MOURAD MERZOUKI ROCIO MOLINA HOWARD BARKER CHRISTIAN SCHIARETTI NINO D’INTRONA CLAUDIA STAVISKY COLINE D’INCA PLAY & PLUG ACTUEL REMIX CLIVE HAMILTON CALENDRIER ...491
Cultures urbaines et d’ailleurs / Grand Lyon, Villefranche/Saône, Région…
MENSUEL GRATUIT - N°199 JANVIER 2014 MICHEL RASKINE
© Stephanie Mathieu
l’invité du mois Chaque mois 491 offre une carte blanche à un acteur ou une actrice de la vie culturelle
Michel Raskine
Cinéma : sans hésiter, le choc de l’année aura été pour moi La Trilogie Bill Douglas, vue en deux soirées du mois d’août, au Comœdia. Un film météore, une œuvre unique, essentielle, d’un qui, comme Charles Laughton et sa Nuit du chasseur, raconte l’enfance menacée, et dans le même temps réinvente à lui seul tout le cinéma. On en sort chaviré et admiratif. Films : on ne peut vivre sans eux. Ne pas oublier de vous dire ma découverte (tardive) de Persona, film en noir et blanc de 1965 d’Ingmar Bergman, au Festival Lumière, cette année. L’œuvre absolue, incontestable, audacieuse et maîtrisée, mais profondément et définitivement énigmatique (le fragment, toujours). L’ombre et la lumière...
Dans l'histoire d'un spectateur, les mises en scène de Michel Raskine font date. Son Max Gericke ou pareil au même, de Manfred Karge, a été créé en 1982 et sa comédienne fétiche, la géniale Marief Guittier, joue régulièrement ce rôle trouble et magnifique. On se souvient avec émotion de Théâtre(s) d'Olivier Py (1998), repris ensuite à Avignon, alors qu'il avait pris trois ans plus tôt, avec André Guittier, la direction du Théâtre du Point de Jour. Mémorable, encore, son Jean-Jacques Rousseau de Bernard Chartreuxet Jean Jourdheuil ou le Jeu de l'Amour et du hasard de Marivaux. Il a obtenu, en 2008, le Molière du meilleur spectacle du théâtre public pour sa mise en scène de Juste la fin du monde de Jean-Luc Lagarce. Acteurs (et actrices !) : on commence par eux. Comme je les aime, ceux-là, compagnons de route depuis toujours, et pour toujours ! Ma raison d’être essentielle, et de loin, d’être metteur en scène ! Plaisir extrême de les fréquenter et de travailler avec eux. Carte blanche : autoportrait, autrement dit monologue, forme qui restreint, puisque contrairement au théâtre, vous, lecteurs, ne pouvez pas (me) répondre. Le soliloque, piètre pouvoir ! Alors, choisir le discours ou le fragment ? Fragment : un mot formidable, “fragment”, qui claque et fouette, mais qui exonère de tout dire. En art, surtout ne pas “tout” dire. Fabriquer, offrir, et puis faire confiance. Spectateurs : pas de théâtre sans acteurs, pour sûr, mais pas non plus sans spectateurs. Je n’ai jamais aimé le mot “public”, je ne l’emploie pas, il uniformise, horreur de l’uniforme. Vous soupirez: “et le texte ?” Oui, oui, oui, le texte, bien sûr, on en parlera. Plus tard... Présent : le temps exclusif du théâtre, ici et maintenant. Raskine & Compagnie : le présent, précisément ! Etre à la retraite et fonder sa première compagnie, “c’est gai !”, comme disent les Belges.
Voyages : ils forment la jeunesse, paraît-il ! Question : est-ce qu’ils déforment la vieillesse ? Russie : à St-Pétersbourg, pendant ce premier trimestre 2013 sombre et glacial, avec les fidèles Stéphanie Mathieu et Julien Louisgrand, on est allé fabriquer un Tarjestvo lioubvi (Le Triomphe de l’Amour) en russe. Même si mon nom est russe, comme celui de mon grand-père Josef, juif et bolchevique, et que je lis, écris et baragouine cette langue bellissime, ce Marivaux-là ne fut pas un voyage de tout repos. Mais il y eut soudain la splendeur coupante de la lumière d’hiver sur la Neva gelée, et la rencontre intense, joyeuse, revigorante, avec les très bons acteurs de là-bas
Mes morts à moi : ceux-là sont à moi, rien qu’à moi. Dialoguer avec les morts... Alors, ce serait ça le théâtre ? On le dit. Je ne le pense pas.
TNP : retour a la maison-mère, ou plutôt à la “maison-père” ! C’est là que j’ai (presque) tout appris du théâtre, auprès de Roger Planchon, le grand aîné, le grand aimé, il a y a bien longtemps. J’aime cette maison, et Christian Schiaretti a eu la bonne idée de nous inviter à y habiter un temps. Ai dit oui avec enthousiasme. Marief sera du voyage.
Dialogue : le contraire du monologue (voir Carte blanche). Faire du théâtre c’est aussi raconter mes histoires, en dialoguant surtout -surtout !- avec les vivants, mes collaborateurs et les spectateurs. Les auteurs aussi. Car nous y voilà, pas de théâtre sans texte.
Passé : les “années Point du Jour” (19952012). Surtout, pas de nostalgie (voir plus bas). Pour nous, pour vous je crois (vous nous l’avez fait savoir), elles ont été splendides, ouvertes, si vivantes. Fabriquer, offrir, et puis faire confiance (bis) Futur : Gwen. Gwenaël Morin, un artiste radical, mais généreux. Opiniâtre, mais inventif. Joie de lui avoir transmis, sans crainte et sans reproche, les clefs de ce théâtre tant aimé, et puis ne pas regarder en arrière, mais devant.
Un livre à lire ? : allez, le dernier Thomas Bernhard publié, Gœthe se mheurt. Sapristi, comment vivre sans Thomas B. ? Mais le titre le plus fortiche est Vies minuscules de Pierre Michon. Le livre ne l’est pas moins, fortiche !
Bébés : l’avenir ? Des spectacles, encore des spectacles. Et puis les enfants. J’aime beaucoup les bébés! Ils ne me font pas peur, et j’adore leur donner le biberon. Avais déjà raconté cela à la télé, en arrivant à Lyon en 95. Ça avait fait marrer tout le monde !
Vie majuscule : les p’tits bruns... Olala, les p’tits bruns !
Naissance : quand ces lignes paraîtront, la fille d’Hélène et Bertrand (elle va être très jolie !) sera née. Salut, Rosalie ! Naissance, encore : d’un autre genre, bien sûr, mais précieuse aussi, et attendue, et émouvante. Celle d’une actrice, Adèle Exarchopoulos, dans La vie d’Adèle. Privilège et émotion d’être là, quand la formidable Adèle (la comédienne et le personnage) paraît, bouleversante incarnation de la jeunesse et de la vitalité. Vive le cinéma !
Les autres : les techniciens, par exemple. Ceux-là, je les aime bien aussi, car pas que les acteurs dans la vie ! Je ne me sens pas mal avec eux. J’admire leur artisanat, leur savoir-faire, et puis les décors, les costumes, les objets, la lumière, le son, cela me m’a jamais barbé, jamais lassé, toujours fait voyager
Christine : un jeune homme, Martin Kressmann, prépare un livre sur Christine Pascal. Il interroge, à Lyon et ailleurs, ceux qui l’ont connue. Christine, je l’aimais beaucoup. Pas le seul. Cette jeune femme si douée, actrice et réalisatrice, était d’une beauté et d’une intelligence peu communes, mais toujours, à son rire éclatant se mêlait une inquiétude sourde et continue. L’ombre et la lumière, là encore. Elle s’est suicidée en 96. Christine Pascal, mais aussi Bagouet, Bouise, Dort, Chéreau, et puis Roger Planchon sont “mes morts célèbres”, et ils sont à tout le monde.
(Bons) auteurs vivants : fréquenter leur écriture est indispensable pour parler d’aujourd’hui aux gens d’aujourd’hui, dit-on. Mais cette définition vaut à l’identique pour les auteurs morts, comme quoi, les définitions...Les aimées : Annie Ernaux et Marie NDiaye. Se connaissent-elles ? Se lisent-elles ? Moi, j’achète et je lis, depuis toujours, tous leurs livres. Une écriture que tout oppose. L’une inquiétante et flamboyante, l’autre exacte et sensuelle. Entre elles deux, je me sens bien, très bien.
& : Esperluette. Et le mot, et la chose, une merveille !
dernier, où l’image bête à pleurer de la petite flamme vacillante d’une bougie sous le souffle doux d’un ventilo est à elle seule tout le grand théâtre du monde. “Aller voir ailleurs” par principe et sans relâche. Dire “oui” aux autres.
Nostalgie : ce qui fiche le plus la trouille, car elle peut, entre autre, tétaniser, puis immobiliser, définitivement, un artiste. Style : même définition, exactement, que pour “nostalgie”. Alors quoi faire ? Comment faire ? Ouvrir : les yeux, les oreilles, les mains, tout grand. Peur du bunker, de l’enfermement, de l’isolement, de la redite, de la routine... Pour ne pas perdre fantaisie et mordant, une seule solution, les autres. Les autres artistes, les regarder, les admirer. Bruno Boëglin, par exemple, et Tombé, son beau travail récent, aux Célestins en octobre
Marief : elle a un fan club nourri et aimant. Les gens, quand ils lui parlent, l’appellent “Marief”. Mais ce n’est pas familiarité, c’est gratitude. Marief Guittier, bien sûr, ma sœur de théâtre, l’amie majeure, celle sans qui mon théâtre (et ma vie) ne seraient pas ce qu’ils sont. Acteurs (et actrices !) : tout commence par eux (voir la première rubrique) et tout finit avec eux. Grand salut amical et tendre à mes complices du moment qui trembleront de peur et de plaisir, le mercredi 29 janvier 2014, à la salle Jean Bouise (cher Bouise, encore lui, oh joie !) du Théâtre National Populaire, à Villeurbanne, quand nous donnerons la première du Triomphe de l’Amour. Écrire leur nom : Stéphane Bernard, Prune Beuchat, Marief Guittier, Alain Libolt, Maxime Mansion, Thomas Rortais, Clémentine Verdier. Et leur dire: chers vous sept, à tout de suite ! Au fait, le disque à écouter : The Idler Wheel … de Fiona Apple (le titre complet ? The idler wheel is wiser than the driver of the screw and whipping cords will serve you more than ropes will ever do). On est quelques-uns à attendre patiemment chaque nouvel opus de la dame. Le quatrième en 15 ans est enfin sorti l’an dernier. Les textes sont noirs, et la voix est toujours aussi charnelle et tranchante. Le Triomphe de l’Amour, 29 janvier au 21 février au TNP
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spectacles vivants
Avec pas moins de trois spectacle à l’affiche en Rhône-Alpes début 2014, le danseur et chorégraphe natif de Saint-Priest a fait du chemin, sans jamais quitter la piste.
Mourad Merzouki toujours sur le fil Par Olivier Saison
© Michel Cavalca
Trente années, vingt spectacles et quelques continents plus tard, Mourad Merzouki n’a pas oublié ses premières amours. Qui ne sont pas le hip-hop, qui l’a rendu célèbre, ni même la boxe américaine, dont il fut champion de France en 1989, mais… le cirque. « Je suis entré à l’école de cirque à 7 ans, par hasard, et j’y suis resté jusqu’à 15 ans. J’étais acrobate mais l’école était polyvalente et on touchait à tout ». À 40 ans, l’artiste a beau diriger deux centres de chorégraphie, celui, national, de Créteil et le pôle Pik de Bron, il sait encore jongler, faire du monocycle et du trapèze, « à un niveau basique » admet-il.
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“le hip-hop a cette faculté de s’adapter” Dans Boxe boxe (en février à Villefranche, en mars au Radiant), le chorégraphe mêle, les transformant en d’improbables sparring-partners, la gestuelle du boxeur, le hip-hop et la musique classique du quatuor Debussy interprétant Philip Glass, Ravel ou Gorecki… L’art de Merzouki est un peu à l’image de son spectacle de 2008, Agwa, mené tambour battant avec des danseurs venus des favellas de Rio de Janeiro : une débauche d’énergie au milieu d’un champ de verres d’eau à ne pas renverser. Une situation de mise en péril volontaire et millimétrée que le chorégraphe a encore expérimentée, artistiquement et idéologiquement, en septembre dernier en investissant, avec d’autres danseurs, la Préfecture de Lyon, pour des « battles » organisées au cœur même du système. Non sans provoquer quelques grincements de dents. « Le hip-hop n’a pas peur, il prend des risques : le pari, c’est de ne pas se perdre tout en se mettant en difficulté, tout en s’aventurant vers un terrain inconnu. » assène-t-il. En 2012, dans Yo Gee Ti (en mars 2014 à l’Espace Albert-Camus), qui le voit collaborer avec le styliste taïwanais Johan Ku, Mourad fait porter aux danseurs de hip-hop des… justaucorps – « quinze ans plus tôt, j’aurais reçu des tomates ! » s’émerveille-t-il. Pour l’équilibriste, tout est une question de dosage. Heureusement, de nature tout terrain, « le hip-hop a cette faculté de s’adapter ». De prendre un escalier pour une rampe de lancement. Et des dorures préfectorales pour une piste aux étoiles. Pour son prochain spectacle, intitulé Pixel, le metteur en scène tentera de générer sur scène un dialogue entre artistes numériques et danseurs. Etrangement, on comptera parmi ces derniers trois circassiens. Acrobatie, quand tu nous tiens.
Et s’il a abandonné sa vocation première, ce n’est pas par désamour, mais parce qu’il avait envie de voler de ses propres ailes, de sortir de la « structure ». Bref, de « monter un groupe ». De quoi ? De hip-hop, alors en pleine déferlante. De fait il n’aura de cesse d’en monter, des groupes, des troupes. Accrorap en 1989, Käfig en 1996. « Il fallait prendre des risques, sortir du quartier » se souvient-il. Pour autant, dès ses débuts, le hip-hop du jeune Mourad et de sa bande de copains – Kader Attou, Eric Mezino, Chaouki Said – est déjà décalé, « déjanté », et pour cause : ils le pratiquent sur échasses, torches à la main. Ce qui ne signifie pas qu’ils font n’importe quoi. La boxe, sa rigueur, sa discipline sont passées par là. Le chapiteau, le goût du spectacle, du risque – le vrai, le physique – aussi. « Tout seul on n’a pas les armes, le langage ou les codes pour frapper à la porte des institutions ». Ils frappent donc d’un même poing. Et recueillent le même silence ; le hip-hop, alors, traîne une sale image. L’union a beau faire la force, Mourad Merzouki se retrouve seul. Pendant quinze ans, tandis que ses spectacles commencent d’être joués, le San-Priot crée ainsi, sans filets, de « manière vagabonde ». « Pour travailler c’était épuisant, il n’y avait pas de lieu, pour cette danse. » De ces années d’itinérance aussi fécondes qu’instables naîtront des œuvres fondatrices telles l’éponyme Käfig (1996), Rendez-vous (sous l’égide de la danseuse contemporaine Josette Baïz, 1997) ou Récital (1998) - une pièce produite plus de 500 fois dans 35 pays qui connaîtra en février prochain une nouvelle jeunesse à l’Espace Albert-Camus de Bron et au Théâtre du Vellein, à Villefontaine, dans une version augmentée, le nombre de danseurs sur scène passant de six à quarante… Une production « Centre Chorégraphik Pôle Pik », d’ailleurs. Un K, ce Merzouki. Il faut dire que depuis 2009, après huit ans de combats administratifs, le saltimbanque a trouvé un toit, près de son quartier
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d’origine. Deux toits, même, puisqu’en janvier, Mourad Merzouki prenait déjà la direction du Centre chorégraphique national de Créteil. Le goût du risque aurait-il disparu ? C’est l’inverse. Il s’est dédoublé. Financier en coulisses : « Avec le Pôle Pik, je disposais d’un beau bébé, d’une infrastructure, mais il fallait de l’argent pour l’alimenter » - d’où la recherche d’une synergie nécessaire avec le CCN de Créteil. Et artistique sur scène, où il a toujours été présent, mieux : constamment recherché.
Récital, du 6 au 8 février à l’Espace Albert-Camus de Bron, puis du 12 au 14 février au Théâtre du Vellein, à Villefontaine (Isère) Boxe Boxe, le 4 et 5 février au Théâtre de Villefranche, et du 19 au 21 mars au Radiant, à Caluire. Yo Gee Ti, les 31 mars et 1er avril à l’Espace Albert-Camus.
RÉDACTEUR EN CHEF BRUNO PIN MAQUETTE ET INFOGRAPHIE JEAN-MARC CLEYET-MARREL Tél : 04 78 39 89 27 e mail : jmcleyetmarrel@wanadoo.fr - Site : jmcleyetmarrel.free.fr SECRÉTAIRE DE RÉDACTION FRÉDÉRIQUE MATAGRIN RÉDACTION ANNE HUGUET - ÉTIENNE FAYE - DAVID GILBAUT - CHRISTOPHE JACQUET OLIVIER SAISON
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© Tamara Pinco
spectacles vivants
Afectos
Rocío Molina Par Anne Huguet
Rocío Molina poursuit sa marche en avant, expérimentant sans fin autour du baile flamenco pour le pousser dans ses retranchements les plus ultimes. La revoilà avec Afectos, pièce ovni qui vous transporte loin de tout ce à quoi on peut s’attendre, tandis qu’elle prépare sa prochaine création qu’elle présentera à Villefranche pour la Biennale de la Danse 2014. Depuis son premier spectacle (Entre Paredes) en 2005, cette danseuse hors normes surprend, fascine et captive. Par sa puissance. Par sa gestuelle très travaillée. Par sa technique irréprochable. Par cette sensualité irradiante.
À 30 ans à peine, la danseuse de Malaga, qui s’initie à la danse dès l’âge de trois ans, peut se targuer d’un parcours irréprochable. Maria Pagès, Carlos Saura, Israel Galván, Miguel Poveda, Belen Maya ou encore Antonio Canales sont autant de grands noms du flamenco qu’elle a approché de près ou de loin, travaillant avec eux ou chorégraphiant pour eux. On raconte aussi qu’elle aurait eu le père de Galván comme professeur de danse. Sûrement pas anodin. C’est dorénavant en son nom propre qu’elle poursuit la quête de son St Graal, revendiquant un flamenco libre et vivant. Qu’elle n’hésite pas à déshabiller lorsqu’elle danse nue comme un ver dans Almario. Qu’elle décortique, dépouille, triture sans relâche comme pour en retirer la substantifique moelle et qu’elle transcende sans fin. Afectos est l’une de ses dernières pièces, création à deux cœurs et quatre mains avec « sa » chanteuse Rosario « La Tremendita », née d’une réflexion (métaphysique) sur la lutte à la vie et la capacité d’atteindre la simplicité, le naturel et la confiance par une vie simple. Comment décrire ce qu’on ne voit pas ? Comment rendre visible, palpable ce que l’on ne fait que sentir ? Une pièce qui décoiffe, on vous prévient, par sa liberté d’interprétation et par ses partis-pris où certes il est question de flamenco, mais pas que, loin de là. On le sait Rocío Molina est bien au-delà n’hésitant pas à forcer ses propres limites -ses cambrés sont proprement époustouflants et souvent à la limite de la rupture-, pour aller là où on ne l’attend pas. Ses spectacles sont théâtralisés, ses lumières soignées même si on reste dans l’épure. Ici pas de chichis, ni robe à froufrous ni castagnettes, la scène est vide, sans rideau ni pendrillon, il y a juste ce club défoncé, un siège en rotin, un
porte-manteau perroquet avec quelques vêtements nonchalamment suspendus et 2 petits tabourets noirs, une table en bois, un verre et une carafe d’eau. Ils sont trois sur scène, un contrebassiste, une chanteuse et elle, petit bout de femme brune et nerveuse au corps sculpté. Rocío Molina est sûrement gironde dans le bon sens du terme. Elle est aussi cabotine et mutine, ingénue, ingénieuse, audacieuse, impertinente, incisive, rageuse et ravageuse et surtout radicale. Autant de qualificatifs qui, à un moment donné, lui ressemblent lorsqu’elle danse comme possédée par un feu intérieur qui la dévore. On y retrouve tous les codes d’un spectacle de flamenco, le chant, la danse, les silences, la voix a-capella, le compas, les montées en intensité, le recueillement, la ferveur, l’incandescence. Mais chez Molina, tout ça est comme sorti de son contexte pour le réinventer sans cesse. Pendant une heure trente, ce sont quelque 15 tableaux, ou vignettes plutôt, qui se succèdent, chacune racontant un instant du geste flamenco qui est à chaque fois transfiguré, car réécrit, répété, recommencé et, oui, réinventé. Sûrement le premier tableau avec ce corps-à-corps avec une guitare est-il subjuguant. Parce qu’on ne s’y attend guère, parce que son langage emprunte presqu’autant au contemporain qu’au mime, que son interprétation est magistrale de justesse et qu’il y a, ici et là, ô magie de l’instant, une entournure de bras, une cambrure lascive qui rappellent tant le flamenco… Rocío Molina, déjà au sommet de son art n’a sûrement pas fini de faire parler d’elle. Théâtre de Vénissieux, 31 janvier Comédie de Valence, 9 et 10 janvier Théâtre de Bourg-en-Bresse, 11 et 12 avril
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spectacles vivants
Howard Barker, mythique
Innocence, avec l'association nÖjd Par Etienne Faye
pour mettre à bas le système en place. Pourtant, il n'y a rien à comprendre, pas de leçon d'histoire ni de morale. Quand l'esthétique d'Howard Barker déréalise les corps, ce n'est pas non plus de la pornographie, il cherche davantage à casser les codes moraux, à nous dépouiller de ces codes, dans le but de savoir ce que l'on pense fondamentalement. Innocence est une traversée, de l'ordre de la tragédie grecque contemporaine.
Aurélie Pitrat, jeune comédienne la jeune femme est à l'origine de la rencontre de l'association nÖjd avec l'auteur et metteur en scène anglais Howard Barker. Innocence se déroule dans un contexte révolutionnaire, le roi Louis est destitué, la reine Caroline, qui ressemble beaucoup à Marie-Antoinette, reste seule en compagnie de son fils Louis, au fond d'une geôle. Le procès qui va suivre accusera la mère d'inceste, et c'est cette infamie qui servira de prétexte à lui couper la tête. Le détail est historique, et n'est pas pris, ici, pour un détail. Car la pièce d'Howard Barker est mythologique, et se propose plutôt de sonner à l'oreille de ses contemporains. Les comédiens de nÖjd, dont on se souvient les (tendres) années de compagnonnage au NTH8, se sont donc mis entre les mains de l'artiste anglais, et de Gerrard McArthur. La Wrestling School, sa troupe londonienne, signe d'ailleurs aussi la scénographie et les costumes. « Huit acteurs en plateau, quinze personnes en tout », me confie Aurélie Pitrat. Une belle production. Entretien enjoué avec elle.
