - Lyon 5e - 04 78 42 03 61 MUSÉE D’HISTOIRE DE LYON & MUSÉE DES MARIONNETTES DU MONDE COLLECTIONS PERMANENTES me. au di. 11h/18h30. 8€ - 4€ DE BOURGELAT À MÉRIEUX 250 ans de l’École vétérinaire de Lyon Jusqu’au 4 déc, me. au di. 11h/18h30. 8€ - 4€ GOURMANDISES ! Histoire de la gastronomie à Lyon Jusqu’au 29 av, me. au di. 11h/18h30. 8€ - 4€ + HÉLÈNE GRANGE - 10 déc à 14h et 16h + Déjeuner-bavardage avec Jacotte Brazier 15 déc à 13h30 + Balades Urbaines, Lyon la Gastronome 18 déc à 15h. 5€ à gratuit, sur réserv. 04 72 10 30 30 Philibert de l’Orme et Girard Desargues Deux grands architectes et théoriciens lyonnais 15 déc au 25 mars, me. au di. 11h/18h30 + Débat inaugural Leur influence post-mortem dans les choix urbanistiques contemporains 15 déc MUSÉE URBAIN TONY GARNIER 4, rue des Serpolières - Lyon 8e ENVERS L’ENDROIT, L’ESPACE URBAIN À L’ÉPREUVE DE L’ART Jusqu’au 28 jan, ma au sa. 14h/18h. 8€ à gratuit INSTITUT D’ART CONTEMPORAIN 11, rue dr Dolard - Villeurbanne - 04 78 03 47 00 JOACHIM KOESTER - Of Spirits and Empty Spaces 10 déc au 19 fév, me. au di. 13h/19h. 4€ - 2,5€ LE RIZE 23/25, rue Valentin-Haüy - Villeurbanne 04 37 57 17 17 LE PALAIS DU TRAVAIL [Histoire du projet social et politique de Lazare Goujon, Années 30] Jusqu’au 25 fév, ma. au sa. 12h/19h, je. 17h/21h. Gratuit + Visites Focus & Découverte 1er et 3 déc, je. à 18h30, sa. à 15h TNP 8, place Lazare-Goujon - Villeurbanne 04 78 03 30 00 ERHARD STIEFEL - Masqué Jusqu’au 23 déc, ma. au ve. 11h/19h, sa. 14h/18h + soirs spectacles ATC GROUPE 403, rue d’Athènes - Rillieux-la-Pape 04 37 47 89 90 PERRINE LACROIX - Un balcon en forêt Jusqu’au 31 déc, lu. au ve. 8h30/12h30 - 14h/18h LE POLARIS 5, av. de Corbetta - Corbas - 04 72 51 45 55 ANDY VARIOLE Jusqu’au 9 déc, ma. au ve. 9h/19h
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LA FERME DU VINATIER CH Le Vinatier - 95, bd Pinel - Bron - 04 37 91 51 11 GIORGIA VOLPE - Rose des vents Jusqu’au 9 déc, ma. au ve. 14h/17h ESPACE PANDORA 7, place de la Paix - Vénissieux - 04 72 50 14 78 GUYLAINE CARROT - Y’a pas photo Jusqu’au 22 déc, lu. au ve. 9h30/12h30 - 14h/18h CENTRE D’ARTS PLASTIQUES Centre Léon Blum - Rue de la Rochette - St-Fons 04 72 09 20 27 25 ANS [SARAH TRITZ] Jusqu’au 28 jan, ma. au sa. 14h/18h L’ÉPICERIE MODERNE Place René Lescot - Feyzin - 04 72 89 98 70 MÉLANIE FAGARD - Au Travers (photos) Jusqu’au 16 déc, ma. au ve. 10h/17h + soirs de spectacle L’AQUEDUC 1, ch. de la Liasse - Dardilly - 04 78 35 98 03 MARINA - Tombée dans le panneau Jusqu’au 18 déc, lu. 14h/19h, ma. je. ve. 10h/12h-14h/19h, me. 10h/12h30-13h30/19h