491 FÉVRIER 14 N° 200

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Š Bruno Pin



l’invité du mois Chaque mois 491 offre une carte blanche à un acteur ou une actrice de la vie culturelle

Hugues Mouret est naturaliste et directeur de l'association naturaliste Arthropologia investie dans le programme européen Urbanbees, parmi ses activités, elle a pour mission la mise en valeur et la protection de la faune et de la flore sauvages et de ses habitats.

Hugues Mouret

© Julie Halatas

Les paysages hallucinants : volcans, forêts, mangroves, plages de sable corallien... sont peuplés d'êtres fascinants : pinsons, fous à pieds bleus ou rouges, fous masqués, manchots, mouettes de lave, pélicans, flamands, cormorans aptères, frégates, moqueurs, pétrels, tyrans écarlates, iguanes marin et terrestre et bien sûr les fameuses tortues... Et dans l'eau : raies pastenague, aigle, dorée ou manta, requins marteaux et à pointe blanche, des myriades de poissons multicolores... ou encore tortues vertes, loups de mer et crabes... Citons entre autres spécificités végétales : les incroyables cactus arborescents, les Parkinsonia, Scalesia, Cordia, Darwiniothamnus, Cotons de Darwin...

Les Galapagos... et la planète des Hommes ? Un parcours atypique Naturaliste autodidacte, je me suis formé au travers de lectures, d'observations, d'expériences, de rencontres et c'est une réelle passion qui m'habite. S'intéresser aux choses de la Nature me paraît essentiel dans un monde où l'on est de plus en plus déraciné et bien trop éloigné de son environnement. Ainsi j'essaye de transmettre cette passion et les notions qui me semblent fortes par le biais d'histoires naturelles, d'anecdotes et d'expériences pour en restituer l'essence. Cela permet souvent de raccrocher le monde des hommes à celui de la Nature dans une sorte d'évidence imperceptible auparavant et subitement incontournable. Alors une question me taraude : comment l'Homme avec ses prérogatives et ses prédispositions notamment cognitives peut-il faire abstraction de tout ce qui l'entoure ? En 2001, pour contenter cette passion et agir concrètement, j'ai fondé avec des amis dont notamment ma compagne Caroline (qui co-dirige aujourd'hui avec moi), l'association Arthropologia, laquelle compte une douzaine de salariés. Nos activités sont multiples : conférences, sorties, animations, formations professionnelles, enseignement, inventaires, expertises, publications, chantiers de protection... Les thématiques relèvent évidemment de la nature, mais également des alternatives aux modes de production agricole ou encore du déclin des pollinisateurs. Ainsi, immense fut ma chance d'être sollicité pour partir en mission, détaché 4 mois auprès de la Fondation Charles Darwin et participer à l'inventaire des insectes dans l'archipel des Galapagos, une terre mythique dont le seul nom évoque tant de richesses, de particularismes.

Mais le fait le plus marquant reste sans doute la tolérance, voire la curiosité que les animaux (non chassés) ont pour la gent humaine, et pour un naturaliste, c'est assez frappant. Toutefois, les Galapagos ne sont désormais plus déconnectés du reste de la planète. Ici comme ailleurs, lorsqu'on en prend la mesure, on ressent de plein fouet le désastre écologique que l'on est en train de créer et de vivre : destruction des ressources naturelles, changement climatique et perte de biodiversité, la sixième extinction de masse, mais cette fois d'une fulgurance terrible, dont le responsable est l'Homme : on est bel et bien entré de plein pied dans l'Anthropocène ! Ouvrir ses yeux, comprendre et réagir Abusés par les arcanes malsains de la haute finance et de la course aux profits courts-termistes, on se laisse aller dans une vie trop facile, où consommer, produire et se développer toujours plus est devenu le sens de notre vie. Est-ce vraiment cela VIVRE ? Fini l'alarmisme, il nous faut passer de toute urgence à un réalisme aigu afin de limiter l'inéluctable. Car en réalité, la Terre se réchauffe à une vitesse inimaginable. Les milieux naturels fondent comme peau de chagrin : les forêts tropicales sont ravagées pour des productions vouées à l'export (qui viennent chez nous !) ; les mers sont écumées et les fonds sont raclés par des engins toujours plus puissants. L'agriculture, nécessité fondamentale de notre société, est bafouée et la majorité des paysans se battent pour survivre et gagner un salaire de misère. Mécanisation, pesticides, engrais de synthèse, OGM … nos modes de production et de consommation impactent violemment la planète pour des centaines, voire des milliers d'années. Fatalité et inéluctabilité ne peuvent rimer avec l'avenir de l'humanité.

Films : un choix bien difficile à faire. Fight Club de D. Fincher : où le narrateur schizophrène utilise la bestialité primitive des hommes, des vrais, pour constituer un réseau mondial et échafauder une cabale unique, afin de remettre les compteurs bancaires à zéro. Faudra-t-il y arriver un jour pour sortir de ce système sans foi ni loi ? Océans de J. Perrin : un des plus beaux films qu'il m'ait été donné de voir. C'est de plus ici aux Galapagos que j'ai eu la chance de voir cette œuvre de peintre sur la beauté et la fragilité du monde des mers. Le Peuple migrateur et Microcosmos produits par le même grand homme font sans doute également partie de mon top 5. Super Trash de M. Esposito et Gazland de J. Fox sont des films lanceurs d'alerte qui ne sont que trop peu diffusés et que malheureusement les grandes chaines ne programmeront sans doute pas. Livres : Dans la dèche de Paris à Londres de G. Orwell est une peinture accablante des conditions de vie des intouchables de l'Europe du début du XXe siècle et m'est avis que peu de choses ont dû changer dans ce monde de déshérités... Sur l'actualité environnementale, le choix est encore bien délicat : L'événement anthropocène de C. Bonneuil et J-B Fressoz et Les Apprentis sorciers du climat de C. Hamilton. Mais lire ou relire aussi le grand F. Terrasson, ainsi que les enquêtes fournies de F. Veillerette ou de V. Tardieu. Musique : Je fais le choix de mettre en exergue trois textes : War de l'empereur d'Ethiopie Hailé Sélassié (mis en musique par B. Marley), Masters of war de B. Dylan et Imagine de J. Lennon ; si justes, si simples, si évidents et pourtant si difficiles à appliquer. Site web de l'association : http://www.arthropologia.org Des photos de paysages, de faune, de flore, d'ici et d'ailleurs sur : http://lib.arthropologia.org Programme européen sur les abeilles URBANBEES : www.urbanbees.eu

Car la Vie est belle ! Et ne s'agit-il pas ici d'une forme de « culture essentielle de l'Homme, de par une culture de son milieu » ?

RÉDACTEUR EN CHEF BRUNO PIN MAQUETTE ET INFOGRAPHIE JEAN-MARC CLEYET-MARREL - Tél : 04 78 39 89 27 e mail : jmcleyetmarrel@wanadoo.fr

BP 24 - 69910 Villié-Morgon Tél : 04 74 04 25 71 - 06 82 37 53 38 Email : 491@wanadoo.fr - Site : www.491.fr

Quid de La Culture ? Quelle place peut encore avoir la Culture dans un monde où l'Homme est totalement dé-naturé ? Je n'ai rien d'un artiste et ne suis qu'un béotien de la Culture, mais, bien entendu, j'apprécie nombre d'œuvres, même si je ne peux toujours me targuer d'en avoir ou d'en comprendre les clés. J'en aime simplement le rythme, le message, mais aussi la plastique et la poésie. Profane de la culture artistique, je suis bien plus à l'aise avec la culture animale et végétale.

SECRÉTAIRE DE RÉDACTION FRÉDÉRIQUE MATAGRIN RÉDACTION ANNE HUGUET - ÉTIENNE FAYE - CHRISTOPHE JACQUET OLIVIER SAISON

PUBLICITÉ Tél : 04 74 04 25 71- Portable : 06 82 37 53 38 IMPRESSION IPS Reyrieux ...491 est édité par 491 Sarl de presse au capital de 305€ - BP 24 - 69910 Villié-Morgon ISSN : 1268-9149 - SIRET : 40325001600021 DIRECTEUR DE PUBLICATION BRUNO PIN © 491 2014. Tous droits de reproduction réservés. ...491 est édité sans aucune subvention - 32000 exemplaires

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février

Pour les amoureux des sorties collectives, le Centre culturel affiche un mois riche et varié. Au programme de la danse, une fantaisie burlesque et du théâtre qui occupe une place de choix. Vous pourrez découvrir une création de la compagnie Stéphane Müh, vous promener dans l’univers décalé de Bukowski, rencontrer la jeune équipe de Grime et Concocte qui cherche de nouvelles formes théâtrales pour des rencontres plus actives et sincères avec les spectateurs. La grande scène accueille la soirée d’ouverture des 25ème Rencontres Théâtrales de Lyon. Comme à son habitude le Centre Chaplin aide également à la création ou la diffusion de pièces d’auteurs plus contemporains tels Pierre David-Cavaz ou Thomas Bratsh. Fin février le festival A Vaulx Jazz égrènera ses premières notes sur la ville et les environs... Bref un mois pour sortir presque tous les jours et faire des rencontres ou des découvertes étonnantes…

Les naufragés

un grand tendre.» En voilà encore une qui s’est laissée prendre par le charme bukowskien ! Ce Gainsbourg de la littérature américaine plaît aux femmes malgré une beauté cachée, un vice certain, mais une sensibilité et un talent avérés. Son double littéraire, Chinaski, commet autant de frasques que son créateur. Bubu’s n’écoute que son cerveau reptilien : il boit, fume, fornique. Et le revendique en noircissant des pages entières de romans et poèmes. Il nous expose ses problèmes gastriques, les aléas de ses fonctions rectales, nous confie que la nature l’ayant généreusement doté il peut donc s’adonner frénétiquement aux plaisirs de la chair (…) Le spectacle se propose donc de retracer la vie de Bukowski à travers douze comédiens et un montage de textes tirés de nouvelles et poèmes. La première partie est axée sur son premier amour, Jeanne, de dix ans son aînée, encore plus alcoolique que lui, qu’il a rencontrée dans une de ses virées nocturnes. La deuxième partie commence par une lecture parmi celles qu’il avait l’habitude de donner, celle-ci pourtant ne va pas se dérouler jusqu’au bout…

Groupe de Théâtre Antique de l'Université de Neuchâtel Texte Plaute Traduction collective sous la direction de Pierre Siegenthaler Mise en scène : Guy Delafontaine Datée du 3e siècle av. J.C. la comédie de Plaute, Rudens, met en scène le naufrage d’un proxénète et de ses deux courtisanes. Rescapées, ces dernières tentent de survivre, et par la même occasion d’échapper a leur condition d’esclaves. Mais c’est sans compter sur les rencontres, chanceuses ou malchanceuses, qu’elles feront dans ce cadre exotique d’Afrique du Nord. Des pécheurs aux prêtresses, des vieillards aux esclaves fouetteurs, tous font avancer l’intrigue, conduits par des ambitions nobles, égoïstes ou charnelles !

13 février à 19h30 14 et 15 février à 20h30

Florence Barnola in Petit Bulletin 22 nov 2013

A tour de rôle

10 février à 20h

création théâtre - Compagnie théâtrale Müh © Pierre David-Cavaz

Soirée d’ouverture du Festival International de Théâtre Etudiant

6 février à 19h30 7 et 8 février à 20h30

au centre

Les Rencontres Théâtrales de Lyon fêtent leur 25e anniversaire !

Bubu's blues,

© Astrid Berglund

la vie rêvée de Charles Bukowski Théâtre du Désordre des Esprits Marie-Paule Laval, Bruno Boëglin Tu t’es vu quand t’as bu ? Le sulfureux auteur américain Charles Bukowski, mort il y a près de vingt ans, fait l'objet d'un projet théâtral et familial. La production made in Théâtre du Désordre des Esprits- Compagnie Bruno Boëglin relate l'histoire subjective d'un vieux dégueulasse. Dans la famille Laval Boeglin : la mère, Marie-Paule met en scène cette vie rêvée de Charles Bukowski. Le père, Bruno, fondateur de la compagnie joue un rôle dans l'histoire. Romain, le fils, aussi. L’autre fils, Seymour, signe la scénographie et les lumières. (…) L’étincelle aura été un documentaire réalisé sur l’écrivain de la Côte Ouest. « En regardant ce dvd, j’ai eu envie de faire un spectacle sur lui parce que il ne correspondait pas du tout à l’image qu’on s’en faisait. Le côté provocateur et tout ça. En fait c’était

Reuteuleu

© Jean-Paul Bajard

La vérité sur la véritable histoire véridique de la véritable quête du Graaleux Texte de Carmel Petit Mise en scène collective Compagnie Lune Noire Depuis quelques années, la compagnie Lune Noire explore le Mumming Play, forme de théâtre de rue populaire apparue chez les Anglo-saxons autour du XIIIe siècle, que les acteurs jouaient sur la place du village pour fêter le retour du printemps. Quoi de plus naturel que de farfouiller dans la légende du roi Arthur pour en faire une comédie absurde et déjantée ? Le programme complet sur le site du centre Chaplin

Trois courtes pièces réunies en un seul spectacle : - Le pyjama en satin - La Légion - Les couples La première : deux comédiens répètent une pièce légèrement déconcertante. Qui se charge de la mise en scène ? C'est là tout le problème. La deuxième : un touriste débarque dans un café de province désert tenu par un ancien légionnaire qui cherche aussitôt à l'impressionner. Mais le légionnaire n'est peut-être pas ce qu'il prétend. Le touriste non plus. Au final, lequel impressionnera le plus l'autre ? La troisième : Dans un immeuble coquet, deux appartements contigus abritent les drames de deux couples dont les femmes sont invisibles et inaudibles pour des raisons différentes. Leurs drames s'enchevêtrent jusqu'à ne faire plus qu'une histoire. Trois courtes pièces réunies en un seul spectacle. Leur point commun : elles n’ont rien à voir les unes avec les autres. Leur particularité commune : elles sont écrites en prose et n’ont aucune volonté d’analyser, d’éclairer ou d’interroger. Seulement le plaisir qui rime avec rire.


charliechaplin © Sébastien Frezza

culturel

28 février à 20h30

Frontière(s) création danse Hip-Hop Compagnie Kadia Faraux

18 février à 19h30

Chorégraphie Kadia Faraux Composition musicale Franck II Louise

24 et 25 février à 20h30

Fantaisie clownesque pour harpe, flûte et danse

Mercedes

Cie Adroite gauche

théâtre - Compagnie Grime et Concocte

© Daniel Michelon

Ça serait léger… de l’air… du son… Une suite musicale pour corps, harpe et flûte. Une sonate clownesque… concertante, déconcertante… Un spectacle à trois corps, trois voix, trois vies. Un tiercé, un trois-mâts, une trinité : au nom du père, du fils et du simple d’esprit. Être en trio, c’est constater qu’il en manque un pour faire un quatuor, c’est regretter d’être trop nombreux pour faire un duo, c’est l’impasse, l’impair, le bancal de la valse. Comment créer une fourmilière à trois, une machinerie dansante ; un train de vie au plus loin des conventions, une harmonique du bazar… Créer une trilogique, une tresse burlesque à partir de trois virtuoses du spectacle vivant qui pour cette création s’engage en corps et en notes dans l’humanité du personnage clownesque.

Texte Thomas Brasch Traduction Patrick Démerin pour l’Arche éditeur Mise en scène Florent Fichot Monter à bord de Mercedes, c'est jouer avec les possibles et changer la face du spectacle. Spectacle interactif à partir de 12 ans Thomas Brasch avait tendance à niveler les différences entre RDA et RFA : partout confronté à une société de plus en plus anonyme, livrée au règne de la technique, l’individu cherche à donner un sens à sa vie. Un sentiment de filiation nous porte vers Mercedes. Face aux règles d’une société que nous tentons désespérément d’apprivoiser, face à l’angoisse de ne pas trouver sa place, face à l’obligation de ‘’gagner’’ et de ‘’réussir’’ sa vie, Oï et Sakko sont nos frères. Un peu étourdis, dans un temps sans repères, déformé, étrangement long, nous avons le théâtre et le jeu pour répondre aux vertiges de notre condition. Mercedes révèle les forces de création et de mouvement de ses protagonistes. Aussi voulons-nous un spectacle en perpétuelle évolution, constamment réinventé par l’improvisation. Sans perdre de vue la structure même du texte, encore et encore nous jouerons. Nous avons l’espoir de faire de chaque représentation une rencontre unique et ludique avec un public. Ensemble, nous écrirons et développerons une multitude de situations, nous inventerons le présent. Car c’est bien dans le caractère ludique de Mercedes que réside sa dimension utopique. Une utopie qui se glisse dans le présent sans prétendre le bouleverser de fond en comble. Simplement, nous rêvons notre recherche comme un espace de liberté au sein duquel chacun pourra choisir sa place, son rôle, et sa partition. Ensemble, par le théâtre, jouons nous du principe d’incertitude ! Créer des conditions d’imagination, de doute, de réflexion et de proposition nous permettra, peut-être, d’échapper à la stagnation générale… et d’envisager d’autres possibles.

La transmission est la voie choisie par la chorégraphe, sa source d'inspiration. Kadia Faraux, fait plonger ses jeunes danseurs dans l'espace de la création, transforme leurs blessures en œuvre d'art, les invite à l'expérience du dépassement, à la quête de leurs propres limites. La chorégraphe va puiser, au fond de chacun d'entre eux, cette formidable ressource pour la transformer en un espoir d'avenir, un outil d'anti-fatalité, une autre idée du vivre ensemble. En interrogeant les processus de résilience qui mènent les jeunes des ateliers vers les chemins de la réconciliation, la chorégraphe réalise un travail sur l'endurance créant une tension entre sa propre histoire et celle qui se construit avec ses danseurs. C'est de cette source d'énergie qu'est née cette nouvelle création, Frontière(s) Kadia Faraux et le hip-hop Kadia Faraux n'a cessé de défendre la place des femmes dans la danse hip-hop, au sein des compagnies : Dance'N'Effeckt et 10 Coredence composées uniquement de danseuses. L'enjeu étant de transmettre la danse hip-hop dans le respect, la solidarité, la rigueur, la conscience et la défense de la féminité. © Seb Fanger

Petouchok

Infos pratiques Venir à Chaplin, c’est facile !

Tarifs

■ Transports en commun, 30 min des terreaux Métro ligne A jusqu’à Bonnevay, puis : • C3, arrêt Vaulx-Hôtel de Ville Campus, retour assuré jusqu’à 00h15, bus toutes les 10 à 15 minutes en fin de soirée. • C8, arrêt Vaulx-Hôtel de Ville Campus, retour assuré jusqu’à 00h15, bus toutes les 15 à 30 minutes en fin de soirée. Le Centre Charlie Chaplin est situé à côté de l’arrêt Vaulx Hôtel de Ville Campus. Parkings gratuits à proximité.

plein tarif : 13 €, tarif réduit : 11 €, tarif spécial : 8 €, tarif enfant : 5 €

■ Transport individuel Par le boulevard périphérique sortie pont de Cusset, puis prendre direction Vaulx-en-Velin Centre ville. Le Centre culturel est situé à côté de l'Hôtel de Ville. ■ Co-voiturage www.covoiturage-pour-sortir.fr

Abonnements Abonnement A : 40,00 € (4 spectacles au choix dans la saison). Abonnement B : Étudiants de moins de 26 ans, personnes handicapées, demandeurs d'emploi, intermittents du spectacle. 28,00 € (4 spectacles au choix dans la saison). Abonnement C : Enfants et jeunes scolarisés jusqu'en terminale. 16,00 € (4 spectacles au choix dans la saison). Abonnement D : 70,00 € (10 spectacles au choix dans la saison). Vous pouvez acheter vos places à l'unité ou souscrire vos abonnements soit : • en vous rendant directement au guichet du Centre culturel • par courrier • par Internet sur www.centrecharliechaplin.com onglet “billetterie”

charlie chaplin Centre culturel communal Place de la Nation - 69120 Vaulx-en-Velin Tél. 04 72 04 81 18/19 Fax : 04 72 04 37 03 accueil@centrecharliechaplin.com www.centrecharliechaplin.com


© N. Boudier

spectacles vivants

Cosmos

Joris Mathieu dans le Cosmos Par Étienne Faye

Un homme en pleine maturité artistique, qui, de mises en scène en mises en scène, a affermi sa maîtrise exceptionnelle des nouvelles technologies, son goût du spectacle, de l'éblouissement, des grands voyages dans les imaginaires... Voilà comment je pourrais, en quelques mots, décrire Joris Mathieu, le nouveau directeur du Théâtre des Ateliers. C'est une des bonnes nouvelles de ce début d'année, un Théâtre allait mourir, il va reposer un peu, pendant les six prochains mois, mais il vit. En février, le jeune successeur de Gilles Chavassieux sera aussi à l'affiche des Célestins avec une pièce très attendue, Cosmos, d'après Witold Gombrovitcz. Il me confie avoir lu ce roman à l'âge de 17 ans : « je n'ai pas tout compris, à l'époque, j'ai fait beaucoup d'effort, et c'est finalement une de mes expériences de lectures les plus marquantes. » Aujourd'hui, le metteur en scène de 36 ans avoue que c'était le premier texte qui lui avait inspiré des images, le début d'une écriture scénique. « Deux types marchent sur une route de campagne polonaise, il fait 40° à l'ombre », raconte-t-il, « comme si c'était la route des hommes perdus ». Et c'est alors qu'au milieu d'un feuillage, à hauteur d'homme, ils aperçoivent un moineau pendu au bout d'un fil. Les deux compères improvisés décident de s'installer dans une pension toute proche, dans la forêt. Ils y rencontrent un chat pendu, puis un homme. Et Witold commence son enquête. « La volonté de choquer de Gombrovitcz, lue souvent comme grand-guignolesque, est pour moi, notamment dans ses romans, une poésie noire ». Ce petit oiseau mort, c'est le désir étranglé :

6 / Février 2014 / N°200 /

« on sait que les pendus bandent, après tout ». La pension de famille est un univers de planètes singulières, de personnages gravitant autour de Léon le père, acteurs d'un drame qui a eu lieu et qui n'est jamais dit. Witold observe la lèvre fendue de la servante, y lit un signal, ou alors sur le plafond, une marque est comme une flèche. On assiste à une sorte de boulimie de signes, tout fait sens, et l'on peut penser à Jean-Paul Sartre, dans L'Existentialisme est un humanisme, qui nous dit qu'il n'y a de signe dans le monde que si on le décide. La « traduction scénique » découle de ce sentiment que Joris Mathieu résume en une phrase : « le théâtre est un oiseau pendu au bout d'un fil ». Cet animal innocent supplicié se balance tel un pendule devant nous, même s'il ne s'agit pas d'une séance d'hypnose. D'abord, le personnage principal est montré, et peu à peu, il s'efface, pour que le spectateur prenne sa place et se laisse envoûter par cette plongée dans l'imaginaire inquiétant et débridé de Cosmos.

« le théâtre est un oiseau pendu au bout d'un fil » Les images construites par Joris Mathieu, jeux de scène ou projections, sur des écrans hologaphiques, sont des fantasmes qui ont toutes les apparences de la réalité. « Ce qui est donné comme objectif n'est en vérité qu'une vision subjective, ajoute l'artiste, même si c'est présenté comme le réel ». De la part d'un maître de l'illusion, cela résonne particulièrement, et, disant cela, je me souviens des prouesses de son fantastique Ubik / Orbik, d'après la vie et l’œuvre de Philippe K. Dick, un spectacle qui,

à mon sens, marquait les débuts de l'ère du Théâtre numérique – pardon, Joris Mathieu préfère l'expression de « théâtre optique ». Mais, est-ce que ce genre de pièce peut trouver sa place aux Ateliers ? La scène y est trop petite, en effet, mais le nouveau directeur des lieux me rappelle que la compagnie Haut et Court ne s'est jamais limitée à ces grands projets, multipliant les interventions urbaines, les petites formes, voire, avec le Bardo, les spectacles pour une personne : « Bien sûr, nous animeront cet endroit, n'en doutez pas, mais surtout je veux faire de ce Théâtre si différent, en plein centre-ville, doté de deux belles salles, un lieu de partage ». Il va se proposer en centre de ressources et d'échange pour les artistes ayant des désirs de théâtre numérique, invitera les artistes dont les questionnements, sur l'écriture scénique, se ressemblent, à des work shop. « Nous n'avons pas de gros moyens, me confie-t-il, mais il y a le temps de la maturation et, ensuite, le temps de la production ». Surtout, il prévoit d'accueillir une dizaine d'équipes par an, au maximum, pour les valoriser au mieux, leur donner du temps, et imagine organiser des projections, inviter des poètes sonores, des conférenciers, aménager des espaces critiques ouverts, le tout en résonance avec les spectacles programmés... « J'aimerais que le public n'ait aucune attente, qu'il vienne avec l'ambition de construire un regard commun : à l'instar d'un musée, où le public déambule, cherche une rencontre avec une œuvre, mais ne l'attend pas, au sens strict ». Selon lui, « le théâtre ne préexiste pas à la rencontre, il se situe à équidistance entre l’œil et la scène, dans une sorte de troisième dimension ». Fils d'un père peintre talentueux, d'une mère passionnée de livres, Joris Mathieu, dont le premier dessin fut une lettre, semble réussir une sorte de mariage d'une vision graphique exigeante et fine avec un amour pour la littérature romanesque. Et plongeant dans le Cosmos d'un autre, il nous propose un univers, fascinant, le sien. Du 25 février au 1er mars au Théâtre des Célestins 12 mars à l’Arc, Scène nationale Le Creusot


spectacles vivants

Merlin, Roi

Schiaretti monte Le Roi Lear, de Shakespeare Par Étienne Faye

Christian Schiaretti met en scène Le Roi Lear, de William Shakespeare, au TNP, avec Serge Merlin dans le rôle titre. Ce qu'il y a de formidable, et d'assez rare, c'est que l'ensemble de la troupe, Kent (Vincent Winterhalter, héro fidèle), Gloucester (envoûtant Philippe Duclos), Edgar (Christophe Maltot, époustouflant), Edmond (Marc Zinga, si joueur), le fou (Andrew Bennett, jusqu'à la mort), qui l'accompagnent tout au long de cette furieuse errance, et aussi Philippe Sire, Clara Simpson, Mathieu Petit..., se mettent au diapason du roi. Ou plutôt, dirais-je, se calent sur le même métronome, un presto qui bat tel un cœur prêt à éclater : c'est d'ailleurs l'expression du fidèle serviteur du roi, Kent, à la fin de l'aventure, alors que tout meurt autour de lui. Cette énergie, cet emballement, c'était justement ce qu'il exigeait de chacun, organisant

le jeu pour un enchaînement le plus nerveux possible des scènes, et respectant, en cela, dit-il, un « système de narration vive » de la pièce. Le roi est vieux. Il pense partager son royaume entre ses trois filles, et vivre une retraite heureuse, entouré d'une centaine de chevaliers. En contrepartie, il demande à chacune d'elle une déclaration publique d'amour filial, ce que l'aînée, Goneril, et la cadette, Regane, réussissent brillamment. Cordélia, la benjamine, s'y refuse, ne revendique qu'un amour normal d'une fille pour son père, et la colère du roi est monumentale, une ire mythologique, qui ne le quittera plus jusqu'à ses retrouvailles avec elle, juste avant de mourir. Pour l'instant, le jugement de Merlin tombe, aussi définitif et lourd que la hache dont il porte le nom, il la renie et la marie au roi de France. « Que ta vérité te serve de dote », dit-il, et en effet, quel héritage laisser à quelqu'un qui refuse le rituel politique... Sûrement pas une responsabilité politique. Goneril et Regane prennent le pouvoir et ne s'entendent que le temps de réduire le roi à sa plus simple condition. Lear, comme démembré, dépouillé de tous les artifices de la royauté, est un homme, dans toute sa misère : « je ne me suis pas assez occupé de cela », regrette-t-il, quand il est bien tard, et, dans sa folie : « Le chien en place fait loi ». Rejeté par son engeance, il a les pieds dans la terre humide de son pays, il erre au milieu des cailloux de mousse noire et de la paille, semés çà et là, avec des gestes augustes. Regardez le regard de Serge Merlin, dans la même seconde, féroce et perdu, suivez sa frêle et blême silhouette, protégez-vous de ses imprécations. Le metteur en scène nous dit son admiration pour le comédien « qui n'est jamais dans la vraisemblance, il est dans la réalité de ce qu'il vit, même pendant les répétitions ».