6 / Janvier 2014 / N°199 /
Quel est le sujet d'Innocence ? S'agit-il d'une pièce historique ? Howard Barker est historien de formation, et spécialiste des révolutions, mais on se tromperait en disant de cette pièce qu'elle est historique. En se focalisant sur les derniers moments de Marie-Antoinette, il a voulu explorer ce qui se passe entre les humains lorsque les cadres ont disparu, et en particuliers pour des gens très instruits, à quoi s'ajoute la tension que provoque inévitablement l’imminence de la mort. Entre le moment où les lois de la monarchie sont réduites à néant et l'instauration de nouvelles règles, il y a une sorte de flottement, une situation anormale et, surtout, sans quotidien. Mais de toute façon, les personnages sont anormaux, une reine et son fils ? Ce sont en effet des gens qui ont été, malgré eux, les représentants du pouvoir. C'est-à-dire que leur naissance les condamne à mort. Comment l'on piétine sans merci celui qui était grand et fort, comment celle qui était la beauté même peut devenir très moche ? Ce qui navigue entre les deux, c'est magnifique, très humain, et c'est symptomatique du travail d'Howard Barker. Il revendique de « spéculer », son mot, à partir de questionnements liés à la révolution. Mais cette spéculation est sans conclusion. Dans Innocence, on comprend qu'un des pendants d'une déstructuration du pouvoir, c'est à la fois la libération et le besoin frénétique d'informations, le développement de la rumeur, et, en corollaire, l'augmentation de la surveillance. La reine représentée n'est pas seulement Marie-Antoinette, c'est une figure de la reine sacrifiée, et les meneurs de révolution sont comme des mortsvivants qui se relèvent, quand l'heure est venue,
Comment l'association nÖjd a-t-elle rencontré Howard Barker ? Je travaille sur cet auteur depuis 1999, quand je l'ai découvert pendant une formation avec Hélène Vincent. Depuis, je me suis passionnée pour ses grandes pièces, et j'ai eu l'opportunité d'un stage avec lui. Nous sommes depuis restés en contact, il m'a invité à Londres, nous avons pu constater nos affinités artistiques, et il m'a confié un manuscrit, cette Innocence, juste pour le partage, sans idée de mise en scène. J'ai fait un bricolage de sa pièce avec mes amis de nÖjd, que j'ai voulu lui présenter, et il m'a très vite proposé de nous mettre en scène. Qu'est-ce qui a séduit Howard Barker pour qu'il décide de vous mettre en scène ? La vérité est qu'il est déçu de n'avoir que peu de visibilité en France, et qu'il est heureux, je crois, de nous voir si enthousiaste à travailler une de ses pièces. Il y a cet endroit où nous nous retrouvons, c'est l'énergie de jeu, l'importance primale de cette énergie, je crois que c'est ce qui l'a séduit avec nous. L'attitude que nous développons au sein de l'association est directe, dénuée de circonvolution. Nous ne fabriquons aucune image au préalable, nous comprenons la pièce en la jouant. Nos ressorts sont rythmiques, humoristiques, et nous ne faisons aucun travail dramaturgique. Quant à Howard Barker, il annonce « une pléthore verbale et un excès visuel »... Howard Barker est né en 1946 dans une ville bombardée, c'est peut-être pour cela qu'il a cette façon de concevoir des spectacles qui débutent comme dans une explosion, c'est de l'Instant access, mais qui restent sur cette énergie jusqu'au bout. Son style, d'un humour incroyable, naît d'ailleurs du rythme fou de son écriture, avec des ruptures de tons, une langue précieuse qui entre soudain en collision avec des propos orduriers... C'est bien simple, même en italienne, nous avons du mal à garder notre sérieux. Du 21 janvier au 1er février au Théâtre des Célestins Le 7 février au Théâtre du Parc d'Andrézieux-Bouthéon Les 25 et 26 février au Théâtre de Villefranche-sur-Saône
spectacles vivants
Badiou
ou l’art désuet de la controverse © Anne Gayan
Par Christophe Jacquet
Le philosophe et professeur Alain Badiou revisite Platon et sa République pour nos oreilles. Au TNP, la troupe de Grégoire Ingold jongle avec ses acrobaties rhétoriques, pas loin de les perdre en chemin. Pastiche ? Remake ? Mise à jour ? Quand Alain Badiou se pique de réécrire La République de Platon, son texte* fait gloser. Il n’a rien d’une traduction. Pour Badiou, « Platon est omniprésent, sans que peut-être une seule de ses phrases soit exactement restituée ». Le philosophe marxiste tire son illustre prédécesseur du côté du théâtre. L’idée lui vient en 1999, quand Grégoire Ingold transpose le Livre 1 de La République dans les jardins et écoles de Saint-Denis. Aujourd’hui, le metteur en scène actuellement en résidence à Bron boucle la boucle, et porte le dialogue tel que l’a imaginé Badiou sur un plateau. Si la réécriture est ambitieuse, la mise en scène l’est moins. A l’origine, Platon rapporte le discours de Socrate, et fait de son maître le narrateur. Chez Alain Badiou, Socrate est en retrait. D’autres montent au front. Réunis chez Céphale, notable du Pirée, trois jeunes gens, Glauque, Polémarque et Amantha, seule femme du lot, totalement inventée par Badiou, débattent avec un sophiste, Thrasymaque, de la justice en démocratie.
L’aimable discussion de café-philo du début, éclairée à la bougie, tourne au tribunal de la pensée. Pour Thrasymaque, érigé en procureur, « ce qui est juste n’est et ne peut être rien d’autre que l’intérêt du plus fort ». Ses contradicteurs vont mettre en pièce son argument péremptoire, Socrate tirant les ficelles dans l’ombre. Grégoire Ingold les incorpore au public, réparti en grappes qui se font face. Au centre, une estrade accueille la joute rhétorique. Un à un, les acteurs vont la relancer. Et buter parfois sur les tirades acrobatiques de Badiou. Les anachronismes abondent, les choix de costumes, de décor, de diction un peu ampoulée, accentuent le brouillage temporel. Au bout de deux heures de controverse, la question n’est pas tranchée, on ne sait plus très bien où on en est. Mais la vivacité du raisonnement nous aura portés jusqu’à ce point délicieux d’incertitude, qui voit triompher l’ironie socratique. Avec Badiou, elle est plus que jamais d’actualité. Du 21 au 25 janvier au TNP à Villeurbanne *Alain Badiou, La République de Platon, Fayard, 2012, 600 p., 25 €.
/ Janvier 2014 / N°199 / 7
© Emile Zeizig
spectacles vivants
Dom Juan Par Etienne Faye
La langue de Molière n’est nôtre que si nous pouvons nous l’approprier aujourd’hui, et les mises en scène conservatrices sont comme des enterrements. Iconoclaste raffiné, contemporain, Thierry Bordereau nous propose une version under (en anglais, CQFD) de Dom Juan ou le Festin de pierre. Mais attention, le parti pris est tel que les comédiens, mis autour de la table de banquet, cherchant à fondre le rythme des phrases avec une musique techno de boîte de nuit, peuvent manquer leur coup, comme ce fut le cas lors de la première. Mais c’était la première… Pourtant, a priori, la distribution n’est pas en cause, puisqu’elle réunit, par exemple, l’impressionnante et classieuse Marijke Bedleem et, surtout, l’étonnant, détonnant, presque surnaturel Raphaël Defour. Celui-ci campe un Dom Juan remuant, moderne et mythique, un personnage de bande dessinée, Tintin noceur, de notre temps, qui aborde avec distinction les femmes qu’il convoite. La frappante scénographie, dont la couleur s’efface de scène en scène, les décors léchés, élégants, sont le théâtre des frasques du proverbial séducteur. Dom Juan est l’homme pressé de satisfaire chacun de ses désirs, doté de ce culot abrupt et sans faille
Dom Juan ou le festin de pierre
de qui ne doute de rien. Énervant, fascinant. Le piétinement de l’institution du mariage, ou plutôt de la jeune mariée, sans que soit jamais formulé le moindre regret, non seulement humilie sans vergogne les princesses qui sommeillent en nous (surtout en elles, quand même), mais réfléchit aussi, tel un miroir à peine déformant, le consommateur compulsif qui n’y dort pas assez. Shopping and fucking, titre d’une pièce géniale de Mark Ravenhill, aurait pu être un sous-titre acceptable de cette lecture contemporaine du mythe par Thierry Bordereau et la plateforme Locus Solus. Sauf qu’il s’agit de Molière, qui écrivait là l’une de ses deux pièces en prose, l’une des plus belles. Du 7 au 11 janvier au Théâtre de la Croix-Rousse. Du 25 au 27 mars au Théâtre de Bourg en Bresse Le 10 avril à l'Espace Albert Camus à Bron
Au bord des larmes © Arno Gaulon
Par Christophe Jacquet Stéphane Balmino - Mon traître
En reliant deux romans de Sorj Chalandon, Emmanuel Meirieu signe un bel adieu à la cause irlandaise. Qui mériterait une plus large écoute à Lyon, sa terre d’adoption. Emmanuel Meirieu persiste et signe. Boudé par les grandes scènes lyonnaises, il prêche un théâtre d’émotion pure. Qui doit, citant Klaus Maria Grüber, « passer à travers les larmes ». En 2010, aux Nuits de Fourvière, l’encore jeune metteur en scène faisait d’un roman de Russel Banks, De beaux lendemains, un mélodrame à quatre voix. Trois ans après, le même geste empoigne Mon traître et Retour à Killybegs, deux récits récents de Sorj Chalandon. L’ancien journaliste de Libération transcende par la fiction une peine bien réelle. Dans les années 80, ses reportages en Irlande du Nord le rapprochent de l’IRA. Il fraternise avec ses chefs.
8 / Janvier 2014 / N°199 /
Un, en particulier. Denis Donaldson. En 2005, celui-ci confesse le pire. Les Anglais l’ont retourné, en ont fait leur taupe ; il est abattu peu de temps après. Les deux livres racontent l’histoire en la travestissant à peine. D’abord, dans Mon traître, du point de vue du « petit Français » dévoué à la cause. Puis, dans …Killybegs, du traître lui-même, qui relate sa vie. Emmanuel Meirieu associe et synthétise ces deux mouvements en une oraison funèbre lyrique. Parfois trop. À Belfast, on enterre le renégat. Dans le noir presque total, trois hommes battus par la pluie défilent devant le micro. Chacun à leur tour, ils vont témoigner. Jérôme Derre prête au premier, Antoine, le Français, une fébrilité contenue. Toujours sur la crête du chagrin sans y tomber. Vient ensuite le fils du traître. La rage qu’évacue Stéphane Balmino en un chant violent, éraillé, sonne ici plus convenue. Enfin, paraît l’agent double, le mort, nu sous sa couverture. Jean-Marc Avocat lui donne un tour mythique. De sa voix liquide, étouffée juste ce qu’il faut, l’acteur couve la flamme d’un gladiateur venu livrer son dernier combat. Sous cette lueur, Emmanuel Meirieu ajuste une cérémonie poignante, mais lestée d’effets irritants, dont la musique. Peut-être pas assez en confiance, il tire sur la corde des sentiments. Entre ses mains, il a pourtant de quoi faire du théâtre comme on n’en voit plus. Mon traître, 11 janvier au Radiant-Bellevue, à Caluire
© Daniel Adric
spectacles vivants
Serge Merlin
Un nouveau grand spectacle signé Schiaretti
Le Roi Lear
de William Shakespeare Par Etienne Faye.
10 / Janvier 2014 / N°199 /
Le Roi Lear, c'est un peu comme un opéra, on attend le morceau de bravoure d'un interprète qui nous a donné envie de venir. Et c'est exactement ce qui a motivé Christian Schiaretti. Il avait « son » roi Lear, en la personne de Serge Merlin : une figure du théâtre hexagonal, comédien de Patrice Chéreau, Matthias Langhoff ou André Engel, et acteur de Jean-Pierre Jeunet, notamment, au cinéma... Le directeur du TNP, en acceptant de mettre en scène Serge Merlin, a voulu aussi l'entourer de gens de qualité, tels Marc Zinga, l'excellentissime Lumumba dans Une saison au Congo, les brillantes Clara Simpson et Magalie Bonat, en tout, vingt-quatre comédiens. Autant dire qu'après le triomphe de la pièce d'Aimé Césaire, création de l'an dernier, Christian Schiaretti met en scène à nouveau un spectacle au grand souffle épique. Les premières scènes du Roi Lear de Shakespeare, sont assez déroutantes, et tout le mystère, d'essence mythologique, de cette pièce, est là. Le roi de Grande Bretagne décide de partager son royaume en trois territoires équivalents, pour en faire donation à ses trois filles. Il n'exige d'elles, au préalable, qu'une déclaration publique d'amour filial. Gonéril et Régane, épouses respectives des ducs d’Écosse et de Cornouailles, s'exécutent avec zèle et force flatterie. La troisième, Cordélia, s'abstient obstinément. Ce refus n'est-il pas extraordinaire, quel sens peut-il avoir ? Et cette exigence d'un roi n'est-elle pas saugrenue ? On a dit beaucoup qu'il s'agissait d'un premier signe de sa folie : celle qui le gagnera tout à fait, ensuite, durant son errance, lorsque Gonéril et Régane l'auront rejeté. Mais ce que l'on peut y voir aussi, nous suggère Christian Schiaretti, c'est une sorte d'affrontement entre la sphère intime de la famille royale et la personne du Souverain, publique par nature. Les deux sœurs qui étalent hypocritement des sentiments se plient à un rituel public, tandis que Cordélia refuse de faire de son amour filial sincère un acte politique. Et ce faisant elle désobéit au tyran, qui la maudit, donc, d'une drôle de façon, puisqu'il la marie au roi de France. À la fin de la pièce, c'est elle qui tentera de venir au secours du roi fou... Tandis que se déroule, dans un parallèle saisissant, et avec la même cruauté, l'intrigue secondaire, où Gloucester perd la vue d'avoir trop été aveuglé. Comme à l'époque de Coriolan, Christian Schiaretti a travaillé avec Thibaut Welchelin sur des costumes qui s'annoncent somptueux, et la scénographie, imaginée avec Fanny Gamet pour répondre à la multiplicité des personnages, à l'incroyable nombre de lieux où ils se déplacent, est une citation du Théâtre du Globe, si remarquablement rond, que dirigeait Shakespeare himself. Voilà qui nous promet du grand spectacle. Du 10 janvier au 15 février au TNP
© Christian Ganet
spectacles vivants
Mort d’un commis voyageur par Claudia Stavisky Par Etienne Faye
Claudia Stavisky monte Mort d’un commis voyageur, d’Arthur Miller, et c’est un énorme plaisir de théâtre. Quand les écrivains français sont souvent plus à l’aise dans des milieux bourgeois, on le sait, les Américains aiment les classes populaires, ou moyennes, souvent des hommes seuls, confrontés à leurs insuffisances, brûlants de désirs inassouvis, qui se heurtent à de froides machinations, qu’on décrit dans une geôle, un cloaque, un motel, ou une suburb aux pelouses pelées. Un homme âgé de 63 ans, sur le point de payer la dernière traite de sa maison, se bat pour ramener assez de dollars pour assumer les frais de son foyer. Willy Loman vit avec sa femme, Linda, tandis que leurs deux enfants sont partis. Il est commis voyageur, sans salaire fixe depuis trois ans, ce qui l’oblige à travailler 10 à 12 heures par jour. Il est particulièrement éreinté. Il a de fréquents accidents de voiture, et il est parfois pris de crises de démence où il rejoue des échanges et des événements marquants de sa vie avec Biff, l’aîné de ses fils, du temps où celui-ci lui semblait promis aux plus belles destinées. Ce soir-là, les garçons sont rentrés à la maison, ce sont des retrouvailles. Mais Biff, qui a déjà 34 ans, est en échec, du moins au regard des critères de la classe moyenne. Biff, sur lequel Willy fondait toute son espérance, n’est rien devenu. C’est que pour lui le rêve américain s’est brisé tôt, sur une réalité bien moche et qui nous sera révélée. Depuis, il ne peut plus mentir : “Je suis un bon à rien.” Un des enjeux de la mise en scène de Mort d’un commis voyageur était sans doute de fluidifier le récit, les transitions entre les mondes de Willy : celui de la réalité de ses difficultés financières, celui de ses discussions avec Ben, son frère
décédé et modèle de réussite, et le monde passé de la jeunesse de Biff où le père se sent jouer le rôle d’un guide, éperdu d’admiration. Et, sans effet grandiloquent ni ostentation, les transitions imaginées par Claudia Stavisky sont magiques, et pourtant naturelles, parfois fort belles. Aidées, sans doute, par le jeu de François Marthouret, qui tient sans faiblesse le rôle omniprésent de Willy, tout en violence des sentiments, en tension, comme l’exigent souvent les pièces américaines. Les éléments de décor apparaissent et disparaissent en glissant devant nous, avec un système de poulies, selon les besoins de la narration. Dans une esthétique dépouillée, la maison, schématique, semble chimérique, pleine de vides, comme si elle n’avait de consistance que dans l’esprit malade de Willy. Enfin, les rapports humains, contaminés par le rêve, manquent cruellement d’amour, de gestes et de mots d’amour, comme s’ils étaient réglés par la société marchande. Le jeune fils, au nom terrifiant de Happy, a d’ailleurs pris le pli, cultivant pour sa famille et pour les femmes la légende de son amitié avec le chef de service et son imminent avancement. Mais surtout, quand Howard, le jeune patron de Willy, le licencie, il représente le fils idéal, le Biff de son rêve, alors que c’est un implacable salaud. Et c’est le Biff raté, en le prenant dans ses bras, qui sait en revanche lui rendre un peu de joie au moment de mourir. Certains spectateurs se surprennent à pleurer. C’est que le théâtre, ce soir-là, leur parlait d’eux-mêmes. Théâtre des Célestins du 10 au 22 janvier Théâtre du Vellein (Villefontaine) du 27 au 29 janvier Espace des Arts (Chalon-sur-Saône) le 21 mars
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spectacles vivants © David Anemian
Essai
Clive Hamilton
« Le plus gros pollueur du monde vous dit au revoir » George W. Bush en 2008 lors du G8
Ainsi soit-il pour cette chronique. Du lourd, du très lourd avec l’essai de Clive Hamilton Les apprentis sorciers du climat : Raisons et déraisons de la géo-ingénierie (Antropocène/Seuil). Ou comment une poignée d’êtres humains sans foi ni loi veulent jouer avec notre planète, modifier la stratosphère, les océans, les nuages par le biais de la géo-ingénierie, je vous le disais ainsi soit-il. L’impression que peut faire ce genre de lecture est indéniablement pas très bonne pour le moral. Pour la morale non plus d’ailleurs car le contenu du livre est à l’image du titre Les apprentis sorciers du climat : Raisons et déraisons de la géoingénierie un livre important car il résume tout ce qui pousse à un catastrophisme raisonné. En 280 pages l’auteur annonce ce qui pourrait arriver à la terre d’ici la fin du siècle. L’espoir, on l’attend tous, et pourtant nous avons du mal à croire ce que l’on sait sur les changements climatiques. Aujourd’hui nous sommes dans la pire des trajectoires que les scientifiques donnaient il y a dix ans. Alarmiste, surement pas Clive Hamilton, (essayiste, philosophe) met en avant la perte de la bio diversité qui s’accélère et l’irresponsabilité qui est de mise chez ceux qui nous gouvernent. Entre un système économique néo-libéral et une impression déresponsabilisante des habitants, les gens n’ont que peu d’espoir de (voir) vouloir changer les choses. Il y a un déficit de l’information, et attendre un miracle technologique qui pourrait nous sauver et régler le problème pourrait sembler le plus facile.
12 / Janvier 2014 / N°199 /
Là arrive les promoteurs de la géo-ingénierie : Bill Gates et Richard Branson entourés d’une grosse poignée d’industriels issus de la pétrochimie « le Canadien N. Murrau Edwards, magnat du pétrole qui a fait fortune dans l’exploitation des sables bitumeux, la pire source de combustibles fossiles d’un point de vue environnemental », de financiers et une belle brochette de chercheurs forment un lobby qui proposent des manipulations les plus folles pour sauver la planète sans revoir nos modes de consommations (énergies fossiles...) tel que créer « un filtre solaire qui consiste à voiler le globe d’un brouillard de pollution au souffre » ou bien « l’idée de pulvériser de minuscules particules d’aérosols dans la stratosphère », ou encore « modifier les cirrus qui sont de longs nuages qui se forment à une altitude de 6 kms », autre projet « ajouter de la chaux dans les océans pour transférer le carbone de l’atmosphère vers les océans ». Les délires sont d’une ambition folle. C’est simplement consternant. Par la géo-ingénierie une poignée d’individus très sérieux et assez fous ont la tentation désespérée de croire que des progrès techniques pourraient compenser les conséquences atroces de la technique d’avant, à seule fin de sauver la terre, sans évidemment en connaître les vraies conséquences sur l’environnement, et on l’imagine sans mauvais esprit d’une rentabilité financière incroyable. Aux Etats-Unis la culture du déni par rapport au climat est omniprésente dans une partie de la population « Ainsi, les conservateurs liés au mouvement Tea Party ont lancé de vigoureuses campagnes contre les transports publics, l’énergie solaire, les pistes cyclables ou les compteurs intelligents. Ils affirment que les initiatives locales de protection de l’environnement font partie d’un complot contre le mode de vie américain ». No comment. Nous allons de toute façon vers une catastrophe généralisée, écologique, avec une bio-diversité qui aura été trop malmenée, nous avons pris trente ans de retard et ces trente années sont irécupérables. Reste la stupeur : il va falloir organiser les migrations humaines car certaines parties du monde seront inondées et inhabitables. La guerre est ouverte, la banquise fond rapidement et les enjeux géopolitiques de l’Arctique occupent les pays tels la Russie, le Canada, la Norvège et l’Arctique est en train de devenir la nouvelle zone militarisée de la planète, sous-marins nucléaires américains et russes, l’armée canadienne sillonne par mer et par les airs le territoire, la Norvège a fait de la région sa priorité militaire. Les enjeux sont énormes. le livre finit sur cette phrase à méditer « Dans les décennies à venir, nous verrons si la tentative de modification délibérée du climat est une noble audace ou une folie désastreuse, si Prométhée exulte ou si Sotéria pleure... »
Les tartufferies de Laurent Vercelletto
Tartuffe 2012 Par Etienne Faye
Le Tartuffe, c'est une comédie, forcément, si l'on se souvient de cette réplique immortelle, que le personnage pudibond imaginé par Molière donne à Dorine, la servante : « Couvrez ce sein que je ne saurais voir ». Et l'on sourit de voir le dévot embarrassé, sa fausseté mise en évidence par son désir qu'aucun mouchoir ne saurait tout à fait voiler. Seulement, il faut se rappeler que le Tartuffe fut prohibé pendant cinq ans, et qu'il existât une première version du chef-d’œuvre, probablement plus subversive que celle que nous connaissons, et surtout amputée de ce bien curieux cinquième acte, où tout se résout comme par miracle, et sous le patronage d'un « prince (…) que ne peut tromper tout l'art des imposteurs ». Laurent Vercelletto s'est donc donné toute liberté pour donner à son Tartuffe 2012 une autre dimension car le thème de la pièce, pour lui, c'est d'abord l'extrémisme religieux, qui s'impose à la famille, conforte la toute puissance masculine, viole les intimités et les corps jusqu'à forcer une
jeune femme au mariage. Le metteur en scène du LucaThéâtre n'omet pas de mêler les religions par de fréquentes citations musicales, des projections au sol, des symboles interdits à l'école, et tandis que l'alexandrin continue de sonner si magnifiquement à nos oreilles, le parallèle entre le XVIIe siècle et le nôtre est terrifiant. L'idée est bien, comme l'adjonction de la date de 2012 l'indique, de nous proposer un Tartuffe contemporain, et d'abord grâce à la mise en scène. La scénographie, simple et belle, est un carré de jeu figurant la maison d'Orgon (l'autre barbu, celui qui est sincère, le plus obtus, in fine), où les comédiens tels Christine Brotons et Philippe Vincenot avaient emportés l'enthousiasme des spectateurs, tous âges confondus, lors de la création. Du 28 au 31 janvier au Centre Culturel Communal Charlie Chaplin de Vaulx-en-Velin 12 et 13 février au Dôme d'Alberville 21 février à l'Espace Louise Labé de Saint-Symphorien-d’Ozon 28 février au Théâtre Jean Marais de Saint-Fons
9 petites filles Par Etienne Faye
9 petites filles, mais qui ne sont forcément petites, et d'ailleurs pas toujours des filles non plus, c'est la pièce assez folle que nous propose Philippe Labaume au Nouveau Théâtre du Huitième. Le metteur en scène tient l'occasion de mettre en avant un texte de Sandrine Roche, dont il défend l'écriture depuis 2007. Lorsque 9 petites filles a reçu le prix des Journées de Lyon des auteurs de théâtre, il a voulu la tester avec les compagnons du GEIQ (Groupement d'Employeur pour l'Insertion et la Qualification) de 2012 que je me réjouis de retrouver.