MAISON DE LA RENCONTRE 21, rue E. Aynard - Écully - 04 78 33 64 33 IL ÉTAIT UNE FOIS… LE CONTE Expos autour du conte et littérature russes Jusqu’au 28 jan. Se renseigner + Anne Kovalevsky & Contes russes 14 déc à 16 et 17h30 MUSÉE ARCHÉOLOGIQUE Route Départementale 502 - St-Romain-en-Gal 04 74 53 74 01 COLLECTIONS PERMANENTES ma. au di. 10h/18h. 4€ - 2,5€, je. free LES MOSAÏQUES DE SYRIE Jusqu’au 8 jan, ma. au di. 10h/18h. MUSÉE DE BOURGOIN-JALLIEU 17, rue Victor Hugo - Bourgoin-Jallieu 04 74 28 19 74 GEORGES ROUSSE - L’œil du Prince Jusqu’au 22 jan, ma. au di. 10h/12h - 14h/18h. 4€ - 2,5€ MAISON D’IZIEU, MÉMORIAL DES ENFANTS JUIFS EXTERMINÉS 70, rte de Lambraz - Izieu (01) - 04 79 87 21 05. MÉMORIAL DES ENFANTS JUIFS EXTERMINÉS Photos, dessins, lettres, extraits films lu. au ve. de 9h à 17h, sa. di. 10h à 18h. 5€ - 3€ MONASTÈRE ROYAL DU BROU Église & musée - 63, bd du Brou Bourg-en-Bresse - 04 74 22 83 83 COLLECTIONS PERMANENTES (peintures, sculptures, mobilier, etc.) Tlj 9h/12h-14h/17h
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6e Continent - 51, rue St-Michel - Lyon 7e - 04 37 28 98 71 Abattoirs - Route de L’Isle d’Abeau - Bourgoin - 04 74 19 14 20 Acte 2 Théâtre - 32, quai Arloing - Lyon 9e - 04 78 83 21 71 Agend’Arts - 4, rue Belfort Lyon 4e Allégro - Place de la République - Miribel - 04 78 55 80 20 Antre-Autre Caf - 11, rue Terme - Lyon 1er - 04 72 07 89 96 Aqueduc : chemin de la Liasse - Dardilly - 04 78 35 98 03 À Thou Bout d'Chant - 2, rue de Thou - Lyon 1er - 04 72 98 28 22 Amphithéâtre Astrée - 6,av. Gaston Berger - Villeurbanne - 04 72 43 19 11 Auberge La Buissonnière - Courzieu - 04 74 70 87 48 Auditorium de Lyon - 149, rue Garibaldi - Lyon 3e - 04 78 95 95 95 Bar L’Absynthe - 22, rue de Flesselles - Lyon 1er - 06 76 72 14 26 Bastringue - 14, rue Laurencin - Lyon 2e Bistro Fait Sa Brocante - 3, rue Dumenge - Lyon 4e - 04 72 07 93 47 Boulangerie du Prado - 69, rue Sébastien Gryphe - Lyon 7e - 06 21 21 41 33 Boulevardier - 5, rue de la Fromagerie - Lyon 1er - 04 78 28 48 22 Bourse du Travail - Place Guichard - Lyon 3e Briscope - Parc de l’Hôtel de Ville - Brignais - 04 78 05 31 13 C.C.O. - 39, rue Courteline - Villeurbanne - 04 78 93 41 44 Café du Bout du Monde Brotteaux - 120, rue Bugeaud - Lyon 6e - 04 72 74 44 82 Carré 30 - 12, rue Pizay - Lyon 1er - 04 78 39 74 61 Casa Musicale - 1, ch. de Fontenay - Lyon St-Rambert - Vergoin - 06 14 02 81 40 Cave à Musique - 119, rue Boulay - Mâcon - 03 85 21 96 69 Caveau du Chien à 3 Pattes - Croix-Rouge - Belleville - 04 74 66 14 61 Centre Charlie Chaplin - Place de