Le décor est un demi Théâtre du globe, souvenir du lieu qu'animait William Shakespeare, très blanc, lumineux, soutenu par de multiples arcades, qui sont autant de portes. « Tout est tendu, pas de zone d'ombre », me confie Christian Schiaretti, qui a voulu un Roi Lear blanc, et une mise en scène pensée à partir du jeu et du verbe. La traduction signée Yves Bonnefoi, en vers irréguliers, nous fait pourtant entendre un rythme, présent dans la version originale, et une belle langue baroque dénuée de paraphrase, directe, vive, méchante. Et, alors que la pièce évoque les deux corps du roi, l'immortel et symbolique s'opposant à l'humain, un orage fantastique semble sortir de la tête de Serge Merlin, et s'abattre sur lui. Le spectateur, qui y entend l'écho de la nature, sent aussi le terreau humide qui embaume et, mieux encore s'il est placé dans les premiers rangs, est au plus près des comédiens, dont la présence physique est rien moins que poignante. Et il y a la fin de l'errance, le roi, à la lisière d'un nouveau monde, où il n'a pas sa place, va basculer. Victimes des passions humaines, ses deux aînées se sont entretuées. Pour lui, revoir Cordélia, celle qui ne feinte pas, dans son armure de vierge et de sainte française, c’est se laisser aller enfin au silence, trouver la paix, et les retrouvailles du père et de sa fille sont émouvantes aux larmes. Mais l'aventure ne se termine pas avec cette étreinte, cette suspension au-dessus du gouffre. Le roi revêtu de toute sa majesté, et d'une robe blanche de marié, mais sans joie, impuissant à sauver la vie de celle qu'il venait de retrouver, se couche dans la boue. Jusqu'au 15 février au TNP

© Michel Cavalca

Un petit vieillard hilare, presque sautillant, ne sachant trop quelle place il doit prendre dans la file, quelles mains il peut saisir. Un compagnon, puis une compagne, le mène au devant de la scène, faire front, rejoindre l'acclamation debout d'un public émerveillé de son talent brutal, depuis plus de trois heure. C'est la dernière transfiguration de Serge Merlin qui, tel un démon sans âge, arpenteur vociférant, vient de quitter le corps du roi.

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DÉBAT

« Parler du bien peut être moins facile que de parler du mal »

Dans son essai Un si fragile vernis d’humanité, le philosophe Michel Terestchenko, invité à débattre par la Villa Gillet le 26 février, s’interroge : qu’est-ce qui, en l’homme, mène à la bienveillance, ou à l’inverse à détruire l’autre – processus qui, lors de la Seconde guerre, a poussé certains à sauver des Juifs au mépris de leur sécurité. Et d’autres à obéir à des ordres qui ont fait d’eux, du moins en apparence, des « monstres ».

Interview par Olivier Saison

Michel Terestchenko Une catastrophe aussi singulière que la Shoah peut-elle servir de cadre générique à une réflexion portant sur la « banalité » du mal et du bien ? Ce sont quand même des exemples particulièrement saisissants et éclairants. Ils sont certes pris dans des situations extrêmes, mais le propos s’applique à d’autres types de comportements de sauvetage. Au fond, la Shoah constitue une espèce de matrice. Avez-vous choisi ce cadre historique avant d’élaborer votre théorie ou, au contraire, celle-ci en découle-t-elle ? Les théories sont arrivées après. C’est venu de fil en aiguille, un livre en entraînant un autre… A la base je voulais remettre en cause ce modèle de l’égoïsme dominant en sciences sociales et travailler historiquement sur l’altruisme, sur les doctrines de bienveillance ou de sympathie. Puis je me suis dit : c’est très bien tout ça, mais ça ne permet pas de rendre compte ni de l’altruisme sacrificiel, ni de la destructivité, ni des comportements de certains « sauveteurs ». L’éclairage que vous apportez sur ces notions d’altruisme et d’égoïsme est très empirique. Oui, c’est ça. L’intérêt était de partir de la conduite effective des individus. Je me suis aperçu que ces modèles classiques ne permettaient pas de rendre compte de ces situations-là. Y compris le travail d’Hannah Arendt ? Sa thèse était profondément juste. Ce n’est pas qu’elle était défaillante, mais que de nombreux travaux sont venus la confirmer de façon inattendue. Il était d’ailleurs assez saisissant de voir cette rencontre entre une philosophe et un chercheur en psychologie sociale comme Steve Milgram… Vous évoquez le phénomène d’intensité de bienveillance selon qu’elle s’applique à des êtres plus ou moins proches de soi… Mais qu’en est-il des gestes de bienveillance ciblés, qui obéissent plus à un choix strictement personnel qu’à l’influence de liens particuliers avec le destinataire de la générosité ? D’un altruisme ponctuel qui n’émanerait pas d’une disposition constante d’un individu ? Dans le cas des sauveteurs, c’était vraiment leur manière d’être. Mais l’altruisme peut prendre des formes très diverses, il n’est pas incompatible avec des motivations de type égoïste. Il y a des variations, des degrés, et c’est ce que j’essaie de montrer. En assouplissant cette conception de l’altruisme et donc de l’égoïsme… Il y a toute une conception très dominante de l’altruisme radical, sacrificiel, mais là, tout à coup, l’altruisme n’était plus un sacrifice mais une expression de soi, un accord avec soi, non un renoncement à soi. Il fallait assouplir

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l’égoïsme en montrant qu’il n’est pas incompatible avec d’autres motivations de type altruiste, à la condition d’assouplir également l’altruisme, et de ne pas lui donner ce tour sacrificiel si dominant dans la pensée, par exemple chez Levinas. Un prolongement possible de votre réflexion serait d’ordre économique : en quoi une société libérale promeut-elle cette notion d’altruisme sacrificiel, presque inaccessible, et d’égoïsme naturel… Le libéralisme est individualiste, mais pas forcément égoïste. Il est centré sur l’individu mais pas nécessairement égoïste, comme le montra John Stuart Mill. Il est très important de distinguer l’égoïsme de l’individualisme. Toute société est fondée sur la valeur suprême de l’individu. Qu’en est-il de la notion chrétienne de charité ? Est-elle compatible avec votre idée d’un altruisme désintéressé ? C’est une question compliquée. Dans la religion chrétienne, l’altruisme n’est pas tant naturel. La charité est mise en mouvement par la grâce. La bienveillance que j’ai choisi d’évoquer est une théorie naturelle, alors que la charité est une bienveillance plutôt surnaturelle. Beaucoup des gens qui ont pratiqué cette bienveillance n’étaient ni croyants ni pratiquants… Dans le cas du pasteur André Trocmé, au Chambon-surLignon, où 5000 juifs ont trouvé refuge, c’est difficile à croire. Mais pas dans le cas de Giorgio Perlasca (sympathisant fasciste italien qui a sauvé plusieurs milliers de Juifs hongrois Ndr)… Même la femme d’André, Magda, possédait une éthique de vie plus simple, plus naturelle que son époux. Rien n’oblige de donner à leur geste une espèce de condition théologique qui ferait de leur bienveillance une bienveillance surnaturelle. A vos yeux, la bienveillance est sans transcendance, simple trait de personnalité ? Sans transcendance, je ne dirais pas ça. Dans un paragraphe, j’évoque quand même quelque chose qui se manifeste à travers ces quelques exemples d’altruisme. Le Bien ? Le Bien. Oui. De même que je pense que les actions de destructivité comme celles du nazisme sont une incarnation du Mal. Et je mettrais vraiment une majuscule. Je l’ai expliqué dans d’autres ouvrages, et en particulier dans celui que j’avais consacré avec l’historien Edouard Husson aux Bienveillantes de Jonathan Littell… Au-delà des individus qui agissent d’une certaine manière sans transcendance il y a néanmoins une espèce de manifestation du Bien, avec une majuscule, de même que la Shoah est une incarnation du Mal, également avec une majuscule.

Le titre Un si fragile vernis d’humanité donne une coloration très sombre, l’impression que votre livre va davantage insister sur la banalité du mal que sur celle du bien… C’est vrai. Le titre est un peu trompeur, mais il était si joli ! (rires) Vous avez raison, le livre n’est pas du tout aussi pessimiste… Il commence de façon très sombre mais, finalement, s’y opère quand même une espèce de remontée vers la lumière. Ce qui a en tout cas frappé beaucoup de gens, c’est qu’on se mette à parler du bien alors que personne n’en parle jamais. Vous l’expliquez comment ? D’abord parce que les travaux de recherche en psychologie sociale sont bien moins nombreux sur l’altruisme que sur la destructivité, et aussi parce que la fascination pour le mal est beaucoup plus grande que pour le bien. Dans un certain sens, il est plus « attrayant » et peut-être plus facile de parler du mal que de parler du bien. J’ai le projet d’un autre livre sur lequel je travaille avec ma femme, qui porte sur la « littérature et le bien », par rapport au mot de Bataille : « Si la littérature s’éloigne du mal, elle devient vite ennuyeuse. » Comme si le bien était un peu bêta, ou religieux et angélique, et qu’il était difficile d’en parler de façon sérieuse. Vous insistez d’ailleurs sur la sensation de plénitude éprouvée par des Justes tels André Trocmé… C’est ce que j’appelle la présence à soi. Une manière d’accomplissement ou de réalisation de soi, avec les autres. Le mal étant alors perçu par une indifférence à soi-même et donc aux autres… C’est ça. Du moins dans les exemples que j’ai pris. Ce qui n’est évidemment pas le cas de Hitler ou de Staline, mais celui des simples exécutants, comme le 101e bataillon de réserve de la police allemande. Cette approche est éclairante parce que plus ordinaire, plus commune, et a beaucoup plus d’implications dans la vie quotidienne : dans toute sorte de milieux où vous êtes soumis à des pressions qui vous conduisent à adopter ce comportement, à s’absenter de soi, comme celui des administrations, des prisons, des hôpitaux psychiatriques ou même des entreprises. Les institutions jouent un rôle fondamental. Ma conclusion n’est pas seulement un appel à une espèce de vigilance personnelle, c’est aussi un appel à une vigilance politique. Ce qui compte n’est pas tant ce que les individus font, que ce que les institutions font d’eux. Tout ce qui, dans les régimes démocratiques, peut conduire les individus à une sorte de démission. Le 26 février à 20h à l'Opéra de Lyon, Les Forces Obscures. Avec Lionel Obadia, Michel Schneider et Michel Terestchenko.


© aFrançois Stemmer

spectacles vivants

Tragédie

Les corps au paroxysme d’Olivier Dubois Par Anne Huguet

Olivier Dubois fait partie des chorégraphes passionnants du paysage artistique français. Entré en résistance avec son solo Pour tout l’or du monde (2006), il continue de bousculer nos codes et nos pensées avec des pièces jusqu’au-boutistes et sans compromis qui ne peuvent qu’interpeller et bouleverser. Après Révolution où il entraînait 12 femmes dans une endurante rotation chorégraphique de plus de deux heures, voilà Tragédie, autre pièce manifeste et obsessionnelle, qui questionne la notion d’humanité et du vivre ensemble et nous propulse dans « une sensation du monde » (tels sont ses mots) qui ne laisse guère indemne. Sur le plateau vide, 18 danseurs nus soit 9 femmes et 9 hommes, tous différents et tous semblables dans leur anatomie froidement crue, marchent au pas et encore au pas dans un mouvement perpétuel lancinant. Une sorte de défilé ininterrompu d’individus en marche et en rythme sur des motifs -toujours les mêmes, 12 pas- répétitifs, une vague humaine sans fin. Les premières 25 minutes sont déstabilisantes, on vous prévient, on se demande ce qu’on fait là, on finit même par décrocher. C’est à ce moment-là que surviennent les premiers accidents qui viennent irrémédiablement parasiter et perturber cette marche cadencée répétitive. Spasmes, gestes convulsifs d’un bras, genoux qui se tordent. La suite ne sera que crescendo, tant dans le mouvement porté souvent à son paroxysme jusqu’à la transe et la folie hurlante que dans la musique qui

martèle ses bpms et ses beats hardcore, de plus en plus en fort. Telle la tragédie antique, la pièce se découpe en 3 parties pour vous emmener jusqu’au final, l’apocalypse ou l’apothéose et ce chaos organisé de formes exsangues et suantes enchevêtrées qui s’enroulent, se cognent, se hissent entre elles, se recouvrent, glissent, se relèvent, balayées par une lumière blafarde verdâtre qui les sublime. Il y a presque du Géricault là-dedans tellement c’est beau à en couper le souffle. Il y a bien sûr une chorégraphie millimétrée régie par des consignes très strictes pour le corps, l’espace, la cadence. Presque obligatoire si l’on veut résister à la transe. Il y a des courses, des chutes, de la marche, encore de la marche, des tableaux d’ensemble de chairs en extase, des espèces de pogos, il y a ce menuet sublime qui arrive là, magie de l’instant, il y a cette énergie tribale, ces convulsions et ces tremblements, il y a cette transe qui s’empare de tous jusqu’au martèlement collectif haletant. Oui, on entend leurs cris, leurs humeurs, leurs prise d'air, et ça vous prend aux tripes, ça ne vous lâche plus. Il y a jusqu’à la lumière qui vient sans cesse magnifier les peaux, les plastiques et les gestes. Depuis la lumière blanche du début qui crée des sortes d’aplats sur les corps qu’on ne devine qu’en partie, jusqu’à cette scène magistrale avec les stroboscopes qui hachent la danse collective, la ralentissent et l’accélèrent en ne donnant à voir que des fragments de mouvements. Le rendu est incroyable et on reste sans voix devant la beauté de ces corps brillants éclairés en pointillés. Choc. Maison de la Danse, 26 et 27 février

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spectacles vivants

The Need for Cosmos de Samuel Sighicelli Du Floyd à Michaux Par Bruno Pin

Concert… Performance… Presque. Bienvenu dans le monde parallèle qu’offre The Need for Cosmos, créé l’année passée au Théâtre de la Renaissance et rejoué pour deux dates dans la région, Samuel Sighicelli vous offre un véritable voyage, alors attachez vos ceintures et ne ratez pas le décollage. The Need for Cosmos de Samuel Sighicelli est une synthèse poétique de l’ère psychédélique. La conquête de l’espace sert de fil conducteur, le temps de la guerre froide avec son florilège sur fond d’armement nucléaire et de propagande sont au rendez-vous. En arrière-plan, les vidéos. Au premier plan, 4 musiciens, et non des moindres. Entre les deux, Benjamin Guyot, tel un dynamiteur, un empêcheur de tourner en rond, avec le texte, sa présence et sa voix. Musique : de The Piper at the Gates of Dawn et son mythique Astronomy Domine du Floyd, Samuel Sighicelli et le groupe Caravaggio réussissent une belle performance en fusionnant la musique psychédélique et le post-rock, grand écart très abouti pour 2 univers musicaux qui pouvaient paraître distancés par le temps. Les musiciens sont Samuel Sighicelli, Éric Échampard, Benjamin de la Fuente et Bruno Chevillon, une belle brochette de talents. Textes : il est question de John Fitzgerald Kennedy, de Timothy Leary, d’Allen Ginsberg, d’Andy Warhol… et des textes d’Henri Michaux, le grand poète, le voyageur terrestre, ou plutôt maritime, qui, dès le milieu des années 1950, commence ses expériences d’écriture avec les hallucinogènes. La mescaline entre dans son processus de création ; plusieurs ouvrages (Misérable Miracle, L’Infini turbulent, Connaissance par les gouffres…) dans le but d’explorer l’univers des drogues comme l’opium, le haschich, le LSD et surtout la mescaline, proposant une esquisse philosophique de la drogue. Dans The Need for Cosmos, les textes empruntés à Michaux sont extraits de L’Infini turbulent. Vidéos : permanence de l’image, sur fond d’archives de la NASA, les images sont souvent inédites et assez belles plastiquement. Théâtre de la Renaissance le 4 février - Train-Théâtre le 6 février

Bubu n'est pas un bobo

Bubu's blues, La vie rêvée de Charles Bukowski © Jean-Paul Bajard

Par Étienne Faye

C'est Chinaski, le Chinaski des bouquins de Bukowski, il est avec Jane, le frigo est plein de bières, et il la prévient, il ne faut pas tout boire. Sauf qu'il va la voir plus tard à l'hôpital, et puis on apprend qu'il n'est pas allé au boulot pendant deux jours, à la poste, sans prévenir, il vient s'excuser, il était en deuil. Bubu's blues, La vie rêvée de Charles Bukowski est à l'image de cette suite de scènes, alternant les interventions de l'écrivain alcoolique, excessif, comparant avec une sorte de respect son propre génie à celui d'Henry Miller, et celles de son personnage emblématique, qui vit la même vie, mais de façon mythique. Marie-Paule Laval a eu l'excellente idée de s'associer à Bruno Boëglin pour l'écriture de ce spectacle délirant, et à sa compagnie, le Théâtre du Désordre des Esprits, pour la production. Le délire de Charles Bukowski, on le connaît bien aujourd'hui, ou plutôt on le reconnaît, avec délice, il surprend toujours par sa verdeur et son culot, c'est un train lancé à pleine vitesse. Ainsi, tandis qu'on apprend que la poésie « c'est meilleur qu'une chatte », le personnage, toujours infoutu de la fermer, avec des idées qui lui viennent comme des besoins, enlève une morte, la trouve tellement belle, s'en attriste, et se laisse entraîner par son compagnon de beuverie dans une scène d'un burlesque étonnant. L'ami, ébloui par la beauté de la morte, tombe amoureux de ce qui ressemble beaucoup, pour lui, à la femme idéale, avant que ne se pose le problème de la cachette du cadavre. Toute morale bue, l'épisode, qui est à mourir de rire, est une charge sans merci contre les fantasmes masculins les plus méprisables et le comportement, aussi, de certaines femmes. La mise en scène de Marie-Paule Laval est dynamique, avec une distribution importante, une douzaine de comédiens, dont Olivier Desmaris dans le rôle de l'écrivain, et Bruno Boëglin lui-même. À voir. Du 6 au 8 février au Centre Communal Charlie Chaplin à Vaulx-en-Velin

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© Jean-Louis Fernandez

spectacles vivants

Tender land

Un opéra américain par Jean Lacornerie Par Étienne Faye

Le pays tendre d'Aaron Copland, c'est le territoire intérieur de nos jeunes années, qui s'ouvrent à tant d'expériences, tant de possibles. Jean Lacornerie reprend Tender Land, créé au Théâtre de la Renaissance (en co-production avec l’Opéra de Lyon), quand il en était le directeur. Et la production est en effet importante, puisque le metteur en scène avoue 12 choristes, 7 solistes, 13 musiciens et un chef d'orchestre, sans compter les techniciens. Lauri, dix-sept ans, vit dans une famille de métayers dont le père est absent, obligée d'employer plus pauvres encore qu'elle pour les récoltes. Cette histoire se passe pendant les années trente, l'Amérique profonde est exténuée par la crise. Les hommes sont jetés sur les routes pour chercher du travail, et deux d'entre eux, justement, proposent leur service au grand' père qui mène la maison. Jean Lacornerie ressort des cartons un opéra dont on peut regretter avec lui qu'il soit si peu joué, alors qu'il est si touchant et qu'on y pourrait même, sans se forcer, trouver des résonances dans notre époque – ou, pour mieux dire, dans notre crise à nous. L'ingéniosité du directeur du Théâtre de la Croix-Rousse est une fois de plus, ici, remarquable. Le décor est celui d'une ferme simple, comme il se doit. Les murs de planches entre lesquels se joue le drame abritent également une ferme de poupée, où les chanteurs manipulent des marionnettes, elles-mêmes projetées sur un écran vidéo. Les occasions de jeux, multiples et plaisantes, grâce aussi à des panneaux de bois percés de fenêtres, permettent un mouvement constant, l’énergie circule. Les costumes, dans ce contexte pas vraiment flamboyants, amènent leur fantaisie, de la couleur. La musique est typiquement américaine, composée et populaire, comme en cinémascope, les arias savent nous emmener, nous émouvoir... Il s'agit cette fois d'une recréation, avec une nouvelle distribution, que Jean Lacornerie qualifie de « très réussie », avec Philippe Forget à la baguette. Rencontre avec le metteur en scène. Qu'est-ce qui vous attache autant à cet opéra, créé en 2010 au Théâtre de la Renaissance ? Est-ce son sujet, la crise ? Et bien d'abord c'est une grande chance de reprendre un spectacle, ce n'est pas si courant, et c'est grâce à l'Opéra de Lyon. Cette œuvre possède une impressionnante force dramatique, et je m'étonne qu'elle ne soit pas plus jouée par ce qu'on appelle le « grand circuit ». Le lien

avec la crise, c'est effectivement le point de départ. La crise des années trente est d'une violence inimaginable. Les hommes, sans travail, sans espoir d'en trouver, prennent la route, direction la Californie, des camps de sans abris sont montés, beaucoup de gens ont faim. Ce qui me frappe, dans l'actualité de cette pièce, c'est la présence de la rumeur, qui parcourt les campagnes. On croit savoir que deux violeurs sévissent dans le pays, il y a cette espèce de fantasme sécuritaire, et en particulier, une peur du crime sexuel, comme par hasard. En quoi ce pays est-il « tendre »? Le titre n'est jamais expliqué, on peut le prendre comme une sorte de commentaire, ou une question : qu'est-ce qui est tendre, dans ce pays ? Et lorsque l'on écoute le grand aria de la mère, qui clos l'opéra, toute sa petite vie s'écroule, les espoirs qu'elle formait dans l'éducation de sa fille Lauri sont anéantis parce que, finalement, la jeune fille est partie avant même de recevoir son diplôme. Pourtant, elle ne peut s'empêcher de penser que « quelque chose » commence. Copland, qui note son « regard de pierre », lui connait aussi un cœur qui s'attendrit. Pourquoi Lauri, abandonnée par son amoureux, prend tout de même la route ? Parce que c'est ce qui arrive aux enfants, ils s'en vont. Du reste, les Américains du début du XXe siècle sont souvent des immigrés, et leur rapport aux racines, leur attachement à la terre, ne sont pas les mêmes que ceux que l'ont peut avoir en Europe. Il faut voir, après le cyclone de la Nouvelle Orléans, les gens sont allés faire leur vie ailleurs, c'est tout. Quelles sont vos options de mise en scène ? L'idée de ce drame est née d'un ouvrage, Louons maintenant les grands hommes, de James Agee et du photographe Walker Evans. Aaron Copland et son compagnon, Erik Johns, qui a écrit le livret, avaient été sensibles aux photos d'une femme et de sa fille, deux gros plans, la plus jeune avait encore cette flamme qui s'était éteinte dans les yeux de sa mère. Je voulais donc travailler sur cette idée du gros plan et jouer avec les échelles. J'ai imaginé une sorte de grange vernissée de noir, et j'ai assemblé un certain nombre de symboles américains, comme compressés dans cet espace restreint de la scène. Erik Johns, le librettiste, était peintre. Il a construit une pièce en composant des paysages intérieurs. Et j'ai demandé à Émilie Valantin de concevoir des marionnettes, manipulées par les chanteurs, qui me permettent de diversifier les dimensions du récits. Du 1er au 9 février au Théâtre de la Croix-Rousse

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spectacles vivants

© Nadia Gravelle

Par Etienne Faye

Notre siècle - Fritz The Cat

Un festival de culture arménienne, après tout, on pouvait se demander par quelle bizarrerie du paysage lyonnais cela n'existait pas. On estime à près de deux cent mille le nombre d'habitants d'origine arménienne dans l'agglomération, et Katia Boudoyan, présidente fondatrice du si jeune Centre national de la mémoire arménienne, installé à Décines, raconte qu'avant la guerre, dans cette ville, ils représentaient plus de 40 % de la population, et encore 12 % aujourd'hui. Quelques questions à Katia Boudoyan. Comment avez-vous eu l'envie d'un festival ? La genèse d'Arménie au cœur est d'abord une histoire d'amitié. Je voulais faire un événement sur le cinéma trop méconnu d'Artavazd Péléchian, en diffusant ses films, et avec une conférence de Rémi Fontanel, enseignant en études cinématographiques et audiovisuelles à l'Université Lumière Lyon 2, qui est probablement le plus grand spécialiste mondial du cinéaste arménien. Péléchian est inconnu aussi parmi la diaspora, alors qu'il a créé une façon de filmer qui porte son nom. Rapidement, il y a eu cette possibilité d'un ciné-concert, avec le groupe de rock Fritz The Cat (qui joue sur le film Notre siècle, ndr), mais le Centre national de la mémoire arménienne était trop petit. Françoise Maimonne est une amie, et elle m'a proposé le Théâtre Astrée, où elle est en résidence. Du coup, l'occasion était belle aussi de montrer les photographies de Rajak Ohanian, à l'ENSSIB, École Nationale supérieure des sciences de l'information et des bibliothèques, juste à côté, ainsi qu'à la galerie Domus. Un artiste exigeant

et rare qui s'est intéressé aux Arméniens, mais pas seulement, capable de s'installer deux ans dans une ville pour n'en tirer, finalement, qu'une dizaine de clichés. Une rencontre avec lui, très attendue, sera organisée à l’École normale supérieure. On est loin du folklore, si j'ai bien compris... C'est super le folklore, vraiment, mais ce n'est pas ce qui nous intéressait. Il existe une création contemporaine arménienne qui mérite d'être valorisée. Ainsi, en plus de la photographie et du cinéma, auquel je me dois d'ajouter la projection de Sayat Nova (Couleur de la grenade) de Sergueï Paradjanov, nous présenteront deux soirées littérature. La première, avec Hermine Karagheuz, sera un moment de lecture d'extraits d'Erevan, le livre de Marine Petrosyan, suivi d'un récital des plus belles œuvres pour piano écrites par Arno Babadjanian et interprétées par la pianiste Svetlana Eghanian. La deuxième sera une soirée de poésie, avec Françoise Maimonne, d'ailleurs, et Saté Khatchatryan. Est-ce que ce festival est appelé à se renouveler ? Nous en avons une forte envie, en effet. Nous n'oublions pas que 2015 sera le centenaire du génocide, et nous préparons, bien entendu, nombre de manifestations, une journée d'étude, une promotion des parcours d'enfants rescapés qui ont fait la culture de la France... Le génocide est la base de tout, la raison de notre émigration. Mais la culture arménienne, notamment de la diaspora, est vivante et ne se résume pas au génocide. Ce genre de manifestation est l'occasion de le rappeler. Du 4 au 7 février à l'ENSSIB, l'ENS, Théâtre Astrée, Centre national de la mémoire arménienne.