Après avoir eu le plaisir de jouer cette partition rapide, qui permet un travail d'improvisation important, la troupe a voulu aller au bout de cette création. Les petites filles jouent chacune des saynètes, chantent, dansent, se répondent au tac au tac, du « pur théâtre » nous promet-on. Elles s'intéressent aux affaires de la vie, le sexe, l'argent, l'amour et même au genre... questionnement très contemporain, s'il en est. Du 16 au 19 janvier au NTH8
Le TNG pour tous Par Etienne Faye
Lorsqu’il est nommé, en 2004, à la tête du Théâtre des jeunes années, Nino D’Introna assume tout le passé de l’institution, mais il veut aussi se tourner vers l’avenir et marque le changement en le rebaptisant Théâtre Nouvelle Génération. Le Centre dramatique national, qui s’affichait « réservé au jeune public », est devenu, sous sa houlette, « intergénérationnel ». Et c’est bien dans l’esprit dynamique de ce nouveau nom qu’il a voulu créer, avec Annick Bajart, le festival Ré-Génération, rendez-vous annuel avec la jeune création tout public. Remarquable, aussi, l’ambition de présenter des artistes d’horizons divers et œuvrant dans des genres variés, tels les Italiens de la Compagnia Rodisio, deux comédiens jouant un couple de vieux dans le décor minimal et coloré de leur Ode alla vita, les Espagnols du Maduixa Teatre, annonçant, avec Consonant, une forme entre le théâtre, le théâtre d’ombres et les arts plastiques… Et parmi les Rhône-Alpins, je note par exemple la création de musique et danse contemporaines intitulée Replay, avec les deux percussionnistes virtuoses et une danseuse de Rythm’A Corps, ou la mise en scène intrigante de Vertiges – à partir de Kant et de Si seulement, deux pièces de Jon Fosse – par Michel Loos, de la compagnie Combats Absurdes…
pris dans leur ensemble, ces spectacles peuvent esquisser une nouvelle esthétique. Par exemple, la pluridisciplinarité (en effet remarquable cette année, N.D.L.R.), entre l’utilisation de la vidéo, de la marionnette, de la musique contemporaine, n’est en rien une de nos exigences : c’est une volonté des artistes, une vraie tendance dans le théâtre estampillé « jeune public ». La modernité affichée de certaines mises en scène n’est pas toujours de bon aloi dans les spectacles « jeune public ». C’est pourtant une de vos volontés ? C’est à l’image de ce que je fais au TNG. J’ai du respect pour l’adulte que je suis, donc je ne fais pas de spectacle pour enfants. J’insiste : des salles pleines d’adultes, cela me plaît beaucoup. L’idéal étant qu’ils viennent accompagnés de leurs enfants, et non pas pour leurs enfants. Ici, nous ne parlons pas aux enfants comme à des demeurés et c’est pourquoi notre langage est tout simplement notre langage d’adultes, nous n’infantilisons pas. L’enfant cherche à se positionner par rapport aux adultes : donc inutile de « faire l’enfant », nous n’en serions que moins intéressants. Dans Éverest, votre dernière création, l’ambiance était assez noire, voire angoissante, non ?
Entretien avec Nino D’Introna. C’est la huitième édition de Ré-Génération. Qu’est-ce qui a motivé la création de ce festival ? Au départ, il y a ce mot : « génération ». Au TNG, nous voulons favoriser l’émergence des idées, la création de nouveaux spectacles et le mélange des âges. Je n’aime pas la poussière qui pourrait vouloir dire qu’on n’aime pas l’objet qui en est recouvert. Avec Annick Bajart, une personne qui avance, toujours à la recherche du « frais », nous voulions donner place à cette espèce d’énergie, à ce mouvement qui parcourt forcément nombre de jeunes compagnies d’artistes. Parfois, leur travail n’est pas encore tout à fait abouti, mais on y sent le parfum de la nouveauté, et c’est passionnant ! Du reste, il nous semble que,
L’auteur, Stéphane Jaubertie, est allé puiser au plus noir de son âme pour écrire ce spectacle, et c’est vrai qu’un garçon qui mange son père, par exemple, cela ne peut pas être anodin. Je crois néanmoins qu’il y avait un équilibre, dans cette pièce, avec sa dimension clownesque. Nous ne devons pas nous substituer à l’enfant, nous ne ferions que le fantasmer. En revanche, si nous nous comportons en adultes honnêtes, je crois que nous pouvons lui faire confiance : il n’est pas univoque, il fera les bons choix. Vous savez, il n’y a rien de plus beau que d’emmener un enfant voir un Picasso, et on n’aurait pas idée de l’emmener voir une croûte. Le théâtre n’est pas un art mineur, pas une rigolade ; les enfants méritent des œuvres d’art. Du 11 au 17 janvier au Théâtre Nouvelle Génération.
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© Stefano Vaja
VIIIe Festival Ré-Génération
spectacles vivants
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JUIN
2014 © Bruno Pin
2014
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OCTOBRE
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DÉCEMBRE
Chaque mois deux artistes choisissent un mot afin de vous livrer un texte court et une image autour de ce choix. © Christian Ganet
mot[s] Abou Lagraa danseur et chorégraphe
LE PONT «Sur le Pont on y danse on y danse...»
Depuis ma tendre enfance, j’ai toujours eu les pieds bien ancrés sur le sol ardéchois où je suis né, mais mon regard a toujours été très attentif au pays de mes ancêtres, l’Algérie. Ainsi, grâce à la richesse de ma double culture, mon inconscient a construit, un pont imaginaire me reliant à mes deux cultures. Depuis dix-sept ans, je sillonne le monde entier avec ma compagnie de danse La Baraka et j’ai pu à travers ma gestuelle concevoir un langage ouvert aux différentes formes d’expression. En cela, ma danse est résolument contemporaine mais les mots pour la « dire » sont aussi bien hip-hop que néoclassique. Tout au long de mon parcours, je n’ai jamais cessé de nourrir et de développer des pont d’échanges culturels avec différents pays comme, la Tunisie, l’Italie, la république Tchèque, sans oublier l’Algérie avec l’expérience inédite du Pont Culturel Méditerranéen. Depuis 2010 j’ai pu réaliser le rêve fou de réunir, au travers d’un projet de formation et de création pour de jeunes danseurs algériens, les deux rives de la Méditerranée. Cette expérience a fait de moi une « clef du possible » et m’a permis de trouver ma véritable identité d’homme et d’artiste. Ce pont franco-algérien, est devenu, dans mon parcours, une vraie profession de foi. Il m’a permis le recul nécessaire pour comprendre que j avais choisi inconsciemment la danse pour mettre en scène et humaniser la richesse de la rencontre humaine. Cette profession de foi ne cesse de me rappeler que la culture est l’un des vecteurs les plus importants au dialogue, à la transmission du savoir entre les pays du monde. C’est fort de cette expérience qu’aujourd'hui, à 43 ans, je peux dire haut et fort que la question de mon intégration au sein de la société française, ne se pose plus... je suis sur le Pont...
© Samuel Ribeyron
Quatuor Debussy
Univers… l’Afrique – Maison de la Danse, 24 au 26 janvier
FUGUES ET REQUIEM [Bach - Beethoven - Mozart - Pécou - Piazzolla] SAMEDI 11 JANVIER - 20h30 Eglise St Romain - MIRIBEL 01
Amélie-les-crayons est auteure, compositrice et interprète
© Bernard Benant
L’ENTHOUSIASME Je crois en l’homme. En des dieux peut-être, le divin dans chaque homme, surtout. Je crois en notre capacité à la résilience, au sauvetage, au pardon. Je crois en notre envie de fabriquer ensemble, de partager, d’échanger. Je crois en notre ingéniosité, notre empathie, notre besoin d’aimer, notre générosité dans l’amour et l’action : notre engagement. Je crois en cette part de nous qui choisit la lumière plutôt que l’ombre, en toute conscience ou instinctivement. Je crois que les petites choses font les grandes. Je crois à la part de joie qu’il y a dans chacun de nos pas.
04 78 55 80 20 Billetterie.ocm@free.fr / http://allegro.free.fr
J’ai beaucoup moins peur de tout le reste, même si je n’oublie rien de ce qui se passe et nous attend. Et je nous souhaite une enthousiasmante année 2014 ! Nouvel album Méli-Mélo, uniquement www.neomme.com ou www.amelielescrayons.com En concert. Nuits Givrées, L’Aqueduc de Dardilly, 31 janvier / Espace Louise Labbé, St-Symphorien-d’Ozon, 18 avril / Centre Culturel Aragon Oyonnax, 16 mai
16 / Janvier 2014 / N°199 /
cinéma
Plus beau le court : un instant avec Coline d’Inca Par Olivier Saison
Le festival du court métrage francophone, Un Poing c’est court, accueille dans le jury de sa 14e édition une comédienne habituée à un format court beaucoup plus populaire… « Plus belle la vie a été une très bonne école mais on ne peut pas rester à l’école toute la vie. » Dont acte. Coline d’Inca, qui fut pendant cinq ans « Sybille Cassagne » dans la série de France 3 (à coup d’épisodes de 25 minutes top chrono), passera des bancs d’élève à la chaise du prof en participant au jury du festival Un poing c’est court, festival vaudais déjà long de quatorze éditions. Même si, modeste, elle confie ne se sentir « pas très bien placée » pour jouer les arbitres devant la grosse vingtaine de courts métrages francophones en compétition. À 22 ans, cette Croix-roussienne confesse une cinéphilie encore verte et une légère préférence pour les DVD et le cocooning – elle trouve les places de cinéma « trop chères » et trop « inégalitaires ». Et pourtant. Quatre ans auparavant, la jeune comédienne, qui était tout dernièrement sur les planches avec Gigi, avait déjà joué les jurés d’un festival de courts, « je crois que c’était dans l’Aveyron… ». Et c’est avec passion qu’elle vous raconte par le menu l’histoire de son dernier court-métrage coup de cœur – dont elle a également oublié le nom – regardé avec sa mère lors de la Nuit des lutins à Lyon : « C’était un road movie dans lequel un jeune gars va chercher de l’argent dans une station essence, mais tourné comme une chasse au trésor, j’avais trouvé ça vraiment génial ! ».
En revanche, elle se souvient parfaitement du court métrage dans lequel elle vient de jouer – Retrouvailles de Nicky Naudet. Des retrouvailles avec le court, aussi, puisque Coline d’Inca avait déjà joué dans Lili il y a sept ans, un projet d’étude. Lili, Gigi, juste quatre lettres… Mais qu’est-ce qui lui plaît tant, dans le court ? « On peut se permettre d’être plus réaliste… Alors que dans le long le metteur en scène a besoin de fabriquer une certaine magie pour maintenir l’attention du spectateur, le court peut se contenter de ne prendre qu’un instant dans une vie ». Ce qui ne l’empêche pas d’apprécier les longs métrages de Ken Loach ou de Henri-Georges Clouzot. Finalement, c’est bien vers le réalisme qu’elle incline, Coline, davantage que vers le fantastique. Et elle trouve que, précisément, le format sied bien à un cinéma plus engagé, et à l’image « coup de poing » du festival vaudais, dont elle affectionne à la fois l’éclectisme – fictions, documentaires, animation - et la « super mentalité ». Entre deuil d’un nourrisson (La Terre ou le ciel de la Belge Françoise Dupal), errance nocturne d’une call-girl (Bal de nuit de Clémence Madeleine-Perdrillat) ou règlement de compte à un enterrement (Le doigt d’honneur de la Suissesse Malika Pellicioli), les confidences d’un jeune prostituée malienne, ou encore d’un authentique bourreau égyptien, la comédienne aura l’embarras du choix. « Nous vivons une période très étrange et je trouve que le court a toute sa place dans une société en crise… » commence-t-elle. Mais Coline d’Inca n’en dira pas plus. La batterie de son portable vient de rendre l’âme. du 17 au 25 janvier, Cinéma les Amphis à Vaulx-en-Velin
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MUSIQUE
6 Continent, dix ans © Éric Vallet
e
Par Anne Huguet
Depuis 2004, le 6e Continent défend bec et ongles les cultures du monde et les mixités culturelles. Ce lieu unique de la Guillotière, pour la petite histoire une ancienne fromagerie de 450 m² reconvertie en friche culturelle, est à la fois un lieu de rencontres, de débats et d’échanges ancré dans son quartier, une salle de concerts, dédiée aux musiques du monde, en plein centre ville, mais encore un laboratoire de création et un lieu -labellisé, svp, Scène Découverte- d’accompagnement d’artistes avec résidences et aides à la professionnalisation à la clé. Ainsi Le Bonk vient de s’offrir en décembre son 1er album Prototype après un an de résidence artistique au 6e Continent. Le lieu est fier de fêter ses 10 ans de (sur)vie et de militantisme fou, même si Med son directeur, avoue être en pleine réflexion : « Comment maintenir ce lieu ouvert ? Avec des financements publics qui ne sont pas à la hauteur de la réalité ? Avec des demandes des partenaires et des
Le Bonk
publics qui sont en train de dépasser nos petits moyens humains ? » L’équipe entend en tout cas mettre le paquet pour cet anniversaire un peu spécial. Seront ainsi de la partie une 15aine d’artistes tous passés par la case 6e Continent et tous fiers d’y revenir, dont Le Bonk, Dialek ou Forro de Rebecca. Ambiance métissée garantie et musiques
voyageuses au programme ! Ainsi le collectif Kumbia Boruka débarque avec ses percussions et son accordéon pour une virée au pays de la cumbia et du Vallenato colombien avec ses reprises de quelques classiques des plus grands cumbieros. Autre flânerie musicale avec Gadjo Loco, soit cinq cowboys aux airs manouches qui puisent leurs inspirations dans la musique traditionnelle irlandaise, le bluegrass, jazz manouche et parfois même le funk. Quant au chansonnier lyonnais Reno Bistan, fidèle parmi les fidèles du 6e Continent, il sera aussi là, fier de son 1er opus (Bilan et Perspectives) où il dresse des portraits tendres et drôles d’un quotidien pas toujours rose. Chut, on nous promet aussi en primeur quelques noms de la prochaine édition du Festival 6e Continent (5 au 8 juin) qui est la « face visible du travail réalisé toute l’année ». Bon anniversaire ! 31 janvier et 1er février au 6e Continent
© Ghislain Mirat
© John Londono
CONCERTS EXPRESS
CHRONIQUE Par Anne Huguet
■ Bizarre ! Party du côté du Transbordeur ou le nouveau rendez-vous « annualisable » de la bande à Bizarre ! qui délocalise, après l’AmphiOpéra, cette fois-ci à Villeurbanne et propose à trois artistes, accompagnés sur la saison 12.13, de jouer in-situ dans l’une des salles de concerts phare de la capitale des Gaules. A l’affiche du hip-hop et de l’électro avec, entre autres, le come-back de la djette et productrice lyonnaise Flore qu’on avait un peu perdue de vue depuis Raw en 2010, carrière internationale oblige. La revoilà investie dans la conception de son 2e album toujours à la recherche d’une musique plus « animale, sexy et sauvage » où elle mélange sans concession bass music 100% UK, nu-break, envolées psychédéliques et énergie tribale. Elle vient de travailler avec le collectif WSK à la réalisation de son futur live (avec images et mapping vidéo) intitulé Ritual, à découvrir tout frais tout chaud au Transbordeur. A ses côtés c’est le rappeur et MC bilingue Andy Kayes, un pied à Lyon, l’autre à Londres, qui viendra montrer tout son talent : la finesse de la technique, la maîtrise du rythme, les instrus de haute volée et le flow ciselé. Cet ex-Manimal, son nom de code chez Gourmets, fignole avec son complice et acolyte de scène, Bonetrips, un 2e opus exigeant et sincère, a priori toujours loin des modes actuelles et du bling-bling habituel. Raistlin, 3e larron en lice, tout à la fois MC, beatmaker, rimeur ou claviériste, est, lui, adepte d’un hip-hop très 90’s, entre Boom Bap et abstract. 16 janvier au Transbordeur
Flore
■ Avis aux amateurs du genre. Le duo Tambour Battant débarque au Transbordeur pour un set obligatoirement bouillant et ultra-efficace. Ben et Chico, les deux batteurs de formation d’Avignon, ont réussi le casse du siècle avec leurs sonorités azimutées, sorte de synthèse parfaite de toutes leurs influences et aspirations musicales. En bref, Tambour Battant « vient du hip-hop, se drogue à l'électro, prodigue des bains d'électrolyse dubstep et signe des ordonnances ghetto tech à la pelle », le tout distillé furieusement et généreusement par des gars en surchauffe permanente qui suent sang et eau sur leurs contrôleurs, effets et autres batteries électroniques pour vous en mettre plein les oreilles. Transbordeur, 25 janvier/ Cave à Musique, 1er février
■ On les avait laissés en chemin après New Grids (2008), épatant 1er album de folk rustique. Depuis les Coming Soon ont continué leur bonhomme de route, expérimentant loin des modes, toujours sans complexe et sans prétention. Ont ainsi tâté du théâtre avec Dark Spring (2012) et de belles envolées post-rock teintées d’electronica. 2013, Coming Soon est dorénavant 100% masculin et peaufine sous la houlette de Scott Colburn (Animal Collective, Arcade Fire) une nouvelle collection de titres exubérants et euphoriques qui surfent entre « pop psychédélique, science-fiction solaire et kung-fu ésotérique ». Une fête sans fin, annoncent-ils. Au Sonic, 25 janvier
■ Rencontre du 3e type avec Vigon, Bamy et Jay réunis pour le meilleur, on l’espère, sous la vaste bannière des musiques noires. Les Soul Men reprennent, dans la grande tradition soul et Motown, quelques mémorables standards américains : Soul Man, Sittin’ On The Dock Of The Bay, I’ll Be There. C’est suave et plein de bons sentiments avec ce qu’il faut de cuivres, de chœurs et de groove lascif. Pour la petite histoire, Vigon, chanteur à la voix rocailleuse de rythm’n’blues marocain, avait fait, en 1967, une excellente reprise de Harlem Shuffle avant même les Stones ! Après un 1er album Les Soul Men, disque platine svp, opération scène pour ces revenants toujours affutés. Dans le cadre du Printemps de Pérouges. Salle 3000 Cité Internationale, 30 janvier
18 / Janvier 2014 / N°199 /
Da Silva
■ Da Silva signe un 5e opus Villa Rosa plus léger et pop où il cesse de s’apitoyer sur lui-même. Cet ex-trublion punk et tatoué traîne sa mélancolie noire et ses états d’âme lugubres depuis L’Indécision en 2005. Le revoilà un peu plus zen avec des sons synthétiques et des rythmes dansants. Il y a moins de guitares, c’est moins frontal et plus musical même si la voix éraillée est toujours là entre chanter-parler. Reste évidemment la plume acérée du chanteur français qui avoue avoir eu envie « d’un album transgenre ». Marché Gare, 30 janvier
■ Dernière minute. Ceux là sont restés dans l’ombre tutélaire des gros mastodontes anglo-saxons des 90’s, brit pop et autres (The Jesus And Mary Chain, My Blood Valentine, Oasis..). The Telescopes, emmené par son chanteur au cerveau cramé Stephen Lawries, peut se targuer d’avoir laissé à la postérité quelques pépites injustement méconnues (The Perfect Needle ou 7th#Disaster). Quantité d’effets fuzz, du larsen, des guitares sales, des arrangements psychédéliques, des ambiances saturées et un goût immodéré pour l’expérimentation poussée dans ses derniers retranchements (parfois extrêmes) sont la signature de cet obscur combo novateur qui inventa presque le shoegazing avant l’heure. Leur 1er album noiserock Taste est toujours aussi magistral. Avec The Healthy Boys et des membres de Zero… Sonic, 31 janvier
The Telescopes
© Atelier Demoulin
À l’improviste
CHRONIQUE Par David Gilbaud
L’Ensemble Boréades pourrait aussi bien surprendre les amateurs de Hændel et de Hendrix, deux H pour sortir des cadres et faire voler en éclats les idées reçues. Vivaldi sera aussi de la partie, alors ne boudons pas notre plaisir car Pierre-Alain Four et sa belle équipe armé de viole de gambe, de théorbe, de guitare et des voix de Claudine Charnay et de Majdouline Zerari aiment les mélanges « trouver des ponts, des équivalences, lancer des passerelles improbables et finalement constater qu’on peut avancer sur ces chemins, qu’il n’y a pas de répertoire interdit. » dixit Pierre-Alain Four. Prêt pour Hendrix à la viole de gambe ou Hændel à la guitare « faire sonner le théorbe comme une guitare électrique c’est possible, distordre les sons de la viole au point qu’on croit entendre Jimi, c’est plus que possible, ça marche ». Pour cela il fallait un texte et la chose la plus naturelle était de prendre le texte que Lydie Salvayre avait publié en septembre 2011, Hymne, récit à la gloire du musicien. Ensemble Boréades/Lydie Salvaire/Hændel/Vivaldi/Hendrix ça donne Hendrix XVIIe Ciel. Théâtre des Marronniers du 9 au 27 janvier.