la Nation - Vaulx-en-Velin - 04 72 04 81 18 Centre Culturel Aragon - 88, crs de Verdun - Oyonnax - 04 74 81 96 80 Centre Culturel Théo Argence - Pl. Ferdinand Buisson - Saint-Priest - 04 78 20 02 50 Chapelle de la Trinité - 31, rue de la Bourse - Lyon 1er - 04 78 38 09 09 Château Rouge - 1, route de Bonneville - Annemasse - 04 50 43 24 25 Citron - 20, rue St-Georges - Lyon 5e - 04 78 37 63 97 Clacson - 10, rue Orsel - Oullins - 04 72 39 74 93 Clef de Voûte - 1, place Chardonnet - Lyon 1er - 04 78 28 51 95 Comédie de Valence - Place Charles-Huguenel - 26 000 Valence - Tél 04 75 78 41 71 Cocotte Minute - 4, rue Belfort - Lyon 4e - 04 72 00 96 412 Crescent Jazz Club - 83, rue Rambuteau - Mâcon - 03.85.39.08.45 De l’Autre Côté du Pont - 25, cours Gambetta - Lyon 7e - 04 78 95 14 93 DV1 - 6, rue Violi - Lyon 1er - 06 61 64 43 69 Épicerie Moderne - Ctre Léonard de Vinci - pl. R. Lescot - Feyzin - 04 72 89 98 70 Espace Albert Camus - 1, rue M. Bastié - Bron - 04 72 14 63 40 Espace Baudelaire - 83, av. de l’Europe - Rillieux-la-Pape - 04 37 85 01 50 Espace Double Mixte - La Doua - 43, bld du 11 Nov. 1918 - Villeurbanne - 04 72 44 60 19 Espace Jean Carmet - Bld du Pilat - Mornant - 04 78 44 03 12 Espace Culturel Saint-Genis-Laval - 8, rue des Écoles - St-Genis-Laval - 04 78 86 82 28 Espace des Arts - 5 bis, av. Nicéphore Niepce - Châlon-sur-Saône - 03 85 42 52 12 Espace St-Germain - 30, av. Général Leclerc - Vienne Espace Tonkin - 1, av. Salvador Allende - Villeurbanne - 04 78 93 11 38 Étoile Royale - 17, rue Royale - Lyon 1er - 04 78 39 95 66
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Fée Verte - 4, rue Pizay - Lyon 1er - 04 78 28 32 35 Fnac Bellecour - 85, rue de la République - Lyon 2e - 04 72 40 49 49 Fnac Part-Dieu - 17, rue du Docteur Bouchut - Lyon 3e - 04 78 71 87 00 Grrrnd Gerland - 40, rue Pré-Gaudry - Lyon 7e Grrrnd Vaise - 69, rue Gorge de Loup - Lyon 9e Hall C - Plaine Achille - St-étienne - 04 77 48 76 16 Halle Tony Garnier - 20, place Antonin Perrin - Lyon 7e - 04 72 76 85 85 Hot Club de Lyon - 26, rue Lanterne - Lyon 1er - 04 78 39 54 74 Îlo Café d’Expression - RN 89 - Rte de Lyon - St-Genis l’Argentière - 04 74 72 26 12 Jazz Du Bout du Monde - 3, rue d’Austerlitz - Lyon 4e - 04 72 98 39 08 Jonkafé - 21, rue Pasteur - Lyon 7e - 04 72 76 99 53 Johnny’s Kitchen - 48, rue St-Georges - Lyon 5e - 04 78 37 94 13 Karavan Théâtre - 60, rue de la République - Chassieu - 04 37 42 14 40 Kraspek Myzik - 20, montée St-Sébastien - Lyon 1er - 04 69 60 49 29 K-Barré - 34, rue Raulin - Lyon 7e - 04 72 71 44 40 Kotopo - 14, rue René