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Le Raoul Collectif déniche l’harmonie dans le chaos Par Christophe Jacquet

La bande de joyeux lurons belges dynamite le conformisme ambiant avec Le Signal du promeneur. « Soyons frères parce que nous sommes perdus. » Voilà l’intuition qui, un beau jour, a réuni cinq jeunes acteurs belges. Elle a fait naître leur groupe, le Raoul Collectif, et leur premier spectacle, Le Signal du promeneur. L’un des plus enthousiasmants à voir cette année, alors qu’il stigmatise un monde dans le coma. Sous respiration artificielle. Le club des cinq, lui, veut avancer sans béquille. Alors il fait du théâtre. Parce que « dans un monde qui se détruit, la création reste le seul moyen de ne pas se détruire avec lui ». Créer oui, mais pas n’importe comment. Le Raoul Collectif s’est formé à Liège en 2009. Romain David, Jérôme de Falloise, David Murgia, Benoît Piret et Jean-Baptiste Szézot y suivent les cours du conservatoire royal, où, observe David, « les classes sont mélangées sur chaque projet, donc on voit vite avec qui on a des préoccupations communes ». D’après Romain, cela ne relève pas uniquement d’affinités artistiques : « Il y a ici cinq jeunes gens qui vivent dans un système dans lequel ils se sentent véritablement oppressés. » Pour s’en échapper, ils cherchent dans les faits divers des exemples, des personnes qui ont osé sortir du cadre imposé. Eux-mêmes s’extraient lors de longues marches en forêt dans les Ardennes et les Cévennes. Rien d’anecdotique ici. Les deux fils se rejoignent pour tisser la matière du Signal du promeneur. Le spectacle, ils l’écrivent ensemble de bout en bout, dans un aller-retour constant de la table au plateau. « Nous avons travaillé pendant un an et demi pour nous mettre d’accord », rapporte le collectif à l’unisson, pour qui « tout réside dans une lutte permanente contre la prise de pouvoir ». Le Signal du promeneur

Les tensions à l’œuvre chez les Raoul électrisent la scène. Chacun pourrait tirer son épingle du jeu, égrener sa propre partition. Le prologue, splendide, nous donne déjà une indication contraire. Dans la nuit, un homme surgit, éclairé par sa seule lampe tempête. Il fraie son chemin jusqu’au centre, y rameute quatre acolytes en bottes et vestes de chasse. Ils viennent de partout, on devine leur fatigue, et se rassemblent pour chanter en chœur un air de Beethoven. L’harmonie trouvée éclate quand déferle la parole. Elle reviendra en musique. Tour à tour, les promeneurs entament le récit d’un événement extraordinaire. Les monologues invoquent, sans les nommer, cinq individus « en rupture avec les formes figées de la société ». On retrouve l’explorateur Mike Horn, Christopher McCandless, l’étudiant égaré en Alaska qui inspire le film Into the wild, Fritz Angst, malade incurable qui vomit son éducation aisée, un entomologiste fou, traquant un ptérodactyle au fin fond du Mexique, ou Jean-Claude Romand, dont le Raoul Collectif fait du procès un sommet de parodie. Si extrêmes soient-elles, ces sorties de route alimentent des discours savants sur le monde tel qu’il va. Mal. Le spectacle est loin de s’en satisfaire. Dans un décor de clairière dévastée, où des mottes de terre chutent et le piano est désaccordé, les promeneurs s’interrompent sans cesse, s’invectivent. Mettent leurs certitudes à l’épreuve de gags et pirouettes insensés. Le Signal du promeneur crée alternativement des étincelles, quand la pensée déraille, et des moments de grâce, quand les acteurs se retrouvent autour d’une mélodie. Il livre le portrait réjouissant d’acteurs qui, selon Romain, composent « une seule personne, contradictoire, qui veut se mêler de tout et a besoin d’aide, de temps à autre, pour faire le point avec elle-même ». Du 13 au 15 février au Théâtre de la Croix-Rousse, Lyon 4e. Les 15 et 16 avril au Forum Meyrin à Genève. © Céline Chariot

L'Arménie au cœur


spectacles vivants

Sandrine Mini Le Toboggan continuera de danser

© DR

Par Olivier Saison

« Je veux travailler avec des gens vivants ! Dans les musées, on ne voit plus que des artistes morts, il y en a marre ! » Elle n’y peut rien, Sandrine Mini : les artistes, elle les préfère en chair et en os. En mouvement. Bref, contemporains. Déjà, quand elle était au Musée national Picasso, à Paris, la nouvelle directrice du Toboggan s’occupait des publics, et, encore avant, à Rome, à l’ambassade de France, de la programmation culturelle en matière de théâtre (contemporain), de musique (contemporaine), et de danse (contemporaine) – les trois inclinations du Toboggan. Ce qui faisait d’elle la candidate idéale pour succéder à Jean-Paul Bouvet, à la tête de la structure de Décines depuis son ouverture, en 1996, et parti à la retraite. « J’ai vu l’annonce en septembre dans Télérama... mais il y avait plus de 90 candidats ! » Autant dire qu’elle est enthousiaste d’avoir été choisie, Mme Mini : le défi de succéder à une personnalité aussi respectée et compétente l’effraie moins qu’il ne la galvanise. « Heureusement, j’hérite d’un outil superbe. » Et, par son histoire familiale – son père est né à Palerme, et sa mère en Bretagne – d’une passion pour les publics cosmopolites. Son premier geste, pour digérer le trac des entretiens, fut d’aller goûter aux plats de la Maison culturelle arménienne. « Le métissage me fascine et de voir tous ces gens venus d’ailleurs, d’Afrique du Nord, de Pologne, d’Arménie, qui se connaissent, et animés de cet esprit de village, je trouve ça fabuleux ! »

À la tête de la scène décinoise depuis son ouverture, Jean-Paul Bouvet laisse place à Sandrine Mini, une jeune franco-sicilienne de 43 ans qui entend bien garder le cap de son prédécesseur.

Travailler autour d’un langage commun sera sa priorité en matière de théâtre, avec un accent mis sur « le mot lui-même, dans des décors dépouillés. » Et en ligne de mire des projets comme l’Encyclopédie de la parole et la Coopérative d’écriture – que le public décinois, quel qu’il soit, ne s’attende pas à rester les fesses posées sur son siège. Un autre projet qu’elle aura à cœur sera de monter un bal populaire « mais pas démagogique : je voudrais que les Décinois, même ceux qui sont le plus éloignés de la culture, arrivent au Toboggan en se disant : ici, on est chez nous. » Mais, pour cela, il faudra désacraliser le lieu et décloisonner les disciplines artistiques, en amplifiant encore le lien avec le jeune public – notamment via des ateliers musique (avec le pédagogique trio de jazz Journal Intime) ou des cartes blanches données avant chaque spectacle, dans la partie restaurant, à des jeunes talents locaux de la danse. « On repart avec une coloration danse importante », souligne-t-elle à ce propos, « à travers la convention que nous avons signée avec la Maison de la Danse, et dans le cadre de la Biennale, où nous recevrons trois pièces, dont deux créations. » Dont elle ne veut pas encore dévoiler les noms, pour ne griller la politesse à personne. Décloisonner est l’autre objectif qu’elle s’assigne pour cette demi-saison qui vient de s’ouvrir. Après l’incontournable Quatuor Debussy en janvier, ce sera au chorégraphe burkinabè Salia Sanou de faire trembler le toboggan les 27 et 28 février avec son spectacle Doubaley. Pas de décor, mais de la danse, de la musique et du cirque – le tout chorégraphié par un artiste, qui, avant d’embrasser la scène, se destinait à une carrière d’officier de police. Comme quoi, tous les chemins mènent à Décines.

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FÉVRIER 2014



© David Ignaszewski

LITTérature

Pyjama party avec Dany (Laferrière) : « Je mise sur le charme » Interview par Olivier Saison

Ah elles sont bien installées, à présent, les Assises internationales du roman… Les huitièmes du nom, toujours organisées par la Villa Gillet et le Monde, auront lieu du lundi 19 au dimanche 25 mai. S’il est un peu tôt pour dévoiler le nom des prestigieux invités, l’un d’entre eux nous a écrit pendant la nuit depuis un hôtel de Rimouski, une ville située dans le nord du Québec, confortablement installé, lui aussi, dans son pyjama – un « habit de travail comme un autre » ainsi qu’il le décrit dans son dernier livre, Journal d’un écrivain en pyjama, texte qui se veut être un recueil de « notes éparses s’adressant à des gens qui aiment bien écrire sans vouloir devenir écrivains ». Dany Laferrière, à la désinvolture toujours intacte malgré sa récente entrée parmi les Immortels de l’Académie française, évoquera d’ailleurs « la puissance créatrice de l’art » avec sa consœur américaine Siri Hustvedt aux Subsistances, dans le cadre de ces Assises, hélas en tenue civile cette fois. Pour l’heure, un seul mot d’ordre : soyons désinvoltes, n’ayons l’air de rien. Ecrivez-vous encore en pyjama ? Même l'été à Haïti ? Même l'hiver à Montréal ? J'écris en pyjama parce que je suis insomniaque depuis un voyage à Tokyo. Je me réveille chaque matin à 3 heures, et cela même si je me couche à minuit. Donc je travaille en pyjama. J'ai maintenant une collection de pyjamas : un pour chaque saison. Votre pyjama favori, est-il rayé, unicolore, à pois ? En satin, en soie ou en flanelle ? Mes pyjamas sont surtout rayés car j'aime qu'un pyjama ressemble à un pyjama. En soie l'été, et en coton l'hiver. Ecrire dans votre habit d'académicien vous a-t-il traversé l'esprit ? Au moins une fois, j'écrirai en vert. Je n'ai pas de pyjama de cette couleur. L'épée est-elle lourde à porter, ou légère comme une plume ? Je n'ai pas encore d'épée. J'envisage de me trouver un page pour porter l'épée à ma place si elle est trop lourde.

16 / Février 2014 / N°200 /

Quel sentiment a motivé l'écriture d'un Journal d'un écrivain en pyjama ? La peur de ne plus rien avoir de chaud à vous mettre, ou l'envie de vous mettre à nu ? Un sentiment d'intimité... J'ai voulu écrire un livre de cuisine et c'est devenu un livre sur l'écriture... La cuisine ressemble à l'écriture. Les épices, c'est le style. Et le temps de cuisson est important dans les deux cas. Et surtout, on n'écrit pas un livre pour le lire comme on ne fait pas la cuisine pour soi. Ça n'a d'intérêt que si on l'offre à quelqu'un. Il pointe parfois dans les pages de ce « Journal » non pas une amertume, mais un certain désenchantement par rapport à votre talent… Doutez-vous toujours de votre aptitude à la fiction ou ce même doute constitue-t-il au contraire, à votre avis, l'étoffe de votre moi d'écrivain ? Je sais bien que je suis un écrivain moyen. Je mise sur le charme. Un lecteur charmé vous trouve des qualités que vous n'avez pas. Tandis qu'un talent trop évident agace. Quand la rédaction de ces « notes » a-t-elle eu lieu ? S'est-elle étalée sur plusieurs années ? Une année. Trop de choses à faire dans la vie pour accorder plus d'une année à un livre. Tant de livres à lire, de petits cafés à découvrir, et puis il y a les filles... A ce propos, quel est votre fruit mûr préféré : la grenade, toujours ? Oui. La grenade qui éclate dans la bouche comme un baiser d'adieu. Quel est l'accessoire ou le type d'habit que vous détestez le plus ? Le nœud papillon ? La pantoufle ? Le bracelet de cheville ? La pantoufle. Je porte mon pyjama nu-pied et cela même en hiver à Montréal. Je voudrais savoir pourquoi les pantoufles sont si laides. Elles donnent une mauvaise image du confort. Quelle est la tenue dans laquelle vous vous sentez le plus à l'aise ? Nu. Dany Laferrière, Journal d’un écrivain en pyjama, Grasset 19 mai aux Subsistances, aux Assises Internationales du Roman. 20 mai à la Bibliothèque de Tarare


spectacles vivants

Chapitres de la chute Si le capitalisme m’était conté Par Christophe Jacquet

L’économie est un vaste terrain de jeu. S’il investit de plus en plus le travail, le théâtre s’immisce très peu dans les aventures du capital. Arnaud Meunier, lui, ça ne l’effraie pas. Le directeur de la Comédie de Saint-Étienne a déjà puisé chez Michel Vinaver le portrait choral d’un entrepreneur fou, King Gillette, inventeur du rasoir jetable. D’après Vinaver, King retrace « la transformation du mode de fonctionnement de l’économie à partir de la fin du XIXe siècle ». Ecrits par Stefano Massini, les Chapitres de la chute démontent le même processus. En trois épisodes, l’auteur italien retrace le parcours des Lehman Brothers, de l’immigration de juifs allemands en Amérique à l’une des plus retentissantes faillites de l’Histoire, le 15 septembre 2008. Comment un commerce de l’Alabama devient en un siècle et demi la quatrième banque d’investissement au monde ? Stefano Massini raconte en détail la success story d’une famille qui se délite à mesure qu’elle s’enrichit. On tient là la matière d’une bonne série télé ; Arnaud Meunier ramasse le tout en 3h30. Il fait du conte de Massini une tragicomédie musicale, dont la seule chanson est le texte, entonné à plusieurs voix. Le premier chapitre, truculent, dépeint l’ascension des Lehman dans la frénésie. Henry quitte sa Bavière natale pour le sud des Etats-Unis en 1844. Deux frères le suivent, Emanuel puis Mayer, pour y

monter une petite boutique de tissus et de confection. Elle prospère au fil des disputes d’Henry, l’aîné, la « tête », et d’Emanuel, le cadet, « le bras », et des initiatives de Mayer, le « bulbe », qui fait tampon. A l’étroit sur le bord de scène, les acteurs qui les incarnent s’affairent sans arrêt, jonglant entre le récit directement adressé au public et les courtes séquences jouées, où l’on s’empoigne et se congratule. La pièce règle son pouls sur l’activité des Lehman. Après la mort d’Henry s’amorce le deuxième chapitre. Celui de l’apogée. De la guerre de Sécession au krach de 1929, la fratrie et ses fils, Philip et Herbert, s’adaptent et enflent. Ils ne font plus des vêtements, mais de l’argent. Dans l’immobilier, la banque et les armes, enfin en Bourse, qu’ils contribuent à créer. Plus le spectacle avance, plus l’agitation décroît, le décor s’agrandit et se vide. Les Lehman s’éparpillent. Ils ne font plus rien que se regarder vivre. Au troisième chapitre, un seul se débat. Robert Lehman, dit Bobby l’immortel, le petit-fils clinquant. Quand ses partenaires se figent dans la pénombre, Serge Maggiani, remarquable en héritier harassé, lui donne de l’éclat. Il solde l’empire dans la lumière, parce qu’il ne sait plus quoi en faire, en s’agitant sur un podium. La chute, Arnaud Meunier la décèle dans les gestes. C’est là que sa mise en scène est passionnante, nous happe quand elle change des fourmis appliquées en criquets impavides, qui finissent papillon affolé. Du 11 au 15 février au théâtre des Célestins.

© Jean-Louis Fernandez

En 2008, la faillite de Lehman Brothers scelle une spectaculaire histoire familiale. Avec Chapitres de la chute, Arnaud Meunier en tire une fresque haletante, où argent et liens du sang font mauvais ménage.

/ Février 2014 / N°200 / 17


chroniques sonores

CHRONIQUE Par Bruno Pin

Thee Silver Mt Zion Memorial Orchestra livre un nouvel opus FUCK OFF GET FREE WE POUR LIGHT ON EVERYTHING en ce début d’année et vient poser son Austerity Blues sur les planches de l’Épicerie. On attend toujours avec impatience les gars du label Constellation, les anglophones de Montréal ont montré depuis quelques lustres et par leurs exigences musicales les multiples chemins empruntés de Godspeed You Black Emperor à The Silver Mount Zion the memorial orchestra. La tension est palpable Fuck Off Get Free (For The Island Of Montréal), la musique monte avec ce titre ouvrant l’album, puis passant par le titre Austerity Blues, dépouillée et minimaliste, la musique du quintet est toujours exigeante avec ses moments de tension et de calme à la croisée des styles sur fond de post-rock. L’Épicerie Moderne le 18 février

Voilà un nom qui ne court pas les rues, Luis Lopes humanization 4tet sort un LIVE IN MADISON (Ayler Rds/Orkhestra) trempé dans le chaudron du free jazz/punk version 21e siècle. Voilà un disque bourré d’énergie, pas de répit ou si peu et même si le guitariste (Luis Lopes) semble quelquefois en retrait il nous offre des instants de tension extrême. Vous l’aurez compris, la musique du quartet est une véritable dynamite, intense et radicale, les deux Gonzales, Aaron à la contrebasse et Stefan à la batterie, propulsent littéralement la musique et le saxo ténor de Rodrigo Amado est telle une tornade ; ce live est simplement monstrueusement magnifique et puissant. Entre un premier titre d’Arthur Blythe qui monte en puissance, une belle ballade Long march for Frida Kalho, et un Dehumanization Blues en forme de free/blues, ce disque vaut toutes les attentions. Jazz pour oreilles expérimentées.

Bruits de peau avec aux baguettes magiques le batteur Gunter Baby Sommer qui sort un disque au titre explicite DEDICATIONS (Intakt rds). Hommage aérien aux grandes figures du jazz et il est évidemment seulement question de batteurs, de Philly Joe John à Pierre Favre, de Han Bennink à Max Roach et d’autres encore. Gunter Baby Sommer habitué des belles rencontres et des musiques improvisées (il a joué avec Peter Brötzmann, Evan Parker, Louis Sclavis, François Méchali, Barre Phillips, Wadada Leo Smith, Cecil Taylor...) nous offre l’occasion d’entendre un batteur rompu au jazz contemporain et l’évidence est là, ce type est particulièrement incroyable, de Klangstück für Pierre tout en délicatesse à A letter to Paul, le musicien s’amuse et joue avec élégance une musique inventive. Sommer sait aussi se servir de sa voix, alors là il chantonne, ici ses cordes vocales jouent d’autres mots, d’autres sons. Sur Art Goes Art, une flûte, un saxo... s’immisce, et pour finir Self portrait nous entraîne sur d’autres rives. Là où l’on aurait pu craindre un exercice bruitiste et ennuyeux, on se retrouve avec un disque plein de rondeur et de douceur.

On l’attendait de pied ferme, et c’était déjà une bonne raison. On savait que ça n’allait pas tarder après l’arrivée de deux 45 tours (juin et octobre) sous tension. Michel Cloup Duo nous livre un album MINUIT DANS TES BRAS (Ici d’ailleurs) qui dans un fracas de guitare nous fait dresser l’oreille et nous met le cerveau en alerte. Après Diabologum et Experience, la route tracée par Cloup a pris divers chemins de traverse, univers incandescent du free rock à un groove hypnotique. La base. On connaît les références du guitariste, depuis le temps et les beaux hommages qu’il en fit dans un Experience (2005) titré Positive karaoke with a gun avec des reprises tendues à l’extrême de NTM, Costes, Public Enemy... Aujourd’hui c’est en duo que le musicien s’accorde toutes les libertés avec comme compagnon de voyage Patrice Cartier (ex-Expérience) à la batterie. Vous cherchiez un groupe de rock à vous mettre entre les dents, une musique incandescente qui doit autant à Sonic Youth qu’à Shellac, vous devriez jeter une oreille sur cet album. Des titres longs comme on aime, Michel Cloup garde le cap d’une musique exigeante, des belles surprises jalonnent ce disque. On attend avec impatience son passage à Lyon, c’est à chaque fois un grand moment de live. En concert au Clacson le 9 mars

18 / Février 2014 / N°200 /


Par Bruno Pin

« Ma musique fonctionne de la même façon que mon esprit, en sautant d’un bord à un autre, c’est-à-dire en mélangeant les parties composées à d’autres improvisées. » John Zorn, Libération 2 septembre 2013

Beau titre à rallonge Tony Hogan m’a payé un ice cream soda avant de me piquer maman (Editions Philippe Rey) et belle surprise de l’écrivaine écossaise Kerry Hudson avec un premier roman très réussi. Janie nous raconte sa vie, c’est courant, sauf que celle-ci dans les premières lignes nous explique qu’elle vient de naître, alors surprise, un nourrisson qui parle dès les premiers instants, puis enfant à deux ans, quatre ans... Ce livre se dévore parce qu’il est drôle et incisif, malgré le sujet. Il nous plonge dans le monde ouvrier, plutôt à la frontière, on est plus dans le quart monde, (on pense inévitablement à Ken Loach), l’auteure est issue de ce milieu, chômage, alcool, drogue, violences conjugales et elle sait nous parler avec justesse des souffrances et galères de Janie Ryan et de sa mère Iris, un livre entre sourires et larmes. © Julien Mignot

CHRONIQUE NOMADE

CHRONIQUE

On le suit depuis quelques lustres ce Rodolphe Burger, de son Kat Onoma (ah ! le temps du beau Stock Phrases et des autres) et celui du Live à La Chapelle (Over You petit instant magique) à ses exercices de style avec Olivier Cadiot. Voilà l’homme des rencontres (Bashung, Poulet, Cadiot, Truffaz, Marchand, Habbad, Doctor L, Balibar, Costes...) qui fourmille d’idées et d’envies, véritable tête chercheuse dans le paysage un peu fluet du rock hexagonal. Un son. Une voix. Une culture rock en bandoulière. Rodolphe Burger se penche avec respect sur un de ses pères. Lou Reed, The Legend. Alors on attend avec impatience sa venue en belle compagnie à Macon : I m waiting for the man, Sunday morning, Sweet Jane... vont vibrer dans ce théâtre, du Velvet dans l’air résonnant jusqu’aux tréfonds souterrains du rock animal, de cette primitive musique qui fait le lien entre hier et aujourd’hui parce que l’ombre du Velvet Underground est toujours d’actualité, malgré les années, même après plus de quarante ans, alors « This is a Velvet Underground song that I’d like to sing » dixit Nico. Le 8 février au Théâtre de Mâcon.

Rendez-vous jazzistique mais pas que, avec la venue de Laurent Dehors à l’Amphithéâtre de l’Opéra, trois concerts pour trois soirées ouvertes aux instruments à vent, à cordes et percussions. Où comment offrir un panorama des talents des musiciens qui forment Tous Dehors. Musicalité et humour, politique et opéra, jazz et improvisation, fantaisie musicale et transversalité stylistique, musette et rap... voilà en quels mots l’univers de ce musicien poly-instrumentiste qui se joue des classifications. Entouré d’une ribambelle de musiciennes, l’excellente Catherine Delaunay à la clarinette, Anne Magouët au soprano et musiciens : Bourne, Chevillon, Sabattier, Quillet... les murs de l’Amphi devraient tanguer sous les assauts rythmique des musiciens. Entre Le temps des cerises et Mozart, entre L’International et Verdi, ces trois soirées s’annoncent comme une porte ouverte aux chemins de traverses. Amphithéâtre de l’Opéra, le 13 février, Chanson politique - 14 février, Une petite histoire de l’opéra 15 février, Big Band Tous Dehors

Quelques musiciens européens pour rendre un hommage aux pères du Free Jazz et Jazz Contemporain, l’idée est certes ambitieuse de se réunir sous le nom de Braxtornette Projet et je ne vous ferai pas l’affront de vous expliquer les deux racines ce celui-ci mais l’écoute est joyeuse et salutaire. Die Hochstapler (les imposteurs) quartet franco/allemand/ italien joue le répertoire de O. Coleman et D’Anthony B. et « Nous utilisons leurs compositions et leurs concepts pour créer notre musique ; nous ne les copions pas, nous les volons, c'est en cela que nous sommes des imposteurs » Beau mois de février où jazz rime avec Périscope, le 28 février. Le pavé incontournable de ce début d’année pourrait bien être le roman de Donna Tartt. Le Chardonneret (Editions Plon) est une vraie réussite qui vous offre la possibilité de prendre la poudre d’escampette en vous embarquant dès les premières pages dans l’extraordinaire histoire de Théo (jeune garçon de 13 ans) et de ce petit tableau (33x28) peint en 1654 par Carel Fabritius. Tout au long du récit qui s’étale sur une quinzaine d’années, nous allons croiser la famille Barbour, le père alcoolique de Théo, l’ami Boris, russe et totalement déjanté, drogué qui accompagnera le jeune Théo pendant quelques années, la frêle et inaccessible Pitta, Hobbie l’antiquaire et père de substitution, quelques individus étranges, des rôdeurs, des profiteurs, des alcooliques, des drogués... dans une grande fête littéraire qui pourrait devoir autant à Dickens qu’à Dostoïevski tout en faisant le grand écart dans les méandres de la littérature contemporaine. Un roman populaire avec toutes les qualités du genre. Pour finir cette chronique un peu d’humour et du bel ouvrage. L’image date de 1919 pour les premières et les dernières de 1924 et c’est tout simplement un pur moment de drôlerie et de magie. Ils sont frères les Fleicher. Max tient plutôt la plume et Dave la production, à eux deux ils sont animateur, réalisateur, producteur, scénariste, acteur et compositeur et créent le personnage de Popeye, de Betty Boop et de Superman, rien que ça. L’objet qui nous intéresse aujourd’hui est un DVD mis en musique par Guy Villerd, Jean Bolcato et Thierry Cousin et nous propose la version restaurée de sept courts-métrages animés des Fleicher : Koko le clown (Arfi). Osmose totale entre image et musique. Dvd jeune public très recommandable pour public moins jeune car les aventures de Koko le clown sont pleines d’inventions.