Un concert de musique française interprété par trois figures emblématiques de la musique classique d’aujourd’hui. Trois femmes pour donner vie à quatre beaux instants de musique de chambre, Marianne Piketty, violon ouvrira la soirée avec la Sonate pour violon et piano de Francis Poulenc. Musicienne de talent qui se joue des étiquettes notamment avec l’accordéoniste Pascal Contet avec lequel elle forme un duo alliant l’improvisation et créations. Une envie de partager la musique, allant au devant des publics pour briser les barrières, jouant à Trappes dans les quartiers, dans un foyer de jeunes filles mères ou encore à Emmaüs. Marianne Piketty Le piano est tenu par Dana Ciocarlie, pour elle c’est Schumann le grand amour pianistique (Elle s'est lancée le défi de donner en concert à partir de 2010, en France et à l'étranger, d'enregistrer et de filmer toute l'œuvre pour piano seul de Robert Schumann.) mais elle joue aussi bien les œuvres de Ligeti, de Lekeu et ce concert fera d’elle la grande complice de cette soirée. L’autre grande musicienne de la soirée est la violoncelliste Ophélie Gaillard qui connaît Bach et Britten sur le bout des doigts, jouant aussi les contemporains tels que Berio, Crumb, Lutoslavsky, nous pourront écouter sa précision et sa souplesse d’interprétation dans les œuvres de Ravel, Chausson et Debussy.
© Stofleth
22 janvier, Salle Rameau
Quelques jours plus tard c’est un autre grand moment pour la musique de chambre puisque l’Opéra de Lyon nous offre une soirée Russe, un beau triptyque : Prokofiev, Chostakovitch et Tchaïkovski. Quintette et duos au programme avec des musiciens maison, Kazimierz Olechowski et Frédéric Bardon violons, Ewa Miecznikowska violoncelle que nous retrouveront en avril pour un concert Barber/Britten. Daniel Formentelli alto et Jean-Michel Bertelli clarinette solo de l’opéra. Petit coup de cœur : le Quintette pour piano et cordes en sol mineur op. 57, œuvre d’un musicien trentenaire qui fait ses premiers pas pour cette forme de composition, après un Quatuor n°1 aussi bref (15 minutes) que réussi, Chostakovitch compose un quintette qui fusionne ses influences de Bach à la musique Russe, une musique riche en couleurs et en émotion. 26 janvier, Opéra de Lyon
« Bon Dieu. La voilà terminée cette pauvre petite messe. Est-ce bien de la musique sacrée que je viens de faire ou de la sacrée musique ? ... Sois donc béni et accorde moi le Paradis. » ainsi s’exprime Gioachino Rossini en 1863 concernant la Petite messe solennelle qu’il vient de composer. Le compositeur a 71 ans et il écrit une œuvre à part puisqu’elle réunit le Bel Canto italien et la spiritualité italienne. Composée à l’origine pour 12 voix, l’autre point fort de cette pièce est l’instrumentation, puisque piano et harmonium se mêlent, Jean-Philippe Dubor et son ensemble 7e Sens s’offriront quelques libertés notamment au niveau de l’harmonium remplacé par un accordéon. Le 23 janvier au Grand Temple Protestant
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MUSIQUE
Branchement du Jack Par Anne Huguet
© Bruno Pin
On joue encore aux cubes de couleur du côté de Bron ! Preuve à l’appui avec l’ouverture en fanfare le 13 décembre à 13h13 du Jack Jack, nouveau lieu dédié, on se doute avec un nom pareil, aux musiques actuelles et amplifiées. La MJC Louis-Aragon – et la Ville de Bron qui a financé tout ça à la hauteur de quelque 2,7 millions d’euros – est fière de dévoiler cette extension de 700 m², soit un ensemble de cubes de couleurs (jaune, rouge, orange) accolés avec en son cœur un monolithe noir (ladite salle), le tout relié au bâtiment des années 70 de la MJC par une chouette galerie vitrée sur pilotis. On l’avoue : le Jack Jack en jette ! A l’intérieur, cela sent encore le neuf, les derniers raccords peinture sont à peine finis, on teste le matériel, on s’affaire à ranger et installer, là les 3 box de répétition, plus ou moins grands et entièrement équipés en matériel (batterie, claviers, amplis, sono), ici la salle de MAO équipée de 9 postes multimédia. Entrons dans l’antre de la bête proprement dit, là encore un cube sur mesure entièrement modulable avec tribunes télescopiques (et rétractables !) qui peut passer de 170 places assises à 430 debout et même un studio d’enregistrement pouvant faire office, si besoin, de régie. L’acoustique de la salle a été particulièrement étudiée avec la technique de construction « boîte dans la boîte » afin de générer le moins de nuisances à l’extérieur mais aussi d’offrir les meilleures qualités acoustiques intérieures.
Tout est en ordre de marche et le Jack Jack lancera la machine dès janvier avec au minimum, une date par semaine, voire deux à l’occasion. Au programme beaucoup de concerts (80%) et du théâtre. Esthétiques revendiquées ? Rock, électro, hip-hop, jazz et dérivés. Autre orientation forte, la volonté d’accompagner et soutenir les jeunes musiciens et formations du territoire, on y verra donc pas mal de groupes émergents plutôt régionaux. Dont Apple Jelly, dorénavant trio, qui vient de sortir un dernier EP Control, rugueux et sans concession, entre dance-rock et disco-punk contestataire. A (re)découvrir aussi l’homme-orchestre They Call Me Rico : le Québécoislyonnais Frédéric Pellerin alias Rico continue sur sa lancée avec un « raw-blues » brut et intense, son 2e album This Kind of Life est conçu comme un road-movie musical, entre Grand Canyon aride et sud grasseyant bluesy. Mais encore du trip-hop avec Over the Snare ou encore les ambiances soul et groovy de Hawa. Seul bémol, peut-être, le prix des places (12€pour de l’émergence locale c’est un peu cher) qui s’explique aussi par l’absence totale de financement puisqu’en résumé il n’y a pas réellement de budget de programmation, ni subvention prévue à cet effet et que la MJC compte sur une location assidue de ses box (8€/5€ l’heure) pour financer sa programmation…. Entrez donc dans le Jack Jack dès le 10 janvier avec Over The Snare !
Play&Plug Par Anne Huguet
Et de 4 pour le festival lyonnais Play&Plug que concoctent toujours avec passion les activistes du Kraspek Myzik. Nouvelle équipe de programmation (Laura Tempo et Franck Guscioni) et nouvel élan artistique pour cette édition 2014 toujours expérimentale quoique, peut-être, moins ambitieuse voire moins excitante (sur le papier en tout cas) que les années précédentes. La faute à un budget plus tendu ? Mais surtout le choix assumé de mettre en avant des artistes locaux (plus de la moitié de la programmation) en privilégiant les frontières sonores plutôt que géographiques. « Nous restons sur une trame folk & rock avec une logique de défrichage local et un rayonnement international au possible de nos conditions budgétaires, résument ses deux programmateurs. C’est un patchwork sonore hors des sentiers battus, entre expérimental et modernisme, entre folk et rock foutraque ». Au fil de la programmation « de belles découvertes comme les Canadiens de Owls By Nature pour la première fois en France, des pointures folk avec Forest Pooky et l’Italien Gypsy Rufina, l'indus trash et hybride de LoGre ou encore les déjantés Ultra Zook ». Sans oublier la pop cascadeuse de Fiedor Dream Dog, le disco-punk régénérant de Joujou ou le néo-folklore de Carton Sonore. Peu de noms connus, on vous prévient, il faudra donc se laisser porter par sa curiosité musicale !
20 / Janvier 2014 / N°199 /
« L'excitant c'est de découvrir des groupes qui incarnent ce qu'ils font, qui expérimentent et qui transmettent des inspirations moins populaires », s’enflamme Laura. Il y aura des sons lo-fi, du DIY, des guitares acoustiques, des musiciens barrés tel le claviériste surnaturel de PoiL (Gwyn Wurst), des barbus, des tatouages, une vraie proximité avec les artistes, de la poésie énervée, du songwriting méticuleux, des ukulélés, des sonorités boisées, des rythmes répétitifs, de la pop, des ambiances folk, du freejazz et j’en passe. Ultra Zook pourrait être la sensation du festival, un projet délirant de « jazz rock tropical déjanté » d’un trio barjo batterie-claviersguitare/basse avec des voix pitchées et des néons sur scène. Du genre qui joue « une musique des îles plus proches de Fukushima que des Caraïbes » peut-on lire sur leur site ! Si vous avez un penchant pour le blues, haro sur la soirée du one-man-band I Am A Band. Ce guitariste contrarié, longtemps bassiste de plusieurs formations dont The Lost Communists, laisse dorénavant libre cours à ses envies blues style Honky Tonk du sud des Etats-Unis. Grosse caisse jouée au pied, guitare véloce, textes ciselés et la voix fragile mais prenante sont les ingrédients réussis de ce projet authentique sous obédience country-rock. Avec en prime Bikini Guns, le duo guitare/contrebasse d’Hystery Call pour un set rock’n’roll sur-mesure à la sauce cajun. Du 9 au 26 janvier au Kraspek Myzik
CHRONIQUE NOMADE
CHRONIQUE Par Bruno Pin
Rencontre de la techno et de la musique stochastique
Metropolis Actuel remix Xavier Garcia et Guy Villerd Arfi/Abeille musique
"Metropolis est né du premier regard que j'ai jeté sur les gratte-ciel de New-York en octobre 1924 " Fritz Lang Crée en janvier 2012 à l'Institut Lumière Là où on ne les attend pas, Xavier Garcia et Guy Villerd, membres historiques de l’ARFI, ont depuis de nombreuses années mis les pattes dans la musique électronique. Si mes souvenirs sont exacts c’est Garcia qui plongea le premier dedans tout jeune par le biais de sa formation musicale. L’acousmatique c’est son domaine, alors évidemment comme tout musicien curieux qui se respecte, il va rapidement voir ce qui se trame sur les possibilités qu’offrent les variations de cette musique électro et les portes encore nombreuses à ouvrir. Donc acte. Les étiquettes volent en éclat, musique techno, électro, acousmatique, contemporaine... qu’importe puisque la musique proposée est un grand écart entre Richie Hawtin (figure majeure de la scène techno) et Iannis Xenakis (pionnier de la musique du 20e siècle), ces deux compositeurs étant la matière première d’Actuel Remix. Les dés sont jetés, pas un soupçon de jazz dans l’histoire. Illustrer une grande œuvre, la belle histoire. Prendre à bras le corps la pièce maîtresse de Fritz Lang, METROPOLIS. Prendre comme fil conducteur le rythme des machines, ce film culte, une appropriation qui se mérite. METROPOLIS le film. METROPOLIS qui fait date (1927) dans l’histoire du cinéma. Un mariage image/son, avec de nombreuses collaborations déjà inscrites dans l’histoire de la bande sonore DU film. Mais voilà Xavier Garcia et Guy Villerd n’ont peur de rien, en musiciens accomplis, du free jazz à la musique électronique, allons-y pour la grande immersion dans l’immense chaudron musical du XXe siècle, avec peut-être en mémoire la musique de Gottfried Huppertz, l’origine. Les deux acolytes sont partis de la version intégrale de 2h30 du film enfin restauré et retrouvant son intégralité pour plancher sur la musique, oubliant j’imagine toutes les autres versions sonores autour du Metropolis de Lang : Jeff Mills, Art Zoyd, Martin Matalon... pour donner libre cours à la création et cette envie d’envoyer promener les petites étiquettes des chapelles musicales. Alors électro ou pas. OUI, et quelle belle réussite ! les petits gars et jeunes filles de la scène techno devraient batifoler avec plaisir dans cette bande-son rythmée. Il faut dire qu’avec les matériaux assemblés pour l’occasion, la boîte à sons devait être pleine de flux et autres fréquences entre le père (Iannis Xenakis) de la musique stochastique (Le terme stochastique se réfère à la théorie des probabilités générant un processus de composition où ces lois mathématiques liées au hasard servent à engendrer des événements musicaux) et le fils prodigue Ritchie Hawtin (musicien parcourant au début de sa carrière la scène acid techno, puis évoluant vers un style résolument plus minimaliste et expérimental). Deux heures vingt de musique, de rythme, de machines, de voix, une fusion des genres assez impressionnante, manque juste une chose, l’image. Pour l’image et le son, une date pour un ciné/concert au Festival Altilive, Yssingeaux le 25 mars. Une autre date le 27 juin au Festival Jazz et Musiques improvisées, Besançon Une création pour Xavier Garcia, Biennale Musique en Scène, concert participatif pour téléphones portables, le 29 mars aux Subsistances
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MUSIQUE
Dangerhouse Skylab un disquaire dans l’espace
Par Olivier Saison
Micro-sillons, micro-niche, maxi pied : Dangerhouse recordstore vient de créer son propre label. Objectif ? Ni Lune, ni thune. Just groove, baby.
« Quand c’est petit, c’est joli » ou « Vivons heureux, vivons cachés » : deux formules qui, si elles ne sortaient pas de la bouche de Bruno Biedermann, pourraient sembler désuètes. Mais qui, parce qu’elles sont émises par ce vénérable disquaire lyonnais indépendant, sonnent tout simplement… punk. Fort de vingt-cinq ans d’activité, d’une réputation sans tache et d’une poignée de singles jadis sortis avec le défunt label garage Make My Day, Mr Dangerhouse s’est propulsé à son tour dans la grande aventure de l’édition musicale. Aussitôt, il relativise : « Dangerhouse Skylab, c’est plus une marque qu’une véritable entité commerciale. Pour toute la logistique, je me fais épauler par l’équipe de Casbah records, basée à Valence, qui s’occupe du suivi de fabrication, de la pochette, des devis et de l’aspect administratif. Moi, je prête mon oreille, mon réseau et le cachet de la boutique. » Et quelque fonds entièrement non-spéculatifs : le but est de parvenir à l’équilibre, et de réinvestir les bénéfices s’il y en a. Raison pour laquelle les deux références déjà sorties sur ce tout nouveau label – les punks australiens Bits of Shit (qui portent très mal leur nom) et les garagistes
Sud-Africains The Future Primitives (qui le portent très bien) – le sont exclusivement en vinyles. Pour la beauté du geste, de l’objet et la joie jubilatoire d’échapper à la mainmise des mastodontes du Net, cantonnés à balancer du CD et du mp3 compressé. Les pauvres. Quatre ou cinq références sont en cours dont, vraisemblablement, le prochain du duo psychédélique perpignanais The Limiñanas, toujours en association avec Casbah. « Le mieux, ce serait de sortir le plus d’albums possible », lâche nonchalamment Bruno Biedermann, qui ne se voit donc ni enterrer ses trésors de pirate dans les plages
froides et glacées d’un compact disc, ni les re-presser par la suite, une fois les 500 copies épuisées. « Après, ce ne sera plus du ressort du Dangerhouse Skylab, mais de labels plus gros. » Une hérésie en ces temps de croissance maintenue en vie artificielle et d’expansionnisme réflexe. Oui : l’on peut être prudent, organisé, déterminé, et croire en la théorie du chaos. « Quand on évolue sur un microsegment », commence-t-il… les lois physiques ne sont pas les mêmes, c’est ça ? « Je n’ai pas perdu de clients à cause de la crise, au contraire, et depuis le début le magasin est en progression constante du fait de la disparition des points de vente… même s’il dégage un peu moins d’argent qu’avant à cause de la hausse des coûts. » Mais que font les gendarmes de la Bourse ? Pourquoi ne pas capitaliser, faire fructifier, faire du gras ? « J’essaie de défendre la personnalité de groupes qui méritent plus de visibilité, mais on a beau vanter le retour en force du vinyle, même si le support a doublé, voire triplé en deux ans, il reste un format mythique, un objet hype. » Il faut s’y résoudre : Bruno Biedermann, 25 ans de bons et loyaux services dans le rock n’roll, tenancier de la Maison du Danger, croit profondément en l’éphémère. Les groupes qu’il soutient aujourd’hui, et qu’il n’a pas forcément envie de continuer à suivre, sont des phénomènes de combustion spontanée, dans une galaxie qui n’a jamais été aussi étoilée. « Grossir, ce serait la fin. Je n’ai pas une âme de chef, de dirigeant. Je n’aime pas rendre des comptes, et je n’aime pas qu’on m’en demande. » Alléluia, et que Dieu lui pardonne.
chroniques sonores
CHRONIQUE Par Bruno Pin
Un disque d’Henry Kaiser pour commencer ces chroniques autour des musiques improvisées, free, électroniques et contemporaines. Requia and other improvisations for guitar solo (Tzadik/Orkhêstra) ne déroge pas à la règle, l’improvisation libre c’est son domaine, alors le guitariste californien nous offre un grand moment de guitare solo et c’est à chaque fois un plaisir des sens renouvelé. Compagnon d’aventure de Fred Frith, David Lindsey, Derek Bailey ou Evan Parker il parcourt la scène musicale avec la discrétion des musiciens explorateurs. Disque hommage, ces Requia (pluriel de requiem) sont pleins de sensibilités et d’émotions, entre acoustique et électrique, les guitares sont simplement comme on les aime, audacieuses, lumineuses et délicates. À placer entre les disques solo de Marc Ribot et ceux de Derek Bailey, du grand art. Une musique exigeante, tendue et inventive, qui offre un mode de circulation des sensations assez infini. Je me souviens comme si c’était... de la première écoute de Buried Secrets de PainKiller, nous sommes en 1992, deuxième album, et un ouragan sonore venait de me traverser. Aujourd’hui après quelques années de silence voici une nouvelle livraison, concert 2004/2005 d’un trio insubmersible déjà mythique et toujours surprenant. Trois titres pleins de cette beauté exacerbée, rugueuse et free qui fait de The Prothecy (Tzadik/Orkhêstra) un nouveau monument à rajouter à l’infernale discographie de John Zorn. Bill Laswell à la basse vertigineuse et l’aérien Yoshida Tatsuya aux drums. Un disque remarquable.
22 / Janvier 2014 / N°199 /
On change d’univers et de label (Aagoo Rds/Orkhêstra) avec Connect_icut, musicien de Vancouver proche de musiciens comme Oneohtrix Point Never, Oval et consorts, du glitch dans la pure tradition de la techno minimaliste. Plongezvous dedans, tête la première, une sorte de grand écart sonore entre deux mondes, la musique contemporaine et la techno, vraiment superbe entre moelleux et rudesse.