Leynaud - Lyon 1er - 04 72 07 75 49 Laboratoire - 25, petite rue de la Cocarde- Vienne L’Apéro Rock - 31, rue Ste-Geneviève - Lyon 6e - 06 63 95 09 94 L’Atmosphère - 9, montée des Carmélites - Lyon 1er - 04 78 28 68 76 L’Atrium - 3, av. des Cosmos - Tassin-la-Demi-Lune - 04 78 34 70 07 L’Atribut - 122, rue Marietton - Lyon 9e - 04 72 29 10 66 LaPéniche - 52, quai St-Cosme - Chalon/Saône - 03 85 94 05 78 Le 13 Espace d’Interventions - 13, rue Leynaud - Lyon 1er - 06 03 94 23 14 Le Fil - 20/22, bld Thiers - St-Étienne - 04 77 34 46 40 Le Rize - 23/25, rue Valentin-Haüy – Villeurbanne – 04 37 57 17 17 Le Sou - 19, rue Romain Rolland - La Talaudière - 04 77 53 03 37 Les Trois Gaules - 10, rue Burdeau - Lyon 1er - 04 72 87 08 25 Les Valseuses - 1, rue Chappet - Lyon 1er L'Impromptu Kafé - 7 place Colbert - Lyon 1er - 06 61 18 67 24 / 06 17 52 45 75 Luminier - 50, rue de la République - Chassieu - 04 78 90 88 21 Lyon’s Hall - 21, rue Joannes Carret - Lyon 9e - 06 61 43 45 35 Mâcon Scène Nationale - 1511, av. Ch. de Gaulle - Mâcon - 03 85 22 82 99 Maison de la Rencontre - 21, av. Aynard - Écully - 04 78 33 64 33 Maison du Peuple - 4, place Jean Jaurès - Pierre-Bénite - 04 78 86 62 90 Marché Gare - 34, rue Casimir Périer - Lyon 2e - 04 78 38 49 69 Marquise - Quai Augagneur - Lyon 3e - 04 72 61 92 92 Médiathèque de Vaise - Place Valmy - Lyon 9e - 04 72 85 66 20 Mjc Aragon - Place Gaillard Romanet - Bron - 04 78 26 87 25 MJC Le Cadran - 15, chemin de Feyzin - Vénissieux - 04 72 50 00 69 Mjc de Chazelles - rue Joanny-Désage - Chazelles/Lyon - 04 77 54 29 21 Mjc Jean Cocteau - 23, rue du 8 Mai - St-Priest - 04 78 20 07 89 Mjc Ô Totem - 11, av. G. Leclerc - Rillieux - 04 78 88 94 88 Mjc de Ste Foy-lès-Lyon - 112, av. Foch - Ste Foy-lès-Lyon 04 78 59 66 71 Mjc de Tassin - 16, av. de Lauterbourg - Tassin - 04 78 34 28 78 Moulin de Brainans - Poligny - 03 84 37 50 40 Nakamal - 36, av. Joannès Masset / Angle rue L. Loucheur - Lyon 9e - 04 78 47 20 16 Nec - St Priest-en-Jarez - 04 77 74 41 81
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Ninkasi / Kafé / Kao - 267, rue Marcel Mérieux - Lyon 7e- 04 72 76 89 00 Nouveau Théâtre Beaulieu - 28, bld de la Palle - St-Étienne - 04 77 46 31 66 Opéra National de Lyon - 1, place de la Comédie - Lyon 1er 04 72 00 45 45 Palais des spectacles - Bld Jules Janin - St-Étienne - 04 77 49 47 81 Péniche Loupika - 47, Quai Rambaud - Lyon 2e - 04 72 41 75 24 Périscope - 13, rue Delandine - Lyon 2e - 04 78 42 63 59 Plateforme - Face au 4, quai Augagneur - Lyon 3e - 04 37 40 13 93 Polaris - Av. de Corbetta - Corbas - 04 