/ Février 2014 / N°200 / 19


Musique

Quand Les Souris Dansent par Anne Huguet Bratsch

© François Junot

Une 6e édition mitonnée aux petits oignons pour le sympathique festival Quand Les Souris Dansent qui prend du galon en 2014 et s’installe 20 jours durant, entre Lyon et Villeurbanne, pour tordre le coup aux préjugés et festoyer sur tous les modes. Avec une programmation toujours éclectique qui ose les mélanges (cinéma, expo, musiques, théâtre…), joue la carte de l’émergence mais qui, cette année, invite aussi quelques artistes confirmés de notoriété nationale voire internationale. Christophe Cerri, son programmateur et directeur passionné, est fier d’inviter les Bratsch. « Ça fait 25 ans que je rêve de les programmer !». On ne présente plus ce quintet explosif et virtuose qui, depuis 40 ans, ne cesse, entre Carpates et Méditerranée, de se renouveler et réinventer mélangeant répertoire tzigane et musiques des Balkans, bouzouki et violon, jazz manouche et klezmer, voire même musette, folk et sonorités plus urbaines. C’est un vrai road-movie musical qui vous attend avec Urban Bratsch (leur nouveau spectacle) ou virée poétique et charnelle dans les nouvelles mythologies urbaines de toutes ces villes qui les ont influencés (Odessa, Salonique, Budapest, Paris, Lisbonne, NYC etc…). Pour boucler de la plus belle des façons cette 6e édition ! (28 février), Quand Les Souris Dansent…, c’est aussi tout un travail de réflexion autour de Culture & Handicap. Comment bien vivre ensemble les uns avec les autres avec nos différences ? Qu’est-ce la normalité, l’anormalité ? Autant de questionnements qui sont aujourd’hui l’un des fils conducteurs du festival croix-roussien et qui seront abordés par le biais de spectacles (Invisibles ?, Cie Sisma), d’ateliers de sensibilisations et de débats, dont la rencontre avec la comédienne sourde Emmanuelle Laborit autour du documentaire Avec Nos Yeux qui sera présenté au CIFA St-Denis (19 février). C’est également de la chanson qui guinche, sensible ou acérée avec les inusables Karpatt et le folk-blues à la française de Balmino (15 février), des petites jauges pour retrouver une certaine proximité avec le public dans des ambiances plus acoustique et même roots (Los Don Diegos, 22 février), les ambiances batucada sur la place publique (8 février) ou encore les riffs affutés et les cuivres funky de l’électro-brass-band Les Monstroplantes (14 février). Demandez le programme. Du 8 au 28 février

■ Happy Jawbone Family Band débarque de nulle part avec ses sonorités boisées et sa pop psyché bordélique jubilatoire. Production prolifique pour ces hippies lo-fi du Vermont qui ont sorti fin 2013 un 1er album éponyme chez Mexican Summer. Plein d’instruments bizarres et de sonorités trafiquées (melodica, klaxons, claviers tordus, guitares sèches, autoharp…), plein de chœurs foutraques et de chant choral habillent et habitent ces chansons de folk (d’anti-folk ?) dansantes et joyeuses quoiqu’un peu barrées. Kraspek Myzik, 4 février ■ « Le rap, c’est le verbe, la technique, la crasse et le bitume ». La Gale a le cœur d’une orientale (mère libanaise), le franc-parler d’une punk (ses 1ers émois), le look d’une rockeuse et la rage au ventre. Après des débuts, entre Beyrouth et Dubaï, avec la virulente MC Mali-Kah, elle enregistre l’an passé ses propres textes, avec MC Rynox et DJ Chikano, sur les beats de Christian le batteur de Honey For Petzi. Des textes souvent à cran qui hurlent le malaise social, le racisme quotidien, la cause palestinienne ou encore « ceux qui se la racontent ». C’est certes sans concession et rugueux mais le rap de la Lausannoise peine parfois à dépasser certains clichés rap éculés et c’est dommage. Avec 2 autres rappeuses affûtées, Pumpkin et Billie Brelok. Les Abattoirs, 8 février ■ Black Rebel Motorcycle Club fait partie de ces groupes à perfectos qu’on écoute d’une oreille. Parce que le trio californien a signé de loin en loin quelques pépites bien senties de blues musclé ou de rock garage presque stoner. Et c’est vrai qu’en 2010 leur Beat The Devil’s Tatoo tenait plus qu’agréablement la route avec ses guitares saturées et ses ambiances plombées. Plus mélancolique avec ses tempos lents et ses riffs vicieux, le récent Specter At The Feast déçoit même si l’excellent Rival gonflé à bloc ou la belle reprise de The Call Let The Day Begin viennent sauver la mise. Radiant, 10 février

20 / Février 2014 / N°200 /

© Fanny Roduit

Par Anne Huguet

■ Les Londoniens avaient été plébiscités « Découverte 2012 ». Breton revient à l’attaque avec un 2e opus War Room Stories (sortie 3 février), mitonné avec rage et délectation dans une ancienne station de radio abandonnée à Berlin (leur studio-squat londonien ayant été rasé). Au menu beats lourds, nappes électro et synthés syncopés, cordes, piano chargé d’échos et guitares pour naviguer à vue entre grosse teuf électro sous obédience LCD Sound System Got Well Soon, pop-funk catchy Envy, collages urbains et electronica plus classieuse Brother, Search Parties. Un live en 3D avec force projections et images, on se doute, pour ces stakhanovistes du multimédia. Salle du Kao, 11 février

© Sean Hartgrove

CONCERTS EXPRESS

CHRONIQUE

■ On connaît de réputation les Nashville Pussy, quatuor tonitruant qui carbure aux rythmiques plombées, aux guitares acérées et aux vociférations sauvages. Depuis quelque 20 ans (et 5 albums), les rockeurs sudistes balancent, entre hard rock, rock sudiste et psychobilly, leurs morceaux provocants (ça parle beaucoup de sexe, drogues, baston et bien sûr de rock’n roll) et enflamment un public presque convaincu d’avance (motards et tout autre adepte de rock dur). Quelque part entre Motörhead et AC/DC, les Nashville jouent pied au plancher, hurlent, se douchent à la bière et font monter les degrés dans le public. « Let them eat pussy ! » Ninkasi Kao, 19 février

▲ La Gale

▲ Nashville Pussy

▲ Crystal Slits

▲ Of Montreal

■ Coup de cœur. Le quintet new-yorkais Crystal Stilts débarque en France pour présenter son dernier (le 3e) opus Nature Noir, sorti à l’automne chez Sacred Bones. Il y a la voix subjugante -et en permanence reverbée- de JD Townsend qui vous enveloppe et vous tourneboule, il y a ces mélodies bancales accrocheuses qui vous envahissent et ne vous lâchent plus. Des guitares déglinguées, des effets, quelques cordes sublimes, de la reverbe en veux-tu en voilà, des claviers psychédéliques et surtout cette science innée du songwriting comme dans le meilleur d’une chanson pop. Quelque part entre noisy pop, americana mélancolique et ballade rock hantée, le combo de Brooklyn confirme la beauté trouble de sa musique. Clacson, 21 février ■ Of Montreal, combo délirant toujours emmené par le déjanté Kevin Barnes, distille une pop psychédélique déstructurée jusqu’à la moelle et ragaillardie par moult expérimentations et effets. Polyphonies aigües et chœurs enveloppants, synthés en cascade, juxtaposition de tempos ou encore collages de styles sont quelques-uns des subterfuges fréquemment utilisés par ces gais lurons qui sont capables des pires excentricités sur scène… hélas pas toujours du meilleur goût ! L’Épicerie Moderne, 24 février


Chaque mois deux artistes choisissent un mot afin de vous livrer un texte court et une image autour de ce choix. © Olivier Favier

mot[s]

Antonelle Amirante est comédienne et metteure en scène

E’ PERICOLOSO SPORGERSI (ne pas se pencher au dehors)

Ecrit dans d'autres langues, sur la bordure de chaque fenêtre des trains, quand celles-ci s’ouvraient encore à des extérieurs bien réels, l’avertissement ne demandait qu’à être transgressé E’ pericoloso sporgersi, mais il n’est pas interdit de regarder par la fenêtre ! Traversant la frontière entre mes deux pays, l’Italie et la France, je suis passeuse de mots qui ont la chance de pouvoir voyager « sans papiers » ; traduits, appris par cœur et joués sur scène. Et puis, même s’il est dangereux de se pencher, il faut parfois prendre des risques pour regarder au-dehors : Se pencher à la fenêtre pour échapper à l’écran qui clignote et hypnotise. Se pencher à la fenêtre pour mieux voir à l’intérieur. Se pencher à la fenêtre pour respirer un air nouveau. Se pencher à la fenêtre pour accueillir les mots d’ailleurs qui, par leur distance et leur étrangeté, nous font « entendre » mieux ceux du compartiment d’à côté. Durant mon dernier voyage, dans une gare du sud d’Italie, un homme m’a confié dans un texte les mots des femmes de son village. Dans un contexte géographique et historique où la parité homme/femme n’effleurait ni la pensée et encore moins la vie de tous les jours, ces mots nous permettent de mieux réfléchir sur la situation actuelle. Des mots venus d’ailleurs pour nous rappeler que les droits que l’on croit acquis restent fragiles car les regards continuent de juger et de blesser. Toujours. Aujourd’hui, j’accompagne ces mots dans leurs voyages vers leur représentation en France, et au même moment, dans un autre train, les femmes d’Espagne se penchent pour crier et défendre leurs droits en péril. Artiste associée au Théâtre de Vienne Mère/Fille le 27 février, Espace Albert Camus, Bron - Archipels les 21 et 22 mars, Théâtre de Vienne Arrange-toi (création 2014) du 14 au 25 octobre TNP, les 6 et 7 novembre Théâtre de Vienne

Nasser Djemai est auteur et metteur en scène

COUP J'étais leur jouet préféré, ça les faisait rire. Ils jouaient au ping-pong avec moi, à toi, à moi, à moi, à toi. A chaque fois que je passais je prenais un coup. Si ce n’était pas l'un, c'était l'autre. Je les appelais les deux chiens. A chaque fois que je passais je me faisais mordre. Je déteste les chiens ça me dégoute. C'était les plus forts du collège, ils étaient grands, ils n’arrêtaient pas de rire ensemble, tout le temps, tout le temps ils riaient. Et leur jeu préféré, c'était moi ! C'était un coup, un coup et encore un autre coup. Impossible d'échapper à ces chiens. Des fois j'évitais les coups en les faisant rire. J'avais toujours une petite blague pour éviter les coups. Et quand je n’avais pas de blague c'était les coups. Pourtant je faisais tout pour être transparent, pour pas qu'ils me remarquent. Je faisais tout pour ne pas qu'il posent leurs regards sur moi. Je pensais m'habituer aux coups, un jour ou l'autre je ne sentirai plus rien. Mais non, à chaque fois ça fait mal, à chaque fois c'est pire. Surtout quand les autres sont là et me regardent en silence. Et je sais qu'ils se disent « Tant mieux c'est pas moi ». Immortels du 18 au 22 février, MC2 de Grenoble Invisibles le 21 mars au Théâtre Théo Argence, Saint-Priest

/ Février 2014 / N°200 / 21


agenda

Pour mars, envoyez vos infos avant le 18 février à 491@wanadoo.fr et ah491@wanadoo.fr B-ROY - MADJID - JOAN MJC Aurec/Loire à 20h30. 8€, 06 22 62 14 69 LA FÊTE À BOBY - Sémaphore TAMBOUR BATTANT - LOO & PLACIDO 2METHYLBULBE1OL etc. Cave à Musique 23h/5h. 14€ - 10€ NOVEMBRES - DEEP ON TIME - IMPAKT LAST REQUIEM - Tannerie à 20h30. 5€ à gratuit ODDATEEE - PSYKICK LYRIKAH RADZIA & SUMMERS - LaPéniche à 21h. 10€ - 6€ LO’JO - MOUNTAIN MEN - La Commanderie à Dole à 20h. 20€ - 15€, 03 84 37 50 40

SAN SEY’A & LAURENT GARDEY A Thou Bout d’Chant à 20h30. 13€ - 9€ NORA KAMM QUARTET Clef de Voute à 21h. 10€ - 8€ OLDELAF - Radiant-Bellevue à 20h30. 27€ - 22€ TRIO G.C. WESTON / MAJCHRZK / GEMBALSKI DUO CHATTI / PORTIER - Jack Jack à 20h. 12€ - 10€ DAVID LEMAITRE - JULIA KAT Épicerie Moderne à 20h30. 10€ - 8€ Poly’Sons : VALÉRIAN RENAULT Théâtre de l’Iris à 20h. 14€ - 4€ KIKO DIDGE - Tannerie à 19h. Gratuit

DIMANCHE 2 FÉVRIER TAGADA TSING - Agend’Arts à 18h. 9€ - 4€ WIDDERSHINS - KAVIAR SPECIAL Kraspek Myzik à 20h30. 6€

VENDREDI 7 FÉVRIER DAG - LA SALLE DU FOND À GAUCHE Salle Léo Ferré à 20h30. 12€ - 9€ AND SO I WATCH YOU FROM AFAR - NI Marché Gare à 20h30. 12€ à gratuit CHROMB - Périscope à 21h. 10€ - 8€ PRINS THOMAS - MARK ERNESTUS present JERI-JERI - MZKBX Le Sucre 23h/5h. 16€ - 12€ SLAMARILLA SESSION - 6e Continent à 21h. Gratuit PSYKICK LYRIKAH - X’ - ZAJAZZA Ninkasi Kafé à 21h. Gratuit ZYCE - MORTEN GRANAU - NEUROMOTOR etc. Salle du Kao 23h/5h. 18€ - 15€ DJ SARAH FINCI Club48 Lyon 8e à 21h30. 12€ - 6€, 06 15 24 77 80 LILY LUCA & BERYL B - Agend’Arts à 20h. 9€ - 4€ SAN SEY’A & LAURENT GARDEY A Thou Bout d’Chant à 20h30. 13€ - 9€ IVAN BALDET 5TET - Clef de Voute à 21h. 10€ - 8€ SULIKO - POLYPHONIES DE GÉORGIE Amphithéâtre Opéra de Lyon à 20h30. 16€ - 10€ KAVINSKY - Transbordeur à 20h. 29€ BLAWAN - OXYD - PEEV - LIKHAN’ Club Transbo 23h30/5h. 15€ - 13€ CALVIN COAL Aqueduc à 20h30. Gratuit sur réserv. au 04 78 35 08 02 GNÔ - FRANCK CARDUCCI - GAËT Le Fil à 21h. 15€ - 11€ PROHOM - MONA KAZU - LaPéniche à 21h. 10€- 6€

LUNDI 3 FÉVRIER THE DOORS ALIVE - Transbordeur à 20h. 33€

SAMEDI 1ER FÉVRIER LE BONK - RENO BISTAN - AÏSSI - TAMBOR Y SON etc. 6e Continent à 21h. 3€ WAXIST - SACHA MAMBO - Le Sucre à 21h. 9€ ÉVELYNE GALLET - Agend’Arts à 20h. 9€ - 4€ KENDRA MORRIS - Transbordeur à 20h. 20€ PALANDRI - LORD RUBY - Toï Toï Le Zinc à 20h30. MOUNAM & THE SOUL FUNK SOLIDERS MOTOWN REVIVAL - Épicerie Moderne à 20h30. Gratuit Les Nuits Givrées : TÉTÉ - GAËL FAURE Aqueduc à 20h30. 16€ - 7€, 2J/21€ WALL OF DEATH - CHEVEU Abattoirs à 20h30. 13€ - 10€ LE SON ÉTRANGE - KARLIT & KABOK ET SON ORCHESTRE - TCHOPDYE - DESCHANNEL etc. Le Fil à 20h30. Gratuit Festival Guitare Vallée : BERNARD ALLISON - Z STAR Salle Jean Dasté Rive-de-Gier à 20h30. 20€ - 16€

MARDI 4 FÉVRIER HAPPY JAWBONE FAMILY BAND Kraspek Myzik à 20h30. 6€ Poly’Sons : YÉTI - Théâtre de l’Iris à 20h. 14€ - 4€ GRABEN ORCHESTRA - Karavan Théâtre à 19h. 5€ KENT - FRED RASPAIL Train-Théâtre à 20h30. 19,5€ - 16€ MERCREDI 5 FÉVRIER TRAAMS - Sonic à 21h. 10€ - 8€ CODY CHESNUT - MARIAM MEREBA Épicerie Moderne à 20h30. 16€ - 12€ OMAR SOSA QUARTETO AFROCUBANO Le Fil à 21h. 23€ - 17€ JEUDI 6 FÉVRIER POP. 1280 - Sonic à 21h. 6€ GÄEL HORELLOU QUINTET feat. ABRAHAM BURTON Périscope à 21h. 12€ - 10€ JC SATÀN - AVIONS - Marché Gare à 20h30. 16€- 12€ TARJA TURUNEN - Transbordeur à 20h. 31,5€ KILL THE NOISE - OXIDIA - NASTY J - KPUSH Club Transbo 23h30/5h. 15€ - 13€ LOUIS2000 - DUNGENESS Kraspek Myzik à 20h30. 6€

22 / Février 2014 / N°200 /

SAMEDI 8 FÉVRIER DAG - LA SALLE DU FOND À GAUCHE Salle Léo Ferré à 20h30. 12€ - 9€ COBRA - Sonic à 21h. 10€ - 8€ TUUNG - TACHKA - Marché Gare à 20h30. 16€ - 12€ OGHAM - Périscope à 21h. 12€ - 10€ MAGIC MOUNTAIN HIGH LIVE - MOVE D - KOSME Le Sucre 23h/5h. 16€ - 12€ ALDEBERT - Bourse du Travail à 20h. 32€ - 15€ DJ SOTURUSA - BOIKUTT - DEEP etc. 6e Continent à 20h. 5€ - 3€ CLARK - KÄPÄK - LEOME - BOTINE etc. Salle du Kao 23h/5h. 17€ - 15€ SULIKO - POLYPHONIES DE GÉORGIE Amphithéâtre Opéra de Lyon à 20h30. 16€ - 10€ ROB MOIR - MIKE NEOGRAF Kraspek Myzik à 20h30. 6€ Quand les souris dansent... : BATUCADA BANDANA Place de la Croix-Rousse à 12h. Gratuit LILY LUCA & BERYL B - Agend’Arts à 20h. 9€ - 4€ THE THIRSTY SELENITS BAND - CHARLIE AND THE SOAP OPERA + Bal Funk Salle du Quai MJC Vienne à 20h30. 10€ LA GALE - PUMPKIN - BILLIE BRELOK Abattoirs à 20h30. 13€ - 10€ LE VELVET DE RODOLPHE BURGER LA GÉNÉRALE D’EXPÉRIMENTATION Mâcon Scène Nationale à 20h. 24€ - 14€ ALICE FRANCIS - LIOR SHOOV Tannerie à 20h30. 15€ - 9€ DUB FX - O.B.F SOUND SYSTEM AL TARBA vs NIXON -KRAK IN DUB - DUBMENTALIST Le Fil 21h/3h. 22€ - 16€ AXEL BAUER - Train-Théâtre à 20h30. 19,5€ - 16€ LOU MARCO - RAYMONDE HOWARD Moulin de Brainans à 20h30. 13€ - 9€ DIMANCHE 9 FÉVRIER CAROL’S COUSIN - MY NORTH EYE Kraspek Myzik à 20h30. 6€ Quand les souris dansent… : DUO STANTCHEV / MARTIN 101 Marches Lyon 4e à 18h. Gratuit

LILY LUCA & BERYL B - Agend’Arts à 18h. 9€ - 4€ LOCO DICE - HECTOR - Le Sucre 15h/22h. 18€ EMMANUEL MOIRE Bourse du Travail à 19h. 42€ - 38€ TURISAS - Salle du Kao à 19h. 28€ - 25€ SHANNON WRIGHT SOLO - RAYMONDE HOWARD Épicerie Moderne à 20h. 13€ - 9€ LUNDI 10 FÉVRIER BLACK REBEL MOTORCYCLE CLUB - KID KARATE Radiant-Bellevue à 20h. 29€ ZÉ LUIS - NANCY VIEIRA Théâtre de Villefranche à 20h30. 24€ - 15€ MARDI 11 FÉVRIER BRETON - DID - Salle du Kao à 20h30. 24€ - 21€ PIERRE LAPOINTE Radiant-Bellevue à 20h30. 27€ NORIG - Espace Albert Camus à 20h30. 16€ - 9€ MERCREDI 12 FÉVRIER MARY OCHER - Kraspek Myzik à 20h30. 6€ FABULA - LAMARCA - ORCHIDS Ninkasi Kafé à 21h. Gratuit TRIO LOUIS SCLAVIS / KEYVAN / CHEMIRANI Théâtre de la Renaissance à 20h. 20€ - 8€ TÊTES RAIDES - Embarcadère Montceau-les-Mines à 21h. 20€ - 10€, 03 85 55 1311 JEUDI 13 FÉVRIER QUINTET LAURENT DEHORS & ANNE MAGOUËT Amphithéâtre Opéra de Lyon à 20h30. 16€ - 10€ NAKED IN THE WOOD - HAMM Kraspek Myzik à 20h30. 6€ ESTAÇAO BRASIL - Clef de Voute à 21h. 10€ - 8€ RÉMO GARY - A Thou Bout d’Chant à 20h30. 13€- 9€ PATRICE - Radiant-Bellevue à 20h. 28,5€ LES TIT’NASSELS - ERWAN PINARD Salle du Kao à 20h. 20€ - 14€ LUNATIC TOYS - Périscope à 21h. 10€ - 8€ ANNE SILA - JOE BEL - PETHROL - MISO SOUP DE LA MONTAGNE - PAN - SCHLASS - ANTON SERRA Marché Gare à 20h30. Gratuit DEVILABEL CORPORATION (DLC) - MIR-941 Jack Jack à 20h. 12€ - 10€


agenda DIMANCHE 16 FÉVRIER IMPERIAL PULSAR - Le Fil à 18h. 12€ - 6€ TRIO ANGELIKA - Clef de Voute à 21h. 10€ - 8€ JC SATÁN - Cave à Musique à 21h. Prix libre MARDI 18 FÉVRIER MARTEAU MATRAQUE Kraspek Myzik à 20h30. 6€ DEAD PREZ - J.P.G. & NEMESIS MUSIQUE Club Transbo à 20h. 15€ THEE SILVER MOUNT ZION MEMORIAL ORCHESTRA Épicerie Moderne à 20h30. 16€ - 12€ CLARIKA Salle de l’Isle à l’Isle-d’Abeau à 20h30. 21€ - 15€ CLAIRE DITERZI Train-Théâtre à 20h30. 19,5€ - 16€ MERCREDI 19 FÉVRIER NASHVILLE PUSSY - ENLARGE YOUR MONSTER Salle du Kao à 20h. 23€ - 17€ BILL CALLAHAN - CIRCUIT DES YEUX Épicerie Moderne à 20h30. 18€ - 14€

TRIO LOUIS SCLAVIS / KEYVAN / CHEMIRANI Théâtre de la Renaissance à 20h. 20€ - 8€ YODÉLICE - FOREST POOKY - Le Fil à 21h. 28€- 23€ DAVY SICARD - ARTHUR RIBO La Rampe / Échirolles à 20h. 21€ - 9€ VENDREDI 14 FÉVRIER ÂME - VILLANOVA - Le Sucre 23h/5h. 16€ - 12€ ANNE SILA - JOE BEL - PETHROL - MISO SOUP DE LA MONTAGNE - PAN - SCHLASS - ANTON SERRA Marché Gare à 20h30. Gratuit SIMON AUTAIN - PEPPERMINT Salle des Rancy à 20h30. 12€ - 9€ ZET’LA - 6e Continent à 21h. 5€ - 3€ THIRTY SECONDS TO MARS Halle Tony Garnier à 20h. 34€ EJECA - URULU - Salle du Kao 23h/3h. 15€ - 12€ Quand les souris dansent... : LES MONSTROPLANTES - WAILING TREES CCVA Villeurbanne à 20h. 12€ - 10€ YODELICE - Transbordeur à 20h30. 29€ - 26€ LAURENT DEHORS / MATTHEW BOURNE Amphithéâtre Opéra de Lyon à 12h30. Gratuit QUINTET LAURENT DEHORS & ANNE MAGOUËT Amphithéâtre Opéra de Lyon à 20h30. 16€ - 10€ ANDRÉ DULTRA QUARTET Clef de Voute à 21h. 10€ - 8€ RÉMO GARY - A Thou Bout d’Chant à 20h30. 13€- 9€ JAMIE CULLUM - Radiant-Bellevue à 20h30. 33€ SUMMER REBELLION - FLY DRAGONFLY Jack Jack à 20h. 12€ - 10€ JULIETTE - Sémaphore à 20h30. 28€ - 14€ PASCAL DANEL CHANTE BÉCAUD Espace Jean Poperen Meyzieu à 20h30. 20€ - 17€ LE BARBERSHOP QUARTET Centre culturel Jean Moulin Mions à 20h30. 12€ - 10€, 04 72 23 26 10 SOFT MACHINE - POST IMAGE & JOHN GREAVES Abattoirs à 20h30. 18€ - 15€ KAREYCE FOTO - Salle des Fêtes de Romans (01) à 20h30. 9€ - 6€, 04 74 50 40 00 DANIEL MILLE joue Astor Piazzolla MARINA CEDRO TRIO - Train-Théâtre à 20h30. 20€ SAMEDI 15 FÉVRIER BIG BAND TOUS DEHORS Amphithéâtre Opéra de Lyon à 20h30. 16€ - 10€ TRIO CORTEX SUMUS Au Salon de Musique-Lyon 5e à 20h. 8€, 06 26 23 22 02 GUTBUCKET - Périscope à 21h. 12€ - 10€ SOUND PELLEGRINO THERMAL TEAM MATTHIAS ZIMMERMANN etc. Le Sucre 23h/5h. 16€ - 12€ FROM & ZIEL - Salle des Rancy à 20h30. 12€ - 9€ BALKAN EXPRESS - BM du 5e St-Jean à 15h. Gratuit Quand les souris dansent... : KARPATT - BALMINO + CIE SISMA Salle La Ficelle Lyon 4e à 20h. 12€ - 10€ BIG BAND TOUS DEHORS Amphithéâtre Opéra de Lyon à 20h30. 16€ - 10€ BILLIE BRELOK - KABOK - Kraspek Myzik à 20h30. 6€ ELIE DUFOUR & VOODOO TRIO Clef de Voute à 21h. 10€ - 8€ BABYSHAMBLES - Transbordeur à 20h. 35€ ITALOJOHNSON - DJ SENTIMENTS Club Transbo à 23h30. 15€ - 13€ ELMER FOOD BEAT - ELZED CCO à 20h. 24€ - 19€ LIMINANAS - MAGNETIX - Clacson à 20h30. 11€- 9€ JULIETTE - Sémaphore à 20h30. 28€ - 14€ ARIFA Musée St-Romain-en-Gal à 20h30. 15€ - 12,5€ PATRICE - Le Fil à 20h30. 27€ - 24€ KAREYCE FOTSO Le Sou La Talaudière à 20h30. 14€ - 7€ Battle dance hip-hop : POCKEMON CREW MELTING FORCE CRW - BBF etc. Tannerie à 14h. 5€ SOVIET SUPREM - SUPERFLÈCHE Moulin de Brainans à 20h30. 14€ - 10€