Pierre-Yves Macé poursuit son travail de composition avec rigueur, synthétisant avec bonheur les musiques du 20e siècle. Dans Segments et apostilles on entend une musique contemporaine (il me semble y entendre l’ombre d’Anton Webern), une magnifique palette sonore. Dans Qui-Vive la musique est purement électronique, un univers plutôt organique. Le disque se finit sur un titre magnifique, Glissement de terrain, (bass, cello, piano, harp, vibraphone), de la poésie sonore à découvrir sur Segments et apostilles chez Tzadik. Un trio inattendu et pourtant simplement évident dès la première écoute, Didier Petit (violoncelle et voix) Xu Fengxia (guzheng, sanxia, et voix) et Sylvain Kassap (clarinettes et chalumeau) réunis sous le nom de East-West Trio avec un album The Shanghai sessions publié chez l’excellent label In Situ. Voyage sonore donc, on sait le parcours des deux Français, Kassap et ses Saxifrages et son Istanbul da Eylul avec Okay Temiz, Petit aux côtés de Pauvros, Montera, Tusques, Di Donato... embarqués tous deux pour l’occasion dans les paysages asiatiques avec comme guide la musicienne Xu Fengxia pour une réelle balade sonore, une descente en pente douce dans des contrées lointaines qui respecte l’équilibre entre musique traditionnelle et musique improvisée. Le petit plus, un packaging superbe, boîtier carton rouge et beau livret.
agenda
Pour février, envoyez vos infos avant le 18 janvier à 491@wanadoo.fr et ah491@wanadoo.fr
JEUDI 9 JANVIER Play&Plug : OWLS BY NATURE DOUGLAS HINTON - PHIL PARK Kraspek Myzik à 20h30. 6€, pass/37 € à 12€ VENDREDI 10 JANVIER SPACE DIMENSION CONTROLLER - FIEDEL - PARADIS Le Sucre 23h/5h. 16€ - 12€ LOGIC BOMB - HYPERFREQUENCIES - DARKAM E MUTE - AND SMTH etc. Salle du Kao 23h/5h. 18€ - 15€ OVER THE SNARE - BEO - Jack Jack à 20h. 12€- 10€ THE AMAZING KEYSTONE BIG BAND & CÉCILE MCLORIN-SALVANT Salle de l’Isle à L’Isle-d’Abeau à 20h30. 21€ - 15€ DOZEN - Comptoir des Terroirs à Vienne à 20h30. Gratuit, 04 74 53 0859 MAXIME LE FORESTIER Le Scarabée à Roanne à 20h. 46€ - 42€ SAMEDI 11 JANVIER YODELICE - CATS ON TREE Transbordeur à 20h30. 29€ - 26€ FEADZ - SINJIN HAWKE - CALCIUM etc. Club Transbo à 23h/5h. 15€ - 12€ JOHN TALABOT - NYCO - Le Sucre 23h/5h. 16€ - 12€ AÏSSI - 6e Continent à 21h. 5€ - 3€ OMPA OMPA - Périscope à 21h. 10€ - 8€ MARDI 14 JANVIER Play&Plug : JOUJOU - CENTRE AÉRÉ Kraspek Myzik à 20h30. 6€, pass/37 € à 12€ MERCREDI 15 JANVIER Play&Plug : ULTRAZOOK - GWYN WURST Kraspek Myzik à 20h30. 6€, pass/37 € à 12€ DUO JACQUES SCHWARZ-BART / DENIS COLIN AmphiOpéra à 12h30. Gratuit BETTENS - Transbordeur à 20h. 29€
JEUDI 16 JANVIER Play&Plug : FIODOR DREAM DOG - SIANN LOFHAI Kraspek Myzik à 20h30. 6€, pass/37 € à 12€ DUO ÉRIC LEGNINI / JACQUES SCHWARTZ-BART AmphiOpéra à 20h30. 16€ - 10€ CHARLIE TANGO A Thou Bout d’Chant à 20h30. 13€ - 9€ Bizarre! party : FLORE & WSK - ANDY KAYES - RAITSLIN Club Transbo à 20h30. Gratuit sur invit./10€ VENDREDI 17 JANVIER OM UNIT - YOGGYONE - REDUM - MYS SQUARE etc. Marché Gare 22h/4h. 24€ - 22€ JOSH WINK - VISITOR FOR REWORKS Le Sucre 23h/5h. 16€ - 12€ Play&Plug : I AM A BAND - BIKINI GUNS Kraspek Myzik à 20h30. 6€, pass/37 € à 12€ JACQUES SCHWARZ-BART AmphiOpéra à 12h30. Gratuit TRIO SCHWARTZ-BART / LOUEKE / DOLMEN AmphiOpéra à 20h30. 16€ - 10€ CHARLIE TANGO A Thou Bout d’Chant à 20h30. 13€ - 9€ KOUMA - SYNTHAX ERROR Périscope à 21h. 10€ - 8€ DÉLINQUANTE - 1TOUR2CHANTS Salle des Rancy à 20h30. 12€ - 9€ LA MEGAFAUNE - JUKEBOX 6e Continent à 21h. 5€ - 3€ APHRODITE - BENNY PAGE - MAYD HUBB etc. Salle du Kao 23h/5h. 18€ - 15€ MIDNIGHT RAVERS MJC du Vieux-Lyon à 19h. Gratuit DE PALMAS - ARNO SANTAMARIA Transbordeur à 20h. 36€ LA RUE KÉTANOU - Radiant-Bellevue à 20h30. 23€ HAWA - HOPLICITY - Jack Jack à 20h. 12€ - 10€ RENÉ AUBRY SEPTET Espace Albert Camus à 20h 30. 18€ - 12€ TRIO ORIGINES - Sémaphore à 20h30. 18€ - 9€
CÉCILE MCLORIN SALVANT Théâtre de Vienne à 20h30. 20€ - 10€ MARVIN - NI - MARIA MAGDALENA Le Fil à 20h30. 8€ - 6€ PIERS FACCINI - DOM LA NENA Train-Théâtre à 20h30. 17,5€ - 14€ FATOUMATA DIAWARA L’Arc Scène Nationale Le Creusot à 20h30. 20€ - 10€ SAMEDI 18 JANVIER LES DEMOISELLES DE LA CMSBLC Salle des Rancy à 20h30. 12€ - 9€ R-WAN & SOVIET SUPREM - HIPPOCAMPE FOU GROOVE INSPEKTORZ etc. Club Transbo à 23h. 18€ - 15€ OCTAVE ONE - MULTI - Le Sucre 23h/5h. 13€ - 10€ RACINES HAÏTI avec JACQUES SCHWARTZ-BART & INVITÉS - AmphiOpéra à 20h30. 16€ - 10€ Play&Plug : AFFRANCHISTES - DENT D’POULET Kraspek Myzik à 20h30. 6€, pass/37 € à 12€ INNER ROSE - STEEL ALIVE 6e Continent à 21h. 5€ - 3€ TRIO SOULAŸRES - Maison du Peuple Pierre-Bénite à 20h30. 14€ - 12€ BRIZZ GLASS - HABSTRAKT - PUMPKIN SENBEÏ - THE NEW TEAM etc. Le Fil 21h/3h. 16€ - 10€ DIMANCHE 19 JANVIER Play&Plug : FOREST POOKY - NAT Kraspek Myzik à 20h30. 6€, pass/37 € à 12€ LUNDI 20 JANVIER Play&Plug : GIPSY RUFINA - JULIA KAT Kraspek Myzik à 20h30. 6€, pass/37 € à 12€ MARDI 21 JANVIER MAXIME LE FORESTIER Bourse du Travail à 20h. 49€ - 39€ MERCREDI 22 JANVIER ENM VILLEURBANNE - AmphiOpéra à 12h30. Gratuit SERGENT GARCIA - Transbordeur à 20h30. 28€ NAPPI - UNDRO - LaPéniche à 19h. Gratuit
JEUDI 23 JANVIER GRAND CORPS MALADE - Radiant-Bellevue à 20h. 32€ - 28€ DEPECHE MODE - Halle Tony Garnier à 20h. 73€- 54€ ÉRIC SIMONET A Thou Bout d’Chant à 20h30. 13€ - 9€ RHY CHATAM - Périscope à 21h. 10€ - 8€ CARLA BRUNI - Bourse du Travail à 20h. 50€ - 39€ THEY CALL ME RICO - THE WILD SONS Jack Jack à 20h. 12€ - 10€ LES FOUTEURS DE JOIE Espace Baudelaire à 20h30. 15€ - 8€ NUE SUR LE BITUME - Abattoirs à 20h30. Gratuit DIDIER WAMPAS & BIKINI MACHINE LES DANDY FREAKS - Le Fil à 20h30. 20€ - 14€ VENDREDI 24 JANVIER Play&Plug : CARTON SONORE - KLIMPEREI Kraspek Myzik à 20h30. 6€, pass/37 € à 12€ OSTENDE - A Thou Bout d’Chant à 20h30. 13€ - 9€ ENM VILLEURBANNE AmphiOpéra à 12h30. Gratuit BASIC SOUL UNIT - BARBARA PREISINGER KOSME - Le Sucre 23h/5h. 14€ - 10€ L’ANIMALERIE invite DEMI PORTION Marché Gare à 20h30. 12€ - 6€ BAL FOLK avec NO&MI - 6e Continent à 21h. 5€- 3€ THE TOXIC AVENGER & INVITÉS Salle du Kao 23h/3h. 18€ - 15€ SKY READERS & CHRISTOPHE MÉTRA LES ATELIERS DE L’EMMA Théâtre Jean Marais à 20h30. 12€ - 9€ LES FOUTEURS DE JOIE - Polaris à 20h30. 15€ - 9€ SAM TSHABALALA Salle des Fêtes de Certines (01) à 20h30. 9€ - 6€, 04 74 50 4000 SOWETO KINCH - LOFTI Cave à Musique à 21h. 13€ - 9€ GRAND CORPS MALADE - Le Fil à 20h30. 27€ - 21€ XAVIER LACOUTURE - PRESQUE OUI Train-Théâtre à 20h30. 15,5€ - 13,5€
SAMEDI 25 JANVIER COMING SOON - HOLY TWO Sonic à 21h. 12€ - 10€ Play&Plug : OISEAUX TEMPÊTE - LOGRE Kraspek Myzik à 20h30. 6€, pass/37 € à 12€ ANNE QUILLIER SEXTET Périscope à 21h. 10€ - 8€ THE SICKEST SQUAD - THE SPEED FREAK RADIUM - THE BRAINDRILLERZ MAT WEASEL BUSTERS - NOUT HERETIK etc. Double Mixte 22h/5h. 20€ - 16€ TAMBOUR BATTANT - NIVEAU ZERO Club Transbo à 23h. 18€ - 15€ BAL LATINO - 6e Continent à 21h. 5€ - 3€ KASPER BJØRKE - ANDRÉ BRATTEN THE PILOTWINGS Le Sucre 23h/5h. 12€ - 8€ MICHEL JONASZ / JEAN-YVES D’ANGELO Radiant-Bellevue à 20h30. 41€ - 38€ JAZZEBA SWIFT MACHINE L’INDUSTRIELLE HARMONIE DE SAINT-FONS Théâtre Jean Marais à 20h30 DIMANCHE 26 JANVIER Play&Plug : GAM BIRD - O-O-O Kraspek Myzik à 20h30. 6€, pass/37 € à 12€ MARDI 28 JANVIER ENSIFERUM Salle du Kao à 19h30. 28€ - 22€ JACCO GARDNER Marché Gare à 20h30. 14€ - 10€ CONGO SQUARE, Orchestre d’Harmonie Big Band du Conservatoire & Jean Gobinet Le Fil à 20h30. Gratuit MERCREDI 29 JANVIER CONTROL VOLTAGE & SCÈNE OUVERTE Kraspek Myzik à 20h30. Gratuit SYLVAIN LUC & DANIEL MILLE DUO MANU CODJIA TRIO Théâtre Jean Marais à 20h30. 15€ - 12€
Publicité offerte par le support
MARDI 7 JANVIER RASSAERT & FRANCERIES Espace Albert Camus à 12h30. 10€ - 7€ Printemps de Pérouges : NATURALLY 7 Radiant-Bellevue à 20h30
/ Janvier 2014 / N°199 / 23
agenda JEUDI 30 JANVIER Printemps de Pérouges : LES SOUL MEN & VIGON BAMY JAY Amphithéâtre Cité Internationale à 20h30. 35€ - 23€ DA SILVA - Marché Gare à 20h30. 25€ FRÉDÉRIC BOBIN A Thou Bout d’Chant à 20h30. 13€ - 9€ DARKNESS DYNAMITE - APPLY FOR A SHORE Jack Jack à 20h. 12€ - 10€ EMMANUEL BEX / NICO MORELLI / MIKE LADD Théâtre Jean Marais à 20h30. 15€ - 12€ GRÜGRU - LaPéniche à 19h. 5€ VENDREDI 31 JANVIER BGRE ! - Périscope à 21h. 10€ - 8€ GADJO LOCO - FORRO DE REBECCA - DIALEK DJ LAMINE etc. - 6e Continent à 21h. 3€ TIGRAN SHADOW TEATER + STRINGS & VOICES invite ÉRIK TRUFFAZ Auditorium de Lyon à 20h. 46€ - 8€ ENSEMBLE SÖNDÖRGÖ AmphiOpéra à 20h30. 16€ - 10€ INSPIRATIONS HONGROISES, Conservatoire de Lyon & Ensemble Balkan Espress, dir. Bruno Sansalone AmphiOpéra à 12h30. Gratuit FRÉDÉRIC BOBIN A Thou Bout d’Chant à 20h30. 13€ - 9€ THE TELESCOPES - THE HEALTHY BOYS - Sonic MATHIEU ROSAZ CHANTE BARBARA Espace Albert Camus à 20h 30. 16€ - 9€ Les Nuits Givrées : AMÉLIE-LES-CRAYONS LES 2MOIZELLES DE LA CMSBLC Aqueduc à 20h30. 16€ - 7€, 2J/21€ JEAN-MARIE MACHADO & SON ENSEMBLE DANZAS invitent ANDRÉ MINVIELLE Sémaphore à 20h30. 18€ - 9€ VINCENT DELERM Théâtre de Villefranche à 20h30. 28€ - 18€ OPENING PARTY WINTER#14 Cave à Musique à 21h. Gratuit MATHIEU MENDÈS Salle Jeanne D’Arc à 20h30. 23€
FESTIVALS LE FIL 20, bd Thiers - St-Étienne - 04 77 34 46 40 « 6 ANS DU FIL » SPINAL TAP de Rob Reiner (2000) + Bœuf Cinéma Le Méliès, 30 jan à 20h30. 7,5€ LE BARATHON avec HAROLD MARTINEZ WAILING TREES - PEDRO DE LA HOYA DOORSFAL etc Little Soba, L’Assommoir, Remue-Méninges etc. à St-Étienne, 31 jan dès 20h. Gratuit LE SON ÉTRANGE 8 TCHOPDYE - DALHAS UMAÏ KARLIT & KABOK Le Fil, 1er fév à 20h30
LES POLY’SONS (11E) Théâtre des Pénitents - Place des Pénitents Montbrison - 04 77 96 39 16 7 lieux (Fil, Théâtre Iris…), 22 concerts, 37 artistes + 8e Tremplin Poly’Sons - 1/02 + Dbéta sur « Musiques Actuelles & 30 ans de scène stéphanoise » - 29/01 au Chok-Théâtre FRÉHEL À LA DÉRIVE - 18/01 CLAIRE DITERZI + IMBERT & IMBERT - 21/01 ELÉPHANT - 23/01 ALBIN DE LA SIMONE + SAULE - 28/01 BATLIK + BABX - 30/01 etc. 18 jan au 22 fév à 20h30 (ou 19h). 23€ - 5€ FESTIVAL GUITARE VALLÉE Divers lieux (13) Vallée du Gier : St-Chamond, Rive-de-Gier... - 04 77 75 04 19 Concerts, jeune public, projections Z STAR / BERNARD ALLISON / BUBBLE[S] / ROMAIN LATELTIN / BIKINI GUNS etc. 17 jan au 2 fév. 20€ à gratuit
CLASSIQUE MARDI 7 JANVIER MUSIQUE DE CHAMBRE, CSNMD Lyon - Schönberg Salle Varèse à 20h. Gratuit VENDREDI 10 JANVIER ORCHESTRE SYMPHONIQUE DE SHANGAÏ & RAY CHEN, dir. Long Yu Tchaïkovski, Hua, Moussorgski Auditorium de Lyon à 20h. 36€ - 8€ SAMEDI 11 JANVIER QUATUOR DEBUSSY - Bach - Mozart - Piazzola... Allegro à 20h30. 28€ - 14€ DIMANCHE 12 JANVIER ORCHESTRE DES PAYS DE SAVOIE / CHŒURS ET SOLISTES DE LYON-BERNARD TÉTU / VINCENT WARNIER, dir. Bernard Tétu Vierne, Fauré Auditorium de Lyon à 16h. 36€ - 8€ MARDI 14 JANVIER DÉPARTEMENT MUSIQUE ANCIENNE, CNSMD Lyon Médiathèque de Vaise à 12h30. Gratuit JEUDI 16 JANVIER DANIIL TRIFONOV - Stravinski, Ravel, Schœnberg Salle Rameau à 20h30. 46€ - 10€, 04 78 47 87 56 DÉPARTEMENT DE CRÉATION MUSICALE, CNSMD Lyon Salle Varèse à 17h et 20h. Gratuit DAVID KADOUCH & ONL, dir. Pascal Rophé Franck, St-Saëns, Berlioz, Dukas Auditorium de Lyon à 20h. 46€ - 8€ VENDREDI 17 JANVIER ONL & ELEONORE EULER-CABANTOUS, dir. Pascal Rophé Berlioz, Franck, Debussy, Bizet Auditorium de Lyon à 12h30 et 15h. 10€ CNSMD LYON - Musique de chambre Bar Théâtre de Villefranche à 12h15. 14,5€ - 10,5€
SAMEDI 18 JANVIER TRIO WANDERER invite CHRISTOPHE GAUGUÉ Brahms, Schubert, Fauré Radiant-Bellevue à 20h30. 27€ - 17€ PHILIP GLASS CONCERT SOLO Théâtre de la Renaissance à 21h. 20€ - 8€ DIMANCHE 19 JANVIER LSO*ORCHESTRE SYMPHONIQUE DE LONDRES & MARIA JOÃO PIRES, dir. John Eliot Gardiner Schumann, Mendelssohn Bartoldy Auditorium de Lyon à 16h. 65€ - 15€ MARDI 21 JANVIER ANNE-MARIE GAY Médiathèque de Vaise à 12h30. Gratuit MERCREDI 22 JANVIER MARIANNE PIKETTY / DANA CIOCARLIE / OPHÉLIE GAILLARD Chausson, Debussy, Ravel Salle Rameau à 20h. 35€ - 18€, 04 78 38 0909 ONL, dir. Juraj Valčuha - Dvořák Auditorium de Lyon à 150h. 15€ - 3€ JEUDI 23 JANVIER ONL & JOCELYN AUBRUN, dir. Juraj Valčuha Strauss, Mozart, Dvořák Auditorium de Lyon à 20h. 46€ - 8€ ENSEMBLE 7E SENS & FABRICE BOULANGER, dir. Jean-Philippe Dubor - Rossini Grand temple Protestant Lyon 3e à 20h. 28€ - 15€, 04 78 93 62 11 VENDREDI 24 JANVIER SERGUEÏ KHATCHATRYAN / LUSINÉ KHATCHATRYAN Brahms Auditorium de Lyon à 20h. 46€ - 8€ QUATUOR DEBUSSY - Mozart, Bach, Piazzolla … Toboggan à 20h30. 21€ - 9€ SAMEDI 25 JANVIER ONL & JOCELYN AUBRUN, dir. Juraj Valčuha Strauss, Mozart, Dvořák Auditorium de Lyon à 18h. 46€ - 8€ LES NOUVEAUX CARACTÈRES, dir. Sébastien d’Hérin - Monteverdi Chapelle de la Trinité à 20h. 65€ - 25€ DIMANCHE 26 JANVIER MUSICIENS DE L’ORCHESTRE DE L’OPÉRA DE LYON Prokofiev, Chostakovitch, Tchaïkovski Opéra de Lyon à 11h. 22€ - 10€ MUSICIENS DE L’ONL - Spohr, Rota Auditorium de Lyon à 11h. 16€ - 8€ LUNDI 27 JANVIER ORCHESTRE NATIONAL DE FRANCE & ANNE GASTINEL, dir. Daniele Gatti Dvořák, Stravinsky Auditorium de Lyon à 20h. 65€ - 15€ FLORIAN COUTET / VÉRONIQUE GOUDIN-LÉGER Perruchon, Ravel, Madsen…. Salle Varèse à 20h. Gratuit MERCREDI 29 JANVIER CONSERVATOIRE DE LYON & ENSEMBLE BALKAN ESPRESS, dir. Bruno Sansalone Bartók, Brahms, Tüzkö AmphiOpéra à 12h30. Gratuit JORDI SAVALL Auditorium de Villefranche à 20h30. 24€ - 21€, 04 74 60 31 95 MARWAN DAFIR / CORINNE MARINHO & DARYA TCHAÏKOVSKAYA Salle Varèse à 18h et 20h. Gratuit OSE, ORCHESTRE SYMPHONIQUE NOUVELLE GÉNÉRATION & VINCENT LE TEXIER, dir. Daniel Kawka - Malher Dôme Théâtre Albertville à 20h30. 29€ - 16€ JEUDI 30 JANVIER ONL & ANABELLA STEINBACHER, dir. Marek Janowski - Mozart, Bruckner Auditorium de Lyon à 20h. 56€ - 13€ MUSIQUE DE CHAMBRE, CNSMD Lyon Salle Varèse à 18h et 20h. Gratuit MUSIQUE DE CHAMBRE, CSNMD Lyon - Schönberg Gœthe-Institut à 20h. Gratuit
OPÉRA SPECTACLES MUSICAUX AMPHIOPÉRA Place de la Comédie - Lyon 1er - 04 69 85 5454 VOUS HABITEZ CHEZ VOS PARENTS ? Autour du théâtre musical et Jacques - Rebotier Avec CNSMD Lyon 8 et 10 jan à 12h30. Gratuit LA CONTREBASSE de Patrick Süskind + OXALA + TAXI de Joëlle Leandre etc. / Conservatoire de Lyon 21 jan à 20h30. Gratuit LES TABLEAUX D’UNE EXPOSITION REVISITED + LE RHÔNE, DE GENÈVE À LA MER QUATUOR EODE (ciné-concert) 23 jan à 20h30. Gratuit ESPACE 44 44, rue Burdeau - Lyon 1er - 04 78 39 79 71 INVITATION GOLDBERG, Théâtre de la Palabre MS : Élisabeth Gavalda 14 au 19 jan à 20h30, di. à 16h. 15€ - 10€
24 / Janvier 2014 / N°199 /