72 51 45 55 Pub des Capucins - 5, place des Capucins Lyon 1er - 06 76 37 63 67 Radiant - 1, rue Jean Moulin - Caluire - 04 78 23 84 02 Rail Théâtre - 69, rue Gorge de Loup - Lyon 9e Salle 3000 - Cité Internationale - 50, quai Charles de Gaulle - Lyon 6e Salle Aristide Briand - Jardin des Plantes - Av. Antoine Pinay - St-Chamond - 04 77 31 04 41 Salle Genton - 21, rue Genton - Lyon 8e - 04 37 90 55 93 Salle Gérard Philipe - 46, crs de la République - Villeurbanne - 04 78 85 79 97 Salle des Iris - montée des Roches - Francheville - 04 78 59 66 66 Salle Jean Carmet - Mornant - 04 78 44 05 17 Salle Jeanne d'Arc - 16, rue Jean-Claude Tissot - St-étienne 04 77 25 01 13 Salle Léo Ferré/MJC Vieux Lyon - 5, place St-Jean - Lyon 5e - 04 78 42 48 71 Salle Molière - 18-20, quai de Bondy - Lyon 5e Salle Rameau - 29, rue de la Martinière - Lyon 1er Salle des Rancy - 249, rue Vendôme - Lyon 3e - 04 78 60 64 01 Salle Varèse - CNSMD - 3, quai Chauveau - Lyon 9e - 04 72 19 26 59 Sémaphore - Chemin de Boutan - Irigny - 04 72 30 47 90 Sirius - face 21, quai Augagneur - Lyon 3e - 04 78 71 78 71 Sonic - Péniche Mascaret, face au 4, quai des Étroits - Lyon 5e - 04 78 38 27 40 Soucoupe - 4, rue Mourguet - Lyon 5e - 04 78 38 31 25 Studio Club - 29, cours d’Herbouville - Lyon 4e - 04 72 10 15 35 Subsitances - 8, quai St-Vincent - Lyon 1er - 04 78 39 10 02 Tannerie - 123, place de la Vinaigrerie - Bourg-en-Bresse 04 74 21 04 55 Théâtre Antique Vienne - rue Pipet - Vienne - 0892 702 007 Théâtre Astrée - Campus de la Doua - 6, av. G. Berger Villeurbanne - 04 72 44 79 45 / 04 72 43 19 11 Théâtre de Givors - 2, rue Puits Ollier - Givors - 04 72 24 25 50 Théâtre des Pénitents - Place des Pénitents - Montbrison - 04 77 96 39 16 Théâtre de Vénissieux - 8, bld. Laurent-Gérin - Vénissieux - 04 72 90 86 68 Théâtre de Villefranche - Pl. de la Sous-Préfecture Villefranche - 04 74 68 02 89 Théâtre du Vellein - Av. du Driève - Villefontaine - 04 74 80 71 85 Théâtre Jean Marais - 53, rue Carnot - Saint-Fons 04 78 67 68 29 Théâtre Jean-Vilar - 12, rue de la République – Bourgoin-Jallieu - 04 74 28 05 73 Toboggan - 14, avenue Jean Macé - Décines - 04 72 93 30 00 Toï Toï le Zinc - 17/19, rue Marcel Dutartre - Villeurbanne - 04 37 48 90 15/06 87 15 52 82 Train Théâtre - 1, rue Aragon - Portes-lès-Valence - 04 75 57 14 55 Transbordeur - 3, bld Stalingrad - Villeurbanne - 04 72 43 09 99 Trokson - 110, montée de la Grande Côte - Lyon 1er - 04 78 28 52 43 Zenith - St-Étienne - Rue Scheurer Kestner - St-Étienne
DÉCEMBRE 2011
N° 176
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