JEUDI 20 FÉVRIER GAËTAN ROUSSEL - Transbordeur à 20h. 33€ TREMPLIN « ET EN PLUS ELLES CHANTENT » Kraspek Myzik à 20h30. 6€ MAMZELLE AMANDINE A Thou Bout d’Chant à 20h30. 13€ - 9€ EMMANUEL LE POULICHET Agend’Arts à 20h. 9€ - 4€ ABIGOBA - Radiant à 20h. 8€ LABEL ROUSSE - MICKAËL ROUX - EL WOOD Médiathèque de Vaise à 18h30. Gratuit CONNAN MOCKASSIN Épicerie Moderne à 20h30. 15€ - 11€ SCAMPI - Abattoirs à 20h30. Gratuit VENDREDI 21 FÉVRIER Mirage Festival : FULGEANCE - SOULEANCE BARON RETIF & CONCEPTION PEREZ etc. Le Sucre 23h/5h. 14€ - 10€ PASCALE CHARRETON - Agend’Arts à 20h. 9€ - 4€ CHRISTOPHER MURRAY A Thou Bout d’Chant à 20h30. 13€ - 9€ JACK MONO BLUES - 6e Continent à 21h. 5€ - 3€ WOODKID - Halle Tony Garnier à 20h. 43€ - 35€ MODERAT - ANSTAM - Transbordeur à 20h. 25€ CRYSTAL STILTS - ABSCHAUM Clacson à 20h30. 15€ - 13€ APPLE JELLY - 1982 - Jack Jack à 20h. 12€ - 10€ RAY LEMA / BALLOU CANTA / FREDDY MASSAMBA Théâtre Bourg-en-Bresse à 20h30. 24€ - 10€ DELUXE - D-TURN - Tannerie à 20h30. 21€ - 15€ EBONY BONES - LE COMMON DIAMOND Cave à Musique à 21h. 15€- 11€ LOU MARCO - RAYMONDE HOWARD - PETHROL Le Fil à 20h30. 8€ THE VOCA PEOPLE - Zenith à 20h. 42€ - 37€ SAMEDI 22 FÉVRIER Mirage Festival : CLARO INTELECTO - CONFORCE CLFT MILITIA - Le Sucre 23h/5h. 15€ - 11€ PEGASE - SANTORÉ - Marché Gare à 20h30. 14€- 10€ DRAGON FILI EMPIRE - Périscope à 21h. 10€ - 8€ CLAVE 12 - 6e Continent à 21h. 5€ - 3€ TREMPLIN « ET EN PLUS ELLES CHANTENT » Kraspek Myzik à 20h30. 6€ Quand les souris dansent... : LOS DON DIEGOS MEJ Croix-Rousse à 20h. 8€ - 6€ PASCALE CHARRETON - Agend’Arts à 20h. 9€ - 4€ TREMPLIN DÉMON D’OR - Clacson à 20h. 5€ Dub station#8 : IRATION STEPPAS feat ECHO RANKS + SALOMON HERITAGE SOUND SYSTEM... Espace 140 - Rillieux-la-Pape LOÏC LANTOINE - OTTAEDRO#3 Abattoirs à 20h30. 15€ - 12€ JEFF MILLS - JAM CITY - SVENGALISGHOST VAGHE STELLE - GHOST JAM etc. Le Fil 22h/3h. 22€ - 17€ WEACE - PIRA.TS - LaPéniche à 21h. 8€ - 5€ MO’KALAMITY - LEAH ROSIER Moulin de Brainans à 20h30. 14€ - 10€ DIMANCHE 23 FÉVRIER YUCK - JENNY WILSON - MAGIC FABI Le Sucre 15h/22h. 11€ LE SOLEIL SOUS LE BRAS Agend’Arts à 18h. 9€ - 4€ DUO BALZAM - 6e Continent à 21h. 5€ - 3€ LUNDI 24 FÉVRIER CATE LE BON - Sonic à 21h. 8€ OF MONTREAL - Épicerie Moderne à 20h30. 15€- 11€ MARDI 25 FÉVRIER CONTROL VOLTAGE - Kraspek Myzik à 20h30. Gratuit SUISSA - FRANÇOIS GAILLARD Karavan Théâtre à 20h. 10€, 2J/24€ KARIMOUCHE - JUR Train-Théâtre à 20h30. 15,5€ - 13,5€ MERCREDI 26 FÉVRIER HOT DOG CARABINE - ALEXIS & THE BRAINBOW Ninkasi Kafé à 21h. Gratuit HAFANAN - FIVE B. BLUES Clef de Voute à 21h. Gratuit JEUDI 27 FÉVRIER RAMONA CORDOVA - RAYMONDE HOWARD Marché Gare à 20h30. 12€ - 8€ PIERRICK VIVARÈS Salle Léo Ferré à 20h30. 12€ - 9€

LINDA LEMAY Bourse du Travail à 20h30. 45€ - 42€ WOODSLIDE - MOTORHAZ - JAYH MO’FIVE MATT TRICKER - Marquise à 23h. 5€ CHRIS PUREKA - Kraspek Myzik à 20h30. 6€ METEOROS DUO - Agend’Arts à 20h. 9€ - 4€ TAÏNI & STRONGS - DENIS RIVET & INVITÉS Club Transborde à 20h. Gratuit sur invit. TRAM DES BALKANS - RUBBER MAN Espace Baudelaire à 20h30. 15€ - 8€ ANNE PACÉO QUINTET Centre Culturel d’Écully à 20h30. 10€ - 8€ VENDREDI 28 FÉVRIER TRIO CORTEX SUMUS Aux Trois Gaules-Lyon 1er à 21h, 04 72 87 08 25 PIERRE MARGOT, LES NUITS DE LA PLEINE LUNE A Thou Bout d’Chant à 20h30. 13€ - 9€ METEOROS DUO - Agend’Arts à 20h. 9€ - 4€ JULIEN DORÉ - Bourse du Travail à 20h30. 55€ - 35€ SALADES DE BRUITS & LES ZONDITS Salle des Rancy à 20h30. Gratuit THE MISTAKEN SONS OF ALABAMA ALLOFYOU DOWN - Ninkasi Kafé à 20h30. Gratuit REDEYES - SKS - PEYO - ASCO Ninkasi Kafé 23h/4h. Gratuit DRY - THE SHIN SEKAI Salle du Kao à 20h. 25€ - 22€ VICTOR RUIZ - N’TO - PH NEUTRE & SY ELLE Salle du Kao dès 23h30. 17€ - 15€ DIE HOCHSTAPLER - Périscope à 21h. 8€ - 6€ Quand les souris dansent... : BRATSCH - LA FANFARE DES PAVÉS CCVA Villeurbanne à 20h. 22€ - 18€ LOUDBLAST - BENIGHTED - Transbordeur à 19h. 22€ KENT - Karavan Théâtre à 20h. 19€ - 13€, 2J/24€ JOSEPH ARTHUR - PSYCHOPHONIC MACHINE Salle Jean Dasté à 20h30. 7€ BIGA RANX - ON DUB GROUND - THE BANYANS Le Fil à 21h. 23€ - 19€ DLSM - PIRA.TS - THE CYBER MUDJAHEDEEN etc. Tannerie à 21h à 5h. 12€ - 8€

FESTIVALS QUAND LES SOURIS DANSENT… #6 Divers lieux Croix-Rousse & Villeurbanne 06 26 18 08 34. www.lacocotteprod.com Musiques, théâtre, expo (Recyclons-nous), projections & sensibilisation autour de la « Culture & Handicap » + ateliers de réflexion 8 au 28 fév. 22€ à gratuit, 3J/36€ TATIANA NE CHANTERA PAS LE ZOUKISTAN, Cie Telkel MEJ (22, rue du Chariot d’Or Croix-Rousse) 27 fév à 20h30. 8€ - 6€ AVEC NOS YEUX (docu, 2013) + Rencontre-débat avec Emmanuelle Laborit CIFA St-Denis 19 fév à 20h30. 5,5€ MIRAGE FESTIVAL (2E) Dans une dizaine de lieux à Lyon (Le Sucre, Amphi Opéra, Lavoir Public…) miragefestival.com Programmation hybride autour des arts numériques et audiovisuels. Performances, installations, workshops, conférences, concerts etc. Performances Ryoichi Kurokawa - Nonotak Suga - XX+XY - CT4C etc. / Installations Murmur Extrapolis - Light’n’Brick - A Scanner Darkly etc. / Musique Conforce - Claro Intelecto Fulgeance - Narco Polo - Solstice etc. 19 au 23 fév. 15€ - 10€, pass/50€ LATE SPECULATON, Nonotak + RAW GEOMETRY, Noitu Amphithéâtre Opéra de Lyon - 22 fév à 20h30. 10€ LES POLY’SONS (11E) Théâtre des Pénitents - Place des Pénitents Montbrison - 04 77 96 39 16 7 lieux (Fil, Théâtre Iris…), 22 concerts, 37 artistes + 8e Tremplin Poly’Sons (1/02) etc. KENT + ENTRE 2 CAISSES - 5/02 AXEL BAUER + VICTOR - 7/02 MELISSMELL + NICOLAS JULES - 11/02 THOMAS FERSEN - 13/02 GAËL FAURE + JEAN GUIDONI - 14/02 ÉMILY LOIZEAU - 18/02 LOUISVILLE + LOÏC LANTONE - 20/02 ALAIN SOURIGUES + OLDELAF - 22/02 Jusqu’au 22 fév à 20h30 (ou 19h). 23€ - 5€

CLASSIQUE SAMEDI 1ER FÉVRIER ONL & ANABELLA STEINBACHER, dir. Marek Janowski - Mozart, Bruckner Auditorium de Lyon à 18h. 56€ - 13€ DIMANCHE 2 FÉVRIER ORCHESTRE DE L’OPÉRA DE LYON & MARIE-NICOLE LEMIEUX, dir. Stefano Montanari Vivaldi, Bach, Muhly Opéra de Lyon à 16h. 50€ - 10€ THOMAS OSPITAL - Escaich, Bach, Brahms … Auditorium de Lyon à 16h. 16€ - 8€ ORCHESTRE DU CONSERVATOIRE DE PARIS & NICHOLAS ANGELICH, dir. Patrick Davin Ravel, Roussel, Koechlin Espace des Arts à 16h30. 23€ - 9€ LUNDI 3 FÉVRIER DÉPARTEMENT MUSIQUE ANCIENNE, CNSMD Lyon Amphithéâtre-Darasse à 18h. Gratuit

MARDI 4 FÉVRIER CLASSE DE DIRECTION DE CHŒURS & ENSEMBLE VOCAL, CNSMD Lyon - Bach, Hersant Salle Varèse à 20h. Gratuit NINA MILLET - Musique de Chambre Médiathèque de Vaise à 12h30. Gratuit JEUDI 6 FÉVRIER LA CHAPELLE RHÉNANE, dir. Benoît Haller - Bach Théâtre du Vellein à 20h30. 29€ - 20€ VENDREDI 7 FÉVRIER GAUTIER CAPUÇON / FRANK BRALEY Debussy, Schubert, Britten, Beethoven Salle Rameau à 20h30. 46€ - 10€, 04 78 47 87 56 ONL / CHŒURS ET SOLISTES DE LYON-BERNARD TÉTU, dir. Leonard Slatkin - Berlioz Auditorium de Lyon à 20h. 56€ - 13€ QUATUOR VOCE & KYRIE KRISTMANSON Théâtre de l’Atrium à 20h30. 15€ - 8€ SAMEDI 8 FÉVRIER ONL / CHŒURS ET SOLISTES DE LYON-BERNARD TÉTU, dir. Leonard Slatkin - Berlioz Auditorium de Lyon à 18h. 56€ - 13€ OSE, ORCHESTRE SYMHONIQUE NOUVELLE GÉNÉRATION & VINCENT LE TEXIER, dir. Daniel Kawka - Mahler Théâtre Théo Argence à 17h. 18€ - 6€ DIMANCHE 9 FÉVRIER MUSICIENS DE L’ONL Scriabine, Rimski-Korsakov, Tchaïkovski Auditorium de Lyon à 11h. 16€ - 8€ MARDI 11 FÉVRIER WEN CHUN JIANG / EMMANUEL CULCASI Amphithéâtre-Darasse à 20h. Gratuit ESTELLE GOURINCHAS - Musique de chambre Médiathèque de Vaise à 12h30. Gratuit MERCREDI 12 FÉVRIER ORCHESTRE DU CNSMD LYON & STÉPHANIE PADEL, dir. Peter Csaba - Schumann, Weber, Beethoven Salle Varèse à 20h. 12€ QUINTETTE SYNTONIA & SARAH NEMTANU Franck, Chausson Salle Rameau à 20h. 35€ - 18€, 04 78 38 0909 JEUDI 13 FÉVRIER ONL & VADIM REPIN, dir. Leonard Slatkin Prokofiev, Chostakovitch, Schnittke Auditorium de Lyon à 20h. 56€ - 13€ ORCHESTRE DU CNSMD LYON & STÉPHANIE PADEL, dir. Peter Csaba - Schumann, Weber, Beethoven Salle Varèse à 20h. 12€ CARTE BLANCHE AU CRR LYON Théâtre Astrée à 20h30. Gratuit VENDREDI 14 FÉVRIER INGOLF WUNDER - Beethoven, Chopin Auditorium de Lyon à 20h. 46€ - 8€ MASAHIKO OMORI / TRUNG HIEU DO & BENJAMIN D’ANFRAY Salle Varèse à 18h et 20h. Gratuit SAMEDI 15 FÉVRIER ONL & VADIM REPIN, dir. Leonard Slatkin Prokofiev, Chostakovitch, Schnittke Auditorium de Lyon à 18h. 56€ - 13€ DIMANCHE 16 FÉVRIER ORCHESTRE DES JUNIORS, dir. Quentin Hindley Auditorium de Lyon à 16h. Gratuit LUNDI 17 FÉVRIER MUSIQUE DE CHAMBRE, CNSMD Lyon Salle Varèse à 18h et 20h. Gratuit MARDI 18 FÉVRIER DÉPARTEMENT MUSIQUE ANCIENNE, CNSMD Lyon Machaut Salle Varèse à 20h. Gratuit MERCREDI 19 FÉVRIER DÉPARTEMENT MUSIQUE ANCIENNE, CNSMD Lyon Amphithéâtre Opéra de Lyon à 12h30. Gratuit JEUDI 20 FÉVRIER ONL / BERTRAND CHAMAYOU / ISABELLE DRUET, dir. Leonard Slatkin - Mozart, Mahler Auditorium de Lyon à 20h. 46€ - 8€ VENDREDI 21 FÉVRIER ONL / BERTRAND CHAMAYOU / ISABELLE DRUET, dir. Leonard Slatkin - Mozart Auditorium de Lyon à 15h. 10€ DÉPARTEMENT MUSIQUE ANCIENNE, CNSMD Lyon Amphithéâtre Opéra de Lyon à 12h30. Gratuit PLAMENA MANGOVA - Brahms, Beethoven, Chopin... Salle Rameau à 20h30. 37€ - 5€, 04 78 47 8756 CLASSES DE PIANO & CNSMD LYON Musées Gadagne à 12h30. Gratuit, 4 37 23 6046 ATELIER XX-21, dir. Fabrice Pierre Harvey, Fourès, Pascal… Salle Varèse à 20h. Gratuit CHŒUR CRESCENDO, dir. Jean-Michel Blachon Mozart Église St-Claude Dardilly-le-Haut à 20h30. 16€ - 12€, 04 78 35 98 03 CARTE BLANCHE AU CONSERVATOIRE DE MUSIQUE DE VILLEFRANCHE Auditorium de Villefranche à 12h15. 14,5€ - 10,5€ ORCHESTRE SMPHONIQUE DE MÂCON, dir. Éric Geneste - Varèse Mâcon Scène Nationale à 20h30. 24€ - 14€ LA CHAMBRE PHILHARMONIQUE & ANDREAS STAIER, dir. Emmanuel Krivine Mozart, Haydn La Rampe/Échirolles à 20h. 30€ - 10€

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agenda OPÉRA SPECTACLES MUSICAUX

SAMEDI 22 FÉVRIER ONL / BERTRAND CHAMAYOU / ISABELLE DRUET, dir. Leonard Slatkin - Mozart, Mahler Auditorium de Lyon à 18h. 46€ - 8€ DIMANCHE 23 FÉVRIER MUSICIENS DE L’ORCHESTRE DE L’OPÉRA DE LYON Rossini, Berio, Mendelssohn Opéra de Lyon à 11h. 22€ - 10€ MUSICIENS DE L’ONL - Borodine, Glière Auditorium de Lyon à 11h. 16€ - 8€ VANESSA BONAZZI / DELPHINE TERRIER Temple du Change Lyon 5e à 15h. 20€ - 15€ CHŒUR CRESCENDO / ORCHESTRE SYMPHONIQUE SEQUENZA, dir. JM BLanchon - Mozart Église ND de Lourdes à St-Fons à 17h. 20€ - 10€, 04 78 26 53 50 MARDI 25 FÉVRIER DÉPARTEMENT MUSIQUE ANCIENNE, CNSMD Lyon Médiathèque de Vaise à 12h30. Gratuit ANDRÉ RIEU Halle Tony Garnier à 20h. 79€ - 52,5€ MERCREDI 26 FÉVRIER HENRI-CHARLES CAGET / RAMON LOPEZ Amphithéâtre Opéra de Lyon à 12h30. Gratuit JEUDI 27 FÉVRIER JEAN-MARC FOLTZ / RAMON LOPEZ Amphithéâtre Opéra de Lyon à 12h30. Gratuit MUSIQUE DE CHAMBRE, CNSMD Lyon Gœthe-Institut à 20h. Gratuit CHŒUR CRESCENDO / ORCHESTRE SYMPHONIQUE SEQUENZA, dir. JM BLanchon - Mozart Auditorium de Lyon à 20h30. 25€ - 9€, 04 78 41 48 21 VENDREDI 28 FÉVRIER RAMON LOPEZ & COLLECTIF D’IMPROVISATION DU CNSMD LYON Amphithéâtre Opéra de Lyon à 12h30. Gratuit SECTION MUSIQUE-ÉTUDES INSA LYON, dir. Laurent Richard Pastorius Théâtre Astrée à 20h30. Gratuit

AMPHITHÉÂTRE OPÉRA DE LYON Place de la Comédie - Lyon 1er - 04 69 85 54 54 NOVECENTO : PIANISTE d’Alessandro Baricco 5 et 7 fév à 12h30. Gratuit OPÉRA DE LYON Place de la Comédie - Lyon 1er - 04 69 85 5454 LE COMTE ORY de Rossini, Orchestre et Chœurs de l’Opéra de Lyon, dir. Stefano Montanari MS : Laurent Pelly 21 au 27 fév à 20h, di. à 16h, 1er, 3 et 5 mars à 20h. 94€ - 10€ + L’École du Spectateur « Le Comte d’Ory » 21 fév à 18h + Prélude littéraire avec les Élèves de l’ENSATT 25, 27 fév et 1er mars à 19h. Gratuit THÉÂTRE INSTANT T 35, rue Imbert Colomès - Lyon 1er - 04 78 39 45 83 J’AI MILLE CHANSONS DANS MA TÊTE, Cie Atlantis Conception : Waléry Doumenc 28 fév et 1er mars à 20h30. 11€ CHAPELLE DE LA TRINITÉ 29/31, rue de la Bourse - Lyon 2e - 04 78 38 09 09 LA MÉCANIQUE DE LA GÉNÉRALE, Le Poème Harmonique, dir. Vincent Dumestre & Stefano Amori - MS : Nicolas Vial Mus : Falconieri, Uccllini, Dario… 9 fév à 17h. 45€ - 28€ FONDATION BULLUKIAN 26, pl. Bellecour - Lyon 2e - 04 72 52 93 94 Voyage à travers les mots et les sons de la terre d’Arménie avec SPITAK - 6 fév à 18h30. Gratuit MPT SALLE DES RANCY 249, rue Vendôme - Lyon 3e - 04 78 60 64 01 CHANTS MÊLÉS, Natasha Bezriche 21 fév à 20h30. 12€ - 9€ LUMIÈRE NOIRE. Natasha Bezriche chante Ferré 22 fév à 20h30. 12€ - 9€ THÉÂTRE DE LA CROIX-ROUSSE Pl. Joannès Ambre - Lyon 4e - 04 72 07 49 49 THE TENDER LAND de Copland, Orchestre de l’Opéra de Lyon / Solistes & Chœurs du Studio de l’Opéra, dir. Philip Forget - MS : Jean Lacornerie 1er au 9 fév à 20h, di. à 15h. 30€ - 5€ MJC DU VIEUX LYON / SALLE LÉO FERRÉ 5 pl. St-Jean - Lyon 5e - 04 78 42 48 71 DE CI DE LÀ - 19 et 20 fév à 10h et 15h. 6€ - 4€ HALLE TONY GARNIER 20, pl. A. Perrin - Lyon 7e BHARATI. IL ÉTAIT UNE FOIS L‘INDE. MS : Gashash Deshe 15 fév à 20h30. 39€ - 35€ THÉÂTRE ASTRÉE Campus de la Doua - 6, av. G. Berger Villeurbanne - 04 72 44 79 45 HERMINE KARAGHEUZ / SVETLANA EGANIAN « Poètes contemporains arméniens » 4 fév à 20h30. 6€ à gratuit JONAH AND THE WHALE d’après Melville et Knox, Galdric Subirana / Franck Gizycki & CNSMD Lyon 20 fév à 20h30. Gratuit TNP 8, pl. Lazare-Goujon - Villeurbanne - 04 78 03 30 00 OUI ÇA VA MAL, JE SUIS HEUREUSE d’après Jean-Pierre Siméon Cabaret inventé par Laurence Besson Brasserie 33 TNP, 3 et 10 fév à 19h. 11€ - 8€ TRANSBORDEUR 3, bd. Stalingrad - Villeurbanne - 04 78 93 08 33 Burlesqu’O’Rama avec ASTRO ZOMBIES THE CHAINSAW BLUES COWBOYS LADA REDSTAR - BETTINA CORELONE LOU ON THE ROCKS - DJ MAQRUIS etc. 22 fév à 19h. 18€ CENTRE CULTUREL CHARLIE CHAPLIN Pl. de la Nation - Vaulx-en-Velin - 04 72 04 81 18/19 PETOUCHOK. Fantaisie clownesque pour harpe, danse et flûte, Cie Adroite Gauche MS : Alain Reynaud, Heinzi Lorenzen 18 fév à 19h30. 11€ - 5€ THÉÂTRE DE VÉNISSIEUX 8, bld Laurent Gérin - Vénissieux - 04 72 90 86 68 REPLAY, Cie Rythm’A Corps Conception, MS : Quentin Dubois, Jérémy Daillet 5 fév à 15h. 11€ - 8€ JE HAIS LES GOSSES ! Entre 2 Caisse chante Allain Leprest - MS : Juliette 28 fév à 20h. 18€ - 8€ ESPACE ALBERT CAMUS 1, rue Maryse Bastié - Bron - 04 72 14 63 40 LES SEA GIRLS FÊTENT LA FIN D’ANNÉE MS : Patrick Haudecœur 17 fév à 20h30. 18€ - 10€ LE KARAVAN THÉÂTRE 50, rue de la République - Chassieu - 04 78 90 88 21 LES POULES DE LA BRUYÈRE (Lully / La Bruyère), Ensemble Boréades & Chœur Emelthée, dir. Pierre-Alain Four + MUSIC AT THE CASTEL TAVERN, Ensemble Céladon, dir. Paulin Bundgen 21 fév à 20h. 19€ - 13€ TRAVERSÉE DE LA SCÈNE À LA RAGE, François Gaillard - 28 fév à 20h30. 15€ - 10€