OPÉRA DE LYON Place de la Comédie - Lyon 1er - 04 69 85 5454 CŒUR DE CHIEN de Raskatov, Orchestre de Lyon et Ensemble Vocal Il Canto di Orfeo, dir. Martyn Brabbins - MS : Simon McBurney 20 au 30 jan à 20h, di. à 16h. 78€ - 10€ + L’École du Spectateur « L’œuvre et son contexte historique » - 20 jan à 18h + Prélude littéraire avec les Élèves de l’ENSATT 22, 24 et 29 jan à 19h. Gratuit SALLE RAMEAU 29, rue de la Martinière - Lyon 1er LE SOLDAT ROSE de Louis Chedid et Pierre-Dominique Burgaud MS : Shirley & Dino 16 jan à 20h 39€ - 33€ COMÉDIE ODÉON 6, rue Grolée - Lyon 2e Printemps de Pérouges : ÉRIC TOULIS 29 jan à 19h15. 26€ - 21€ THÉÂTRE DES MARRONNIERS 7, rue des Marronniers - Lyon 2e - 04 78 37 98 17 HENDRIX-XVIIe-CIEL : CASTRATS / DIVAS / ROCKERS d’après Lydie Salvayre, Ensemble Boréades - MS : Pierre-Alain Four 9 au 27 jan à 20h30, di. à 17h, lu. à 19h. 15€ - 8€ AUDITORIUM DE LYON 149, rue Garibaldi - Lyon 3e - 04 78 95 95 95 PIERRE ET LE LOUP… ET LE JAZZ d’après Prokofiev, The Amazing Keystone Jazz Big Band 8 jan à 15h. 15€ - 3€ BOURSE DU TRAVAIL 205, place Guichard - Lyon 3e LE SOLDAT ROSE de Louis Chédid et Pierre-Dominique Burgaud MS : Shirley & Dino 16 jan à 20h. 39€ - 30€ SOUS LE CAILLOU 23, rue d’Austerlitz - Lyon 4e - 04 27 44 34 38 L’ARLÉSIENNE d’après Daudet / Bizet, Ensemble Agora & Irène Jacob 21 jan à 21h. 13€ - 10€ AMPHITHÉÂTRE / SALLE 3000 Cité Internationale - 50, quai Charles de Gaulle Lyon 6e PINOCCHIO - Conception, MS : Marie-Jo Zarb / Mus : Moria Nemo 25 jan à 14h. 35€ - 25€ HALLE TONY GARNIER 20, place A. Perrin - Lyon 7e DANSE AVEC LES STARS. LA TOURNÉE 31 jan et 1er fév à 20h30. 80€ - 25€
agenda
CNSMD 3, quai Chauveau - Lyon 9e - 04 72 19 26 61 IL MATRIMONIO SEGRETO de Domenico Cimarosa, Ensemble Instrumental CNSMD de Lyon & Solistes des classes de chant, dir. Hélène Bouchez MS : Bernard Rozet 23 au 26 jan à 20h, sa. à 8h, di. à 16h. 12€ CHANT DE LA LYRE D’ÉTHIOPIE, HOMMAGE À JEAN-LOUIS FLORENTZ avec Alemù Aga 28 jan à 20h. 12€ + Conférence « Liturgies chrétiennes d’Ethiopie, la musique et la danse des cieux » à 18h RADIANT-BELLEVUE 1, rue Jean Moulin - Caluire - 04 72 10 22 19 LETTRES D’UN VOYAGEUR d’après Liszt, Byron et Senancour, Trio Wanderer & Marie-Christine Barrault 19 jan à 15h. 27€ - 17€ THÉÂTRE ASTRÉE Campus de la Doua - 6, av. G. Berger - Villeurbanne 04 72 44 79 45 / 04 72 43 19 11 FRAGMENTS D’HISTOIRES, CNSMDL & Atelier Dans Tous les Sens 15 jan à 20h30. Gratuit TNP 8, place Lazare-Goujon - Villeurbanne 04 78 03 30 00 OUI ÇA VA MAL, JE SUIS HEUREUSE d’après Jean-Pierre Siméon Cabaret inventé par Laurence Besson Brasserie 33 TNP, 27 jan, 3 et 10 fév à 19h. 11€ - 8€ ESPACE ALBERT CAMUS 1, rue Maryse Bastié - Bron - 04 72 14 63 40 UN JARDIN EXTRAORDINAIRE. Jacques Haurogné chante Charles Trénet 9 jan à 19h30. 16€ - 9€ THÉÂTRE THÉO ARGENCE Pl. Ferdinand Buisson - St-Priest - 04 78 20 02 50 LA BELLE ESCAMPETTE, Claire Monot / Anaïs Pin 22 jan à 10h et 15h. 10€ - 5€ THÉÂTRE JEAN MARAIS 53 rue Carnot - St-Fons - 04 78 67 68 29 BRASSENS N’EST PAS UNE PIPE, Cie GRRR MS : Susanna Lastreto 10 jan à 20h30. 13€ - 6€ LE KARAVAN THÉÂTRE 50, rue de la République - Chassieu - 04 78 90 88 21 TOSCA de Puccini, L’Opéra Théâtre de Lyon, dir. Laurent Touche - MS : André Fornier 24 jan à 20h. 19€ - 13€ THÉÂTRE DE LA RENAISSANCE 7, rue Orsel - Oullins - 04 72 39 74 91 JOUR 54, OPÉRA RADIOPHONIQUE d’après Georges Pérec Conception, mus : Pierre Jodlowski 22 jan à 20h.. 20€ - 8€ LECTURE MUSICALE FRANÇOIS GARCIA / LOUIS SCLAVIS 14 jan à 20h. Gratuit sur réserv. LA MOUCHE, THÉÂTRE SAINT- GENIS-LAVAL 8, rue des Écoles - St-Genis-Laval - 04 78 86 82 28 OBSTINÉS !, Cie E.V.E.R. Conception, mus & MS : Camille Rocailleux 23 jan à 19h30. 16€ - 9€
9 au 27 janvier Réservations 04 78 37 98 17
Théâtre des Marronniers www.theatre-des-marronniers.com
L’AQUEDUC 1, ch. de la Liasse - Dardilly - 04 78 35 98 03 LE GRANDILOQUENT MOUSTACHE POÉSIE CLUB MS : Julie Chaize 17 jan à 20h30. 16€ - 12€ THÉÂTRE DU VELLEIN Av. du Driève - Villefontaine - 04 74 80 71 85 GARE À RIFFARD !, Anne Sylvestre / Zaza Fournier / Presque Oui etc. MS : Gérard Morel 15 et 16 jan à 20h30. 18€ - 12€ SING JOYFULLY, Voces 8 21 et 22 jan à 20h30. 21€ - 15€ AUDITORIUM DE VILLEFRANCHE 96, rue de la Sous-Préfecture - Villefranche/Saône 04 74 60 31 95 COLORATURE, MRS JENKINS ET SON PIANISTE de Stephen Temperley - MS : Agnès Boury 18 jan à 20h30. 23€ - 19€ THÉÂTRE DE BOURG-EN-BRESSE 11, pl. Grenette - Bourg-en-Bresse - 04 74 50 40 00 OBSTINÉS !, Cie E.V.E.R. Conception, MS : Camille Rocailleux 17 jan à 20h30. 24€ - 10€ MÂCON SCÈNE NATIONALE 1511, av. Ch. de Gaulle - Mâcon - 03 85 22 82 99 BELLS ARE RINGING, Les Percussions Claviers de Lyon & Sébastien Jaudon, dir. Gérard Lecointe MS : Jean Lacornerie 19 jan à 17h. 24€ - 6€ CENTRE CULTUREL LE SOU 19, rue Romain Rolland - La Talaudière 04 77 53 03 37 T’AS MA PAROLE, Cie Baladeux Texte & MS : Toon Schuermans, France Perpête 18 jan à 20h30. 14€ - 7€ AASHENAYI, Canticum Novum, dir. E. Bardon 25 jan à 20h30. 14€ - 7€ ESPACE DES ARTS 5 bis, av. Nicéphore Niepce - Chalon/Saône 03 85 42 52 12 MISS KNIFE CHANTE OLIVIER PY 11 jan à 20h. 23€ - 9€ TRAIN-THÉÂTRE 1, rue Aragon - Portes-lès-Valence - 04 75 57 14 55 GARE À RIFFARD !, Anne Sylvestre / Flavia Perez / Presque Oui etc. MS : Gérard Morel 14 jan à 20h30. 19,5€ - 16€
HUMOUR COMÉDIE SALLE RAMEAU 29, rue de la Martinière - Lyon 1er LES MÈRES DE FAMILE SE CACHENT POUR MOURIR, Constance 21 jan à 20h30. 29€ - 26€ Denis Maréchal JOUE ! 23 jan à 20h30. 30€ - 26€ SOUS LES FEUX DE LA VAMP ! de Jean-Marie Chevret, Dominique de Lacoste 24 jan à 20h30. 32€ - 29€ ÉLISABETH BUFFET 25 jan à 20h30. 30€ BOURSE DU TRAVAIL 205, place Guichard - Lyon 3e PERRUQUES, Jonathan Lambert 15 jan à 20h. 34€ - 30€ MATHIEU MADENIAN 17 jan à 20h30. 29€ - 26€ SOUS LE CAILLOU 23, rue d’Austerlitz - Lyon 4e - 04 27 44 34 38 JEANNE D’ARC REVIENT ET ÇA VA CHAUFFER, Pascal Coulan 15, 16 et 31 jan à 20h30. 13€ - 10€ TROP TOUT, Nadine Charvolin 17 et 18, 22 et 23 jan à 20h30. 13€ - 10€ ESPACE GERSON 1, place Gerson - Lyon 5e - 04 78 27 96 99 DÉCOUVERTE JEUNES TALENTS 6, 20 et 27 jan. à 20h30. 5€ BAZAR, Et Compagnie Ma. à 20h30. 15€ - 5€ MONSIEUR FRAIZE 8 au 18 jan à 20h30, sa. à 20h et 22h. 15€ - 11€ SHIRLEY SOUAGNON 22 au 25 jan à 20h30, sa. à 20h et 22h. 15€ - 11€ TALC SHOW, Cécile Giroud / Selena Hernandez / Yohann Metay 22 jan à 17h. 5€ Willy Rovelli EN ENCORE PLUS GRAND 29 jan au 8 fév à 20h30, sa. à 20h et 22h. 15€ - 11€ THÉÂTRE DU GAI SAVOIR 94, rue des Charmettes - Lyon 6e - 04 78 24 34 31 JUMBLE CRAFT, Cie Le Cri du Chameau 17 et 31 jan à 20h30. 12€ - 9€ JAM, Cie Le Cri du Chameau 25 jan à 20h30. 12€ - 9€ TRANSBORDEUR 3, bd. Stalingrad - Villeurbanne - 04 78 93 08 33 MATCH D’IMPRO. LYON vs ÉQUIPE DE France avec la LILY 26 jan à 16h. 22€ - 16€
THÉÂTRE DE L’ATRIUM 35 av. du 8 Mai - Tassin - 04 78 34 70 07 CRISE DE FOI, Sophia Aram 24 jan à 20h30. 28€ - 15€ LE KARAVAN THÉÂTRE 50, rue de la République - Chassieu - 04 78 90 88 21 CARTON ROUGE de Jacques Chambon 17 jan à 20h. 19€ - 13€ ESPACE JEAN POPEREN 135, rue de la République - Meyzieu - 04 72 45 18 51 LES GRANDS MOYENS MS : Arthur Jugnot & David Roussel 17 jan à 20h30. 26€ - 22€ COUSCOUS AUX LARDONS de Farid Omri, Carole Benhamou & Michel Bernini 31 jan à 20h30. 18€ - 15€ THÉÂTRE DE BOURG-EN-BRESSE 11, pl. Grenette - Bourg-en-Bresse - 04 74 50 40 00 MATHIEU MADÉNIAN 25 jan à 20h30. 29€ - 19€ SALLE JEAN DASTÉ Pl. du Gal Valluy - Rive-de-Gier - 04 77 83 07 32 VIEILLES CHIPIES 11 jan à 20h30. 20€ - 16€ SALLE JEANNE D’ARC 16, rue Jean-Claude Tissot - St-Étienne 04 77 20 04 86 Denis Maréchal JOUE ! 24 jan à 20h30. 28€
SPECTACLES TRANSDISCIPLINAIRES MPT SALLE DES RANCY 249, rue Vendôme - Lyon 3e - 04 78 60 6401 EARRING, Booster & Alexis Pawlak 16 jan à 19h. Gratuit PLANÉTARIUM DE VAULX-EN-VELIN Pl. de la Nation - Vaulx-en-Velin - 04 78 79 50 12 DROMOS, Fraction et Maotik. Performance à 360° 24 jan à 20h. Gratuit THÉÂTRE THÉO ARGENCE Pl. Ferdinand Buisson - St-Priest - 04 78 20 02 50 QUI VIVE, Cie Le Phalène Conception : Thierry Collet / MS : Éric Didry 16 et 17 jan à 20h30, je. à 19h30. 18€ - 6€ LE POLARIS Av. de Corbetta - Corbas - 04 72 51 45 55 ICI UN HOMME, Théâtre Détours + Jumelage Imprévus, Guy Prunier (à 19h30) Conception, MS : Catherine Perrocheau, Simon Grangeat 17 jan à 20h30.15€ - 9€ THÉÂTRE DE LA RENAISSANCE 7, rue Orsel - Oullins - 04 72 39 74 91 FRAGMENTS OU LA VIEILE QUI TRICOTAIT SON OMBRE…. Conception, MS : Philippe Ricard / Mus : Arnaud Méthivier 22 et 24 jan à 19h, me. à 15h. 20€ - 8€ CARTE BLANCHE À SÉVERINE CHAVRIER 30 jan à 20h. Gratuit ZENITH SAINT-ÉTIENNE Rue Scheurer Kestner - St-Étienne RETRO TEMPORIS, Dany Lary 18 jan à 20h30. 55€ - 25€
CLOWN ARTS DU CIRQUE MAISON DE LA DANSE 8, av. Jean Mermoz - Lyon 8e - 04 72 78 18 00 PFFFFFF, Cie Akoréacro 7 au 14 jan à 19h30, me. à 15h. 21€ - 11€ RADIANT-BELLEVUE 1, rue Jean Moulin - Caluire - 04 72 10 22 19 THE FAMILY SEMIANYKI 29 et 30 jan à 20h30. 32€ - 15€ LE TOBOGGAN 14, av. Jean Macé - Décines - 04 72 93 30 14 ALICE IN CHINA - Cirque acrobatique 4 jan à 20h30, 5 jan à 15h. LE SÉMAPHORE, THÉÂTRE D’IRIGNY Centre Culturel Champvillard - Rue de Boutan Irigny - 04 72 30 47 90 TRAVELLING CIRCUS, Cie Hors-Pistes Concept : Vincent Gomez 24 jan à 20h30. 15€ - 7,5€ TRAIN-THÉÂTRE 1, rue Aragon - Portes-lès-Valence - 04 75 57 14 55 KEKIDIPETILAPIN, Cie Les Nouveaux Nez & Cie MS : Petr Forman 28 et 29 jan à 20h30, me. à 18h30. 13,5€ - 10,5€
THÉÂTRE CONTES MARRIONNETTES FESTIVAL RÉ-GÉNÉRATION#8 TNG - 23, rue de Bourgogne - Lyon 9e 04 72 53 15 15 + Comœdia, Théâtre de Vienne…. 11 cies, création théâtrale sous toutes ses formes (théâtre*marionnette*danse) + 12 projets émergents (Corine Méric, Matthieu Loos, Cie Rodisio, Collectif Terrón, Cie Les Passeurs, Segni d’Infanzia, Théâtre du Verseau/Labaune etc.) 11 au 17 jan. Pass/14€ - 7€, +3€/spect. en plus ET QUE VIVE LA REINE ! OU COMMENT NE PAS PERDRE LA TÊTE…, Cie des Gentils Conception : Marie Bonnet, Aurélien Villard 11 et 12 jan sa. à 17h30 et 19h, di. à 16h SSST !, Florschütz & Döhnert 11 et 12 jan sa. à 18h, di. à 15h APRÈS GRAND C’EST COMMENT ? de Claudine Galea, Collectif 7 MS : Muriel Coadou 11 et 12 jan, sa. à 20h, di. à 17h + Théâtre de Vienne, 14 jan à 19h30 ODE À LA VIE / ODE ALLA VITA, Cie Rodisio 14 jan à 10h et 18h RÉPUBLIQUE LA LIBRE (EN PARTIE BRISÉE), BlÖffique Théâtre - Conception : Magali Chabroud Déambulatoire RDV devant TNG, 15 et 16 jan à 14h30, 16h30 et 18h30 NOTRE QUICHOTTE, Cie Les Yeux Gourmands MS : Grégory Benoit 14 jan à 14h30 et 19h30 CONSONANT, Maduixa Teatre Conception, dir : Juan Pablo Mendiola, Mamen Garcia 15 jan à 15h et 18h VERTIGES d’après Kant et Fosse, Cie Combats Absurdes - MS : Matthieu Loos 15 jan à 19h30 POMME, Théâtre des Petites Âmes & Cie Garin Troussebœuf - MS : Patrick Conan 16 et 17 jan à 14h30 + je. à 18h et ve. à 10h LA BELLE ET LA BÊTE / LA BELLA ET LA BESTIA, Il Baule Volante Conception & MS : Liliana Letterese, Roberto Anglisani 16 jan à 14h30 et 19h30 + Projection La BELLE ET LA BÊTE de Cocteau Comœdia, 12 jan à 11h REPLAY, Cie Rythm’A Corps Conception, MS : Quentin Dubois et Jérémy Daillet 17 jan à 20h + Emergence Projets, tlj 11 au 17 jan avant chaque représentation ESPACE 44 44, rue Burdeau - Lyon 1er - 04 78 39 79 71 LA PIERRE de Marius Von Mayenburg, Cie A Kan la Dériv’ - MS : Sarah Blamont 9 au 12 jan à 20h30, di. à 16h. 15€ - 10€ MÉDÉE, Cie Le Coracle - Texte & MS : Élodie Muselle 21 au 26 jan à 20h30, di. à 16h. 15€ - 10€ FEU LA MÈRE DE MADAME de Feydeau, Cie Nolo Kingdom Théâtre - MS : Élodie Lasne 28 jan au 2 fév à 20h30, di. à 16h. 15€ - 10€ LES CLOCHARDS CÉLESTES 51, rue des Tables Claudiennes - Lyon 1er 04 78 28 34 43 STALKING, Collectif Bis - MS : Julien Michel 17 jan au 2 fév à 20h, lu. à 19h, di. à 17h. 15€ - 8€ CÉLESTINS, THÉÂTRE DE LYON 4, rue Charles Dullin - Lyon 2e - 04 72 77 4000 MORT D’UN COMMIS VOYAGEUR d’Arthur Miller MS : Claudia Stavisky 10 au 22 jan à 20h, di. à 16h. 35€ - 9€ INNOCENCE de Howard Barker, Association nÖjd MS : Gerrard Mcarthur et Howard Barker 21 jan au 1er fév à 20h30. 21€ - 12€ KISS AND CRY de Thomas Gunzig Conception : Michèle-Anne De Mey & Jaco Van Dormael 29 jan au 6 fév à 20h, di. à 16h. 35€ - 9€ THÉÂTRE LES ATELIERS 3, rue Petit David - Lyon 2e - 04 78 37 46 30 UN ARABE DANS MON MIROIR de Riad Gahmi, Cie Scènes - MS : Philippe Vincent, Florence Girardon 15 au 25 jan à 20h30, sa. à 19h. 20€ - 10€ SOUS LE CAILLOU 23, rue d’Austerlitz - Lyon 4e - 04 27 44 34 38 L’HISTOIRE DE L’HOMME. VERSION III, Cie Traverses - MS : Valentin Traversi 24 au 30 jan à 20h30, 12,13, 21 et 22 fév. 13€ - 10€ THÉÂTRE DE LA CROIX-ROUSSE Place Joannès Ambre - Lyon 4e - 04 72 07 49 49 DOM JUAN OU LE FESTIN DE PIERRE d’après Molière, Plateforme Locus Solus MS : Thierry Bordereau 7 au 11 jan à 20h, sa. à 19h30. 26€ - 5€ MAISON DES PASSAGES 44, rue St-Georges - Lyon 5e - 0695 00 4998 LA KABYLIE CONTÉE, Nadia Larbiouene 19 jan au 27 av, di. à 15h. 10€ - 7€ THÉÂTRE DU POINT DU JOUR 7, rue des Aqueducs - Lyon 5e - 04 72 38 7250 THÉÂTRE PERMANENT A partir du 3 sept, ma. au sa. à 20h. 5€
/ Janvier 2014 / N°199 / 25
agenda
NTH8 / NOUVEAU THÉÂTRE DU 8E 22, rue Cmdt Pégout - Lyon 8e - 04 78 78 33 30 9 PETITES FILLES (PUSH & PULL), Théâtre du Verseau - MS : Philippe Labaune 16 au 19 jan à 20h, di. à 17h. Prix libre TNG 23, rue de Bourgogne - Lyon 9e - 04 72 53 15 15 PICCOLI SENTIMENTI, Tof Théâtre / Teatro delle Briciole MS : Alain Moreau 25 et 26 jan à 18h, di. à 16h. 17€ - 9€ RADIANT-BELLEVUE 1, rue Jean Moulin - Caluire - 04 72 10 22 19 MON TRAÎTRE de Sorj Chalandon MS : Emmanuel Meirieu 11 jan à 20h30.27€ - 17€ DOMMAGE QUE CE SOIT UNE PUTAIN de John Ford, Cie La Folie Nous Suit MS : Marielle Hubert 21 jan à 20h. 22€ - 12€ PEAU D’ÂNE d’après Perrault Texte & MS : Jean-Michel Rabeux 28 jan à 19h30. 22€ - 12€ L’ÉTUDIANTE ET MONSIEUR HENRI d’Ivan Calbérac - MS : José Paul 31 jan et 1er fév à 20h30. 38€ - 26€ THÉÂTRE ASTRÉE La Doua - 6, av. G. Berger - Villeurbanne - 04 72 44 79 45 L’AUGMENTATION de Pérec, La Nouvelle Fabrique - MS : Colin Rey 21 jan à 20h30. 12€ -€ MA MÈRE, C’EST MON PÈRE d’après Violette Leduc, cie Théâtre K - MS : Philippe Guini 23 jan à 20h30. 12€ - 6€ MODJU d’après Wilhelm Reich, Cie Utopia MS : Hugo Verecchia 28 jan à 20h30. 12€ - 6€ L’IMITATEUR d’après Thomas Bernhard, Cie Théâtre D’Ouble & Jean-Marc Bailleux 30 jan à 20h30. 12€ - 6€ THÉÂTRE DE L’IRIS 331, av. de Préssensé - Villeurbanne 04 78 68 86 49 GILGAMESH, UN PARCOURS ORDINAIRE d’après Calin Blaga, Le Lien Théâtre MS : Anne-Pascale Paris 14 au 26 jan à 20h, di. à 17h30. 14€ - 4€ GILGAMESH, Le Lien Théâtre - MS : A.-P. Paris 19 et 26 jan à 16h. 14€ - 4€, 2 spect/22€ - 18€ TNP 8, pl. Lazare-Goujon - Villeurbanne - 04 78 03 30 00 LE ROI LEAR de Shakespeare MS : Christian Schiaretti 10 jan au 15 fév à 19h30, di. à 16h. 24€ - 8€ LA RÉPUBLIQUE DE PLATON d’Alain Badiou MS : Grégoire Ingold 21 au 25 jan à 20h. 24€ - 8€ LE TRIOMPHE DE L’AMOUR de Marivaux, Raskine & CompagnieMS : Michel Raskine 29 jan au 21 fév à 20h, di. à 16h. 24€ - 8€ ESPACE BAUDELAIRE 83, av. de l’Europe - Rillieux-la-Pape 04 37 85 01 50 UN CAILLOU DANS LA BOTTE de Simon Grangeat, Cie Traversant 3 - MS : Clément Arnaud 29 jan à 15h. 10€ - 5€ L'ALLÉGRO Place de la République - Miribel - 04 78 55 80 20 FUNÉRAILLES D'HIVER D’Hanokh Levin Cie de la Commune - MS : Béatrice Bompas 23 janv. à 20h30 et 24 janv. à à 14h30. 22€ - 12€ CENTRE CULTUREL CHARLIE CHAPLIN Pl. de la Nation - Vaulx-en-Velin - 04 72 04 81 18 / 19 TARTUFFE (2012) de Molière, Cie LucaThéâtre MS : Laurent Vercelletto 28 au 31 jan à 20h30, me. je. à 19h30. 13€ - 8€ LE GALET ESPACE CULTUREL Rue du Collège - Reyrieux - 04 74 08 9281 LE VOL DU CORBEAU, Cie Debout Sur Le toit & JP Gibrat MS : Emmanuelle Della Schiava 24 jan à 20h30. 15€ - 7€ THÉÂTRE DE VÉNISSIEUX 8, bd Laurent Gérin - Vénissieux - 04 72 90 86 68 PEDRO PÁRAMO de Juan Rulfo, Cie Premier Acte MS : Sarkis Tcheumlekdjian 17 jan à 20h. 18€ - 8€ DON QUICHOTTE de Sylvain Levey d’après Cervantès, Cie Les Yeux Grands Ouverts MS : Grégory Benoît 23 et 24 jan à 20h. 18€ - 8€