24 / Février 2014 / N°200 /

RAMDAM 16, ch. des Santons - Ste-Foy-lès-Lyon 04 78 59 62 62 LES HARMONIQUES DU NÉON MS : Anne-Laure Pigache 8 fév à 19h. 5€ à gratuit THÉÂTRE DE LA RENAISSANCE 7, rue Orsel - Oullins - 04 72 39 74 91 THE NEED FOR COSMOS avec Caravaggio et Benjamin Guyot Conception, mus : Samuel Sighicelli 4 fév à 20h. 20€ - 8€ AN OLD MONK, JOSSE DE PAUW / KRIS DEFOORT 6 et 7 fév à 20h. 20€ - 8€ LE BRISCOPE Parc de l’Hôtel de Ville - Brignais - 04 78 05 31 13 TRAVERSÉE DE LA SCÈNE À LA RAGE, François Gaillard - 28 fév à 20h30. 15€ - 10€ L’ÉPICERIE MODERNE Pl. René Lescot - Feyzin - 04 72 89 98 70 BLACK BOX, Cie Kahlua - 23 fév à 17h30. 10€ - 5€ LE SÉMAPHORE, THÉÂTRE D’IRIGNY C Culturel Champvillard - Rue de Boutan - Irigny 04 72 30 47 90 JEUX À SATIÉTÉ - 22 et 23 fév à 20h30, di. à 15h. 10€, infos / 04 78 46 39 36 AUDITORIUM DE VILLEFRANCHE 96, rue de la Sous-Préfecture Villefranche/Saône - 04 74 60 31 95 OSKAR & VIKTOR, OPUS 2 Conception : Cédric Marchal, François Thollet 22 fév à 20h30. 16€ - 13€ THÉÂTRE DE BOURG-EN-BRESSE 11, pl. Grenette - Bourg-en-Bresse - 04 74 50 40 00 LA FACE CACHÉE DE LA LUNE (THE DARK SIDE OF THE MOON), Cie Inouïe Conception, dir. : Thierry Balasse 7 fév à 20h30. 29€ - 19€ CENTRE CULTUREL LE SOU 19, rue Romain Rolland - La Talaudière 04 77 53 03 37/04 77 53 92 00 N’GON (La Lune en Kiyansi), Robbas Biassi Biassi MS : Philippe Zarch - 16 fév à 17h. 5€ TRAIN-THÉÂTRE 1, rue Aragon - Portes-lès-Valence - 04 75 57 14 55 THE NEED FOR COSMOS avec Caravaggio et Benjamin Guyot Conception, mus : Samuel Sighicelli 6 fév à 20h30. 15,5€ - 13,5€ COMÉDIE DE VALENCE / THÉÂTRE LE BEL IMAGE Pl. Charles Huguenel - Valence - 04 75 78 41 70 MISS KNIFE CHANTE OLIVIER PY 12 fév à 20h. 21€ - 8€

HUMOUR COMÉDIE SALLE RAMEAU 29, rue de la Martinière - Lyon 1er LES VIRÉS DE FRANCE INTER 8 fév à 20h30. 24€ BOURSE DU TRAVAIL 205, pl. Guichard - Lyon 3e 13 À TABLE revisité par Pierre Palmade 25 fév à 20h30. 38,5€ - 35,5€ AGEND’ARTS 4, rue Belfort - Lyon 4e DELIRIUM TRÈS MOTS, Vincent Rocca 13 au 16 fév à 20h, di. à 18h. 12€ - 7€ ESPACE GERSON 1, place Gerson - Lyon 5e - 04 78 27 96 99 DÉCOUVERTE JEUNES TALENTS - Lu. à 20h30. 5€ BAZAR, Et Compagnie - Ma. à 20h30. 15€ - 5€ Willy Rovelli EN ENCORE PLUS GRAND 29 jan au 8 fév à 20h30, sa. à 20h et 22h. 15€ - 11€ HALLE TONY GARNIER 20, pl. A. Perrin - Lyon 7e LA TOURNÉE DU TRIO. FERRARI / TSAMÈRE / LECAPLAIN - 26 fév à 20h. 39€ - 36€ TRANSBORDEUR 3, bd. Stalingrad - Villeurbanne - 04 78 93 08 33 DÉPRESSION MUSICALE, Les Décaféinés 19 fév à 20h. 30€ TOBOGGAN 14, av. Jean Macé - Décines - 04 72 93 3014 PIERRE RICHARD III, Pierre Richard 11 fév à 20h30. 29€ - 23€ + PIERRE RICHARD, DU THÉÂTRE AU CINÉMA ET VIS VERSA - Ciné-Togoggan 12 fév à 20h30 SALLE LA PASTORALE C Culturel Champvillard - Rue de Boutan - Irigny 04 72 30 47 90 LA LILY (Ligue d’Improvisation Théâtrale) 20 fév à 19h. 34€ CAVE À MUSIQUE 119, rue Boullay - Macon - 03 85 21 96 69 LES FRAPPADINDES15 fév à 20h. 12€ - 8€

SPECTACLES TRANSDISCIPLINAIRES PERFORMANCES AMPHITHÉÂTRE / SALLE 3000 Cité Internationale - 50, quai Ch. de Gaulle - Lyon 6e RETRO TEMPORIS, Dani Lary 8 fév à 16h et 20h30. 55€ - 25€

NTH8 / NOUVEAU THÉÂTRE DU 8E 22, rue Cmdt Pégout - Lyon 8e - 04 78 78 33 30 NOIR, BLANC, BLANC, NOIR., Groupe Moi 1er fév à 20h. Prix libre (0 à 100€) SALLE 7 UNDERGROUND, Guy Naigeon & Invités 28 fév à 19h. Gratuit THÉÂTRE DE LA RENAISSANCE 7, rue Orsel - Oullins - 04 72 39 74 91 CINELANDIA Conception - MS : Alfredo Arias 18 et 19 fév à 20h. 20€ - 8€ + Lever de Rideau avec INSA LYON 19/02 à 19h LE CABARET LUNAIRE d’Arnold Schönberg MS : Pierre Meunier 25 et 26 fév à 20h. 20€ - 8€

ARTS DU CIRQUE ÉCOLE DE CIRQUE DE LYON / MJC MÉNIVAL 29, av. de Ménival - Lyon 5e - 04 72 38 81 61 CABARET CIRQUE avec Les Catherines & Scène Découvertes - 8 fév à 20h. 18€ - 12€ ENCORE PLUS…, Cie Toi d’Abord + PARABOLE, Cie du Subterfuge 22 fév à 20h30. 9€ - 6€ HALLE TONY GARNIER 20, pl. A. Perrin - Lyon 7e L’EMPEREUR DE JADE, Les Étoiles du Cirque de Pékin MS : Alain Pacherie 11 fév à 20h. 50€- 35€ LE GALET ESPACE CULTUREL Rue du Collège - Reyrieux - 04 74 08 9281 RUE DE GUNGUOIS, Cie Prise de Pied Conception : Saïlen Rose, Benoît Héliot 22 fév à 18h30. 15€ - 7€ MAISON DU PEUPLE 4, pl. Jean Jaurès - Pierre-Bénite - 04 78 86 62 90 CIR-K 180°, Cie Blabla Productions 9 fév à 15h30 14€ - 12€ ESPACE CULTUREL JEAN CARMET Bd du Pilat - Mornant - 04 78 44 05 17 SIX PIEDS SUR TERRE, Cie Lapsus MS : Johan Lescop 23 fév à 17h. 17€ - 10€ ZENITH SAINT-ÉTIENNE Rue Scheurer Kestner - St-Étienne L’EMPEREUR DE JADE, Les Étoiles du Cirque de Pékin MS : Alain Pacherie 8 fév à 20h. 50€- 35€ ESPACE DES ARTS 5 bis, av. Nicéphore Niepce - Chalon/Saône 03 85 42 52 12 SÉQUENCE 8, Les 7 Doigts de la Main MS : Shana Carroll, Sébastien Soldevilla 12 au 15 fév à 20h. 27€ - 13€

THÉÂTRE MARRIONNETTES ESPACE 44 44, rue Burdeau - Lyon 1er - 04 78 39 79 71 FEU LA MÈRE DE MADAME, Nolokingdom Théâtre - MS : Élodie Lasne Jusqu’au 2 fév à 20h30, di. à 16h. 15€ - 10€ UNE FEMME SEULE de Dario Fo / Franca Rame MS : Aurélie Sorrel-Cros 4 au 9 fév à 20h30, di. à 16h. 15€ - 10€ SAINT-EXUPÉRY, LE JEU DE LA MORT ET DU HASARD, Cie Le Minotaure & Jean-Jacques Greneau 11 au 16 fév à 20h30, di. à 16h. 15€ - 10€ BATAILLE de JM Ribes / Roland Topor, Cie les Émergents 18 au 23 fév à 20h30, di. à 16h. 15€ - 10€ TITUS ANDRONICUS de Shakespeare, La Grenade / Grain Théâtral MS : Thibault Duperron-Seillac 25 fév au 2 mars à 20h30, di. à 16h. 15€ - 10€ LES CLOCHARDS CÉLESTES 51, rue des Tables Claudiennes - Lyon 1er 04 78 28 34 43 STALKING, Collectif Bis - MS : Julien Michel Jusqu’au 2 fév à 20h, lu. à 19h, di. à 17h. 15€ - 8€ SOLOS, Camille Pasquier 7 au 19 fév à 19h, di. à 16h. 15€ - 8€ ZOOM, Cie Les Gens de Passage MS : Jean-Marc Galéra 7 au 19 fév à 20h15, di. à 17h15. 15€ - 8€, 2 spect / 16€ THÉÂTRE INSTANT T 35, rue Imbert Colomès - Lyon 1er - 04 78 39 45 83 D’ABORD, ILS NOUS REGARDENT de Claude Monteil - MS : Samuel Bousard 12 au 22 fév, me. au sa. à 20h30. 11€ CÉLESTINS, THÉÂTRE DE LYON 4, rue Charles Dullin - Lyon 2e - 04 72 77 40 00 INNOCENCE de Howard Barker, Association nÖjd MS : Gerrard Mcarthur et Howard Barker Jusqu’au 1er fév à 20h30. 21€ - 12€ KISS AND CRY de Thomas Gunzig Conception : Michèle-Anne De Mey & Jaco Van Dormael Jusqu’au 6 fév à 20h, di. à 16h. 35€ - 9€ CHAPITRES DE LA CHUTE de Stefano Massini MS : Arnaud Meunier 11 au 15 fév à 20h. 35€ - 9€ UNE HEURE ET DIX-HUIT MINUTES d’Elena Gremina - MS : Anne-Cécile Auxire-Marmouget 13 au 26 fév à 20h30. 21€ - 12€

La Face Nord Cie

D’après l’œuvre de Edmond Rostand « Cyrano de Bergerac »

5 au 17 février Réservations 04 78 37 98 17

Théâtre des Marronniers www.theatre-des-marronniers.com

CALIGULA d’Albert Camus - MS : S. Olivié-Bisson 18 au 2 fév à 20h. 35€ - 9€ COSMOS. UN JOUR JE VOUS RACONTERAI UNE AUTRE AVENTURE EXTRAORDINAIRE d’après Gombrovicz, Cie Haut et Court MS : Joris Mathieu 25 fév au 1er mars à 20h. 35€ - 9€ THÉÂTRE DES MARRONNIERS 7, rue des Marronniers - Lyon 2e - 04 78 37 98 17 CYRANO PROJECT d’après Edmond Rostand, La Face Nord Cie - MS : Jérôme Sauvion 5 au 17 fév à 20h30, di. à 17h, lu. à 19h. 15€ - 8€ THÉÂTRE DES ASPHODÈLES 17 bis, imp. St-Eusèbe - Lyon 3e - 06 01 26 51 10 ATTENDS-MOI À LA PORTE - MS : Michel Tallaron 21 et 22 fév à 20h30. 15€ - 12€ SOUS LE CAILLOU 23, rue d’Austerlitz - Lyon 4e - 04 27 44 34 38 L’HISTOIRE DE L’HOMME. VERSION III, Cie Traverses - MS : Valentin Traversi 12,13, 21 et 22 fév à 20h30. 13€ - 10€ THÉÂTRE DE LA CROIX-ROUSSE Place Joannès Ambre - Lyon 4e - 04 72 07 49 49 LE SIGNAL DU PROMENEUR Conception & MS : Raoul Collectif 13 au 15 fév à 20h, sa. à 19h30. 26€ - 5€ LA BONNE ÂME DU SE-TCHOUAN de Brecht MS : Jean Bellorini 19 fév au 2 mars à 20h, sa. à 19h30, di. à 15h. 30€ - 5€ ENSATT 4, rue des Sœurs Bouvier - Lyon 5e - 04 78 15 05 07 PRINTEMPS - Texte & MS : Carole Thibaut 17 au 28 fév à 20h + 20 et 22 fév à 15h. 10€- 5€ MAISON DES PASSAGES 44, rue St-Georges - Lyon 5e - 06 95 00 49 98 LA KABYLIE CONTÉE, Nadia Larbiouene 16 et 23 fév à 15h. 10€ - 7€ FRIDA KAHLO. L’ESQUISSE DE MA VIE, Cie Novecento & Nadia Larbiouene 16 et 23 fév à 17h30. 12€ THÉÂTRE DU POINT DU JOUR 7, rue des Aqueducs - Lyon 5e - 04 72 38 72 50 THÉÂTRE PERMANENT. MACBETH de Shakespeare jusqu’au 8 fév, ma. au sa. à 20h. 5€ OTHELLO de Shakespeare 11 fév au 8 mars, ma. au sa. à 20h. 5€ L’ÉLYSÉE 14, rue Basse Combalot - Lyon 7e - 04 78 58 88 25 ELECTRE d’après Sophocle, Cie TAC MS : Cyril Cotinaut 31 jan et 1er fév à 19h30. 12€ - 10€ (EN CAS DE NÉCESSITÉ ABSOLUE), LÂCHE LA BRIDE, Cie Allerlei - MS : Marie Brillant 4 au 8 fév à 19h30. 12€ - 10€ MÉDÉA FIAM - MÉDÉA NUNC SUM d’après Sénèque, Cie La Viande MS : Marlène Deschamps 18 au 20 fév à 19h30. 12€ - 10€ LE CROISEUR 4, rue Croix Barret - Lyon 7e - 04 72 71 42 26 BAR(RE), 3e Année Art Dramatique 4 au 7 fév à 19h30 FESTIVAL SUPER ÉROS 2014. Performances, théâtre, danse, installations etc. 17 au 22 fév dès 19h (prog. en cours) NTH8 / NOUVEAU THÉÂTRE DU 8E 22, rue Cmdt Pégout - Lyon 8e - 04 78 78 33 30 FILLE DE… de Leïla Anis, Théâtre du Grabuge MS : Géraldine Bénichou 12 au 15 fév à 20h, sa. à 17h. Prix libre TNG 23, rue de Bourgogne - Lyon 9e - 04 72 53 15 15 FOCUS TEATRODISTINTO Écriture & MS : Daniel Gol, Laura Marchegiani, Alessandro Nosotti 5 au 27 fév. 17€ - 9€ KISH KUSH. TRACES D’UNE RENCONTRE 5, 8 et 9 fév, me. à 15h, sa. à 18h, di. à 16h LE MOUTON NOIR 15, 16 et 19 fév, sa. à 20h, di. à 16h, me. à 15h LE JEU DU LOUP 22, 23 et 26 fév, sa. à 20h, di. à 16h, me. à 15h RADIANT-BELLEVUE 1, rue Jean Moulin - Caluire - 04 72 10 22 19 L’ÉTUDIANTE ET - MS : José Paul 31 jan et 1er fév à 20h30. 38€ - 26€ UN DRÔLE DE PÈRE de Bernard Slade MS : Jean-Luc Moreau 7 et 8 fév à 20h30. 38€ - 26€


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agenda

C.C.O. 39, rue Courteline - Villeurbanne AUTOMNE ET HIVER de Lars Noren, Cie Leila Soleil & Lee Harvey Asphalte MS : Hadda Djaber Jusqu’au 1er fév à 20h. 14€ - 12€, 06 64 09 41 43 THÉÂTRE ASTRÉE Campus de la Doua - 6, av. G. Berger - Villeurbanne 04 72 44 79 45 DON QUICHOTTE d’après Cervantès de Sylvain Levey, Cie Les yeux Grand Ouverts MS : Grégory Benoît 11 fév à 20h30. 12€ - 6€ L’HOMME ET CETERA, Cie Les Perles de Verre Conception, MS : Béla Czuppon 25 et 26 fév à 20h30, me. à 19h30. 12€ - 6€ THÉÂTRE DE L’IRIS 331, av. de Préssensé - Villeurbanne - 04 78 68 86 49 LES FOURBERIES DE SCAPIN de Molière MS : Philippe Clément Au CCVA, 234 av. Émile Zola, 19, 22 et 23 fév à 20h, di. à 15h. 17€ - 6€ MOLLY d’après James Joyce, Cie Protéiformes 25 fév au 1er mars à 20h. 14€ - 4€ TNP 8, pl. Lazare-Goujon - Villeurbanne - 04 78 03 30 00 LE ROI LEAR de Shakespeare MS : Christian Schiaretti Jusqu’au 15 fév à 19h30, di. à 16h. 24€ - 8€ LE TRIOMPHE DE L’AMOUR de Marivaux, Raskine & Cie - MS : Michel Raskine Jusqu’au 21 fév à 20h, di. à 16h. 24€ - 8€ LUNE JAUNE, LA BALLADE DE LEILA ET LEE de David Greig, Le Théâtre Exalté MS : Baptiste Guiton 12 au 22 fév à 20h30, di. à 16h30. 24€ - 8€ BRITANNICUS de Racine - MS : Jean-Louis Martinelli 21 fév au 2 mars à 20h, di. à 16h. 24€ - 8€ LES GENS d’Edward Bond, Théâtre des Nuages de Neige - MS : Alain Françon 26 fév au 8 mars à 20h, di. à 16h. 24€ - 8€ LE TOBOGGAN 14, av. Jean Macé - Décines - 04 72 93 30 14 LA PASSION DE MÉDÉE, Cie Premier Acte Texte & MS : Sarkis Tcheumlekdjian 6 fév à 20h30. 17€ - 9€ ESPACE BAUDELAIRE 83, av. de l’Europe - Rillieux-la-Pape 04 37 85 01 50 L’ÉPREUVE de Marivaux, Cie Imaginoir Théâtre MS : Cyril Tournier - 6 fév à 20h30. 15€ - 8€ CENTRE CULTUREL CHARLIE CHAPLIN Pl. de la Nation - Vaulx-en-Velin - 04 72 04 81 18/19 BUBU’S BLUES, LA VIE RÊVÉE DE CHARLES BUKOWSKI, Théâtre du Désordre des Esprits MS : Marie-Paule Laval + Bruno Boëglin 6 au 8 fév à 20h30, je. à 19h30. 13€ - 8€ LES REUTEULEU. Festival international étudiant 10 fév à 20h. 6€

À TOUR DE RÔLE, Cie Théâtrale Müh Texte & MS : Pierre David-Cavaz 13 au 15 fév à 20h30, je. à 19h30. 13€ - 8€ MERCEDES de Thomas Brasch, Cie Grime & Concocte - MS : Florent Fichot 24 et 25 fév à 20h30. 13€ - 8€ L’ALLÉGRO Pl. de la République - Miribel - 04 78 55 80 20 LOVE MATCH - Spectacle d’improvisation théâtrale 14 fév à 19h30. 9€ - 8€ - enfant 7€ L’ORAL ET HARDI de Jean-Pierre Verheggen, par Jacques Bonnaffé Allocution théâtrale poétique et humoristique 25 fév 20h30. 22€ - 20€ - enfant 12€ LA NUIT - Cie Théâtre Sans Toit Théâtre de marionnettes - Conception, MS Pierre Blaise 26 février 14 h et 15 h 30. 8€ LE KARAVAN THÉÂTRE 50, rue de la République - Chassieu - 04 78 90 88 21 LES BOUGRES, Théâtre du Maquis Conception, MS : P. et J. Béziers, David Teysseyre 7 fév à 20h. 19€ - 13€ LES FOURBERIES DE SCAPIN de Molière, Théâtre du Kronope - MS : Guy Simon 14 fév à 20h. 19€ - 13€ LE POLARIS Av. de Corbetta - Corbas - 04 72 51 45 55 AU FIL D’ŒDIPE de Brice Berhoud, Cie Les Anges au Plafond - MS : Camille Trouvé 21 fév à 20h30. 15€ - 9€ + I-Magine - Petrek et Ivan Sigg - à 19h30 THÉÂTRE THÉO ARGENCE Pl. Ferdinand Buisson - St-Priest - 04 78 20 02 50 SWIFT !, SKAPPA ! & Associés 12 fév à 10h et 15h. 10€ - 5€ TÊTE HAUTE de Joël Jouanneau, Collectif MxM MS : Cyril teste 19 fév à 18h30. 10€ - 5€ S’EMBRASENT de Luc Tartar, Théâtre Bluff MS : Éric Jean 28 fév à 20h30. 18€ - 6€ THÉÂTRE DE VÉNISSIEUX 8, bd Laurent Gérin - Vénissieux - 04 72 90 86 68 END/IGNÉS de Mustapha Benfodil, Cie El Ajouad MS : Kheireddine Lardjam 21 fév à 21h. 18€ - 8€ ESPACE ALBERT CAMUS 1, rue Maryse Bastié - Bron - 04 72 14 63 40 SŒUR DE de Lot Vekemans, Cie Mangez-Moi MS : Émilie Joumard 13 fév à 19h30. 7€ - 5€ MÈRE / FILLE de Laura Forti, Cie AnteprimA MS : Antonella Amirante 27 fév à 19h30. 16€ - 9€ MJC LOUIS ARAGON / JACK JACK Pl. Gaillard Romanet - Bron - 04 78 26 87 25 PEOLPLE’S CABARET, Cie l’Envers et l’Endroit MS : Stéphanie Chevarin 5 fév à 14h30. 8€ - 5€

UNE FEMME SEULE, Cie du Sourire MS : Ghislaine Bendongué, Vincent Villemagne 28 fév à 20h. 12€ - 10€ THÉÂTRE JEAN MARAIS 53, rue Carnot - St-Fons - 04 78 67 68 29 RAS, Cie Maduixa Théâtre 19 fév à 15h. 6€ TARTUFFE de Molière, Luca Théâtre MS : Laurent Vercelletto 28 fév à 20h30. 13€ - 10€ RAMDAM 16, ch. des Santons - Ste-Foy-lès-Lyon 04 78 59 62 62 LOUVE, Collectif La Toile - 8 fév à 19h. 5€ à gratuit THÉÂTRE DE LA RENAISSANCE 7, rue Orsel - Oullins - 04 72 39 74 91 L’ÎLE SOLAIRE d’après Michel Tournier avec Wilhelm Latchoumia Conception, mus : Samuel Sighicelli 21 fév à 20h. 20€ - 8€ LA MOUCHE, THÉÂTRE SAINT- GENIS-LAVAL 8, rue des Écoles - St-Genis-Laval - 04 78 86 82 28 Festival Paroles, Paroles Divers lieux, 6 au 14 fév. 8€ - 6,5€ INVENTAIRE 68, UN PAVÉ DANS L’HISTOIRE / Nicolas Bonneau - 6 fév à 19h ALI 74, LE COMBAT DU SIÈCLE / Nicolas Bonneau & Mikael Plunian 7 fév à 20h30 L’ÉTOURDISSEMENT de Joël Egloff, La Cie Sens Inverse / Denis Déon 10 et 11 fév à 19h LES PETSEURS (7 PEURS), Cie Izidoria / Myriam Pellicane - 12 fév à 19h MAÎTRE FENDARD (AH, AH, AH), Fred Tousch 13 fév à 19h CARTE BLANCHE À CIE CASSANDRE 14 fév à 19h LA MOUETTE de Tchekhov - MS : Christian Benedetti 27 fév à 20h30. 23€ - 10€ LE SÉMAPHORE, THÉÂTRE D’IRIGNY C Culturel Champvillard - Rue de Boutan - Irigny 04 72 30 47 90 PARTAGE DE MIDI de Paul Claudel MS : Philippe Adrien 28 fév à 20h30. 18€ - 9€ THÉÂTRE DE L’ATRIUM 35 av. du 8 Mai - Tassin - 04 78 34 70 07 PEDRO PÁRAMO de Juan Rulfo, Cie Premier Acte MS : Sarkis Tcheumlekdjian 21 fév à 20h30. 15€ - 8€ ESPACE CULTUREL JEAN CARMET Bd du Pilat - Mornant - 04 78 44 05 17 T.I.N.A. (THERE IS NO ALTERNATIVE) de Simon Grangeat, Cie Cassandre MS : Sébastien Valignat & Marijke Bedleem 7 fév à 20h30. 17€ - 10,5€

THÉÂTRE DE VILLEFRANCHE Pl. de la Sous-Préfecture - Villefranche 04 74 68 02 89 UN BEAU MATIN, ALADIN avec Matej Forman MS : Charles Tordjman 15 fév à 15h. 14,5€ - 10,5€ INNOCENCE d’Howard Barker, Association nÖjd MS : Howard Barker & Gerrard McArthur 25 et 26 fév à 20h30, me. à 19h30. 24€ - 15€ THÉÂTRE DE BOURG-EN-BRESSE 11, pl. Grenette - Bourg-en-Bresse - 04 74 50 40 00 PEDRO PÁRAMO de Juan Rulfo, Cie Premier Acte MS : Sarkis Tcheumlekdjian 11 au 13 fév à 20h30, me. à 19h, je. à 14h. 24€- 10€ FAUST ET USAGES DE FAUST, Cie Émilie Valantin & Jean Sclavis Ms : Émilie Valantin 18 fév à 20h30. 24€ - 10€ VALISES D’ENFANCE, Cie Pipa Sol MS : Christine Delattre Salle des Fêtes/Ceyzériat, 22 fév à 20h30. 9€ - 6€ UN BEAU MATIN, ALADIN Conception, MS : Matej Forman et Charles Tordjman 25 au 27 fév à 20h30, me. à 19h, je. à 14h. 24€- 10€ CENTRE CULTUREL ARAGON 88, crs de Verdun - Oyonnax - 04 74 81 96 80 MODÈLES, Cie La Part des Anges MS : Pauline Bureau 27 fév à 20h30. 16,5€ - 9€ MÂCON SCÈNE NATIONALE 1511, av. Ch. de Gaulle - Mâcon - 03 85 22 82 99 PETER PAN d’après JM Barrie, Cie L’Artifice MS : Christian Duchange 1er fév à 17h. 24€ - 8€ MÈRE COURAGE ET SES ENFANTS de Brecht, CDN Thionville-Lorraine - MS : Jean Boillot 13 fév à 19h30. 24€ - 14€ + Le libéré de Bertolt Brecht ou la Lâcheté quotidienne de Maria Koleva (docu, 76) 13 fév à 18h30 ESPACE DES ARTS 5 bis, av. Nicéphore Niepce - Chalon/Saône 03 85 42 52 12 PARTAGE DE MIDI de Claudel - MS : Philippe Adrien 6 et 7 fév à 20h 23€ - 9€ MACBETH de Shakespeare - MS : Anne-Laure Liégeois 20 et 21 fév à 20h. 23€ - 9€ L'ARC, SCÈNE NATIONALE LE CREUSOT Esplanade F. Mitterrand - Le Creusot - 03 85 55 13 11 TÊTE HAUTE de Jouanneau, Collectif MxM MS : Cyril Teste 13 fév à 19h30. 10€ - 8€ ACTÉON [MINIATURE] + PYGMALION [MINIATURE] d’après Ovide, TJP - CDN d’Alsace Conception : Renaud Herbin 20 fév à 19h30 et 20h15. 20€ - 10€ HORS LES MURS THÉÂTRE JEAN VILAR Salle Polyvalente - Av. du Prof. Tixier Bourgoin-Jallieu - 04 74 28 05 73 INNOCENCE, Association nÖjd Texte & MS : Howard Barker, Gerrard McArthur 4 fév à 20h30. 16€ - 8€ BELGRADE de Angelica Liddelll, La Meute MS : Thierry Jolivet 25 et 26 fév à 20h30. 16€ - 8€ THÉÂTRE DU VELLEIN Av. du Driève - Villefontaine - 04 74 80 71 85 MOBY DICK d’après Fabrice Melquiot et Herman Melville - MS : Matthieu Cruciani 19 fév à 18h30. 8€ - 6€ TU TIENS SUR TOUS LES FRONTS d’après Christophe Tarkos Conception, MS : Roland Auzet 25 et 26 fév à 20h30. 21€ - 15€ LE TRENTE / ESPACE SAINT GERMAIN Auditorium - 30, av Gal Leclerc - Vienne 04 74 85 00 05 NUIT VÉNITIENNE de Musset, Théâtre & Cie MS : Michel Belletante 4 au 8 fév à 19h. 30€ - 20€ (+ repas)