THÉÂTRE DE LA RENAISSANCE 7, rue Orsel - Oullins - 04 72 39 74 91 CAMION À HISTOIRES ! de Nadine Demange MS : Dominique Lardenois Itinérant, Place de la Convention, 15 jan à 11h, 15h et 17h. 12€ LE SÉMAPHORE, THÉÂTRE D’IRIGNY Centre Culturel Champvillard - Rue de Boutan Irigny - 04 72 30 47 90 LE JEU DE LA VÉRITÉ de Philippe Lellouche MS : Marion Sarraut 9 au 11 jan à 20h30. 28€ - 14€ THÉÂTRE DE L’ATRIUM 35, av. du 8 Mai - Tassin - 04 78 34 70 07 AU PONT DE POPE LICK de Naomi Wallace, Cie Ariadne - MS : Anne Courel 21 jan à 19h30. 15€ - 8€ ESPACE CULTUREL JEAN CARMET Bd du Pilat - Mornant - 04 78 44 05 17 SOUVENIRS D’UN GRATTEUR DE TÊTES, Bernard Pivot - 17 jan à 20h30. 20€ - 14€ THÉÂTRE DE VILLEFRANCHE Pl. Sous-Préfecture - Villefranche - 04 74 68 02 89 MOBY DICK d’après Hermann Melville / Fabrice Melquiot - MS : Matthieu Cruciani 25 jan à 15h. 14,5€ - 10,5€ EKATÉRINA IVANOVNA de Leonid Andreïev, Cie L’Unijambiste - MS : David Gauchard 28 et 29 jan à 20h30, me. à 19h30. 24€ - 15€ PETIT THÉÂTRE JEAN VILAR Rue des Remparts - Bourg-en-Bresse 04 74 50 40 00 FEMME DE PORTO PIM, Teatro Gioco Vita Conception, MS : Tiziano Ferrari et Fabrizio Montecchi 21 au 23 jan à 20h30, me. à 19h + je. à 14h. 24€ - 10€ CRAYONS DE FAMILLE, Théâtre Musical Possible 29 jan et 1er fév à 10h et 14h30. 9€ - 6€ THÉÂTRE DE BOURG-EN-BRESSE 11, pl. Grenette - Bourg-en-Bresse - 04 74 50 40 00 URBIK / ORBIK d’après Lorris Murrail, Cie Haut et Court - MS : Joris Mathieu 10 jan à 20h30. 24€ - 10€ MARIE TUDOR de Victor Hugo, Groupe La Galerie - MS : Céline Champinot 28 au 30 jan à 20h30, me. à 19h, je. à 14h. 24€- 10€ MÂCON SCÈNE NATIONALE 1511, av. Ch. de Gaulle - Mâcon - 03 85 22 82 99 END/IGNÉ de Mustapha Benfoldil MS : Kheireddine Lardjam - 24 jan à 20h30. 24€- 14€ ESPACE DES ARTS 5 bis, av. Nicéphore Niepce - Chalon/Saône 03 85 42 52 12 L’OMBRE ! d’après Andersen, Cie Sirènes MS : Jacques Vincey - 8 jan à 20h. 23€ - 9€ LES REVENANTS d’après Henrik Ibsen MS : Thomas Ostermeier 15 et 16 jan jan à 20h. 23€ - 9€ BLUE JEANS - Conception, MS : Yeung Faï 21 au 23 jan à 20h. 23€ - 9€ L'ARC, SCÈNE NATIONALE LE CREUSOT Esplanade François Mitterrand - Le Creusot 03 85 55 13 11 PETER PAN d’après James Matthew Barrie, Cie L’Artifice - MS : Christian Duchange 9 jan à 19h30. 10€ - 8€ PROJET LUCIOLE, Judith Henry / Nicolas Bouchaud MS : Nicolas Truong 11 jan à 20h30. 20€ - 10€ END/IGNÉ de Mustapha Benfodil, Cie EL Ajouad MS : Kheireddine Lardjam 30 jan à 20h30. 20€ - 10€ HORS LES MURS THÉÂTRE JEAN VILAR Salle Polyvalente - Av. du Prof. Tixier Bourgoin-Jallieu - 04 74 28 05 73 T.I.N.A. (THERE IS NO ALTERNATIVE) de Simon Grangeat, Cie Cassandre Texte & MS : Sébastien Valignat 14 au 16 jan à 20h30, je. à 14h30. 16€ - 8€ THÉÂTRE DU VELLEIN Av. du Driève - Villefontaine - 04 74 80 71 85 MORT D’UN COMMIS VOYAGEUR d’Arthur Miller MS : Claudia Stavisky 27 au 29 jan à 20h30, me. à 19h30. 25€ - 18€ THÉÂTRE DE VIENNE 4, rue Chantelouve - Vienne - 04 74 85 00 05 APRÈS GRAND C’EST COMMENT ? de Claudine Galéa, Collectif 7 - MS : Muriel Coadou 14 jan à 19h30. 9€ - 5€ Carte Blanche Cie Irina’s Dream Theatre 24/25 jan TEMPÊTE ! de Shakespeare - MS : Irina Brook 24 jan à 20h30. 20€ - 10€ L’ÎLE DES ESCLAVES de Marivaux MS : Irina Brook 25 jan à 19h30. 25€ - 15€ (+ repas) LA COMÉDIE DE VALENCE Pl. Charles Huguenel - Valence - 04 75 78 41 70 L’APPRENTI de Daniel Keene - MS : Sébastien Bournac Comédie Itinérante, 8 au 17 jan à 19h, 21 au 24 jan à 18h. 12€ - 5€ CHAPITRES DE LA CHUTE. SAGA DES LEHMAN BROTHERS de Stefano Massini MS : Arnaud Meunier 29 et 30 jan à 20h. 21€ - 8€
26 / Janvier 2014 / N°199 /
LA FABRIQUE / LA COMÉDIE 78, av. Maurice-Faure - Valence - 04 75 78 41 70 LES OUBLIÉS [ENQUÊTE] de Virginie Barreteau + Débat MS : Hervé Dartiguelongue 20 au 31 jan à 20h. 12€ - 8€ THÉÂTRE DE LA VILLE / LA COMÉDIE Pl. de l’Hôtel de Ville - Valence - 04 75 78 41 70 FEMME VERTICALE - D’après Simone Veil, Virginie Despentes, Nancy Huston, Catherine Millet, André Chédid 22 au 24 jan à 20h. 12€ - 8€ + Comédie Itinérante, 28 au 31 jan à 20h. 12€- 5€ DÔME THEÂTRE 135, pl. de l’Europe - Albertville - 04 79 10 44 80 TRAVERSÉE, Cie Hippolyte A Mal Au Cœur Texte & MS : Estelle Savasta 8 jan à 19h30. 25€ - 12€
LECTURES RENCONTRES CONFÉRENCES AMPHI-OPÉRA Place de la Comédie - Lyon 1er - 04 69 85 5454 LYON, LUTHIERS, INSTRUMENTS À ARCHET… DES AMOURS TRÈS ANCIENNES ET CONTINUES 23 jan à 18h30. Gratuit LE TAMBURA ET LA MUSIQUE DES SLAVES DU SUD 31 jan à 19h. Gratuit OPÉRA DE LYON Place de la Comédie - Lyon 1er - 04 69 85 5454 PHILIPPE BARBARIN / JULIA KRISTEVA etc. Manipulation génétique et éthique : un mariage de ‘Raisons’ ? 17 jan à 20h30. Gratuit su réserv. LIONEL OBADIA / MICHEL SCHNEIDER / MICHEL TERESTCHENKO Les Forces Obscures 26 jan à 20h. 5€ à gratuit THÉÂTRE DES MARRONNIERS 7, rue des Marronniers - Lyon 2e - 04 78 37 98 17 Les Apéritives [Alison Cosson, Perrine Gérard, Marilyn Mattei, Pauline Noblecourt, Samuel Pivot, Guillaume Poix] M. en voix : Dominique Laidet 28 jan à 18h30.Gratuit sur réserv. VILLA GILLET 25, rue Chazière - Lyon 4e - 04 78 27 02 48 DANIEL SIBONY. « Islam, phobie, culpabilité » 16 jan à 20h. 5€ à gratuit MUSÉE GALLO-ROMAIN 17, rue Cléberg - Lyon 5e - 04 72 38 49 30 Le concept de beau dans l’art gréco-romain et les répercussions dans l’art moderne. 25 jan à 15h. Gratuit MUSÉES GADAGNE 1, pl. du Petit Collège - Lyon 5e - 04 37 23 60 46 La modernité artistique au seuil de la 1ère guerre mondiale : tendances et enjeux 11 jan à 14h et 16h. Sur réserv. 1914, apogée de l’âge d’or de la rose lyonnaise 18 jan à 14h30. Gratuit Louis Lortet, médecin, naturaliste et égyptologue 15 jan à 14h. 4€ à gratuit Des sciences pour gouverner la Ville. Innovations et rationalisations municipales à Lyon au XXe siècle 30 jan 9h30/17h30. Gratuit sur réserv. NTH8 / NOUVEAU THÉÂTRE DU 8E 22, rue Cmdt Pégout - Lyon 8e - 04 78 78 33 30 ESPACES CRITIQUES, Vincent Bady & invité(e)s 27 jan à 19h. Gratuit THÉÂTRE THÉO ARGENCE Pl. Ferdinand Buisson - St-Priest - 04 78 20 02 50 La Fabrique. Travaux en cours. RDV#3 (lectures) 13 jan à 18h30 puis 19h30. Gratuit LA FERME DU VINATIER CH Le Vinatier - 95, bd Pinel - Bron - 04 37 91 51 11 Café-contes#4 : BB - création autour de Barbe-Bleue, Cie In-Time 28 jan à 19h. Gratuit THÉÂTRE DE BOURG-EN-BRESSE 11, pl. Grenette - Bourg-en-Bresse - 04 74 50 40 00 Autour du théâtre d’ombres contemporain. Le malentendu « Le Chat Noir » 15 jan à 19h. Gratuit
CINÉMA CINÉ-CONCERT L'ALLÉGRO Place de la République - Miribel - 04 78 55 80 20 CHARLOT MONTE LE SON avec Patrick Sapin et Philippe Gilbert 31 janv. à 19h30. 9€ - 7€ CINÉMA LES AMPHIS Rue Pierre Cot - Vaulx-en-Velin - 04 78 79 17 29 UN POING C’EST COURT Festival du Film Court Francophone Le Liban à l’honneur - Nuit courte Les enjeux de la Francophonie 17 au 25 janv. 5€ - 4€
PLANÉTARIUM DE VAULX-EN-VELIN Pl. de la Nation - Vaulx-en-Velin - 04 78 79 50 12 SÉANCES D’ASTRONOMIE. Une immersion totale au cœur de l’Univers sous un dôme-écran géant Me. à 14h et 15h30, sa. à 11h, 14h et 15h30, di. vacances scolaires à 11h, 14h, 15h30 et 17h. 8€ - 6€ DRÔLE D’ENDROIT POUR DES RENCONTRES Cinéma Les Alizés - 214, av. Franklin Roosevelt Bron - 04 78 41 05 55 23e Rencontres du Cinéma Français Projections, colloque (Les enfants et les écrans), rencontres, jury, carte blanche (Bertrand Tavernier), concours de lettres DYANA GAYE / MARILYNE CANTO / MARIE LE GUERREC / YAËL FOGIEL / DOMINIQUE CBARERA etc. 22 au 26 jan (prog en cours)
DANSE LES SUBSISTANCES 8 bis, quai St-Vincent - Lyon 1er - 04 78 39 10 02 Festival air de jeu #3 4 créations Danse & Musique contemporaine. 1 compositeur invité : Nico Muhly 28 jan au 1er fév à 20h. 8€, pass/24€ LOOM - Chor : Yuval Picq 28 jan au 1er fév à 19h30, me. ve. à 22h15, sa. à 19h 15 VARIATIONS AUTOUR DE L’OUVERT Chor : Laurent Chétouane 28 au 31 jan à 20h15, me. ve. à 20h45 CRÉATION EN COURS - Chor : Yasmeen Godder 28 jan au 1er fév à ma. 21h45, me. à 20h, je. à 22h15, ve. à 19h30, sa. à 19h45 FRAIL - Chor : Kyle Abraham 28 jan au 1er fév à 22h30, me. à 19h30, je. à 21h45, ve. à 20h15, sa. à 20h30 + Rencontre « La Fabrique de l’oreille » Quai des Arts, 29 jan à 18h30 MUSÉE GALLO-ROMAIN 17, rue Cléberg - Lyon 5e - 04 72 38 49 30 AUTOUR DU BEAU, Cie Najib Guerfi 26 jan à 15h et 16h30. Droit d’entrée MAISON DE LA DANSE 8, av. Jean Mermoz - Lyon 8e - 04 72 78 18 00 SUN - Conception, chor : Hofesh Shechter 17 au 21 jan à 20h30, di. à 17h30, lu. à 19h30. 29€ à 17€ Temps fort « Tradition et Modernité » 24 jan au 23 fév UNIVERS… L’AFRIQUE, TRIBUTE TO NINA SIMONE, Cie La Baraka et 4 Danseurs du Ballet Contemporain d’Alger - Chor : Abou Lagraa 24 au 26 jan à 20h30, di. à 15h. 29€ - 9€ RITES, Cie Propos - Chor : Denis Plassard 28 au 30 jan à 20h30, me. à 19h30. 21€ - 9€ LE TOBOGGAN 14, av. Jean Macé - Décines - 04 72 93 30 14 NOS AMOURS BÊTES d’après Melquiot, Théâtre Am Stram Gram - Chor : Ambra Senatore 31 jan à 19h30. 12€ - 9€ AMPHITHÉÂTRE CULTUREL Université Lyon II - Campus Porte des Alpes Bron - 04 72 19 2661 JEUNE BALLET DU CNSMD LYON Chor : Merce Cunnigham, Jiří Kylián, Ficely… 20 et 21jan à 20h30. Gratuit PÔLE PIK 2, rue Paul Pic - Bron - 04 78 21 48 74 IN THE MIDDLE, Cie Swaggers - Chor : Marion Motin 16 jan à 19h. Gratuit sur réserv. THÉÂTRE THÉO ARGENCE Pl. Ferdinand Buisson - St-Priest - 04 78 20 02 50 L’ASPIRATEUR (DE LA POUSSIÈRE AUTOUR DU CŒUR), Cie Le Grand Jeté ! + DÉPARTEMENT DANSE, CNSMD Lyon Chor : Frédéric Cellé - 31 jan à 20h30. 18€ - 6€ THÉÂTRE DE VÉNISSIEUX 8, bd Laurent Gérin - Vénissieux - 04 72 90 86 68 AFECTOS, Rocío Molina et « La Tremendita » 31 jan à 20h30. 18€ - 8€ LE BRISCOPE Parc de l’Hôtel de Ville - Brignais - 04 78 05 31 13 SILENCE ON TOURNE, Pockemon Crew Dir : Riyad Fghani 31 jan à 20h30. 25€ - 20€
MAISON DU PEUPLE 4, pl. Jean Jaurès - Pierre-Bénite - 04 78 86 62 90 LA NINA DE LA CASA AZUL, Cie De Fakto Chor : Aurélien Kairo 31 jan à 19h30. 14€ - 12€ + Frida Kahlo et la modernité mexicaine 17 jan à 20h30. 2€ + À quoi sert l’art ? Que dit la peinture du monde ? 24 jan à 19h30 LA MOUCHE, THÉÂTRE SAINT- GENIS-LAVAL 8, rue des Écoles - St-Genis-Laval - 04 78 86 82 28 LA FORÊT ÉBOURIFFÉE, Cie CFB 451 Chor : Christian et François Ben Aïm 31 jan à 19h30. 8€ - 6,5€ THÉÂTRE DE VILLEFRANCHE Pl. de la Sous-Préfecture - Villefranche 04 74 68 02 89 L’APRÈS-MIDI D’UN FŒHN - VERSION 1, Cie Non Nova - Conception : Phia Ménard 11 jan à 11h, 15h et 17h. 14,5€ - 10,5€ SWAN LAKE, The Dance Factory - Chor : Dada Masilo 16 jan à 20h30. 28€ - 18€ SALLE DE L’ISLE Av. du Bourg - L'Isle-d’Abeau - 04 74 80 71 85 BOUNCE !, Cie Arcosm Conception, chor, MS : Thomas Guerry & Camille Rocailleux 22 jan à 18h30. 8€ - 6€ THÉÂTRE DU VELLEIN Av. du Driève - Villefontaine - 04 74 80 71 85 SWAN LAKE, Cie The Dance Factory Chor : Dada Masilo 31 jan et 1er fév à 20h30. 25€ - 18€ MÂCON SCÈNE NATIONALE 1511, av. Ch. de Gaulle - Mâcon - 03 85 22 82 99 UN CASSE-NOISETTE, Cie Malka Chor : Bouba Landrille Tchouda 10 jan à 20h30. 24€ - 8€ LE BÉNÉFICE DU DOUTE - Chor : Christian Rizzo 21 jan à 20h30. 24€ - 14€ + PENDULUM MUSIC, La Générale d’Expérimentation à 20h ESPACE DES ARTS 5 bis, av. Nicéphore Niepce - Chalon/Saône 03 85 42 52 12 MONSTRES INDIENS POUR ADULTES, La Bazooka Conception : Étienne Cuppens, Sarah Crépin 29 au 31 jan à 19h et 21h. 23€ - 9€ COMÉDIE DE VALENCE / THÉÂTRE LE BEL IMAGE Pl. Charles Huguenel - Valence - 04 75 78 41 70 AFECTOS, Rocio Molina & Rosario « La Tremendita » 9 et 10 jan à 20h. 21€ - 8€ NOS AMOURS BÊTES de Fabrice Melquiot Chor, MS : Ambra Senatore 14 et 15 jan à 18h + me. à 14h30. 21€ - 8€ A POSTO Chor : Ambra Senatore 17 jan à 20h. 21€ - 8€ DÔME THEÂTRE 135, pl. de l’Europe - Albertville - 04 79 10 44 80 Concours [Re]connaissance : ALTÉRITÉ Chor. Bouziane Bouteldja, Caroline Lamaison + PETITES PERCEPTIONS - Chor : Noé Soulier + (RE)FLUX - Chor : Nicolas Hubert 16 jan à 20h30. 25€ - 12€ BLEU, Cie TPO - Chor : Anna Balducci 22 jan à 10h30 et 16h30. 15€ - 10€
EXPOSITIONS BF 15 11, quai de la Pêcherie - Lyon 1er - 04 78 28 66 63 JENNIFER CAUBET - Topographies relatives Jusqu’au 18 jan, me. au sa. 14h/19h ANNE-SOPHIE BOSC / GÉRALDINE KOUZAN ROMAIN BOULAY - JULIEN MIJANGOS - Unfolding 31 jan au 22 mars, me. au sa. 14h/19h GALERIE FRANÇOISE BESSON 10, rue de Crimée - Lyon 1er - 06 07 37 45 32 LAURENT MULOT - Diptyque à l’horizon Jusqu’au 10 jan, me. au sa. 14h30/19h GALERIE-ATELIER 28 28, rue Burdeau - Lyon 1er - 04 78 28 07 72 ESTAMPES ET ŒUVRES SUR PAPIER D’HIER ET D’AUJOURD’HUI Jusqu’au 25 jan, me. au sa. 14h30/19h30 ANNE-MARIE ET ROLAND PALLADE ART CONTEMPORAIN 35, rue Burdeau - Lyon 1er - 09 50 45 85 75 06 72 53 70 34 PHILIPPE GELUCK Jusqu’au 25 jan, me. au sa. 14h/19h GALERIE LE RÉVERBÈRE 38, rue Burdeau - Lyon 1er - 04 72 00 06 72 BERNARD PLOSSU - De l’Atlantique la Méditerranée / du Portugal à la Grèce 18 jan au 12 av, me. au sa. 14h/19h GALERIE NÉON 41, rue Burdeau - Lyon 1er - 04 78 39 55 15 QUENTIN MAUSSANG - Être une chose Jusqu’au 15 fév, me. au sa. 15h/19h
agenda GALERIE PHOTOSTAGE 1, rue Camille Jordan - Lyon 1er - 0952 50 96 81 STÉPHANE CHARPE New-York , des pièces du Puzzle Jusqu’au 2 fév, ma. au ve. 10h/16h GALERIE REGARD SUD 1/3, rue des Pierres Plantées - Lyon 1er 04 78 27 44 67 ALDO SOARES - Carnac, autour de Guillevic 9 jan au 15 mars, ma. au sa. 14h/19h LE BLEU DU CIEL 12, rue des Fantasques - Lyon 1er - 04 72 07 84 31 JEFFREY WOLIN - Pigeon hill - then and now / VALÉRIE ARCHENO - Les Défenseurs + Adolescences Critiques II Jusqu’au 18 jan, me. au sa. 14h30/19h30 MUSÉE DES BEAUX-ARTS 20, pl. des Terreaux - Lyon 1er - 04 72 10 17 40 COLLECTIONS PERMANENTES Me. au lu. 10h/18h, ve. 10h30/18h. 7€ - 4€ + Parcours et visite en miroirs avec Musée Gadagne 15 et 29 jan à 15h (+3€) JOSEPH CORNELL ET LES SURRÉALISTES À NEW-YORK : DALI, DUCHAMP, ERNST, MAN RAY… Jusqu’au 10 fév, me. au lu. 10h/18h, ve. 10h30/18h. 7€ - 4€ + Spécial Nocturne « Joseph Cornell et la danse » avec Denis Plassard 3 jan 18h45 et 20h15 (+3€) SPACEJUNK LYON 16, rue des Capucins - Lyon 1er - 04 78 72 6402 JON FOX Jusqu’au 11 jan, ma. au sa. 14h/19h30 LES ARCHIVES MUNICIPALES DE LYON 18, rue Dugas-Montbel - Lyon 2e - 04 78 92 32 50 FRANÇOIS-RÉGIS COTTIN, ARCHITECTE ET HISTORIEN Jusqu’au 31 jan, lu. 11h/17h, ma. au ve. 8h30h/18h, sa. 13h/18h MUSÉE DES TISSUS ET DES ARTS DÉCORATIFS 34, rue de la Charité - Lyon 2e - 04 78 38 42 02 ANTINOÉ, À LA VIE, À LA MODE. VISIONS D’ÉLÉGANCE DANS LES SOLITUDES Jusqu’au 28 fév, ma. au di. 10h/17h30. 6€ - 3,5€ LES LAURÉATS DU SALON DE MONTROUGE Modules Fondation Pierre Bergé / YSL hors les murs Jusqu’au 12 jan, ma. au di. 10h/17h
MUSÉE DE L’IMPRIMERIE 13, rue de la Poulaillerie - Lyon 2e - 04 78 37 65 98 EDUARD OVČÁČEK Jusqu’au 16 mars, me. au di. 10h30/18h. 5€ à gratuit BIBLIOTHÈQUE DE LA PART-DIEU 30, bd Vivier-Merle - Lyon 3e - 04 78 62 18 00 UNE FABRIQUE DE L’INNOVATION. Trois siècles de Révolutions industrielles en Rhône-Alpes Jusqu’au 1er mars, ma. au ve. 10h/19h, sa. 10h/18h GALERIE VRAIS RÊVES 6, rue Dumenge - Lyon 4e - 04 78 30 65 42 LUC EWEN - Lost memories 11 jan au 15 mars, me. au sa. 15h/19h LA BRÈCHE, ESPACE D’ART 1, rue de la Brèche - Lyon 5e - 04 78 42 48 71 MIDNIGHT RAVERS / Dominique Peter & Emmanuel Prost. Expo sonore itinérante 7 au 22 jan, ma. au ve. 10h/12h-14h/21h, lu. 14h/21h, sa. 9h/12h-14h/19h MUSÉES GADAGNE 1, pl. du Petit Collège - Lyon 5e - 04 78 42 03 61 MUSÉE D’HISTOIRE DE LYON & MUSÉE DES MARIONNETTES DU MONDE COLLECTIONS PERMANENTES Me. au di. 11h/18h30. 8€ à gratuit -26ans + Visite « Raconte-Moi la ville » 5 et 26 jan à 11h15 (+3€) + Visite « Cap sur les Marrionnettes » 12 jan à 11h15 (+3€) + Visite guidée Édifice - 19 jan à 11h15 (+3€) ARCHÉOLOGIE DU SAVOIR ? [Maison Véduta aux Musées Gadagne] Jusqu’au 19 jan, me. au di. 11h/18h30 LYON, CENTRE DU MONDE ! Exposition internationale et urbaine de 1914 Jusqu’au 27 av14, me. au di. 11h/18h30. 7€ - 5€ + Visite-Expo, je. à 16h et sa. 11h15 (+3€) + Balades Urbaines « Édouard Herriot : changer le paysage de la Ville durablement » Bourse du Travail/Place Guichard, 19 jan à 15h (5€) + Balades Urbaines « Lyon, fleuron de la Cité moderne du XXe siècle » Ninkasi Gerland, 19 jan à 15h (+5€) + Balades Urbaines « Grange-Blanche : un hopital pavillonnaire au service de l'hygiéniste » 5, place d’Arsonval Lyon 8e, 18 et 19 jan à 15h (5€) MUSÉE GALLO-ROMAIN 17, rue Cléberg - Lyon 5e - 04 72 38 49 30 COLLECTIONS PERMANENTES Plus de cinq siècles de découvertes Ma. au di. 10h/18h. 4€ - 2,5€
+ Visite spéciale «Esthétique à l’antique » Ts je. à 15h + 12 jan à 15h (+2€) + Visite contée « Qui est les plus beau ? » 19 jan à 15h, 25 jan à 16h30 (+2€) CENTRE D’HISTOIRE DE LA RÉSISTANCE ET DE LA DÉPORTATION 14, av. Berthelot - Lyon 7e - 04 78 72 23 11 20 ANS DU CHRD - Collections permanentes : nouveau parcours, nouvelle scénographie Me. au di. 10h/18h. 6€ à gratuit POUR VOUS MESDAMES ! LA MODE EN TEMPS DE GUERRE Jusqu’au 13 av, me. au di. 10h/18h. 5€ - 3€ GALERIE ROGER TATOR 36, rue d’Anvers - Lyon 7e - 04 78 58 83 12 JEAN-CHARLES AMEY & FERRÉOL BABIN Objet Lumière Jusqu’au 14 fév, lu. au ve. 14h/19h BU SCIENCES / GALERIE DOMUS Campus de la Doua - 20, ave. Gaston Berger Villeurbanne - 04 78 43 28 30 KRISTOFFER ALBRECHT - Un automne finlandais Jusqu’au 18 jan, lu. au ve. 8h/21h, sa. 10h/20h GALERIE DOMUS Campus de la Doua - 17/19, bd. Du 11 Novembre 1918 - Villeurbanne - 04 72 43 19 11 RAJAK OHANIAN - Portrait d’une P.M.E. 16 jan au 28 fév, lu. au je. 9h/17h, ve. 9h/16h HALL D’EXPOSITION DU CENTRE DES HUMANITÉS Campus de la Doua - 1, rue des Humanités Villeurbanne - 04 72 43 85 67 LUCJA RAMOTOWSKI-BRUNET - Cycle(s) Jusqu’au 31 jan, lu au je. 9h/17h, ve. 9h/16h INSTITUT D’ART CONTEMPORAIN 11, rue Dr. Dolard - Villeurbanne - 04 78 03 47 00 MANFRED PERNICE - Fiat (lux) Jusqu’au 23 fév, me. au di. 13h/19h, je. 20h. 4€- 2,5€ URDLA CENTRE INTERNATIONAL ESTAMPE & LIVRE 207, rue Francis-de-Pressensé - Villeurbanne 04 72 65 33 34 CFRUEL SPORTING Jusqu’au 28 fév, ma. au ve. 10h/18h, sa. 14h/18h PLANÉTARIUM DE VAULX-EN-VELIN Pl. de la Nation - Vaulx-en-Velin - 04 78 79 50 12 ADRIEN MONDOT ET CLAIRE BARDAINNE XYZT, Les paysages abstraits Jusqu’au 19 jan, me. 13h30/17h, sa. di. 11h/17h. 6€ - 4€ HISTOIRE D’UNIVERS, DU BIG BAND AU GRAIN DE SABLE. Expo permanente Dès le 25 jan, me. 13h30/17h, sa. di. + vacances scolaires 11h/17h. 6€ - 4€
EXPLOREZ MARS 25 jan au 4août, me. 13h30/17h, sa. di. + vacances scolaires 11h/17h. 6€ - 4€ LA FERME DU VINATIER CH Le Vinatier - 95, bd Pinel - Bron 04 37 91 51 11 ART BIS (peintures et sculptures) 8 jan au 28 fév, ma. au ve. 14h/17h PIERRE TARRAQUOIS / BRICE ROBERT Quand les ados font le mur 8 jan au 28 fév, ma. au ve. 14h/17h ESPACE ALBERT CAMUS 1, rue Maryse Bastié - Bron - 04 72 14 63 40 YORGOS TAMBAKTIS Plier l’ombre… de la racine au ciel vernissage le ve. 17 jan à 18h30. 13 au 31 jan, lu. au ve. 13h/18h, 9/17/31/01 jusqu’à 22h CENTRE D’ARTS PLASTIQUES Espace Léon Blum - Rue de la Rochette St-Fons - 04 72 09 20 27 JEAN-BAPTISTE SAUVAGE A.P 43° 11’ 99’’ N / 05° 13’ 90’’ E Jusqu’au 1er fév, ma. au sa. 14h/18h L’AQUEDUC 1, ch. de la Liasse - Dardilly - 04 78 35 98 03 ALAIN CARDONA - FLORIAN BONDAGGA Regards et Couleurs 15 au 29 jan, lu. 14h/19h, ma. au ve. 10h/12h - 14h/19h FORT DU BRUISSIN Centre d’Art Contemporain - Ch. du Château d’Eau Francheville - 04 72 13 71 00 VERS UNE HYPOTHÈSE. Elena Bajo / Jesùs Alberto Benitez / Louise Hervé & Chloé Maillet / Fleur Noguerra / Niok Oberthaler / Guillaume Robert / Paola Yacoub Jusqu’au 23 fév, ve. sa. di. 14h/18h. Gratuit MAISON DU FLEUVE RHÔNE 1, pl. de la Liberté - Givors - 04 78 73 70 37 IDÉES BARGES Jusqu’en juil14, me. sa. di. 14h/18h. 5€ à gratuit - 16 ans MUSÉE ARCHÉOLOGIQUE Rte Départementale 502 - St-Romain-en-Gal 04 74 53 74 01 COLLECTIONS PERMANENTES Ma. au di. 10h/18h. 4€ - 2,5€, je. free + Visite Découvertes, les objets « phare » Di. et je. à 15h. (+2€) LES IROQUOIENS DU SAINT-LAURENT, PEUPLE DU MAÏS Jusqu’15 av, ma. au di. 10h/18h. 6€ - 4,5€ à gratuit le je.
+ Les Grandes thématiques de l’exposition Di. je. à 16h30 (+2€) + Projection DREAMKEEPER de Steve Barron (2003) 18 jan à 14h30 + Projection CŒUR DE TONNERRE de Mickael Apted (92) - 18 jan à 20h (+6€) + Sur les plumes de l’aigle. Voyage vers les Hau De No Sau Nee, Cie Tout Compte Fait 19 jan à 15h MUSÉE PAUL DINI Pl. Faubert - Villefranche/Saône - 04 74 68 33 70 LES LYONNAIS RENCONTRENT L’ORIENT Le Voyage au cœur de la Création + Itinéraires d’Artistes [AUBANEL / FAVIER / GIORDA / TRUPHÉMUS etc.] Jusqu’au 9 fév, me. 13h30/18h, je ve. 10h/12h30 13h30/18h, sa. di. 14h30/18h. 5€ - 3€ H2M / ESPACE D'ART CONTEMPORAIN + MONASTÈRE ROYAL DU BROU Bourg-en-Bresse. H2M au 5, rue Teynière, 04 74 42 46 00. Me. au di. 13h/18h. gratuit Église & musée 63, bd du Brou, 04 74 22 83 8. Tlj 9h/12h-14h/17h. 7,5€ à gratuit AU-DELÀ DE MES RÊVES (>50 artistes et 80 œuvres. Photos installations vidéos etc.) SOPHIE CALLE / CHRISTIAN LHOPITAL / JAN FABRE / TONY MORGAN etc. Jusqu’au 23 fév, me. au di. 13h/18h. 6€ à gratuit CITÉ DU DESIGN 3, rue Javelin Pagnon - St-Étienne - 04 77 49 74 70 HISTOIRES DES FORMES DE DEMAIN Collection de Design du Musée d’Art Moderne Jusqu’au 16 mars 2014, ma. au di. 11h/18h. 5.6€ - 2€ MUSÉE D’ART ET D’INDUSTRIE 2, pl. Louis Comte - St-Étienne - 04 77 49 73 00 PAQUEBOT DE FRANCE. DESIGN EMBARQUÉ Jusqu’au 28 fév, tlj 10h/18h. 4,9€ à gratuit YANNIS MARKANTONAKIS Merveilleuses Flottaisons Jusqu’au 28 fév, déc, tlj 10h/18h. 4,9€ à gratuit L'ARC, SCÈNE NATIONALE LE CREUSOT Esplanade François Mitterrand - Le Creusot 03 85 55 13 11 PLANTU - Cartooning for Peace. Dessins pour la paix 25 jan au 7 mai, ma. au sa. 13h30/19h, sa. 14h30/18h + Le rôle journalistique du dessin de presse 25 jan à 15h
LIEUX DE CONCERTS 6e Continent - 51, rue St-Michel - Lyon 7e - 04 37 28 98 71 Abattoirs - Route de L’Isle d’Abeau - Bourgoin - 04 74 19 14 20 Agend’Arts - 4, rue Belfort Lyon 4e Allégro - Place de la République - Miribel - 04 78 55 80 20 Aqueduc : chemin de la Liasse - Dardilly - 04 78 35 98 03 À Thou Bout d'Chant - 2, rue de Thou - Lyon 1er - 04 72 98 28 22 Amphithéâtre Astrée - 6,av. Gaston Berger - Villeurbanne - 04 72 43 19 11 Bar L’Absynthe - 22, rue de Flesselles - Lyon 1er - 06 76 72 14 26 Bastringue - 14, rue Laurencin - Lyon 2e Bistro Fait Sa Brocante - 3, rue Dumenge - Lyon 4e - 04 72 07 93 47 Boulangerie du Prado - 69, rue Sébastien Gryphe - Lyon 7e - 06 21 21 41 33 Boulevardier - 5, rue de la Fromagerie - Lyon 1er - 04 78 28 48 22 Bourse du Travail - Place Guichard - Lyon 3e C.C.O. - 39, rue Courteline - Villeurbanne - 04 78 93 41 44 Café du Bout du Monde Brotteaux - 120, rue Bugeaud - Lyon 6e - 04 72 74 44 82 Carré 30 - 12, rue Pizay - Lyon 1er - 04 78 39 74 61 Casa Musicale - 1, ch. de Fontenay - Lyon St-Rambert - Vergoin - 06 14 02 81 40 Cave à Musique - 119, rue Boulay - Mâcon - 03 85 21 96 69 Caveau du Chien à 3 Pattes - Croix-Rouge - Belleville - 04 74 66 14 61 Centre Charlie Chaplin - Place de la Nation - Vaulx-en-Velin - 04 72 04 81 18 Chapelle de la Trinité - 31, rue de la Bourse - Lyon 1er - 04 78 38 09 09 Citron - 20, rue St-Georges - Lyon 5e - 04 78 37 63 97 Clacson - 10, rue Orsel - Oullins - 04 72 39 74 93 Clef de Voûte - 1, place Chardonnet - Lyon 1er - 04 78 28 51 95 Cocotte Minute - 4, rue Belfort - Lyon 4e - 04 72 00 96 412 Crescent Jazz Club - 83, rue Rambuteau - Mâcon - 03.85.39.08.45 De l’Autre Côté du Pont - 25, cours Gambetta - Lyon 7e - 04 78 95 14 93 Double Mixte - 19, Avenue Gaston Berger - Villeurbanne - 04.72.44.60.17 DV1 - 6, rue Violi - Lyon 1er - 06 61 64 43 69 Épicerie Moderne - Ctre Léonard de Vinci - pl. R. Lescot - Feyzin - 04 72 89 98 70 Espace Albert Camus - 1, rue M. Bastié - Bron - 04 72 14 63 40 Espace Baudelaire - 83, av. de l’Europe - Rillieux-la-Pape - 04 37 85 01 50 Espace Double Mixte - La Doua - 43, bld du 11 Nov. 1918 - Villeurbanne - 04 72 44 60 19 Espace Jean Carmet - Bld du Pilat - Mornant - 04 78 44 03 12 Espace Culturel Saint-Genis-Laval - 8, rue des Écoles - St-Genis-Laval - 04 78 86 82 28 Espace des Arts - 5 bis, av. Nicéphore Niepce - Châlon-sur-Saône - 03 85 42 52 12 Espace St-Germain - 30, av. Général Leclerc - Vienne Espace Tonkin - 1, av. Salvador Allende - Villeurbanne - 04 78 93 11 38 Fée Verte - 4, rue Pizay - Lyon 1er - 04 78 28 32 35 Fnac Bellecour - 85, rue de la République - Lyon 2e - 04 72 40 49 49 Fnac Part-Dieu - 17, rue du Docteur Bouchut - Lyon 3e - 04 78 71 87 00
Grrrnd Zero Gerland - 40, rue Pré-Gaudry - Lyon 7e Hall C - Plaine Achille - St-étienne - 04 77 48 76 16 Halle Tony Garnier - 20, place Antonin Perrin - Lyon 7e - 04 72 76 85 85 Hot Club de Lyon - 26, rue Lanterne - Lyon 1er - 04 78 39 54 74 Îlo Café d’Expression - RN 89 - Rte de Lyon - St-Genis l’Argentière - 04 74 72 26 12 Jack Jack / Mjc Aragon - Place Gaillard Romanet - Bron - 04 78 26 87 25 Jazz Du Bout du Monde - 3, rue d’Austerlitz - Lyon 4e - 04 72 98 39 08 Johnny’s Kitchen - 48, rue St-Georges - Lyon 5e - 04 78 37 94 13 Karavan Théâtre - 60, rue de la République - Chassieu - 04 78 90 88 21 Kraspek Myzik - 20, montée St-Sébastien - Lyon 1er - 04 69 60 49 29 Kotopo - 14, rue René Leynaud - Lyon 1er - 04 72 07 75 49 L’Apéro Rock - 31, rue Ste-Geneviève - Lyon 6e - 06 63 95 09 94 L’Atrium - 35, avenue du 8 mai 1945 - Tassin-la-Demi-Lune - 04 78 34 70 07 L’Atribut - 122, rue Marietton - Lyon 9e - 04 72 29 10 66 LaPéniche - 52, quai St-Cosme - Chalon/Saône - 03 85 94 05 78 Le 13 Espace d’Interventions - 13, rue Leynaud - Lyon 1er - 06 03 94 23 14 Le Fil - 20/22, bld Thiers - St-Étienne - 04 77 34 46 40 Le Galet, Espace culturel - rue du Collège - Reyrieux - 04 74 08 92 81 Le Rize - 23/25, rue Valentin-Haüy - Villeurbanne - 04 37 57 17 17 Le Sou - 19, rue Romain Rolland - La Talaudière - 04 77 53 03 37 Le Sucre - 50, quai Rambaud -Lyon 2e Les Trois Gaules - 10, rue Burdeau - Lyon 1er - 04 72 87 08 25 Les Valseuses - 1, rue Chappet - Lyon 1er L'Impromptu Kafé - 7 place Colbert - Lyon 1er - 06 61 18 67 24 / 06 17 52 45 75 Luminier - 50, rue de la République - Chassieu - 04 78 90 88 21 Lyon’s Hall - 21, rue Joannes Carret - Lyon 9e - 06 61 43 45 35 Mâcon Scène Nationale - 1511, av. Ch. de Gaulle - Mâcon - 03 85 22 82 99 Maison de la Rencontre - 21, av. Aynard - Écully - 04 78 33 64 33 Marché Gare - 34, rue Casimir Périer - Lyon 2e - 04 78 38 49 69 Marquise - Quai Augagneur - Lyon 3e - 04 72 61 92 92 Médiathèque de Vaise - Place Valmy - Lyon 9e - 04 72 85 66 20 MJC Le Cadran - 15, chemin de Feyzin - Vénissieux - 04 72 50 00 69 Mjc de Chazelles - rue Joanny-Désage - Chazelles/Lyon - 04 77 54 29 21 Mjc Jean Cocteau - 23, rue du 8 Mai - St-Priest - 04 78 20 07 89 Mjc Ô Totem - 11, av. G. Leclerc - Rillieux - 04 78 88 94 88 Mjc de Ste Foy-lès-Lyon - 112, av. Foch - Ste-Foy-lès-Lyon 04 78 59 66 71 Mjc de Tassin - 16, av. de Lauterbourg - Tassin - 04 78 34 28 78 Moulin de Brainans - Poligny - 03 84 37 50 40 Nakamal - 36, av. Joannès Masset / Angle rue L. Loucheur - Lyon 9e - 04 78 47 20 16 Nec - St Priest-en-Jarez - 04 77 74 41 81 Ninkasi / Kafé / Kao - 267, rue Marcel Mérieux - Lyon 7e- 04 72 76 89 00
Nouveau Théâtre Beaulieu - 28, bld de la Palle - St-Étienne - 04 77 46 31 66 Opéra National de Lyon - 1, place de la Comédie - Lyon 1er 04 72 00 45 45 Palais des spectacles - Bld Jules Janin - St-Étienne - 04 77 49 47 81 Péniche Loupika - 47, Quai Rambaud - Lyon 2e - 04 72 41 75 24 Périscope - 13, rue Delandine - Lyon 2e - 04 78 42 63 59 Plateforme - Face au 4, quai Augagneur - Lyon 3e - 04 37 40 13 93 Polaris - Av. de Corbetta - Corbas - 04 72 51 45 55 Pub des Capucins - 5, place des Capucins Lyon 1er - 06 76 37 63 67 Radiant-Bellevue - 1 rue Jean Moulin - Caluire - 04 72 10 22 19 Salle 3000 - Cité Internationale - 50, quai Charles de Gaulle - Lyon 6e Salle Aristide Briand - Jardin des Plantes - Av. Antoine Pinay - St-Chamond - 04 77 31 04 41 Salle Genton - 21, rue Genton - Lyon 8e - 04 37 90 55 93 Salle des Iris - montée des Roches - Francheville - 04 78 59 66 66 Salle Jean Carmet - Mornant - 04 78 44 05 17 Salle Jeanne d'Arc - 16, rue Jean-Claude Tissot - St-Étienne - 04 77 25 01 13 Salle Léo Ferré/MJC Vieux Lyon - 5, place St-Jean - Lyon 5e - 04 78 42 48 71 Salle Molière - 18-20, quai de Bondy - Lyon 5e Salle Rameau - 29, rue de la Martinière - Lyon 1er Salle des Rancy - 249, rue Vendôme - Lyon 3e - 04 78 60 64 01 Salle Varèse - CNSMD - 3, quai Chauveau - Lyon 9e - 04 72 19 26 59 Sémaphore - Chemin de Boutan - Irigny - 04 72 30 47 90 Sirius - face 21, quai Augagneur - Lyon 3e - 04 78 71 78 71 Sonic - Péniche Mascaret, face au 4, quai des Étroits - Lyon 5e - 04 78 38 27 40 Soucoupe - 4, rue Mourguet - Lyon 5e - 04 78 38 31 25 Subsitances - 8, quai St-Vincent - Lyon 1er - 04 78 39 10 02 Tannerie - 123, place de la Vinaigrerie - Bourg-en-Bresse 04 74 21 04 55 Théâtre Antique Vienne - rue Pipet - Vienne - 0892 702 007 Théâtre Astrée - Campus de la Doua - 6, av. G. Berger Villeurbanne - 04 72 44 79 45 / 04 72 43 19 11 Théâtre des Pénitents - Place des Pénitents - Montbrison - 04 77 96 39 16 Théâtre de Vénissieux - 8, bld. Laurent-Gérin - Vénissieux - 04 72 90 86 68 Théâtre de Villefranche - Pl. de la Sous-Préfecture Villefranche - 04 74 68 02 89 Théâtre du Vellein - Av. du Driève - Villefontaine - 04 74 80 71 85 Théâtre Jean Marais - 53, rue Carnot - Saint-Fons 04 78 67 68 29 Théâtre Jean-Vilar - 12, rue de la République - Bourgoin-Jallieu - 04 74 28 05 73 Théâtre Théo Argence - Pl. Ferdinand Buisson - Saint-Priest - 04 78 20 02 50 Toboggan - 14, avenue Jean Macé - Décines - 04 72 93 30 00 Toï Toï le Zinc - 17/19, rue Marcel Dutartre - Villeurbanne - 04 37 48 90 15/06 87 15 52 82 Train Théâtre - 1, rue Aragon - Portes-lès-Valence - 04 75 57 14 55 Transbordeur - 3, bld Stalingrad - Villeurbanne - 04 72 43 09 99 Trokson - 110, montée de la Grande Côte - Lyon 1er - 04 78 28 52 43 Zenith - St-Étienne - Rue Scheurer Kestner - St-Étienne
/ Janvier 2014 / N°199 / 27