THÉÂTRE DE VIENNE / CARRÉ VIENNE 4, rue Chantelouve - Vienne - 04 74 85 00 05 Week-end Alfredo Arias Conception, MS : Alfredo Arias - 14/15 fév CINELANDIA - 14 fév à 20h30. 20€ - 10€ HERMANAS - 15 fév à 20h30. 20€ - 10€ + Bal Tango avec Tango de Soie AU PONT DE POPE LICK de Naomi Wallace, Cie Ariadne - MS : Anne Courel 27 fév à 20h30. 20€ - 10€ + L’Amérique de la Grande Dépression à travers la littérature américaine - Librairie des Lucioles 22 fév à 16h

/ Février 2014 / N°200 / 25


agenda LA COMÉDIE DE VALENCE Pl. Charles Huguenel - Valence - 04 75 78 41 70 UN BEAU MATIN, ALADIN Conception, MS : Matej Forman, Charles Tordjman 4 et 5 fév à 18h + me. à 14h30. 21€ - 8€ BIENVENUE DANS L’ESPÈCE HUMAINE Conception, MS : Benoît Lambert Comédie Itinérante, 4 au 28 fév à 20h. 12€ - 5€ LES GENS d’Edward Bond, Théâtre des Nuages de Neige - MS : Alain Françon 19 et 20 fév à 20h. 21€ - 8€ + Grand Témoin : Alain Françon - 18 fév à 19h L’ODEUR DES PLANCHES de Samira Sedira avec Sandrine Bonnaire - MS : Richard Brunel 21 au 24 fév à 20h. 12€ - 8€ RABAH ROBERT (TOUCHE ALLEURS QUE LÀ OÚ TU ES NÉ) - Texte & MS : Lazare 26 et 27 fév à 20h. 21€ - 8€ + Lecture d’auteur : Lazare - 26 fév à 18h PÔLE FESTIF DE LA TALAUDIÈRE Rue du Stade - La Talaudière - 04 77 53 03 37 L’INTRÉPIDE SOLDAT DE PLOMB d’après Andersen, Cie Stefan Wey - MS : Tobias J. Lehman 5 et 7 fév à 20h30, me. à 17h. 5€ DÔME THEÂTRE 135, pl. de l’Europe - Albertville - 04 79 10 44 80 TARTUFFE 2012 de Molière, Luca Théâtre MS : Laurent Vercelletto 12 fév à 20h30. 25€ - 16€

LECTURES RENCONTRES CONFÉRENCES 28E FÊTE DU LIVRE DE BRON Hippodrome de Parilly - 4/6, av. Pierre Mendès France Bron - 04 78 26 09 31 14 au 16 février, ve. 12h30/20h, sa. di. 10h30/19h30. Gratuit Débats & entretiens. Lectures, contes & spectacles... SYLVIE GERMAIN - ALAA EL ASWANY - JAMES MEEK - JAMES SACRÉ... + Journée de Réflexion « D’autres vies que la mienne » 14 fév 13h/17h. 20€ à 5€ + Lecture-concert BRIGITTE GIRAUD ALBIN DE LA SIMONE Médiathèque Jean-Prévost à Bron, 13 fév à 20h30 + Soirée Cinéma et Littérature. LES ENFANTS ROUGES de Santiago Amigorena (2013) + débat Cinéma Les Alizés, 14 fév à 20h30 4,9€, 04 78 41 05 55 INSTITUT DES CHARTREUX 58 rue Pierre Dupont - Lyon 1er - 04 78 27 02 48 JONATHAN COE, entretien avec Vanessa Guignery 13 fév. à 19h30. 5€ BIBLIOTHÈQUE DU 1ER 7, rue St-Polycarpe - Lyon 1er - 04 78 27 45 55 Les Vaincus de l’Histoire. Les fondateurs du Japon moderne 6 fév à 18h30 OPÉRA DE LYON Pl. de la Comédie - Lyon 1er - 04 69 85 5454 LIONEL OBADIA / MICHEL TERESTCHENKO / MICHEL SCHNEIDER - Les Forces Obscures 26 fév à 20h. 5€ à gratuit RESTAURANT QUAI DES ARTS Les Subsistances - 8 bis, quai St-Vincent - Lyon 1er FABRIQUE DE L’OREILLE #3. Avec Jonathan Duplissy et Anne Blanchet 26 fév à 18h30 PAVILLON RIVES DE SAÔNE Quai St-Antoine - Lyon 2e - 04 78 30 55 15 Les mille et un métiers de l’art contemporain. 19 fév à 20h THÉÂTRE DES MARRONNIERS 7, rue des Marronniers - Lyon 2e - 04 78 37 98 17 LES APÉRITIVES [Alison Cosson, Perrine Gérard, Marilyn Mattei, Pauline Noblecourt, Samuel Pivot, Guillaume Poix] M. en voix : Dominique Laidet 18 fév à 18h30.Gratuit sur réserv. BIBLIOTHÈQUE DE LA PART-DIEU 30, bd Vivier-Merle - Lyon 3e - 04 78 62 18 00 Pas de printemps pour la Syrie. Les clés pour comprendre les acteurs et les défis de la crise (2011/13) - 5 fév à 18h30 Pourquoi ranger la bicyclette dans le garage ? 7 fév à 18h30 La musique sacrée de Marc-Antoine Charpentier 11 fév à 18h30 Au pays de Riches. - 14 fév à 18h30 Le Feu et la mort dans l’Antiquité - 15 fév à 16h Regards croisés autour de Gombrovicz 18 fév à 18h30 Histoires et témoignages sur l’immigration italienne à Lyon 19 fév à 18h30 THÉÂTRE DE LA CROIX-ROUSSE Pl. Joannès Ambre - Lyon 4e - 04 72 07 49 49 PIERRE LARROUTUROU / JOSEPH VOGL / JC VOLOT Capitalisme, Libéralisme : un état des lieux 5 fév à 20h. 5€ à gratuit MJC DU VIEUX LYON / SALLE LÉO FERRÉ 5 pl. St-Jean - Lyon 5e - 04 78 42 48 71 ATELIER DE DÉSINTOXICATION DU LANGAGE par La Scop L’Orage - 15 fév 9h/13h. 10€ - 4€

MUSÉES GADAGNE 1, pl. du Petit Collège - Lyon 5e - 04 37 23 60 46 Le textile et les arts décoratifs à l’exposition internationale urbaine : l’art déco en avant première ? - 1er fév à 14h30. Gratuit Les premiers professeurs de pharmacie de l’université de Lyon 12 fév à 14h. 4€ 1914-2014 : quelle modernité urbaine ? 15 fév à 14h et 16h. Sur billet d’entrée L’expo internationale de Lyon en 1914, un tremplin pour Herriot 22 fév à 14h30. Gratuit MÉDIATHÈQUE DU BACHUT 2, pl. du 11 Novembre 1918 - Lyon 8e 04 78 78 12 76 SALEH DIAB, poésie parlée - 7 fév à 18h30 Perception inconsciente : mythe ou réalité ? 13 fév à 17h Les neurosciences face aux spectres et autres phénomènes hallucinatoires 27 fév à 17h MÉDIATHÈQUE DE VAISE Pl.Valmy - Lyon 9e - 04 72 85 66 20/22 Pat Metheny par Jean-Louis Almosnino 11 fév à 18h30 BRUIT de François Bon - 12 fév à 18h30 Autour des Chants de guerre que j’ai vues 18 fév à 12h30 Autour de l’Opéra STEVE FIVE, avec Oxmo Puccino et Roland Auzet 22 fév à 15h CAFÉTÉRIA DU CROUS Campus de la Doua - Bât. Astrée - 6, av. G. Berger Villeurbanne - 04 72 44 79 45 Pourquoi les idées nous empêchent-elles de voir le réel ? - 17 fév à 18h30. Gratuit CENTRE NATIONAL DE LA MÉMOIRE ARMÉNIENNE 32, rue du 24 Avril 1915 - Décines - 04 72 05 13 13 Le Cas de l’Arménie par Florence Tsorig Mardirossian 21 fév. à 20h30. 5€ PLANÉTARIUM DE VAULX-EN-VELIN Pl. de la Nation - Vaulx-en-Velin - 04 78 79 50 12 L’Univers des Quasars. - 20 fév à 20h. Gratuit THÉÂTRE THÉO ARGENCE Pl. Ferdinand Buisson - St-Priest - 04 78 20 02 50 La Fabrique. RDV#4 (lectures) LE T DE N-1 & FROMAGE DE TÊTE MS : Catherine Pavet 17 fév à 19h30. 10€ - 5€ + Soirée Art-Science : ouverture Laboratoire(s) d’Hiver à 18h30 ROULEZ JEUNESSE. Théâtre et adolescents - 28 fév THÉÂTRE DE VIENNE 4, rue Chantelouve - Vienne - 04 74 85 00 05 VÉRONIQUE DE KAYSER. Femmes et laïcité 28 fév à 19h

CINÉMA CINÉ-CONCERT ON CARTOON DANS LE GRAND LYON 4E 25 salles du Grand Lyon ALOÏS NEBEL de Tomas Lunak, Rép.Tchèque - 11 CHICO ET RITA de F. Trueba et J.Mariscal, GB/Esp. - 10. LES CONTES DE LA NUIT de M. Ocelot, Fr. - 11. etc Rétrospective Jean-François Laguionie 22 fév au 9 mars 31E FESTIVAL INTERNATIONAL DU PREMIER FILM D’ANNONAY www.annonaypremierfilm.org 8 premiers films en compétition / Thématique « Écrans gourmands » / Courts-métrages et autres films hors compétition Invités 2014 : Régis Marcon, Stéphane Audran, Andréa Ferréol etc. 7 au 17 fév. 6,8€ / 68€ à 29€ AUDITORIUM DE LYON 149, rue Garibaldi - Lyon 3e - 04 78 95 95 95 FANTASIA - LIVE IN CONCERT (Walt Disney) / ONL & LOUIS SCHWIZGEBEL, dir. Frank Strobel Mus : Gershwin, Beethoven, Tchaïkovski etc. 26 fév à 15h et 20h. 46€ - 8€ MJC DU VIEUX LYON / SALLE LÉO FERRÉ 5 pl. St-Jean - Lyon 5e - 04 78 42 48 71 POT DE THÉ / POT DE FER de Claude Hirsch (docu, 11) + débat « Salariat : quel pouvoir d’agir dans un système de domination ? » 20 fév à 20h. Gratuit BIBLIOTHÈQUE JEAN MACÉ 2, rue Domer - Lyon 7e - 04 78 96 48 30 LE SABLE, ENQUÊTE SUR UNE DISPARITION de Denis Delestrac (docu, 2004) 22 fév à 15h INSTITUT LUMIÈRE 25, rue du Premier Film - Lyon 8e - 04 78 78 18 95 10e Prix Jacques Deray : ZULU de Jérôme Salle (FR, 2013) 8 fév à 19h. 7,2€ à 4,5€ Rétrospective Jean-Pierre Melville jusqu’au 26 fév LE SAMOURAÏ (67) / L’ARMÉE DES OMBRES (69) / LE DOULOS (62) / LES ENFANTS TERRIBLES (49) etc. LE DEUXIÈME SOUFFLE (66) + Conférence sur Jean-Pierre Melville 11 fév à 19h30 (puis 21h). 7,2€ à 4,5€ Rétrospective Michael Curtiz - jusqu’au 27 fév

26 / Février 2014 / N°200 /

LA FEMME AUX CHIMÈRES (EU, 1950) + Dossier spécial Michael Curtiz 4 fév à 19h30 (puis 21h). 7,2€ à 4,5€ Michael Curtiz par B. Tavernier - 7 fév à 20h45 CAPTAIN BLOOD (EU, 1935) + Conférence sur Les Pirates au Cinéma 23 jan à 14h30 (puis 16h30). 7,2€ à 4,5€ MÉDIATHÈQUE DU BACHUT 2, pl.du 11 Novembre 1918 - Lyon 8e 04 78 78 12 76 Le Cinéma chinois. - 15 fév à 16h THÉÂTRE ASTRÉE Campus de la Doua - 6, av. G. Berger - Villeurbanne 04 72 44 79 45 NOTRE SIÈCLE d’Arnaud Pélechain (1982) FRITZ LE CAT (ciné-concert) 5 fév à 19h. 6€ à gratuit + Rencontre-débat autour du cinéaste Pelechain ENS, 5 fév à 14h30 MOI, PARADJANOV, ARTISTE SOVIÉTIQUE de Serge Avédikian (2013) 7 fév à 20h30. Gratuit PLANÉTARIUM DE VAULX-EN-VELIN Pl. de la Nation - Vaulx-en-Velin - 04 78 79 50 12 SÉANCES D’ASTRONOMIE. Une immersion totale au cœur de l’Univers sous un dôme-écran géant Me. à 14h et 15h30, sa. à 11h, 14h et 15h30, di. à 11h, 14h, 15h30 et 17h. 8€ - 6€ LA RAMPE La Ponatière - 15, av. du 8 Mai 45 - Échirolles 04 76 400 505 HANSEL & GRETEL d’après les Frères Grimm, La Cordonnerie (ciné-spectacle) Conception, MS : Métilde Weyergans et Samuel Hercule 18 fév à 20h. 17€ - 9€ DÔME THEÂTRE 135, pl. de l’Europe - Albertville - 04 79 10 44 80 HANSEL & GRETEL d’après les Frères Grimm, La Cordonnerie (ciné-spectacle) Conception, MS : Métilde Weyergans et Samuel Hercule 26 fév à 19h30. 25€ - 16€

DANSE LES SUBSISTANCES 8 bis, quai St-Vincent - Lyon 1er - 04 78 39 10 02 LES YEUX OUVERTS + TROIS DÉCENNIES D’AMOUR CERNÉ, CCN de Tours Chor : Thomas Lebrun 25 fév au 1er mars à 20h. 8€ Festival aire de jeu #3 4 créations Danse & Musique contemporaine. 1 compositeur invité : Nico Muhly 28 jan au 1er fév à 20h. 8€, pass/24€ LOOM - Chor : Yuval Picq 28 jan au 1er fév à 19h30, me. ve. à 22h15, sa. à 19h CRÉATION EN COURS - Chor : Yasmeen Godder 28 jan au 1er fév à ma. 21h45, me. à 20h, je. à 22h15, ve. à 19h30, sa. à 19h45 FRAIL - Chor : Kyle Abraham 28 jan au 1er fév à 22h30, me. à 19h30, je. à 21h45, ve. à 20h15, sa. à 20h30 AMPHITHÉÂTRE / SALLE 3000 Cité Internationale - 50, quai Ch. de Gaulle - Lyon 6e LA BAYADÈRE, St-Pétersbourg Ballet Théâtre Chor : Marius Petipa 18 fév à 20h. 65€ - 28€ MAISON DE LA DANSE 8, av. Jean Mermoz - Lyon 8e - 04 72 78 18 00 AU-DELÀ, Cie Baninga - Chor : DeLaVallet Bidiefono 3 et 4 fév à 20h30, lu. à 19h30. 21€ - 12€ EN PLATA, Enclave Español Compañia de Danza Conception, dir. art : Antonio Pérez, David Sánchez 6 au 8 fév à 20h30. 29€ - 17€ PLAY, Sidi Larbi Cherkaoui et Shantala Shivalingappa / Eastman 12 au 14 fév à 20h30, me. à 19h30. 29€ - 17€ S TRA - LA CRÉATIVITÉ DANS LA TRADITION, Arushi Mudgal - 16 fév à 15h. 21€ - 12€ DON QUICHOTTE AU TROCADÉRO Conception, chor : José Montalvo 19 au 23 fév à 20h30, me. à 19h30, di. à 15h. 42€ - 22€ + Vidéo-débat Des traditions pour une modernité 8 et 22 fév à 18h + BAL POUR DANSER - 23 fév à 17h TRAGÉDIE, / Cie COD - Chor : Olivier Dubois 26 et 27 fév à 20h30, me. à 19h30. 29€ - 17€ CNSMD 3, quai Chauveau - Lyon 9e - 04 72 19 26 61 du 26 au 28 fév à 20h. Gratuit ATELIERS D’HIVER DU DÉPARTEMENT DANSE Chorégraphies des enseignants Toboggan le 15 fév à 14h30 et 19h30. Gratuit RADIANT-BELLEVUE 1, rue Jean Moulin - Caluire - 04 72 10 22 19 GROSSE FUGUE - Chor : Maguy Marin + CRITICAL MASS - Chor : Russel Maliphant PASSAGES, Création Ballet de l’Opéra de Lyon Chor : Rachid Ouramdane 22 au 27 fév à 20h30, di. à 16h. 25€ - 15€ LE TOBOGGAN 14, av. Jean Macé - Décines - 04 72 93 30 14 PARDI}, Cie La Vouivre Conception, MS : Bérengère Fournier, Samuel Faccioli 21 fév à 20h30. 17€ - 9€ DOUBALEY (LE MIROIR), Cie Mouvements Perpétuels Chor : Salia Sanou 27 et 28 fév à 20h30. 17€ - 9€

CCNR [CENTRE CHORÉGRAPHIQUE NATIONAL DE RILLIEUX-LA-PAPE] 30 ter, av du Gal Leclerc - Rillieux - 04 72 01 12 30 FOLKS - Chor : Yuval Picq 13 et 14 fév à 20h30. 10€ - 7€, résa / 04 37 85 01 50 HIPPOPOTOMONTROSEQUIPPEDALIOPHOBIE, Collectif Ès 14 fév à 19h. Gratuit sur réserv. LE POLARIS Av. de Corbetta - Corbas - 04 72 51 45 55 DANS LE VENTRE DU LOUP, Cie Didascalie - Marion Lévy 7 fév à 20h30. 15€ - 9€ + La Soupe aux Amandes (à 19h30) CENTRE CULTUREL CHARLIE CHAPLIN Pl. de la Nation - Vaulx-en-Velin - 04 72 04 81 18 / 19 FRONTIÈRE(S) - Chor : Kadia Faraux 28 fév à 20h30. 13€ - 8€ L’ALLÉGRO Pl. de la République - Miribel - 04 78 55 80 20 WELCOME TO PARADISE par le CCN Ballet de Lorraine Petter Jacobsson Chor : Joelle Bouvier et Régis Obadia 14 fév à 19h30. 9€ - 8€ - enfant 7€ ESPACE ALBERT CAMUS 1, rue Maryse Bastié - Bron - 04 72 14 63 40 RÉCITAL À 40, Centre Chorégraphik Pôle Pik Chor, dir. : Mourad Merzouki 6 au 8 fév à 20h30, je. à 19h30. 18€ - 10€ PÔLE PIK 2, rue Paul Pic - Bron - 04 78 21 48 74 04 72 14 63 40 CATHARSIS - Chor : Sigrid Flory 28 fév à 12h30. Gratuit LE SÉMAPHORE, THÉÂTRE D’IRIGNY C Culturel Champvillard - Rue de Boutan - Irigny 04 72 30 47 90 EMZARA. NOÉ DANS LE LIVRE DES JUBILÉS, Cie Maryse Delente - Chor : Maryse Delente 7 fév à 20h30. 18€ - 9€ THÉÂTRE DE VILLEFRANCHE Place de la Sous-Préfecture - Villefranche 04 74 68 02 89 BOXE BOXE, CCN Créteil et Val-de-Marne Cie Käfig & Quatuor Debussy Chor : Mourad Merzouki 4 et 5 fév à 20h30 me. à 19h30. 28€ - 15€ THÉÂTRE DU VELLEIN Av. du Driève - Villefontaine - 04 74 80 71 85 SWAN LAKE, Cie The Dance Factory Chor : Dada Masilo 31 jan et 1er fév à 20h30. 25€ - 18€ RÉCITAL À 40, Centre Chorégraphik Pôle Pik Chor : Mourad Merzouki 12 au 14 fév à 20h30. 21€ - 15€ THÉÂTRE DE BOURG-EN-BRESSE 11, pl. Grenette - Bourg-en-Bresse - 04 74 50 40 00 L’ASPIRATEUR (DE LA POUSSIÈRE AUTOUR DU CŒUR), Le Grand Jeté ! - Chor : Frédéric Cellé 4 fév à 20h30. 24€ - 10€ MÂCON SCÈNE NATIONALE 1511, av. Ch. de Gaulle - Mâcon - 03 85 22 82 99 LA CÉRÉMONIE - Chor : Nathalie Pernette 18 fév à 20h30. 24€ - 8€ + Projection L’ENFANT SAUVAGE de François Truffaut (FR, 69) Cinémarivaux, 17 fév à 20h30 L'ARC, SCÈNE NATIONALE LE CREUSOT Esplanade François Mitterrand - Le Creusot 03 85 55 13 11 INFANTIA - Conception : Jean-Pascal Viaut 6 fév à 19h. 10€ - 8€ LA RAMPE La Ponatière - 15, av. du 8 Mai 45 - Échirolles 04 76 400 505 PARDI}, La Vouivre Conception : Bérengère Fournier, Samuel Faccioli 4 fév à 20h. 21€ - 9€ ROYAUME UNI + LE SACRE DU PRINTEMPS, Ballet Preljocaj - Chor : Angelin Preljocaj 26 et 27 fév à 20h. 30€ - 10€ DÔME THEÂTRE 135, pl. de l’Europe - Albertville - 04 79 10 44 80 OUPS + OPUS + PARDI}, La Vouivre Conception : Bérengère Fournier, Samuel Faccioli 6 fév à 19h30. 30€ - 21€

EXPOSITIONS ARCHIPEL, CENTRE DE CULTURE URBAINE 21, pl. des Terreaux - Lyon 1er - 04 78 30 61 04 SUR LES MURS Jusqu’au 9 mars, ma. au di. 13h/19h. Gratuit BF 15 11, quai de la Pêcherie - Lyon 1er - 04 78 28 66 63 Biennale Musiques en Scène 2014 : ANNE-SOPHIE BOSC, GÉRALDINE KOUZAN Unfolding - Taipei + ROMAIN BOULAY & JULIEN MIJANGOS Jusqu’au 22 mars, me. au sa. 14h/19h BIBLIOTHÈQUE DU 1ER 7, rue St-Polycarpe - Lyon 1er - 04 78 27 45 55 RENAISSANCE DU CONISME. LE TEMPS DES MÉCÈNES Jusqu’au 14 fév, ma. au ve. 13h/19h, ma. me. 10h/12h, sa. 13h/17h À VARTAN. Donation Frédéric-Vartan Terzian (photos) 27 fév au 24 av, ma. au ve. 13h/19h, ma. me. 10h/12h, sa. 13h/17h GALERIE FRANÇOISE BESSON 10, rue de Crimée - Lyon 1er - 06 07 37 45 32 GÉRARD PÉLISSON - Utopies volatiles Jusqu’au 22 fév, me. au sa. 14h30/19h GALERIE-ATELIER 28 28, rue Burdeau - Lyon 1er - 04 78 28 07 72 PIERRE BENDINE-BOUCAR - Florilège Jusqu’au 15 mars, me. au sa. 14h30/19h30 ANNE-MARIE ET ROLAND PALLADE ART CONTEMPORAIN 35, rue Burdeau - Lyon 1er - 09 50 45 85 75 06 72 53 70 34 DENIS RIVIÈRE Jusqu’au 15 mars, me. au sa. 14h/19h GALERIE FRANÇOISE SOUCHAUD 35, rue Burdeau - Lyon 1er - 06 87 95 17 98 MOHAMED LEKLETI - La Religion du Trait Jusqu’au 15 mars, me. au ve. 15h/19h, sa. 14h30/19h30 GALERIE LE RÉVERBÈRE 38, rue Burdeau - Lyon 1er - 04 72 00 06 72 BERNARD PLOSSU - De l’Atlantique à la Méditerranée / du Portugal à la Grèce Jusqu’au 12 av, me. au sa. 14h/19h GALERIE NÉON 41, rue Burdeau - Lyon 1er - 04 78 39 55 15 QUENTIN MAUSSANG - Être une chose Jusqu’au 15 fév, me. au sa. 15h/19h GALERIE PHOTOSTAGE 1, rue Camille Jordan - Lyon 1er 09 52 50 96 81/06 12 21 80 39 STÉPHANE CHARPE New-York , des pièces du Puzzle Jusqu’au 2 fév, ma. au ve. 10h/16h GALERIE POME TURBIL 48, rue Burdeau - Lyon 1er - 06 11 37 91 53 ANNE MOREAU - La force de Chevarache Jusqu’au 15 mars, me. au sa. 15h/19h GALERIE REGARD SUD 1/3, rue des Pierres Plantées - Lyon 1er 04 78 27 44 67 ALDO SOARES - Carnac, autour de Guillevic Jusqu’au 15 mars, ma. au sa. 14h/19h ITEM L’ATELIER 3, imp. Fernand Rey - Lyon 1er - 04 78 72 18 40 MICHEL DEWEVER-PLANA - L’Autre Guerre 14 fév au 26 mars, lu. au ve. 10h/17h, sa. 14h/18h LE BLEU DU CIEL 12, rue des Fantasques - Lyon 1er - 04 72 07 84 31 KARIM KAL & ANDRÉ GAMET Souvenirs d’en France, hier et aujourd’hui 6 fév au 5 av, me. au sa. 14h30/19h30 MAPRA 9, rue Paul Chenavard - Lyon 1er - 04 78 29 53 13 MYETTE FAUCHÈRE / HERVÉ BRIA Jusqu’au 1er fév, ma. au sa. 14h30/18h30 + me. je. ve. 10h/12h30 AU P’TT BAZAR ALICE CALM / ÉLODIE SABARDEIL 13 fév au 1er mars, ma. au sa. 14h30/18h30 + me. je. ve. 10h/12h30 MUSÉE DES BEAUX-ARTS 20, pl. des Terreaux - Lyon 1er - 04 72 10 17 40 LYON 1914 : EDOUARD HERRIOT, TONY GARNIER ET LES ARTS Jusqu’au 17 mars, me. au lu. 10h/18h, ve. 10h30/18h. 7€ - 4€ + Parcours et visite en miroirs avec Musée Gadagne 12 et 26 fév à 15h (+3€)


agenda JOSEPH CORNELL ET LES SURRÉALISTES À NEW-YORK : DALI, DUCHAMP, ERNST, MAN RAY… Jusqu’au 10 fév, me. au lu. 10h/18h, ve. 10h30/18h. 7€ - 4€ me. au lu. 10h/18h, ve. 10h30/18h. 7€ - 4€ FONDATION BULLUKIAN 26, pl. Bellecour - Lyon 2e - 04 72 52 93 94 JULIE LEGRAND - La convergence des atomes Jusqu’au 15 mars, ma. au sa. 13h/19h MUSÉE DES TISSUS ET DES ARTS DÉCORATIFS 34, rue de la Charité - Lyon 2e - 04 78 38 42 02 ANTINOÉ, À LA VIE, À LA MODE. VISIONS D’ÉLÉGANCE DANS LES SOLITUDES Jusqu’au 28 fév, ma. au di. 10h/17h30. 6€ - 3,5€ LES LAURÉATS DU SALON DE MONTROUGE Modules Fondation Pierre Bergé YSL hors les murs Jusqu’au 12 jan, ma. au di. 10h/17h MUSÉE DE L’IMPRIMERIE 13, rue de la Poulaillerie - Lyon 2e - 04 78 37 65 98 EDUARD OV Á EK - Jusqu’au 16 mars, me. au di. 10h30/18h. 5€ à gratuit BIBLIOTHÈQUE DE LA PART-DIEU 30, bd Vivier-Merle - Lyon 3e - 04 78 62 18 00 UNE FABRIQUE DE L’INNOVATION. Trois siècles de Révolutions industrielles en Rhône-Alpes Jusqu’au 1er mars, ma. au ve. 10h/19h, sa. 10h/18h GALERIE VRAIS RÊVES 6, rue Dumenge - Lyon 4e - 04 78 30 65 42 LUC EWEN - Lost memories Jusqu’au 15 mars, me. au sa. 15h/19h MUSÉES GADAGNE 1, pl. du Petit Collège - Lyon 5e - 04 78 42 03 61 MUSÉE D’HISTOIRE DE LYON & MUSÉE DES MARIONNETTES DU MONDE COLLECTIONS PERMANENTES Me. au di. 11h/18h30. 8€ à gratuit -26ans + Visite « Les Clés de la Ville de Lyon » 2 fév à 15h (+3€) + Visite « Cap sur les Marionnettes » 2 et 23 fév à 11h15 (+3€) + Visite guidée Édifice - 9 fév à 11h15 (+3€) + Visite en Marionnettie - 9 fév à 15h (+3€) + Visite « Raconte-moi la ville » 16 fév à 11h15 (+3€) + Visite « Petites et grandes histoires de la soie à Lyon » - 16 fév à 15h (+3€) LYON, CENTRE DU MONDE ! Exposition internationale et urbaine de 1914 Jusqu’au 27 av, me. au di. 11h/18h30. 7€ - 5€ + Visite-Expo, je. à 16h et sa. 11h15 (+3€) Arrêt sur Objet « Carte postale Exposition internationale urbaine de Lyon -1914 » 16 fév à 11h30 + Balades Urbaines « Edouard Herriot : changer le paysage de la Ville durablement » Bourse du Travail/Place Guichard - 16 fév à 15h (5€) + Balades Urbaines « Lyon, fleuron de la Cité moderne du 20e siècle » Ninkasi Gerland, 16 fév à 15h (+5€) + Balades Urbaines « Grange-Blanche : un hôpital pavillonnaire au service de l’hygiénisme » 5, pl. d’Arsonval Lyon 8e, 15 et 16 fév à 15h (5€)

MUSÉE GALLO-ROMAIN 17, rue Cléberg - Lyon 5e - 04 72 38 49 30 COLLECTIONS PERMANENTES Plus de cinq siècles de découvertes Ma. au di. 10h/18h. 4€ - 2,5€ + Les Clés du Musée, pour comprendre Lugdunum 2 fév à 15h (+2€) + Visite spéciale «L’art d’aimer » Ts je. à 15h 9 fév à 15h (+2€) + Visite contée « Les Amours des Dieux ? » 16 et 22 fév à 15h (+2€) + LES ÉTERNELS, Cie Lesdeuxavionsblancs 14 fév à 21h, 23 fév à 15h MAC LYON [MUSÉE D'ART CONTEMPORAIN] Cité Internationale - 81, quai Ch. de Gaulle Lyon 6e - 04 72 69 17 17 MOTOPOÉTIQUE 21 fév au 20 av, me. au di. 12h/19h. 6€ - 4€ CENTRE D’HISTOIRE DE LA RÉSISTANCE ET DE LA DÉPORTATION 14, av. Berthelot - Lyon 7e - 04 78 72 23 11 20 ANS DU CHRD - Collections permanentes : nouveau parcours, nouvelle scénographie Me. au di. 10h/18h. 6€ à gratuit POUR VOUS MESDAMES ! LA MODE EN TEMPS DE GUERRE Jusqu’au 13 avr, me. au di. 10h/18h. 5€ - 3€ GALERIE ROGER TATOR 36, rue d’Anvers - Lyon 7e - 04 78 58 83 12 JEAN-CHARLES AMEY & FERRÉOL BABIN Objet Lumière - Jusqu’au 14 fév, lu. au ve. 14h/19h SNAP 4, rue de la Thibaudière - Lyon 7e - 06 74 84 67 06 PERRINE LACROIX. Mauer Jusqu’au 1er mars, me. au sa. 14h/9h MÉDIATHÈQUE DU BACHUT 2, pl. du 11 Novembre 1918 - Lyon 8e 04 78 78 12 76 MAGALI JEANNINGROS & AURÉLIEN BERTINI L’Autre Moitié du Ciel LA FEMME AU TEMPS DE MAO 11 fév au 8 mars, ma. je. 13h/19h, ve. 12h/19h, me. 10h/19h, sa. 10h/18h L’ATTRAPE-COULEURS Mairie annexe - 5, pl. Henri Barbusse - Lyon 9e 04 72 19 73 86 ZOÉ BENOIT - Archisony#5 Jusqu’au 15 mars, me. ve. 13h/18h, sa. di. 14h/18h GALERIE DOMUS Campus de la Doua - 31, av. Pierre de Coubertin Villeurbanne - 04 72 43 19 11 RAJAK OHANIAN - Portrait d’une P.M.E. Jusqu’au 28 fév, lu. au je. 9h/17h, ve. 9h/16h INSTITUT D’ART CONTEMPORAIN 11, rue Doc. Dolard - Villeurbanne - 04 78 03 47 00 MANFRED PERNICE - Fiat (lux) Jusqu’au 23 fév, me. au di. 13h/19h, je. 20h. 4€ - 2,5€ LE RIZE 23/25, rue Valentin-Haüy - Villeurbanne 04 37 57 17 17 CULTES. LES RELIGIONS DANS LA VILLE 4 fév au 24 mai, ma. au sa. 12h/19h, je. 17h/21h. Gratuit

M.L.I.S. F. MITTERAND 247, crs Émile Zola - Villeurbanne - 04 78 68 04 04 GUERRILLA GIRLS Jusqu’au 15 mars, ma. au ve. 14h/19h, sa. 14h/18h URDLA CENTRE INTERNATIONAL ESTAMPE & LIVRE 207, rue Francis-de-Pressensé - Villeurbanne 04 72 65 33 34 CFRUEL SPORTING Jusqu’au 28 fév, ma. au ve. 10h/18h, sa. 14h/18h LE POLARIS Av. de Corbetta - Corbas - 04 72 51 45 55 RICHARD VESSAUD / MARIE BOURGET / CLARA CUZIN 13 fév au 7 mars, ma. au ve. 9h-19h PLANÉTARIUM DE VAULX-EN-VELIN Pl. de la Nation - Vaulx-en-Velin - 04 78 79 50 12 HISTOIRE D’UNIVERS, DU BIG BAND AU GRAIN DE SABLE. Expo permanente Me. 13h30/17h, sa. di. 11h/17h. 6€ - 4€ EXPLORE MARS Jusqu’au 4 août, me. 13h30/17h, sa. di. 11h/17h. 6€ - 4€ LA FERME DU VINATIER CH Le Vinatier - 95, bd Pinel - Bron - 04 37 91 51 11 ART BIS (peintures et sculptures) Jusqu’au 28 fév, ma. au ve. 14h/17h PIERRE TARRAQUOIS / BRICE ROBERT Quand les ados font le mur Jusqu’au 28 fév, ma. au ve. 14h/17h ESPACE ARTS PLASTIQUES MADELEINE-LAMBERT 12, rue Eugène-Peloux - Vénissieux - 04 72 21 44 44 ERNESTO SATORI Jusqu’au 22 mars, me. au sa. 14h/18h CENTRE D’ARTS PLASTIQUES Espace Léon Blum - Rue de la Rochette - St-Fons 04 72 09 20 27 JEAN-BAPTISTE SAUVAGE Jusqu’au 1er fév, ma. au sa. 14h/18h DES NOUVELLES DE LA KULA (expo collective) 22 fév au 19 av, , ma. au sa. 14h/18h L’ÉPICERIE MODERNE Pl. René Lescot - Feyzin - 04 72 89 98 70 JEAN-LUC NAVETTE - Une ode à la nuit… 5 fév au 30 mars, ma. au ve. 10h/12h - 14h/17h Vernissage le 9 fév à 19h FORT DU BRUISSIN Centre d’Art Contemporain - Ch. du Château d’Eau - Francheville - 04 72 13 71 00 VERS UNE HYPOTHÈSE. Elena Bajo / Jesùs Alberto Benitez / Louise Hervé & Chloé Maillet / Fleur Noguerra / Niok Oberthaler / Guillaume Robert / Paola Yacoub Jusqu’au 23 fév, ve. sa. di. 14h/18h. Gratuit CENTRE CULTUREL D’ÉCULLY 21, rue E. Aynard - Écully - 04 78 33 64 33 LE STUDIO HARCOURT (photos) Jusqu’au 28 fév, lu. au ve. 14h/18h + ma. au ve. 9h/12h30

MAISON DU FLEUVE RHÔNE 1, pl. de la Liberté - Givors - 04 78 73 70 37 IDÉES BARGES Jusqu’en juil 14, me. sa. 13h30/17h30, di. 14h/18h. 5€ à gratuit -16ans LE TRENTE / ESPACE SAINT GERMAIN Auditorium - 30, av. Gal Leclerc - Vienne DOROTHEA LANGE - Migrant Farmers 11 fév au 8 mars, ma. ve. 13h/18h, me. sa. 10h/18h MUSÉE ARCHÉOLOGIQUE Rte Départementale 502 - St-Romain-en-Gal 04 74 53 74 01 COLLECTIONS PERMANENTES Ma. au di. 10h/18h. 4€ - 2,5€, je. free + LES ROMAINS DÉBARQUENT, Pax Augusta 23 fév 14h30/17h + Visite Découvertes, les objets « phare » Di. et je. à 15h. (+2€) LES IROQUOIENS DU SAINT-LAURENT, PEUPLE DU MAÏS Jusqu’15 av, ma. au di. 10h/18h. 6€ - 4,5€ à gratuit le je. + Les Grandes thématiques de l’exposition Di. je. à 16h30 (+2€) MUSÉE PAUL DINI Pl. Faubert - Villefranche/Saône - 04 74 68 33 70 LES LYONNAIS RENCONTRENT L’ORIENT Le Voyage au cœur de la Création + Itinéraires d’Artistes [AUBANEL / FAVIER / GIORDA / TRUPHÉMUS etc.] Jusqu’au 9 fév, me. 13h30/18h, je ve. 10h/12h30 - 13h30/18h, sa. di. 14h30/18h. 5€ - 3€ H2M / ESPACE D'ART CONTEMPORAIN + MONASTÈRE ROYAL DU BROU Bourg-en-Bresse. H2M au 5, rue Teynière, 04 74 42 46 00. Me. au di. 13h/18h. gratuit Église & musée 63, bd du Brou, 04 74 22 83 8. Tlj 9h/12h-14h/17h. 7,5€ à gratuit AU-DELÀ DE MES RÊVES (>50 artistes et 80 œuvres. Photos installations vidéos etc.) SOPHIE CALLE / CHRISTIAN LHOPITAL / JAN FABRE / TONY MORGAN etc. Jusqu’au 23 fév, me. au di. 13h/18h. 6€ à gratuit CITÉ DU DESIGN 3, rue Javelin Pagnon - St-Étienne - 04 77 49 74 70 HISTOIRES DES FORMES DE DEMAIN Collection de Design du Musée d’Art Moderne Jusqu’au 16 mars 2014, ma. au di. 11h/18h. 5.6€ - 2€ MUSÉE D’ART ET D’INDUSTRIE 2, pl. Louis Comte - St-Étienne - 04 77 49 73 00 PAQUEBOT DE FRANCE. DESIGN EMBARQUÉ Jusqu’au 28 fév, tlj 10h/18h. 4,9€ à gratuit YANNIS MARKANTONAKIS Merveilleuses Flottaisons Jusqu’au 28 fév, déc, tlj 10h/18h. 4,9€ à gratuit MUSÉE D’ART MODERNE Rue Fernand Léger (La Terrasse) - St-Priest-en-Jarez 04 77 79 52 52 JOËL SHAPIRO / PETER HALLEY / JEUNES CRÉATEURS À NEW YORK L’Art Américain des années 1960 à nos jours Jusqu’au 18 mai, me. à lu. 10h/18h sf jrs fériés. 5€ - 4€

L'ARC, SCÈNE NATIONALE LE CREUSOT Esplanade François Mitterrand - Le Creusot 03 85 55 13 11 PLANTU Cartooning for Peace. Dessins pour la paix Jusqu’au 7 mai, ma. au sa. 13h30/19h, sa. 14h30/18h

LIEUX DE CONCERTS 6e Continent - 51, rue St-Michel - Lyon 7e - 04 37 28 98 71 Abattoirs - Route de L’Isle d’Abeau - Bourgoin - 04 74 19 14 20 Agend’Arts - 4, rue Belfort Lyon 4e Allégro - Place de la République - Miribel - 04 78 55 80 20 Aqueduc : chemin de la Liasse - Dardilly - 04 78 35 98 03 À Thou Bout d'Chant - 2, rue de Thou - Lyon 1er - 04 72 98 28 22 Amphithéâtre Astrée - 6,av. Gaston Berger - Villeurbanne - 04 72 43 19 11 Bar L’Absynthe - 22, rue de Flesselles - Lyon 1er - 06 76 72 14 26 Bastringue - 14, rue Laurencin - Lyon 2e Bistro Fait Sa Brocante - 3, rue Dumenge - Lyon 4e - 04 72 07 93 47 Boulangerie du Prado - 69, rue Sébastien Gryphe - Lyon 7e - 06 21 21 41 33 Boulevardier - 5, rue de la Fromagerie - Lyon 1er - 04 78 28 48 22 Bourse du Travail - Place Guichard - Lyon 3e C.C.O. - 39, rue Courteline - Villeurbanne - 04 78 93 41 44 Café du Bout du Monde Brotteaux - 120, rue Bugeaud - Lyon 6e - 04 72 74 44 82 Carré 30 - 12, rue Pizay - Lyon 1er - 04 78 39 74 61 Casa Musicale - 1, ch. de Fontenay - Lyon St-Rambert - Vergoin - 06 14 02 81 40 Cave à Musique - 119, rue Boulay - Mâcon - 03 85 21 96 69 Caveau du Chien à 3 Pattes - Croix-Rouge - Belleville - 04 74 66 14 61 Centre Charlie Chaplin - Place de la Nation - Vaulx-en-Velin - 04 72 04 81 18 Centre Culturel d’Écully - 21, avenue Edouard Aynard - Écully - 04 78 33 64 33 Chapelle de la Trinité - 31, rue de la Bourse - Lyon 1er - 04 78 38 09 09 Citron - 20, rue St-Georges - Lyon 5e - 04 78 37 63 97 Clacson - 10, rue Orsel - Oullins - 04 72 39 74 93 Clef de Voûte - 1, place Chardonnet - Lyon 1er - 04 78 28 51 95 Cocotte Minute - 4, rue Belfort - Lyon 4e - 04 72 00 96 412 Crescent Jazz Club - 83, rue Rambuteau - Mâcon - 03.85.39.08.45 De l’Autre Côté du Pont - 25, cours Gambetta - Lyon 7e - 04 78 95 14 93 Double Mixte - 19, Avenue Gaston Berger - Villeurbanne - 04.72.44.60.17 DV1 - 6, rue Violi - Lyon 1er - 06 61 64 43 69 Épicerie Moderne - Ctre Léonard de Vinci - pl. R. Lescot - Feyzin - 04 72 89 98 70 Espace Albert Camus - 1, rue M. Bastié - Bron - 04 72 14 63 40 Espace Baudelaire - 83, av. de l’Europe - Rillieux-la-Pape - 04 37 85 01 50 Espace Double Mixte - La Doua - 43, bld du 11 Nov. 1918 - Villeurbanne - 04 72 44 60 19 Espace Jean Carmet - Bld du Pilat - Mornant - 04 78 44 03 12 Espace Culturel Saint-Genis-Laval - 8, rue des Écoles - St-Genis-Laval - 04 78 86 82 28 Espace des Arts - 5 bis, av. Nicéphore Niepce - Châlon-sur-Saône - 03 85 42 52 12 Espace St-Germain - 30, av. Général Leclerc - Vienne Espace Tonkin - 1, av. Salvador Allende - Villeurbanne - 04 78 93 11 38 Fée Verte - 4, rue Pizay - Lyon 1er - 04 78 28 32 35 Fnac Bellecour - 85, rue de la République - Lyon 2e - 04 72 40 49 49 Fnac Part-Dieu - 17, rue du Docteur Bouchut - Lyon 3e - 04 78 71 87 00

Grrrnd Zero Gerland - 40, rue Pré-Gaudry - Lyon 7e Hall C - Plaine Achille - St-étienne - 04 77 48 76 16 Halle Tony Garnier - 20, place Antonin Perrin - Lyon 7e - 04 72 76 85 85 Hot Club de Lyon - 26, rue Lanterne - Lyon 1er - 04 78 39 54 74 Îlo Café d’Expression - RN 89 - Rte de Lyon - St-Genis l’Argentière - 04 74 72 26 12 Jack Jack / Mjc Aragon - Place Gaillard Romanet - Bron - 04 78 26 87 25 Jazz Du Bout du Monde - 3, rue d’Austerlitz - Lyon 4e - 04 72 98 39 08 Johnny’s Kitchen - 48, rue St-Georges - Lyon 5e - 04 78 37 94 13 Karavan Théâtre - 60, rue de la République - Chassieu - 04 78 90 88 21 Kraspek Myzik - 20, montée St-Sébastien - Lyon 1er - 04 69 60 49 29 Kotopo - 14, rue René Leynaud - Lyon 1er - 04 72 07 75 49 L’Apéro Rock - 31, rue Ste-Geneviève - Lyon 6e - 06 63 95 09 94 L’Atrium - 35, avenue du 8 mai 1945 - Tassin-la-Demi-Lune - 04 78 34 70 07 L’Atribut - 122, rue Marietton - Lyon 9e - 04 72 29 10 66 LaPéniche - 52, quai St-Cosme - Chalon/Saône - 03 85 94 05 78 Le 13 Espace d’Interventions - 13, rue Leynaud - Lyon 1er - 06 03 94 23 14 Le Fil - 20/22, bld Thiers - St-Étienne - 04 77 34 46 40 Le Galet, Espace culturel - rue du Collège - Reyrieux - 04 74 08 92 81 Le Rize - 23/25, rue Valentin-Haüy - Villeurbanne - 04 37 57 17 17 Le Sou - 19, rue Romain Rolland - La Talaudière - 04 77 53 03 37 Le Sucre - 50, quai Rambaud -Lyon 2e Les Trois Gaules - 10, rue Burdeau - Lyon 1er - 04 72 87 08 25 Les Valseuses - 1, rue Chappet - Lyon 1er L'Impromptu Kafé - 7 place Colbert - Lyon 1er - 06 61 18 67 24 / 06 17 52 45 75 Luminier - 50, rue de la République - Chassieu - 04 78 90 88 21 Lyon’s Hall - 21, rue Joannes Carret - Lyon 9e - 06 61 43 45 35 Mâcon Scène Nationale - 1511, av. Ch. de Gaulle - Mâcon - 03 85 22 82 99 Marché Gare - 34, rue Casimir Périer - Lyon 2e - 04 78 38 49 69 Marquise - Quai Augagneur - Lyon 3e - 04 72 61 92 92 Médiathèque de Vaise - Place Valmy - Lyon 9e - 04 72 85 66 20 MJC Le Cadran - 15, chemin de Feyzin - Vénissieux - 04 72 50 00 69 Mjc de Chazelles - rue Joanny-Désage - Chazelles/Lyon - 04 77 54 29 21 Mjc Jean Cocteau - 23, rue du 8 Mai - St-Priest - 04 78 20 07 89 Mjc Ô Totem - 11, av. G. Leclerc - Rillieux - 04 78 88 94 88 Mjc de Ste Foy-lès-Lyon - 112, av. Foch - Ste-Foy-lès-Lyon 04 78 59 66 71 Mjc de Tassin - 16, av. de Lauterbourg - Tassin - 04 78 34 28 78 Moulin de Brainans - Poligny - 03 84 37 50 40 Nakamal - 36, av. Joannès Masset / Angle rue L. Loucheur - Lyon 9e - 04 78 47 20 16 Nec - St Priest-en-Jarez - 04 77 74 41 81 Ninkasi / Kafé / Kao - 267, rue Marcel Mérieux - Lyon 7e- 04 72 76 89 00 Nouveau Théâtre Beaulieu - 28, bld de la Palle - St-Étienne - 04 77 46 31 66 Opéra National de Lyon - 1, place de la Comédie - Lyon 1er 04 72 00 45 45

Palais des spectacles - Bld Jules Janin - St-Étienne - 04 77 49 47 81 Péniche Loupika - 47, Quai Rambaud - Lyon 2e - 04 72 41 75 24 Périscope - 13, rue Delandine - Lyon 2e - 04 78 42 63 59 Plateforme - Face au 4, quai Augagneur - Lyon 3e - 04 37 40 13 93 Polaris - Av. de Corbetta - Corbas - 04 72 51 45 55 Pub des Capucins - 5, place des Capucins Lyon 1er - 06 76 37 63 67 Radiant-Bellevue - 1 rue Jean Moulin - Caluire - 04 72 10 22 19 Salle 3000 - Cité Internationale - 50, quai Charles de Gaulle - Lyon 6e Salle Aristide Briand - Jardin des Plantes - Av. Antoine Pinay - St-Chamond - 04 77 31 04 41 Salle Genton - 21, rue Genton - Lyon 8e - 04 37 90 55 93 Salle des Iris - montée des Roches - Francheville - 04 78 59 66 66 Salle Jean Carmet - Mornant - 04 78 44 05 17 Salle Jeanne d'Arc - 16, rue Jean-Claude Tissot - St-Étienne - 04 77 25 01 13 Salle Léo Ferré/MJC Vieux Lyon - 5, place St-Jean - Lyon 5e - 04 78 42 48 71 Salle Molière - 18-20, quai de Bondy - Lyon 5e Salle Rameau - 29, rue de la Martinière - Lyon 1er Salle des Rancy - 249, rue Vendôme - Lyon 3e - 04 78 60 64 01 Salle Varèse - CNSMD - 3, quai Chauveau - Lyon 9e - 04 72 19 26 59 Sémaphore - Chemin de Boutan - Irigny - 04 72 30 47 90 Sirius - face 21, quai Augagneur - Lyon 3e - 04 78 71 78 71 Sonic - Péniche Mascaret, face au 4, quai des Étroits - Lyon 5e - 04 78 38 27 40 Soucoupe - 4, rue Mourguet - Lyon 5e - 04 78 38 31 25 Subsitances - 8, quai St-Vincent - Lyon 1er - 04 78 39 10 02 Tannerie - 123, place de la Vinaigrerie - Bourg-en-Bresse 04 74 21 04 55 Théâtre Antique Vienne - rue Pipet - Vienne - 0892 702 007 Théâtre Astrée - Campus de la Doua - 6, av. G. Berger Villeurbanne - 04 72 44 79 45 / 04 72 43 19 11 Théâtre des Pénitents - Place des Pénitents - Montbrison - 04 77 96 39 16 Théâtre de Vénissieux - 8, bld. Laurent-Gérin - Vénissieux - 04 72 90 86 68 Théâtre de Villefranche - Pl. de la Sous-Préfecture Villefranche - 04 74 68 02 89 Théâtre du Vellein - Av. du Driève - Villefontaine - 04 74 80 71 85 Théâtre Jean Marais - 53, rue Carnot - Saint-Fons 04 78 67 68 29 Théâtre Jean-Vilar - 12, rue de la République - Bourgoin-Jallieu - 04 74 28 05 73 Théâtre Théo Argence - Pl. Ferdinand Buisson - Saint-Priest - 04 78 20 02 50 Toboggan - 14, avenue Jean Macé - Décines - 04 72 93 30 00 Toï Toï le Zinc - 17/19, rue Marcel Dutartre - Villeurbanne - 04 37 48 90 15/06 87 15 52 82 Train Théâtre - 1, rue Aragon - Portes-lès-Valence - 04 75 57 14 55 Transbordeur - 3, bld Stalingrad - Villeurbanne - 04 72 43 09 99 Trokson - 110, montée de la Grande Côte - Lyon 1er - 04 78 28 52 43 Zenith - St-Étienne - Rue Scheurer Kestner - St-Étienne

/ Février 2014 / N°200 / 27



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